‎Edition originale‎

‎DELMAS, Gaëtan‎

‎LES JOURNAUX ROUGES. Curiosités révolutionnaires. Les Journaux Rouges. Histoire Critique de tous les Journaux Ultra-Républicains, publiés à Paris depuis le 24 février jusqu'au 1er Octobre 1848. Avec des extraits-spécimens et une préface par un Girondin.‎

‎Giraud & Cie, Paris 1848. In-16, relié. 158 pp. + fnch. Demi percaline rouge à la bradel, pièce de titre de veau noir sur le dos, couverture conservée. ÉDITION ORIGINALE RARE. Description critique et plutôt caustique de la presse politique et particulièrement de la presse révolutionnaire de l'époque, avec de nombreux spécimens reprenant la typographie propre à chacun.‎

‎Exemplaire finement relié avec la couverture (accidentée et restaurée), ce qui n'est pas courant. Mouillure claire et marginale à quelques feuillets sinon très bon état et la reliure impeccable. Il n'y a pas eu d'autre édition jusqu'à une traduction américaine en... 2010 !‎

Riferimento per il libraio : 559

‎Deltuf, Paul.‎

‎Les pigeons de la bourse.‎

‎Paris, Charlieu, 1857. In-12, demi basane, dos lisse orné de filets dorés, titre doré, faux-titre, titre, 303 pp, 8 f non chiffrés (catalogue éditeur). Edition originale. Coins très émoussés, coupes usées, plats frottés, coiffes frottées, exemplaire légèrement gauchi, nombreuses rousseurs, quelques tâches.‎

‎Exemplaire contenant le catalogue de l'éditeur en fin de volume.‎

Riferimento per il libraio : DEZ-1725

‎DELTEIL Joseph.‎

‎LES CINQ SENS, édition originale, exemplaire du SP, avec envoi autographe à Lucien Descaves‎

‎Edition Bernard Grasset. 1924., un volume in 12 broché. 273 pages. Quelques rousseurs, et petit manque à un angle de la page de garde. Descriptif et photos sur demande / pictures and more description on request.‎

‎Lucien Alexandre Descaves, né à Paris 14e le 18 mars 1861 et mort à Paris 16e le 6 septembre 1949, etait un écrivain naturaliste et libertaire, journaliste, romancier et auteur dramatique français; il a fait partie des premiers membres de l'Académie Goncourt dont il fut le président. ( wIkipedia )‎

Riferimento per il libraio : 8701

‎DELISLE Léopold‎

‎Les manuscrits du comte d'Ashburnham‎

‎H. Champion, Paris 1883, 16,5x24,5cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part de la Bibliothèque de l'Ecole des Chartes. Ex-dono sur le premier plat, infimes manques marginaux sur ce dernier. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 11181

‎DELAVIGNE Casimir‎

‎Les enfans d'Edouard, tragédie en trois actes et en vers‎

‎J.A. Lelong, Bruxelles 1833, 9x14,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Un léger manque en tête du dos, petits manques sur les plats, une mouillure affectant les gardes. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 14821

‎DELABORDE Henri‎

‎Les artistes à Paris pendant le siège. Extrait de la Revue des Deux Mondes‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] 1871, 15,5x25cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 18784

‎DELATTRE Charles‎

‎Les merveilles de la nature et de l'industrie humaine ou les chefs-d'oeuvre de Dieu et de l'homme‎

‎Martial Ardant, Paris & Limoges 1855, 19,5x28,5cm, relié.‎

‎Edition originale. Cartonnage éditeur polychrome, dos lisse richement orné, premier plat orné d'un encadrement de filets dorés et d'un portrait, tranches dorées. Sept planches hors-texte sous serpente. Dos légèrement frotté, quelques infimes rousseurs, sinon bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 30072

‎DELATTRE Charles‎

‎Les merveilles de la nature et de l'industrie humaine ou les chefs-d'oeuvre de Dieu et de l'homme‎

‎Martial Ardant frères, Paris & Limoges 1855, 19,5x28,5cm, relié.‎

‎Edition originale. Reliureromantique en percaline noire de l'éditeur, dos lisse richement orné d'un décor doré et polychrome, encadrements d'un double filet à froid sur les plats, premier plat orné d'un décor doré et polychrome, plat inférieur frappé d'un fer doré et polychrome, tranches dorées. Sept planches hors-texte sous serpente. Premier plat légèrement passé, quelques infimes rousseurs, sinon bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 46713

