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‎DAUDET, Alphonse‎

‎La Belle-Nivernaise : histoire d'un vieux bateau et de son équipage. Illustrations de MONTéGUT‎

‎Paris, Marpon et Flammarion 1886 In-4 28 x 19 cm. Cartonnage de l’éditeur pleine percaline rouge à décor polychrome de Montégut, tranches dorées, 228 pp. + catalogue 16 pp. Nombreuses illustrations in et hors-texte de Montégut. Rares. rousseurs. Coins très légèrement émoussés. Bon exemplaire.. Très bon état. Poids sans emballage : 1550 grammes. Edition Originale de ce beau roman écrit pour les enfants, par Alphonse Daudet, avec vignette de titre et le portrait de Lucien Daudet, et la dédicace imprimée en auréole: "Je dédie ce livre de jour de l'an à mon cher petit garçon Lucien Daudet." Il est suivi de plusieurs contes dont le fameux "Les trois messes basses." Les illustrations de Montégut en premier tirage, sont réalisées par un procédé de glyptographie. Le cartonnage d'Engel est orné d'une plaque dorée signée Souze, elle représente la péniche la "Belle Nivernaise", à quai.‎

‎Bon état d’occasion‎

Référence libraire : 24209

Livre Rare Book

Librairie de l'Avenue
Saint-Ouen France Francia França France
[Livres de Librairie de l'Avenue]

€ 159,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse‎

‎Les Absents. Opéra comique en un acte. Paroles de M. Alphonse Daudet. Musique de M. Ferdinand Poise.‎

‎Paris Michel Lévy frères 1865 grand in-18 plaquette cousue Paris, Michel Lévy frères, 1865. 18,5 x 12,5 cm, grand in-18, (4) 35 pp., plaquette cousue sous couverture saumon imprimée.‎

‎Edition originale peu commune de cet opéra comique "représenté, pour la première fois, à Paris, sur le théâtre impérial de l'Opéra-Comique, le 26 octobre 1864". Il existe également une édition de 1863 dont le texte est différent. De la bibliothèque du grand bibliophile Victor Mercier, avec, sur le papier de couvrure, son paraphe et la mention "collationné complet". Bel exemplaire. (BRIVOIS, pp. 64-65 ; VICAIRE, III, 35) Très bon‎

Référence libraire : 4036

Livre Rare Book

Julien Mannoni livres anciens
Paris France Francia França France
[Livres de Julien Mannoni livres anciens]

€ 75,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse - L'Epine, Ernest‎

‎La Dernière idole. Drame en un acte, en prose.‎

‎Paris Michel Lévy frères 1862 grand in-18 broché Paris, Michel Lévy frères, 1862. 19 x 13 cm, grand in-18, 28 pp. - 36 pp. de catalogue de l'éditeur, broché sous couverture verte imprimée.‎

‎Edition originale peu commune de ce drame "représenté pour la première fois, à Paris, sur le théâtre impérial de l'Odéon, le 4 février 1862". Il s'agit de la première pièce d'Alphonse Daudet et de son troisième livre publié. De la bibliothèque du grand bibliophile Victor Mercier, avec, au revers de la couverture, son paraphe et la mention "collationné complet le 17 novembre 1921". Quelques rousseurs. (BRIVOIS, p. 63 ; VICAIRE, III, 34) Bon‎

Référence libraire : 4037

Livre Rare Book

Julien Mannoni livres anciens
Paris France Francia França France
[Livres de Julien Mannoni livres anciens]

€ 75,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse - Manuel, Ernest [pseudonyme de Ernest L'Epine]‎

‎Le Frère ainé, drame en un acte, en prose.‎

‎Paris Michel Lévy frères 1868 grand in-18 broché Paris, Michel Lévy frères, 1868. 19 x 13 cm, grand in-18, (4) 29 pp., broché sous couverture verte imprimée.‎

‎Edition originale peu commune de ce drame "représenté pour la première fois, à Paris, sur le théâtre du Vaudeville, le 19 décembre 1867". De la bibliothèque du grand bibliophile Victor Mercier, avec, au revers du papier de couvrure, son paraphe et la mention "collationné complet le 27 avril 1894". Quelques rousseurs et une vague trace de torsion. (BRIVOIS, pp. 65-66 ; VICAIRE, III, 35) Bon‎

