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‎(FAURE Gabriel) DOUAILLER‎

‎Manuel technique et pratique du tragédien & comédien‎

‎Chez tous les éditeurs de musique, Paris s.d. (circa 1910), 14,5x23,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Précieux exemplaire de Gabriel Fauré comportant un envoi de l'auteur à celui-ci. Iconographie. Rare et agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 19352

‎(FENELON François de Salignac de La Mothe) CAGNAC Moïse‎

‎Les écrits politiques de Fénelon‎

‎Letouzey & Ané, Paris 1905, 13,5x21,5cm, broché.‎

‎Edition originale de cette conférence faite à l'Institut catholique de Paris imprimée à petit nombre de ce tiré à part. Rare et agréable brochure. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 25871

‎(FEVAL Paul) DELAIGUE A.‎

‎Paul Féval‎

‎Plon, Paris 1890, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 12850

‎(FLAUBERT Gustave) ANONYME‎

‎Flaubert par ses amis‎

‎Imp. de la Vicomté, s.l. s.d. (circa 1907), 12x19cm, agrafé.‎

‎Edition originale imprimée à tout petit nombre. Manques angulaires sur les plats ainsi qu'en tête et en pied du dos. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 14238

‎(FLAUBERT Gustave) FINOT A. Dr.‎

‎Les amis de Flaubert : Louis Bouilhet‎

‎S.n., Paris 1951, 16x24cm, broché.‎

‎Edition originale. Iconographie. De la collection 'essais de clinique littéraire'. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 13098

‎(FLAUBERT Gustave) HARAUCOURT Edmond‎

‎Centenaire Gustave Flaubert‎

‎S.n., s.l. 1921, 19x25,5cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre sur Hollande. Discours de P. Bourget et de E. Haraucourt, envoi autographe signé de ce dernier. Ouvrage illustré de 3 reproductions photographiques de portraits de G. Flaubert. Dos et plats marginalement insolés, piqûres sur les gardes, première garde marginalement tachés, petites rousseurs éparses. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 21832

‎(FLAUBERT Gustave) MERSON Luc-Olivier‎

‎"Salomé" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Avril 1899), sujet : 19,5x35cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Luc Olivier Merson pour L'Estampe Moderne, "Deuxième prime gratuite réservée aux abonnés d'un an de L'Estampe Moderne". Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un texte. Lithographie inspirée d'un extrait d'Hérodias de Gustave Flaubert, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Époque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 74838

‎(FLAUBERT Gustave) MUCHA Alfons‎

‎"L'incantation" (Salammbô) - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris s.d. (Mai 1897), sujet : 22x38cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs réhaussée à l'or, exécutée par Alphons Mucha pour L'Estampe Moderne, "Première prime gratuite réservée aux abonnés d'un an de L'Estampe Moderne". Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges,signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos, petite insolation en marge supérieure de l'épreuve ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un extrait d'oeuvre, déchirure sans manque dans la largeur sans atteinte au texte. Lithographie inspirée de Salammbô de Gustave Flaubert dont un extrait est reproduit sur la serpente de l'estampe :"Salammbô monta sur la terrasse de son palais..." Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée en couleurs sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très belle planche signée du maître de l'Art nouveau. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 73887

‎(FLAUBERT Gustave) TAILLANDIER Saint-René‎

‎La tentation de Saint-Antoine. Une sotie au XIXe siècle‎

‎Extrait de la Revue des deux mondes, (Paris) 1874, 15,5x25cm, agrafé.‎

‎Edition originale de cet article consacré à l'oeuvre de Flaubert paru la même année. Sous couverture muette. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 20682

‎(FLAUBERT Gustave) ULMANN Raoul André‎

‎"Tristesse sur la mer" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Novembre 1898), sujet : 35x23cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Raoul André Ulmann pour L'Estampe Moderne, série numéro 19 publiée en novembre 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, monogramme de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un extrait d'oeuvre. Lithographie inspirée d'un extrait du récit de voyage en Bretagne,Par les Champs et par les Grèves,de Gustave Flaubert, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Époque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans une lumière crépusculaire toute symboliste. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 74607

