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‎Johann Gottlob LEHMANN‎

‎L'art des mines, avec un traité des exhalaisons minerales ou moufettes & plusieurs mémoires sur différens sujets d'histoire naturelle. Essai d'une histoire naturelle des couches de la terre, avec des considérations physiques sur les causes des tremblemens de terre & de leur propagation‎

‎Chez Thomas Herissant | à Paris 1759 | 10 x 17.20 cm | 3 volumes reliés‎

‎Edition originale, rare, et illustrée de 4 figures dans le premier volume et 6 dont 5 dépliantes dans le troisième tome. Traduit de l'Allemand avec des notes du traducteur. Faux-titre commun aux 3 volumes : Traités de physique, d'histoire naturelle, de minéralogie et de métallurgie. Reliure en pleine basane brune granitée d'époque. Dos à nerfs orné. Pièces de titre en maroquin rouge, tomaisons dorées en queue. Traces de frottement, notamment aux mors. Légers accidents au mors inférieur du tome 3 en queue, étroite fente au mors supérieur en tête du tome 1 sur 0,5cm. Rousseurs très pâles éparses. Bel exemplaire. Considéré comme le père de la géologie moderne et le fondateur de la stratigraphie (étude des strates de la terre), Lehmann (1719-1767) fut un minéralogiste et un géologue réputé pour ses travaux. Dès 1750, son essai sur la formation des métaux lui permit d'être missionné par l'Académie des sciences de Prusse pour une étude des mines sur l'ensemble de la Prusse. Lehmann en tira son ouvrage de L'art des mines, dont de nombreux termes sont entrés dans la littérature de la géologie. En 1767, il fut invité par l'Académie impériale des sciences de Russie où ildevint professeur de chimie et Directeur du musée impérial des sciences. Il est démeuré célèbre pour sa description précise des différentes couches de roches stratifiées de la terre. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 71753

‎Johann Heinrich HOTTINGER‎

‎Grammatica, quatuor linguarum hebraicae, chaldaicae, syriacae et arabicae, harmonica, ita perspicue & compendiose instituta, ut ad linguam hebraicam, tanquam matrem, caeterum etiam, ceu filiarum, linguarum, accomodentur praecepta. Suivi de Dittionario della lingua volgare arabica et italiana (Fra Domenico germano de Silesia) In Roma. 1636. Suivi de Grammaire générale, théorie des signes par Klaproth‎

‎Adriani Wyngaerden | Heidelberae 1659 | 21 x 15 cm | relié‎

‎Edition originale. Brunet III, 347 ne cite qu'une édition de 1661 à Francfort. Reliure en demi basane milieu XIXe, dos à nerfs, petits fers à froid ett roulettes sur les nerfs. Ensemble frotté. Johann Heinrich Hottinger fut un orientaliste suisse très estimé, et ses nombreux ouvrages dans le domaine ont fortement fait progressé les études orientales, il était professeur de langues orientales à Zurich et Heidelberg. Ce premier ouvrage est suivi d'un dictionnaire arabe italien plein de très nombreuses expressions et idiomes. Le troisième texte ne contient pas de page de titre et paraît avoir été retiré d'un journal. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 12080

‎Johann Heinrich Samuel FORMEY‎

‎Mélanges philosophiques‎

‎Elie Luzac, fils | à Leyde 1754 | 10 x 16.50 cm | 2 volumes reliés‎

‎Edition originale collective. Un portrait au frontispice et une vignette de titre répétée. Reliures en plein veau brun d'époque. Dos à nerfs ornés. Pièces de titre de maroquin rouge, et de tomaison de basane noire. Coiffes élimées. Mors fendus en tête sur 1cm. Coins très émoussés. Feuillets préliminaires brunis. Bon exemplaire. Homme de lettres et philosophe allemand, directeur de la classe de philsophie de l'Académie de Berlin, entre autre charges qu'il occupa, Formey (1711-1797 )a laissé de nombreux écrits à caractère philosophique dont certains sont rassemblés dans ce recueil. Il eut une grande réputation et ses ouvrages furent toujours bien accueillis, en témoigne son abondante correspondance avec tous les lettrés d'Europe. On distinguera dans cette édition collective : Réflexions sur la liberté ; Essai sur le sommeil ; Essai sur les songes ; Dissertation sur le meurtre volontaire de soi-même ; Recherches sur les éléments de la matière ; Considérations sur les éléments des corps ; Système du vrai bonheur ; La logique des vraisemblances ; Deux lettres sur l'éternité des peines, etc. Nombre de ces mémoires parurent dans les Mémoires de l'Académie de Berlin. En France, il fut très proche de Maupertuis et ennemi de Voltaire et en général des libres penseurs, bien qu'il collabora à l'Encyclopédie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 58795

‎Johann Jakob CHEFFMACHER‎

‎Lettres d'un docteur allemand de l'université catholique de Strasbourg a un gentilhomme protestant, sur les six obstacles au salut, qui se rencontrent dans la religion lutherienne‎

‎Chez Jean-François Le Roux | à Strasbourg 1730 | 16.50 x 22.80 cm | 2 volumes reliés‎

‎Mention de seconde édition. Page de titre en rouge et noir. Reliure en pleine basane brune d'époque. Dos à nerfs richement orné. Pièce de titre en maroquin brun. Pièce de tomaison ornée. Coiffe de tête du tome II comportant des manques, idem en queue. Coins émoussés et dénudés. Fentes sur le plat supérieur en queue sur les 2 tomes. 12 lettres composent ce recueil, eles parurent au préalable séparément. On y trouve le même ton d'affabilité, de bienséance, bien éloigné des violentes diatribes contre le protestantisme que l'on trouve dans de nombreux ouvrages. S'adressant à un honnête homme protestant, l'auteur étudie point par point la doctrine de Luther, cherchant à démontrer que seule l'église catholique est non seulement naturelle, mais la seule église possible en accord avec Dieu et toute la littérature religieuse. Tampon du Couvent des capucins du Mans ; - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 38808

‎Johann Joachim BECHER - Georg Ernst STAHL‎

‎Physica subterranea profundam subterraneorum genesin, e principiis hucusque ignotis, ostendens. Opus sine pari, primum hactenus et princeps, edito novissima. [...] et Specimen Beccherianum, fondamentorum documentorum, experimentorum, subjunxit Georg. Ernestus Stahl, D.‎

