‎Carco francis‎

‎Carco Francis:‎

‎Nostalgie de Paris.‎

‎Genève, éditions du Milieu du monde, 1941. Petit in-8, pleine toile grège, pièce de titre en maroquin noir.‎

‎Edition originale sur papier courant, exemplaire agrémenté d'un envoi autographe signé de l'auteur.‎

Référence libraire : 13416

‎CARCO (Francis)‎

‎Nostalgie de Paris suivi de Ombres vivantes‎

‎Gallimard 1952, in-8 broché, couverture illustrée d'une photo du moulin de Montmartre, 291 p. (papier un peu bruni, sinon très bon état) Avec 16 photos NB de Marc Foucault. Nouvelle édition de ces beaux textes, où Carco, attristé par la présence des Allemands dans sa chère ville de Paris, égrène des souvenirs sur les mille visages de la capitale.‎

Référence libraire : 45987

‎CARCO Francis.‎

‎Nostalgie de Paris.‎

‎Genève, Editions du Milieu du Monde, 1941. In-12, broché, 246 pp.‎

‎Première édition. Photos sur demande.‎

Référence libraire : 7748

‎CARCO (Francis)‎

‎Nostalgie de Paris, Genève, le milieu du monde, 1941.‎

‎1 volume in-12° broché, 247 p., 1er plat de couverture légèrement abîmé en bordure, dos un peu roussi, envoi de Francis Carco, très bon état général.‎

Référence libraire : 2961

‎Carco (Francis) - Cassou (Jean) - Cogniat (Raymond) - Jou (Louis)‎

‎Notre Ami Louis Jou‎

‎Paris, M-P Trémois, 1929, in-4, 116pp, broché, très léger manque au dos sinon très bel exemplaire de l'édition numérotée sur Vélin d'Arches. N°204. 116pp‎

Référence libraire : 5217

‎CARCO Francis.-‎

‎Nuits de Paris.-‎

‎Paris. Le Divan. 1927. In-18 (113 x 173mm) broché, couverture imprimée, 169, (2) pages. Un des 1205 (n°541) sur vélin de Rives teinté bleu après 25 japon. Très bel exemplaire. Edition parue la même année que l'originale.‎

Référence libraire : ORD-13357

‎CARCO Francis. DIGNIMONT André‎

‎Nuits de Paris.‎

‎Paris, Au sans Pareil, 1927. In-4°, reliure de maroquin bleu clair décoré sur les plats d'un décor d'étoiles dorées; tête dorée; couverture et dos conservés, étui. Illustré de 26 compositions gravées à l'eau-forte par André Dignimont dont une en couleurs. Tiré à 430 exemplaires, celui-ci le numéro 88 sur vélin blanc Montgolfier d'Annonay. Envoi autographe de Francis Carco: "à Mademoiselle Marianne, en souvenir de temps, où les "nuits de Paris" s'achevaient - pour les vrais noctambules - au jour levé .. sur d'autres nuits.. Très sympathique hommage F. Carco".‎

‎Bel exemplaire dans une reliure de l'époque.‎

Référence libraire : EXE-571

‎CARCO (Francis)‎

‎Nuits de Paris. Avec vingt-six compositions gravées à l'eau-forte par Dignimont‎

‎Paris, Au Sans Pareil, 1927 In-4° broché, couverture blanche sous cartonnage illustré et emboitage (quelques rousseurs à l'intérieur du cartonnage), ex libris en page de faux titre, 144 pages, illustré de 26 gravures de Dignimont. Tirage total à 430 exemplaires. L'un des 20 exemplaires du tirage de tête (ex. N° 18) sur vélin d'Arches avec une double suite des gravures, l'une sur ancien papier du Japon, l'autre sur vélin Mongolfier, réservés aux amis du Sans Pareil et imprimés à leur nom, très bon état.‎

Référence libraire : 67264

‎CARCO Francis:‎

‎Nuit de Paris.‎

‎Paris, Au Sans Pareil, 1927. In-4 broché de [6]-XIII-144-[8] pages, couverture imprimée sous chemise cartonnée à attaches et étui, premier plat et dos de la chemise avec titre et décor dorés.‎

