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‎Lawrence DURRELL‎

‎"je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 10 novembre 1969 | 13.90 x 10.10 cm | une carte postale, enveloppe jointe‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'un dessin humoristique. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa vie dans sa maison de Sommières à son amante française : "Je me force de [sic] travailler un peu - c'est à dire je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours [...] Il pleut. Je coupe du bois aussi et bientôt il faut que je ramasse les mûres. Much love, Larry D". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70623

‎Lawrence DURRELL‎

‎"L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui." Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Malibu s. d. | 10.50 x 15 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo d'une plage de Malibu. "Buttons hola ! L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui. Pourtant on est très bien traités et je joue un peu le rôle de Scott Fitzgerald à Malibu.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73367

‎Lawrence DURRELL‎

‎"L'oreiller militaire français" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 14-09-1971 | 10.50 x 14.50 cm | une carte postale et enveloppe‎

‎Carte postale autographe signée "L.D." de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "Pour nos Hôpitaux, Ambulances, Trains sanitaires, demandez l'Oreiller Militaire Français qui procure le plus doux des soulagements. [...]", publicité extraite d'un journal scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain organise un voyage avec sa jeune amante montpelliéraine : "Buttons. je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73353

‎Lawrence DURRELL‎

‎"le babysitting ; assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire" Lettre dactylographiée et autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 23 janvier 1970 | 13 x 20 cm | 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre dactylographiée et autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. L'amante de l'écrivain envisage un séjour à Londres ; Durrell lui donne des conseils sur les agences de babysitting : "assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire ; pour cela il faut déclarer votre intention de rester au moins 6 mois dans le pays (on peut toujours le dire !) [...] N'oubliez pas qu'il y a toujours le grand lycée Français de Londres [...]" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70620

‎Lawrence DURRELL‎

‎"le MONTAGUE HOTEL à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable" Lettre autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 22 août 1969 | 12.60 x 20.30 cm | 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées sur deux feuillets. Pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain arrange pour son amante un séjour à Londres et a demandé à son éditeur Alan G. Thomas de l'accueillir : "Thomas a déjà réservé une chambre au MONTAGUE HOTEL [...] à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable.Maisvérifiez vos dates et télégraphiez lui en avance pour qu'il refasse l'opération". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70627

‎Lawrence DURRELL‎

‎"m[ake] great haste" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 2 février 1970 | 8.70 x 12.70 cm | une carte postale, enveloppe jointe‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'une vue en noir et blanc de l'intérieur du temple de Diane à Nîmes. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa fille : "Saph part pour Israel troisième semaine de février" et attend avec impatience la venue de son amante : "m[ake] great haste" (viens vite). Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70629

‎Lawrence DURRELL‎

‎"maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main" Lettre autographe signée adressée à Jani Brun à propos du roman Tunc‎

‎Sommières 18 juillet 1968 | 21.20 x 13.40 cm | 1 feuillet sous enveloppe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre brun, datant du début de leur relation. Pliure centrale inhérente à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain, en pleine écriture de son roman Tunc, donne des nouvelles à sa nouvelle amante française dans un français encore hésitant : "Enfin pour le moment pas des [sic] aventures à vous raconter. trop de travail. trop de correspondance. Mon fils (de Claude [-Marie Vincendon, épousée en1961]) est ici est [sic] aide Barbie avec les papiers. Il la trouve jolie mais moi je suis plein des [sic] sentiments peu charitables. En tous cas maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main. Je ne serais maisentièrementmécontent de te revoir un de ces jours. si l'idée vous vient". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70824

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Oui telephonez moi quand tu es à Sauve-qui-pleut... " Amusante carte de visite autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun‎

‎Rhodes s. d. [ca 1980] | 13 x 8 cm | une carte postale + une enveloppe‎

‎Suggestive carte de visite autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres marron et mauve, enveloppe jointe. "dear Buttons. Oui telephonez moi quand tu es à Sauve-qui-pleutet je viendrai te chercher (un coeur dessiné). Larry." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 86623

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Egypte [1971] | 10.50 x 15 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo de bas-relief égyptien. L'écrivain à sa jeune amante montpelliéraine : "Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon en train de recevoir le Prix Bonbel pour son roman sur la vie privée d'un crocodile nilotique : "Le croc". Puis il faut rentrer pour quelques semaines à Londres. j'espère que tout va bien, dear Buttons.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73360

