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‎Lavater-Sloman, Mary‎

‎Der Gerichtstag. Das achte Heft des Jakobus Krafft, Sekretär Ihrer Hoheit Lukrezia Borgia.‎

‎Zürich, Artemis-Verlag, (1962). 93 S. Mit Illustrationen von Judith Olonetzky-Baltensperger. 21 cm). OLn. (ohne SU).‎

‎Sonderdruck aus Anlass des 70. Geburtstags der Autorin am 14. 12. 1961, herausgegeben für die Freunde des Artemis Verlages als Weihnachtsgabe 1961. - Gut und sauber‎

Referência livreiro : 77569

‎LAVEDAN (Henri).‎

‎Avant l'oubli. I. Un enfant rêveur. II. Ecrire.‎

‎Paris, Librairie Plon, 1933-1934. Deux volumes in-12, brochés, 290 et 262 pages. Edition originale. Tirage à 135 exemplaires numérotés. Un des 30 ex hors-commerce sur papier d'alfa. Envoi autographe de l'auteur sur chaque volume adressé à Max Buteau.‎

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Buttons. Je ne vous crois pas !" Carte postale autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 12-02-1971 | 10.50 x 14.50 cm | une carte postale et enveloppe‎

‎Carte postale autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "... Maintenez la tête hors de l'eau - L'immersion prolongée du nez et de la bouche peut provoquer une asphyxie mortelle", coupure de presse scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain renseigne sa jeune amante montpelliéraine sur ses prochains déplacements : "Buttons. Je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 73355

‎Lawrence DURRELL‎

‎"D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 20-04-1971 | 10.50 x 14.50 cm | une carte postale et enveloppe‎

‎Carte postale autographe de Lawrence Durrell signée "Dracula"adressée à Jani Brun, rédigée à l'encre bleue, reproduction d'un dessin de Marcel Vaysse "Ils sortent...tous les soirs", enveloppe jointe. L'écrivain nargue avec humour sa jeune amante montpelliéraine : "Darling Janie - maintenant qu'il fait beau la saison est ouverte et malgré mon age je reçois pas mal des invitations; souvent les filles de dix ans m'envoient des propositions inscrites par télégramme. J'estime que le rôle de papa gâteux me va bien ("le gâtisme c'est le relachment des sphinctères" (Dictionnairemedicale - Pujot)". Je vais en Grèce avec, une, 2, 3, 4 fille(s) plus fidé(?) que vous pour faire des reportages appellation contrôlée. D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires - n'est pas que c'est splendide ? Dracula" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 73354

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Demain soir je vais en Angleterre" Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎s. d. [circa 1970] | 12.70 x 8.10 cm | une carte de visite‎

‎Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches. L'écrivain informe sa jeune amante française d'un imminent départ à Londres, où il venait fréquemment visiter son éditeur : "Je suis chez Alan Thomas. 16 Holbury St. Chelsea. Faites moi signe quand tu veux [sic] Love, Larry" . Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70339

‎Lawrence DURRELL‎

‎"dear and pretty chapeau jaune [...] phone-moi veux-tu ?" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 20 juin1968 | 14.60 x 10.20 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photographie surmontée de la légende humoristique "Finies les vacances !! Les blés sont fauchés / Les vacanciers aussi !!" L'écrivain tente de revoir sa jeune amante française entre deux déplacements : "Dear and pretty chapeau jaune. je suis au mazet vendredi mais chez moi le soir. Vendredi je suis seul. phone-moi veux-tu ? si possible ? Car je m'en vais à Paris dimanche soir pour trois jours mais j'attends un coup de téléphone de là bas pour décider". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70553

‎Lawrence DURRELL‎

‎"J'espère que la pièce mérite notre déplacement" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 6-10-1971 | 10.50 x 15 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une reproduction d'un dessin d'Eben "Etes-vous con...ducteur?". L'écrivain donne rendez-vous à sa jeune amante montpelliéraine : "... j'arrive vers midi à l'Hôtel Royale [...] si tu es occupée viens me chercher au Coupole le soir. Tout est arrangé avec Liege pour nous recevoir ! J'espère que la pièce mérite notre déplacement. Love. Larry". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 73350