‎Ex officina Weidmanniana | Lipsiae [Leipzig] 1738 | 18 x 21 cm | relié‎

‎Dernière édition, l'originale a paru à Francfort en 1669. Très beau frontispice allégorique gravé. L'ouvrage contient une préface deGeorg Ernst Stahl et une seconde partie, paginée séparément et intituléeSpecimen Beccherianum Fondamentorum Documentorum Experimentorumpar le même. L'ouvrage se constitue de cinq partiesintitulées « Physica Subterranea », « Experimentum Chimicum Novum quo Artificialis et instantanea Metallorum Generatio et Transmutatio ad oculum demonstratur », « In Physicam Subterraneam demontratio philosophica seu Theses Chimica » et « Experimentum novum ac curiosum de Minera Arenaria Perpetua ». Reliure de l'époque en plein vélin, dos lisse présentant en tête le titre à la plume, toutes tranches mouchetées de rouge. Quelques feuillets un peu brunis ou légèrement mouillé, sinon exemplaire frais. Recueil de textes de chimie, d'alchimie et de minéralogie préfacé parGeorg Ernst Stahl, disciple de Johann Becher. Bel exemplaire du plus grand texte de l'un des meilleurs chimistes allemands. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 71716

‎Johann Joachim WINCKELMANN‎

‎Recueil de différentes pièces sur les arts‎

‎Barrois l'aîné | Paris 1786 | 14 x 22 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française. Traduction de l'allemand par H. Jansen. Notre exemplaire est présenté dans son brochage d'origine. Un mors fendu en pied, petites déchirures et manques angulaires sur les plats, agréable état intérieur malgré de très rares rousseurs.Ce premier ouvrage de Winckelmann eut un retentissement considérable en Europe en fixant les bases de ce qui deviendra le néo-classicisme, dont la pensée eut beaucoup plus d'impact sur les arts en Allemagne qu'en France. En outre, sa réflexion sur l'art grec contribua à assurer les fondations d'une Histoire de l'art. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 38022

‎Johann Kaspar LAVATER‎

‎J.K. Lavater's physiognomik. Zur Beforderung der Menschenkenntniss und Menschenliebe‎

‎Sollinger | Wien 1829 | 13.50 x 21.50 cm | 3 volumes reliés‎

‎Nouvelle édition, illustrée d'un portrait en pied au frontispice par Stober et de 30 planches pour le tome 1, 30 pour le second tome, 30 pour le troisième, 29 pour le tome 4 et 2 fac-similés d'écriture ; toutes ces planches sont contenues dans un atlas. Les quatre tomes sont reliés en deux volumes. Chaque planche contient de 2 à 12 figures. Reliure de l'époque en demi chagrin bordeaux à petits coins, dos à faux nerfs ornés de filets dorés et à froid, plats de papier à la cuve, toutes tranches marbrées. Reliures habilement restaurées. Rousseurs éparses sur le texte. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 74506

‎Johann KENTMANN‎

‎Calculorum qui in corpore ac membris hominum innascuntur genera XII. depicta descriptaque, cum Historijs singulorum admirandis, per Jo. Kentmanum Dresdensem medicum [12 sortes de calculs qui se forment dans les membres des hommes]‎

‎S. n. [ J. Gessner] | Tiguri [Zurich] 1565 | 9.50 x 16 cm | relié‎

‎Première et unique édition de ce rare traité. Marque de l'imprimeur en page de titre et 11 figures in-texte de différentes pierres trouvées dans le corps humain. Petites lettrines historiées. Reliure en plein papier du XIXème, pièce de titre de chagrin, trace de mouillure jaune pâle du feuillet 15 à la fin. Ce traité des pierres ou calculs est le premier décrivant ces phénomènes ; chacun des 12 chapitres explore une partie du corps humain où furent trouvé des calculs (intestin, reins, vésicule...). En supplément, l'ouvrage relate différents objets ingérés et non comestibles. Kentmann (1518-1574) était à la fois minéralogiste et médecin, et particulièrement bien placé pour disserter sur le sujet. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 86696

‎Johann Michael VANSLEB - VANSLEBEN‎

‎Nouvelle relation en forme de journal, d'un voyage fait en Egypte. En 1672. & 1673‎

‎Chez Estienne Michallet | à Paris 1677 | 8.50 x 15.50 cm | relié‎

‎Edition originale, rare et précieuse. Reliure en pleine basane brune d'époque. Dos à nerfs orné. Ensemble épidermé. Manques aux mors en coiffe de tête ; et de queue pour le mors supérieur. Un coin émoussé. Importante relation pour la connaisance occidentale de l'Egypte. Vansleb, philologue et théologien allemand, se mit au service de Colbert pour un voyage projeté en Ethiopie, mais il n'alla jamais plus loin que l'Egypte, où il passa 20 mois à observer et collecter des informations, multipliant les excursions et voyages. Vansleb ne revient jamais sur les descriptions qui ont déjà été faites par d'autres (les pyramides), conscient de livrer à ses lecteurs des informations entièrement neuves. Si ce n'est pas la première relation sur l'Egypte, c'est la première d'un homme résidant longtemps dans le pays ; c'est de toutes façons une des premières, mais la toute première de cette façon. L'auteur s'était déjà rendu une première fois en Egypte, il en avait tiré une narration en Italien, mais il ne possédait pas cette connaissance de l'arabe qui permet le contact avec la population, et il n'était pas demeuré dans le pays. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 32794

‎Johann NOMSZ‎

‎Willem de Eerste‎

‎David Klippink | Te Amsterdam 1779 | 24 x 20 cm | relié‎

‎Edition originale rare absente du catalogue de toutes les grandes bibliothèques nationales exception faite pour la British Library. 25 belles planches de Buys gravées par Koming. Reliure en demi basane fauve marbrée, dos lisse avec 4 grands fers et multiples roulettes (reliure plus tardive 1810). Pièce de titre déchirée coiffe supérieure abimée, petit manque sur celle en queue, mors fendillés, une déchirure sur le dos, sinon bel exemplaire, à l'intérieur très frais. L'ouvrage consiste en une épopée en vers et en 24 chants de la vie et des exploits de Guillaume Ier de Nassau, Prince d'Orange, Stathouder de la Hollande, dit Guillaume le Taciturne. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 7800

‎Johann Paul Friedrich RICHTER‎

‎Pensées de Jean Paul‎

‎F.G. Levrault | Paris 1836 | 13.50 x 22.50 cm | broché‎

‎Deuxième édition en partie originale car "augmentée de près du double". Petits manques en tête et en pied du dos, légers manques angulaires sur les plats, quelques rousseurs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 23875

‎Johann Paul Friedrich RICHTER - Pierre VELUT‎

‎Vie de Fixlein, régent de cinquième‎

‎Aubier Montaigne | Paris 1943 | 12 x 19 cm | broché‎

‎Nouvelle édition de la traduction française pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Hommage autographe signé du traducteur. Provenance : bibliothèque de Maurice Blanchot. Petites taches sans gravité sur les plats. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 43454

‎Johann Peter ECKERMANN‎

‎Gespräche mit Goethe, in den letzten Jahren seines Lebens, 1823-1832‎

‎Brockhaus Heinrichshofen'sche Buchhandlung | Leipzig Magdeburg 1837-1848 | 11.50 x 18 cm | 3 volumes reliés‎