‎(FLAUBERT Gustave) ULMANN Raoul André‎

‎"Tristesse sur la mer" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Novembre 1898), sujet : 35x23cm, planche : 55x40,8cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par A. Yank pour L'Estampe Moderne, série numéro 19 publiée en novembre 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, monogramme de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un extrait d'oeuvre. Lithographie inspirée d'un extrait du récit de voyage en Bretagne,Par les Champs et par les Grèves,de Gustave Flaubert, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 74608

‎(FONTAINAS André) KERDYK René‎

‎André Fontainas‎

‎Librairie de France, Paris s.d. (ca 1927), 14x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant, il n'a été tiré que 66 grands papiers. En frontispice, un portrait de A. Fontainas par P. Valéry, iconographie. Un manque marginal affectant le deuxième plat, dos fendillé recollé avec petits manques. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 10707

‎(FORAIN Jean-Louis)‎

‎Le Fifre N°1, 2, 4, 5, 6, 7 et 8 de la première année‎

‎Le Fifre, Paris 1889, 29x40cm, 7 volumes brochés.‎

‎Editions originales illustrées de dessins de Forain. Textes de Armand Silvestre, Jean Richepin, Aurélien Scholl, Emile André... Quelques légères piqûres et déchirures marginales sans manque, sinon agréables exemplaires de cette rare revue hebdomadaire illustrée. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 21591

‎(FOUCAULT Michel) TRIVIER Marc‎

‎Portrait de Michel Foucault. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1983, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.‎

‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Petite déchirure sur le bord supérieur. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 62310

‎(FOUCAULT Michel) TRIVIER Marc‎

‎Portraits de Michel Foucault. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1981, 21,5x24 cm sur papier Ilford , une feuille.‎

‎Ensemble de 8 portraits de petites dimensions de Michel Foucault par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 62331

‎(FOUCAULT Michel) TRIVIER Marc‎

‎Portraits de Michel Foucault. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1981, 14,5x24 cm sur papier Ilford , une feuille.‎

‎Ensemble de 6 portraits de Michel Foucault de plain pied par Marc Trivier de petites dimensions. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 62384

‎(FOURIER Charles) MARMIER Xavier‎

‎Ch. Fourier‎

‎S.n., s.l. s.d.(1832), 14x22,5cm, broché.‎

‎Edition originale de ce tiré à part d'une revue d'histoire dont nous n'avons pu établir la provenance. Notre article est présenté à la suite de celui de Arthur Dinaux à propos de l'épreuve de l'eau bouillante, recours judiciaire en vigueur au Moyen-Age. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 13647

‎(FRANCE Anatole) SUFFEL Jacques‎

‎Anatole France par lui-même‎

‎Seuil, Paris 1954, 11,5x18cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers, un des ex du service de presse. Envoi de l'auteur. Iconographie. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 32444

‎(Franz Xaver HABERMAN)‎

‎Représentation du feu terrible à Nouvelle York, la nuit du 19 septembre 1776 ...‎

‎Importante vue d’optique. Réparation à un angle. Rare témoignage de cet incendie qui ravagea la ville de New-York au tout début de la guerre d’indépendance. Encadré Bon XVIIIè siècle. 265 x 400‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 5520

Livre Rare Book

Librairie Seigneur
Voingt France Francia França France
[Libros de Librairie Seigneur]

€ 650,00 Comprar

‎(FROMENTIN Eugène) DINET Etienne‎

‎"Jeux de fillettes à Laghouat" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Mai 1898), sujet : 34,5x24,5cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Etienne Dinet pour L'Estampe Moderne, série numéro 13 publiée en mai 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos,légère trace du tampon de la gravure précédente au recto ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un texte. Lithographie inspirée d'un extrait d'Eugène Fromentin,reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style orientaliste. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 74494

‎(FROMENTIN Eugène) DINET Etienne‎

‎"Jeux de fillettes à Laghouat" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Mai 1898), sujet : 34,5x24,5cm, planche : 55x40,8cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Etienne Dinet pour L'Estampe Moderne, série numéro 13 publiée en mai 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée d'un extrait d'un des récits de voyage d'Eugène Fromentin. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style orientaliste. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 74495