‎Lawrence DURRELL‎

‎"J'arrive à Paris Dimanche 19 pour deux nuits. Sera tu la [sic] ? Disponible ? " Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée depuis Rhodes à Jani Brun‎

‎Rhodes Octobre 1979 | 21 x 10 cm | une carte postale‎

‎Suggestive carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu, au verso d'une reproduction de sculpture représentant une fontaine aux hippocampes de Rhodes. Petites traces de pliures angulaires sur la carte postale. "Rhodes ! J'arrive à Paris Dimanche 19 pour deux nuits. Sera tu la [sic]? Disponible ?Je decend chez l'hotel Royale comme d'habitude. Le tournage est fini ce soir ! Ouf ! Love. Larry." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 86609

‎Lawrence DURRELL‎

‎"je n'aime pas les films, les tournages. On gagne bien des sous mais on perd la raison" Carte postale autographe inédite signée de Lawrence Durrell à son amante française‎

‎22 juillet 1970 | 14.60 x 10.10 cm | une feuille‎

‎Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Sa correspondance reste inédite et inc Carte postale autographe inédite signée de Lawrence Durrell à sa jeune amante française à Janine Brun, prénommée "Buttons". 15 lignes à l'encre noire, signées "Larry". Lacarte porte au verso une photographie en noir et blanc du village de Sommières, coloriée par Durrell de couleurs vives. "Je passe tout mon temps dans la région de Fleurac avec des clochards" (ligne 5) La carte fut envoyée à une jeune amante de l'auteur,qui, àSommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun, aussi surnommée "Buttons" dans les lettres et cartes postales de l'écrivain, fut ainsi décrite par le biographe de Durrell Ian McNiven : "She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic" (" Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique", (Lawrence Durrell: A Biography, page 591). Durrell adresse cette carte multicolore depuisle tournage d'une série d'interviews organisée dans le Midi : "mais ce vilain temps nous a déjà coûté une semaine de tournage. Tout le monde furieux - et le [sic] météo Encore pessemiste [sic] ! Quoi faire ?". L'écrivaindécrit ses innombrables conquêtes féminines à sa jeune amante: "Je rode un peu avec Diane Deriaz qui joue dans le film et apport[sic] tout les considérations possible [sic] dans les circonstances avec Margaret McCall." Il avait rencontré l'acrobate Diane Deriaz dans l'avion deux ans auparavant,et entretenait une relation houleuseavec Margaret McCall, productrice de la BBC, qui tourna plusieurs documentaires sur lui et la vie deRobert Graves etGraham Sutherland entres autres. La relation de Jani/Buttons avec l'écrivain se prolongea jusqu'à la fin des années 1970, la jeune fille apparaissant à l'occasion dans les oeuvres de Durrell (et notamment le poème« Vaumort»,Collected Poems: 1931-1974) et dans la fameuse correspondance de l'écrivain avec Henry Miller : "that little demon Buttons [...] turned‎

Referência livreiro : 66717

‎Lawrence DURRELL‎

‎"je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 10 novembre 1969 | 13.90 x 10.10 cm | une carte postale, enveloppe jointe‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'un dessin humoristique. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa vie dans sa maison de Sommières à son amante française : "Je me force de [sic] travailler un peu - c'est à dire je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours [...] Il pleut. Je coupe du bois aussi et bientôt il faut que je ramasse les mûres. Much love, Larry D". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70623

‎Lawrence DURRELL‎

‎"je suis vraiment navré pour le voyage" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 16 septembre 1971 | 17.90 x 12.80 cm | un feuillet‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu. L'écrivain présente ses excuses à sa jeune amante française, à qui il avait promis un voyage : "Je suis vraiment navré pour le voyage. mais un peu plus tard. L.D." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70820

‎Lawrence DURRELL‎

‎"L'oreiller militaire français" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 14-09-1971 | 10.50 x 14.50 cm | une carte postale et enveloppe‎

‎Carte postale autographe signée "L.D." de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "Pour nos Hôpitaux, Ambulances, Trains sanitaires, demandez l'Oreiller Militaire Français qui procure le plus doux des soulagements. [...]", publicité extraite d'un journal scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain organise un voyage avec sa jeune amante montpelliéraine : "Buttons. je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 73353