‎Deuxième édition pour les deux premiers volumes et édition originale pour le troisième. Reliures romantiques d'époque en demi-veau à coins brun, foncé pour le premier tome, clair pour les deux autres, dos lisse orné de motifs floraux à froid, filets dorés, dos légèrement passés, mors frottés, rousseurs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 18320

‎Johann Peter FRANK‎

‎Curandis hominum morbis epitome. 6. De retentionibus.‎

‎Sumptibus Aloysius Doll | Viennae 1805 | 11.50 x 19.50 cm | relié‎

‎Edition originale, réalisée par Joseph Eyerel. Reliure usagée en pleine basane mouchetée. Dos lisse orné de 4 fleurons. Coiffes arrachées, avec manque au caisson inférieur. Mors ouverts avec divers manques. Pièce de titre manquante. Coins émoussés. Rousseurs. Vaste manuel de médecine curative dont 7 volumes furent publiés de 1792 à 1821(1. De febribus. liber 2. De inflammationibus. liber 3. De exanthematibus...). Ce volume concerne outre les rétentions, le scotbut, la syphillis et la phtisie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 55239

‎Johann Peter Theodore LYSER‎

‎Polygamia Triumphatrix‎

‎Sumptibus Authoris | Londini [Amsterdam] 1682 | 21.60 x 16.50 cm | relié‎

‎Troisième et meilleure edition de cette apologie de la polygamie, la première datait de 1674 et comportait 96 p., la seconde fut augmentée en 1676 de 174 p., cette dernière édition faisant 565 p. La plupart des grandes bibliothèques n'en possèdent pas, tel que la BNF. Graesse, I, 68. Rare. Reliure en plein vélin d'époque, titre à la plume. Mors ouvert en tête. Lyser (1631-1684) consacra sa vie et sa fortune dans l'espoir de fonder une secte des polygamistes, il visita ainsi l'Europe, cherchant des adeptes et prêchant que la polygamie est la plupart du temps une exigence. Le livre fut condamné et de nombreux exemplaires ont été brûlés. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 7687

‎Johann Rudolf WYSS‎

‎Le Robinson Suisse‎

‎Lavigne | Paris 1841 | 15 x 23.80 cm | relié‎

‎Edition illustrée romantique en premier tirage de 6 hors-texte sur chine appliqué avant la lettre et de 200 vignettes in-texte de Lemercier. Les hors-texte portent un numéro et ont été reliés dans le désordre. Edition originale de la traduction de Elise Voiart. Préface de Charles Nodier. Reliure en demi chagrin noir. Dos lisse orné de fers rocailles à froid et dorés. Tranches dorées. Quelques rousseurs éparses. Des frottements, notamment en bordures et coins. Charmant exemplaire. Ce roman Suisse connut un grand succès à sa parution et enchanta de multiples générations jusqu'à aujourd'hui. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 84080

‎Johann SCHEFFER‎

‎De Re vehiculari veterum libri duo [Des moyens de transport des anciens]‎

‎Ex officina Zunneriana typis Johannis Andreae | Francofurti (Francfort) 1671 | 21.40 x 17.50 cm | deux parties reliées en un volume‎

‎Edition originale rare illustrée de 38 bois dans le texte et 4 figures gravées sur cuivre a mi-page (dont une répétée). Un très beau frontispice de Hoos.) Brunet, 29030. Reliure en demi veau à dos lisse orné à petits coins. Pièce de titre verte, fleurons et filets en vagues. Reliure fin XVIIIème. Les 2/3 de l'ouvrage ont le texte bruni, souvent fortement. La seconde partie ne comporte pas de page de titre. Jean Scheffer (1621-1679) est né à Strasbourg, il fut accueilli en Suède par la reine Christine et nommé bibliothécaire de l'académie et obtint toujours par la protection de la reine la chaire d'éloquence et de droit public à l'université d'Upsala. Il a également écrit une histoire de la Laponie. Le De re vehiculi est l'un de ses ouvrages les plus savants, sur une matière qui ne fut pas souvent étudiée, les moyens de transport sous l'antiquité. C'est l'ouvrage le plus complet sur cette matière. Brunet 29030. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 7874

‎Johann Thuresson OXENSTIERNA‎

‎Pensées de Monsieur le Comte d'Oxenstirn‎

‎Chez Jean Van Duren | à La Haye 1750 | 9 x 17 cm | 2 tomes en un volume relié‎

‎Nouvelle édition, ornée d'un frontispice répété dans le tome II (pages de titre dans un encadrement gravé). La première édition date de 1722. Reliure en pleine basane brune d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre en maroquin havane. Mors supérieur fendu en tête. Un manque en tête. Un coin émoussé. Bon exemplaire, frais. Le comte Oxenstierna (1666-1733), originaire d'une grande famille de Suède, rédigea ces maximes et pensées directement en français. Le comte fut parfois surnommé le Montaigne du nord. Il semble n'y avoir pas de sujet sur lequel le Comte n'ait pas produit de réflexions : des spectres, de la brutalité, de la jeunesse, des spectacles... - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 58306

‎Johann Wolfgang von GOETHE‎

‎Dernières pages de Goethe expliquant à l'Allemagne les sujets de philosophie naturelle controversés au sein de l'Académie des sciences de Paris‎

‎Revue encyclopédique | Paris 1832 | 14 x 23 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française imprimée à petit nombre de ce tiré à part de la Revue Encyclopédique. Une déchirure angulaire avec manque sur les 8 premières pages sans atteinte au texte. Exemplaire présenté dans son état d'origine c'est à dire sans couverture. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 20369

‎Johann Wolfgang von GOETHE‎

‎Elégies romaines suivies de ses Epigrammes, ballades et épîtres, et d'un choix de ses poésies fugitives‎

‎Vve Dondey & Dupré | Paris 1837 | 16 x 23 cm | cousu‎

‎Edition originale de la traduction, du choix et de la présentation établis par M. de Wolffers. Notre exemplaires est bien complet du frontispice sur Chine monté et gravé par Lécurieux. Dos fendillé en tête et en pied comportant de légers manques, petites rousseurs éparses, une pâle mouillure angulaire affectant le dernier feuillet. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 20828

‎Johann Wolfgang von GOETHE‎

‎Goethe's poetische und prosaische werke in zwei banden. [Oeuvres complètes]‎

‎J. G. Cotta'sche Buchhandlung | Stuttgart und Tübingen 1836 | 18 x 27 cm | 4 volumes reliés‎