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Si tu es libre de me joindre... faites moi signed" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée depuis Edimbourg à Jani Brun‎

‎Edimbourg 4 octobre 1980 | 10 x 14.50 cm | une carte postale + une enveloppe‎

‎Suggestive carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une reproduction de sculpture représentant un satyre, enveloppe jointe. "Buttons dear. J'arrive mardi pour deux nuits à Paris - au Royale. Si tu es libre de me joindre... faites moi signed. Suis fatigué après Athens, Londres, Edinburgh! Love. Larry Durrell." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 83025

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Toi, tu peux m'écrire en Français. J'ai du mal à l'écrire mais je le comprends très bien". Lettre autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Paris 18 juillet 1969 | 21.60 x 28 cm | 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun datant du début de leur relation. Une page au stylo bille bleu. Enveloppe jointe. L'écrivain adresse ici une des premières lettres de sa correspondance avec sa jeune amie montpelliéraine, qui s'étendit sur plus de deux décennies. Encore peu habitué à la langue française, il demanda de l'aide pour traduire sa lettre : "J'espère bien mieux te connaître [...] Gérard a traduit ceci de l'anglais pour moi. Comprendrais-tu si la prochaine fois j'écrivais en anglais [...] ?" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70624

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Tout le monde cherche quelqu'un de fidèle tout en restant 'libre' en échange !" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières s. d. [circa 1970] | 15 x 10 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une vue des bords de la Vidourle à Sommières. Admirable et humoristique confession de l'écrivain à sa jeune amante : "Tout le monde cherche quelqu'un de fidèle tout en restant 'libre' en échange ! Bientôt je serai impuissant et le problème n'existera plus !". Durrell revient sur ses nombreuses conquêtes féminines ("Pour l'instant je suis comblé de belles et j'en profite - pourquoi pas !") et donne de précieux conseils à sa destinataire, qui avait choisi de rester indépendante malgré les prières de l'écrivain : "Tu n'es pas heureuse en amour parce que tu es intéressée - tu cherche [sic] des combines toujours au lieu de te donner sans réserve ni réservation ! C'est quand on deviens [sic] esclave qu'on est vraiment heureux !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70299

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎London 29-11-1980 | 10.20 x 15.30 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres rouge et noir, au verso d'une reproduction d'une liste rose parisienne. L'écrivain, nostagique, donne des nouvelles depuis Londres alors qu'il s'apprêteà signer son dernier livre chez le libraire londonien Bernard Stone. Sa librairie était connue et désignée par le poète Michael Horowitz comme "the merriest backwater of that time": "Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles : ils me prient de te rappeler le changement d'adresse. Il est à Covent Garden maintenant. C'est là que je signe ce soir. Nostalgie, grisailles, souvenirs". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73357

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Vaumort" poème autographe signé et illustré par l'auteur à son amante française‎

‎1969 | 30.40 x 39.50 cm | une feuille‎

‎Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «Jany» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs.Exceptionnel poème autographe daté de 1969, signé et illustré de dessins originaux au graphite, feutres et crayons de couleur par Lawrence Durrell. Le poème-uvre d'art est adressé à Janine Brun, son amante française, et porte la dédicace «For Buttons», surnom affectueux que lui donnait l'écrivain, surmonté d'un cur percé d'une flèche. «Et je sus qu'à chaque fois que Je veux être vraiment seul Et me souvenir de toi, de cette journée, C'est à Vaumort que je songerai». «I knew that whenever I want to be perfectly alone With the memory of you, of that whole [day, It's to Vaumort that I'll be turning» Trous d'épingles, déchirures marginales. Publié pour la première fois dans Collected Poems: 1931-1974 (1980). Dans ce poème-dessin, l'écrivain se remémore une journée d'amour passée dans le cimetière d'un petit village de l'Yonne en compagnie de son amante Janine Brun. Au même moment, Durrell se remet péniblement du décès prématuré de sa troisième femme, survenu deux ans auparavant, et publie sa série de romans dystopiques Tunc (1968) and Nunquam (1970). Il se retranche également dans la poésie, dernier exercice d'ascèse littéraire et philosophique d'un écrivain qui, progressivement, choisit de se retirer du monde. C'est au cours d'une traversée depuis la capitale vers le Midi, que ce sont arrêtés les amoureux le temps d'une journée à Vaumort: «Au-dessous de nous, très loin, la route [qui mène à Paris Tu verses un peu de vin sur une tombe Les abeilles boivent avec nous, les morts [acquiescent». «Below us, far away, the road to Paris. You pour some wine upon a tomb. The bees drink with us, the dead approve.» La poésie de Durrell a souffert de l'éclatant succès de ses romans, cependant elle atteint ici une grande beauté lyrique, son vers libre néanmoins très musical reprenant le célèbre motif du cimetière: «Un cimetière insouciant bourdonne Comme si ses tombes étaient des ruches Bousculées par des morts impatients - Nous imaginions qu'ils avaient accumulé Le miel de leur immortalité Dans le doux tumulte des abeilles [noires». «One careless cemetery buzzes on and [on As if her tombstones were all hives Overturned by the impatient dead - We imagined they had stored up [The honey their of their immortality In the soft commotion‎