‎Lawrence DURRELL‎

‎"L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui." Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Malibu s. d. | 10.50 x 15 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo d'une plage de Malibu. "Buttons hola ! L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui. Pourtant on est très bien traités et je joue un peu le rôle de Scott Fitzgerald à Malibu.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 73367

‎Lawrence DURRELL‎

‎"le babysitting ; assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire" Lettre dactylographiée et autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 23 janvier 1970 | 13 x 20 cm | 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre dactylographiée et autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. L'amante de l'écrivain envisage un séjour à Londres ; Durrell lui donne des conseils sur les agences de babysitting : "assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire ; pour cela il faut déclarer votre intention de rester au moins 6 mois dans le pays (on peut toujours le dire !) [...] N'oubliez pas qu'il y a toujours le grand lycée Français de Londres [...]" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70620

‎Lawrence DURRELL‎

‎"le MONTAGUE HOTEL à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable" Lettre autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 22 août 1969 | 12.60 x 20.30 cm | 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées sur deux feuillets. Pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain arrange pour son amante un séjour à Londres et a demandé à son éditeur Alan G. Thomas de l'accueillir : "Thomas a déjà réservé une chambre au MONTAGUE HOTEL [...] à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable.Maisvérifiez vos dates et télégraphiez lui en avance pour qu'il refasse l'opération". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70627

‎Lawrence DURRELL‎

‎"m[ake] great haste" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 2 février 1970 | 8.70 x 12.70 cm | une carte postale, enveloppe jointe‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'une vue en noir et blanc de l'intérieur du temple de Diane à Nîmes. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa fille : "Saph part pour Israel troisième semaine de février" et attend avec impatience la venue de son amante : "m[ake] great haste" (viens vite). Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70629

‎Lawrence DURRELL‎

‎"maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main" Lettre autographe signée adressée à Jani Brun à propos du roman Tunc‎

‎Sommières 18 juillet 1968 | 21.20 x 13.40 cm | 1 feuillet sous enveloppe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre brun, datant du début de leur relation. Pliure centrale inhérente à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain, en pleine écriture de son roman Tunc, donne des nouvelles à sa nouvelle amante française dans un français encore hésitant : "Enfin pour le moment pas des [sic] aventures à vous raconter. trop de travail. trop de correspondance. Mon fils (de Claude [-Marie Vincendon, épousée en1961]) est ici est [sic] aide Barbie avec les papiers. Il la trouve jolie mais moi je suis plein des [sic] sentiments peu charitables. En tous cas maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main. Je ne serais maisentièrementmécontent de te revoir un de ces jours. si l'idée vous vient". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70824

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Oui telephonez moi quand tu es à Sauve-qui-pleut... " Amusante carte de visite autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun‎

‎Rhodes s. d. [ca 1980] | 13 x 8 cm | une carte postale + une enveloppe‎

‎Suggestive carte de visite autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres marron et mauve, enveloppe jointe. "dear Buttons. Oui telephonez moi quand tu es à Sauve-qui-pleutet je viendrai te chercher (un coeur dessiné). Larry." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 86623

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Egypte [1971] | 10.50 x 15 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo de bas-relief égyptien. L'écrivain à sa jeune amante montpelliéraine : "Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon en train de recevoir le Prix Bonbel pour son roman sur la vie privée d'un crocodile nilotique : "Le croc". Puis il faut rentrer pour quelques semaines à Londres. j'espère que tout va bien, dear Buttons.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 73360

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Si tu es libre de me joindre... faites moi signed" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée depuis Edimbourg à Jani Brun‎

‎Edimbourg 4 octobre 1980 | 10 x 14.50 cm | une carte postale + une enveloppe‎

‎Suggestive carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une reproduction de sculpture représentant un satyre, enveloppe jointe. "Buttons dear. J'arrive mardi pour deux nuits à Paris - au Royale. Si tu es libre de me joindre... faites moi signed. Suis fatigué après Athens, Londres, Edinburgh! Love. Larry Durrell." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 83025