Référence libraire : 4041

Livre Rare Book

Julien Mannoni livres anciens
Paris France Francia França France
[Livres de Julien Mannoni livres anciens]

€ 70,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse - Manuell, Ernest [pseudonyme de Ernest L'Epine]‎

‎L'Oeillet blanc. Comédie en un acte, en prose.‎

‎Paris Michel Lévy frères 1865 grand in-18 broché Paris, Michel Lévy frères, 1865. 19 x 13 cm, grand in-18, 36 pp., broché sous couverture bleue imprimée.‎

‎Edition originale de cette comédie "représenté pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre-Français, par les comédiens ordinaires de l'Empereur, le 8 avril 1865". De la bibliothèque du grand bibliophile Victor Mercier, avec, au revers du papier de couvrure, son paraphe et la mention "collationné complet le 29 avril 1894". Exemplaire un peu flétri. (BRIVOIS, p. 65 ; VICAIRE, III, 35) Bon‎

Référence libraire : 4038

Livre Rare Book

Julien Mannoni livres anciens
Paris France Francia França France
[Livres de Julien Mannoni livres anciens]

€ 50,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse.‎

‎Contes du lundi. La partie de billard. Le porte drapeau. Le juge de Colmar. La dernière classe. Le képi. Le turco de la commune. Le teneur de livres. Un réveillon. Monologue à bord. Le mauvais zouave. L'empereur aveugle, etc.‎

‎Paris, Lemerre, 1873. In-12, demi basane rouge de l'époque, dos lisse orné de motifs dorés, 258 pp. Edition originale très recherchée selon Clouzot (p 81). Intérieur frais, ex libris de Galernat notaire à Lingèvres, signature de Galernat sur la page de titre ayant déteint sur la page de garde. Trois petits trous de vers en bas du dos, coiffes légèrement frottées.‎

Référence libraire : DEZ-414

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livres de Librairie Lang]

€ 420,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse.‎

‎Fromont Jeune et Risler Aîné. Moeurs parisiennes.‎

‎Paris, Charpentier, 1874. In-12, demi chagrin, dos à nerfs, titre doré, 388 pp. Edition originale (cf Clouzot). Intérieur frais. Quelques tâches blanches et brunes sur les plats, coins légèrement émoussés, coiffes légèrement frottées.‎

Référence libraire : DEZ-408

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livres de Librairie Lang]

€ 80,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse.‎

‎L'Obstacle. Pièce en 4 Actes.‎

‎Paris, Marpon et Flammarion, sans date (1891). In-12, demi chagrin époque, dos à nerfs orné de fleurons dorés, titre doré. Faux-titre, titre, 2 ff non chiffrés, 238 pp, 1 p non chiffrée. Edition originale illustrée de compositions in-texte, en noir par Bieler, Gambard, Marold et Montégut. Exemplaire légèrement gauchi, signature et date écrites à l'encre sur la page de garde, quelques rousseurs.‎

Référence libraire : DEZ-8095

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livres de Librairie Lang]

€ 35,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse.‎

‎La Belle-Nivernaise. Histoire d'un vieux bateau et de son équipage.‎

‎Paris, Marpon et Flammarion, sans date (1886). In-4, demi toile époque, titre doré, faux-titre, titre, 1 f non chiffré, 226 pp, 2 pp non chiffrées. Edition originale, illustrée de nombreuses compositions in texte par Montégut (manques les gravures hors texte). Coins émoussés, coupes, plat supérieur et toile frottés, quelques rousseurs, mouillures claires en fin de volume.‎

Référence libraire : DEZ-5228

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livres de Librairie Lang]

€ 35,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse.‎

‎La Petite paroisse.‎

‎Paris, Lemerre, 1895. In-12, demi chagrin, dos à nerfs orné de filets dorés, titre doré, faux-titre, titre, 452 pp. Edition originale. Coins inférieurs légèrement abîmés, papier un peu jauni, tampons d'un ancien propriétaire sur le faux-titre et le titre.‎

Référence libraire : DEZ-5373

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livres de Librairie Lang]