‎Illustré de 26 compositions gravées à l'eau-forte de Dignimont, certaines à pleine page. Tirage limité à 430 exemplaires numérotés et quelques-uns de collaborateurs. Celui-ci, un des 20 nominatifs réservés aux Amis du Sans Pareil, au nom de V. Baixeras et portant le numéro 4. Bien complet des deux suites accompagnant cette tranche du tirage, soit une sur Japon ancien, la seconde sur vélin Montgolfier et comprenant 2 états supplémentaires du frontispice. Notre exemplaire est enrichi d'une lettre autographe signée de Carco à Paul Lombard, avec enveloppe, qu'il remercie chaleureusement pour un article paru dans l'Homme libre. Dos de la chemise un peu frotté, avec discrète fente à un mors.‎

Référence libraire : 15364

‎CARCO (François, Carcopino-Tusoli, dit Francis).‎

‎Né à Nouméa.1886-1958. Ecrivain français. L.A.S."Fr Carco" à une dame. Paris, S.d. ( vendredi). 1 page 1/2 in-4. En-tête gravée à son adresse parisienne. Papier bleu.‎

‎Une grippe dont a été victime sa femme a empêché Carco de rendre visite à sa correspondante: ...il ne nous a pas été possible d'aller vous dire combien nous sommes avec vous, près de vous, dans votre grande douleur, et quelle part, tristement sincère, nous y prenons. C'est horrible ! Les journaux nous ont mis au courant de la rapidité avec laquelle votre pauvre mari a été emporté mais ce qu'ils n'ont pas dit et que nous savons, sans qu'il soit besoin de le dire, est votre immense et affreux déchirement...Auteur de plusieurs romans dépeignant des personnages des bas-fonds ( Les Innocents, 1917; La Rue, 1930 ou Brumes, 1936) Francis Carco a également publié des livres de souvenirs tels A voix basse 1938 et Bohème d'artiste (1940).‎

Référence libraire : 2164

‎CARCO (François Carcopino-Tusoli, dit Francis).‎

‎Né à Nouméa. 1886-1958. Ecrivain, poète, journaliste d’origine corse. Grand prix de l’Académie française pour L’Homme traqué (1922). L.A.S. « F. Carco ». Paris, 27 octobre [19]23, « 11 rue de Douai ». 1 page in-4.‎

‎27/10/1923 Carco reçoit un article le concernant, publié un mois auparavant dans le journal niçois LÉCLAIREUR DU SOIR …Croyez que lintention amicale qui vous a fait reproduire le papier de Lucien Dubech, me touche beaucoup… Car jusquà présent, LEclaireur ma peu gâté, en tant que niçois… Peut-être est-ce de ma faute ? Mais tout cela est oublié…Carco dans cette lettre, exprime un attachement particulier à la ville de Nice : cest là quil écrivit en partie un de ses romans les plus célèbres, « Jésus la Caille », lhistoire dun proxénète homosexuel, publié avec le soutien de Rachilde au Mercure de France en 1914. Lecteur assidu de LEclaireur du soir, le journal niçois réputé localement, lécrivain ne manque pas de saluer la faveur que lui a faite Charles Buchet, rédacteur en chef du journal, en publiant un article du critique littéraire Lucien Dubech malgré la divergence de leurs positions politiques : Carco, issu de la bohème montmartroise, était républicain de cœur et desprit, tandis que Dubech écrivait dans LAction française réactionnaire de Maurras.‎

Référence libraire : 3607

‎CARCO François Carcopino-Tusoli, dit Francis‎

‎Né à Nouméa. 188661961. Ecrivain, poète, journaliste. L.A.S. "Fr. Carco" à un ami. Sans date. 1 page in-8. En-tête gravé de l'Hôtel Régina, Paris.‎

‎Charmant billet : ...A bientôt (...), je pense que l'autre François est toujours en bonne forme...‎

Référence libraire : 2990

‎CARCO Francis‎

‎Né à Nouméa (Nouvelle-Calédonie). 1886-1958. Poète et romancier français. L.A.S. « Fr. Carco ». Paris, 28 janvier [19]36. 1 page 1/2 in-8. Papier de deuil à son adresse (79, Quai d’Orsay).‎