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Tout le monde cherche quelqu'un de fidèle tout en restant 'libre' en échange !" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières s. d. [circa 1970] | 15 x 10 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une vue des bords de la Vidourle à Sommières. Admirable et humoristique confession de l'écrivain à sa jeune amante : "Tout le monde cherche quelqu'un de fidèle tout en restant 'libre' en échange ! Bientôt je serai impuissant et le problème n'existera plus !". Durrell revient sur ses nombreuses conquêtes féminines ("Pour l'instant je suis comblé de belles et j'en profite - pourquoi pas !") et donne de précieux conseils à sa destinataire, qui avait choisi de rester indépendante malgré les prières de l'écrivain : "Tu n'es pas heureuse en amour parce que tu es intéressée - tu cherche [sic] des combines toujours au lieu de te donner sans réserve ni réservation ! C'est quand on deviens [sic] esclave qu'on est vraiment heureux !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70299

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Toi, tu peux m'écrire en Français. J'ai du mal à l'écrire mais je le comprends très bien". Lettre autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Paris 18 juillet 1969 | 21.60 x 28 cm | 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun datant du début de leur relation. Une page au stylo bille bleu. Enveloppe jointe. L'écrivain adresse ici une des premières lettres de sa correspondance avec sa jeune amie montpelliéraine, qui s'étendit sur plus de deux décennies. Encore peu habitué à la langue française, il demanda de l'aide pour traduire sa lettre : "J'espère bien mieux te connaître [...] Gérard a traduit ceci de l'anglais pour moi. Comprendrais-tu si la prochaine fois j'écrivais en anglais [...] ?" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70624

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎London 29-11-1980 | 10.20 x 15.30 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres rouge et noir, au verso d'une reproduction d'une liste rose parisienne. L'écrivain, nostagique, donne des nouvelles depuis Londres alors qu'il s'apprêteà signer son dernier livre chez le libraire londonien Bernard Stone. Sa librairie était connue et désignée par le poète Michael Horowitz comme "the merriest backwater of that time": "Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles : ils me prient de te rappeler le changement d'adresse. Il est à Covent Garden maintenant. C'est là que je signe ce soir. Nostalgie, grisailles, souvenirs". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 73357

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Vaumort" poème autographe signé et illustré par l'auteur à son amante française‎

‎1969 | 30.40 x 39.50 cm | une feuille‎

‎Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «Jany» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs.Exceptionnel poème autographe daté de 1969, signé et illustré de dessins originaux au graphite, feutres et crayons de couleur par Lawrence Durrell. Le poème-uvre d'art est adressé à Janine Brun, son amante française, et porte la dédicace «For Buttons», surnom affectueux que lui donnait l'écrivain, surmonté d'un cur percé d'une flèche. «Et je sus qu'à chaque fois que Je veux être vraiment seul Et me souvenir de toi, de cette journée, C'est à Vaumort que je songerai». «I knew that whenever I want to be perfectly alone With the memory of you, of that whole [day, It's to Vaumort that I'll be turning» Trous d'épingles, déchirures marginales. Publié pour la première fois dans Collected Poems: 1931-1974 (1980). Dans ce poème-dessin, l'écrivain se remémore une journée d'amour passée dans le cimetière d'un petit village de l'Yonne en compagnie de son amante Janine Brun. Au même moment, Durrell se remet péniblement du décès prématuré de sa troisième femme, survenu deux ans auparavant, et publie sa série de romans dystopiques Tunc (1968) and Nunquam (1970). Il se retranche également dans la poésie, dernier exercice d'ascèse littéraire et philosophique d'un écrivain qui, progressivement, choisit de se retirer du monde. C'est au cours d'une traversée depuis la capitale vers le Midi, que ce sont arrêtés les amoureux le temps d'une journée à Vaumort: «Au-dessous de nous, très loin, la route [qui mène à Paris Tu verses un peu de vin sur une tombe Les abeilles boivent avec nous, les morts [acquiescent». «Below us, far away, the road to Paris. You pour some wine upon a tomb. The bees drink with us, the dead approve.» La poésie de Durrell a souffert de l'éclatant succès de ses romans, cependant elle atteint ici une grande beauté lyrique, son vers libre néanmoins très musical reprenant le célèbre motif du cimetière: «Un cimetière insouciant bourdonne Comme si ses tombes étaient des ruches Bousculées par des morts impatients - Nous imaginions qu'ils avaient accumulé Le miel de leur immortalité Dans le doux tumulte des abeilles [noires». «One careless cemetery buzzes on and [on As if her tombstones were all hives Overturned by the impatient dead - We imagined they had stored up [The honey their of their immortality In the soft commotion‎