‎Oeuvres complètes de Goethe comprenant sa poésie, son théâtre, ses romans, ses essais critiques et sa correspondance. Impression gothique sur 2 colonnes. 5 superbes gravures sur acier sur papier fort et sous serpentes jaunes dans le tome 2 par Kaulbach et Felner dans un style gothique ou classique et gravés par des anglais, 2 gravures dans le tome 3. Une des premières oeuvres complètes de l'auteur décédé en 1833. Le même éditeur avait donné cette édition en 55 minces volumes en 1833, il en livre une version plus compacte et plus maniabledans celle-ci. Reliure allemande en plein chagrin vert d'époque. Dos lisse orné de fers rocailles reliés par des filets en long. Titre et tomaison dorés. Double filet d'encadrement sur les plats. Tête dorée et tranches marbrées. beau papier de garde marbré noir et orange. papier velin d'une superbe fraîcheur, totalement exempt de rousseurs. Dos légèrement éclaircis. Traces de frottement en coiffes, petites taches sombres sur le dos du tome 2 et sur le tome 3. Magnifique exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 68022

‎Johann Wolfgang von GOETHE‎

‎Le renard‎

‎Jules Hetzel | Paris s. d. [ca 1860] | 9 x 13.50 cm | broché‎

‎Deuxième édition de la traduction française établie par Edouard Grenier. Un mors légèrement fendu en tête et en pied, une pâle mouillure en pied du premier plat affectant les deux feuillets suivants, petites traces de pliures marginales sur les plats, pages de titre et de faux-titre débrochées. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 24920

‎Johann Wolfgang von GOETHE‎

‎Romans‎

‎Gallimard , Bibliothèque de La Pléiade | Paris 1984 | 10.50 x 17.50 cm | reliure de l'éditeur‎

‎Edition de la bibliothèque de La Pléiade imprimée sur papier Bible. Reliure éditeur en plein mouton grainé vert, dos lisse orné de filets dorés. Dos du rhodoïd et bord de l'étui un peu jaunis. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 69694

‎Johann Wolfgang von GOETHE‎

‎Romans‎

‎Gallimard , Bibliothèque de La Pléiade | Paris 1984 | 10.50 x 17.50 cm | reliure de l'éditeur sous étui souple et cartonné‎

‎Edition de la bibliothèque de La Pléiade imprimée sur papier Bible. Reliure éditeur en plein mouton grainé vert, tête bleue, dos lisse orné de filets dorés. Belexemplaire complet de son rhodoïd, de sa jaquette et de son étui souple. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 76878

‎Johann Wolfgang von GOETHE‎

‎Théâtre complet‎

‎Gallimard , Bibliothèque de La Pléiade | Paris 1988 | 10.50 x 18 cm | reliure de l'éditeur sous étui souple et cartonné‎

‎Edition de la bibliothèque de La Pléiade imprimée sur papier Bible. Reliure éditeur en plein mouton grainé vert, tête bleue, dos lisse orné de filets dorés. Bel exemplaire complet de son rhodoïd et de son étui. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 76856

‎Johann Wolfgang von GOETHE - Gérard de NERVAL‎

‎Faust suivi du Second Faust. Choix de ballades et poésies de Goëthe - Schiller - Burger - Klopstock - Schubart - Koerner - Uhland, etc‎

‎Charles Gosselin | Paris 1840 | 10.50 x 18 cm | relié‎

‎Edition originale collective réunissant Faust et le Second Faust. Edition originale de la traduction française établie par Gérard de Nerval pour le "Second Faust", édition en partie originale pour le choix de ballades et poésies, on y trouve des poésie de Goethe (notamment Le roi des Aulnes), de Schiller, de KLopstock, de Burger... Légende de Fauste par Widmann, notices et notes. Reliure en demi veau glacé chocolat d'époque à petits coins. Dos lisse orné de fers romantiques en miroir. Titre doré. Tranches marbrées assorties aux pages de garde. Quelques craquelures sur le dos. Traces de frottement. Quelques rousseurs éparses sur un papier bien blanc. Bel exemplaire. Importante édition pour la littérature romantique. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 86067

‎Johannes COLUMBUS‎

‎Incerti scriptoris graeci fabulae aliquot Homericae De Ulixis erroribus‎

‎Apid Philippum Bonk | Lugduni Batavorum 1745 | 13 x 21 cm | relié‎

‎Nouvelle édition après la première parue en 1678. Texte en grec ancien, la traduction latine en regard. Commentaires en latin. Reliure en plein maroquin brun d'époque. Dos lisse orné de roulettes. Pièces de titre et de date en maroquin brun. Double filet d'encadrement sur les plats. Tranches dorées. Coiffe de tête légèrement élimée, coiffe de queue arasée. Partie manquante à la pièce de datation en queue. Frottements. 2 coins émoussés. Rousseurs. Bon exemplaire, rare en maroquin d'époque. Ex libris : Biblioteca Lamoniana. Ecrit par un auteur grec anonyme, De Ulixis errroribus est une allégorie des voyages d'Ulysse. Columbus, un érudit suédois et professeur de poésie latine en a donné une traduction suivie de ses commentaires. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 65531

‎Johannes CUSPINIANUS‎

‎De caesaribus atque imperatoribus romanis, opus insigne : ab innumeris, quibus antea scatebat, mendis vindicatum : una cum Volphgangi Hungeri, iurecondulti dictiss. Annotationibus, quibus innumera cum huiusce autoris, tum aliorum quoq historicorum loca &restituuntur, & explicantur.‎

‎per Ioannem Oporinum & Nicolaum Brylingerum. | Basilae (Bâle) [1561] | 32 x 21 cm | relié‎

‎Première édition contenant les commentaires de Wolfgang Hunger. L'édition antérieure date de 1540. La date de 1561 se trouve à la fin de la dédicace de Albert Reyffenstain, l'éditeur de l'ouvrage. En plus du texte principal, le livre intègre le Diarum de l'auteur, De congressu caesaris Maximiliani augusti, & trium regum, hungaria, bohemiae, & poloniae, Vladislai, Ludovici, ac Sigismundi... De turcurum origine, Quibus itineribus turci sint aggrediendi de Felix Petiantus. Annotationnes imprimés sur deux colonnes, l'index sur 4. Belles et nombreuses lettrines. Reliure en plein veau XVIIe. Dos à nerfs orné. Dentelle d'encadrement sur les plats. Pièce de titre en maroquin rouge. La coiffe de tête porte un accroc sans gravité. Les plats comportent quelques épidermures. Manque le dernier feuillet d'index comprenant les lettres W, X, Y, Z. Exemplaire aux armes de François duc d'Argouges (Normandie) évêque de Vannes, fils de François, premier président du parlement de Bretagne, il fut nommé évêque de Vannes en décembre 1687. Ecartelé d'or et d'azur, à trois quintefeuilles de gueules, posées deux et une, brochant sur le tout. Johannes Spiesshaymer dit Cuspinianus ou Cuspinian (1473-1529) écrivit cette Histoire des empereurs romains jusqu'à Justinien, des empereur bysantins et des empereurs romains germaniques. Célèbre humaniste viennois de son temps, son portrait a été réalisé par Cranach et se trouve au musée de Vienne, il fut à la fois historien, poète et diplomate, scientifique, professeur d'art poétique et de rhétorique, ainsi que de médecine à Vienne. Sa chronique de l'Autriche, bien qu'inachevée, demeure importante. Commentaires de Wolfgang Hunger (1511-1555). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 15293

