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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours"
Sommières 10 novembre 1969, 13,9x10,1cm, une carte postale, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70623
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "m[ake] great haste"
Sommières 2 février 1970, 8,7x12,7cm, une carte postale, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70629
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "je suis vraiment navré pour le voyage"
Sommières 16 septembre 1971, 17,9x12,8cm, un feuillet.
Bookseller reference : 70820
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "J'espère que la pièce mérite notre déplacement"
- Sommières 6-10-1971, 10,5x15cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une reproduction d'un dessin d'Eben "Etes-vous con...ducteur?". L'écrivain donne rendez-vous à sa jeune amante montpelliéraine : "... j'arrive vers midi à l'Hôtel Royale [...] si tu es occupée viens me chercher au Coupole le soir. Tout est arrangé avec Liege pour nous recevoir ! J'espère que la pièce mérite notre déplacement. Love. Larry". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "L'oreiller militaire français"
- Sommières 14-09-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe. - Carte postale autographe signée "L.D." de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "Pour nos Hôpitaux, Ambulances, Trains sanitaires, demandez l'Oreiller Militaire Français qui procure le plus doux des soulagements. [...]", publicité extraite d'un journal scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain organise un voyage avec sa jeune amante montpelliéraine : "Buttons. je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires"
- Sommières 20-04-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe. - Carte postale autographe de Lawrence Durrell signée "Dracula" adressée à Jani Brun, rédigée à l'encre bleue, reproduction d'un dessin de Marcel Vaysse "Ils sortent...tous les soirs", enveloppe jointe. L'écrivain nargue avec humour sa jeune amante montpelliéraine : "Darling Janie - maintenant qu'il fait beau la saison est ouverte et malgré mon age je reçois pas mal des invitations; souvent les filles de dix ans m'envoient des propositions inscrites par télégramme. J'estime que le rôle de papa gâteux me va bien ("le gâtisme c'est le relachment des sphinctères" (Dictionnaire medicale - Pujot)". Je vais en Grèce avec, une, 2, 3, 4 fille(s) plus fidé(?) que vous pour faire des reportages appellation contrôlée. D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires - n'est pas que c'est splendide ? Dracula" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles"
- London 29-11-1980, 10,2x15,3cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres rouge et noir, au verso d'une reproduction d'une liste rose parisienne. L'écrivain, nostagique, donne des nouvelles depuis Londres alors qu'il s'apprête à signer son dernier livre chez le libraire londonien Bernard Stone. Sa librairie était connue et désignée par le poète Michael Horowitz comme "the merriest backwater of that time" : "Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles : ils me prient de te rappeler le changement d'adresse. Il est à Covent Garden maintenant. C'est là que je signe ce soir. Nostalgie, grisailles, souvenirs". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon"
- Egypte [1971], 10,5x15cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo de bas-relief égyptien. L'écrivain à sa jeune amante montpelliéraine : "Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon en train de recevoir le Prix Bonbel pour son roman sur la vie privée d'un crocodile nilotique : "Le croc". Puis il faut rentrer pour quelques semaines à Londres. j'espère que tout va bien, dear Buttons.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui."
- Malibu s. d., 10,5x15cm, une carte postale. - Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo d'une plage de Malibu. "Buttons hola ! L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui. Pourtant on est très bien traités et je joue un peu le rôle de Scott Fitzgerald à Malibu.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée depuis Edimbourg à Jani Brun : "Si tu es libre de me joindre... faites moi signed"
- Edimbourg 4 octobre 1980, 10x14,5cm, une carte postale + une enveloppe. - Suggestive carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une reproduction de sculpture représentant un satyre, enveloppe jointe. "Buttons dear. J'arrive mardi pour deux nuits à Paris - au Royale. Si tu es libre de me joindre... faites moi signed. Suis fatigué après Athens, Londres, Edinburgh! Love. Larry Durrell." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "J'espère que la pièce mérite notre déplacement"
Sommières 6-10-1971, 10,5x15cm, une carte postale.
Bookseller reference : 73350
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "L'oreiller militaire français"
Sommières 14-09-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe.
Bookseller reference : 73353
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires"
Sommières 20-04-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe.
Bookseller reference : 73354
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles"
London 29-11-1980, 10,2x15,3cm, une carte postale.
Bookseller reference : 73357
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon"
Egypte [1971], 10,5x15cm, une carte postale.
Bookseller reference : 73360
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui."
