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‎Nicolas jean‎

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Nombre de résultats : 52 (2 Page(s))

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‎Brustbild, in Uniform, Halbprofil nach links, "Marschall Soult, Französischer Kriegs-Minister",‎

‎o.J. Lithographie von Kneisch (?) nach Cäcilie Brand (1831), Darst. 13,5 x 17 (H) (incl. Text), Bll. 19,8 x 24,5; leicht angeschmutzt und wellig. Auf Wunsch Digitalaufnahme in jpg-Format erhältlich- photo in jpg-format available. Je nach Versandart können die Portokosten bis zu 2 ? weniger als angegeben betragen.+‎

‎Nicolas-Jean Soult, Herzog von Dalmatien, französischer Marschall (1769-1851), entschied den Sieg von Austerlitz; 1814 Kriegsminister Ludwigs XVIII., ging 1815 wieder zu Napoleon über und wurde dessen Generalstabschef in Waterloo; nach 1830 mehrfach Minister; 1832, 1839 und 1840?1847 französischer Ministerpräsident.‎

Référence libraire : 5100AG

‎Brustbild, in Uniform, Halbprofil nach rechts, "Soult", faksimile Unterschrift,‎

‎o.J. Lithographie von Delpech, Darst. 8,7 x 9,6 (H) (incl. Text), Bll. 17,7 x 22,7 Auf Wunsch Digitalaufnahme in jpg-Format erhältlich- photo in jpg-format available. Je nach Versandart können die Portokosten bis zu 2 ? weniger als angegeben betragen.+‎

‎Nicolas-Jean Soult, Herzog von Dalmatien, französischer Marschall (1769-1851), entschied den Sieg von Austerlitz; 1814 Kriegsminister Ludwigs XVIII., ging 1815 wieder zu Napoleon über und wurde dessen Generalstabschef in Waterloo; nach 1830 mehrfach Minister; 1832, 1839 und 1840?1847 französischer Ministerpräsident.‎

Référence libraire : 4859AG

‎Brustbild, in Uniform, Halbprofil nach rechts, "Soult", faksimile Unterschrift und normaler Druck,‎

‎Prag, Medau. Lithographie von Tschuppik, Darst. 12 x 17,7 (H) (incl. Text), Bll. 18,8 x 24; sehr dünnes Papier, Bleistiftanmerkungen am unteren Blattrand. Auf Wunsch Digitalaufnahme in jpg-Format erhältlich- photo in jpg-format available. Je nach Versandart können die Portokosten bis zu 2 ? weniger als angegeben betragen.+‎

‎Nicolas-Jean Soult, Herzog von Dalmatien, französischer Marschall (1769-1851), entschied den Sieg von Austerlitz; 1814 Kriegsminister Ludwigs XVIII., ging 1815 wieder zu Napoleon über und wurde dessen Generalstabschef in Waterloo; nach 1830 mehrfach Minister; 1832, 1839 und 1840?1847 französischer Ministerpräsident.‎

Référence libraire : 5099AG

‎Halbbild, fast en face, Umgang verdeckt Uniform, "Soult",‎

‎Hildburghausen, BI. Stahlstich von Nordheim nach Gerard, aus "Meyers Conversationslexikon", Darst. (excl. Text) (H) 8,1 x 10,1; Bll. 14,4 x 21. Auf Wunsch Digitalaufnahme in jpg-Format erhältlich- photo in jpg-format available. Je nach Versandart können die Portokosten bis zu 2 ? weniger als angegeben betragen.+‎

‎Nicolas-Jean Soult, Herzog von Dalmatien, französischer Marschall (1769-1851), entschied den Sieg von Austerlitz; 1814 Kriegsminister Ludwigs XVIII., ging 1815 wieder zu Napoleon über und wurde dessen Generalstabschef in Waterloo; nach 1830 mehrfach Minister; 1832, 1839 und 1840?1847 französischer Ministerpräsident.‎

Référence libraire : 5083AG

‎[SOULT (Nicolas-Jean de Dieu)], Argout (Antoine Maurice Apollinaire d').‎

‎Compte rendu au roi sur l'exécution des lois des 22 mars 1831 et 19 avril 1832 relatives aux gardes nationales sédentaires et mobiles.‎

‎Paris, Imprimerie royale, 1832. 2 parties en 1 vol. in-4 de (2)-III-87-(84) pp., maroquin rouge à grains longs, dos orné à nerfs, frises, filets et roulettes dorées en encadrement sur les plats, inscription dorée sur le plat supérieur, tranches dorées, gardes de tabis bleu (reliure de l'époque).‎

‎Compte rendu dont 31 tableaux numérotés du comte Antoine d'Argout ministre du Commerce et des Travaux publics en 1832 tandis que l'ancien maréchal d'Empire Jean-de-Dieu Soult était ministre de la Guerre : « Sire, la loi sur le recrutement de l'armée donne lieu, chaque année à des comptes généraux qui sont rendus à votre Majesté, et distribués aux Chambres. Une pareille mesure n'a point été prescrite pour l'exécution des lois sur la garde nationale ; mais ces lois intéressent un si grand nombre de citoyens, elles sont si intimement liées au maintien de l'ordre, à la sûreté publique et à la défense du pays, que je considère comme un devoir de mettre sous les yeux de Votre Majesté le tableau des efforts de l'administration et les résultats obtenus jusqu'à ce jour et pour donner tout le développement désirable à cette grande institution ».Provenance : Jean-de-Dieu Soult (1769-1851).Bel exemplaire de présent offert au maréchal Soult avec son ex-libris. Il porte sur le premier plat la mention M. le Maréchal duc de Dalmatie, Président du Conseil des Ministres, Ministre Secrétaire d'État au département de la Guerre.Jean-de-Dieu Soult (1769-1851) premier duc de Dalmatie maréchal d'Empire le 19 mai 1804, devenu pair de France (1815 puis 1827), connut une carrière politique importante sous la monarchie de Juillet, trois fois chef du gouvernement quand il reçut du roi Louis-Philippe le titre unique de « maréchal général de France ».Provenance : Michel de Saint Pierre (note au crayon "n°37"). Rousseurs, traces de mouillures sur les plats.‎

Référence libraire : 41019

Livre Rare Book

Bonnefoi Livres Anciens
Paris France Francia França France
[Livres de Bonnefoi Livres Anciens]

2 800,00 € Acheter

‎Anonyme, dessinateur-lithographe‎

‎Echec et mat ! - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 28 novembre 1833 (Planche n°334) - Œuvre : Hauteur: 27.2cm x Largeur: 35.9cm - Image : Hauteur: 15.5cmx Largeur: 29.5cm - Titre en bas au centre : « Echec et mat ! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°159 [160]. », en ht à dte : « Pl. 332. » [erreur de numérotation] - Dans la lettre : « chez Aubert, galerie véro dodat » [presque illisible] [éditeur], « L. de Becquet, rue de Furstemberg 6 » [imprimeur]Description iconographique:Pl. représentant un plateau de jeu d’échecs faisant s’affronter deux adversaires : l’équipe du juste-milieu (c’est-à-dire le gouvernement de Juillet) et le camp de la liberté. L’explication précise que le dessinateur a choisi de représenter, non pas le début d’une partie, mais une partie en cours. Certains éléments sont donc déjà « soufflés » (in explication). La partie touche à sa fin : il ne reste plus au juste-milieu que ses deux tours (Soult et d’Argout), son fou (Thiers) et un de ses pions, « représentant une très petite partie de la force civique, la partie adorant quand même, la partie incurablement cataracteuse, la partie Tamerlan » (in explication). Restent également Barthe dans sa tour portant le motif de la balance de la justice, et Persil dans une tour portant le motif de la hache. Dans le camp de la liberté, les figures restantes sont plus nombreuses : les fous sont représentés par le « Charivari » et la « Caricature », les cavaliers par le « NATIO // NAL [NATIONAL] » et la « TRIBU // NE [TRIBUNE] ». Le roi est incarné par le coq gaulois, fier et flamboyant. Enfin, les pions dans le camp de la liberté sont « les hommes de juillet » (in explication) portant le bonnet phrygien, et les tours contiennent une foule de patriotes républicains et représentent la « Societé [Société] // des amis // du Peuple » et la « Societé [Société] // des droits // de l’homme ». Le dénouement de la partie se joue sur l’échec et mat effectué par la figure de la liberté (femme habillée à l’antique, portant un bonnet phrygien et une torche allumée), en acculant dans un coin la figure du roi Louis-Philippe, vu de dos, à gche au premier plan. L’explication précise que le dessinateur n’a pas décrit la situation politique d’alors mais bien plutôt une vision idéale de ce vers quoi tendent les républicains.Personne / Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Barthe, Félix; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu‎

‎iconographie:Pl. représentant un plateau de jeu d’échecs faisant s’affronter deux adversaires : l’équipe du juste-milieu (c’est-à-dire le gouvernement de Juillet) et le camp de la liberté. L’explication précise que le dessinateur a choisi de représenter, non pas le début d’une partie, mais une partie en cours. Certains éléments sont donc déjà « soufflés » (in explication). La partie touche à sa fin : il ne reste plus au juste-milieu que ses deux tours (Soult et d’Argout), son fou (Thiers) et un de ses pions, « représentant une très petite partie de la force civique, la partie adorant quand même, la partie incurablement cataracteuse, la partie Tamerlan » (in explication). Restent également Barthe dans sa tour portant le motif de la balance de la justice, et Persil dans une tour portant le motif de la hache. Dans le camp de la liberté, les figures restantes sont plus nombreuses : les fous sont représentés par le « Charivari » et la « Caricature », les cavaliers par le « NATIO // NAL [NATIONAL] » et la « TRIBU // NE [TRIBUNE] ». Le roi est incarné par le coq gaulois, fier et flamboyant. Enfin, les pions dans le camp de la liberté sont « les hommes de juillet » (in explication) portant le bonnet phrygien, et les tours contiennent une foule de patriotes républicains et représentent la « Societé [Société] // des amis // du Peuple » et la « Societé [Société] // des droits // de l’homme ». Le dénouement de la partie se joue sur l’échec et mat effectué par la figure de la liberté (femme habillée à l’antique, portant un bonnet phrygien et une torche allumée), en acculant dans un coin la figure du roi Louis-Philippe, vu de dos, à gche au premier plan. L’explication précise que le dessinateur n’a pas décrit la situation politique d’alors mais bien plutôt une vision idéale de ce vers quoi tendent les républicains.Personnages représentés:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Barthe, Félix; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu‎

Référence libraire : 25268

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Livres de Livres Anciens Komar]

40,00 € Acheter

‎Attribué à Grandville JJ - Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎Imitation libre d’un tableau de Mr. Horace Vernet, représentant le massacre des Janissaires - Lithographie double sur blanc.‎

‎1834 Planche parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 10 avril 1834 (Planche n°376-377),Pli vertical médian- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.5cmx Largeur: 52.2cm - Image: Hauteur: 25.2cmx Largeur: 37.2cm - Titre en bas au centre : « Imitation libre d’un tableau de Mr. Horace Vernet, représentant le massacre des Janissaires. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°179 », en ht à dte : « Pl. 376 et 377. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, galerie Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur]Inscription - Les encens utilisés dans le brûle-parfum sont des feuilles de journaux favorables au gouvernement : le « FIGAR […] [FIGARO] », « PARFUMS // DES // DÉBATS » (Journal des débats), le « NOUVELLIST […] [NOUVELLISTE] », l’ « ENCE […] [ENCENS] // MON […] [MONITEUR] ». Sur la feuille tenu par le personnage se trouvant à côté de d’Argout : « SOMMATIONS ». L’enseigne de la boutique de l’immeuble à gche : « AU GUET-APENS // [ ?] ND MAGAZIN [MAGASIN] DE NOUVEAUTÉS »‎