€ 40,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse.‎

‎Port-Tarascon, dernières aventures de l'illustre Tartarin.‎

‎Paris, Dentu, 1890. In-8, demi toile, dos lisse orné d'un fleuron à froid, titre à froid, mention à froid "Paul Duval Elbeuf" en pied, tranche supérieure dorée, faux-titre, titre, 1 f non chiffré, 392 pp. Edition originale contenant de nombreuses illustrations in et hors texte de Bieler, Conconi, Montégut, Montenard, Myrbach et Rossi. Collection "Guillaume". Exemplaire légèrement gauchi, coins inférieurs émoussés, petit manque de papier sur le plat supérieur, rousseurs éparses.‎

Référence libraire : DEZ-4446

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livres de Librairie Lang]

€ 45,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse.‎

‎Rose et Ninette, moeurs du jour.‎

‎Paris, Flammarion, sans date (1892). In-12, demi toile époque, dos lisse orné d'un fleuron et de filets dorés, titre doré, faux-titre, titre, 264 pp. Edition originale. Frontispice et page de titre illustrée par Marold. Collection "Guillaume". Coiffes frottées, dos légèrement insolé, exemplaire gauchi, mouillure claire en tout début de volume, papier u peu jauni, quelques rousseurs (surtout en début et fin de volume).‎

Référence libraire : DEZ-4445

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livres de Librairie Lang]

€ 25,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse.‎

‎Souvenirs d'un homme de lettres.‎

‎Paris, Marpon et Flammarion, sans date (1888). In-12, demi chagrin à coins, dos à nerfs orné de fleurons, de filet et de motifs dorés, plats ornés de filets dorés, tranches supérieure dorée, titre doré, 262 pp, 7 ff non chiffrés (catalogue éditeurs). Edition originale, ornée de nombreuses illustrations in texte en noir et blanc par Bieler, Montégut, Myrbach et Rossi, gravées par Ch. Guillaume. Collection "Guillaume". Couvertures conservées. Coins très émoussés, coiffes légèrement frottées, dos légèrement insolé, mors légèrement frottés, quelques rousseurs (surtout sur les tranches).‎

Référence libraire : DEZ-1476

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livres de Librairie Lang]

€ 35,00 Acheter

‎Daudet, Alphonse.‎

‎Tartarin sur les Alpes. Nouveaux exploits du héros tarasconnais.‎

‎Paris, Calmann-Lévy, éditions du Figaro, 1885. In-8, demi basane à coins éditeur, dos lisse orné du "F" doré et stylisé du Figaro, titre doré au dos et sur le plat supérieur, tranche supérieure dorée, "F" doré et stylisé du Figaro sur le plat supérieur, 334 pp, 3 ff non chiffrés. Edition originale illustré de nombreuses aquarelles en noir et en couleurs, in et hors texte par Aranda, de Beaumont, Montenard, de Myrbach, Rossi, gravure de Guillaume frères, couvertures conservées. Coins tordus et usés, coiffes frottées, exemplaire légèrement gauchi. Intérieur frais.‎

Référence libraire : DEZ-5283

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livres de Librairie Lang]

€ 40,00 Acheter

‎Daudet, Ernest‎

‎Le Procès des Ministres (1830)‎

‎1877 Editions A. Quantin, Paris, 1877. In-8 demi-chagrin. (xiv), 316 pages.‎

‎Très bon exemplaire, hormis de pâles rousseurs sur la page de titre. Edition originale‎

Référence libraire : 1882

Livre Rare Book

Livres Anciens Gilles Barbero
Arles France Francia França France
[Livres de Livres Anciens Gilles Barbero]

€ 75,00 Acheter

‎DAUDET, Léon - STOBBAERTS-MARCEL ill.‎

‎Notes d'un Exilé (Londres et La Flandre).‎

‎A.A. Stols, Editeur, Maestricht & Bruxelles, 1929, 1 volume de 165x250 mm environ, 142 pages, broché. Edition originale, Exemplaire N° 23, un des 50 exemplaires sur papier de Hollande des Manufactures Pannekoek, numérotés de 16 à 65, illustré d'un frontispice et de bandeaux gravés sur bois par Stobbaerts-Marcel. Dos insolé avec plis et début de fente, intérieur bon état.‎

‎Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

Référence libraire : 85616

Livre Rare Book

Librairie Diogène
Lyon France Francia França France
[Livres de Librairie Diogène]

€ 60,00 Acheter

‎DAUDET, Léon.‎

‎Courrier des Pays-Bas, rédigé en exil. 1. La Ronde nuit. 2. Les horreurs de la guerre. 3. Mélancholia. 4. Les pélerins d' Emmaüs.‎