Referencia librero : 66628

‎Lawrence DURRELL‎

‎"youth at the prow and beauty at the helm" luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Grèce 28 mai 1981 | 14.60 x 10.20 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, sa jeune amante française, rédigée au feutre bleu, au verso d'une illustration humoristique mettant en scène Poséidon. L'écrivain a séjourné au Club Méditerranée et en chante les louanges par un vers du poème néomédiévalThe Bard,de Thomas Gray et un de Baudelaire : "youth at the prow and beauty at the helm" (Jeunesse à la proue et beauté à la barre) luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you (tout est fait pour vous) J'ai envie de rester encore vingt ans ici. That would make me 110 years old (j'aurais 110 ans)." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70551

‎Lawrence DURRELL‎

‎Balthazar‎

‎Corrêa | Paris 1959 | 14 x 19.50 cm | broché‎

‎Edition originale, sur papier courant, de la traduction française. Agréable exemplaire en dépit d'une petite tache marginale sur le second plat. Envoi autographe signé de Lawrence Durrell à Maurice Noël. Provenance : bibliothèque de Maurice Noël avec son amusant ex-libris encollé sur une garde et sa devise : "Adada sur mon bidet. Tout et rien ! " - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 71377

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte de visite autographe adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 2 février 1979 | 12.70 x 8.10 cm | une carte de visite sous enveloppe‎

‎Carte de visite autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Quelques lignes à l'encre. Enveloppe jointe. L'encre a légèrement bavée, l'enveloppe ayant sans doute été mouillée. L'écrivain adresse cette carte depuis Sommières, sa retraite languedocienne, à son amante Janine Brun : "Janine est-ce que vos dates sont fixés [sic] ? Je ne sais pas si je suis de retour de Londres avant le 10 samedi - écris moi pour me dire - Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70292

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières circa 1970 | 9.50 x 6.50 cm | une carte de visite sous enveloppe‎

‎Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70626

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières circa 1970 | 9.50 x 6.50 cm | une carte de visite‎

‎Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. L'écrivain donne l'adresse de son éditeur londonien à sa jeune amante française afin qu'il l'acceuille à son arrivée : "ALAN THOMAS [...] si le taxiteur n'est pas sûr dites lui que Hobury St se trove [sic] directement en face du pub WORLD'S END dans le KING'S ROAD." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70821

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 18 octobre 1971 | 15 x 10.50 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu, au verso d'une citation de Nietzsche soulignant une image humoristique. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70300

‎Lawrence DURRELL‎

‎Cefalu‎

‎Buchet-Chastel | Paris 1961 | 14 x 19.50 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française, un des exemplaires du service de presse. Agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Lawrence Durrell à Maurice Noël. Provenance : bibliothèque de Maurice Noël avec son amusant ex-libris encollé sur une garde et sa devise : "Adada sur mon bidet. Tout et rien ! " - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 71378

‎Lawrence DURRELL‎

‎Clea‎

‎Faber & Faber | London 1961 | 12 x 18.50 cm | broché‎

‎Nouvelle édition. Petites pliures angulaires sur les platsn dont une plus remarquable en tête du premier plat. Signature manuscrite de Lawrence Durrell sur la page de faux-titre. Provenance : de la bibliothèque de Jani Brun. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, Lawrence Durrell rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73818