‎Johannes GROS, aussi un temps attribué à Renée DUNAN] - P. BELOTTI, illustrateur (?)‎

‎MOI, POUPÉE. Texte et eaux-fortes d'une Jeune fille à la page.‎

‎A l'enseigne "des petites vertus", s.d. (1930). [Maurice Duflou, Darantière imprimeur] 1 volume in-8 (19,5 x 14,5 cm), broché, 255-(1) pages. 1 eau-forte en frontispice et 8 eaux-fortes hors-texte. Très frais. Brochage quasi à l'état de parution (le dos est intact, les plats également). Couverture de papier gris-bleu imprimée en rose-rouge sur le premier plat (titre et fleuron), au dos on lit le titre "Moi, Poupée" et la date "1930". Édition originale clandestine. Tirage annoncé à 400 exemplaires (sans doute moins en réalité). Celui-ci, un des 350 exemplaires sur vergé antique (numéroté au composteur). Ouvrage publié clandestinement par Maurice Duflou et réservé aux seuls souscripteurs et non mis dans le commerce. Volume annoncé achevé d'imprimer le 20 octobre 1930 (sans doute chez Darantière à Dijon). Dutel, dans sa Bibliographie des ouvrages érotiques publiés clandestinement en français entre 1920 et 1970 indique Johannes Gros comme auteur de cet "excellent texte" publié "vers 1930". On trouve également le nom de Renée Dunan adjoint parfois à cet ouvrage sous le pseudonyme de Spaddy. C'est Jean-Jacques Pauvert, dans la présentation de la réédition récente aux éditions La Musardine, qui donne les explications les plus complètes au sujet de ce livre : "Voici encore une découverte. Découverte d'un livre pratiquement inconnu, infiniment rare, qui ne figure sans aucune bibliographie spécialisée (Dutel désormais), à part l'excellent Private Case de Patrick J. Kearney, ni dans aucune (à notre connaissance) bibliothèque publique. On ne le trouve que dans de rares collections privées. Il est mentionné chez Alexandrian, sans aucun commentaire. Le livre fut publié (clandestinement, cela va sans dire) chez Maurice Duflou. Sa typographie est très reconnaissable. De même que son auteur, dont le style est également très personnel, est incontestablement Johannès Gros, comme l'appelle Alexandrian, ou Jean Gros, comme chez Patrick Kearney... A ce sujet, Patrick J. Kearney, apporte une confirmation intéressante à Alexandrian, page 198 de son Private Case, à la mention de Moi, Poupée, il écrit : "Dans une liste de livres offerts à la vente en 1977 par le collectionneur M. Alain Kahn-Sriber de Paris, il est énoncé que le pseudonyme "Spaddy" cache l'identité de Renée Dunan. Mon attribution à Jean Gros est prise du catalogue manuscrit de la collection C.R. Dawes, dans lequel M. Daves sous-entend qu'il a connu l'auteur de ces livres." Il est probable qu'Alain Kahn-Sriber, collectionneur averti, mais nullement bibliographe, s'était contenté de recopier ce que beaucoup croyaient à l'époque... Les témoignages d'Alexandrian et de C.R. Dawes sont beaucoup plus probants. Nous avons dit de Johannès Gros ou Jean Gros tout ce qu'on peut en dire. C'est-à-dire à peu près tout ce que l'on sait. Alexandrian, pour qui Johannès Gros est "l'héritier spirituel d'Andréa de Nerciat au XXe siècle", écrit très justement à son sujet que "[sa] perversité exaspérée, [son] style à la fois précieux et cru sont peu communs." Car "l'auteur se plait justement au contraste du maniérisme et de l'obscénité dans les propos et les actions de ses personnages.", et "Associant toujours le vice au luxe, se plaisant à imaginer des mondaines ravissantes se conduisant salement, Johannès Gros est le chantre de la beauté polluée qui sort intacte de ses souillures." Dans Moi, Poupée, on peut dire que Gros pousse à son maximum la volupté de se rêver dans les dentelles, les frous-frous et les robes soulevées à la moindre occasion d'une jolie mondaine, jusqu'à s'imaginer en être véritablement une, ce qui semble avoir été sa principale obsession. Nul doute, qu'il se trouvera beaucoup de lecteurs pour partager ce fantasme." (Jean-Jacques Pauvert, Préface à Moi, Poupée, ed. La Musardine, 2012). Exemplaire bien complet des 9 eaux-fortes. Ni Dutel (qui les cite simplement) ni les autres bibliographes (Alexandrian, Pauvert, Kearney) n'évoquent les illustrations qui ornent ce volume. Nous croyons reconnaître pour auteur de ces jolies eaux-fortes libres P. BELOTTI qui illustra à la même époque plusieurs ouvrages érotiques publiés clandestinement (Jacinthe ou les images du péché). Référence : Dutel, Bibliographie des ouvrages érotiques publiés clandestinement en français entre 1920 et 1970, n°2.003. Volume qui manquait aux principales collections de livres érotiques clandestins (Nordmann, etc). Superbe clandestin illustré de la plus grande rareté. Un vrai introuvable ! Bel exemplaire tel que paru. Photos des illustrations sur demande‎

Référence libraire : AMO-3644

Livre Rare Book

Librairie L'amour qui bouquine
Alise-Sainte-Reine France Francia França France
[Livres de Librairie L'amour qui bouquine]

1 350,00 € Acheter

‎Johannes HUBNER‎

‎Lettre manuscrite adressée à Maurice Blanchot et enveloppe‎

‎9 mai 1962 | - | en feuilles‎

‎Lettre manuscrite inédite d'une page du traducteur de Blanchot en allemand adressée à Blanchot en 1962 après la lecture de L'attente l'oubli qui motivera la première traduction de Hubner. Il s'agit sans doute d'une des premières lettres de l'écrivain allemand adressée à Maurice Blanchot. Il y manifeste son émerveillement pour l'écriture de Blanchot dont il traduira par la suite quatre ouvrages. Les éditions Kimé ont récemment publiée la correspondance entre les deux écrivains à partir de 1963 et du travail de traduction de Hubner sur L'attente l'oubli. Cette première lettre est restée inédite jusqu'à aujourd'hui. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 48327

