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COLETTE.
Julie de Carneilhan. Roman.
Lausanne, La Guilde du Livre 1950, 220x155mm, 227pages, imprimé sur papier vélin bouffant, reliure toile de l’éditeur. Bel exemplaire.
Référence libraire : 8138
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COLETTE.
L INGENUE LIBERTINE.
ALBIN MICHEL.. Non daté. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 251 pages. Quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R150146544
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COLETTE.
L' Etoile Vesper. Dessins et aquarelles de Marquet.
Mermod, 1956 ; in-12°, broché, couverture blanche rempliée illustrée au 1er plat d' une reproduction en couleurs d'un dessin de Marquet et d'un dessin en noir au 2ème plat; 259pp., 1p.nch.,1f. Illustrations hors texte en noir et en couleurs.Couverture très légèrement frottée au dos, sinon bon exemplaire.
Référence libraire : c4444
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COLETTE.
L' Etoile Vesper. Dessins et aquarelles de Marquet.
Mermod, 1956. Un volume broché (12,5 x 17 cm) de 259 pages. Couverture rempliée illustrée au premier plat d'une reproduction en couleurs d'un dessin de Marquet et d'un dessin en noir au deuxième plat. Illustrations hors texte en noir et en couleurs. Très bel exemplaire. Édition numérotée tirée à 4000 exemplaires.
Référence libraire : 3437
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COLETTE.
L' Etoile Vesper. Dessins et aquarelles de Marquet.
Mermod, 1956. Un volume broché (12,5 x 17 cm) de 259 pages. Couverture rempliée illustrée au premier plat d'une reproduction en couleurs d'un dessin de Marquet et d'un dessin en noir au deuxième plat. Illustrations hors texte en noir et en couleurs. Très bel exemplaire. Édition numérotée tirée à 4000 exemplaires.
Référence libraire : 3437
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COLETTE.
L'ENTRAVE SUIVI DE LA VAGABONDE.
FLAMMARION.. 1933.. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 307 pages. Manques sur le dos.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R150058435
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COLETTE.
L'ENTRAVE.
FLAMMARION.. 1970.. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 236 pages. 1ère de couverture illustrée en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R150058434
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COLETTE.
L'Entrave.
Paris : Librairie des Lettres, 1913 In-8, broché, 307 pages.
Référence libraire : 34216
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COLETTE.
L'ENTRAVE. 34 BOIS ORIGINAUX DE MORIN - JEAN. LE LIVRE DE DEMAIN N° 176.
FAYARD.. 1937.. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 110 pages. 1ère et 4 ème de couverture illustrée en noir et blanc. Frontispice illustré en noir et blanc. Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans le texte et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R150050901
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COLETTE.
L'Envers du music-hall.
Paris, Au sans Pareil, 1926. In-8, broché, chemise illustrée en couleurs, chemise moderne avec premier plat de plexiglas et étui moderne.Belle édition illustrée de 32 gravures de Jean-Émile Laboureur. Ce recueil, publié pour la première fois en 1913, contient 26 textes, parus dans Le Matin entre 1910 et 1912, sur le quotidien festif et épuisant des artistes du music-hall dont les spectacles étaient réputés plus élégants que les cafés-concerts, témoignant ainsi de la propre expérience de Colette qui monta sur scène à partir de 1906.Tirage à 440 exemplaires. Un des 350 sur vergé de Rives, celui-ci conservé dans sa chemise illustrée lumineuse et en bel état.
Référence libraire : 696
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COLETTE.
L'Envers du music-hall.
Paris, Francis Guillot, 1937. In-4 de 199-(2) pp., fac similé, 20 planches dans le texte et 1 planche hors texte, non rogné, maroquin brun, dos lisse orné de filets dorés, plats couverts de maroquin rouge dans un filet doré d'encadrement, pièce de titre grillée sur le premier plat, tête dorée, non rogné, couverture conservée (CG 1938).
Référence libraire : 40404
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COLETTE.