‎Lawrence DURRELL‎

‎Justine‎

‎Corrêa | Paris 1957 | 14 x 19 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Très légères déchirures sans gravité sur le dos. Envoi autographe signé du traducteur, Roger Giroux, à Michel Mohrt. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 82543

‎Lawrence DURRELL‎

‎L'île de Prospero‎

‎Buchet / Chastel | Paris 1962 | 13.50 x 18 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, un des exemplaires du service de presse. Dos et plats légèrement et marginalement piqués et insolés. Envoi autographe signé de Lawrence Durrell à sa proche amie Janine Brun : "Janine pour Lawrence. Souvenirs 1968." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 71634

‎Lawrence DURRELL‎

‎Le carnet noir‎

‎Gallimard | Paris 1961 | 14 x 20.50 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française, un des 66 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Dos et plats légèrement et marginalement passés, sinon agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 28888

‎Lawrence DURRELL‎

‎Le Carnet noir Traduit par Roger Giroux Collection "Du Monde Entier"‎

‎Gallimard, Paris, 2 novembre 1961, in-8 (21x14cm), 262pp.-1f.n.ch., broché. Edition originale de la traduction française, 1/66 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma Navarre (n°22), seul grand papier. Très bel exemplaire non coupé.‎

Referencia librero : M366

Livre Rare Book

Le Ver-Vert
Fourchambault France Francia França France
[Libros de Le Ver-Vert]

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‎Lawrence DURRELL‎

‎Nunquam‎

‎Gallimard | Paris 1970 | 15 x 22 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française, un des 56 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Dos et plats légèrement et marginalement passés, sinon agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70458

‎Lawrence DURRELL‎

‎Poèmes‎

‎Gallimard | Paris 1966 | 14 x 19.50 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française, un des exemplaires du service de presse. Un petit accroc en tête du dos légèrement décoloré. Envoi autographe daté et signé de Lawrence Durrell en anglais à Françoise Cardot au feutre bleu. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 68061

‎Lawrence DURRELL‎

‎Poèmes‎

‎Gallimard | Paris 1966 | 14 x 20.50 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française, un des exemplaires du service de presse. Petites piqûres en marges des plats, trois petites taches claires sur le premier plat. Précieux envoi bicolore autographe signé de Lawrence Durrell à son amie Janine Brun : "For Janine Brun / from Lawrence Durrell /Sommières / Gard", Lawrence Durrell ayant ajouté, au feutre rose, deux mentions "Pont du Gard" encadrant le "Gard" de l'envoi autographe. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, Lawrence Durrell rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73421

‎Lawrence DURRELL‎

‎tournage du film adapté de son livre "Justine" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 3 janvier 1969 | 14.60 x 10.20 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une illustration humoristique de Lassalvy. L'écrivain adresse ses voeux pour l'année 1969 à sa jeune amante française, et s'apprête à suivre le tournage du film adapté de son roman "Justine", premier volume de son Quatuor d'Alexandrie: "Je vais à Londres samedi pour un mois de 'filmage'. Amuse toi bien mais sagement !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70552

‎Lawrence DURRELL‎

‎Tunc‎

‎Gallimard | Paris 1969 | 14.50 x 21.50 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française, un des 56 ex numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Dos et plats légèrement et marginalement passés, sinon agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 28890

‎Lawrence DURRELL‎

‎Tunc‎

‎Gallimard | Paris 1969 | 14.50 x 21.50 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française, un des exemplaires du service de presse. Trois taches en tête du second plat, trois petites taches claires sur le premier plat. Précieux envoi autographe signé de Lawrence Durrell à son amie Janine Brun : "For Janine Brun of Sauve in the Languedoc from Lawrence Durrell 40 rue de l'Université chez Julian. 1969" enrichi d'un petit soleil dessiné et d'une frise grecque bordant l'envoi autographe à sa gauche. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, Lawrence Durrell rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 71974

