‎Edition originale‎

‎Le monde en couleurs des Autos‎

‎innombrables photos. Cartonnage d'éditeur aux plats illustrés. Très bon Paris Éditions Princesse 1981 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Référence libraire : 14429

‎Le Palais de Justice de Paris. Son monde et ses mœurs.‎

‎150 dessins. Préface de Alexandre Dumas fils. 1/2 chagrin tabac à coins, doslong orné, filets dorés mors et coins, tête or. Ex-libris Durand-Auzias. Très bon Paris Librairies-Imprimeries Réunies 1892 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Référence libraire : 12214

‎Le Petit architecte n°100 : Wagon‎

‎Pellerin | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères rousseurs et infimes déchirures en marge gauche, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 26676

‎Le Petit architecte n°11 : Pompe à incendie‎

‎Pellerin | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Petites déchirures comportant de petits manques en marge inférieure, sans atteinte à la gravure, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 26674

‎Le Petit architecte n°30 : Bergerie‎

‎Pellerin & Cie | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Petites déchirures et manques marginaux sans atteinte à la gravure, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 26402

‎Le Petit architecte n°55 : le Jardin des plantes‎

‎Pellerin | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Très légères rousseurs marginales, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 26667

‎Le Petit architecte n°78 : Corbeille & Panier à ouvrage‎

‎Pellerin & Cie | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 26643

‎Le Petit architecte n°81 : Petite calèche d'enfant‎

‎Pellerin | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Très légères rousseurs marginales sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 26659

‎Le petit chansonnier françois, ou choix des meilleurs chansons sur des airs connus‎

‎S. n. | à Genève 1778 | 10 x 17 cm | relié‎

‎Edition originale. Un frontispice. Reliure en pleine basane blonde d'époque. Dos lisse orné? Pièce de titre en maroquin rouge. Coiffe de tête élimée. Un trou en queue. 2 coins émoussés. Frottements. Le recueil est séparé en auteurs mort et auteurs vivants, avec la plus belle part faite aux auteurs contemporains. Pour chaque chanson est notifié l'air sur lequel on doit la chanter. une table des matières alphabétiques permet de retrouver aisément les chansons. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 35649

‎Le Petit constructeur n°77 : Cuisine‎

‎Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 39 x 49 cm‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Manques en marge inférieure sans atteinte à la gravure, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 26403

‎Le Petit constructeur parisien n°1 : la porte Saint-Denis‎

‎Olivier-Pinot | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 39 x 49 cm‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Petites déchirures restaurées en marge supérieure, et petits manques sans conséquence, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 26132

‎Le Portique. N° 2 de 1945‎

‎Deuxième numéro de cette revue qui en totalise 8. Celui-ci, un des 100 exemplaires de tête comportant une gravure originale signée de André MARCHAND. Broché Très bon Paris Le Portique 1945 1 volume in-4°.‎

‎édition originale‎

Référence libraire : 10954

‎Le procès de la Commune.‎

‎Les 28 premières livraisons (huit pages chacune) avec les portraits des accusés par Le Petit. Très intéressants comptes rendus des débats du Conseil de Guerre. 1/2 chagrin rouge Très bon Paris Librairie Internationale s.d. 1 volume grand in-8°‎

‎Édition originale‎

Référence libraire : 10245

‎Le Temps. Toulouse-Lautrec‎

‎De la collection Le Temps … Numéro consacré à Toulouse-Lautrec. Riche iconographie. Broché sous couverture illustrée Très bon Paris RMN 1991 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Référence libraire : 12151

‎Les descentes de croix ou la semaine sainte de 1815‎

‎Cadre et vitre anciens. “Se trouve au numéro du 15 juin 1815.” 1815 27 x 36 cm avec le cadre.‎

‎édition originale‎

Référence libraire : 5693

‎Les différents jeux des petits polissons de Paris‎

‎Aux bureaux de l'artiste | Paris 1887 | 27.50 x 36 cm | en feuilles sous chemise à lacets‎

