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‎Fernand NICOLA‎

‎Les enfants mal élevés, étude psychologique, anecdotique et pratique‎

‎Didier & Perrin & Cie | Paris 1891 | 12 x 19 cm | broché‎

‎Dixième édition. Une déchirure en tête du dos, un manque angulaire sur le premier plat, agréable état intérieur. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 13721

‎Fernand NIEL‎

‎La capitulation de Montségur‎

‎Cahiers des études cathares Institut des études occitanes | Arques & Toulouse 1951 | 13.50 x 19.50 cm | broché‎

‎Deuxième édition. Petites annotations et repères de lecture marginaux au stylo en marge de certaines pages. Brochure illustrée de 2 cartes in-fine. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 38225

‎Fernand NIEL‎

‎Montségur, temple et forteresse des cathares d'Occitanie‎

‎Imp. Allier | Grenoble 1967 | 16.50 x 25 cm | broché‎

‎Edition originale. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 41102

‎Fernand OBATON‎

‎Evolution du mannitol chez les végétaux. Propositions données par la faculté‎

‎Lib. générale de l'enseignement | Paris 1929 | 15.50 x 24 cm | broché‎

‎Edition originale de cette thèse soutenue à la faculté des sciences de Paris afin d'obtenir le grade de docteur ès sciences naturelles le 15 Mars 1929. Dos et plats légèrement et marginalement insolés, agréable état intérieur. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 35533

‎Fernand PAPILLON‎

‎La chaleur et la vie.‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes | s. l. [Paris] 1872 | 15.50 x 25 cm | agrafé‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 16464

‎Fernand PAPILLON‎

‎Le choléra indien, au point de vue de la géographie médicale et de lhygiène internationale. Extrait de la Revue des Deux Mondes‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes | s. l. [Paris] 1872 | 15.50 x 25 cm | agrafé‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 16429

‎Fernand PAPILLON‎

‎Les nouvelles matières explosives. Extrait de la Revue des Deux Mondes‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes | s. l. [Paris] s. d. [1873] | 15.50 x 25 cm | agrafé‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 14351

‎Fernand PAPILLON‎

‎Les régénérations et les greffes animales. Extrait de la Revue des Deux Mondes‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes | s. l. [Paris] 1872 | 15.50 x 25 cm | agrafé‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 16422

‎Fernand PIET‎

‎"Un marché en Zélande" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris (Juillet) 1898 | 24 x 31.50 cm | une feuille et une serpente‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Fernand Piet pour L'Estampe Moderne, série numéro 15 publiée en juillet 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos,légère trace du tampon de la gravure précédente au recto ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un texte. Lithographie inspirée d'un extrait de texte de Pierre Burman décrivant une scène de marché,reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 74497

‎Fernand PIET‎

‎"Un marché en Zélande" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris (Juillet) 1898 | 24 x 31.50 cm | une feuille‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Fernand Piet pour L'Estampe Moderne, série numéro 15 publiée en juillet 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée d'un extrait de texte de Pierre Burman décrivant une scène de marché. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 74498

‎Fernand PIET‎

‎L'Estampe Moderne. Un marché en Zélande. Lithographie Originale‎

‎L'Estampe Moderne Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza | Paris 1899 | 30 x 40 cm | une feuille‎

‎Lithographie originale en couleur exécutée spécialement par l'artiste pour l'Estampe Moderne. Epreuve tirée sur vélin fort protégé par une serpente imprimée, timbre sec de l'éditeur en marge inférieure.Signature de l'artiste dans la planche. Très bel exemplaire. Editée par Ch. Masson et H. Piazza, les deux années de l'Estampe Moderne constituent une des plus belles réalisations lithographiques de l'époque. Chaque estampe est une oeuvre originale réalisée spécialement pour la revue par les plus grands artistes français et étrangers représentant des courants Symbolistes, Art Nouveau, Orientalistes et "Belle Epoque". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 37750

‎Fernand PIET‎

‎L'Estampe Moderne. Un Marché en Zélande. Lithographie Originale‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris 1898 | 30 x 40 cm | une feuille‎