‎Lawrence DURRELL‎

‎Tunc‎

‎Faber & Faber | London 1968 | 13.50 x 20 cm | reliure de l'éditeur‎

‎Edition originale. Petites piqûres sur la tranche supérieure, exemplaire incomplet de sa jaquette. Précieux envoi autographe daté et signé de Lawrence Durrell à son amie Janine Brun : "For Janine Brun / from Lawrence Durrell /Sommières / 1968". Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, Lawrence Durrell rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73825

‎Lawrence DURRELL - Henry MILLER‎

‎Une correspondance privée, Lawrence Durrell Henry Miller‎

‎Buchet-Chastel | Paris 1963 | 14 x 19.50 cm | broché‎

‎Edition originale, sur papier courant, de la traduction française. Exemplaire complet de sa jaquette illustrée qui comporte de petites déchirures et d'infimes manques. Précieux envoi bicolore autographe signé de Lawrence Durrell à son amie Janine Brun : "Janine Brun / from Lawrence Durrell / with affection". Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, Lawrence Durrell rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73617

‎Lawrence DURRELL - Karen HOROWITZ‎

‎Affiche originale dédicacée par Lawrence Durrell‎

‎S. n. | s. l. 1974 | 62 x 45 cm | une affiche‎

‎Affiche originale réalisée par Karen Horowitz numérotée 145/200, datée 1974 et signée au crayon, représentant une photographie de concombre surmontée d'une citation de Justine de Lawrence Durrell: «The world is like a cucumber - today it's in your hand, tomorrow up your ass» («Le monde est comme un concombre - aujourd'hui, il est entre tes mains, demain dans ton cul.») Quelques très infimes piqûres. Dédicace manuscrite de Lawrence Durrell réalisée au feutre noir à gauche de la citation: «Buttons dear Attention?! Larry Durrell. 1978» Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «Jany» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Cette affiche fut donc offerte à cette jeune amante qui, à Sommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun fut ainsi décrite par le biographe de Durrell, Ian McNiven: «She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic» («Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique» Lawrence Durrell: A Biography). La relation de Jani/Buttons avec l'écrivain se prolongea jusqu'à la fin des années 1970, la jeune fille apparaissant à l'occasion dans les uvres de Durrell (et notamment le poème «Vaumort», Collected Poems: 1931-1974) et dans la fameuse correspondance de l'écrivain avec Henry Miller: «that little demon Buttons [...] turned up for a New Year TRINC and stayed the night with me finally, in my eternal little Room 13 at the Royal» («Buttons ce petit démon arriva pour trinquer à la nouvelle année et passa enfin la nuit avec moi, dans mon éternelle petite chambre 13 du Royal», lettre de Durrell à Miller, 6 janvier 1979). Elle reçut également des lettres et cartes postales pleines de sollicitude, d'allusions intimes et de conseils de lecture de la part de Durrell et de son grand ami Henry Miller, ainsi que des uvres d'art originales signées par Lawrence Durrell lui-même. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 67958

‎Lawrence DURRELL - Mark GERSON‎

‎Photographie signée de Lawrence Durrell à une jeune française‎

‎1970 | 21.90 x 16.20 cm | une feuille‎

‎Photographie originale de Lawrence Durrell signée et datée, réalisée par le photographe Mark Gerson, et portant son tampon au verso : "šPhotograph by MARK GERSON, FIIP. ARPS. 24, Cavendish Ave., St. John's Wood, London NW8". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Photographie originale en noir et blanc de Lawrence Durrell portant une signature autographe de l'auteur : "Buttons you are impossible 1970", adressé à Janine Brun, sa jeune amante française. L'écrivain pose souriant devant l'objectif du célèbre photographe portraitiste d'écrivains Mark Gerson, à l'occasion d'une séance de signatures à Londres pour la parution deTunc, le premier voume de sa série d'ouvrages distopiques intituléeLaRévolte d'Aphrodite. Cette photographie fut adressée à une jeune amante de l'auteur,qui, àSommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun, aussi surnommée "Buttons" dans les lettres de l'écrivain, fut ainsi décrite par le biographe de Durrell Ian McNiven : "She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic" (" Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique", (Lawrence Durrell: A Biography, page 591). Leur relation se prolongea jusqu'à la fin des années 1970, Jani/Buttons apparaissant à l'occasion dans les oeuvres de Durrell (et notamment le poème« Vaumort»,Collected Poems: 1931-1974) et dans la fameuse correspondance de l'écrivain avec Henry Miller : "that little demon Buttons [...] turned up for a New Year TRINC and stayed the night with me finally, in my eternal little Room 13 at the Royal" ("Buttons ce petit démon arriva pour trinquer à la nouvelle année et passa enfin la nuit avec moi, dans mon éternelle petite chambre du Royal", lettre de Durrell à Miller, 6 janvier 1979). Elle reçut également des lettres et cartes postales pleines de sollicitude, d'allusions intimes et de conseils de lecture de la part de Durrell et de son grand ami Henry Miller, ainsi que des uvres‎