L'envers du Music-Hall. .................. autographe signé colette willy a monsieur rené baschet est un journaliste français. Il fut directeur de la revue L'Illustration
1926 Paris Ernest Flammarion 1913 format in-12, demi- basane bleu - vert 245 pages dos à 5 nerfs; pages de gardes de papier marbré, EDITION ORIGINALE dont le tirage à 30 exemplaires sur papier de Hollande. Exemplaire du tirage ordinaire, enrichi d un envoi autographe. signé ""Colette Willy"": monsieur rené baschet hommage de l auteur Colette Willy
Référence libraire : 2456
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COLETTE.
L'Envers du music-hall. Gravures de J.E. Laboureur.
Paris sans nom 1926 In-4, box mi-rouge, mi-noir, séparé par une ligne dorée en diagonale sur les deux plats en passant par le dos, avec de part et d'autre de celle-ci des jeux de filets au palladium et le titre de l'ouvrage répété sur chaque plat en grandes capitales mosaïquées en box noir ou rouge et serties de filets dorés; dos sans nerfs portant les noms de l'auteur et de l'artiste et une partie du titre de l'ouvrage en petites capitales dorées; doublures et gardes de papier gris à décor abstrait noir et or, tête dorée, non rogné, couverture imprimée. Etui (Alix).32 burins originaux de J.-E. Laboureur, dont un frontispice, 5 hors-texte, 2 in-texte, 19 en-têtes et 5 culs-de-lampe. Tirage limité à 440 exemplaires numérotés, signés par l'éditeur. Un des 350 exemplaires sur vergé de Rives.
Référence libraire : 37653
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COLETTE.
L'ETOILE VESPER. Souvenirs.
1946 GENEVE. PARIS. MILIEU DU MONDE. 1946 ; in-8 (19 x 12), broché, couverture d'éditeur, faux-titre, page de titre, justificatif, 218 pages, Achevé d'imprimer in-fine.
Référence libraire : 3393
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COLETTE.
L'Etoile Vesper. Souvenirs.
Genève Le Milieu du Monde 1946 1 vol. relié in-12, demi-maroquin vert sapin à coins bordé de filets dorés, dos à nerfs, plats, doublures et gardes de papier vert sapin, tête dorée, non rogné, couvertures et dos conservés (P.-L. Martin), 218 pp. Edition originale. Un des 16 exemplaires numérotés sur vergé de Montval Canson et Montgolfier. En belle condition. Selon un mode de composition qu’elle reprendra pour Le Fanal bleu, Colette mêle à la matière de ses souvenirs certains textes publiés précédemment. Ainsi retrouve-t-on tout ou partie de «La Miniature» publié par Le Matin, le 14avril 1923, de «Vieux papiers» déjà paru dans Broderie ancienne en 1944, l’hommage rendu à Hélène Picard dans la Revue de Paris au mois de mai 1945, «Dans l’ombre du Palais-Royal» publié dans Les Nouvelles littéraires le 25octobre 1945, ou des textes plus anecdotiques comme «De quoi réveiller un mort. Colette nous donne une recette» publié dans l’Almanach du Beaujolais 1946 en 1945ou «Saisons» dans La Table ronde, début 1946.L’ouvrage paraît, dans un premier temps, dans le magazine Elle dont il accompagne la naissance en 1945. De retour des États-Unis où elle s’était exilée, Hélène Lazareff décide de créer en France, sur le modèle du Harpers Bazaar, un magazine féminin dont la devise serait «Le sérieux dans la frivolité, de l’ironie dans le grave.» Afin d’encourager le succès de l’entreprise, au départ modeste puisque les premiers numéros ne dépassent guère une vingtaine de pages, elle décide de faire appel à quelques plumes célèbres et ne peut passer à côté de Colette qui fait alors figure d’institution littéraire. Ce n’est pas la première fois que la presse féminine sollicite l’auteure des Claudine et de Gigi; on se souvient de ses nombreuses collaborations, avant-guerre, à Marie-Claire ou à Vogue. Aux yeux des patrons de presse et de certains éditeurs, elle est devenue celle qui sait parler aux femmes. La publication de L’Étoile Vesper débute le 21 novembre 1945, date de parution du premier numéro du magazine. Hélène Lazareff s’est elle-même déplacée au domicile de Colette pour chercher le manuscrit et le confier au plus vite à la composition. Peut-être aurait-elle dû le lire avant… Début décembre, elle voit arriver sur son bureau les épreuves du numéro à venir – celui du 12 décembre - où est relatée une visite à une