‎Johannes HUBNER - Rolf SZYMANSKI‎

‎Stern auf der Schwelle‎

‎Julliard | Paris 1967 | 12.50 x 21 cm | reliure de l'éditeur‎

‎Edition originale, un des 50 exemplaires numérotés sur Uru paper, tirage de tête. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage rouge, dos lisse, une ombre ayant marginalement et verticalement éclairci le premier plat A l'instar de tous les exemplaires du tirage de tête, notre exemplaire comporte bien la gravure originale de Rolf Szymanski qu'il a signée et justifiée au crayon de papier. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 78913

‎Johannes JOERGENSEN‎

‎Le livre de la route‎

‎Perrin & Cie | Paris 1912 | 13 x 20.50 cm | relié‎

‎Edition originale de la traduction française établie par Théodore de Wyzewa et pour laquelle il n'est pas fait mention de grands papiers. Reliure à la bradel en percaline demi marron à coins, dos lisse orné d'un fleuron doré, date et double filet doré en queue, pièce de titre de chagrin rouge comportant des éraflures, plats de papier marbré, ex-libris encollé sur un contreplat, reliure de l'époque signée Alfred Farez. Quelques petites rousseurs sans gravité. Ouvrage illustré de 8 gravures hors-texte dont un frontispice. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 73015

‎Johannes JOERGENSEN‎

‎Vita vera‎

‎Gabriel Beauchesne | Paris 1913 | 12 x 19 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française sur papier courant, un des ex du service de presse. Dos passé, une pâle mouillure marginale en tête du deuxième plat affectant également, et de manière moindre, les pages précédentes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 30783

‎Johannes MARINGER‎

‎L'homme préhistorique et ses dieux‎

‎Arthaud | Paris 1958 | 15.50 x 21 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française. Ouvrage illustré de 59 héliogravures. Dos et plats légèrement et marginalement insolés sans gravité, exemplaire incomplet de sa jaquette. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 44013

‎Johannes MEURSIUS - Nicolas CHORIER‎

‎Elegantiae latini sermonis seu Aloisia segaea Toletana. De arcanis amoris & veneris. Adjunctis fragmentis quibusdam eroticis‎

‎S. n. | Londres 1781 | 8.50 x 12 cm | relié‎

‎Nouvelle édition. Reliure de l'époque en plein maroquin vert croisillonné, dos lisse orné de trois fleurons, roulettes et filets, double filet d'encadrement sur les plats, tranches dorées, frise intérieure. Dos insolé et éclairci, deux trous de vers le long du mors supérieur du tome 2. Petits frottements aux coins. Originellement publié en 1660 sous le pseudonyme d'Aloisia Sigea par Nicolas Chorier et présenté comme une traduction d'un manuscrit espagnol par Johannes Meursius, ce livre érotique s'est plu à déjouer la censure par sa page de titre reprise dans cette édition sous l'intitulé Elegantiae latini sermonis. Ce texte parodique composé de plusieurs entretiens sur l'éducation des femmes et leurs aspirations eut une profonde influence sur la littérature érotique européenne, il expose l'éducation sexuelle d'une jeune fille. Après une série d'entretiens, l'ouvrage se termine par divers fragments érotiques: Fragmenta aliquot erotica. On y trouve divers poèmes, des remèdes pour les femmes libidineuses (lettre d'Antoine à Cléopâtre)... Superbe exemplaire, dans une reliure de qualité. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 66446

‎Johannes STRADANUS‎

‎Chasse des Loutres‎

‎S. n. | s. l. s. d. [circa 1590] | 34.50 x 26 cm | une feuille‎

‎Authentique gravure originale réalisée au burin d'après une peinture du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signature de l'artiste dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite ancienne sous la cuvette : "Ainsi se chassent les loutres dans des barques en châne creux. Elles sont frappées dans l'eau avec un trident crochu". Filigrane visible par transparence. La gravure a été montée sur onglet et restaurée à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollé sur les bords au dos de celle-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 31031

‎Johannes STRADANUS - [Claes Jansz VISSCHER attribué]‎

‎Contremuit subito detentis carcere tellus Et Paulo et Sila, subitoque fragore refracti Carceris attonitus custos parat ense corusco Accelerare sibi fatum, sed fonte Iduatur. (Acto. 16.27.) Gravure originale du XVIIe siècle‎

‎S. n. | s. l. [Hollande] (Circa 1600) | 33 x 27.50 cm | une feuille‎

‎Gravure originale réalisée au burin par Claes Jansz Visscher, dit le Piscator d'après une peinture du XVI° siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail du début du XVIIe siècle. Il s'agit d'une illustration d'un passage des Actes des apôtres, 16.25-28: "Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu, et les prisonniers les entendaient. Tout à coup il se fit un grand tremblement de terre, en sorte que les fondements de la prison furent ébranlés; au même instant, toutes les portes s'ouvrirent, et les liens de tous les prisonniers furent rompus. Le geôlier se réveilla, et, lorsqu'il vit les portes de la prison ouvertes, il tira son épée et allait se tuer, pensant que les prisonniers s'étaient enfuis. Mais Paul cria d'une voix forte: Ne te fais point de mal, nous sommes tous ici.". Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Signatures des artistes dans la planche. Mention numérotée "28" dans l'angle inférieur droit, dans la gravure. Mention manuscrite "161" en marge dans l'angle supérieur droit de la planche. Une annotation manuscrite ancienne en caractères grecs sous la cuvette. Filigrane d'une couronne visible par transparence. Infimes rousseurs et petites taches marginales, sans atteinte à la gravure, une habile restauration à l'aide d'une petite bande de filmoplast transparent au dos, sinon très bel état de conservation pour cette gravure extrêmement rare et d'une grande fraîcheur. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche[1], à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576.Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 29933

‎Johannes STRADANUS - [Claes Jansz VISSCHER attribué]‎

‎In Macedum terris, ad maenia nota Philippi, Cum docet aeterni Paulus miisteria Christi. Sub stimulo Pythonis, ait, bachata puella, Doctorem verique Dei Paulum esse ministrum. (Acto. 16.14.) Gravure originale du XVIIe siècle‎

‎S. n. | s. l. [Hollande] (Circa 1600) | 33 x 27.50 cm | une feuille‎

‎Gravure originale réalisée au burin par Claes Jansz Visscher, dit le Piscator d'après une peinture du XVI° siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail du début du XVIIe siècle.Il s'agit d'une illustration d'un passage des Actes des apôtres, 16.12-14: "De là nous allâmes à Philippes, qui est la première ville d'un district de Macédoine, et une colonie. Nous passâmes quelques jours dans cette ville. Le jour du sabbat, nous nous rendîmes, hors de la porte, vers une rivière, où nous pensions que se trouvait un lieu de prière. Nous nous assîmes, et nous parlâmes aux femmes qui étaient réunies. L'une d'elles, nommée Lydie, marchande de pourpre, de la ville de Thyatire, était une femme craignant Dieu, et elle écoutait. Le Seigneur lui ouvrit le coeur, pour qu'elle fût attentive à ce que disait Paul.".Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure.Signatures des artistes dans la planche.Mention numérotée "27" dans l'angle inférieur droit, dans la gravure.Mention manuscrite "160" en marge dans l'angle supérieur droit de la planche.Une annotation manuscrite ancienne en caractères grecs sous la cuvette.Filigrane d'une couronne visible par transparence.Très rares et discrètes rousseurs marginales, une habile restauration à l'aide d'un petit morceau de filmoplast transparent au dos, sinon bel état de conservation pour cette gravure extrêmement rare et d'une grande fraîcheur.Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche[1], à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576.Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 29931