Referencia librero : 66707

‎Lawrence FERLINGHETTI‎

‎Oeil ouvert, coeur ouvert‎

‎Christian Bourgois | Paris 1977 | 13 x 20 cm | broché‎

‎Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'a pas été de grands papiers. Le texte en français se trouvant en regard du texte original anglais. Une petite déchirure du film pelliculé recouvrant la couverture en tête du premier plat. Envoi autographe daté et signé, en français et rédigé depuis Paris, de Lawrence Ferlinghetti, éditeur des écrivains de la Beat Generation, à une dame prénommée Marie-Odile. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 74429

‎LAWRENCE T.- E.‎

‎Lettres. Traduction d'après l'édition anglaise par ETIEMBLE et Yassu GAUGLERE et enrichies de quatre lettres inédites.‎

‎Paris, Gallimard, Collection Du Monde Entier, décembre 1948. Fort in-8, broché, non coupé, 832 pp. Portrait en frontispice et carte hors-texte.‎

‎Edition originale de la traduction française sur papier d'édition, exemplaire du Service de Presse. Photos sur demande.‎

Referencia librero : 24099

Livre Rare Book

Livres de A à Z
Paris France Francia França France
[Libros de Livres de A à Z]

€45.00 Comprar

‎LAWRENCE T.- E.‎

‎Lettres. Traduction d'après l'édition anglaise par ETIEMBLE et Yassu GAUGLERE et enrichies de quatre lettres inédites.‎

‎Paris, Gallimard, Collection Du Monde Entier, décembre 1948. Fort in-8, broché, non coupé, 832 pp. Portrait en frontispice et carte hors-texte. Edition originale de la traduction française sur papier d'édition, exemplaire du Service de Presse.‎

‎LAWRENCE, David Herbert / RANCES, Maurice (trad.)‎

‎KANGOUROU‎

‎1933 Paris, Gallimard - NRF, 1933. Broché: 12 x 19 cm, 473-[4] p., non ébarbé. EDITION ORIGINALE FRANCAISE. Un des 367 exemplaires du tirage de tête sur papier Alfa des papeteries Lafuma-Navarre, sous couverture spéciale Du Monde Entier (S.P. 27), seul grand papier. Très bon exemplaire. Envoi de photographies sur demande.‎

Referencia librero : 3762

Livre Rare Book

Librairie de l'Univers
Lausanne Switzerland Suiza Suíça Suisse
[Libros de Librairie de l'Univers]

€95.57 Comprar

‎Lawrence, George-Alfred.‎

‎Guy Livingstone ou Outrance. Traduit par Charles Bernard Derosne.‎

‎Paris, Plon, 1861. In-8, demi basane époque, dos lisse orné de fleurons dorés, titre doré (manque le A de Lawrence), toutes tranches jaspées, faux-titre, titre, 2 ff non chiffrés, III, 432 pp. Edition originale française. Coins légèrement usés, petites épidermures à la coiffe inférieure, petite mouillure peu visible, rares rousseurs concentrées sur quelques feuillets.‎

Referencia librero : DEZ-4427

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Libros de Librairie Lang]

€30.00 Comprar

‎Laya François:‎

‎Rondels et ballades.‎

‎Genève, éditions de la Violette, 1915. In-8, demi-percaline bleue, pièce de titre rouge au dos. Illustrations in-texte en noir, parfois à pleine page, de Jacques Mennet, Julien Prina et Benjamin Vautier.‎

‎Edition originale au tirage limité à 235 exemplaires numérotés, celui-ci un des 200 sur vergé anglais volumineux (184). Trace d'un ex-libris au premier contreplat, pour le reste en belle condition.‎