Referência livreiro : 66628

‎Lawrence DURRELL‎

‎"youth at the prow and beauty at the helm" luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Grèce 28 mai 1981 | 14.60 x 10.20 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, sa jeune amante française, rédigée au feutre bleu, au verso d'une illustration humoristique mettant en scène Poséidon. L'écrivain a séjourné au Club Méditerranée et en chante les louanges par un vers du poème néomédiévalThe Bard,de Thomas Gray et un de Baudelaire : "youth at the prow and beauty at the helm" (Jeunesse à la proue et beauté à la barre) luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you (tout est fait pour vous) J'ai envie de rester encore vingt ans ici. That would make me 110 years old (j'aurais 110 ans)." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70551

‎Lawrence DURRELL - Karen HOROWITZ‎

‎Affiche originale dédicacée par Lawrence Durrell‎

‎S. n. | s. l. 1974 | 62 x 45 cm | une affiche‎

‎Affiche originale réalisée par Karen Horowitz numérotée 145/200, datée 1974 et signée au crayon, représentant une photographie de concombre surmontée d'une citation de Justine de Lawrence Durrell: «The world is like a cucumber - today it's in your hand, tomorrow up your ass» («Le monde est comme un concombre - aujourd'hui, il est entre tes mains, demain dans ton cul.») Quelques très infimes piqûres. Dédicace manuscrite de Lawrence Durrell réalisée au feutre noir à gauche de la citation: «Buttons dear Attention?! Larry Durrell. 1978» Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «Jany» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Cette affiche fut donc offerte à cette jeune amante qui, à Sommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun fut ainsi décrite par le biographe de Durrell, Ian McNiven: «She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic» («Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique» Lawrence Durrell: A Biography). La relation de Jani/Buttons avec l'écrivain se prolongea jusqu'à la fin des années 1970, la jeune fille apparaissant à l'occasion dans les uvres de Durrell (et notamment le poème «Vaumort», Collected Poems: 1931-1974) et dans la fameuse correspondance de l'écrivain avec Henry Miller: «that little demon Buttons [...] turned up for a New Year TRINC and stayed the night with me finally, in my eternal little Room 13 at the Royal» («Buttons ce petit démon arriva pour trinquer à la nouvelle année et passa enfin la nuit avec moi, dans mon éternelle petite chambre 13 du Royal», lettre de Durrell à Miller, 6 janvier 1979). Elle reçut également des lettres et cartes postales pleines de sollicitude, d'allusions intimes et de conseils de lecture de la part de Durrell et de son grand ami Henry Miller, ainsi que des uvres d'art originales signées par Lawrence Durrell lui-même. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 67958

‎Lawrence DURRELL‎

‎Balthazar‎

‎Corrêa | Paris 1959 | 14 x 19.50 cm | broché‎

‎Edition originale, sur papier courant, de la traduction française. Agréable exemplaire en dépit d'une petite tache marginale sur le second plat. Envoi autographe signé de Lawrence Durrell à Maurice Noël. Provenance : bibliothèque de Maurice Noël avec son amusant ex-libris encollé sur une garde et sa devise : "Adada sur mon bidet. Tout et rien ! " - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 71377

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte de visite autographe adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 2 février 1979 | 12.70 x 8.10 cm | une carte de visite sous enveloppe‎

‎Carte de visite autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Quelques lignes à l'encre. Enveloppe jointe. L'encre a légèrement bavée, l'enveloppe ayant sans doute été mouillée. L'écrivain adresse cette carte depuis Sommières, sa retraite languedocienne, à son amante Janine Brun : "Janine est-ce que vos dates sont fixés [sic] ? Je ne sais pas si je suis de retour de Londres avant le 10 samedi - écris moi pour me dire - Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70292

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 18 octobre 1971 | 15 x 10.50 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu, au verso d'une citation de Nietzsche soulignant une image humoristique. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70300

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières circa 1970 | 9.50 x 6.50 cm | une carte de visite sous enveloppe‎

‎Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70626

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières circa 1970 | 9.50 x 6.50 cm | une carte de visite‎