‎Le 16 juin 1826, le sultan Mahmoud II fit massacrer les janissaires (l'élite de l'infanterie de l'armée ottomane) qui refusaient la modernisation de leur corps et se révoltèrent à de nombreuses reprises au début du XIXe siècle. La planche est une parodie de l’huile sur toile "Le massacre des mamelouks de la citadelle du Caire" réalisée par Horace Vernet (1819 ; Amiens, musée des Beaux-Arts), relatant le massacre des mamelouks par le gouverneur d’Egypte, Méhémet Ali, en 1811. Celui-ci ayant appris que les mamelouks souhaitaient l’assassiner, il décida d’éliminer 470 chefs mamelouks, mettant ainsi définitivement fin à leur puissance. Un parallèle est donc établi entre le massacre des mamelouks et celui des janissaires. L’explication insiste sur la répétition des événements historiques au fil du temps : « différence de forme ; cela ne change rien au fond ». Et c’est une comparaison avec le traitement réservé par le gouvernement de la monarchie de juillet au peuple que la pl. établit. Les persécutions d’innocents sous le règne du roi des Français sont comparables, d’après "La Caricature", aussi bien aux massacres des Janissaires qu’à ceux des Mamelouks. La pl. dénonce ainsi la violence faite à l’encontre des citoyens français. Louis-Philippe commanda de nombreuses œuvres à Horace Vernet, lequel participa à la propagande du futur roi. Il est ironique que la pl. fasse la parodie d’une œuvre de Vernet pour dénoncer les actions du règne de Louis-Philippe. A la place d’Ali Pacha de Janina (qui massacra la population musulmane de la ville de Gardiki) se trouve Louis-Philippe, portant une constituée d’une visière et d’un bonnet à pompon d’influence orientale. Il repose sur la « CHARTE » au lieu d’être allongé sur un tapis oriental. Le brûle-parfum a une forme de poire à face humaine et porte une couronne. Le perroquet de Valmy est à côté de lui. Derrière lui, s’abritant du soleil sous un parasol : Soult, Barthe et Persil. Une seringue à clystère dépasse du parasol (référence à Lobau) : elle est considérée comme le signe annonçant les massacres (au lieu de l’étendard de Mahomet dressé par Mahmoud II juste avant de massacrer les janissaires). Thiers, agenouillé au premier plan, tout en regardant le spectateur, est occupé à faire parvenir le tuyau partant du sac de « MILLIONS » « aux mains pompantes du Système » (in explication). D’Argout à gche, « présidant aux assomages [assommages], la cravache à la main » (in explication). A l’arrière-plan, à gche, à l’ombre du bâtiment de la Bourse se trouvent des assommeurs chargés de frapper les passants. Une femme est à terre avec son enfant. Ainsi, la pl. veut rendre la comparaison totale entre la répression française sous Louis-Philippe et le massacre des janissaires (ou des Mamelouks) : « au lieu du massacre des janissaires, vous aurez une scène d’ordre public, tel que l’entend le 9 Août qui, du reste, n’a pas que ce seul rapport avec les gouvernemens à la turque ». La comparaison avec ces régimes autoritaires n’est pas flatteuse pour la monarchie de Juillet.Personnages représentés:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Barthe, Félix; Thiers, Adolphe; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Mouton, Georges, comte de Lobau‎

Référence libraire : 25630

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Livres de Livres Anciens Komar]

180,00 € Acheter

‎Attribué à Grandville , dessinateur et Eugène Forest, lithographe‎

‎La chair est faible.Lithographie en noir ,(Planche n°221-222)‎

‎1832 Planche double HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 22 novembre 1832 (Planche n°221-222) - Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image :Hauteur: 23.5cm x Largeur: 33.8cmTitre en bas au centre : « LA CHAIR EST FAIBLE. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°107. », en ht à dte : « Pl. 221.222. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographeDescription iconographique:Dans la partie gauche de la composition, les membres du gouvernement son rassemblés. Dans les bulles au-dessus des personnages, au second plan de gche à dte : Dupin, refusant de suivre d’Argout : « Non, non, // vous n’y voyez // pas plus long // que votre nez. Ça // finira mal. », d’Argout, s’adressant à Dupin : « Venez donc avec nous, // [mon] cher, chacun-z-a // le droit d’y aller. », Lobau : « Connu, connu, la // vieille. On les a // vues tes femmes ! », Guizot, s’adressant à Louis-Philippe : « J’ai prouvé que vous auriez // tort, j’ai prouvé que vous // auriez raison. Je prouverai // tout ce qu’il faudra. », Barthe, s’adressant à Louis-Philippe : « Allez y, je vous // y engage, foi de Carbonaro ! ». Au premier plan, de gche à dte : Soult, s’adressant à Louis-Philippe et posant une main sur l’épaule de ce dernier pour l’inciter : « Allez donc, allez // donc, ce sont de // bonnes personnes, // Je les connais de // longue main. », Thiers au tout premier plan, et enfin Louis-Philippe, vu de trois quarts dos. Il porte un grand manteau et tient à la main son chapeau décoré de la cocarde tricolore. Les membres du gouvernement se trouvent dans la rue, « Boulevard // De // Coblentz » (Coblentz est le lieu où Louis-Philippe trouva, lors de son exil, sauvegardées des éléments de la noblesse française d’ancien régime). Les ministres incitent le roi à aller rendre visite à des prostituées, incarnations de l’ancien régime. La pl. se moque ainsi des tentations monarchiques auxquelles est soumis Louis-Philippe. La mère maquerelle, vieille femme portant une fleur de lys sur sa coiffe, un médaillon avec la lettre « H » surmontant une poire au cou, est vêtue d’une robe sur laquelle peut se lire « GAZETTE //DE // FRANCE // et // Holyrood » : il s’agit du journal le plus légitimiste sous la Monarchie de Juillet. Il essaie d’attirer le roi. Holyrood est une référence à un des lieux de séjour en Ecosse des émigrés aristocrates après la Révolution française. Cette mère maquerelle dit à Louis-Philippe : « Venez donc, belhomme, // elles sont bien aimables, // elles ont un bon feu. belhomme ! // cupidon ! ». Derrière se tiennent deux courtisanes : la première, mince, porte une robe décorée d’une frise de poire en bas. Elle a le pied droit posé sur une feuille volante titrée « CHARTE », montrant de manière significative que les principes de la Charte sont bafoués. Il s’agit de la princesse Louise, fille aînée de Louis-Philippe. La seconde prostituée, plus forte, porte deux broches en forme de fleur de lys. Il s’agit de la duchesse d’Angoulême, fille de Louis XVI et Marie-Antoinette. Les deux travailleuses représentent respectivement la légitimité et l’illégalité. Au fond à dte, dans la pénombre, un homme assiste à la scène. Il cache un fusil dans son dos, porte une arme blanche à sa ceinture, et un médaillon avec l’initial « H » autour du cou, certainement l’initial de Henri V, qui aurait dû monter sur le trône à la place de Louis-Philippe.La pl. dénonce les mauvais conseils prodigués par les ministres au roi des Français, lequel est poussé à abandonner ses principes républicains et d’embrasser les idées moins libérales. La pl. utilise le parallèle d’un homme incité à s’adonner aux plaisirs de la chair. Le titre est la parole du Christ tirée de l'Evangile affirmant « Ainsi vous n'avez pas eu la force de veiller une heure avec moi. Veiller et prier pour ne pas entrer en tentation; l'esprit est ardent mais la chair est faible ». Louis-Philippe est, quant à lui, tenté par les principes monarchiques.Personne / Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Mouton, Georges, comte de Lobau; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Barthe, Félix‎

‎Personnages : Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Mouton, Georges, comte de Lobau; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Barthe, Félix‎

Référence libraire : 25195

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Livres de Livres Anciens Komar]

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‎Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847)‎

‎Tau-tau-tau, battez chaud, du courage ! il faut du cœur à l’ouvrage. Lithographie coloriée- Hand-coloured lithograph,.‎

‎1832 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 29 novembre 1832 (Planche n°224)- Lithographie coloriée,avant les muméros- - Œuvre: Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image :Hauteur: 15cmx Largeur: 21.8cm - Titre en bas au centre : « Tau-tau-tau, battez chaud, du courage ! // il faut du cœur à l’ouvrage. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N° [108] », en ht à dte : « Pl. [224] »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert, N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Jean-Jacques Grandville, dessinateur ? Le titre est un extrait du Vaudeville du Maréchal : « Tôt, tôt, tôt, // Battez chaud // tôt, tôt, tôt, // Bon courage, // Il faut avoir cœur à l’ouvrage. » (contenu dans Les Sabbats jacobites, 1791), reprenant le vaudeville final du Maréchal Ferrant, opéra comique de Philidor (1761). L'air « Tôt, tôt, tôt, battez chaud » connut un succès particulier pendant la Révolution française. La pl. inverse le discours qui, pendant la révolution française, avait une connotation fortement républicaine, incitant à mettre à bas les institutions et symboles monarchiques. Au contraire, ici, c’est la figure de la république qui est mise à mal. Un jouet d’enfant est constitué de deux figurines peintes, chacune munie d’un marteau (le manche du marteau est planté dans les ventres): il s’agit de Soult à gche (une tenaille et un autre marteau, plus petit, dépassent de sa besace) et de Louis-Philippe à dte (des clés sont accrochées à son pantalon. Philipon, dans l’explication s’interroge d’ailleurs sur leur usage : « Sont-elles un témoignage de l’ordre et de l’économie qui règnent dans sa maison ? – Veulent-elles dire qu’il est un geôlier ? – Sont-ce les clefs d’Anvers ? – ou les clefs de nos coffres ? – ou bien celles de nos cœurs ? »). Ils exercent leur marteau à tour de rôle sur la tête féminine de la République (ou la Liberté) placée au milieu de la pièce de bois transversale. Selon qu'on tire dans un sens ou dans un autre, le jouet permet à Soult ou Louis-Philippe de taper à tour de rôle sur la Liberté. La pl. dénonce ainsi le mauvais traitement infligé par les membres du gouvernement de la monarchie de juillet à la liberté, dont les principes sont bafoués.‎

Référence libraire : 25607

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
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[Livres de Livres Anciens Komar]

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‎Auguste Bouquet,BOUQUET TALLEYRAND‎

‎LE FESTIN DE BALTHASAR -- Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 4 avril 1833 (Planche 261)La caricature, no. 126, plate 261 ( 4,avril 1833).LE FESTIN DE BALTHASAR. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°126. », en ht à dte : « Pl. 261. »Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue furstemberg N°6. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]‎

‎Dans la salle d’un palais, un festin est donné. Celui-ci rassemble autour d’une grande table le roi et les membres du gouvernement. C’est le coq gaulois qui est le plat principal de ce repas. Une grosse poire est également posée à proximité. Louis-Philippe, au centre de la table, vu de dos, se penche en arrière, ébloui par ce qu’il voit apparaître en hauteur, à gche. Les autres convives, effrayés, quittent leur place et se précipitent hors de la pièce. Les chaises sont renversées. Le tumulte règne. Parmi les invités, sont identifiables Soult, au premier plan, tombé à la renverse, d’Argout, juste derrière, tombant d’une chaise et protégeant son grand nez. Dupin semble pousser les convives vers l’extérieur en agitant ses souliers en l’air. A côté de lui se trouve Barthe. Enfin, Thiers est à plat ventre et se fait enjamber par les fuyards. Ce qui effraie les convives, c’est une inscription lumineuse qui apparaît dans le coin gche de la composition : « 27. 28. 29. », qui sont les dates des Trois Glorieuses de la révolution de juillet 1830. L’idée de l’apparition d’une inscription en lettres lumineuses sur un mur lors d’un repas est une référence au festin de Balthazar (narré dans Le Livre de Daniel), lors duquel une « inscription sur le mur » apparut, présage de destin malheureux pour le roi Balthazar puni de balsphèmes. C’est donc un avenir douloureux que semble prédire "La Caricature" au gouvernement de Juillet. Rappelant aux ministres les dates de la révolution de juillet, elle leur annonce un funeste destin, pour les punir du bafouement des valeurs de la république. Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Barthe, Félix; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baronAuguste Bouquet, né à Abbeville (Somme) le 13 septembre 1810, et mort prématurément à Lucques (Italie) le 21 décembre 1846. Peintre, lithographe, graveur et caricaturiste français, Bouquet fait ses études à l'École des beaux-arts de Paris. Élève d' Ary Scheffer, il s'oriente sous l'influence du maître vers l'art nazaréen. Il réalise de nombreuses lithographies de caricatures pour les journaux L'Artiste, La Caricature (1831-1834), Le Charivari (1832-1833), Le Triboulet (1843), ainsi que pour l'ouvrage de Jules Janin Deburau, l'histoire du théâtre à quatre sous (1832).Collaborateur et ami de Philippon, Honoré Daumier et Grandville, Auguste Bouquet fait partie de cette génération de caricaturistes courageux qui osèrent défier la censure, et dont la cible privilégiée était Louis-Philippe.‎