‎DELILLE Jacques‎

‎Les jardins, ou l'art d'embellir les paysages‎

‎De l'imprimerie de Philippe-Denys Pierres, à Paris 1782, In-8 (14,5x22cm), (2) viij, 9-141p. (2), relié.‎

‎Edition originale, illustrée d'un titre gravé avec une vignette et d'une figure en frontispice du Chant I par Cochin et gravée par Laurent. Reliure en plein veau d'époque marbrée. Dos lisse orné de fleurons. Pièce de titre en maroquin rouge. Coiffes arrachées. Mors fendus en queue et tête. 2 coins émoussés. Frottements. Le titre est légèrement plus court en marges. Etiquette d'un possesseur grattée en marge haute de la page de titre. Jacques Delille était déjà un poète célèbre lorsqu'il écrivit Les jardins, inspirés par Les Géorgiques de Virgile et L'art des jardins de Nicolas Rapin. Cette oeuvre le porta au sommet de sa notoriété et devint l'un des plus grands textes de la poésie descriptive et classique. Il y fait l'éloge et la description poétique du jardin à l'anglaise, avec ses immenses parcs paysagers composés d'arbres et d'étendues d'eaux. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 55262

‎DELVAU Alfred ROPS Félicien‎

‎Les cythères parisiennes. Histoire anecdotiques des bals de Paris‎

‎E. Dentu, paris 1864, In-12 (11x17,2cm), 277pp., relié.‎

‎Edition originale illustrée d'un frontispice et de 24 eaux-fortes sur chine contrecollées par Félicien Rops et Emile Thérond (le frontispice et 18 des vignettes sont effectivement de Rops). Reliure en demi chagrin brun d'époque. Dos à nerfs orné de filets. Traces de frottement. 2 coins un peu émoussés. Une des premières productions dAuguste Poulet-Malassis à Bruxelles, le frontispice de F. Rops est une héliogravure reprise à leau-forte et à la pointe sèche. Monographie de tous les bals parisiens, une vogue particulièrement suivie par toutes les couches sociales à l'époque. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 73511

‎Delcambre (Etienne) :‎

‎Les procès de sorcellerie en Lorraine. Psychologie des juges. Extrait de la Revue d'Histoire du Droit (Tijdschrift voor rechtgeschiedenies). Tome XXI (1953).‎

‎La Haye, Martinus Nijhoff éd. ; in-8, broché, pp.398-419 et couverture grise imprimée.‎

‎Edition originale, envoi autographe signé " A Monsieur Fernand Rude sympathique hommage. Et. Delcambre". Etude très fine des poursuites, accompagnées de tortures considérables, des malheureux simplement accusés de commerce avec le Diable, la plupart finissant au bûcher. Les préjugés collectifs de l'époque permirent à cette barbarie de durer au XVIe et XVIIe siècles et parfois au delà. Bel exemplaire.‎

Riferimento per il libraio : 21376

‎Delamain Jacques:‎

‎Les oiseaux s'installent ... et s'en vont.‎

‎Lausanne, la Guilde du livre, 1946. Grand in-8, cartonnage ivoire avec titre doré. Abondamment illustré en noir et en couleurs.‎

‎Edition originale au tirage limité à 10300 exemplaires numérotés, celui-ci numéro 7797. En belle condition.‎

Riferimento per il libraio : 4616

‎DELPY de LA ROCHE Louis Henry‎

‎Lettre autographe signée‎

‎Lettre autographe signée, de ce Capitaine à l'École militaire préparatoire de La Flèche, adressée le 26 avril 1826 à monsieur de Lisleroy à Chomérac. en feuille Très bon La Flèche 1826‎

‎édition originale‎

Riferimento per il libraio : 12053

‎DELACROIX Eugène‎

‎Lettre d'amour autographe inédite à "Julie" (Louise de Pron) : "trompe-moi si tu veux, je te croirai, je veux tant te croire et j'en ai si besoin"‎

‎s.d. (ca 1823), 12x18,2 cm et 10x15,5cm, Six pages sur deux feuillets rempliés.‎