‎Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. L'écrivain donne l'adresse de son éditeur londonien à sa jeune amante française afin qu'il l'acceuille à son arrivée : "ALAN THOMAS [...] si le taxiteur n'est pas sûr dites lui que Hobury St se trove [sic] directement en face du pub WORLD'S END dans le KING'S ROAD." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 70821

‎Lawrence DURRELL‎

‎Cefalu‎

‎Buchet-Chastel | Paris 1961 | 14 x 19.50 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française, un des exemplaires du service de presse. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Lawrence Durrell à Maurice Noël. Provenance : bibliothèque de Maurice Noël avec son amusant ex-libris encollé sur une garde et sa devise : "Adada sur mon bidet. Tout et rien ! " - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 71378

‎Lawrence DURRELL‎

‎Clea‎

‎Faber & Faber | London 1961 | 12 x 18.50 cm | broché‎

‎Nouvelle édition. Petites pliures angulaires sur les platsn dont une plus remarquable en tête du premier plat. Signature manuscrite de Lawrence Durrell sur la page de faux-titre. Provenance : de la bibliothèque de Jani Brun. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, Lawrence Durrell rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 73818

‎Lawrence Block sous le pseudonyme de Paul Kavanagh.‎

‎De tels hommes sont dangereux.‎

‎Editions Gallimard 1974. In-8 broché de 237 pages au format 20,5 x 14 cm. Couverture photographique à rabats. Dos carré. Plats et intérieur frais malgré d'infimes frottis aux coins et une petite coupure angulaire au coin supérieur droit de la page de garde. Premier roman mettant en scène Paul Kavanagh, ex-béret vert, écrit par Lawrence Block, traduit par Jeanne Fournier-Pargoire et Alain Chataignier. Superbe état général. Edition originale.‎

‎Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues‎

Referência livreiro : 23856

Livre Rare Book

Librairie Victor Sevilla
Paris France Francia França France
[Livros de Librairie Victor Sevilla]

€ 25,00 Comprar

‎LAWRENCE D. H. .‎

‎DÉFENSE DE LADY CHATTERLEY .‎

‎Editions NRF Libairie Gallimard, Paris 1932, collection "Du Monde Entier" n°VI, note liminaire et traduction de l'Anglais par Jacques BENOIST-MÉCHIN, broché, 158pp. rousseurs sur les premières et dernières pages, bon état général, 190x120 . (p2)‎

‎Exemplaire de l'Edition Originale sur papier d'alfa des papeteries Lafuma Navarre numéroté 407/800 .‎

Referência livreiro : 8772

Livre Rare Book

Librairie ancienne du Petit-Breuil
Mauze-sur-le-Mignon France Francia França France
[Livros de Librairie ancienne du Petit-Breuil]

€ 30,00 Comprar

‎LAWRENCE (D.-H.).‎

‎Défense de Lady Chatterley. Traduit par J. Benoist-Méchin.‎

‎P., Gallimard, coll. Du Monde entier VI, 10 juillet 1932 ; in-12, broché. 158 pp.-1 f. Bon état.‎

‎Edition originale tirée à 850 exemplaires sur alfa Lafuma-Navarre.‎

Referência livreiro : 13551

Livre Rare Book

La Librairie Bourbonnaise
Vichy France Francia França France
[Livros de La Librairie Bourbonnaise]

€ 50,00 Comprar

‎Lawrence, George-Alfred.‎

‎Guy Livingstone ou Outrance. Traduit par Charles Bernard Derosne.‎

‎Paris, Plon, 1861. In-8, demi basane époque, dos lisse orné de fleurons dorés, titre doré (manque le A de Lawrence), toutes tranches jaspées, faux-titre, titre, 2 ff non chiffrés, III, 432 pp. Edition originale française. Coins légèrement usés, petites épidermures à la coiffe inférieure, petite mouillure peu visible, rares rousseurs concentrées sur quelques feuillets.‎

Referência livreiro : DEZ-4427

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Livros de Librairie Lang]

€ 30,00 Comprar

‎Lawrence DURRELL‎

‎Justine‎

‎Corrêa | Paris 1957 | 14 x 19 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Très légères déchirures sans gravité sur le dos. Envoi autographe signé du traducteur, Roger Giroux, à Michel Mohrt. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 82543