Référence libraire : 25185

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‎Auguste Bouquet,‎

‎Requiescant in pace amen !! - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 20 décembre 1832 (Planche n°230) Hauteur : 26.5 cm xLargeur : 35.8 cm - Image :Hauteur : 22.6 cmx Largeur : 29.4 cm - Titre en bas au centre : « Requiescant in pace amen !! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°111. », « Pl. 230. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert, n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]‎

‎C’est la mise en image d’un rêve que propose Bouquet, celui des funérailles du Juste-Milieu : dans une église, le catafalque du Juste-Milieu au centre, décoré de trois petites poires. Sous un bonnet et des seringues à clystère entrecroisées, des feuilles portant les inscriptions « JE // jure », « Etat de siege [siège] », « JE PROME […] [PROMETS] ». En allant vers la dte, celui du duc d'Orléans (surmonté d'une cruche et orné des canons du siège d'Anvers), et celui de Soult (surmonté d'une épaulette et orné de deux sabres entrecroisés). A gche, un autre catafalque est décoré d’une couronne royale. Sur un autre est posée une gerbe de fleurs. Tous sont posés sur la seconde marche menant au chœur dans lequel se trouvent un triptyque et des verrières. Le titre indique qu’ils reposent en paix (locution latine). L’artiste eut cette idée de mettre en scène la mort de Louis-Philippe et du duc d’Orléans, en référence à leur actualité respective : le premier fut victime d’un attentat le 19 novembre 1832, tandis que le second partit combattre les Hollandais lors du siège de la citadelle d’Anvers.Personnage représenté: Soult, Nicolas-Jean de Dieu ; Louis-Philippe Ier, roi des Français ; Orléans, Ferdinand-Philippe d', duc‎

Référence libraire : 25211

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Livres Anciens Komar
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‎BASSVILLE (Nicolas-Jean HUGOU de).‎

‎Elémens de mythologie, avec l'analyse des poëmes d'Homére et de Virgile, suivie de l'explication allégorique, à l'usage des jeunes personnes de l'un et de l'autre sexe.‎

‎A Paris, chez les Libraires associés, 1804. In-12, demi-basane blonde à coins, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque). 332 pp. - [1] f. (table).‎

‎Nouvelle édition ornée de 24 planches hors-texte représentant 43 figures mythologiques gravées.Bassville (1743-1793), diplomate sous la Convention, fut tué lors d'une mission à Rome pour avoir fait porter la cocarde tricolore aux gens de sa suite.Ex-dono manuscrit sur le contreplat.Coins frottés et un mors inférieur légèrement fendillé. Bon exemplaire.‎

Référence libraire : 2041

Livre Rare Book

Librairie Blomet
Paris France Francia França France
[Livres de Librairie Blomet]

80,00 € Acheter

‎BASSEVILLE, (Nicolas-Jean) de († 1793):‎

‎Elémens de Mythologie, avec l'analyse des poëmes d'Homère et de Virgile, suivie de l'explication allégorique, à l'usage des jeunes personnes de l'un et de l'autre sexe. Nouvelle édition, augmentée d'une Table alphabétique et raisonnée, servant de Dictionnaire de la Fable.‎

‎Lyon, Fr. Matrebon, de l'imprimerie de Brunet, 1816, pt. in-8°, 334 p., orné de 24 planches gravées, ex libris ms. ‘Ch[arle]s Hormann - 1844’, cartonnage en papier marbré dit ‘oeil-de-chat’ en orange et noir, pièce de titre en papier cuir noir, frottements, bon exemplaire.‎

‎Intéressant ouvrage d'initiation à la mythologie gréco-romaine, avec l'analyse de Virgile, d'Ovide et d'Homère, par de Basseville, homme de lettres et diplomate français, qui le fit publier pour la première fois en 1784. Quérard, la France LIttéraire I/208: Hoefer NBG IV/712.‎

Référence libraire : 12540aaf

Livre Rare Book

Harteveld Rare Books Ltd.
Fribourg Switzerland Suiza Suíça Suisse
[Livres de Harteveld Rare Books Ltd.]

47,78 € Acheter

‎BASSVILLE (Nicolas-Jean Hugou de)‎

‎Mémoires historiques, critiques et politiques de la Révolution de France. avec toutes les opérations de l'Assemblée Nationale‎

‎Paris, chez l'auteur, Bleuet, Potier de Lille, 1790 2 tomes en un fort vol. in-4, faux-titre, viij pp. [lvi] pp. mal chiffrées c, 272-133 pp., [2] pp. n. ch. de table ; xvj-364-91 pp., avec un frontispice gravé sous serpente, demi-basane brune, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre verte, tranches mouchetées de rouge (reliure de l'époque). Coupes frottées, coins abîmés, plats frottés.‎

‎Edition originale, au format in-4, de toute rareté. (elle se décline aussi en quatre volumes in-8). C'est l'une des premières histoires générales de la Révolution, encore à ses débuts : elle court depuis l'ouverture des Etats Généraux jusqu'au 10 septembre 1789 seulement. Avant de s'illustrer par un zèle déplacé dans la tragique affaire des ambassades à Rome et d'y trouver la mort, Bassville se voulut le chantre éclairé de la Révolution.Martin & Walter, 1910. Monglond, I, 799. Fierro, 87. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

Référence libraire : 211338

Livre Rare Book

Librairie Historique Fabrice Teissèdre
Sauve France Francia França France
[Livres de Librairie Historique Fabrice Teissèdre]

1 200,00 € Acheter

‎BASSVILLE (Nicolas-Jean Hugou de)‎

‎Mémoires historiques, critiques et politiques de la Révolution de France. avec toutes les opérations de l'Assemblée Nationale‎

‎Paris, chez l'auteur, Bleuet, Potier de Lille, 1790 4 vol. in-8, frontispice gravé au tome 1, demi-basane brune à coins, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque). Certains coins abîmés, large mouillure au début du tome 1 ainsi qu'aux tomes 2 et 3.‎

‎Edition originale. Plus que de véritables mémoires, c'est l'une des premières histoires générales de la Révolution, encore à ses débuts : elle court depuis l'ouverture des Etats Généraux jusqu'au 10 septembre 1789 seulement. Avant de s'illustrer par un zèle déplacé dans la tragique affaire des ambassades à Rome et d'y trouver la mort, Bassville se voulut le chantre éclairé de la Révolution.Martin & Walter, 1910. Monglond, I, 799. Fierro, 87. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

Référence libraire : 221112

‎BASSEVILLE [Nicolas-Jean Hugou] de:‎

‎Précis historique sur la vie et les exploits de François Le Fort, citoyen de Genève, général et Grand Amiral de Russie, vice-roi du Nowogorod et principal ministre de Pierre Le Grand Empereur de Moskovie.‎

‎A Genève et se trouve à Paris, Chez Paul Barde / chez Laurent, 1784. In-8 de [2]-XV-208 pages, plein veau marbré, dos lisse orné de filets, fleurons et titre dorés, étiquette de titre marron, triple filet doré encadrant les plats, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure frottée, mors réparés.‎

‎Orné d'un portrait de François Le Fort par Schenk au frontispice. Edition originale.‎

Référence libraire : 10419

Livre Rare Book

ILLIBRAIRIE | Bombadil SA
Genève Switzerland Suiza Suíça Suisse
[Livres de ILLIBRAIRIE | Bombadil SA]

324,93 € Acheter

‎Desperet ou Desperret, Auguste lithographe‎

‎Enigme. Plusieurs têtes de fous dans un bonnet de coton blanc formant la poire……….devinez ! c’est le juste-milieu.Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 10 mai 1832 (Planche n°161),pli central ,tache - Œuvre : Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image :Hauteur: 24cm xLargeur: 22cm- Titre en bas au centre : « Enigme. // Plusieurs têtes de fous dans un bonnet de coton blanc formant la // poire……….devinez ! // c’est le juste-milieu. »- Dans la lettre : « Lith de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur]‎

‎iconographie:Ressemblant à une poire (allusion à Louis-Philippe, et plus largement au juste-milieu), un seul et même bonnet de coton blanc couvre la tête de cinq personnages, membres du gouvernement : baron Louis, Barthe, Périer, Soult, d’Argout (protagonistes du gouvernement Périer). Le bonnet de coton est traditionnellement considéré comme un symbole de la folie. Il est aussi un bonnet de nuit d’ « épicier » (in explication), couvrant le ministère du 13 mars : ainsi, c’est la tonalité bourgeoise du gouvernement qui est dénoncée iciPersonnages représentés:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Périer, Casimir; Barthe, Félix; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron‎

Référence libraire : 25250

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Livres de Livres Anciens Komar]

50,00 € Acheter

‎Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎Si elle tombait vous seriez écrasés.Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 7 mars 1833 (Planche n°252 )- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm - Image: Hauteur: 28.2cmx Largeur: 22.7cm - Titre en bas au centre : « Si elle tombait vous seriez écrasés. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°122. », en ht à dte : « Pl. 252. » - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur - Inscription - Les tables de la « LOI » derrière la figure de la république. Sur le globe : « ASIE » et « EUROPE »Au bas des marches de ce qui semble être la chambre des députés, la statue de la Liberté juchée sur un piédestal. Sept hommes ont accroché des ficelles autour de son cou et de son torse et tirent de toute leur force pour la faire tomber. De gche à dte : Barthe, qui regarde le spectateur d’un air affolé, Louis-Philippe de dos (mais reconnaissable aux favoris et au toupet), et Soult, de face. Au centre, d’Argout, ayant tiré trop fortement sur la corde, l’a cassée. Il tombe à la renverse. Trois autres ministres, dont les visages sont cachés, tirent de toutes leurs forces, à dte. L’un d’eux regarde le spectateur. Ils sont difficilement identifiables. La pl. dénonce le bafouement des valeurs de la république par les membres du gouvernement, en particulier la liberté. L’explication établit une comparaison entre l’acharnement à détruire au sens propre les statues de Napoléon après sa chute, et la volonté de faire tomber les valeurs républicaines, sous le règne de Louis-Philippe, au sens figuré.‎

Référence libraire : 25609

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Livres de Livres Anciens Komar]

60,00 € Acheter

‎DEVOS Roger; GABION Robert; MARIOTTE Jean-Yves; NICOLAS Jean; ABRY Christian:‎

‎La pratique des documents anciens. Actes publics et notariés, documents administratifs et comptables.‎

‎Annecy, Archives departementales de la Haute-Savoie, 1978. In-8 broché de [4]-II-335 pages, couverture à rabats ornée du sceau d'Humbert de Genève au premier plat, d'une vignette imprimée par Valetta (1738) au second.‎

‎Illustré de quelques photographies et reproductions de documents, hors-texte, dont 2 dépliantes. Second volet de Sources et méthodes de l'histoire de la Savoie. Couverture légèrement jaunie et frottée, nom de possesseur au premier plat.‎