Malibu s. d., 10,5x15cm, une carte postale.
Bookseller reference : 73367
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée depuis Edimbourg à Jani Brun : "Si tu es libre de me joindre... faites moi signed"
Edimbourg 4 octobre 1980, 10x14,5cm, une carte postale + une enveloppe.
Bookseller reference : 83025
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DURRELL Lawrence
Cefalu
Buchet-Chastel, Paris 1961, 14x19,5cm, broché.
Bookseller reference : 71378
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DURRELL Lawrence
Clea
- Faber & Faber, London 1961, 12x18,5cm, broché. - Nouvelle édition. Petites pliures angulaires sur les platsn dont une plus remarquable en tête du premier plat. Signature manuscrite de Lawrence Durrell sur la page de faux-titre. Provenance : de la bibliothèque de Jani Brun. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, Lawrence Durrell rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Clea
Paris Corréa Buchet / Chastel - 1960 In-8 Broché Dédicacé par l'auteur
Bookseller reference : 007946
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DURRELL Lawrence
Clea
Faber & Faber, London 1961, 12x18,5cm, broché.
Bookseller reference : 73818
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DURRELL Lawrence
Justine
- Corrêa, Paris 1957, 14x19cm, broché. - Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Très légères déchirures sans gravité sur le dos. Envoi autographe signé du traducteur, Roger Giroux, à Michel Mohrt. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Justine
Corrêa, Paris 1957, 14x19cm, broché.
Bookseller reference : 82543
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DURRELL Lawrence
L'île de Prospero
Buchet / Chastel, Paris 1962, 13,5x18cm, broché.
Bookseller reference : 71634
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "Je suis rentré fatigué mais content à Sommières"
- Sommières 16 octobre 1971, 13,4x20,9cm, une page, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, la remerciant pour un séjour passé en sa compagnie à Liège. Onze lignes au feutre noir sur papier à en-tête personnel de l'écrivain. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "Je suis rentré fatigué mais content à Sommières"
Sommières 16 octobre 1971, 13,4x20,9cm, une page, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70541
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "le MONTAGUE HOTEL à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable"
- Sommières 22 août 1969, 12,6x20,3cm, 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées sur deux feuillets. Pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain arrange pour son amante un séjour à Londres et a demandé à son éditeur Alan G. Thomas de l'accueillir : "Thomas a déjà réservé une chambre au MONTAGUE HOTEL [...] à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable. Mais vérifiez vos dates et télégraphiez lui en avance pour qu'il refasse l'opération". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "le MONTAGUE HOTEL à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable"
Sommières 22 août 1969, 12,6x20,3cm, 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70627
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "Toi, tu peux m'écrire en Français. J'ai du mal à l'écrire mais je le comprends très bien".
- Paris 18 juillet 1969, 21,6x28cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun datant du début de leur relation. Une page au stylo bille bleu. Enveloppe jointe. L'écrivain adresse ici une des premières lettres de sa correspondance avec sa jeune amie montpelliéraine, qui s'étendit sur plus de deux décennies. Encore peu habitué à la langue française, il demanda de l'aide pour traduire sa lettre : "J'espère bien mieux te connaître [...] Gérard a traduit ceci de l'anglais pour moi. Comprendrais-tu si la prochaine fois j'écrivais en anglais [...] ?" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "Toi, tu peux m'écrire en Français. J'ai du mal à l'écrire mais je le comprends très bien".