‎28/01/1936 Francis Carco aurait aimé publier quelques poèmes dans la revue de son correspondant, mais il na …rien absolument rien dinédit actuellement. Permettez moi pourtant de ne pas oublier votre flatteuse proposition : si jécris quelque jours des poèmes je vous les enverrai… Quant à ses conférences [Cest lors dune de ses conférences en Egypte quil avait rencontré Eliane Négrin, sa future épouse] il nen a plus données …depuis que me voici au Cabaret. Je naimais pas beaucoup ce genre… qui dailleurs me le rendait bien !...‎

Référence libraire : 2377

‎CARCO (Francis).‎

‎Né à Nouméa. 1886-1958. Ecrivain, poète et journaliste français. Manuscrit autographe intitulé « L’AUTRE SEXE – ROMAN » se composant de 5 pages 1/2 in-8 sur vélin bleu dont une page de titre (ratures et corrections).‎

‎…Une jeune femme, la princesse Saratoff, dont le mari fait office à Paris de diplomate secret au service des Russes blancs, mène une double existence dont personne ne se doute, sauf le secrétaire ou prince Georges de Croy, follement épris de la princesse. Cette dernière a un passé des plus troubles. Elle se nomme Claire. Cest une ancienne fille… Carco dévoile demblée la figure double de la princesse Claire de Saratoff : une prostituée faite princesse. De retour à Paris, Claire …se sent fatalement attirée par le milieu où elle a jadis appartenu à un certain José dont elle na plus jamais rien su. Sans se faire reconnaître, empruntant un costume de fille, elle retourne donc dans les bals dapaches où elle espère apprendre ce quest devenu José (…) Un soir, accompagnée dune de ses plus intimes amies à qui surviennent nulles aventures comiques au cours de leur tournée nocturne chez les apaches, Claire est accostée par Fernand (…) Tous deux saiment… Fernand veut sattacher Claire qui sy refuse, acceptant seulement de le recevoir dans sa chambre ; Fernand, une petite frappe sans scrupules, ne cache pas son intention defaire main basse sur ses bijoux, mais, contre toute attente, cest de Croy, le secrétaire du prince qui est surpris à voler… Francis Carco avait été surnommé le romancier des Apaches. Il avait épousé en 1935 Eliane Négrin, mariée à un « Prince du coton égyptien », rencontrée lors de conférences données en Egypte dans les années 1930.‎

Référence libraire : 3089

‎CARCO (Francis).‎

‎Né à Nouméa (Nouvelle-Calédonie). 1886-1958. Poète et romancier. MS autographe signé « Francis Carco de l’Académie Goncourt ». S.l.n.d. [Paris, 1945]. 9 pp. 1/2 au total, in-8 sur papier vélin vert, numérotées au crayon bleu de typographe (« 1 à 4» et « 1 à 5 »). Quelques biffures, quelques corrections au crayon.‎