voyante et, sans détour, «la semence [trop] claire» d’un jeune homme. Certes hardie dans ses objectifs, la rédactrice en chef veut ménager ses lectrices et devra réclamer à Colette une atténuation des propos. Ci-fait: «Parce que le jeune homme ne pourra pas…J’adoucis les termes. » La publication se poursuivra sans autre surprise jusqu’au mois de janvier 1946. Le volume, quant à lui, ne paraît que quelques mois plus tard en Suisse, aux éditions du Milieu du monde, «en exécution d’un contrait fait durant la guerre», en même temps sans doute que Paris, de ma fenêtre (voir n°60). Ceci ne fut pas sans conséquence sur la réception de l’ouvrage, si l’on en croit Maurice Goudeket qui, dans Près de Colette, indique que du fait d’un contingentement entre la France et la Suisse, seuls 10.000 exemplaires purent être livrés le 14 juillet «dans un Paris déserté, sans que rien ne signala cette sortie à l’attention du public.» Quand le nouveau contingentement fut livré, six mois plus tard, le public était déjà passé à autre chose. Si bien que «le livre de Colette peut-être le plus émouvant est aussi celui qui connut le plus petit tirage.» Le plus émouvant, sans aucun doute, et aussi un des plus lucides et un des plus beaux.Immobilisée par l’arthrose dans son appartement du Palais-Royal, Colette, qui mena longtemps une vie de vagabondages, voit soudainement son champ d’action et de perception diminuer. Mais ce que la douleur aurait pu faire taire en elle et ce que l’espace d’une chambre et le cadre d’une fenêtre auraient pu restreindre, elle sait en faire une source nouvelle d’apprentissage et d’émerveillement : «Les personnes valides croient toujours que de l’immobilité forcée naît l’ennui. C’est une grande erreur. (…) Que le mal nous façonne, il faut bien l’accepter. Mieux est de façonner le mal à notre usage, et même à notre commodité.»Pour l’écrivaine rivée par l’arthrite à son divan-radeau, tout devient spectacle et suscite un égal désir de dire et de décrire: la visite d’un jeune journaliste, celle d’une voyante ou d’un couple de braconniers, à moins que ce ne soit une photographie ou une lettre prise dans l’album de sa vie. Un rien devient le support d’une rêverie, incite «à une promenade, à une contemplation sans buts ni desseins, à une sorte de virtuosité du souvenir», un art dans lequel elle excelle.Ainsi revivent sous sa plume les visages qui accompagnèrent sa carrière de journaliste, longuement évoquée: Wertheimer, Maizeroy, Téry, Sauerwein, Lauzanne, Fénéon, Tardieu, Bunau-Varilla, Liouville, Duvernois… Le monde d’hier… Avec eux ou après eux, les visages des chers disparus. Sa famille: le Capitaine, Sido, son frère Léo, mort en 1941…, ses amies: les poétesses Hélène Picard et Lucie Delarue-Mardrus, mortes en 1945…, ses animaux: la Chatte Dernière, irremplaçable compagne décédée en 1939… Un monde disparu…Écrit sur fond de guerre et de douleur, l’ouvrage se colore des derniers feux d’un magnifique crépuscule. Car, c’est bien son propre déclin que l’auteur envisage, «l’heure de comparaître», «le bout de la route»… Pas de mélancolie, pourtant. Ce qui se lit dans L’Étoile Vesper, c’est le désir de vivre encore: «À soixante-treize ans moins un quart, on a toujours des projets. Je n’en manque pas» et, surtout, l’évident plaisir de dire et de décrire qui lui a tenu lieu de règle et de devoir tout au long de sa vie. Enfin débarrassée des contraintes de l’article ou du souci de compter et de plaire, elle peut se livrer sans crainte à une écriture en liberté et mêler anecdotes, commentaires et portraits, sans le recours à une quelconque hiérarchie. Une écriture, en quelque sorte, au plus près de la vie ressentie. Une véritable leçon de la part d’une écrivaine qui, arrivée au faîte de sa gloire, alors qu'elle affronte avec un égal stoïcisme l’âge et la vieillesse, semble encore prête à renaître: «Désapprendre d’écrire, cela ne doit pas demander beaucoup de temps. Je vais toujours essayer…» Très rare en tirage de tête.Bibliographie: Yves Courrière, Pierre Lazareff, Gallimard, «Biographies», 1995. (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac)
Référence libraire : 82368
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COLETTE.