Référence libraire : 12554

Livre Rare Book

ILLIBRAIRIE | Bombadil SA
Genève Switzerland Suiza Suíça Suisse
[Livres de ILLIBRAIRIE | Bombadil SA]

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‎Forest] E. & J. Grandville -TALLEYRAND - Forest, Eugene Hippolyte‎

‎Les faux dieux de l’Olympe.‎

‎1832 Planches HT parues dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 20 septembre 1832 (Planches n°200 et 201)La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature (Journal) No.98. [Paris] Becquet for Maison Aubert [22 September 1832] Lithograph. 32.7 × 52.3 cm.Talleyrand est Vulcain forgeant des chaînes et des protocoles ; il est assis sur les filets dont il entortille le monde... Une fleur de lys est tatouée sur le bras droit. Titre en bas au centre : « LES FAUX DIEUX DE L’OLYMPE. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°98) », en ht à dte : « Pl. 200, 201. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « E.F.J.G. » [Eugène Forest, lithographe, et Jean-Jacques Grandville, dessinateur]Inscription - Une fleur de lys tatouée sur le bras droit de Talleyrand ; sur les poteaux à gche : « TRAVAI […] [TRAVAIL] // PUBLIC », « ROUTE // des // BEAUX // ARTS » (charges ministérielles incombant à d’Argout)Assemblée des membres du gouvernement de Juillet, travestis en dieux de l’Olympe ou personnifications de concepts. Au premier plan, de gche à dte : Thiers en Mercure volant, un petit putto aux yeux bandés représentant le Juste-Milieu tenant un carquois contenant les « TRAITS LOURDS » des journaux favorables au gouvernement (« MONITE […] [MONITEUR] », « NOUVELL […] [NOUVELLISTE] », « [JOURNAL DES] DÉBATS »), une Vénus entourée de sacs d’or, de décorations (épaulettes, croix d’honneur, écharpes…). Elle tient, de plus, sur ses genoux, de petites statuettes (Némésis et sans doute le Figaro, c'est-à-dire les deux journaux naguère d’opposition, et servant ensuite le gouvernement, lequel a acheté leur silence avec de l’argent). Le baron Louis, dans l’ombre, représente l’Avarice, posant ses pieds crochus sur un sac d’or. Au deuxième plan, de gche à dte : Talleyrand en Vulcain, forgeant des chaînes et des protocoles (« PROTOCOLE // N°73050 », « BELGIQUE », « « ANGLETE […] [ANGLETERRE] », « PROTOC […] // N°74051 »), des serments (« SERMENS [SERMENTS] // de // 93 à 1832 »), l’histoire de la « révol [révolution] », Cerbère gardant les prisons de « Ste PELAGIE », de « LA FORCE » (chien à trois têtes couvertes de casquettes de police). La Discorde tenant non une pomme, mais une poire, et la Cupidité tenant un registre d’ « AGIOT » au-dessus du temple de la Bourse. Au troisième plan, de gche à dte : d’Argout en statue de Pan en terme (avec une palette et des pinceaux à la base), les furies : Persil avec ses « saisies » et « condamnation », Guizot et sa guizotine (la troisième furie n’est pas identifiée). Soult en Mars brandit un cierge, une figure ( ?) tient une fourche tordue et une clé de cachot. Barthe en Thémis tient un double glaive et une balance, Girod de l’Ain en Bacchus, Lobau en Neptune tenant la seringue à clystère se terminant en trident. Viennet en Apollon (ou Orphée ?) joue la « PHILIPPIDE » à la harpe, Montalivet, représentant la Flatterie, verse de l’ambroisie (sous forme de papiers avec les inscriptions : « TRES FIDELE SUJET // FLATTERIE ») dans la coupe de Louis-Philippe en Jupiter, accompagné de son coq foulant des armes, et coiffé d’une couronne en forme de poire. Derrière lui, la Paix avec son rameau, et la Frayeur avec son lièvre. Le duc d’Orléans en Hercule s’appuyant sur sa massue portant l’inscription « DISCOURS », Dupin en Momus, dieu de la Folie, ayant pour marotte une chaussure. Et enfin, Sébastiani, en paon (sans doute Junon). A l’arrière-plan, une figure volante représentant le journal le « MONITEUR », la Nuit, répandant des pavots, et un zodiaque qui sert à dénoncer les différents événements des derniers mois (« JUIN 1832 » avec une balance, « JUILLET 1832 » avec un lion, « AOUT 1832 » avec un scorpion, « SEPTEM […] [SEPTEMBRE 1832] »). Puis, un homme portant une faux : il s’agit de Saturne, emportant avec lui dans son sac la « MEILLEURE // REPUBLIQUE ». Ce dieu se retire aux Etats-Unis (La Fayette ?). Et enfin, un siège vide au centre : il s’agit de celui de la « Sagesse » (in explication).‎

‎Personnages représentés : Thiers, Adolphe ; Louis-Philippe Ier, roi des Français ; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet ; Girod de l'Ain, Louis Gaspard Amédée, baron (Louis Gaspard Amédée Girod dit) ; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné) ; Sebastiani, Horace ; Soult, Nicolas-Jean de Dieu ; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron ; Persil, Jean-Charles ; Barthe, Félix ; Viennet, Jean Pons Guillaume ; Cruciani, François ; Guizot, François ; Mouton, Georges, comte de Lobau ; Orléans, Ferdinand-Philippe d', ducA vitriolic caricature of all members of the July Monarchy govern- ment, mocking its repression of the opposition, and its weak foreign policy. Louis Philippe, represented as a fat, effeminate king wearing a toga, is accompanied by a decadent family and scheming, corrupt ministers. The composition is dominated by Talleyrand to the left who is portrayed as Vulcan, forging chains and protocols. He is sitting on netting with which he ensnares the world; a fleur-de-lys is tattooed on his right forearm; his orthopaedic shoe is on the correct foot and his crutch is partly buried under documents to his right.Print shows a group of French political figures as the "false gods of Olympus" each depicted with some attribute of the classical god they are portraying, among them are Georges Mouton as Neptune, Etienne-Denis Pasquier as flattery playing a lyre, Girod de l'Ain as Bacchus, a man as Themis, overhead is a female figure representing the "Moniteur", Marshall Soult as Mars, Félix Barthe as Cyclops, François Guizot as a Fury, Charles Maurice de Talleyrand-Périgord as Vulcan, comte d'Argout as Pan, Adolphe Thiers as Mercury, a blind putti with a quiver of arrows, Venus reclines among objects of wealth next to Joseph Dominique, H.F.B. Sébastiani as a peacock, Andre Dupin as Momus, wearing a fools cap, Ferdinand Philippe, duc d'Orleans as Hercules, and Louis-Philippe, the "citizen king" of the French, as Jupiter, seated with a rooster between his legs. In the upper right corner, Father Time departs.OCLC Number: 844964174‎

Référence libraire : 24404

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Livres de Livres Anciens Komar]

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte‎

‎E'lèvement des immondices - Lithographie sur velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique volume 4, 25 octobre1832 (Planche n°211)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 24.5cmx Largeur: 20.6cm - Titre en bas au centre : « Elèvement des immondices » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°103. », en ht à dte : « Pl. 211. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, r. Childebert, 9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie Véro-Dodat. » ; dans l’image, en bas à gche, signature : « G. F. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sous le pied droit du roi, deux feuilles avec inscriptions : « 60 » pour l’une, et « la v’la la grande // Ordonnance // qui vient de // paraitre // tout à l’heure » pour l’autre ; sous les pieds de d’Argout, deux feuilles avec inscriptions : « Exposition // Annuelle » pour l’une, et « BEAUX ARTS » pour l’autre ; aux pieds de Soult, deux feuilles avec inscriptions : « Circulaire » pour l’une, et « ETAT DE SIEGE » pour l’autre.iconographie:La table des matières du 4e vol. de "La Caricature" apporte une précision au titre : « (Promotion des 60 pairs) ». Louis-Philippe, à gche, pousse avec un balai vers la pelle de d’Argout des figurines représentant les pairs de France prêts à être jetés dans la charrette qui les emmènera vers le « PALAIS DU LUXEMBOURG ». Soult, à dte, en jette quelques-uns avec sa pelle. Les hommes sont habillés en charetiers. Une poire se trouve dans le coin inf. droit. La pl. dénonce la nomination de soixante pairs de France. Le titre joue sur la ressemblance entre les mots « enlèvement » et « élèvement ».Personnages représentés:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français‎

Référence libraire : 25646

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Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Livres de Livres Anciens Komar]

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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847) - Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès)‎

‎Les feuilles publiques (Suite) et leurs souteneurs - Lithographie parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 10 octobre 1833 (n°320 et 321)‎

‎1833 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique (Titre de l'ensemble) = LES FeuILLES PUBLIQUES et leurs souteneurs. Lithographie par Jean- Ignace-Isidore Gerard dit GRANDVILLE et Charles-Joseph TRAVIES, 260 × 465, marges 350 × 550 (Villa 13.235),pl 315/316 , publiee le 26 septembre 1833, pli central, quelques piqures.Inscription - Titre en bas au centre : « LES FEUILLES PUBLIQUES (Suite) // et leurs souteneurs. » ; légendes en bas, de gche à dte : "La Gazette et son Vicomte. », « La France Nouvelle et son rédacteur. », « La Débats et son préfet. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°153. », en ht à dte : « Pl. 320 et 321. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur]Description iconographique:Pl. n°3 et 4 de la série des "Feuilles publiques". Cf. pl. n°1 et 2 (pl. 315-316 du numéro 151).Dans le titre, jeu de mots entre « filles » et « feuilles » grâce à une différence de taille des lettres. Les journaux défenseurs du gouvernement sont alors assimilés à des prostituées peu avenantes, vieilles et défraîchies. A gche, la « GAZET […] [GAZETTE] // DE // FRAN […] [FRANCE] », journal légitimiste, incarné par une vieille prostituée grande et mince, portant une paire de lunettes. Elle tient dans la main gche une couronne. A son bras se tient un jeune homme pourvu d’un long cou. Il s’agit de la personnification de la « Jeunesse dorée » (in explication). Il tient une canne dont le pommeau est la tête de Chateaubriand, lequel est allé rendre visite à la famille royale à Prague de début septembre à début octobre 1833. Et justement, derrière eux, un panneau de bois indiquant le chemin pour la « ROUTE // DE PRAGUE ». Prague est la ville où émigra Henri V avec sa famille en 1832. La pl. met donc en scène les deux personnages sur le point de faire le pèlerinage pour cette ville. Au centre, le journal « FRANCE // NOUVELLE », incarné par une prostituée à l’embonpoint marqué. Elle porte un collier fait de croix de la légion d’honneur et une robe portant des motifs de poires. Elle porte une boucle d’oreille en forme de poire. Son tablier prend la forme d’un exemplaire de journal avec le titre de la revue et les lignes d’un article, illisibles. Louis-Philippe, qui finance ce journal et l’alimente d’informations, se tient face à la prostituée et porte sa main sous son menton. Il lui donne un billet portant l’inscription « article // communiqué ». Vu de dos, il porte une redingote, un bonnet et une plume sur l’oreille. Derrière eux se détache la silhouette de ce qui semble être la boutique du roi, assimilé à un écrivain public fournissant des articles au journal (« PEPIN (PHILIPPE) // ECRIVAIN // PUBLIQUE [PUBLIC] »). Une affiche est placardée sur le côté de l’échoppe, portant l’inscription « DEUX // ANNÉES DE // Regne [Règne] ». A dte, la prostituée du « JOURNAL // DES // DÉBATS », dont la versatilité et l’opportunisme politique sont dénoncés à travers les inscriptions sur le papier accroché à la robe : « VIVE LE // ROÂ !! », « VIVENT // les // Bourbon […] [Bourbons] », « VIVE // L’Emp […] [Empereur] ». La robe est décorée d’un aigle bicéphal et de la date d’instauration de la « […] ESTAURAT […] [RESTAURATION] » : « 1815 ». Son chapeau porte la cocarde tricolore et un médaillon orné d’une fleur de lys. Elle donne le bras à un préfet (Gisquet ?) ventripotent, qui met la main dte dans son veston. Sa redingote porte des distinctions honorifiques. Derrière eux, un canapé portant des motifs évocateurs de la monarchie de Juillet : une seringue à clystère, une toque de magistrat, une poire à face humaine, et plusieurs autres petites poires. Les accoudoirs sont sculptés de têtes humaines. On peut notamment reconnaître Soult.‎