‎Lettre autographe presque totalement inédite du peintre Eugène Delacroix à sa passion de jeunesse, la mystérieuse «Julie», désormais identifiée comme étant Madame de Pron, de son nom de jeune filleLouise du Bois des Cours de La Maisonfort épouse de Louis-Jules Baron Rossignol de Pron et fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine et ami de Chateaubriand. 90 lignes, 6 pages sur deux feuillets rempliés. Quelques biffures et deux annotations de bibliographe au crayon en partie supérieure de la première page («no114»). Cette lettre est l'une des dernières à son amante en main privée, l'ensemble de la correspondance de Delacroix à Madame de Pron étant conservé au Getty Research Institute (Los Angeles). Seules neuf des quatre-vingt-dix lignes de cette lettre inédite furent transcrites dans le Burlington Magazine de septembre 2009, à l'occasion du long article de Michèle Hanoosh, Bertrand et Lorraine Servois dont les recherches révélèrent enfin l'identité de la fameuse destinataire. Sublime lettre d'amour d'Eugène Delacroix âgé de vingt-quatre ans, adressée à son amante Madame de Pron, de douze ans son aînée, qui déchaîna chez lui la plus vive passion. Cet épisode de jeunesse du peintre, alors considéré commel'étoile montante du Romantisme, est longtemps demeuré un mystère dans la biographie de Delacroix, qui prit soin de conserver l'anonymat de son amante grâce à divers pseudonymes: la «Cara», «la dame des Italiens», ou encore «Julie», comme dans cette lettre, en référence au fameux roman épistolaire Julie ou la Nouvelle Héloïse de Rousseau. Pour des raisons évidentes, Delacroix ne signa aucune lettre de son nom dans sa correspondance avec la dame. Grande figure de l'aristocratie légitimiste, la destinataire de cette lettre enfiévrée est Madame de Pron, fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine, ami de Chateaubriand. Sa beauté fut immortalisée en 1818 par Élisabeth Vigée-Lebrun, qui réalisa son portrait au pastel, coiffée à l'orientale. La rencontre de Delacroix et de Madame de Pron eut lieu en avril 1822 lors de la commande du portrait du fils de celle-ci, Adrien, élève au lycée Impérial (actuel lycée Louis-le-Grand). Delacroix avait été commissionné pour le portrait par son ami intime Charles Soulier, amant de Madame de Pron, qui bien malgré lui servit d'entremetteur à Delacroix. En l'absence de Soulier parti en Italie, le peintre et la jeune femme nouèrent une relation amoureuse intense. La commande de portrait devint un prétexte à leurs tendres rendez-vous dans son atelier de la rue de Grès tandis que nulle trace de peinture de l'enfant n'a encore été retrouvée à ce jour. Leur aventure dura à peine plus d'une année, mais fut l'une des plus intenses passions de la vie de l'artiste. Notre missive doit sans doute correspondre aux derniers feux de leur relation, au mois de novembre 1823. Après une de ses visites au terme d'un hiatus de plusieurs mois, Delacroix lui réécrit sous le coup de l'émotion : «Je rentre le cur tout bouleversé, quelle bonne soirée! [...]Quelques fois je me dis: pourquoi l'ai-je revue? Dans la paisible retraite où je vivais, même au milieu des lieux invisibles que je m'étais formé [...] je parvenais à faire taire mon cur». Madame de Pron avait en effet décidé de mettre un terme à leurs relations intimes (voir sa lettre du 10 novembre 1823: «Je veux de l'amitié bien douce [...] je ne veux pas vous tourmenter», (Getty Research Institute). Perdant tout discernement et avec une dévotion aveugle, Delacroix tente de faire renaître leur liaison: «Fais-moi mentir, prouve-moi que ton âme est bien celle de la Julie que j'aie vue autrefois, puisque la mienne a retrouvé ses émotions charmantes et ses inquiétudes». Mais le peintre se heurte à Soulier et au général de Coëtlosquet, eux aussi amants de Madame de Pron. Delacroix avait évité de justesse une brouille définitive avec Soulier, qui avait failli apercevoir une lettre de Madame de Pron dans ses appartements : «J'ai feint d'avoir perdu ma clef [...] J'espère que mon tort envers lui n'influera pas sur ses relations avec... Dieu veuille qu'il l'ignore toujours!» (Journal, 27 octobre 1822, éd. Michèle Hanoosh, vol.1, p.94). Prisonnier de ce carré amoureux, Delacroix se résigne à partager l'affection de son amante, mais il lui en fait l'amer reproche: «Je crains que vous ne puissiez pas aimer parfaitement. Il s'est fait dans vos sentiments une lacune qui vous a été fatale [...] dis-moi que non, dis-le-moi de toutes les manières, trompe-moi si tu veux, je te croirai, je veux tant te croire et j'en ai si besoin». Vouvoiement et invectives familières se confondent dans l'esprit tourmenté du peintre. Ironie du sort, Delacroix séjourna fréquemment chez l'autre amant de Madame de Pron, son cousin le général d'Empire Charles Yves César Cyr du Coëtlosquet, chez qui elle logeait rue Saint-Dominique. Delacroix prendra sa revanche sur ce rival en peignant pour lui en 1826 la fameuse Nature morte aux homards (musée du Louvre), prenant soin d'y glisser de facétieuses références à l'ultra-royalisme de son commanditaire : «J'ai achevé le tableau d'animaux du général [...] Il a déjà donné dans l'il à une provision d'amateurs et je crois que cela sera drôle au Salon [de 1827-1828]» écrit-il dans une lettre à Charles Soulier. Un souvenir de la liaison de Delacroix avec Madame de Pron subsiste dans son tableau en cours, les Scènes du Massacre de Scio, révélation du Salon de 1824, qui placera Delacroix en chef de file du Romantisme et révolutionnera l'histoire de la peinture. En effet, il se procurera par l'entremise de son amante des armes Mameloukes, dont il subsiste une étude (J72) et qui figurent au flanc du spahi chargeant les femmes dans la composition finale. Aussi, un album d'aquarelles de la main de son ami Soulier le représente en train d'orner la chambre de son ancienne amante de décors pompéiens dans le château de Beffes, où il séjournera brièvement en juin 1826. L'ardeur de sa passion pour Madame de Pron est enfin révélée par cette lettre qui ne figure dans aucun essai biographique ni correspondance du peintre. Plus tard, Delacroix se rappellera au bon souvenir de son amante: «Tu diras à Mme de Pron que les Françaises n'ont pas d'égales pour la grâce» (lettre à Soulier, 6juin 1825). - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 75940