‎Paris, Bernard Grasset, 1928 ; 4 volumes in-8, pleine percaline rouge à la bradel, date dorée au dos en pied, titre et tomaison dorés sur étiquette de maroquin fauve, tête dorée, couverture et dos conservés (A. Mertens relieur); 226pp., (2)ff.; 256pp., (2)ff.; (300)pp., (2)ff.; 338pp., 2ff.Les étiquettes de titre sont légèrement frottées.‎

‎Bel exemplaire de l'Edition originale numérotée sur alfa, bien complet des quatre volumes.(GrDB)‎

Référence libraire : c5435

Livre Rare Book

Livres Anciens N. Rousseau
Reuilly France Francia França France
[Livres de Livres Anciens N. Rousseau]

€ 80,00 Acheter

‎Daudet, Léon.‎

‎Les idées en marche.‎

‎Paris, Charpentier et Fasquelle, 1896. In-12, demi chagrin, dos à nerfs, titre doré, mention E.P en pied, 388 pp. Edition originale. Couverture conservée. Coins légèrement émoussés, papier jauni.‎

Référence libraire : DEZ-563

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livres de Librairie Lang]

€ 70,00 Acheter

‎Daudet, Léon.‎

‎Termites parlementaires.‎

‎Paris, éditions du Capitole, 1930. In-12, broché couverture rempliée, 194 pp, 1 p non chiffrée. Edition originale, tirage limité numéroté à 3500 exemplaires, celui-ci étant un des 52 sur papier du marais marqués A.B.L réservés à la société de bibliophiles "les amis des beaux livres" et portant le numéro A.B.L. 50. Collection "Les effondrements sociaux". Ouvrage illustré en noir par Sennep. Dos insolé et avec de petites déchirures, quelques rousseurs au plat inférieur et à l'intérieur.‎

Référence libraire : DEZ-4479

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livres de Librairie Lang]

€ 50,00 Acheter

‎DAUDET, Léon.‎

‎Vingt-neuf mois d'exil.‎

‎Grasset, 1930, 1 volume de 120x190 mm environ, 294 pages, broché, feuillets non coupés. Edition originale, Exemplaire Alfa 491/570. Couverture légèrement salie, bas du dos émoussé avec début de fente, intérieur bon état.‎

‎Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

Référence libraire : 87449

Livre Rare Book

Librairie Diogène
Lyon France Francia França France
[Livres de Librairie Diogène]

€ 20,00 Acheter

‎DAUDET, Yves (1940-.... ) juriste - Préface de Claude-Albert COLLARD (1913-1990)‎

‎Les Conférences des Nations Unies pour la codification du Droit International, par Yves Daudet, préface de C. A. Colliard (Thèse de doctorat) PARIS, Lib. Gén. de Droit & de jurisprudence R. Pichon & R. Durand-Auzias "Bibliothèque de droit international, Tome 43 - 1968 - In-8, 25 cm - Broché - XIV-346 pages + Table - très propre - Réf. 23198‎

‎PARIS, Lib. Gén. de Droit & de jurisprudence R. Pichon & R. Durand-Auzias "Bibliothèque de droit international, Tome 43 - 1968 - In-8, 25 cm - Broché - XIV-346 pages + Table - très propre - Réf. 23198‎

‎DAUGER D. ET DAYEN D.‎

‎Histoire du Limousin contemporain‎

‎Corrèze, Creuse, Haute-Vienne de 1814 à nos jours. Ex-dono manuscrit sur page de garde blanche. Broché sous couverture illustrée. Très bon Souny 1988 1 volume in-8°‎

‎édition originale‎

Référence libraire : 14706

Livre Rare Book

Librairie Seigneur
Voingt France Francia França France
[Livres de Librairie Seigneur]

€ 15,00 Acheter

‎DAUGHTERS OF THE AMERICAN COLONISTS.‎

‎HISTORY OF THE PENNSYLVANIA STATE SOCIETY DAUGHTERS OF THE AMERICAN COLONISTS.‎

‎322 p. Illustrated. 8vo. Original full cloth binding. Includes genealogical information on a broad spectrum of early settlers. Many early German-American families are mentioned too. PA 48 **PRICE JUST REDUCED!‎