‎A gauche, Louis-Philippe et le journal Le Moniteur (dont le vetement est decore d’aigles, de eurs de lys et de poires) ; au centre, Le Figaro avec M. de la Cour (mouchard ou policier) ; le Constitutionnel a droite, avec un naif a qui il fait voir des etoiles en plein midi.‎

Référence libraire : 25188

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Livres Anciens Komar
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‎Grandville & Forest - TALLEYRAND‎

‎Memento homo quia pulvis es et pulverem reverteria - Pl. n°1. de la série "Cérémonie des cendres politiques".Lithographie, Coloriée.‎

‎1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 21 février 1833 (Planche n°248) -La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No 120, plate 248. [Paris] I. de Becquet for Maison Aubert -[28 February 1833]. Hand-coloured lithograph. Overall paper size 27.5 × 36.5 cm.Titre en bas à gche : « Memento homo quia pulvis es et in // pulverem reverteris. » ; légendes, en bas, de gche à dte : « Paillasse…. », « Tupin. », « Le grand conquérant // de la Hollande. », « Lebeau Lancelot. », « Le prince // Cartouche de Damas-scie. », « Le petit diable d’argent. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°120. », en ht à dte : « Pl. 248. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue de Childebert n°9. » [imprimeur] ; « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur].Description iconographique:Pl. n°1. de la série "Cérémonie des cendres politiques". Cf. pl. n°2 (pl. 250 du numéro 121) et pl. n°3 (pl. 251 du numéro 121). Le titre est une citation latine extraite de la Genèse, vers 19, signifiant : « Souviens-toi, homme, que tu es poussière, et que tu redeviendras poussière ». A gche se trouvent trois personnages, figures du peuple, dans l’encadrement d’une porte, juchés au sommet de deux marches : un homme (ayant participé à la révolution de Juillet) tient en l’air un pavé portant les dates des Trois Glorieuses « 27. 28 // 29 » (juillet) qu’il s’apprête à jeter sur le groupe de personnages en face de lui. Il est accompagné de deux enfants (« ces enfans [enfants] sont les gamins héroïques qui firent les barricades », in explication) : l’un, coiffé d’un bonnet phrygien décoré de la cocarde tricolore, porte un sac contenant des pavés, tandis que l’autre tient un plat sur lequel se trouvent deux autres pavés. Le groupe de personnages s’avançant se compose des membres du gouvernement. De gche à dte: Louis-Philippe, déguisé en Paillasse (les boutons du costume sont en forme de poire). Il a posé par terre sson chapeau décoré de la cocarde tricolore. A genoux, il joint ses mains pour supplier les hommes du peuple de l’épargner. Puis Dupin, déguisé en sauvage et tenant un gourdin portant l’inscription « PLAISANTERIE ». Ensuite, le conquérant de la Hollande (le duc d’Orléans). Puis vient Lobau, portant une perruque d’ancien régime, un grand tablier blanc et tenant de sa main dte un seringue à clystère. Soult vêtu à la mode de Louis XIII, fait reposer son genou droit sur une béquille. Enfin, Thiers, portant un vêtement de petit diable blanc (il porte un bonnet blanc pourvu de cornes, et une queue dépasse de son pantalon). La pl. met en garde le gouvernement de ne pas trahir les idéaux républicains qui ont présidé à la naissance de la monarchie de juillet. Elle rappelle le rôle fondamental du peuple dans l’instauration du régime. Elle entend rappeler au roi et aux ministres que c’est grâce au peuple que la monarchie de juillet a pu voir le jour, et menace de faire basculer le régime en place si les idées républicaines sont bafouées. L’explication est très claire : « Souvenez-vous que c’est moi, moi peuple, qui vous ai faits tous, et que je puis vous défaire demain si vous êtes parjures, si vous êtes prévaricateurs, si vous êtes prodigues de mon sang et de ma sueur, si vous gaspillez mon bien, si vous enchaînez ma liberté ».‎

‎Personnages représentés:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Mouton, Georges, comte de Lobau; Orléans, Ferdinand-Philippe d', ducA satire on royal censorship lifted for the carnival designed in two consecutive prints to be assembled as a panorama of a motley proces- sion of 22 comic figures, five of whom are carrying a rotund paper dummy made up of various newspapers. The first figure in the group is a judge with an axe who is holding up a poster proclaiming the death penalty, the last man is Talleyrand, depicted as a limping devil, all in red with a red face mask and horns; the artist has again attached the surgical boot in error to the left foot.‎

Référence libraire : 24406

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Livres de Livres Anciens Komar]

180,00 € Acheter

‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847)‎

‎Règne animal.(1) :« CABINET D’HISTOIRE NATURELLE. »- Lithographie, Coloriée - Pl. 265, 266.-Hand-coloured lithograph,‎

‎1833 Planche HT double parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, (Journal) N°128.volume 5, 18 avril 1833 (Planches n°265 et 266)- Hauteur: 35.8cm x Largeur: 52cm - Dimensions - Image : Hauteur: 22.5cm x Largeur: 40cmTitre en ht au centre : « RÈGNE ANIMAL. » ; légende en bas au centre : « CABINET D’HISTOIRE NATURELLE. » ; indications : en ht à gche : « Pl. 265, 266. », en ht à dte : « La Caricature »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue furstemberg N°6. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « JJ // G. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur], et sur la tablette basse de la table : « J.J. Grandv // E. For. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Description iconographique:Pl. n°1 de la série du "Cabinet d’histoire naturelle" comportant trois numéros : cf. pl. n°2 (pl. 271-272 du numéro 131) et pl. n°3 : (pl. 275-276 du numéro 133). Pl. d’histoire naturelle représentant les membres du gouvernement sous la forme d’animaux. Chaque figure hybride, à tête humaine et au corps animal (exceptés d’Argout, le duc d’Orléans et Louis-Philippe qui ont une tête animale), est identifiable grâce à la mention de son nom (variation humoristique sur le nom de chaque homme, surnom) sur une pancarte ou sur le socle, sur lesquels est également précisé à chaque fois le faux nom scientifique en latin. De gche à dte et de ht en bas : accrochés sur le mur du fond : Barthe, représenté en caméléon portant sur le corps la mention « BART ». La pancarte indique « BARTOLUS CAMELEO // (Classe des Carbonari) ». Ce dessin dénonce l’opportunisme de Barthe, changeant d’opinion politique en fonction du régime en place, et fait référence à son passé de carbonaro. Schonen, représenté en tétard. La pancarte indique « CHONAINUS // Tétard Vineux », en référence à la tendance qu’a ce personnage à boire beaucoup. "Le Journal des Débats" est figuré sous la forme d’un long serpent. La pancarte précise « (SERPENT DEBAT // (JOURNALISTES REPTILES) ». Il porte sur son corps des étiquettes enroulées mentionnant : « EMPIRE // 1800 », « RESTAURATI […] [RESTAURATION] // 1815 », « Révolution de // Juillet de 1830 », et enfin une étiquette représentant une poire à face humaine. Puis vient Soult, représenté en caïman. Il est accompagné de la mention « CAYMAN // MARECHAL (dalmaticus) ». Est dénoncée ici la propension qu’a Soult à courir après les honneurs et les distinctions. Lameth est représenté en flascopsaro, gros poisson rond. Son nom est précisé : « FLASCOPSARO // (Stephanus) ». Enfin sur le mur du fond est également accroché Lobau, en crapaud. La pancarte indique « LANCELOT Aquatique // Famille des Crapauds ». Il porte une culotte avec des rayures bleues et blanches, l’écharpe de la légion d’honneur et la croix d’honneur, ainsi qu’un bicorne. La pl. rappelle l’émeute que Lobau avait réprimée en usant de lances à incendie. La thématique de l’eau, depuis lors, est toujours très présente dans les caricatures de Lobau élaborées par les journaux d’opposition. Sur la table adossée au mur sont posés quatre oiseaux empaillés.Le premier est Thiers, en tiercelt, appartenant à la catégorie des « OISEAUX MOUCHES // TIERCELET ». Un jaseur (« JASEEUR // (Statisticus) ». Viennet est représenté en gros volatile (« VIEUX NIAIS // ORPHEUS »). Sa queue prend la forme d’une lyre. La pl. se moque de son activité de poète. Il porte autour du cou une « clé d’or ». A côté de lui se trouve « FRANCARRET // (Vautour Accusator) » revêtu d’un habit de juge. Par terre au premier plan, le duc d’Orléans en « Oiseau Royal // (Fanfaronus Poulotus) », en habit militaire. A côté sont déposés des œufs sur un épais coussin rouge précisant la nature des œufs « PRINCIPICULES // EN // ŒUFS ». Viennent ensuite deux quadrupèdes posés sur un socle et se faisant face. Il s’agit de Guizot en hyène (le socle indique « GUIZOTHIENE (Doctrinarius Férox) », allusion à la doctrine de Guizot) et de Persil (le socle indique « CHACAL REQUISITOR Persicus », dénonçant la férocité avec laquelle Persil intente des procès contre les défenseurs des idées républicaines). A dte, la personnification de "La Caricature", portant un bonnet phrygien à cocarde tricolore, et dont l’extrêmité est décorée d’une plume et de grelots. Sa robe de chambre est décorée du motif de la poire transpersée d’une flèche. Il manipule un perroquet bleu incarnant Louis-Philippe. Il porte des épaulettes et l’écharpe de la légion d’honneur. Le roi avait déjà été caricaturé en perroquet afin de se moquer de sa propension à parler fréquemment des batailles de Valmy et Jemmapes, combats révolutionnaires de 1792 dans lesquels il se serait illustré (cf. pl. 86 du numéro 43 de "La Caricature"). Posé devant lui sur la table, un sac duquel se déversent des pièces d’or et portant l’inscription « Liste ». Il s’agit d’une allusion à la liste civile du roi. Enfin sur la table, de profil, se trouve d’Argout. Représenté avec une tête de pélican, il porte un petit costume et tient sous le bras le portefeuille du ministère de l’ « INT […] UR [INTERIEUR] ». La pancarte indique « NARGOUT // (Toucanus Nasiférus) 20/ ». Au tout premier plan, à dte, un porc-épic, emblème de la Caricature ou du journalisme d’opposition de manière plus générale (certains de ses pics sont des plumes d’écrivain ou des crayons lithographiques) s’attaque à un « SCORPION » qui est « Venimeux » et appartient à la « Famille Jiskêt », c’est-à-dire Gisquet, le préfet de la police de Paris. La pl. établit un parallèle entre cabinet scientifique et cabinet ministériel.‎

‎Personnages représentés:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Lameth, Charles Malo François de, comte; Guizot, François; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Thiers, Adolphe; Persil, Jean-Charles; Barthe, Félix; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Viennet, Jean Pons Guillaume; Mouton, Georges, comte de Lobau; Schonen, Auguste Jean Marie de, baron‎

Référence libraire : 25189

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Livres Anciens Komar
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‎Grandville & E.Forest.-‎

‎Résurrection de la Censure Et elle ressuscita le troisième jour après sa mort » (évangile St Luc) - Lithographie en noir.‎