‎Delphine de Girardin - Madame Emile de GIRARDIN, (vicomte de Launay,)‎

‎Lettres parisiennes (Années 1836-1839)‎

‎1843 Paris : Charpentier, 1843.Années 1836-1839.-1 vol. (432 p.) ; in-12,reliure demi basane dos lisse ,bon état,edition originale‎

‎Une histoire de Paris sous Louis-Philippe de 1836 à 1839 à travers les chroniques de Mme de Girardin (1804-1855) épouse du publiciste et homme politique Emile de Girardin.Symbole fort de la femme de lettres du Romantisme, Delphine, qui a reçu une solide éducation classique et musicale par les soins de sa mère Sophie Gay, saura, très jeune, lui emboiter le pas avec un talent bien supérieur. Après des débuts dans la poésie, elle se fera connaitre sous le pseudonyme du vicomte de Launay, par ses Lettres parisiennes parues de 1836 à 1848 dans La Presse, un des journaux fondés par son mari Emile de Girardin. Fréquentée par Vigny, Hugo, Mme Récamier, Emile Deschamps puis Balzac, Lamartine, Litz, Alphonse Karr, Jules Hetzel, Joseph Mery, Jules Janin, etc. ; les domiciles successifs des époux Girardin deviennent des lieux privilégiés de la vie parisienne. En 1839, Delphine entame une belle carrière d'auteur de théâtre avec "L'école des journalistes", interdit par la censure. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Riferimento per il libraio : 24473

‎DELVAILLE (Bernard)‎

‎Londres.‎

‎Seyssel, Editions du Champ Vallon, "Des Villes", 1983 1 volume 16 x 23,2cm Broché sous couverture à rabats au 1er plat orné d'une petite vignette couleurs. 116p., 2 feuillets. Très bon état; non coupé.‎

‎Edition originale de cette évocation de Londres par le poète et critique Bernard DELVAILLE (1931-2006), qui fut conseiller littéraire aux éditions Seghers (directeur de la collection "Poètes d'aujourd'hui" à partir de 1970): "ce sont des promenades dans Londres que je propose au lecteur. C'est un paysage mental que je découvre, car, tout autant qu'à Paris ou à Rome, la littérature s'y mêle intimement à la solitude du piéton". 1 des 70 exemplaires sur Indres MBM Arches, justifié n°23; dans la collection dirigée par Luc Decaunes.‎