‎Johannes STRADANUS - [Claes Jansz VISSCHER attribué]‎

‎Ipsa graves tollunt Pauli sudaria morbos Febrilesque leuant Pauli semicincta calores. Exorcistarum conflantur in igne libelli Et Sathan in magicos saeuit crudeliter omnes. (Acto. 19.14.) Gravure originale du XVIIe siècle‎

‎S. n. | s. l. [Hollande] (Circa 1600) | 33 x 27.50 cm | une feuille‎

‎Gravure originale réalisée au burin par Claes Jansz Visscher, dit le Piscator d'après une peinture du XVI° siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail du début du XVIIe siècle. Il s'agit d'une illustration d'un passage des Actes des apôtres, 19.13-16: "Quelques exorcistes juifs ambulants essayèrent d'invoquer sur ceux qui avaient des esprits malins le nom du Seigneur Jésus, en disant: Je vous conjure par Jésus que Paul prêche! Ceux qui faisaient cela étaient sept fils de Scéva, Juif, l'un des principaux sacrificateurs. L'esprit malin leur répondit: Je connais Jésus, et je sais qui est Paul; mais vous, qui êtes-vous? Et l'homme dans lequel était l'esprit malin s'élança sur eux, se rendit maître de tous deux, et les maltraita de telle sorte qu'ils s'enfuirent de cette maison nus et blessés.".Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure.Signatures des artistes dans la planche.Mention numérotée "29" dans l'angle inférieur droit, dans la gravure.Mention manuscrite "162" en marge dans l'angle supérieur droit de la planche.Une annotation manuscrite ancienne en caractères grecs sous la cuvette.Filigrane d'une couronne visible par transparence.Infimes rousseurs et légères traces de mouillure marginales, sans atteinte à la gravure, sinon très bel état de conservation pour cette gravure extrêmement rare et d'une grande fraîcheur.Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche[1], à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576.Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 29935

‎Johannes STRADANUS - [Claes Jansz VISSCHER attribué]‎

‎Pessime quid bipedum tentas, quid pectore volvis? Vach scelus horrendum Dominum sic prodis Iesum! Vix ausit Pluto quod tu moliris Iuda, Terribili dignus qui tandem morte perires. (Matthei.26.14.). Gravure originale du XVIIe siècle‎

‎S. n. | s. l. [Hollande] (Circa 1600) | 33 x 27.50 cm | une feuille‎

‎Gravure originale réalisée au burin par Claes Jansz Visscher, dit le Piscator d'après une peinture du XVI° siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail du début du XVIIe siècle. Il s'agit d'une illustration des Evangiles selon Matthieu, 26.14. (épisode de la trahison de Judas) Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure: "Pessime quid bipedum tentas, quid pectore volvis? Vach scelus horrendum Dominum sic prodis Iesum! Vix ausit Pluto quod tu moliris Iuda, Terribili dignus qui tandem morte perires". Signatures des artistes dans la planche. Mention de caractère "a" dans l'angle inférieur droit dans la gravure, et mention manuscrite "117" en marge dans l'angle supérieur droit. Une annotation manuscrite ancienne en caractères grecs sous l'angle droit de la cuvette. Filigrane visible par transparence. Rares et infimes rousseurs et petites taches marginales, deux minuscules déchirures marginales, une discrète trace de pliure angulaire, sans atteinte à la gravure, sinon très bel état de conservation pour cette gravure extrêmement rare et d'une grande fraîcheur. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche[1], à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576.Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 29904

‎Johannes STRADANUS - Adrian COLLAERT‎

‎La chasse aux porcs-épics‎

‎S. n. | s. l. fin XVIe début XVIIe | 34 x 25.50 cm | une feuille‎

‎Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : "Dans l'hiver, le porc-épic est pris par des chiens ou dans des filets, ou lorsqu'il s'enfuit pour se cacher dans des trous obscurs, les chasseurs les poursuivent avec des rateaux et des hoyaux". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Adrian Collaert, né à Anvers en 1565 et mort en 1618, fit partie d'une grande famille de graveurs. Formé dans l'atelier de son beau-père Philippe Galle, il commenca par la gravure sur cuivre avant de se spécialiser dans le burin. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 32497

‎Johannes STRADANUS - Philippe et Cornelius GALLE‎

‎La chasse aux vipères‎

‎S. n. | s. l. fin XVIe début XVIIe | 34 x 25.50 cm | une feuille‎

‎Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : "En Italie les vipères se plaisent à se cacher dans les marais. Quand elles entendent un chien aboyer, elles sortent des buissons. On les saisit alors avec une fourche et on les met dans un sac avec une pince. Elles sont préparées comme remède pharmaceutique". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses uvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 32525

‎Johannes STRADANUS - Philippe GALLE‎

‎Chasse aux canards‎

‎S. n. | s. l. s. d. [circa 1590] | 34 x 25.50 cm | une feuille‎

‎Authentique gravure originale réalisée au burin d'après une peinture du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : "Ainsi les canards attachés sur le fleuve chantent, pendant que ceux qui surviennent sont blessés d'un coup de feu et charpillent leurs plumes sur le fleuve". Filigrane visible par transparence. La gravure a été montée sur onglet et restaurée à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollé sur les bords au dos de celle-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses uvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 31035

‎Johannes STRADANUS - Philippe GALLE‎

‎L'entrainement des chiens à la chasse aux cerfs‎

‎S. n. | s. l. fin XVIe début XVIIe | 34 x 25.50 cm | une feuille‎

‎Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : "Des chasseurs par le commandement du roi de France cherchent beaucoup de fientes de cerfs et donnent les crottes des jeunes cerfs aux chiens afin que par l'odeur ils apprennent à connaitre l'âge des cerfs..". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses uvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 32520

‎Johannes STRADANUS - Philippe GALLE‎

‎La chasse aux lions par le feu‎

‎S. n. | s. l. fin XVIe début XVIIe | 34 x 25.50 cm | une feuille‎

‎Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : "Ceux qui s'occupent à surprendre les lions dans des filets portent une torche de la main gauche et un bouclier de la droite pour se garantir du feu: les lions fuyant les flammes, se jettent dans les filets qu'on lui a tendu.". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses uvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 32502