L'Etoile Vesper. Souvenirs.
Genève Le Milieu du Monde 1946 1 vol. relié in-12, demi-maroquin vert sapin à coins bordé de filets dorés, dos à nerfs, plats, doublures et gardes de papier vert sapin, tête dorée, non rogné, couvertures et dos conservés (P.-L. Martin), 218 pp. Edition originale. Un des 16 exemplaires numérotés sur vergé de Montval Canson et Montgolfier. En belle condition. Selon un mode de composition qu’elle reprendra pour Le Fanal bleu, Colette mêle à la matière de ses souvenirs certains textes publiés précédemment. Ainsi retrouve-t-on tout ou partie de «La Miniature» publié par Le Matin, le 14avril 1923, de «Vieux papiers» déjà paru dans Broderie ancienne en 1944, l’hommage rendu à Hélène Picard dans la Revue de Paris au mois de mai 1945, «Dans l’ombre du Palais-Royal» publié dans Les Nouvelles littéraires le 25octobre 1945, ou des textes plus anecdotiques comme «De quoi réveiller un mort. Colette nous donne une recette» publié dans l’Almanach du Beaujolais 1946 en 1945ou «Saisons» dans La Table ronde, début 1946.L’ouvrage paraît, dans un premier temps, dans le magazine Elle dont il accompagne la naissance en 1945. De retour des États-Unis où elle s’était exilée, Hélène Lazareff décide de créer en France, sur le modèle du Harpers Bazaar, un magazine féminin dont la devise serait «Le sérieux dans la frivolité, de l’ironie dans le grave.» Afin d’encourager le succès de l’entreprise, au départ modeste puisque les premiers numéros ne dépassent guère une vingtaine de pages, elle décide de faire appel à quelques plumes célèbres et ne peut passer à côté de Colette qui fait alors figure d’institution littéraire. Ce n’est pas la première fois que la presse féminine sollicite l’auteure des Claudine et de Gigi; on se souvient de ses nombreuses collaborations, avant-guerre, à Marie-Claire ou à Vogue. Aux yeux des patrons de presse et de certains éditeurs, elle est devenue celle qui sait parler aux femmes. La publication de L’Étoile Vesper débute le 21 novembre 1945, date de parution du premier numéro du magazine. Hélène Lazareff s’est elle-même déplacée au domicile de Colette pour chercher le manuscrit et le confier au plus vite à la composition. Peut-être aurait-elle dû le lire avant… Début décembre, elle voit arriver sur son bureau les épreuves du numéro à venir – celui du 12 décembre - où est relatée une visite à une voyante et, sans détour, «la semence [trop] claire» d’un jeune homme. Certes hardie dans ses objectifs, la rédactrice en chef veut ménager ses lectrices et devra réclamer à Colette une atténuation des propos. Ci-fait: «Parce que le jeune homme ne pourra pas…J’adoucis les termes. » La publication se poursuivra sans autre surprise jusqu’au mois de janvier 1946. Le volume, quant à lui, ne paraît que quelques mois plus tard en Suisse, aux éditions du Milieu du monde, «en exécution d’un contrait fait durant la guerre», en même temps sans doute que Paris, de ma fenêtre (voir n°60). Ceci ne fut pas sans conséquence sur la réception de l’ouvrage, si l’on en croit Maurice Goudeket qui, dans Près de Colette, indique que du fait d’un contingentement entre la France et la Suisse, seuls 10.000 exemplaires purent être livrés le 14 juillet «dans un Paris déserté, sans que rien ne signala cette sortie à l’attention du public.» Quand le nouveau contingentement fut livré, six mois plus tard, le public était déjà passé à autre chose. Si bien que «le livre de Colette peut-être le plus émouvant est aussi celui qui connut le plus petit tirage.» Le plus émouvant, sans aucun doute, et aussi un des plus lucides et un des plus beaux.Immobilisée par l’arthrose dans son appartement du Palais-Royal, Colette, qui mena longtemps une vie de vagabondages, voit soudainement son champ d’action et de perception diminuer. Mais ce que la douleur aurait pu faire taire en elle et ce que l’espace d’une chambre et le