‎(GANDON Yves).‎

‎Rêveries sur les divins empereurs. Traduit du chinois.‎

‎1943 Paris, Imprimerie de Jacques Haumont, 1943; in-8° broché, couverture rempliée vert d'eau, titre et vignette au 1er plat, titre en noir au dos; 43 - (4)pp. Tirage total à 975 exemplaires numérotés, ici n° 525, 1 des 950 sur papier vélin blanc.‎

‎Couverture jaunie en bordure interne plats et au dos sinon bon état. Supercherie littéraire due à Yves Gandon ( cf. Jeandilhou Les Supercherie littéraires). (CO1)‎

Referencia librero : 11066

Livre Rare Book

Livres Anciens N. Rousseau
Reuilly France Francia França France
[Libros de Livres Anciens N. Rousseau]

€ 30,00 Comprar

‎(GAUGUIN Paul) COLLECTIF‎

‎L'âge nouveau N°41‎

‎L'Age Nouveau, Paris Septembre 1949, 18x23cm, broché.‎

‎Edition originale. Contributions de Paul Gauguin avec des lettres inédites, Marcello-Fabri, J. Follain, L. Estang... Numéro illustré de reproductions d'oeuvres de Maurice de Vlaminck, Pablo Bonnard, Georges Rouault, Pablo Picasso, Henri Matisse, Roger de la Fresnaye... à propos de la "bataille du musée de Grenoble". Dos insolé, plats légèrement et marginalement passés, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 23830

‎(GAUTIER Théophile) VAUDOYER Jean-Louis‎

‎Hommage à Théophile Gautier 1811-1911‎

‎Imp. P. Brodard, Coulommiers 1911, 16,5x25cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part de la Revue de Paris. Agréable et rare exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 14026

‎(GENET Jean) COLLECTIF‎

‎Une rencontre avec Jean Genet. - Genet retrouvé - In Revue des études palestiniennes N°21‎

‎Revue des études palestiniennes, Paris Automne 1986, 17x24cm, broché.‎

‎Edition originale. Contributions de R. Wischenbart, L. Shahid Barrada, F. Guattari. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 29315

‎(GIONO Jean) GODARD Henri‎

‎Album Giono‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1980, 10,5x17,5cm, reliure de l'éditeur sous étui.‎

‎Edition originale. Reliure éditeur en plein mouton grainé marron, tête orange, dos lisse orné de filets dorés. Riche iconographie. Bel exemplaire complet de sa jaquette, de son rhodoïd et de son étui souple. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 54090

‎(GLATIGNY Albert) KUHN Emile‎

‎Albert Glatigny, sa vie son oeuvre par Job-Lazare‎

‎A.H. Bécus, Paris 1878, 11,5x17,5cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre et publiée sous le pseudonyme de Job-Lazare. Ouvrage illustrée d'une eau-forte de A. Esnault en frontispice. Deux légers manques sans gravité en tête et en pied du dos, un minuscule manque marginal en pied du deuxième plat, rousseurs sur la première garde, sinon agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 30327

‎(GOETHE Johann Wolfgang von) BASCHET Armand‎

‎Les origines de Werther‎

‎Lib. d'Amyot, Paris 1855, 14,5x22,5cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre. Rare envoi de l'auteur à Charles Gosselin. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 15378

‎(GOETHE Johann Wolfgang von) MARMIER Xavier‎

‎Etudes sur Goethe‎

‎F.G. Levrault, Paris & Strasbourg 1835, 13x21,5cm, relié.‎

‎Edition originale. Reliure en demi basane bronze, dos lisse orné de filets et frises dorés comportant de petites taches et des traces de frottements. Exemplaire quasi exempt de rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 20308

‎(GOETHE Johann Wolfgang von) PERROCHON Henri‎

‎Goethe et le pays de Vaud‎

‎Imprimerie centrale, Lausanne 1933, 16x23,5cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part de la Revue historique vaudoise. Une petite déchirure marginale sans manque sur la page de titre, plats très légèrèment passés sans gravité. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 23433