Riferimento per il libraio : 18323

‎DELAMARE R.‎

‎Louviers le Franc, ses églises, son musée‎

‎Imprimerie de l'Eure, Evreux s.d., 13,5x18,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Riche iconographie, très rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 3573

‎DELABORDE Henri‎

‎M. Henri Lehmann. Peintures de la salle des Assises au palais de justice à Paris. Extrait de la Revue des Deux Mondes‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] 1869, 15,5x25cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 18937

‎DELTEIL Loys‎

‎Manuel de l’amateur d’estampes des XIXè et XXè siècles.‎

‎Bien complet des 2 volumes de suppléments. Reliure d’éditeur en toile imprimée. Paris Dorbon-Ainé 1925 4 volumes in-8°.‎

‎édition originale‎

Riferimento per il libraio : 3141

‎DELAVIGNE, Casimir.‎

‎Marino Faliero.‎

‎Paris: Ladvocat, J.-N. Barba (impr. de Rignoux), 1829. In-8, 212 x 132: 188 pp., couverture imprimée. — Demi-maroquin vert à coins, filet doré, dos lisse orné d’un décor romantique en long, mention de l’éditeur et date en queue, tête dorée, couverture conservée (Vermorel).‎

‎Édition originale de cette pièce représentée pour la première fois sur le théâtre de la porte Saint-Martin le 30 mai 1829. C’est lors d’un voyage à Venise, préconisé par son médecin, que Casimir Delavigne (1793-1843) souffrant depuis toujours d’une santé fragile, rédigea cette tragédie. L’exemplaire est bien complet des quatre pages placées en tête contenant le catalogue de la librairie Ladvocat.Bel exemplaire en demi-maroquin de Vermorel, provenant de la bibliothèque du peintre et photographe Maurice Guibert (1856-1913) dont l’ex-libris dessiné par son proche ami Henri de Toulouse-Lautrec, figure au premier crontre plat. Il s’agit de l’un des deux seuls ex-libris dessinés par Lautrec, avec celui de Jules Renard. Restauration de papier en marge des feuillets 33-34 et 187-188. Couvertures doublées. Rousseurs.Bibliographie: Vicaire III, 109. – Talvart et Place IV, 23.‎

Riferimento per il libraio : 720

‎DELAVIGNE Casimir‎

‎Marino Faliero‎

‎Ladvocat, Paris 1829, 13x21cm, relié.‎

‎Edition originale. Reliure en plein vaeau violet, dos passé orné d'un cartouche doré agrémenté d'arabesques romantiques dorées, traces de frottements sur les mors, roulettes dorées sur les coiffes, encadrement d'une guirlande estampée à froid ainsi que de doubles filets dorés sur les plats, plats partiellement passés, gardes et contreplats de papier à la cuve, liserés dorés sur les coupes, qulques éraflures sur les plats et les coupes, tranches marbrées, reliure de l'époque. Rares rousseurs. ?Provenance : de la bibliothèque de Roger de Cormenin, fils de Louis de Cormenin qui fut le confident et le secrétaire de Théophile Gautier et également l'ami intime de Gustave Flaubert. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 49771

‎DELAVIGNE Casimir‎

‎Messéniennes et chants populaires‎

‎Furne & Cie, Paris 1840, 17x25,5cm, relié.‎

‎Edition originale. Reliure en demi maroquin de Russie menthe, dos lisse orné de motifs décoratifs romantiques dorés agrémenté d'un fer à la perrucheet comportant des traces de frottements, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliure romantique de l'époque. Ouvrage illustré de gravures in et hors-texte. Le portrait de l'auteur en frontispice est sur feuille volante dans notre exemplaire. Quelques petites rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 34299

‎DEL CASTILLO (Michel)‎

‎Mon frère l'idiot.‎

‎[s.l., Paris], Fayard, 1995 1 volume 15,4 x 23,5cm Broché sous couverture blanche. 379p., 2 feuillets. Très bon état; non coupé.‎