‎1832 Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 5 janvier 1832, (Planche n°125)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 27.8cmx Largeur: 26.6cm- Titre en bas au centre : « Résurrection de la Censure. » ; légende plus bas au centre : « Et elle ressuscita le troisième jour après sa mort » (évangile St Luc) » ; indications, en ht à gche : « N°62. », en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « Pl. 125. Inscription - Dans la lettre : Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro-dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « J.J. Grandville / E. Forest [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sur les façades de théâtre, de gche à dte : « THEA[…] [THÉÂTRE] DE VARIÉTÉS », « […] [THÉÂTRE] NOUVEAU » ; noms des journaux indiqués sur des personnages ou des numéros épars : « CONSTITUTION[…] [CONSTITUTIONNEL] », « LA FRANCE [ ?] », « LA TRIBUNE » ; dans la boîte, sur des papiers : « PROCES du / MARECHAL / NEY » (maréchal Ney condamné à mort en 1815 ; jugé injuste par La Caricature); sur des pierres en bas,‎

Référence libraire : 24407

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte‎

‎Sopranos. Rondo allegretto con brio - An-vers prends garde, An-vers prends garde, car nous t’a-bat-trons bien.... Lithographie double coloriée sur blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 22 novembre 1832 (Planche n°225-226)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 52.2cm - Image: Hauteur: 28.1cmx Largeur: 46.3cm - Titre en bas au centre (paroles autour d’une partition de musique) : « Sopranos. Rondo allegretto con brio // An-vers [Anvers] prends garde, An-vers prends garde, car nous t’a-bat-trons [abattrons] bien. », « barytons // et basses-tailles // nous n’a-vons [avons] garde, nous n’a-vons garde, car nous nous te-nons [tenons] bien. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°109. », en ht à dte : « Pl. 225. 226. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue childebert n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, parmi les graffitis présents sur le monument central, signatures : « JJG EF » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe], et « ohé Forest ! » [Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sur le sac tenu en bandoulière sur l’épaule de d’Argout : « Ecole de // DESSIN » ; sur le fond de pantalon de Louis-Philippe, la représentation d’un texte titré « PROGRA […] PROGRAMME », évocation du programme de l’hôtel de ville sur lequel Louis-Philippe s’est assis, au sens propre dans la pl., comme au sens figuré tel qu’il est dénoncé par le caricaturiste ; Guizot porte un petit ouvrage en badoulière, duquel dépasse une feuille avec l’inscription « DOCTRINE » ; sur le grand monument autour duquel les hommes tournent : « CE MONUMENT // A ETE ERIGE // EN MEMOIRE DE LA GRANDE VICTOIRE // QUI SERA REMPORTEE // PAR L’ARMEE FRANCAISE SUR LES HOLLANDAIS // 15 NOV. 1832 » ; parmi les graffitis présents sur le monument central : « Credeville // voleur », « phi phi philipon », l’esquisse du portrait de d’Argout vu de profil avec un nez démesuré, une poire couronnée de lauriers, une poire à l’envers avec des ailes de chérubin (Louis-Philippe), une autre poire, plus grosse. En bas à dte, un graffiti caricaturant sans doute le duc d’Orléans vu de profil, et une autre figure, schématiquement tracée, représentant une tête casquée de profil (sur un corps sommairement dessiné)‎

‎iconographie:Dans une cour fermée par un muret décoré de deux vases, une ronde d’enfants se tenant la main tourne autour d’un haut monument commémoratif en forme de parallélépipède (un ressaut en arc de cercle a été ménagé dans le muret pour permettre de faire le tour du monument). Il s’agit en réalité des ministres, représentés avec leurs traits d’adulte mais avec une taille d’enfant. Depuis le fond à gche, vers le fond à dte, prennent place Lobau (vêtu d’une robe à rayures violettes, portant un chapeau en papier surmonté d’un panache tricolore. Une seringue à clystère est accrochée à son vêtement), Persil, Dupin (portant tous deux un couvre-chef rouge à pompon), Barthe (couvert de la coiffe de magistrat), le duc d’Orléans, d’Argout, Soult (dans ses habits de maréchal. Des croix d’honneur sont accrochées à ses bottes), Louis-Philippe (avec des sabots), Guizot (dont le corsage blanc est décoré de petites poires), trois personnages de dos non identifiables, Madier de Montjau (portant un pantalon jaune, et représenté très grand même enfant), et enfin Henri de Rigny. En ht du monument se trouvent des jouets et accessoires d’enfants en rapport avec le thème militaire : des cocottes en papier, un canon et un petit soldat de plomb. La pl. se moque de l’assurance qu’a le gouvernement français lors du siège de la citadelle d’Anvers par l’armée française (dirigée par le maréchal Gérard), en Belgique, face aux troupes hollandaises (siège du 15 novembre au 23 décembre). Monument commémoratif par anticipation. La pl. dénonce cette guerre meurtrière qui tua de nombreux soldats français, mais aussi bon nombre de civils belges. Grandville critique l’irresponsabilité des membres du gouvernement qui envisagent la guerre comme un jeu, sans avoir conscience des conséquences désastreuses.Personnages représentés:Mouton, Georges, comte de Lobau; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Gauthier de Rigny, Henri, comte; Madier de Montjau, Joseph Paulin; Barthe, Félix; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Guizot, François; Orléans, Ferdinand-Philippe d', duc; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron‎

Référence libraire : 25642

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Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847)- Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎Voyage... vive le rrrroi 1833 - Lithographie, Coloriée -Voyage de la pensée immuable à travers les populations empressées 1-‎

‎1833 Planche HT double ,d'une suite de 3, parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 24 octobre 1833 (324-325) • Hauteur: 35.8cmxLargeur: 52.2cmDimensions - Image :Hauteur: 29.4cm xLargeur: 44.8cm.Dimension de la feuille hauteur 346 mm x longueur 522 mm.Description: Titre en ht à dte : « VOYAGE » ; légendes, en bas, de gche à dte: « De ses bienfaits chez nous tout parle : // Que le jour de la paix vienne, et // Notre bonheur sera fait par le // Grand Roâ que chante Viennet. », « Vive le rrrrroî ! Vive le rouâ ! vive le roâ ! Vive l’roué ! viv’ le roué ! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°155. », en ht au centre : « Pl. 324 et 325. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie Vero Dodat » [éditeur], « Lith. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « J. J G. invt A D. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Auguste Desperet, lithographe]Inscription - Sur les marches de l’escalier menant au trône, un premier tapis portant des inscriptions : de bas en ht : « PROGRAM […] [PROGRAMME] », « NON // INTERVENTIO […] [INTERVENTION] », « DISSOLUTION // DES GARDES // NATIONAL […] [NATIONALES] », « NATIONALITE // POLONAISE », « ETAT DE // SIEGE // DE PARIS », « MISE EN // LIBE // RTE [LIBERTÉ] de // LA DUCHES […] [DUCHESSE] // [DE BERRY] ». Un second tapis sur le côté : « RESURRECTION // DE L’EDIT DE 1666. », « POURSUITE // DES AMIS // DU PEUPLE », « assommeurs // payés », « PROCES // AUX // JOURNAUX »Description iconographique:Pl. n°1 et 2 du "Voyage de la pensée immuable à travers les populations empressées". Cf. pl. n°3 et 4 (pl. 326-327 du numéro 156) et pl. n°5 et 6 (pl. 328-329 du numéro 157). Représentation de l’accueil réservé au roi par les populations de Lisieux et Evreux, lors de sa visite dans ces villes, en 1833 (Louis-Philippe a effectué un voyage en Normadie du 26 août au 12 septembre. Il s’est notamment rendu à Évreux, Lisieux, Falaise, Granville, Saint-Lô, Cherbourg, Bayeux, Caen, Rouen, Louviers, Le Havre). A gche se trouve le trône royal, au sommet de plusieurs marches. Ses pieds de devant sont sculptés en forme de tête de d’Argout, muni d’une trompe d’éléphant. Les accoudoirs sont sculptés en forme de seringues à clystère, et le dossier est marqué du mongramme de Louis-Philippe (« LP » entrecroisés). Au-dessus du dossier est posé une couronne surmontée d’un lampadaire tenu par Soult et Guizot ( ?). Derrière le trône se trouve un monumental arc de triomphe portant le nom des deux villes accueillantes (« EVREUX. » et « LISIEUX. »). Une frise décorative est composée d’une fleur de lys, d’une seringue à clystère, d’une poire entourée de fleur de lys et d’un coq. Dessous, un bas-relief d’un parapluie croisant une arme, et par-dessus un chapeau portant la cocarde tricolore. Dessous, une poignée de mains. Sur la base de l’arc, un motif de coffre fermé d’un cadenas, et en dessous, des sacs d’écus (« 1,000. »). Devant l’arc de triomphe, au premier plan, Viennet chevauchant un âne. Il tient une lyre en forme de poire entre les mains, porte une redingote dont le dos est marqué de l’inscription « IMPOPULARITE // MEPRIS ». Derrière lui, sur la selle est accroché un rouleau de son « EPÎTRE » surmonté d’un livre. Enfin, une petite plume d’écrivain est accrochée à sa chaussure. Tous ces éléments sont une référence à son ouvrage Epître aux mules de Don Miguel. Au second plan, des membres de la population acclament le roi : « les Constituées et les tamerlans, jusqu’aux femmes idolâtres de la royauté qu’elles ont élevé sur le pavois. » (des femmes vêtues en habit traditionnel). Au centre, au premier plan, des militaires se tiennent bien droit et portent leurs fusils devant eux. L’un, petit, tient un sabre sur le côté. Un autre, grand et peu élégant, derrière le groupe, tient le drapeau tricolore. A l’arrière-plan, une maison à la fenêtre de laquelle sèche du linge.Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Viennet, Jean Pons Guillaume; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron‎

‎Personnages représentés:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Viennet, Jean Pons Guillaume; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron‎

Référence libraire : 25192

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Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Livres de Livres Anciens Komar]

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‎Jean-Pierre Jossua Nicolas-Jean Séd‎

‎Interpréter. Hommage amical à Claude Geffré. Etudes réunies par Jean-Pierre Jossua et Nicolas-Jean Sed‎

‎Les éditions du Cerf 1992 328 pages 13x21x3cm. 1992. Broché. 328 pages.‎

‎Très bon état - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état- expédié soigneusement depuis la France‎

Référence libraire : 500010446

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Démons et Merveilles
Joinville France Francia França France
[Livres de Démons et Merveilles]

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‎Jean-Ignace-Isidore Gerard dit GRANDVILLE‎

‎Le pouvoir use les hommes. Lithographie par Jean-Ignace-Isidore Gerard dit GRANDVILLE‎

‎1832 Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 9 août 1832 (Planche n°187) Lithographie par Jean-Ignace-Isidore Gerard dit GRANDVILLE, 250 × 305, marges 275 × 355 , petits manques dans les marges,tache en marge. Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 22cm - Titre en bas au centre : « Le pouvoir use les hommes. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°92 », en ht à dte : « Pl. 187. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, sur un pavé en bas à gche, signature : « JJ. Grand » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur]Inscription - Sur les feuilles de papiers situées sous les figurines à terre, noms lois ou de ministères : « Loi // DU DIVORCE », « TRAVEAU [TRAVAUX] PUBLIC » sous d’Argout, « CHARIVARISE // DE [ ?] », « SCEAUX // JUSTICE » (sous Barthe).Description iconographique:Cf. explication de la pl. p. 734. Complément d’explication p. 758 du numéro 95. Le pouvoir est représenté par la figure de Louis-Philippe, vu de dos, en rémouleur de personnages, figures miniatures de ministres. Celui qu’il est en train de passer à la meule des épaulettes, pièces d’or et décorations, semble être Dupin aîné. Les autres, déjà passés à la meule, gisent à terre : Soult sous le genou gche du roi, d’Argout, qui appuie sa tête sur le corps de Soult, Lobau (avec une seringue à clystère se dressant à côté de lui) et Barthe, situé sous le banc. Les autres personnages à terre sont plus difficilement identifiables (peut-être Montalivet, dont le dos repose sur les jambes de d’Argout ?). Au second plan, des ministres, parmi lesquels on reconnaît Athalin à gche, descendent les marches du Palais Bourbon et transportent des caisses remplies d’autres petites figures (militaires, députés) que le pouvoir pourra passer sous meule. La manivelle permettant le fonctionnement de la meule est actionnée par un personnage souriant, portant un bonnet dont la pointe est pourvue de plumes et de grelots : sans doute s’agit-il de la personnification du journal "La Caricature", sous les traits de Charles Philipon. La pl. dénonce l’avidité avec laquelle sont enclins les ministres à recevoir des distinctions honorifiques, avidité qu’a bien comprise le roi qui se sert de cette faiblesse. La pl. présente les ministres comme de petits pantins sans volonté que le roi manipule sans difficulté en leur promettant des privilèges.baron‎