‎(GONCOURT Edmond & Jules de)‎

‎Catalogue des livres modernes, ouvrages avec le portrait des auteurs peint sur la reliure, romantiques, auteurs contemporains, oeuvres des Goncourt manuscrits et imprimés, ouvrages divers anciens et modernes composant la bibliothèque des Goncourt‎

‎S.n., Paris 1897, 18x27,5cm, broché.‎

‎Edition originale de ce catalogue de vente s'étant tenue à l'Hôtel Drouot les 8, 9 et 10 Avril 1897. Dos passé comportant un manque en tête et une déchirure en pied, trois manques marginaux sur le premier plat, une pâle mouillure en pied du deuxième plat, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 30505

‎(GONCOURT Edmond & Jules de) FOSCA François‎

‎Edmond et Jules de Goncourt‎

‎Albin Michel, Paris 1941, 13,5x21,5cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant, il n'a été tiré que 20 vélin en grands papiers. Couverture illustrée, iconographie. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 31446

‎(GONCOURT Edmond & Jules de) PRINET René-Xavier‎

‎"Manon" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Février) 1898, sujet : 22x32,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par René-XavierPrinetpour L'Estampe Moderne, série numéro 10 publiée en février 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée d'un texte d'Edmond & Jules de Goncourt, La Femme au XVIIIe siècle. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 74361

‎(GONCOURT Edmond & Jules de) PRINET René-Xavier‎

‎"Manon" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Février) 1898, sujet : 22x32,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale imprimée en manière de trois crayons, exécutée parRené-Xavier Prinetpour L'Estampe Moderne, série numéro 10 publiée en février 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, papier vergé contrecollé sur Japon, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un extrait d'oeuvre ; serpente vierge. Lithographie inspirée d'un texte d'Edmond & Jules de Goncourt, La Femme au XVIIIe siècle, dont un extrait est reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 74360

‎(GONCOURT Edmond & Jules de) STEINLEN Théophile Alexandre‎

‎"Bal de barrière" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juin) 1898, sujet : 34,5x21cm, planche : 55x40,8cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Théophile Alexandre Steinlen pour L'Estampe Moderne, série numéro 14 publiée en juin 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, quelques rousseurs. Lithographie inspirée d'un extrait deGerminie Lacerteuxdes Goncourt. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 74859

‎(GONCOURT Edmond de) DEFFOUX Léon‎

‎Edmond de Goncourt membre de l'Académie de Bellesme suivi du texte intégral du Testament avec références et commentaires‎

‎Mercure de France, Paris 1921, 14,5x23cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à 500 ex numérotés et justifiés par l'auteur. Bel envoi de l'auteur à Georges Oudard. Papier jauni. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 22848

‎(GONZALEZ CARDINAL) GARILHE F.‎

‎Un cardinal historien de la philosophie‎

‎Imp. E. Soudée, Tours 1893, 16,5x25cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part de la Revue du monde catholique. Dos passé comportant un petit manque en pied, rousseurs, piqûres sur le deuxième plat affecté d'un infime manque angulaire. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 13995

‎(GOURMONT Remy de) COLLECTIF‎

‎Imprimerie gourmontienne N°1 de la 1ère année‎

‎Imp. gourmontienne, Paris Novembre 1920-Janvier 1921, 14,5x22,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Contributions de R. de Gourmont, Rachilde, P. Fort, A. Rouveyre, J. de Gaultier... Numéro illustré de 2 bois gravés d'A. Rouveyre. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 27586

‎(GOURMONT Remy de) COLLECTIF‎

‎Imprimerie gourmontienne N°2 de la 1ère année‎

‎Imp. gourmontienne, Paris Février-Avril 1921, 14,5x22,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Contributions de R. de Gourmont et O. Uzanne. Numéro illustré de bois gravés d'A. Rouveyre. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 27587