cadre d’une fenêtre auraient pu restreindre, elle sait en faire une source nouvelle d’apprentissage et d’émerveillement : «Les personnes valides croient toujours que de l’immobilité forcée naît l’ennui. C’est une grande erreur. (…) Que le mal nous façonne, il faut bien l’accepter. Mieux est de façonner le mal à notre usage, et même à notre commodité.»Pour l’écrivaine rivée par l’arthrite à son divan-radeau, tout devient spectacle et suscite un égal désir de dire et de décrire: la visite d’un jeune journaliste, celle d’une voyante ou d’un couple de braconniers, à moins que ce ne soit une photographie ou une lettre prise dans l’album de sa vie. Un rien devient le support d’une rêverie, incite «à une promenade, à une contemplation sans buts ni desseins, à une sorte de virtuosité du souvenir», un art dans lequel elle excelle.Ainsi revivent sous sa plume les visages qui accompagnèrent sa carrière de journaliste, longuement évoquée: Wertheimer, Maizeroy, Téry, Sauerwein, Lauzanne, Fénéon, Tardieu, Bunau-Varilla, Liouville, Duvernois… Le monde d’hier… Avec eux ou après eux, les visages des chers disparus. Sa famille: le Capitaine, Sido, son frère Léo, mort en 1941…, ses amies: les poétesses Hélène Picard et Lucie Delarue-Mardrus, mortes en 1945…, ses animaux: la Chatte Dernière, irremplaçable compagne décédée en 1939… Un monde disparu…Écrit sur fond de guerre et de douleur, l’ouvrage se colore des derniers feux d’un magnifique crépuscule. Car, c’est bien son propre déclin que l’auteur envisage, «l’heure de comparaître», «le bout de la route»… Pas de mélancolie, pourtant. Ce qui se lit dans L’Étoile Vesper, c’est le désir de vivre encore: «À soixante-treize ans moins un quart, on a toujours des projets. Je n’en manque pas» et, surtout, l’évident plaisir de dire et de décrire qui lui a tenu lieu de règle et de devoir tout au long de sa vie. Enfin débarrassée des contraintes de l’article ou du souci de compter et de plaire, elle peut se livrer sans crainte à une écriture en liberté et mêler anecdotes, commentaires et portraits, sans le recours à une quelconque hiérarchie. Une écriture, en quelque sorte, au plus près de la vie ressentie. Une véritable leçon de la part d’une écrivaine qui, arrivée au faîte de sa gloire, alors qu'elle affronte avec un égal stoïcisme l’âge et la vieillesse, semble encore prête à renaître: «Désapprendre d’écrire, cela ne doit pas demander beaucoup de temps. Je vais toujours essayer…» Très rare en tirage de tête.Bibliographie: Yves Courrière, Pierre Lazareff, Gallimard, «Biographies», 1995. (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac)
Référence libraire : 82368
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COLETTE.
L'INGENUE LIBERTINE.
ALBIN MICHEL. 1932.. In-12. Relié. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 254 pages. Titre doré sur pièce de titre. 1ère de couverture illustrée en rouge et or.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R150002474
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COLETTE.
L'étoile Vesper. De ma fenêtre.
Hachette 1979 1 vol. broché in-8, broché, 313 pp.
Référence libraire : 86962
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COLETTE.
L'étoile Vesper. De ma fenêtre.
Hachette 1979 1 vol. broché in-8, broché, 313 pp.
Référence libraire : 86962
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COLETTE.
L.A.S., 1 page in-8, (249 x 198), [sans lieu ni date], [1925], sur papier bleu à l'en-tête du "69, boulevard Suchet à Auteuil."
Référence libraire : 1340
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COLETTE.
LA CHAMBRE ECLAIREE SUIVI DE MA FENETRE SUIVI DE LE FANAL BLEU.
FAYARD.. 1987.. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 155 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R150034962
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COLETTE.
La Chambre éclairée.