‎S.D. COMPTE-RENDU DU PROCÈS DE LAMIRAL JEAN-PIERRE ESTEVA DEVANT LA HAUTE COUR DE JUSTICE EN MARS 1945 PAR FRANCIS CARCO RÉDIGÉ SOUS LA FORME DUNE NARRATION PROSODIQUE INTITULÉE « IMPRESSIONS DAUDIENCE ». Jean-Pierre Esteva. Né à Reims en 1880. Mort en 1951. Jeune officier pendant la Première guerre mondiale, il est affecté à la flotte en Méditerranée. Promu contre-amiral en 29. Il devient vice-amiral en 35. Prend le commandement des Forces navales du Sud. Après lArmistice de juin 1940, il rejoint le Maréchal Pétain dont il deviendra très proche. Il est envoyé par le Gouvernement de Vichy en Tunisie où il met à la disposition des Allemands les bases aériennes françaises. Arrêté en septembre 1944, son procès souvre le 15 mars 1945 devant la Haute Cour de Justice recréée par ordonnance du gouvernement provisoire en novembre 1944 afin de juger le Chef de lEtat, le Chef du Gouvernement, les Ministres, les Gouverneurs généraux, les Hauts fonctionnaires, les Militaires, etc.Ayant épousé après la guerre Eliane Négrin, une jeune femme dorigine juive, Francis Carco fut contraint à lexil dès lexécution des premiers décrets anti-juifs imposés par le gouvernement de Vichy. Le couple fuit la France et se réfugie en Suisse dans le Valais où les Carco feront la connaissance de Jean Graven, un professeur de droit de luniversité de Genève qui fut chargé après la guerre par les Nations Unies de la poursuite et de l'extradition des auteurs de crimes de guerre et crimes contre l'humanité, terme dont on lui doit la paternité. Il sera le représentant officiel de la nation helvète lors des procès de Nuremberg. Est-ce sous son influence que Carco se rendit au procès Esteva ?...Au premier jour du procès Esteva devant la Haute Cour de Justice, Carco dépeint en quelques lignes non pas lenceinte du tribunal comme on sy attendrait, mais la couleur lumineuse des sièges qui lui rappelle la Tunisie, le pays où lamiral perpétra sa forfaiture ...Est-ce en souvenir de lavenue de Carthage et de ses terrasses de café que les sièges quon nous destine sont constitués par une double rangée de chaises pliantes dun vert pistache assez inattendu ? Ce serait pousser un peu trop loin le goût de la couleur locale. Toutefois, dans le cadre austère où va se dérouler le procès Esteva, ce vert mérite quon en savoure la note pimpante dont la présence nous aide à évoquer latmosphère de Tunis. Résident général, lamiral Esteva que la chambre daccusation a déféré le 7 du mois dernier devant la haute Cour de Justice, prend place avec un garde au banc doù il devra répondre des faits retenus contre lui (...) Le regard de Carco se porte ensuite sur laccusé lui-même qui arbore croix et médailles militaires ou honorifiques ...Cest un homme avec sa plaque de commandant (grand officier) de lOrdre de la Légion dHonneur, sa médaille militaire, sa croix de guerre à palmes, les cinq étoiles de bronze quil porte sur ses manches, cest un homme de près de soixante cinq ans (chauve) qui, très digne, réclamera (de ses juges), de sortir le front haut (ainsi quil y a droit, dit-il) de cette salle où il doit, pour le moment faire figure de prévenu. Chauve et barbu, sans sa casquette aux dorures rutilantes il a moins lair dun grand marin que dun (brave homme) bourgeois (de la belle époque) cossu que sa bonne foi met à labri (des pires) de toute compromission. Carco juge demblée à lattitude du Président de la Haute Cour envers le prévenu que ...Cest entre ces deux hommes que le drame se noue. On le sent dès le début. Un drame qui passe et de beaucoup la personne de laccusé pour prendre de plus vastes, de plus effarantes proportions. En effet ni les instructions qua reçues Esteva lors du débarquement des troupes de laxe en Tunisie, ni son empressement à leur venir en aide contre les forces alliées, ne constituent aux yeux du Premier Président le fond même du procès (...) Cest de Vichy quil est question. De son gouvernement qui na pas su ou qui plutôt na pas voulu se dégager de létreinte mortelle du Reich. (Le reste ne compte guère. Lamiral a beau protesté) Et tout est là, (lheure des comptes approche uniquement) pour cette première audience, alors labjecte trahison, (à Tunis), le crime (inexpiable) dont il faudra pourtant un jour payer le prix...Dans le deuxième temps du texte, Carco reprend la question essentielle posée par le premier Président au Procureur général, une question éthique qui pose souvent débat ...Victime ou complice ?... avait dit le premier Président au sujet dEsteva. Les deux, répond dès le début de son réquisitoire le Procureur Mornet qui, réfutant lun après lautre les arguments de lamiral, établit que par fétichisme envers Pétain, il abdiqua de bonne heure toute sorte de dignité. La consigne dobéissance jurée au maréchal, la perdu. La question est épineuse, elle sera de même posée lors des procès des Nazis : celle de lobéissance infaillible à la hiérarchie ...« Nous devons préparer les revanches futures », écrivait en 40 lamiral. Or lidée même de ces revanches a bien vite disparue. Lannée suivante, exécutions massives dotages, déclaration de la guerre par le Führer à la Russie, recrutement en masse douvriers pour lAllemagne. Est-ce quun français naurait enfin point où se ressaisir en présence de pareils faits ? Son devoir le lui commandait. Mais non; Les ordres que reçoit Esteva de Vichy (néveillent) le trouvent toujours pris à les suivre ou à les faire exécuter. Voilà le crime. (Car la pire trahison consiste dans lavilissement. Et Esteva, sciemment, y a participé. « Messieurs, conclut lavocat général, jai mis mes dernières forces au service de mon pays et ce nest pas sans lêtre longuement interrogé quen mon âme et conscience, je vous propose de refuser les circonstances atténuantes à un homme qui, pour se couvrir, vous dit quil a prêté serment au maréchal... » Et plus bas (sans plus) comme sil sadressait à lui-même : « Il nest pas de serments qui tiennent devant une trahison ! »...Lamiral Esteva échappa à la peine de mort ; il fut condamné à la prison à vie. Gracié en août 1950, il décéda quelques mois plus tard.‎