‎Lithographie originale en couleurs exécutée spécialement par l'artiste pour l'Estampe Moderne. Epreuve tirée sur vélin fort protégée par une serpente imprimée, timbre sec de l'éditeur en marge inférieure. Signature de l'artiste dans la planche.Très bel exemplaire. Lithographie inspirée d'un extrait d'un texte de Pierre Burmandont un extrait est reproduit sur la serpente de l'estampe. Editée par Ch. Masson et H. Piazza, les deux années de l'Estampe Moderne constituent une des plus belles réalisations lithographiques de l'époque. Chaque estampe est une oeuvre originale réalisée spécialement pour la revue par les plus grands artistes français et étrangers représentant des courants Symbolistes, Art Nouveau, Orientalistes et "Belle Epoque". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 47200

‎Fernand PINAL - Jean OTT‎

‎Sous le signe de la rose. I‎

‎Imprimerie O. Dousset | Paris 1933 | 14.50 x 22.50 cm | broché‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre sur alfa. Ouvrage illustré de bois originaux de Fernand Pinal. Préface d'Albert Acremant, président des Rosati. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 45988

‎Fernand RAYNAUD‎

‎Carte postale photographique dédicacée par Fernand Raynaud‎

‎s. n. | s. l. s. d. [1960] | 10.5 x 15 cm | Une carte postale‎

‎Carte postale photographique en couleurs représentant Fernand Raynaud tenant un cageot d'oranges dans lequel est fiché un écriteau portant cette indication : "Ici on vend de belles oranges pas chères." Au verso de la carte, une signature de Fernand Raynaud au stylo bille bleu été encollée. Envoi autographe signé de Fernand Raynaud à feutre rouge : "Merci Claude. FRaynaud." Provenance : du fonds du grand collectionneur d'autographes Claude Armand. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 88428

‎Fernand RIVERS‎

‎Au Milieu des Etoiles‎

‎Les films Fernand Rivers | Paris 1957 | 14 x 19 cm | broché‎

‎Edition originale, un des 300 exemplaires numérotés sur alfa et réservés au service de presse. Dos ridé, sinon agréable exemplaire. Préface de Henri Jeanson, iconographie. Envoi autographe signé de Fernand Rivers à Marcel Achard. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 77749

‎Fernand SIMEON‎

‎Au bal noir et blanc. Manteau du soir (pl.25, La Gazette du Bon ton, 1921 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 54861

‎Fernand SIMEON‎

‎Chloé. Robe du soir, de Beer (pl.62, La Gazette du Bon ton, 1921 n°8)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 54901

‎Fernand SIMEON‎

‎Costumes parisiens. Tailleur de velours blanc frappé garni de loutre et de passementerie (pl.28, Journal des Dames et des Modes, 1912 n°15)‎

‎S. n. | Paris 1912 | 14 x 22.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 57636

‎Fernand SIMEON‎

‎L'Eveil du printemps. Manteau réversible en serge, "motifs grillagés", de Rodier (pl.17, La Gazette du Bon ton, 1922 n°3)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 54971

‎Fernand SIMEON‎

‎La Lettre surprise (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1920 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Février 1920 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 54711

‎Fernand SIMEON‎

‎Le Déjeuner au cabaret. Tailleur, en cottaperllaine de Rodier (pl.74, La Gazette du Bon ton, 1921 n°10)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 54939

‎Fernand SIMEON‎

‎Le Plaisir à la mode. Manteau du soir, en tissus de Bianchini (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1921 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur finement rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 54839

‎Fernand SIMEON‎

‎Le Retour des autans. Tailleur et Robe d'après-midi de Doeuillet (pl.55, La Gazette du Bon ton, 1920 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Septembre 1920 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 54798

‎Fernand SIMEON‎

‎O Maître el Relicario (pl.66, La Gazette du Bon ton, 1920 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1920 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 54812