‎Edition originale tirée à 30 exemplaires sur papier vergé Ingres de Lana - exemplaire justifié n°4 - de cet ouvrage adressé à "Fédor" Dostoïevski, l'écrivain qui avait permis la "résurrection" du romancier Michel DEL CASTILLO après qu'il ait connu le pire dès son plus jeune âge: "Je ne rédige pas un essai, ni un ouvrage de critique. J'écris de coeur, dans une intimité trouble qui fut la nôtre, depuis le jour de notre rencontre. C'est à toi que je m'adresse, Fédor. Que pourrais-je donc t'apprendre sur toi-même? Ceci, peut-être, qu'un écrivain ne s'appartient pas: tu vis mêlé à mon sang, tes questions sont inscrites dans mes neurones. Tu n'as jamais été un modèle au sens où un artisan dérive de ses maîtres; tu es mieux que cela: tu es un souffle que j'aspire. Je n'aime pas tous tes livres, je ne suis pas un dévot. Tu demeures cependant étroitement lié à ma vie, si bien qu'à l'instant d'écrire, je dois chaque fois me situer par rapport à toi, établir la bonne distance. Je suis, Fédor, l'une de tes créatures. J'ai commencé par être un de ces enfants stupéfaits qui hantent tes livres. Je t'ai rencontré vers treize-quatorze ans, à Barcelone, mais je t'ai reconnu au premier regard parce que je vivais en toi depuis ma naissance" (citation de l'auteur en 4è de couverture). Exemplaire enrichi de coupures de presse (articles de Pierre Lepape du "Monde des Livres", de Michèle Gazier de "Télérama" et de Vincent Landel) et avec dédicace manuscrite de l'auteur, offrant "ce coeur à coeur avec celui qui m'a tiré de la nuit".‎

Riferimento per il libraio : 16654

‎Deleuze, Gilles - Foucault, Michel‎

‎Mélanges : pouvoir et surface. Avec six surfaces de Gilles Deleuze. [Faces et surfaces par Deleuze et Czerkinsky / Le Pouvoir et la norme par Michel Foucault]‎

‎1973 Sl [Paris ?], sn, sd [ca 1973]. 21 x 15 cm, deux cahiers agrafés dos à dos. Le premier cahier porte la couverture d'ensemble illustrée suivi du texte du dialogue entre Gilles Deleuze et Stéphane Czerkinsky ("Faces et surfaces") : (1) 9 (1 bl.) pp. (une page entre les pp. 8 et 9. n'est pas paginée), soit 6 ff. sur papier saumon avec 5 illustrations en noir à pleine page (celle entre les pp. 8 et 9, reprise en couverture, compte double). Le second cahier porte une couverture-titre distincte (Michel Foucault, "Le Pouvoir et la norme") : 7 (1 bl.) pp., soit 4 ff. sur papier blanc.‎

‎Deuxième édition en partie originale pour "Faces et surfaces". EDITION ORIGINALE et UNIQUE pour "Le Pouvoir et la norme" de Michel Foucault. Très rare. Rousseurs à la couverture, sinon très bon.‎

Riferimento per il libraio : 2713

‎DELPEY (Roger).‎

‎Nam-Ky. Soldats de la boue, II.‎

‎Givors, André Martel, 1951, pt in-8°, 253 pp, une carte en frontispice, 23 photos sur 12 pl. hors texte, croquis, belle jaquette illustrée, bon état. Edition originale‎

‎La suite de "Soldats de la Boue" qui obtint le Grand Prix Littéraire de l'Indochine en 1951. Par un sous-officier du Corps Expéditionnaire Français d'Extrême-Orient qui combattit en Cochinchine à partir de 1947 puis fut correspondant de guerre au Tonkin à partir de 1952, et devint Président national des Combattants d'Indochine et de Corée de 1954 à 1956. L'ouvrage, qui décrit les combats mais aussi la vie quotidienne, les joies et les peines de ses camarades, connut un grand succès. Les faits relatés ici couvrent la période 1947-50 et concernent la Cochinchine. Le dernier chapitre est consacré à des extraits de la presse française relatifs à l'indifférence ou à l'opposition d'une grande partie de l'opinion publique à l'égard de la guerre menée en Indochine. — "Nous avons parlé des “Soldats de la Boue” – qui en est à son centième mille. “Nam-Ky” est la suite. C'est la vie, vraie, du soldat français en Indochine. Cet ouvrage entrera dans nos traditions occidentales. C'est plus qu'intéressant ; c'est nous-mêmes ; c'est notre sang." (G. Riou, Hommes et mondes, mai 1954)‎

Riferimento per il libraio : 9063