Référence libraire : 3568

‎CARCO FRANCIS‎

‎OMBRE‎

‎1933 CARCO Francis : L’ombre. Albin Michel Paris 1933. E.O. L’un des 30 ex. sur Hollande, 2ème papier. Très belle reliure in-12 demi maroquin tête de nègre à coins, dos à 4 nerfs, tête dorée, couvertures conservées. Très bel exemplaire –‎

Référence libraire : 12805

‎CARCO (Francis).‎

‎Ombres vivantes.‎

‎P., Éditions de la Galerie Charpentier, 1947, gr. in-4, en ff., chemise et étui éd., 128 pp. (M.35)‎

‎Illustré de gravures en noir de DIGNIMONT. Un des quelques exemplaires H.C. Étui lég. frotté.‎

Référence libraire : 1351575

‎CARCO (Francis).‎

‎Ombres vivantes.‎

‎Paris Ferenczi 1948 1 vol. broché in-12, broché, 187 pp. Edition originale en service de presse avec un un bel envoi autographe signé de l'auteur à Léo Larguier.‎

Référence libraire : 50355

‎CARCO (Francis).‎

‎Ombres vivantes.‎

‎Paris Ferenczi 1948 1 vol. broché in-12, broché, 187 pp. Edition originale. Un des 50 exemplaires de tête numérotés sur vélin, avec un envoi autographe signé de l'auteur à Jean-Gabriel Daragnès à qui l'ouvrage est dédié. Ex-libris gravé de Jean Davray.‎

Référence libraire : 78550

‎CARCO (Francis).-‎

‎Ombres vivantes.‎

‎P., Editions Ferenczi, 1948, in 12 broché, 188 pages ; couverture très légèrement fanée ; tâches encre rouge au dos et sur la tranche inf.‎

‎PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

Référence libraire : 25481

‎CARCO (Francis)‎

‎Ombres vivantes‎

‎Couverture crème souple et imprimée. Dos ridé et bruni. Auréoles sur la première de couverture. Pages non-ébarbées. Bel état du contenu.‎

‎Paris. J. Ferenczi & fils. 1948. 188 pp. In-12. Broché. En bon état. 1 volume. 11e édition.‎

Référence libraire : 62646

‎Carco (Francis).‎

‎Ombres Vivantes.‎

‎Paris, Ferenczi, 1948. Un volume broché de format petit in 8° de 190 pp.‎

‎Couverture un peu défraîchie.‎

Référence libraire : 7708

‎Carco (Francis)‎

‎Ombres vivantes‎

‎J. Ferenczi 1948 n-12 broché, 188 pp. Bel exemplaire.‎

‎Edition originale numérotée, un des 50 de tête sur vélin Bon état d’occasion Edition originale‎

Référence libraire : 12117

‎CARCO. Francis.‎

‎Ombres vivantes.‎

‎1947 Paris. Galerie Charpentier. 1947. 1 volume in-4 en feuilles, sous chemise titrée en vert et étui de toile brune.‎

‎Illustré par Dignimont de 16 gravures dont 1 frontispice et 8 à pleine page.Edition tirée à 300 exemplaires numérotés, celui-ci est 1 des 50 sur vélin blanc de Rives auquel on a joint une suite des gravures.‎

Référence libraire : 42185

‎CARCO (Francis)‎

‎On ferme.‎

‎Sans lieu, Pour les amis du docteur Lucien-Graux, 1930. In-8°, 34p. Broché, couverture rempliée.‎

‎Edition originale illustrée de lithographies originales de Maurice Berdon. Celui-ci un des 25 exemplaires de tête sur Japon impérial accompagnés d'une suite sur Chine. Signé par Carco en page de faux-titre et enrichi d'un autoportrait signé de l'auteur sur une feuille volante insérée en début d'ouvrage.‎

Référence libraire : 28351