‎Fernand SIMEON‎

‎Suzanne et le Pacifique. Robe de Bains de mer, en "chevrons laine" de Rodier (pl.42, La Gazette du Bon ton, 1922 n°6)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 77404

‎Fernand SIMEON‎

‎Un peu beaucoup (pl.34, La Gazette du Bon ton, 1920 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Juin 1920 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 54773

‎Fernand SIMEON‎

‎Vous avez vu ? Cette petite. Robe de promenade en Parquetine de Rodier. (La Gazette du Bon ton, n°4. Année 1920 - Planche 24 )‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1920 | 19.50 x 25 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, la signature ne permet pas d'identifier l'artiste. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 39027

‎Fernand TRIGNOL - Albert DUBOUT‎

‎Pantruche ou les mémoires d'un truand‎

‎Editions Fournier | Paris 1946 | 11.50 x 18.50 cm | broché‎

‎Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Couverture illustrée et frontispice orné d'un dessin d'Albert Dubout. Avant-propos de Jean Gabin. Dos légèrement insolé, un petit manque de papier sur le second plat, une claire mouillure en angle inférieur droit du premier plat. Envoi autographe signé de Fernand Trignol à son ami Carlo Rim. Carlo Rim a inscrit son nom en dessous de l'envoi et a collé un bout d'un article de presse dans lequel Fernand Trignol pose en Grand Chambellan de la cour de Varsovie dans le film Tarass-Boulba en compagnie de Charles David et Carlo Rim, dialoguiste, avec Jacques Natanson, de ce film d'Alexis Granowsky sorti en 1936. Provenance : de la biblothèque de l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rimqui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 81021

‎Fernand VANDÉREM‎

‎Les deux rives‎

‎Paul Ollendorff | Paris 1897 | 12 x 19.50 cm | relié‎

‎Edition originale sur papier courant. Reliure à la bradel en demi percaline mauve, dos lisse passé, pièce de titre de basane sapin, double filet doré en queue, plats de papier marbré, coins supérieurs émoussés, tête dorée, reliure de l'époque. Envoi autographe signé de Fernand Vanderem à Marcel Prévost. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 25025

‎Fernand Vandérem (1864-1939)‎

‎Le suicide - conte par Fernand Vandérem‎

‎PARIS, Les Amis d'Edouard, N°10 - 1912 - Edition originale hors commerce, tirée à 63 exemplaires dont 60 sur hollande, celui-ci N°61, signé par l'auteur avec envoi - In-12, broché - couverture rempliée - 31 pages - très frais.‎

‎- Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148‎

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Livre Rare Book

A l's.p.rance
Brest France Francia França France
[Libros de A l's.p.rance]

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‎Fernand Vandérem (1864-1939)‎

‎Le suicide - conte par Fernand Vandérem‎

‎PARIS, Les Amis d'Edouard, N°10 - 1912 - Edition originale hors commerce, tirée à 63 exemplaires dont 60 sur hollande, celui-ci N°61, signé par l'auteur avec envoi - In-12, broché - couverture rempliée - 31 pages - très frais.‎

‎Fernand VERBYST‎

‎La réquisition des véhicules‎

‎Lib. du recueil Sirey | Paris 1940 | 16 x 24 cm | broché‎

‎Edition originale de cette thèse soutenue en vue d'obtenir le grade de docteur en droit à l'université de Paris. Petits manques marginaux sur les plats, sinon agréable exemplaire. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 17851

‎FERNANDEL‎

‎Billet autographe signé à son grand ami le metteur en scène Carlo Rim "... tu auras ainsi tous les détails depuis ma naissance et mes différents métiers avant d'être un artiste (du moins je le crois)..."‎