‎Devant le Palais-Bourbon, le Pouvoir, personnfie par Louis-Philippe assiste de la Caricature (Philippon), est en train de passer Dupin a la meule, a la « poudre a user » et a celle des epaulettes, des sacs d’or et des decorations. Il a deja use de cette facon Soult [...] Lobau et Barthe ainsi que d’autres ministres qui gisent a terre.‎

Référence libraire : 25155

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Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Livres de Livres Anciens Komar]

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‎N. J. HUGOU ci-devant de BASSVILLE ; [ HUGOU DE BASSVILLE, Nicolas Jean ]‎

‎Mémoires historiques, critiques et politiques de la Révolution de France, avec toutes les Opérations de l'Assemblée Nationale (Tome Premier)‎

‎2 tomes en 1 vol. in-8 br. sous couv. d'époque, Chez l'Auteur, Chez Bleuet, Paris, 1790, 2 ff. (faux-titre et titre), frontispice, pp. x-xv, lxxxxvj-116-152 pp.‎

‎Tome I seul (sur 4). Etat très satisfaisant (accroc en couv., très bon état par ailleurs). Journaliste et diplomate français, l'auteur sera assassiné à Rome lors d'une mission particulière le 13 janvier 1793.‎

Référence libraire : 44573

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SARL Librairie du Cardinal
Gradignan France Francia França France
[Livres de SARL Librairie du Cardinal]

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‎NICOLAS Jean.‎

‎ANNECY sous la Révolution. 1792-1799. Treizième numéro de la Revue Annesci.‎

‎Société des Amis du Vieil Annecy, 1956. Grand in-8, demi-chagrin rouge poli à coins, 5 nerfs au dos, tête dorée, couvertures et dos conservés, 175 pp plus pages de bibliographie et publicités.‎

‎Édition originale. Un des 250 exemplaires numérotés sur Vélin à grains comportant en hors-texte un bois gravé inédit de MARIE GAYON. Très bel exemplaire. Ex-Libris Martial Boyer. Photos sur demande.‎

Référence libraire : 5645

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Livres de A à Z
Paris France Francia França France
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‎NICOLAS JEAN‎

‎COURS DE PHILOSOPHIE ITALIENNE‎

‎A COMPTE D AUTEUR. NON DATE. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Intérieur frais. 191 pages - renfort adhésif plastiques vert au dos. . . . Classification Dewey : 450-Italien, roumain, rhéto-romain‎

‎troisieme edition / OUVRAGE EN ITALIEN ET FRANCAIS Classification Dewey : 450-Italien, roumain, rhéto-romain‎

Référence libraire : RO20210151

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Le-livre.fr / Le Village du Livre
Sablons France Francia França France
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‎Nicolas Jean‎

‎Etude clinique et pathogénique concernatn les applications cutanées de Bacilles de Koch morts- Sommaire: Introduction et Historique, Technique, Réactions, Observations, Indications thérapeutiques, Pathogénie, etc.‎

‎L. Ménard. Non daté. In-8. Broché. A relier, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 60 pages. Envoi d'auteur en page de garde.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi‎

‎Sommaire: Introduction et Historique, Technique, Réactions, Observations, Indications thérapeutiques, Pathogénie, etc. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi‎

Référence libraire : RO30317789

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Le-livre.fr / Le Village du Livre
Sablons France Francia França France
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‎NICOLAS Jean‎

‎Impatiences en Savoie à la veille de la révolution‎

‎2013, Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, mémoire et documents n° CXVI, in-8 broché de 144 pages, couverture illustrée couleur. Cet ouvrage réunit des articles du professeur Jean Nicolas dont les travaux ont profondément renouvelé la connaissance de la Savoie d'ancien régime. | Etat : Excellent état (Ref.: Ref87041)‎

‎Société savoisienne d'histoire et d'archéologie‎

Référence libraire : 2916362305

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Les Kiosques
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‎NICOLAS Jean‎

‎LA GYNECOLOGIE QUOTIDIENNE‎

‎HACHETTE LITTERATURE. 1980. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 185 pages. Quelques dessins en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine‎

‎Modeste manuel à l'usage de tous. Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine‎

Référence libraire : RO30027273 ISBN : 2010076273

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Le-livre.fr / Le Village du Livre
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‎NICOLAS JEAN‎

‎LA REBELLION FRANCAISE - MOUVEMENTS POPULAIRES ET CONSCIENCE SOCIALE 1661 - 1789‎

‎LE GRAND LIVRE DU MOIS. 2002. In-8. Relié. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 609 pages augmentées de nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 944-Histoire de France varia‎

‎Classification Dewey : 944-Histoire de France varia‎

Référence libraire : RO80168472

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‎Nicolas Jean‎

‎La Révolution française dans les Alpes - Dauphiné et Savoie‎

‎Bibliothèque historique Privat. 1989. In-8. Relié toilé. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 377 pages augmentées de nombreuses illustrations en noir et blanc,dans et hors texte. Jaquette en bon état.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 944.04-Révolution de 1789‎

‎Classification Dewey : 944.04-Révolution de 1789‎

Référence libraire : R200102173

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Le-livre.fr / Le Village du Livre
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‎NICOLAS Jean‎

‎La gynécologie quotidienne Modeste manuel à l'usage de tous‎

‎Hachette littérature 1980 185 pages in8. 1980. Broché. 185 pages.‎

‎french edition - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état. Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis la France‎

Référence libraire : 13454

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Démons et Merveilles
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‎NICOLAS Jean‎

‎Onze ans au paradis‎

‎P, Fayard, 1962, in8br,298pp , 1 carte 1943-1954, 11ans dans les camps russes. Impressionnant !! Langue: Français‎

Référence libraire : ML1682

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Nord - Sud
Kervignac France Francia França France
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‎Nicolas Jean‎

‎Questions de femmes - Malgré tout‎

‎François Maspero. 1977. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 103 pages. Quelques photos et illustrations en noir et blanc, hors texte. Couverture avec rabats.. . . . Classification Dewey : 305.4-La femme‎

‎Classification Dewey : 305.4-La femme‎

Référence libraire : R200110626

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Le-livre.fr / Le Village du Livre
Sablons France Francia França France
[Livres de Le-livre.fr / Le Village du Livre]

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‎NICOLAS Jean.‎

‎Questions de femmes.‎

‎Maspero, 1977. In-12, broché.‎

‎[12128]‎

Référence libraire : 12128

Livre Rare Book

Librairie DHOUAILLY SAS
Paris France Francia França France
[Livres de Librairie DHOUAILLY SAS]

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‎Nicolas Jean‎

‎Questions de femmes‎

‎La Découverte 1979 103 pages in8. 1979. Broché. 103 pages.‎

‎french édition - quelques marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en bon état. Expédition soignée sous blister dans une enveloppe à bulles depuis la France‎

Référence libraire : 78953

Livre Rare Book

Démons et Merveilles
Joinville France Francia França France
[Livres de Démons et Merveilles]

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‎NICOLAS Jean‎

‎La gyn�cologie quotidienne Modeste manuel � l'usage de tous‎

‎Hachette litt�rature 1980. in8. Broch�. 185 pages. Hachette litt�rature unknown‎

Référence libraire : 13454

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SABIBLIOTHEQUE
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[Livres de SABIBLIOTHEQUE]

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‎Nicolas Jean‎

‎La Rébellion Française. Mouvements Populaires et conscience sociale 1661-1789‎

‎P. Editions du Seuil 2002. P. Editions du Seuil unknown‎

Référence libraire : 14261

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LIBRAIRIE EMMANUELLE MORIN
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[Livres de LIBRAIRIE EMMANUELLE MORIN]

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‎Nicolas Jean‎

‎Questions de femmes‎

‎La D�couverte 1979. in8. Broch�. 103 pages. La D�couverte unknown‎

Référence libraire : 78953

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SABIBLIOTHEQUE
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[Livres de SABIBLIOTHEQUE]

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‎Philipon, Charles (Lyon, 19–04–1800 - Paris, 25–01–1862), auteur du modèle‎

‎A ton nez d’Arg... ! à ton œil Bartholo ! à vous tous, Ventrus !! -Lithographie originale en couleur sur Velin blanc.‎

‎Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 28 mars 1833 (Planche n°259) - Œuvre : Hauteur: 27.3cm x Largeur: 35.8cm - Image : Hauteur: 18.5cmx Largeur: 27.5cm - Titre en bas au centre : « A ton nez d’Arg... ! à ton œil Bartholo ! à vous tous, Ventrus !! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°259. », en ht à dte : « Pl. 125. » (intervertion entre n° pl. et numéro du journal) - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur]; dans l’image, sur une feuille de papier, signature : « Ch. Invt. AD scul » [Charles Philipon, inventeur du modèle, et Auguste Desperet, dessinateur]‎

‎iconographie:Le bouffon de "La Caricature" décoche des crayons lithographiques, tels des flèches, avec son arc dans les nombreuses têtes de l’hydre de Lerne dont le corps se cache derrière des colonnes et dont on n’aperçoit qu’une patte griffue. Ces têtes ont les traits des membres du gouvernement : Persil, reconnaissable à son nez en forme de scie et son chapeau de magistrat, Soult juste derrière lui, Barthe, ayant reçu une flèche en plein œil, d’Argout atteint au nez, Dupin, ayant reçu une flèche dans la bouche, Louis-Philippe au fond dont on ne devine que le toupet et les favoris. Enfin, Lobau en bas, et Guizot, touché en plein front. La patte est posée sur des pièces d’or et des feuilles portant les titres « Edit de // 1666 » (il s’agit de lois d’Ancien Régime, tels ces édits de 1666 restreignant les pouvoirs du Parlement et renforçant le contrôle du roi sur l’accès à la noblesse), « Etat […] [de] // Sièg […] [Siège] » (référence à l’état de siège de 1832). Un autre papier, situé sous la tête de Persil, porte une inscription illisible. Au pied du bouffon de "La Caricature" se trouvent des exemplaires des journaux « LA CARICATURE » et « Le Chariv […] [Charivari] ». La scène se déroule dans ce qui semble être la cour intérieure d’un palais, certainement le palais des Tuileries. La pl. se propose de mettre en imge la combat perpétuel que mène les journaux d’opposition La Caricature et Le Charivari contre ce qu’ils considèrent être des abus du gouvernement de la monarchie de Juillet.Personnages représentés :Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Guizot, François; Barthe, Félix; Mouton, Georges, comte de Lobau; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron‎

Référence libraire : 25253

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Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
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‎Roubaud, Benjamin (dit Benjamin)‎

‎La France traine [traîne] son boulet - Lithographie sur blanc-‎

‎1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 27 décembre 1833 (Planche n°345)- Lithographie sur blanc- Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 18cmxLargeur: 28cm - Titre en bas au centre : « La France traine [traîne] son boulet. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) 164. », en ht à dte : « Pl. 345. » Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie vero dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur],pli à gauche,sinon bon.‎