Paris Edouard Joseph, coll. "L'Edition originale illustrée" 1920 1 vol. relié in-8, cartonnage bradel de papier brique, tête dorée, non rogné, couverture illustrée d'une vignette en couleurs et dos conservés (Honnelaître), 196 pp. Edition originale illustrée en frontispice d'un bois en deux couleurs et de nombreux dessins en noir in-texte par Picart Le Doux. Exemplaire sur vélin parcheminé Lafuma non numéroté et complété à la justification par cet amusant envoi autographe signé à Francis Carco : "n°? Mais "numéro un", voyons, comme la tendresse que je porte à Carco. Colette de Jouvenel".Largement inspiré par la Première Guerre mondiale, le recueil, constitué pour l’essentiel d’articles parus dans Excelsior, complète Les Heures longues (1917) et met en scène tour à tour Bel-Gazou, la fille unique de l’écrivaine qui fait ici une de ses premières apparitions dans l’œuvre, les bêtes familières et les êtres malmenés par l’Histoire. Colette y évoque avec justesse, émotion et drôlerie parfois, la vie à l’arrière, cet envers du front dont elle est sans doute une des plus fines observatrices. Colette avait rencontré Francis Carco, de treize ans son cadet, en 1918 devant les bureaux du journal L’Eclair. Entre l’auteur de Jésus-la-Caille et la célèbre «vagabonde», ce fut un véritable coup de foudre littéraire et amical comme en témoigne cette dédicace inédite, deux ans après leur rencontre. Une amitié P.L.V. comme l’écrit Carco, c’est-à-dire «Pour La Vie», dont le ciment fut une fascination commune pour le Paris interlope, la poésie des rues et des cabarets de la Butte. Colette et Carco échangèrent une abondante correspondance et se retrouvèrent en 1945 à la table des Goncourt. Après la mort de sa «grrrrande amie», Carco lui consacra un magnifique livre d’hommage: Colette, "mon ami" (1955). Très belle provenance. (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac)
Référence libraire : 82341
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COLETTE.
La Chambre éclairée.
Paris Edouard Joseph, coll. "L'Edition originale illustrée" 1920 1 vol. relié in-8, cartonnage bradel de papier brique, tête dorée, non rogné, couverture illustrée d'une vignette en couleurs et dos conservés (Honnelaître), 196 pp. Edition originale illustrée en frontispice d'un bois en deux couleurs et de nombreux dessins en noir in-texte par Picart Le Doux. Exemplaire sur vélin parcheminé Lafuma non numéroté et complété à la justification par cet amusant envoi autographe signé à Francis Carco : "n°? Mais "numéro un", voyons, comme la tendresse que je porte à Carco. Colette de Jouvenel".Largement inspiré par la Première Guerre mondiale, le recueil, constitué pour l’essentiel d’articles parus dans Excelsior, complète Les Heures longues (1917) et met en scène tour à tour Bel-Gazou, la fille unique de l’écrivaine qui fait ici une de ses premières apparitions dans l’œuvre, les bêtes familières et les êtres malmenés par l’Histoire. Colette y évoque avec justesse, émotion et drôlerie parfois, la vie à l’arrière, cet envers du front dont elle est sans doute une des plus fines observatrices. Colette avait rencontré Francis Carco, de treize ans son cadet, en 1918 devant les bureaux du journal L’Eclair. Entre l’auteur de Jésus-la-Caille et la célèbre «vagabonde», ce fut un véritable coup de foudre littéraire et amical comme en témoigne cette dédicace inédite, deux ans après leur rencontre. Une amitié P.L.V. comme l’écrit Carco, c’est-à-dire «Pour La Vie», dont le ciment fut une fascination commune pour le Paris interlope, la poésie des rues et des cabarets de la Butte. Colette et Carco échangèrent une abondante correspondance et se retrouvèrent en 1945 à la table des Goncourt. Après la mort de sa «grrrrande amie», Carco lui consacra un magnifique livre d’hommage: Colette, "mon ami" (1955). Très belle provenance. (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac)
Référence libraire : 82341
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COLETTE.
La Chambre éclairée.