‎S. n. | Carry-le-Rouet 18 Septembre 1951 | 16.50 x 10.50 cm | une feuille‎

‎Bristol autographe daté et signé de Fernandel, à en-tête de sa propriété de L'Oustau de la Mar à Carry-le-Rouet, adressée à son grand ami l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rim, qui fut également son biographe. (10 lignes et à l'encre turquoise, l'encre ayant bavé sur trois mots). "Le 18 Sept 1951 Mon cher Carlo, je pars demain en Italie, mais je ne t'ai pas oublié. Tu vas recevoir une documentation et en pages manuscrites "Mes mémoires" publiées par "Ce soir" en 1938, tu auras ainsi tous les détails depuis ma naissance et mes différents métiers avant d'être un artiste (du moins je le crois). Affectueusement Fernandel." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎FERNANDEL‎

‎Bristol autographe signé adressé à son grand ami et biographe Carlo Rim à propos de la lecture d'un synopsis qu'il réclame de lire‎

‎S. n. | Marseille 24 juillet 1952 | 16.50 x 10.50 cm | une feuille‎

‎Bristol autographedaté et signé à l'encre turquoise de Fernandel, adressé depuis sa propriété de Carry-le-Rouet "L'Oustaü de la Mar" à son grand ami l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rim, qui fut également son biographe. (11 lignes, trois mots ayant bavé). "Le 24 juillet 1952. Mon cher Carlo, faisant réponse à ta derrnière lettre du 18 courant, adreéssée à Couvery, je t'écris ce petit mot, afin que tu puisses me faire parvenir à la lecture, le synopsis assez détaillé du film à sketchs. pour te donner mon avis. Il vaut mieux que tu téléphones toi-même à Bennke avant qu'il rencontre Deutschmeister. Je t'embrasse à distance. Fernandel." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎FERNANDEL‎

‎Lettre dactylographiée et signée à son grand ami et biographe Carlo Rim à propos de sa filmographie et d'un article écrit par Alice Rim, la femme de Carlo, que Fernandel n'a toujours pas "digéré"‎

‎S. n. | Marseille 9 Janvier 1952 | 21 x 27 cm | une feuille‎

‎Lettre dactylographiée datée et signée à l'encre bleue de Fernandel, adressée depuis sa propriété marseillaise "Les milleroses" à son grand ami l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rim, qui fut également son biographe. (24 lignes, pliures inhérentes à la mise sous pli ainsi qu'en marge gauche). Fernandel se plie tout d'abord aux courtoisies des voeux de bonne année : "Obligé de commencer ma lettre comme la tienne (par correction), je te présente mes meilleurs voeux pour toi et tous ceux que tu aimes." avant de lui signifier qu'il ne tardera pas à lui envoyer la liste exhaustive de sa filmographie, Carlo Rim désirant écrire une biographie de son ami Fernandel : "... afin que tu puisses avoir des choses vraies à raconter..." Enfin, Fernandel revient sur un article paru dans Cinémonde et écrit par Alice , l'épouse de Carlo Rim, pour lesquels il nourrit de vindicatifs souvenirs : "... dis-lui de ma part, qu'on ne peut pas écrire de plus grandes conneries, car d'après son papier, j'ai été imposé dans le film d'Aron... et qui m'avait démandé si cela ne me faisait rien d'avoir Gaby Morlay comme partenaire...", Fernandel achevant sa lettre par un péremptoire : "... mon cher Carlo, je te supplie de ne pas prendre ta femme comme collaboratrice pour le livre, car alors..." Signature manuscrite à l'encre bleue de Fernandel en pied de la lettre. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 82258

‎FERNANDEL - Carlo RIM‎

‎Photographie originale représentant le cinéaste Carlo Rim conseillant Fernandel pour une scène de "L'armoire volante", film de Carlo Rim‎

‎R. Bègue photo | Paris 1948 | 11 x 8.50 cm | une feuille‎

‎Photographie originale prise sur le tournage de "L'armoire volante", humoristique intrigue policière, avec dans le rôle principal Fernandel. La photographie représente Carlo Rim, de dos et les mains posées sur le balcon d'une fenêtre, prodiguant ses conseils à Fernandel lui faisant face, tirage argentique d'époque. Carlo Rim fut un écrivain provençal "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary." Précisions manuscrites, au crayon de papier, de Carlo Rim, au verso de la photographie : "Carlo Rim Fernandel L'armoire volante 1948." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 81476