‎Dans un paysage de plaine désolée, un monticule de pierres à dte, sur lequel est assise la figure de la France, sous les traits d’une femme plantureuse vêtue d’une robe sombre ouverte sur un large décolleté, couronnée d’une maquette de fortifications (la désignant comme l’allégorie de la France). Son bras gche est posé sur ses jambes, tandis qu’elle appuie son front sur sa main dte, le bras plié et posé sur une pierre. La pl. propose une image de la France affligée. La cause de cet accablement est accrochée à son pied gche : elle est en effet enchaînée à un boulet de prisonnier dont la forme s’apparente à celle d’une poire. Il est représenté au premier plan à gche. Il s’agit de la représentation caricaturale du visage du roi Louis-Philippe. Ainsi la pl. critique vivement la politique menée par le roi Louis-Philippe, en assimilant ce dernier à un boulet, c’est-à-dire une entrave au bon développement du pays. C’est une manière de dénoncer le bafouement des principes républicains. Une souche d’arbre mort située derrière la France contribue à amplifier l’atmosphère pathétique qui se dégage de cette pl. Enfin, à l’arrière-plan, deux hommes, habillés en gardes, surveillent la France. Il s’agit de Soult et Lobau. Critique de la situation présente jugée intolérable, cette pl. est également un encouragement à faire évoluer les choses et est signe d’espoir, si l’on en croit l’explication : « La France n’est pas condamnée au boulet à perpétuité, et tôt ou tard la Liberté le lui détachera ».Personnages représentés: Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Mouton, Georges, comte de Lobau‎

Référence libraire : 25651

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Livres Anciens Komar
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‎Travies de Villers,Charles Joseph -TALLEYRAND‎

‎Il serait plus facile d’arreter le soleil.Lithographie.‎

‎1833 Planche HT double parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 20 décembre 1833 (Planche 341-342)- Hauteur: 35.6cmxLargeur: 53cmDimensions - Image :Hauteur: 27.5cmx Largeur: 48cm - Titre en bas au centre : « IL SERAIT PLUS FACILE D’ARRÊTER LE SOLEIL. » ; indications : en ht à gauche : « La Caricature (Journal) N°163. », en ht à dte : « Pl. 341 et 342. »- Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « C.J. Traviès. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Inscription - Sur les feuilles emballant les pierres, sous les roues du char, des inscriptions, de dte à gche : « Congrès », « Ste Alliance », « Légitimité // quasi-légitim […] légitimité », « ARMEES // PERMANANTES [PERMANENTES] », « INQUISITION // DE LA // PENSEE », « Inviolabilité // Royale », « Irrespon // sabilité [Irresponsabilité] // royale », « IMPÔTS », « PRIVILEGES // et // MONOPOLES ». Sur les cordes attachées au char et que tiennent les ministres : « PROCES A LA PRESSE », « attaques au jury AMENDES », des noms de prisons : « MONT St MICHEL. la Force » (2e câble), « illégalité état », « siège Conseils de guerre », « ecrivains [écrivains] [ ?] LEVES A leur juges [ ?] » (1e câble). Sur les papiers à terre sous les genoux de Talleyrand : « TRAITE D […] [DE] // 1815 // PROTOCOLE // 1833 », « il ne faut pas // flatter les peuples »La figure de la liberté, sous les traits d’une femme portant un bonnet phrygien décoré d’une cocarde tricolore, est debout dans un char, tenant une lance dans la main gche et les rênes des deux chevaux dans l’autre. Derrière, les ministres de la monarchie de Juillet et le roi tentent de retenir le char dans sa marche. Ils forment « la mauvaise queue de la contre-révolution » (in explication). Soult, d’Argout, Guizot, Montalivet et Persil tendent la première corde. (celle de l’illégalité, de l’état de siège, des conseils de guerre). Barthe, Humann, Dupin et Gisquet tirent le câble des attaques contre la presse, des amendes… Thiers s’accroche à la redingote du roi. Le bâton des « Procès à la PRESSE » a été jeté dans une des roues du char pour freiner son avancée. Talleyrand jette des pierres sur le chemin de la Liberté afin de ralentir le char. Elles sont emballées dans des feuilles portant des inscriptions mentionnant les diverses mesures prises pour contrecarrer l’avancée de la république. A quatre pattes par terre, sa main dte repose sur une pierre portant le projet d’une « 3e Restaura […] [Restauration] » pour la France. L’explication précise que « la Liberté se rit de ces vains efforts, qui en font que retarder un peu sa marche prudente, et passe par-dessus ces pierres d’achoppement, qui produisent à peine de légers cahots. ». Le corbeau, oiseau de mauvais augure, plane au-dessus de la scène. Il est annonciateur d’un destin funeste à cette entreprise qui vise à détruire la république et la liberté. La phrase de titre est significative de l’impossibilité de freiner la marche de la liberté qui « poursuit sa carrière, d’un pas lent, mais sûr » (in explication).‎

‎Personnages représentés :Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet; Humann, Jean Georges; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Thiers, Adolphe; Guizot, François; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Barthe, FélixLa Liberte, radieuse sur son char tire par deux chevaux, avance lentement mais surement. Talleyrand, au premier plan, cherche a entraver la marche du char en placant des paves (impots, privileges etc...) sous ses roues. Derriere le char, Louis-Philippe aide par Thiers, cherche aussi a arreter le char ainsi que Soult, d’Argout, Guizot, Montalivet et Persil. Berthe, Humann, Dupin et Guisquet tirent le cable des attaques contre la presse. La Liberte se rit de ces vains e orts qui ne retardent sa marche que tres legerement.La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No.163, Plate 341–2. [Paris ] I. de Becquet for Maison Aubert [20 December 1833] Lithograph. Overall paper size 35.7 × 55.5 cm. Central vertical fold.Caricature of the forces of French reaction attempting in vain to halt the triumph of Liberty represented standing serenely on a chariot holding a spear in her left hand, whilst guiding two splendid stallions to advance. Behind the chariot, Louis-Philippe, his ministers, and judges are desperately trying to stop it moving forward; some are so exhausted, a crow is tempted to attack them from above. In the foreground, Talleyrand, crouching on old legislation, is trying to damage the spokes of the wheel by throwing rocks at it; nine rocks already thrown, bear the names of past issues between the king and the opposition.‎

Référence libraire : 24411

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Livres Anciens Komar
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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎L'ADORATION DU VEAU D'OR.Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 8 mai 1834 (Planche n°384)‎

‎Inscription - Titre en bas au centre : « L’ADORATION DU VEAU D’OR. » ; légende plus bas au centre : « ………………………. // 8°. Ils se sont fait un veau d’or et ils l’ont adoré. // 9°. Le Seigneur dit encore à Moïse ; je vois que ce peuple a la tête dure. // (Exode // Chap : XXX11 [XXXII].) » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°183. », en ht à dte : « Pl. 384. »Inscription - Dans la lettre : « Au Bau., chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur]Inscription - Les sacs portent les inscriptions : « MARCHES », « RECETTES GENERALE […] [GENERALES] // SINECURES », « TRAITEMENTS // DES // MINISTRES », « CONSEIL // D’ETAT », « DIRECTIONS // GENERALES », « FONDS // SECRETS », « RETRAITE ». A l’arrière de la redingote de Viennet sort un exemplaire de son Epître aux mules, rebaptisé par la pl. en « ANERIES ». A côté des portefeuilles des ministères, à terre au premier plan, gisent à terre les dossiers du « BUDGET // 1834 » et de la « PREFECTURE »Description iconographique:Parodie d’un épisode de l’Exode contenu dans l’Ancien Testament, lors duquel les Hébreux construisirent une idole, une statue de veau en or. Moïse, redescendu du mont Sinaï, les surprit adorant le veau. Le Troisième Commandement interdisant l’adoration des idoles, Moïse se mit en colère et décida de tuer ces hérétiques. La référence à l’adoration du veau d’or est fréquemment utilisée pour dénoncer une attitude idolâtre. Et c’est dans cette attitude que sont représentés les membres du gouvernement, adorant leur idole, laquelle est une très grande médaille ayant pour motif le profil du roi Louis-Philippe. Cette médaille est montée sur un monticule de sacs. La forme de ce tas s’apparente à celle d’une poire. D’après Le Men, « la silhouette poiréiforme de Louis-Philippe est une image arcimboldesque constituée d'une pile de sacs d'or, surmontée en guise de tête d'un louis d'or frappé de l'auguste profil royal ». D’après l’explication, « M. Viennet lui offre les émanations de son encensoir moral et infangeux ; M. Lobau lui fait hommage de son clysoir ; M. Persil de sa scie ; M. d’Argout fait sur son autel le sacrifice de son nez, lequel sacrifice n’est pas un simple holocauste, mais peut, à la rigueur, vu l’ampleur de la chose sacrifiée, passer pour une véritable hécatombe ». D’autres ministres sont présents : Barthe à gche, tenant sa toque de magistrat entre les mains, Madier de Montjau à l’extrême dte, les mains jointes en signe d’adoration, et Soult, au premier plan à dte, occupé à percer un sac pour récupérer avidement des pièces d’or. Derrière Persil, on aperçoit Thiers. A l’arrière-plan à dte, on aperçoit d’autres personnes à genoux, adoratrices de l’idole. Tout en se moquant de l’adoration de l’argent et des privilèges par les membres du gouvernement, la pl. prédit à ces derniers un avenir funeste, puisque l’adoration du veau d’or par les Hébreux les a conduits à leur perte. La légende de la pl. se compose d’une adaptation d’un extrait de la ligne 8 (dont le texte original est : « ils se sont fait un veau en fonte, ils l'ont adoré ») et d’une citation exacte de la ligne 9 « Le Seigneur dit encore à Moïse : Je vois que ce peuple a la tête dure » du chapitre 32 de l’Exode.Personnage représenté:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Madier de Montjau, Joseph Paulin; Viennet, Jean Pons Guillaume; Barthe, Félix; Thiers, Adolphe; Persil, Jean-Charles; Mouton, Georges, comte de Lobau; Soult, Nicolas-Jean de Dieu‎

Référence libraire : 25133

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎La fête a été magnifique et l’allégresse universelle- lithographie originale‎

‎1959 Planche 195 de La Caricature N° 95.La Caricature, 30 aout 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare‎

‎Titre en bas au centre : « La fête a été magnifique // et l’allégresse universelle. » ; légende plus bas à dte : « (Moniteur) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°95 », en ht à dte : « Pl. 195. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche de l’image sup., signature : « CJ. Traviès » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Deux images superposées. L’image au niveau sup. représente une fête donnée par Louis-Philippe, présent au centre de la composition, de dos. Autour de lui, la foule des courtisans. On y reconnaît, entre autres, d’Argout à gche, et Soult à l’extrême gche. A dte prennent place des convives buvant. L’un se précipite sur une boisson avec frénésie. L’image au niveau inf. montre de nombreux détenus entassés dans une prison souterraine et sombre. Contraste saisissant entre les deux scènes. Traviès dénonce ici les conditions déplorables de détention dans les prisons, en particulier celles de Sainte-Pélagie et de la Force. La révolte face à cette situation au sein de "La Caricature" est d’autant plus grande que Daumier venait de se faire emprisonner (à cause de la pl. représentant Louis-Philippe en Gargantua, laquelle a fortement déplu au gouvernement). L’explication propose de mettre en regard l’extrait d’un article du Moniteur évoquant la réception royale, et un texte évoquant les conditions déplorables réservées aux prisonniers (Ricart Farat mort en prison, Raspail et Bonias déplacés de prison en prison…). La décence aurait réclamé davantage de sobriété de la part du Moniteur décrivant la fête royale, eu égard aux conditions indignes des prisonniers. Et surtout, elle aurait désiré ne pas lire que l’allégresse avait été « universelle », puisque de nombreux prisonniers, eux, au même moment, croupissent en prison.Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron‎

Référence libraire : 25178

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