‎Daumal (René)‎

‎La Grande beuverie.‎

‎Paris Gallimard 1939 In Collection Métamorphoses VI. Un volume in-8 broché, couverture beige imprimée, 152 pages et table. Dos bruni, petit manque au dos, exemplaire non coupé, édition originale dont il n'a pas été tiré de grand papier.‎

‎La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.‎

Référence libraire : 12417

‎DAUMAL (René).‎

‎Le Contre ciel.‎

‎Paris : Université de Paris / Société des Amis de la Bibliothèque Jacques Doucet, 1936. Un volume broché (15,5x20,5 cm), 97 pages. Edition originale du premier livre de l'auteur tirée à 315 exemplaires : 1/203 exemplaire sur papier d'Auvergne vélin à la forme (n°97), après 10 exemplaires sur papier de Chine. Avec une lithographie originale d'Etienne Cournault. Petites rousseurs sur les tranches sinon bel exemplaire. Comprend le rare bandeau du prix Jacques Doucet 1936.‎

Référence libraire : 46149

Livre Rare Book

Le Livre à Venir
Chantelle France Francia França France
[Livres de Le Livre à Venir]

€ 400,00 Acheter

‎DAUMAL René‎

‎Essais et notes I. - Chaque fois que l'aube paraît.‎

‎Gallimard NRF Paris 1953 In-12 ( 190 X 120 mm ) de 276 pages, broché sous couverture imprimée. EDITION ORIGINALE, 1 des 55 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre ( N°9 ) seul grand papier. Très bel exemplaire.‎

Référence libraire : 498526

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Livres de Librairie Tiré à Part]

€ 230,00 Acheter

‎DAUMAL René‎

‎POÉSIE NOIRE, POÉSIE BLANCHE. Poèmes.‎

‎1954 Paris, NRF Gallimard, 1954. Édition en grande partie originale, contenant 42 poèmes inédits, "Le Contre-ciel" tiré à seulement 315 exemplaires de luxe en 1936, et 43 poèmes déjà parus en revues. Avec une brève présentation de Véra Daumal. In-12 broché de 254 pp. Couverture légèrement défraîchie, sans manque, dos bruni et quelques rousseur sur le premier plat. Intérieur en très bon état, sans annotations ni soulignements. Papier de l'époque, uniformément jauni.‎

Référence libraire : 18757

Livre Rare Book

Le Livre Penseur
Paris France Francia França France
[Livres de Le Livre Penseur]

€ 50,00 Acheter

‎DAUMAL René - GILBERT-LECOMTE Roger - COLLEGE DE PATAPHYSIQUE‎

‎Petit théâtre.‎

‎Collège De Pataphysique ( Collection "HAHA" ) Paris 1957 In-12 carré de 46 pages, broché. Edition originale. Un des 145 exemplaires numérotés sur Chiffon Vert Vénéneux, "à manier avec des gants en peau de porc, Exclusivement" comme le rapelle le papillon multicolore joint. Très bel exemplaire.Collège de 'Pataphysique, Collection Haha, 21 Décervelage 84 de l'E. P. [vulg. 18 janvier 1957].‎

Référence libraire : 983831

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Livres de Librairie Tiré à Part]

€ 100,00 Acheter

‎DAUMAS Maurice ( Sous La Direction De )‎

‎Histoire de la Science. Encyclopédie de la Pléiade.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1957 In-12 ( 175 X 110 mm ) de XLVIII-1904 pages, pleine basane maroquinée grenat, dos lisse orné d'un semis d'étoiles dorées sous rhodoïd et étui de carton gris. ( Présentation de l'éditeur ). Jaquette absente, bel exemplaire.‎

Référence libraire : 610915

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Livres de Librairie Tiré à Part]

€ 30,00 Acheter

‎DAUMAS Maurice ( Sous La Direction De )‎

‎Histoire de la Science. Encyclopédie de la Pléiade.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 1963 In-12 ( 175 X 110 mm ) de XLVIII-1904 pages, pleine basane maroquinée grenat, dos lisse orné d'un semis d'étoiles dorées sous jaquette illustrée, rhodoïd et étui de carton gris. ( Présentation de l'éditeur ). Très bel exemplaire.***‎

Référence libraire : 104588

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Livres de Librairie Tiré à Part]

€ 45,00 Acheter

‎DAUNOU (Pierre-Claude-François).‎

‎Discours sur l'état des lettres au XIIIe siècle, précédé d'une notice sur l'auteur par M. [Benjamin] Guérard.‎