Referencia librero : 3552

Livre Rare Book

La Bergerie
Le Locle Switzerland Suiza Suíça Suisse
[Libros de La Bergerie]

€57.34 Comprar

‎Laya Jean-François:‎

‎Prénoms. 27 poèmes accompagnés de 9 portraits.‎

‎Genève, Pierre Cailler, 1957. In-8 broché, couverture rempliée imprimée, papier cristal d'éditeur. En belle condition, non coupé. Les neuf portraits, contrecollés, sont de Maurice Barraud, Albert Chavaz, René Guinand, Edouard Manet, Hans Schoellhorn, Benjamin Vautier, Otto Vautier fils.‎

‎Edition originale au tirage limité à 350 exemplaires, celui-ci un des 300 sur blanc volumineux numérotés en arabe (217). Les toiles n'ont jamais été reproduites (à l'exception du Manet).‎

Referencia librero : 18478

Livre Rare Book

La Bergerie
Le Locle Switzerland Suiza Suíça Suisse
[Libros de La Bergerie]

€33.45 Comprar

‎Laya, Alexandre‎

‎Kaïn, drame en deux tableaux et en vers. [sur la couverture : "Cain, drame biblique en deux parties"]‎

‎Paris Tresse 1873 in-12 broché Paris, Tresse, 1873. 19 x 13 cm, in-12, 31 pp., plaquette cousue sous couverture saumon imprimée.‎

‎Edition originale enrichie d'un ENVOI autographe signé de l'auteur à M. Vaillant, l'acteur jouant Adam lors de la première. Un ajout autographe de l'auteur indique : "joué pour la première fois à Paris - à une matinée littéraire du théâtre de la Gaîté - le dimanche 4 mai 1873". Bon exemplaire. Bon‎

Referencia librero : 3774

Livre Rare Book

Julien Mannoni livres anciens
Paris France Francia França France
[Libros de Julien Mannoni livres anciens]

€15.00 Comprar

‎Lazare CARNOT‎

‎Mémoire adressé au Roi, en juillet 1814. Seule Edition complète et correcte, contetant toutes les Notes de l'Auteur ; celles du Lynx ; les Commentaires qui ont circulé secrètement avec le Manuscrit, et les Pièces justificatives ; suivi du Discours qu'il a prononcé au tribunat, le 11 floréal an 12‎

‎Chez Arnaud | à Paris 1815 | 13.50 x 21.50 cm | Broché‎

‎Sixième édition. Brochure d'époque, sous papier rose imprimé. Frottements. Mémoire adressé au roi Louis XVIII en juillet 1814, lors de la chute de Bonaparte (dont Carnot avait aidé l'ascension), pro-révolutionnaire, particulièrement violent et imprécatoire envers la mort de Louis XVI. Ce pamphlet rappelle que le ton révolutionnaire n'était pas mort en 1814 et que la recherche d'une constitution adéquate était encore d'actualité. La lettre est suivie des commentaires divers de Carnot lui-même. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 27801

‎Lazare CARNOT‎

‎Rapport sur la reprise des quatre places de la frontière du Nord qui avoient été envahies par l'ennemi, présenté à la Convention Nationale, au nom du comité de salut public, par Carnot, l'un de ses membres ; le premier Vendémiaire, l'an troisième de la République une & indivisible‎

‎S. n. | s. l. (Paris) s. d. [1794] | 13.50 x 21 cm | broché‎

‎Edition originale de ce discours prononcé par Lazare Carnot, l'Organisateur de la victoire, à l'assemblée de la Convention Nationale. Rare et agréable exemplaire présenté dans son brochage d'origine. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 81085

‎Lazare Carnot, 1753-1823 - Hippolyte Carnot‎

‎Mémoires sur Carnot, par son fils (Révolution, Empire)‎

‎1861 PARIS, Pagnere, lib.-Editeur - 1861/1863 - E.O. - complet en 2 Volumes In-8, 15 x 23 cm, - Reliure 1/2 basane- Dos à nerfs à filets dorés - Frontispice - 592 & 640 pages - bon exemplaire - Réf. 49057‎

‎"Ce ne sont pas des mémoires, mais des biographies à partir des papiers laissés par Carnot et de témoignages de contemporains. La Révolution occupe tout le tome 1 et le tiers du second." (Fierro, 270) - Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148‎