‎Nouveau tirage des six planches gravées sur vergé par Duclos d'après la rarissime série dessinée et gravée au burin par Augustin de Saint-Aubin, inialement publiée vers 1770. Les 6 planches représentent les différents jeux auxquels s'adonnaient les jeunes enfants à Paris à la fin du XVIIIe siècle : le sabot, le coupe-tête, la fossette ou le jeu de noyaux, la toupie et la corde, la dernière planche illustrant la sortie du collège où l'on voit des enfants sauter, courir, danser. Notre série est présentée sous une chemise à lacets en plein chagrin rouge comportant quelques frottements sur les plats, coins émoussés, étiquette de rangement de bibliothèque encollée en pied du second plat, tampon imprimé de collection en pied du verso du premier plat. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 73864

‎Les entretiens de Maitre Barthélemy. I. L'Univers peut s'expliquer sans faire intervenir l'Idée de Dieu. II. Dieu n'existe pas.‎

‎Tours, Librairie imprimerie de l'Intégrale, [1917] 2 fascicules in-16, brochés ; 12, 12 pp. et couvertures saumon ; prix 15 centimes chacun.‎

‎Edition originale rare de ces deux fascicules ; texte sous forme de dialogue que qestions et réponses. Publication anarchiste.‎

Référence libraire : 20058

‎Les grands trésors de l'art‎

‎Le moyen âge : première partie l'art roman. Cachet d'ex-libris très discret sur page de garde. Broché sous couverture illustrée Très bon Madrid 2009 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Référence libraire : 13914

‎Les Hommes d'aujourd'hui - Collection quasi complète (33 livraisons manquantes) & Les femmes du jour - Collection complète‎

‎Léon Vanier | Paris s. d. [1878-1899] & [1886-1892] | 19.50 x 28.50 cm | 5 volumes reliés‎

‎Pour "Les hommes d'aujourd'hui", édition originale de cette rare collection quasi complète constituée de 436 numéros sur 469 livraisons de quatre pages, chacune illustrée d'un portrait-charge en couleurs et parfois d'illustrations in-texte. Pour "Les femmes du jour",édition originale de cette très rare collection complète en 11 livraisons parues entre 1886 et 1892 (le dernier très rare numéro concernant Réjane étant paru en 1892, six ans après les 10 autres). Reliures des"Les hommes d'aujourd'hui"en demi percaline bleu ciel, dos lisses, pièces de titre de maroquin bleu ornées de doubles filets, plats de papier marbré (4 volumes).Les pages de titre en couleurs ont été conservées et reliées. Déchirure marginale sans atteinte au texte (n°163 ; n° 165 ; n° 184, p. 2). Restaurations maginales sans atteinte au texte sur 8 ff. entre les n° 214 et 223. Deux feuillets du numéro 224 doublés. Déchirure marginale avec manque (n° 345, p.1). Les cahiersdu premier volume accusent des différences de format ; certains sontdavantage rognés que d'autres. Reliure de "Les femmes du jour"en demi percaline rouge, dos lisse, pièce de titre de maroquin bleu nuit ornées de doubles filets, titre doré dans la longueur, plats de papier marbré. Impressionnante galerie de personnalités contemporaines croquées et racontées par les artistes et écrivains les plus avant-gardistes de l'époque. * Fondée par l'écrivain Félicien Champsaur et l'illustrateur André Gill en 1878, cette exceptionnelle revue littéraire et satirique fut reprise par Léon Vanier - l'éditeur des Parnassiens - à partir de 1885 avant de disparaître en 1899. Chaque numéro est consacré à une personnalité contemporaine des arts et des lettres et plus rarement au monde politique, scientifique ou technique. L'ensemble totalise ainsi 469 monographies rédigées par les plumes les plus alternatives de l'époque: Jules Laforgue, Gustave Kahn, Joris-Karl Huysmans, Jean Moréas, Félix Fénéon ou encore Paul Verlaine, seul contributeur que Vanier rémunèrera pour lui venir en aide. Chaque numéro comporte, en Une, une belle et grande caricature lithographiée en couleurs réalisée par des dessinateurs tels que Manuel Luque, André Gill ou encore Félix Régamey, mais aussi des peintres qui deviendront mythiques: Toulouse-Lautrec, Steinlen, Pissarro, Seurat, Signac... Confirmant son statut de monstre sacré du XIXe siècle, Sarah Bernhardtfigure à la fois dans les Hommes d'aujourd'hui et l'un des rares numéros des Femmes du jour ! Les numéros consacrés à la littérature couvrent toutes les écoles littéraires de la deuxième partie du XIXème siècle ; s'y côtoient les Buveurs d'eau, les Vilains bonshommes, les Hydropathes, les Parnassiens, les Naturalistes,les Décadents, les Symbolistes ou encore les Incohérents. La part belle est également faite aux peintres de différents horizons: l'école de Pont Aven (Schuffenecker, Pissarro, Emile Bernard, Maximilien Luce), les Affichistes (Chéret, Willette, Caran d'Ache, Georges Auriol, Job, Steinlen), les Post-impressionnistes (Cézanne, Toulouse-Lautrec, Anquetin), les Pointillistes (Signac, Seurat), les Symbolistes (Redon). Les musiciens eux non plus ne sont pas en reste avec notamment les représentations de Gounot, Massenet, Verdi, Camille Saint Saëns, Rubinstein et Reyer. Exceptionnelle galerie de portraits témoignant de la liberté d'esprit du milieu intellectuel français subversif et impertinent. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 83249