Paris 18 juillet 1969, 21,6x28cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70624
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun depuis Montréal : "mais c'est loin, bien loin de Montpellier : c'est l'âme qui devient sourd, muet, entassée dans la neige et les brumes de printemps"
- Montréal 11 mars 1968, 13,7x21,5cm, 2 pages sur un feuillet, enveloppe jointe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées au stylo sur un papier à en-être du Ritz-Carlton Hotel de Montréal. Enveloppe jointe. Durant un déplacement à Montréal, l'écrivain adresse une longue missive à sa jeune amante française, qu'il a laissée à regret dans le Midi. Il donne un avis mitigé sur la ville et ses habitants : "la ville est très belle avec les lacs glacées [sic], la neige partout ; on mange bien et on chauffe bien [...] les Quebecois sont très gentils et hospitaliers mais je sens une lourdeur d'esprit qui me rappelle Genève !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun depuis Montréal : "mais c'est loin, bien loin de Montpellier : c'est l'âme qui devient sourd, muet, entassée dans la neige et les brumes de printemps"
Montréal 11 mars 1968, 13,7x21,5cm, 2 pages sur un feuillet, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70619
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun à propos du roman Tunc: "maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main"
- Sommières 18 juillet 1968, 21,2x13,4cm, 1 feuillet sous enveloppe. - Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre brun, datant du début de leur relation. Pliure centrale inhérente à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain, en pleine écriture de son roman Tunc, donne des nouvelles à sa nouvelle amante française dans un français encore hésitant : "Enfin pour le moment pas des [sic] aventures à vous raconter. trop de travail. trop de correspondance. Mon fils (de Claude [-Marie Vincendon, épousée en 1961]) est ici est [sic] aide Barbie avec les papiers. Il la trouve jolie mais moi je suis plein des [sic] sentiments peu charitables. En tous cas maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main. Je ne serais mais entièrement mécontent de te revoir un de ces jours. si l'idée vous vient". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun à propos du roman Tunc: "maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main"
Sommières 18 juillet 1968, 21,2x13,4cm, 1 feuillet sous enveloppe.
Bookseller reference : 70824
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DURRELL Lawrence
Lettre dactylographiée et autographe signée adressée à Jani Brun : "le babysitting ; assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire"
- Sommières 23 janvier 1970, 13x20cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe. - Lettre dactylographiée et autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. L'amante de l'écrivain envisage un séjour à Londres ; Durrell lui donne des conseils sur les agences de babysitting : "assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire ; pour cela il faut déclarer votre intention de rester au moins 6 mois dans le pays (on peut toujours le dire !) [...] N'oubliez pas qu'il y a toujours le grand lycée Français de Londres [...]" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Lettre dactylographiée et autographe signée adressée à Jani Brun : "le babysitting ; assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire"
Sommières 23 janvier 1970, 13x20cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70620
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DURRELL Lawrence
Poèmes
Gallimard, Paris 1966, 14x19,5cm, broché.
Bookseller reference : 68061
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DURRELL Lawrence
Poèmes
Gallimard, Paris 1966, 14x20,5cm, broché.
Bookseller reference : 73421
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DURRELL Lawrence
Tunc
Gallimard, Paris 1969, 14,5x21,5cm, broché.
Bookseller reference : 71974
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DURRELL Lawrence
Tunc
Faber & Faber, London 1968, 13,5x20cm, reliure de l'éditeur.
Bookseller reference : 73825
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DURRELL Lawrence & MILLER Henry
Une correspondance privée, Lawrence Durrell Henry Miller
Buchet-Chastel, Paris 1963, 14x19,5cm, broché.
Bookseller reference : 73617
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DURRELL Lawrence (EPFS Oscar)
Dessin original à l'encre, feutres, crayons et graphite portant une dédicace autographe signée à son amante française
- 1969, dessin 1963, 31,9x47,6cm, une feuille. - Original drawing in ink, pencil and felt-tip pen with an autograph inscription signed to his French lover 1969 | drawing 1963 | 31.9 x 47.6 cm | single sheet An original drawing signed and dated 1963, on thick paper, with an autograph inscription from the artist at the bottom dated 1969. An exceptional original ink, pencil, and felt-tip color drawing by Lawrence Durrell, signed with his artist's pseudonym of '[Oscar] Epfs 1963'». This work was given to his French lover Janine Brun in 1969 and has an exceptional inscription «My dear Buttons. I have asked my friend Oscar Epfs to give me a small drawing for your studio. Here it is. I hope it gives you Happy memories of Paris and meetings with Miller! Your devoted Laurence Durrell / Sommières / 1969.» This work is steeped in his long years in Greece and one can see one of Durrell's favorite themes, the Greek church with its dome and cross, recalling the island landscapes so dear to the author. In varicolored inks and colored pencils, his drawings are bathed in Mediterranean light and enriched with miniatures in felt-tip. Durrell kept up his writing and painting right to the end of his life at Sommières, paying homage to Provence and the Mediterranean with his numerous drawings and gouaches, as well as his final novel, Caesar's Vast Ghost. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Dessin original signé et daté de 1963, réalisé sur papier fort encollé sur carton au moyen d'adhésif noir, agrémenté d'une dédicace autographe en partie inférieure datée par l'artiste de 1969. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «?maison Tartès?», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «?Jany?» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «?Buttons?» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «?Buttons?», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Exceptionnel dessin original à l'encre, au graphite, aux feutres et crayons de couleur de Lawrence Durrell, signé de son pseudonyme d'artiste «?[Oscar] Epfs 1963?». L'uvre fut offerte en 1969 à son amante française Janine Brun, et porte une exceptionnelle dédicace «?My dear Buttons. I have asked my friend Oscar Epfs to give me a small drawing for your studio. Here it is. I hope it gives you Happy memories of Paris and meetings with Miller?! Your devoted Laurence Durrell / Sommières / 1969.?» (Ma chère «?Buttons?». J'ai demandé à mon ami Oscar Epfs de me donner un petit dessin pour votre appartement. J'espère qu'il vous rappellera d'heureux souvenirs de Paris et de rencontres avec Miller?