‎(GOURMONT Remy de) COLLECTIF‎

‎Imprimerie gourmontienne N°3 de la 1ère année‎

‎Imp. gourmontienne, Paris Mai-Juillet 1921, 14,5x22,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Contributions de R. de Gourmont et E. Barthelémy. Numéro illustré de bois gravés d'A. Rouveyre et de 2 dessins de G. d'Espagnat. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 27588

‎(GOURMONT Remy de) COLLECTIF‎

‎Imprimerie gourmontienne N°4 de la 1ère année‎

‎Imp. gourmontienne, Paris Août-Octobre 1921, 14,5x22,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Contributions de R. de Gourmont , T. Stanton, Pinkerton, G. Prévost... Numéro illustré de bois gravés d'A. Rouveyre. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 27589

‎(GOURMONT Remy de) COLLECTIF‎

‎Vers et prose N°25 & 26 de la 7ème année‎

‎Vers et Prose, Paris Avril-Septembre 1911, 16,5x25cm, broché.‎

‎Edition originale. Contributions de R. de gourmont avec "histoire tragique de la princesse Phénissa", A. Suarès, F. Jammes, M. Barrès, L.P. Fargue, C. van Lerberghe, P. Fort, T. de Visan ... Dos légèrement défraîchi, deuxième plat manquant, petits manques angulaires sur le premier plat, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 29319

‎(GOZLAN Léon) AUDEBRAND Philibert‎

‎Léon Gozlan, scènes de la vie littéraire (1828-1865)‎

‎A la librairie Illustrée, Paris s.d. (1887), 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale. Rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 13913

‎(GRACQ Julien) COLLECTIF‎

‎L'âge nouveau N°68‎

‎L'Age Nouveau, Paris Décembre 1951, 18x23cm, broché.‎

‎Edition originale de ce numéro intitulé "Faut-il réinventer le roman? "Contributions et réponses de Julien Gracq, Franz Hellens, Gilbert Sigaux, Jean Louis Curtis... Dos insolé, plats légèrement et marginalement passés, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 23829

‎(Grau, Werner) (Red.)‎

‎Wilhelm M. Busch zum 60. Geburtstag.‎

‎(Gütersloh, Bertelsmann, 1968). 32 S. Mit 18, teils ganzseitigen Illustr. Illustrierte OBrosch.‎

‎Mit ganzseitiger, signierter ORIGINALZEICHNUNG auf dem Titel - Die Zeichnungen in rotbraunem Druck. Mit Bibliographie der von Busch illustrierten Bücher. - Gutes, sauberes Exemplar.‎

Referencia librero : 62186

‎(GREENE Graham) TRIVIER Marc‎

‎Portrait de Graham Greene. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1980, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.‎

‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 62280

‎(GRIMM Friedrich-Melchior) COUSIN D'AVALON Charles-Yves‎

‎Grimmiana ou recueil des anecdotes, bon mots, plaisanteries de Grimm, avec les pensées, maximes et jugemens de ce philosophe, extraits tant de sa correspondance que de celle de La Harpe, des mémoires et brochures de ce temps, contenant des traits peu connus sur plusieurs littérateurs vivans, et un choix de bons mots de Mlle Arnould‎

‎Lib. Davi & Locard, Paris 1813, 9,5x14,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Le portrait en frontispice, la première garde et la page de faux-titre font défaut à notre exemplaire qui est présenté dans son brochage d'origine. Rares petites rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 23318

‎(GROSZ Georges) TAVOLATO I.‎

‎Grosz‎

‎Editions de Valori plastici, Rome 1924, 14x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre sur vergé. Ouvrage illustré de 32 reproductions en phototypie de l'oeuvre de G. Grosz. Rare et agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 18055

‎(GROSZ Georges) TAVOLATO I.‎

‎Grosz‎

‎Editions de Valori plastici, Rome 1924, 14x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée sur beau papier filigrané. Ouvrage illustré de 32 reproductions en phototypie de l'oeuvre de G. Grosz. Rare et agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 57494

‎(GUEHENNO Jean)‎

‎Jean-Jacques roman et vérité‎

‎Grasset, Paris 1950, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des ex du service de presse, il n'a été tiré que 72 grands papiers. Une déchirure recollée en pied du dos, un autre sur un mors, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 11127

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