Paris Edouard Joseph, coll. "L'Edition originale illustrée" 1920 1 vol. Broché in-8, broché, couverture illustrée d'une vignette en couleurs, 196 pp. Édition originale illustrée en frontispice d'un bois en deux couleurs et de 30 dessins en noir in-texte par Picart Le Doux. Tirage limité à 1200 exemplaires, celui-ci numéroté sur vélin parcheminé Lafuma. Couverture partiellement brunie, infime manque de papier en tête du dos, sinon bon exemplaire.
Référence libraire : 97162
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COLETTE.
La Chambre éclairée.
Paris Edouard Joseph, coll. "L'Edition originale illustrée" 1920 1 vol. Broché in-8, broché, couverture illustrée d'une vignette en couleurs, 196 pp. Édition originale illustrée en frontispice d'un bois en deux couleurs et de 30 dessins en noir in-texte par Picart Le Doux. Tirage limité à 1200 exemplaires, celui-ci numéroté sur vélin parcheminé Lafuma. Couverture partiellement brunie, infime manque de papier en tête du dos, sinon bon exemplaire.
Référence libraire : 97162
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COLETTE.
La Chambre éclairée. Première édition rehaussée de bois en couleurs et illustrations de Picart Le Doux. Collection L’édition originale illustrée.
Paris, Edouard-Joseph 1920, 205x145mm, 196pages, relié toile écrue crème, pièce de titre en cuir noir. Exemplaire numéroté sur papier vélin parcheminé Lafuma 155/1000. Bel exemplaire.
Référence libraire : 86316
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COLETTE.
LA CHATTE / COLLECTION DU JOUR.
J.FERENCZI ET FILS.. 1948. In-8. Broché. Etat passable, Couv. convenable, Dos très frotté, Intérieur acceptable. 190 pages - dos partiellement décollé du reste de l'ouvrage - une annotation sur la page de titre - un tampon sur la page 7.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Référence libraire : RO20151069
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COLETTE.
La chatte suivi de Un homme à la mer par FRANCOIS DUHOURCAU.
LES FEUILLETS BLEUS HEBDOMADAIRE LITTERAIRE N° 345. 2 Mai 1936. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages illustrées d'un portrait de l'auteur en première de couverture. Textes sur deux colonnes.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R110006743
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COLETTE.
LA CHATTE.
GRASSET.. 1933. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos plié, Intérieur acceptable. 207 pages. Ouvrage protégé par un couverture en papier kraft.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Référence libraire : R150120127
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COLETTE.
La Chatte.
P., Le Livre de Poche, n° 96, 1958, in-12, br., couv. ill., 183 pp.
Référence libraire : 1360170
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COLETTE.
La Chatte. 30 lithographies originales de Jean A. Mercier.
P., Artheme-Fayard, 1945, In-8, en feuilles, sous couverture illustrée, chemise cartonnée et étui de l'éditeur, ( ce dernier un peu usagé),196 pp.
Référence libraire : 19589
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COLETTE.
La chatte. Illustrations de Line Touchet.
Bruxelles, Editions du Houblon - Editions Bernard Grasset 1933, 195x135mm, frontispice, 196pages, broché. Couverture à rabats. Bon état.
Référence libraire : 106355
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COLETTE.
La Dame du photographe. In : Les Oeuvres Libres n° 227, décembre 1944.
Paris Arthème Fayard, "Les Oeuvres Libres" n° 227 1944 1 vol. broché in-12, broché, 319 pp. Nouvelle inédite de Colette publiée dans ce premier numéro d'après-guerre des Oeuvres Libres. Textes inédits de Georges Duhamel, Octave Aubry, Jean Quéval et al. Bon état général.
Référence libraire : 64553
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COLETTE.
La Dame du photographe. In : Les Oeuvres Libres n° 227, décembre 1944.
Paris Arthème Fayard, "Les Oeuvres Libres" n° 227 1944 1 vol. broché in-12, broché, 319 pp. Nouvelle inédite de Colette publiée dans ce premier numéro d'après-guerre des Oeuvres Libres. Textes inédits de Georges Duhamel, Octave Aubry, Jean Quéval et al. Bon état général.
Référence libraire : 64553
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COLETTE.
LA FEMME CACHEE.
FLAMMARION.. Non daté.. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 247 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R150058439
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COLETTE.