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DURRELL Lawrence (EPFS Oscar)
Deux gouaches originales recto-verso signées offertes à son amante française
1968, 66x47,4cm, une feuille.
Bookseller reference : 66682
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DURRELL Lawrence GERSON Mark
Photographie signée de Lawrence Durrell à une jeune française
- 1970, 21,9x16,2cm, une feuille. - Photograph signed by Lawrence Durrell to a young French lady 1970 | 21.9 x 16.2 cm | one photograph Original black and white photograph of Lawrence Durrell signed and dated, taken by the photographer Mark Gerson, and bearing his stamp on the back: «Photograph by MARK GERSON, FIIP. ARPS. 24, Cavendish Ave., St. John's Wood, London NW8». Original photograph in black and white of Lawrence Durrell with the author's handwritten signature: «Buttons you are impossible 1970,» addressed to Janine Brun, his young French lover. The writer is smiling in front of the camera of the photographer famous for writers' portraits, Mark Gerson, at a book signing in London for the release of Tunc, the first volume of his dystopian series entitled The Revolt of Aphrodite. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Photographie originale de Lawrence Durrell signée et datée, réalisée par le photographe Mark Gerson, et portant son tampon au verso : "¨Photograph by MARK GERSON, FIIP. ARPS. 24, Cavendish Ave., St. John's Wood, London NW8". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Photographie originale en noir et blanc de Lawrence Durrell portant une signature autographe de l'auteur : "Buttons you are impossible 1970", adressé à Janine Brun, sa jeune amante française. L'écrivain pose souriant devant l'objectif du célèbre photographe portraitiste d'écrivains Mark Gerson, à l'occasion d'une séance de signatures à Londres pour la parution de Tunc, le premier voume de sa série d'ouvrages distopiques intitulée La Révolte d'Aphrodite. Cette photographie fut adressée à une jeune amante de l'auteur, qui, à Sommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun, aussi surnommée "Buttons" dans les lettres de l'écrivain, fut ainsi décrite par le biographe de Durrell Ian McNiven : "She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic" (" Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique", (Lawrence D
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DURRELL Lawrence GERSON Mark
Photographie signée de Lawrence Durrell à une jeune française
1970, 21,9x16,2cm, une feuille.
Bookseller reference : 66707
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DURRELL Lawrence HOROWITZ Karen
Affiche originale dédicacée par Lawrence Durrell
S.n., s.l. 1974, 62x45cm, une affiche.
Bookseller reference : 67958
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DURRETT Elmer "Red" 1921 92
Signature and Inscription
The Brooklyn Dodgers debuted this ball player in 1944 where he remained for two seasons. Large and flamboyant "Respectfully Yours / Elmer 'Red' Durrett" in blue ballpoint on a lined 5" X 3" index card n.p. n.y. Near fine. unknown
Bookseller reference : 21937
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DURRIEU P. Cte.
Les souvenirs historiques dans les manuscrits à miniatures de la domination anglaise en France au temps de Jeanne d'Arc
In Annuaire-bulletin de la Société de l'histoire, Paris 1905, 16x24cm, broché.
Bookseller reference : 10751
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DURRY (Marie-Jeanne).
Orphée. Poème.
Paris Flammarion 1976 1 vol. broché in-12, broché, 77 pp. Edition originale avec un envoi de l'auteur. Très bon état.
Bookseller reference : 77877
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DURRY (Marie-Jeanne).
Orphée. Poème.
Paris Flammarion 1976 1 vol. broché in-12, broché, 77 pp. Edition originale avec un envoi de l'auteur. Très bon état.
Bookseller reference : 77877
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