‎P., E. Ducrocq, s.d. (1860), in-8°, xliii-436 pp, portrait de l'auteur en frontispice, reliure demi-chagrin havane, dos à 4 nerfs, titres et caissons dorés finement garnis, encadrements à froid sur les plat, fer doré du lycée Condorcet au 1er plat (rel. de l'époque), , coiffes lég. abîmées, qqs rares rousseurs, bon état. Edition originale‎

‎Edition originale posthume illustrée d'un beau portrait gravé de l'auteur de ce célèbre essai établi pour servir de préface au tome XVI (1814) de “l'Histoire littéraire de la France”. Il faut prendre le mot Lettres au sens large : Daunou brosse un large panorama, depuis l'état des livres et des bibliothèques jusqu'aux spectacles, en passant par la théologie, la médecine, les sciences, la chronologie et l'histoire, les langues vulgaires, les romans en prose, la poésie provençale, etc. (Dictionnaire des philosophes, PUF, 739)‎

Référence libraire : 94778

Livre Rare Book

Pages d'Histoire - Librairie Clio
Paris France Francia França France
[Livres de Pages d'Histoire - Librairie Clio]

€ 60,00 Acheter

‎DAUNOU P. C. F.‎

‎Corps Législatif. Conseil des Cinq-Cents.‎

‎Discours sur l'amnistie. Discours prononcé dans la séance du 11 fructidor, an IV. (28 août 1796) Broché Bon Paris Imprimerie Nationale 1796 1 plaquette in-8°‎

‎Édition originale‎

Référence libraire : 12898

Livre Rare Book

Librairie Seigneur
Voingt France Francia França France
[Livres de Librairie Seigneur]

€ 15,00 Acheter

‎DAUPHIN, Ry, BACON, M.‎

‎Les aventures de Trotty - 1931‎

‎Paris, A. Mathiss et Cie, 1931, 1 vol. in-4° (27,2 x 22,1 cm), 32 p. 1ère édition. Édition originale. Péripéties d'un jeune lapin à travers le monde. Au-delà des moeurs qui sont typiques des années 30, l'album est splendide. Chaque vignette est légendée au-dessous avec texte en bleu et initiale en rouge.‎

‎Album cartonné à cahier unique agrafé, plat supérieur illustré, dos toilé bleu. Feuillets imprimés en bichromie bleu/rouge. Pourtour des plats usés, de même pour les coiffes légèrement lacunaires. Par ailleurs, belle conservation : couleurs fraîches et denses. Tous éléments d'origine. Feuillets : complets, sans lacunes, une courte déchirure restaurée. Exemplaire lu et relu, mais en bel état cependant, l'ensemble est notamment bien solidaire.‎

Référence libraire : 289

Livre Rare Book

Edmée Librairie
Banyuls-sur-Mer France Francia França France
[Livres de Edmée Librairie]

€ 45,00 Acheter

‎DAUTUN (Yves)‎

‎LA BATTERIE ERRANTE. (Récit de guerre).‎

‎Paris, Baudinière, 1941, in-12, broché, couverture illustrée, 286 pages. Edition originale de ce récit de la guerre de 1940 par l’artilleur Yves Dautin. L’auteur (1903-1973), journaliste au Petit Parisien adhéra en 1937 au PPF dont il deviendra un des principaux cadres. Il fut condamné aux travaux forcés à la Libération. Illustrations hors texte par Lucien Guézennec.‎

‎EDITION ORIGINALE Tous nos livres bénéficient d'une réduction de 50% (pour cause de départ à la retraite) jusqu'au 30 avril 2025‎

Référence libraire : 14483

Livre Rare Book

Librairielegalet
Paris France Francia França France
[Livres de Librairielegalet]

€ 16,00 Acheter

‎Dauven Jean .‎

‎Jean Cocteau chez les sirènes, une expérience de linguistique sur le discours de réception à l'Académie française de M. Jean Cocteau‎

‎Editions du Rocher Monaco, 1956, in-12 carré broché. 115pp.-1f.table-1f. d'achevé d'imprimer. Préface et notes de Jean Cocteau. Trois dessins humoristiques en noir et blanc de Picasso représentant le pommeau de l'épée. Edition originale sur papier d'édition. Petites rousseurs marginales sur le premier plat de couverture. Dos légèrement bruni. Bon état.‎