Referencia librero : 49057

Livre Rare Book

A l's.p.rance
Brest France Francia França France
[Libros de A l's.p.rance]

€200.00 Comprar

‎Lazare-Hippolyte-Sadi CARNOT‎

‎Le drapeau du 27ème régiment d'infanterie‎

‎Darantière | Paris s. d. [1891] | 12 x 19.50 cm | relié‎

‎Deuxième édition en partie originale car revue et augmentée. Reliure à la bradel en demi percaline rouge, dos lisse légèrement décoloré, pièce de titre de chagrin noir, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier orange, couverture illustrée conservée, reliure de l'époque. Second plat sali, petites rousseurs sans gravité. Ouvrage illustré de 5 planches hors-texte. Envoi autographe daté et signé de Lazare-Hippolyte-Sadi Carnot, fils du président Sadi Carnot, au capitaine Pineau. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 63516

‎Lazzaro SPALLANZANI‎

‎Expériences pour servir à l'histoire de la génération des animaux et des plantes. Avec une ébauche de l'histoire des êtres organisés avant leur fécondation par Jean Senebier‎

‎Chez Barthélémi Chirol | à Genève 1785 | 12.50 x 20.60 cm | relié‎

‎Édition originale française, illustrée de 3 planches dépliantes contenant de nombreuses figures. Reliure en plein veau blond d'époque marbré. Dos à nerfs orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Deux petites restaurations sur le plat supérieur. Bel exemplaire. Ouvrage fondamental sur la théorie de la génération. Les conclusions auxquelles parvient Spallanzani précèdent celles de Pasteur de près d'un siècle. Il y réfute notamment la théorie de la génération spontanée; c'est en travaillant à la réfutation de ce fameux concept que Spallanzani découvre le rôle des spermatozoïdes et des ovaires chez les mammifères, par ses observations sur la reproduction externe chez les grenouilles; il sera par ailleurs le premier à réaliser une insémination artificielle chez une chienne. L'auteur démontre également la régénération chez les lézards. Senebier a traduit la plupart des ouvrages de Spallanzani en français, il était également un scientifique. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 41385

‎Lazzaro SPALLANZANI‎

‎Oeuvres de M. l'abbé Spallanzani‎

‎Chez Pierre Duplain | à Pavie & se trouve à Paris 1787 | 12 x 20 cm | 3 volume reliés‎

‎Première édition collective, réunissant Opuscules de physique animale et végétale et Expériences pour servir à l'histoire de la génération des animaux et des plantes; avec une ébauche de l'histoire des êtres organisés avant leur fécondation par Jean Sennebier. Traduction par Jean Sennebier. Le troisième volume: Expériences, etc, porte l'adresse de Barthélémy Chirol à Genève à la même date de 1787 (même adresse que pour l'originale parue en 1785). Édition illustrée de 9 planches dépliantes in fine, 3 dans le premier volume et 6 dans le troisième. Reliures en plein veau raciné d'époque. Dos lisses ornés de plusieurs fers (gerbe de blé, étoiles) et de roulettes grecques. Pièces de titre en maroquin rouge et de tomaison en maroquin vert (tomaison en queue). Triple filet d'encadrement sur les plats. Larges épidermures sur les plats. Légers défauts sur les dos. Bel exemplaire, en outre parfaitement frais. Réunion des plus importantes oeuvres de ce grand biologiste que fut Spallanzani, remarquable non seulement pour ses hypothèses, mais pour son imagination en terme de méthode expérimentale. Les opuscules contiennent les Expériences sur la digestion, qui ne se trouvent pas dans l'originale, dans lesquelles Spallanzani démontre l'importance des sucs gastriques dans le processus digestif. Il démontrera également que la théorie de la génération spontanée est fausse, découvre le secret de la fécondation entre un spermatozoïde et un ovule, celui de la régénération chez certains animaux; il réalisera la première insémination artificielle chez une chienne. On lui doit ainsi de nombreuses avancées dans les sciences, dont les effets ne se feront ressentir que bien plus tard, mais surtout il marque son époque par sa rigueur scientifique et ses protocoles de démonstration qui pointent une inventivité et une clairvoyance qui semblent inépuisables. Ex-libris aux armes du XIXème de Dampierre - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 46638

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