‎Les Merveilles du Louvre‎

‎Tome 1 : Du IVè millénaire avant J.-C. à l'aube de la Renaissance. Cartonnage d'éditeur sous jaquette illustrée. Très bon Paris Hachette 1958 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Référence libraire : 12523

‎Les premiers psychanalystes.‎

‎Minutes de la Société psychanalytique de Vienne. Tome 2 : 1908-1910. Couverture supérieure légèrement cornée. Broché Bon Paris NRF 1978 1 volume in-8°‎

‎Édition originale‎

Référence libraire : 11025

‎Les siècles romans en basse-normandie‎

‎catalogue de l'exposition itinérante. Cachet d'ex-libris très discret sur page de garde. Broché Très bon Caen Art de Basse-Normandie 1985 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Référence libraire : 13912

‎Lettre circulaire Donnée à une personne, n’ayant pas le temps de l’entretenir. Nouvelle Epouse de Jésus-Christ toujours nouvelle.‎

‎Bruxelles, François Foppens, 1720 ; in-12 ; veau havane, dos à nerfs décoré et doré (reliure de l’époque) ; 118 pp., (1) f. Approbation ; fleuron gravé au titre, représentant un aigle nourrissant ses petits.‎

‎EDITION ORIGINALE fort rare et curieuse de ce texte anonyme et sans "imprimatur" qui, par ses excès de dévotion, prend des allures de satire à l’encontre des religieuses "épouses" du Christ. Bon exemplaire.‎

Référence libraire : 16437

‎Lettres patentes ; Edits ; Arrests ; Declarations... de l'année 1771‎

‎Chez P. G. Simon | à Paris 1771 | 19.50 x 25.80 cm | relié‎

‎Réunion intéressante de 106 édits, arrêts, lettres patentes et déclarations allant du 22 février au 31 décembre de l'année 1771. Reliure en plein veau brun marbré d'époque. Dos à nerfs orné de 4 fleurs cloisonnées ; roulette en queue et tête. Pièces de titre en maroquin rouge. Sur le plat supérieur, une pièce de cuir arrachée de 3 x 5 cm. Mors supérieur fendu en queue. Frottements. 3 coins émoussés. Ces arrêts et autres lois concernent la vie économique, administrative, judiciaire et économique du pays. Une table des matières manuscrite en fin d'ouvrage, la même main ayant paginé le volume. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 37112

‎Leyes de recopilacion, que contiene los libros primero, segundo, tercero... nono‎

‎En la imprenta de Juan de Zuniga. | Madrid 1745 | 30 x 20 cm | deux volumes reliés‎

‎Le premier recueil des lois régissant l'Espagne paraît en 1567 sous l'instigation du roi Philippe II. Ce recueil sera réimprimé et complété jusqu'en 1775. Un troisième livre est paru contenant los autos acordados. cette édition est complète avec son index à la fin du tome II. Absent à la BN de France et aux catalogue français, des exemplaires de 1775 et 1772 à la British Library, à Cambridge et à Southampton (ces bibliothèques ne possèdent jamais les 2 tomes, mais le premier, le second, ou le troisième). Reliures en plein veau flammé début XIXe. Dos lisse à filets. Pièce de titre rouge et pièce de tomaison noire. Coiffes frottées. Frottements divers. Une déchirure en coiffe de queue du tome I. Epidermures sur les bordures. Coiffe supérieure du tome II arrachée. Ensemble des lois, décrets, ordonnances du royaume d'Espagne. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 14333