‎LAWRENCE D. H. .‎

‎KANGOUROU .‎

‎Editions NRF Librairie Gallimard, Paris 1933, collection "Du Monde Entier" n°X, traduit de l'Anglais par Maurice RANCÈS , broché, 475pp. très bon état, 190x120 . (p3)‎

‎Exemplaire de l'Edition Originale sur alfa des papeteries Lafuma Navarre, numéroté 210/300 .‎

Referência livreiro : 8774

Livre Rare Book

Librairie ancienne du Petit-Breuil
Mauze-sur-le-Mignon France Francia França France
[Livros de Librairie ancienne du Petit-Breuil]

€ 30,00 Comprar

‎LAWRENCE, David Herbert / RANCES, Maurice (trad.)‎

‎KANGOUROU‎

‎1933 Paris, Gallimard - NRF, 1933. Broché: 12 x 19 cm, 473-[4] p., non ébarbé. EDITION ORIGINALE FRANCAISE. Un des 367 exemplaires du tirage de tête sur papier Alfa des papeteries Lafuma-Navarre, sous couverture spéciale Du Monde Entier (S.P. 27), seul grand papier. Très bon exemplaire. Envoi de photographies sur demande.‎

Referência livreiro : 3762

Livre Rare Book

Librairie de l'Univers
Lausanne Switzerland Suiza Suíça Suisse
[Livros de Librairie de l'Univers]

€ 95,57 Comprar

‎LAWRENCE D. H. .‎

‎L'HOMME ET LA POUPÉE .‎

‎Editions NRF Librairie Gallimard, Paris 1933, collection "Du Monde Entier" n°XII, traduction de l'Anglais par Mme A. MORICE-KERNÉ et Colette VERCKEN, broché, 299pp. pliure au dos, bon état, 190x120 . (p2)‎

‎Exemplaire de l'Edition Originale sur alfa des papeteries Lafuma Navarre, numéroté 183/300 .‎

Referência livreiro : 8773

Livre Rare Book

Librairie ancienne du Petit-Breuil
Mauze-sur-le-Mignon France Francia França France
[Livros de Librairie ancienne du Petit-Breuil]

€ 30,00 Comprar

‎Lawrence DURRELL‎

‎L'île de Prospero‎

‎Buchet / Chastel | Paris 1962 | 13.50 x 18 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, un des exemplaires du service de presse. Dos et plats légèrement et marginalement piqués et insolés. Envoi autographe signé de Lawrence Durrell à sa proche amie Janine Brun : "Janine pour Lawrence. Souvenirs 1968." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 71634

‎LAWRENCE David-Herbert.‎

‎La Fille perdue. Traduit de l'anglais par Hélène et Roland Alix. Introduction de René Lalou.‎

‎Paris, Éditions du Siècle, Les Maîtres étrangers, 1933. Un volume fort in-12, broché, couverture couleur, XIX (introduction) et 407 pp.‎

‎Édition originale de la traduction française sans grand papier annoncé. Bel exemplaire du service de presse. Photos sur demande.‎

Referência livreiro : 23034

Livre Rare Book

Livres de A à Z
Paris France Francia França France
[Livros de Livres de A à Z]

€ 120,00 Comprar

‎LAW, William (1686-1761) / DIVONNE, Louis-Marie-François de Laforest de (1765-1838)‎

‎La voie de la science divine, ou développement des principes et des bases fondamentales de cette science, indépendant de toute opinion et de tout système particulier. En trois dialogues, traduits librement de langlois de W. Law. Précédés de La Voix qui crie dans le désert, par Lodoïk.‎

‎1805 A Paris, chez Levrault et Schoell, imprimeurs-libraires, an XIII, 1805. Un volume in-8° (128 x 201 mm) de XV+[1bl]+76+280+[2] pages. Reliure de lépoque en demi-basane marron, dos lisse orné de filets, tranches mouchetées. Charnière supérieure un peu fendue aux extrémités.‎