‎Johannes STRADANUS - Philippe GALLE‎

‎Le combat des oiseaux et des couleuvres‎

‎S. n. | s. l. fin XVIe début XVIIe | 34 x 25.50 cm | une feuille‎

‎Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : "Le désert d'Appulie nourrit de couleuvres les grues et aussi les cigognes attaquent leurs nichées. Elles engagent le combat avec vigueur de leurs becs et les mordent. Le spectacle est très divertissant pour les colons". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses uvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 32524

‎Johannes STRADANUS - Philippe GALLE - Adrian COLLAERT‎

‎La capture du tigre‎

‎S. n. | s. l. fin XVIe début XVIIe | 34 x 25.50 cm | une feuille‎

‎Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : "Le chasseur prend les petits du tigre et met dans des trappes des miroirs qui représentent les petits qu'il a enlevés. Cette bête stupide croyant les voir effectivement, entre dans les filets et hurle, étant prise.". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses uvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). Adrian Collaert, né à Anvers en 1565 et mort en 1618, fit partie d'une grande famille de graveurs. Formé dans l'atelier de son beau-père Philippe Galle, il commenca par la gravure sur cuivre avant de se spécialiser dans le burin. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 32532

‎Johannes STRADANUS - Philippe GALLE - Adrian COLLAERT‎

‎La chasse au bubale‎

‎S. n. | s. l. fin XVIe début XVIIe | 34 x 25.50 cm | une feuille‎

‎Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : "Le bubale est une espèce de boeuf cruel et féroce. Les chasseurs pour le prendre le lassent en faisant courir et aboyer des chiens après lui, qui le mordent, jusqu'à ce qu'il tombe, n'en pouvant plus". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses uvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). Adrian Collaert, né à Anvers en 1565 et mort en 1618, fit partie d'une grande famille de graveurs. Formé dans l'atelier de son beau-père Philippe Galle, il commenca par la gravure sur cuivre avant de se spécialiser dans le burin. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 32501

‎Johannes STRADANUS - Philippe GALLE - Adrian COLLAERT‎

‎La chasse aux chameaux‎

‎S. n. | s. l. fin XVIe début XVIIe | 34 x 25.50 cm | une feuille‎

‎Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : "On dit que la Barbarie produit de très bons chameaux que chassent les soldats de la marine pressés par la faim. Cette viande quoique très dure les rassasie.". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses uvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). Adrian Collaert, né à Anvers en 1565 et mort en 1618, fit partie d'une grande famille de graveurs. Formé dans l'atelier de son beau-père Philippe Galle, il commenca par la gravure sur cuivre avant de se spécialiser dans le burin. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Référence libraire : 32521

‎Johannes STRADANUS - Philippe GALLE - Adrian COLLAERT‎

‎La mésaventure du chasseur‎

‎S. n. | s. l. fin XVIe début XVIIe | 34 x 25.50 cm | une feuille‎

‎Authentique gravure originale réalisée au burin d'après un dessin du XVIe siècle de Johannes Stradanus. Epreuve sur papier vergé filigrané, travail de la fin du XVIe ou du tout début du XVIIe siècle. Signatures des artistes dans la planche. Légende en latin dans la partie inférieure de la gravure. Traduction manuscrite d'une écriture ancienne sous la cuvette : "Souvent un chasseur tombe sans prendre garde dans des cavernes ou des grottes couvertes d'herbes par dessus d'où ses compagnons ne peuvent le retirer, mais il meurt malheureusement et demeure la pature des serpents qui y sont et des hydres ". Filigrane visible par transparence. Les marges de la gravure ont été doublées à l'aide de petits morceaux de papier vergé ancien encollés sur les bords au dos de celles-ci, sinon bel état de conservation pour cette gravure très rare. Johannes Stradanus, dit Giovanni Stradano ou Jan van der Straet est un peintre et graveur flamand, né à Bruges en 1523 et mort à Florence le 11 février 1605. Après avoir commencé à apprendre la peinture auprès de son père, et suite au décès de ce dernier, il poursuit sa formation dans l'atelier de Maximiliaan Frank (de 1535 à 1537), puis dans celui de Pieter Aertsen à Anvers (de 1537 à 1540). En 1545, il est reçu franc-maître à la guilde des peintres anversois. Il commence alors un voyage à travers l'Europe : en France, puis en Italie, où il séjourne d'abord à Venise, avant de s'installer à Florence. Il y travaille pour Cosme Ier de Médicis et collabore avec Giorgio Vasari pour la décoration du Studiolo de François Ier de Médicis, et pour celle de la salle de Clément VII du Palazzo Vecchio. En 1565, il fait partie des équipes de peintres et de sculpteurs chargés, sous la direction de Giorgio Vasari, de réaliser le gigantesque décor prévu pour l'entrée dans Florence de Jeanne d'Autriche, à l'occasion de son mariage avec François Ier de Médicis. Grandement influencé par les maniéristes, dont Michel-Ange, Johannes Stradanus contribue au développement de la grande peinture d'histoire à l'italienne. Il peint plusieurs retables pour des églises florentines. Il séjourne aussi à Rome de 1550 à 1553 et à Naples en 1576. Après un séjour à Anvers en 1578, il consacre une grande partie de son activité à la gravure. Philippe Galle, né à Haarlem en 1537 et mort à Anvers en mars 1612, est un graveur flamand, membre d'une célèbre famille de graveurs. Il a pratiqué la gravure sur cuivre, le dessin, le commerce de gavures, l'édition et l'écriture. Il se forme auprès de Jérôme Cock, à Anvers, où il grave des dessins de Pieter Bruegel l'Ancien, notamment la série des Sept péchés capitaux. Il devient ensuite le graveur de Maarten van Heemskerck. À partir de 1557, il possède son propre atelier, qui sera fréquenté par ses fils, Théodore et Cornelius, ainsi que par son beau-fils, Adriaen Collaert, les frères Wierix, Hendrick Goltzius, Crispin de Passe l'Ancien et d'autres membres de la famille Collaert. Son atelier est au centre de la production de gravures anversoise. Philippe Galle a réalisé quelques-unes de ses uvres les plus admirables sur des projets de Pieter Bruegel l'Ancien (L'Alchimiste, 1558), de Jan van der Straet, de Franz Floris (Les Filles de Loth) et de Gillis Congnet (Aenevm Saecvlvm et les quatre ages de l'humanité, 1575). Adrian Collaert, né à Anvers en 1565 et mort en 1618, fit partie d'une grande famille de graveurs. Formé dans l'atelier de son beau-père Philippe Galle, il commenca par la gravure sur cuivre avant de se spécialiser dans le burin. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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