‎FERNANDEL - Carlo RIM‎

‎Photographie originale représentant le cinéaste Carlo Rim conseillant Fernandel pour une scène de "L'armoire volante", film de Carlo Rim‎

‎R. Bègue photo | Paris 1948 | 11 x 8.50 cm | une feuille‎

‎Photographie originale prise sur le tournage de "L'armoire volante", humoristique intrigue policière, avec dans le rôle principal Fernandel. La photographie représente Carlo Rim debout et à la droite de Fernandel à qui il prodigue ses conseils, trois personnes participant au tournage étant présentes en arrière-plan, tirage argentique d'époque. Carlo Rim fut un écrivain provençal "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary." Précisions manuscrites, au crayon de papier, de Carlo Rim, au verso de la photographie : "Carlo Rim Fernandel L'armoire volante 1948." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 81542

‎FERNANDES Valentim ,‎

‎Description de la côte occidentale d'Afrique (Sénégal au Cap de Monte, Archipels) 1506-1510, édité par Th. MONOD, A. TEIXERA DA MOTA, et R. MAUNY‎

‎Bissau , Centro de Estudos da Guiné Portuguesa ,1951 ,N°11 , in-8 , broché , 223 p., illustré de 7 cartes dont 5 dépliantes , texte en portugais avec sa traduction française en vis-à-vis .‎

‎Rare traduction de la description de la région compris entre le Sénégal et le Cap de Monte (actuel Libéria), au point de vue ethnologique , scientifique et commercial , tirée d’un voyage fait en 1447 par Lançarote de Lagos , on y trouve les premiers informations sur les habitants et les régions. Fernandes Valentim , imprimeur et traducteur allemand, originaire de Moravie, installé à Lisbonne en 1495 , il traduisit et édita de nombreux ouvrages sur le navigations des portugais et compila des informations des voyages , pour la plupart , rarement éditées .P2-6D‎

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Livre Rare Book

Librairie Voyage et Exploration
Cerny France Francia França France
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‎FERNANDEZ (Dominiqu.‎

‎Porporino ou les mystères de Naples.‎

‎Paris, Grasset, 26 juillet 1974. In-8, broché, 396 pp.‎

‎Edition originale sur papier d'édition. Bel exemplaire. Photos sur demande.‎

Referencia librero : 26805

Livre Rare Book

Livres de A à Z
Paris France Francia França France
[Libros de Livres de A à Z]

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‎FERNANDEZ (Dominiqu.‎

‎Porporino ou les mystères de Naples.‎

‎Paris, Grasset, 26 juillet 1974. In-8, broché, 396 pp. Edition originale sur papier d'édition. Bel exemplaire.‎

‎FERNANDEZ (Dominique)‎

‎PORFIRIO ET CONSTANCE.‎

‎Paris, Grasset, 1991, in-8, broché, sous jaquette illustrée, 501 pages. Edition originale. Envoi autographe à l’éditeur Guy Schoeller : "A Guy Schoeller / bien amicalement / Dominique Ferandez"‎

‎EDITION ORIGINALE LIVRE DEDICACE Tous nos livres bénéficient d'une réduction de 50% (pour cause de départ à la retraite)‎

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Livre Rare Book

Librairielegalet
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‎Fernandez ARMAN‎

‎"La cafetière" - Lithographie originale signée de Fernandez Arman‎

‎Bramsen et Georges Clot | s. d. [1971] | 48.70 x 65.60 cm | une feuille‎

‎Lithographie originale imprimée sur vélin d'arches filigrané. Signature de l'artiste et numérotation (4/300) au crayon en bas de la planche. Cette lithographie intitulée "La cafetière" fait partie de la série L'Intérieur des choses. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73498

‎FERNANDEZ DE RODELLA‎

‎Algos‎

‎Dutertre | Paris 1846 | 11.50 x 18.50 cm | relié‎

‎Edition originale. Reliure en plein cartonnage noir, dos lisse orné de filets à froid, plats recouverts de papier à la cuve, reliure de l'époque. Petites rousseurs éparses. Rare envoi autographe signé de Fernandez de Rodella, en français, à Henri Dessalles. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70191