Référence libraire : 12691

Livre Rare Book

Librairie ancienne Lis Tes Ratures
Nantes France Francia França France
[Livres de Librairie ancienne Lis Tes Ratures]

€ 25,00 Acheter

‎DAVET Marcel‎

‎Le Prince qui m'aimait.‎

‎Plon - La Palatine Paris 1930 In-8 ( 215 X 135 mm ) de 241 pages, broché, sous couverture imprimée. Edition originale. Un des 103 exemplaires sur Lafuma Voiron ( N°L29 ). Couverture effrangée, bon exemplaire, non rogné.‎

Référence libraire : 767289

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Livres de Librairie Tiré à Part]

€ 30,00 Acheter

‎DAVEZIES (Robert).‎

‎Le Front.‎

‎Le Club du livre chrétien, 1959, in-12, 233 pp, reliure pleine toile rouge de l'éditeur, rhodoïd, bon état. Edition originale, un des 1200 ex. sur Bouffant de Bellegarde pour le Club du livre chrétien, entièrement imprimés en rouge et reliés par l'éditeur en toile rouge, avec le titre doré au dos et sur le plat supérieur, et les gardes en toile emeri (papier de verre), d'après une maquette d'Odette Ducarre‎

‎"Premier livre de l'auteur (1923-2007), prêtre-ouvrier et ardent militant de la cause algérienne. C'est un recueil de témoignages de militants du FLN réfugiés à la frontière tunisienne sur la volonté d'indépendance du peuple algérien." (Vignes, Bibliographie des Editions de Minuit, 340)‎

Référence libraire : 115685

Livre Rare Book

Pages d'Histoire - Librairie Clio
Paris France Francia França France
[Livres de Pages d'Histoire - Librairie Clio]

€ 25,00 Acheter

‎DAVID‎

‎Abbé (Croquis N°III, La Gazette du Bon ton, 1922 n°10)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 6 figures en noir : comment porter l'heure. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84850

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‎Bénédictine-Bernardine réformée de Port-Royal (Croquis N°I, La Gazette du Bon ton, 1922 n°10)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Une minuscule déchirure en marge droite de la planche sans atteinte à l'illustration. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 5 figures en noir "Omb‎

Référence libraire : 84844

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‎Chartreux - Robe de maison (Croquis N°VIII, La Gazette du Bon ton, 1922 n°10)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 7 figures en noir "La lingerie - le mouchoir". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84846

‎DAVID‎

‎Hermine et lamé argent et or, tissu de Bianchini (Croquis N°VIII, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 8 figures en noir représentant l'emploi de la fleur artificielle. - Photographies et détails sur www.Edition‎

Référence libraire : 84831

‎DAVID‎

‎Hermine et velours imprimé et lamé de métal, tissu de Bianchini (Croquis N°I, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 10 figures en noir représentant jarretières et jarretelles. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84826

‎DAVID‎

‎Immaculée conception (XVIIIe siècle) (Croquis N°III, La Gazette du Bon ton, 1922 n°10)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 6 figures en noir : la mode des voilettes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84849

‎DAVID‎

‎L'hermine - Veste de loutre garnie d'hermine (Croquis N°LVI, La Gazette du Bon ton, 1922 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84840

‎DAVID‎

‎La taupe - Manteau en taupe et peau de chamois (Croquis N°LIII, La Gazette du Bon ton, 1922 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauchede la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84834

‎DAVID‎

‎Loutre et broché et lamé, tissu de Bianchini (Croquis N°III, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 5 figures en noir représentant le soulier, modèles de Perugia. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84828

‎DAVID‎

‎Loutre et velours imprimé, tissu de Bianchini (Croquis N°II, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 5 figures en noir représentant éventails de plumes, dentelles, etc. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84827

‎DAVID‎

‎Manteau d'antilope et d'écureuil (Croquis N°L, La Gazette du Bon ton, 1922 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84832

‎DAVID‎

‎Manteau de suède bordé de zibeline (Croquis N°LV, La Gazette du Bon ton, 1922 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84833

‎DAVID‎

‎Moine minime de St-François de Paule (Croquis N°VI, La Gazette du Bon ton, 1922 n°10)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 7 figures en noir représentant les glaces à mains et miroirs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84848

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