LA FEMME CACHEE. COLLECTION : SELECT COLLECTION N° 250
FLAMMARION .. Non daté.. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Intérieur acceptable. 61 pages. 1ère de couverture illustrée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R150073731
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COLETTE.
La Femme cachée.
Paris : Ernest Flammarion, 1924 In-8, broché, 247 pages.
Référence libraire : 34241
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COLETTE.
La fin de Cheri. Roman.
Paris:: Ernest Flammarion Editeur 1931. half morocco; decorated spine; t.e.g.; original printed wrappers bound in. . A fine copy. 12mo. Signed and inscribed by Colette. Ernest Flammarion, Editeur, unknown
Référence libraire : 62306
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COLETTE.
LA FIN DE CHERI.
Paris Bernard Grasset 1928. 14x20.3 cm.177 pp. relie demi-maroquin rouge signee par Laurent Peeters Anvers. Filet dore cernant les plats de pap. dos a 5 nerfs et finnement fleuronnes dores decor floral tete doree couverture imprimee d'editeur. Relie par Laurent Peeters - Anvers. Tirage limite. Tirage sur velin pur chiffon numerotes de I a XL. Exemplaire n� 347. Paris Bernard Grasset 1928 unknown
Référence libraire : 26071
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COLETTE.
LA FIN DE CHERI.
FLAMMARION.. 1926.. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 246 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R150058440
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COLETTE.
LA FIN DE CHERI.
Paris, Bernard Grasset, 1928 14x20.3 cm.,177 pp., relie demi-maroquin rouge, signee par Laurent Peeters Anvers. Filet dore cernant les plats de pap., dos a 5 nerfs et finnement fleuronnes dores (decor floral), tete doree, couverture imprimee d'editeur. Relie par Laurent Peeters - Anvers. Tirage limite. Tirage sur velin pur chiffon numerotes de I a XL. Exemplaire n? 347.
Référence libraire : 26071
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COLETTE.
LA FIN DE CHERI. 30 BOIS ORIGINAUX DE CONSTANT LEBRETON. LE LIVRE DE DEMAIN N° 80.
FAYARD.. 1929.. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 109 pages. 1ère et 4 ème de couverture illustrée en noir et blanc. Frontispice illustré en noir et blanc. Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans le texte et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R150050805
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COLETTE.
LA FIN DE CHERI. COLLECTION : SELECT COLLECTION N° 95
FLAMMARION .. Non daté.. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Intérieur acceptable. 62 pages. 1ère et 4 ème de couverture illustrées en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Référence libraire : R150074094
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COLETTE.
La Fin de Chéri.
Paris, Flammarion, 1926. In-12, broché, 246 pp.
Référence libraire : 1024
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COLETTE.
La Fin de Chéri. Roman.
Paris Ernest Flammarion 1926 In-12, broché, couverture imprimée.Edition originale. Un des 250 exemplaires numérotés sur papier de Hollande, second papier après 50 exemplaires sur chine.
Référence libraire : 52609
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COLETTE.
La Fleur de l'Age.
Paris Le Fleuron 1949 In 8°, broché, couverture rempliée. 95 pp., [2 ff.]. EDITION ORIGINALE. Tirage limité à 450 exemplaires numérotés sur papier bleu (n°154).
Référence libraire : EO187
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COLETTE.
La Jumelle noire.
P., Ferenczi, 1938, in-12, br., en partie non coupé, non rogné, 221 pp. (SC94)
Référence libraire : 1366330
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COLETTE.
LA JUMELLE NOIRE. Deuxieme annee de critique dramatique.
Paris, Ferenczi, 1935. in-12, 264 pp., demi-toile noire à coins, dos lisse, titre et filets dores. E.O. sur papier ordinaire (apres seulement 30 ex. sur velin).
Référence libraire : 25404
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COLETTE.
La Jumelle noire. IVè année de critique dramatique.
Paris, Ferenzi, 1938. in-12, broché, 221 pp.
Référence libraire : 3641
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COLETTE.
LA JUMELLE NOIRE. UNE ANNEE DE CRITIQUE DRAMATIQUE.
J. Ferenczi et Fils, 1934, in-8 broché de 283 pages, couverture imprimée. Bel exemplaire aux pages non découpées.
Référence libraire : 6729
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