‎Fernando ARRABAL‎

‎En entierro de la sardina‎

‎Ediciones Destino | Barcelona 1984 | 14.50 x 21.50 cm | broché‎

‎Nouvelle édition pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire en dépit du dos très légèrement éclairci. Envoi autographe daté et signé de Fernando Arrabal à Claude Couffon, important traducteur des littérateurs hispanophones de la seconde moitié du XXème siècle. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 76449

‎Fernando ARRABAL‎

‎Fêtes et rites de la confusion‎

‎Eric Losfeld | Paris 1967 | 12 x 19 cm | broché‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi autographe signé de Fernando Arrabal à Louis Pauwels "... enchanté ! " Ouvrage illustré d'oeuvres de Fernando Arrabal. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 56136

‎Fernando ARRABAL‎

‎La torre herida por el rayo‎

‎Ediciones Destino | Barcelona 1983 | 14.50 x 21.50 cm | broché‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire. Envoi autographe daté et signé de Fernando Arrabal à Claude Couffon, important traducteur des littérateurs hispanophones de la seconde moitié du XXème siècle : "... hasta siempre amigo..." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 76447

‎Fernando ARRABAL‎

‎Théâtre panique‎

‎Christian Bourgois | Paris 1967 | 12 x 20 cm | broché‎

‎Edition originale collective pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Fernando Arrabalau journaliste, scénariste et producteur Pierre Dumayet, l'un des pionniers de la télévision française. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 60322

‎Fernando Arrabal - Patrice Pouperon - Collectif.‎

‎Arrabal : Les Arrabeaux d'Avignon - Caprices Cannibales. Exposition. ( Exemplaire signé et numéroté au colophon par Fernando Arrabal et Patrice Pouperon, avec en plus une dédicace par Patrice Pouperon )‎

‎Médiathèque Ceccano 1994. In-16 broché. Textes de Pierre Gaillard, Patrice Pouperon, Skimao, Maxime Godard & 3 poèmes inédits de Fernando Arrabal. Photos d'Arrabal par André Villers & Maxime Godard. Catalogué édité à l’occasion de l’exposition consacrée à Arrabal qui se tint du 20 octobre au 10 novembre 1994 à la médiathèque Ceccano d’Avignon. Etat de neuf. Un des 30 exemplaires n° en chiffres romains du tirage tête, imprimés sur papier Calypso Ivoire 135 grammes, accompagnés d'une eau-forte originale de Patrice Pouperon n° & signée. Exemplaire signé et numéroté au colophon par Fernando Arrabal et Patrice Pouperon. De plus cet exemplaire est dédicacé au crayon, au verso de la page de garde, par Patrice Pouperon. Edition originale, de toute rareté.‎

‎Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues‎

Referencia librero : 15417

Livre Rare Book

Librairie Victor Sevilla
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‎Fernando Arrabal.‎

‎La Tueuse du Jardin d'Hiver. ( Tirage de tête à 5 exemplaires numérotés )‎

‎Ecriture 1994. In-8 broché. Couverture illustrée. Presentation de Milan Kundera. Etat de neuf. Un des 5 exemplaires hors commerce n° sur bouffant réservés à l'auteur ( seul grand papier ). Bien complet de la carte hommage. Edition originale‎

‎Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues‎

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Livre Rare Book

Librairie Victor Sevilla
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‎Fernando CLAUDÍN‎

‎La crisis del movimiento communista Tomo I : De la Komintern al Kominform‎

‎Ediciones Ruedo Iberico | Paris 1970 | 13.50 x 22 cm | broché‎

‎Edition originale. Envoi autographe signé de Fernando Claudin à un couple de ses amis. Préface de Jorge Semprun. Dos ridé comportant quelques petites manques en tête et en pied, une pâle mouillure sur la tranche. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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