‎RARE EDITION ORIGINALE. La «Voie de la science divine ... en trois dialogues» est une adaptation de louvrage du théologien mystique William Law (1686-1761), intitulé: «The way to divine knowledge, being several dialogues between Humanus, Academicus, Rusticus, and Theophilus, as preparatory to a knew edition of the works of Jacob Behmen[le théosophe allemand Jakob Böhme (1575-1624)]; and the right use of them», Londres, Innys & Richardson, 1752. Sa traduction de 1805 est due à Louis-Marie-François de Laforest, comte de Divonne (1765-1838), chevalier de Malte, officier aux régiments dArtois et de La Fère, adepte et héritier spirituel de Louis-Claude de Saint-Martin (1743-1803), dit «le philosophe inconnu», émigré en 1791, aide-major général de larmée de Condé, rentré en France en 1800; maréchal de camp (1814) et enfin pair de France (1827). Cest également lui qui rédige, sous le pseudonyme de Lodoïk, «La Voix qui crie dans le désert».Caillet: Bibliographie des sciences psychiques,no 3170: «... Ce livre de Law donne au lecteur attentif la vraie clé de la théosophie de Boehme. Armé de cette doctrine, on peut aborder sans crainte le texte hébreu de Moyse et lever toutes les difficultés que Fabre dOlivet a laissé subsister dans ses notes de la Langue hébraïque restituée et dans ses commentaires de Caïn. Le présent ouvrage de Law est une lumière(Stanislas de Guaita) Lodoïk est le pseudonyme du comte de Divonne, ami du Philosophe inconnu, Claude De St-Martin, et comme lui disciple de Pasquallys de Martinetz [alias Martinez de Pasquali]». Bon‎

Referência livreiro : 9282

Livre Rare Book

Librairie de l'Univers
Lausanne Switzerland Suiza Suíça Suisse
[Livros de Librairie de l'Univers]

€ 382,27 Comprar

‎LAWRENCE D'ARABIE‎

‎La matrice‎

‎Gallimard | Paris 1955 | 12 x 19 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française, un des 156 exemplaires numérotés sur pur fil, tirage de tête. Piqûres et taches sur le dos, sinon agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 42953

‎LAWRENCE D.H.‎

‎La Mort de SIEGMUND.‎

‎Gallimard NRF Paris 1934 In-12 ( 185 X 120 mm ) de 275 pages, broché sous couverture imprimée. EDITION ORIGINALE française, exemplaire du Service de Presse, sur papier d'édition publiée dans la collection "Du monde entier" de la NRF et achevée d'imprimer le 6 juillet 1934. Bel exemplaire.‎

Referência livreiro : 489244

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Livros de Librairie Tiré à Part]

€ 30,00 Comprar

‎LAWRENCE David Herber‎

‎Le Renard‎

‎In 12 broché,faux-titre,titre,125 pages,Stock 1928 édition originale de la traduction‎

Referência livreiro : 1991

Livre Rare Book

Charbonnel
Bar le Duc France Francia França France
[Livros de Charbonnel]

€ 20,00 Comprar

‎Lawrence DURRELL‎

‎Le Carnet noir Traduit par Roger Giroux Collection "Du Monde Entier"‎

‎Gallimard, Paris, 2 novembre 1961, in-8 (21x14cm), 262pp.-1f.n.ch., broché. Edition originale de la traduction française, 1/66 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma Navarre (n°22), seul grand papier. Très bel exemplaire non coupé.‎

Referência livreiro : M366

Livre Rare Book

Le Ver-Vert
Fourchambault France Francia França France
[Livros de Le Ver-Vert]

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‎Lawrence DURRELL‎

‎Le carnet noir‎

‎Gallimard | Paris 1961 | 14 x 20.50 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française, un des 66 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Dos et plats légèrement et marginalement passés, sinon agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referência livreiro : 28888

‎LAWRENCE T.- E.‎

‎Lettres. Traduction d'après l'édition anglaise par ETIEMBLE et Yassu GAUGLERE et enrichies de quatre lettres inédites.‎

‎Paris, Gallimard, Collection Du Monde Entier, décembre 1948. Fort in-8, broché, non coupé, 832 pp. Portrait en frontispice et carte hors-texte.‎

‎Edition originale de la traduction française sur papier d'édition, exemplaire du Service de Presse. Photos sur demande.‎

Referência livreiro : 24099

Livre Rare Book

Livres de A à Z
Paris France Francia França France
[Livros de Livres de A à Z]

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