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Breton (Jean).
L'Eté des Corps.
La Bastide d'Orniol, Guy Chambelland, 1966. Un volume broché de format in 8° de 96 pp., couverture repliée . Etat de neuf. Edition originale, exemplaire n°9/20 sur demi chiffon, premier papier. Bel envoi personnalisé de l'auteur.
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Breton (Jean).
L'Eté des Corps.
1966 La Bastide d'Orniol, Guy Chambelland, 1966. Un volume broché de format in 8° de 96 pp., couverture repliée .
Bookseller reference : 7169
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BRETON (Jean).
Le festin d'argile.
Paris Cahiers de l'Ecole de Rochefort 1954 1 vol. broché plaquette in-12, agrafée, 10 pp. 9e cahier de la 7e série. Edition originale. Bon exemplaire.
Bookseller reference : 110014
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BRETON (Jean).
Le festin d'argile.
Paris Cahiers de l'Ecole de Rochefort 1954 1 vol. broché plaquette in-12, agrafée, 10 pp. 9e cahier de la 7e série. Edition originale. Bon exemplaire.
Bookseller reference : 110014
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BRETON (Marceline)
Reflets : poésies
Lamalou-les-Bains (Hérault), La Revue du Languedoc et des Jeux Floraux 1939 In-8. Reliure pleine basane fauve, étui bordé, dos à nerfs, tête dorée, report du titre en lettres dorées et fleur de lys de cuir blanc en incrustation sur le premier plat, 120 pp. exemplaire agréablement relié.
Bookseller reference : 90384
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BRETON Andr?
Les manifestes du surr?alisme. Suivis de Prol?gom?nes ? un troisi?me manifeste du surr?alisme ou non.
Broch?. 213 pages. Non coup?.
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BRETON Andr?
Manifestes du surr?alisme.
Broch?. 189 pages. Format de poche.
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BRETON Andr?
Signe ascendant.
Broch?. 190 pages. Format de poche. Quelques passages soulign?s au crayon.
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BRETON ANDRE
POEMES- Mont de Piété - Les Champs Magnètiques - Clair de Terre - Poisson soluble - L'union libre - Le revolver à cheveux blancs - Violette Nozière - L'air de l'eau - 1935-1940 - Pleine marge - Fata Morgana - 1940-1943 - Les états-généraux - Xénophiles -
GALLIMARD. 1967. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 236 pages - Rhodoide en bon etat + signet conservé.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Bookseller reference : R260184869
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BRETON ANDRE
POETES D AUJOURD HUI
PIERRE SEGHERS. 1950. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 226 pages. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Bookseller reference : R200052018
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BRETON ANDRE
SIGNE ASCENDANT
GALLIMARD. 1968. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos fané, Intérieur frais. 188 pages. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Bookseller reference : R260184542
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BRETON Andre'
Poesie & autre
In 8, cm. 17 x 20, pp. 329 + (8) + 56 pp. di illustrazioni di Miro' per "Constellations", con numerose illustrazioni in bianco e nero prevalentemente a piena pagina nel testo. Legatura in tela editoriale arancione con titoli dorati incisi al piatto e al dorso, firma di Andre' Breton incisa al piatto anteriore. In ottimo stato. Opera molto bella di Breton con illustrazioni fotografiche in bianco e nero e riproduzioni sempre in in bianco e nero di opere pittoriche di Miro, Dali, Breton, Lichtenberg. L'ultima parte del libro e' una presentazione di 22 gouaches di Miro' accompagnate da ventidue "prose parallele" dell'autore riprodotte integralmente. Lingua: francese.
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BRETON ANDRE, DEHARME LISE, GRACQ JULIEN, TARDIEU JEAN
FAROUCHE A QUATRE FEUILLES
P., Grasset, 1954. Format in-8 carré broché, couverture rempliée, 139 pages. Un des 1400 exemplaires su vélin de Lana numéroté (N° 29). Quelques points de roussuers sur laes pages de garde, dos légèrement éclairci, très bon état par ailleurs.
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BRETON ANDRE, ELUARD PAUL
Notes sur la poésie
Collana Testi e Pretesti nr. 1. SC. E.
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BRETON André
"André Derain" : poème autographe de jeunesse en hommage à Derain « Ah ! plus ce brouillard tendre »
circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui.
Bookseller reference : 64265
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BRETON André
"André Derain" : poème autographe de jeunesse en hommage à Derain « Ah ! plus ce brouillard tendre »
- circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui. - Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton, intitulé "André Derain", 25 vers à l'encre noire sur papier vergé, composé en mars 1917. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a été adressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture de ce poème, dernier de la collection, composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème « Age », dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel « Poème ». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes « Décembre », « Age », et « André Derain », tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie « L'an suave ». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème « Facon » (1916) en ces termes : « Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon » (Lettre de juin 1916, uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de la Meuse. Il fait à Nantes la connaissance de Jacques Vaché
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BRETON André
"Coqs de Bruyère" : poème autographe de jeunesse « et seront-ce coquetteries / de péril / ou de casques couleur de quetsche ? »
- circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui. - Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton, intitulé "Coqs de Bruyère", 14 vers à l'encre noire sur papier vergé, composé en août 1916. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur paprier vergé filigrané. Cet ensemble a été adressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection (« André Derain »), composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème « Age », dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel « Poème ». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes « Décembre », « Age », et « André Derain », tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie « L'an suave ». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème « Facon » (1916) en ces termes : « Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon » (Lettre de juin 1916, uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de la Meuse. Il fait à Nantes la connaissance
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BRETON André
"Coqs de Bruyère" : poème autographe de jeunesse « et seront-ce coquetteries / de péril / ou de casques couleur de quetsche ? »
circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui.
Bookseller reference : 64267
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BRETON André
"Façon" poème autographe de jeunesse : « Que juillet, témoin / Fou, ne compte le péché / D'au moins ce vieux roman de fillettes qu'on lut ! »
- circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui. - Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton, intitulé "Façon", 19 vers à l'encre noire sur papier vergé, composé en juin 1916. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Il servit d'inspiration à Louis Aragon pour céer l'alter-ego de Breton, Baptiste Ajamais, dans son premier roman Anicet ou le panorama. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a été adressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection (« André Derain »), composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème « Age », dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel « Poème ». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes « Décembre », « Age », et « André Derain », tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie « L'an suave ». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le présent poème « Facon » en ces termes : « Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon » (Lettre de juin 1916, uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier mi
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BRETON André
"Façon" poème autographe de jeunesse : « Que juillet, témoin / Fou, ne compte le péché / D'au moins ce vieux roman de fillettes qu'on lut ! »
circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui.
Bookseller reference : 64229
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BRETON André
"Hymne" : poème autographe de jeunesse « Alcée en pleurs dédaigne une rose glacée »
- circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui. - Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton, intitulé "Hymne", vers à l'encre noire sur papier vergé, daté par l'auteur en d'août 1914. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Probablement la pièce la plus mallarméenne jamais écrite par Breton, "Hymne" est composé durant le premier mois de la guerre, alors que le jeune poète et ses parents se hâtent de rejoindre Paris. Le poème fut par la suite publié dans Solstices n°2 en juillet 1917. Il est l'un des deux seuls à porter une date dans le recueil et dans sa version manuscrite, sans doute pour souligner le contexte difficile de sa rédaction : « par un sale temps, l'auteur rimant ce poème pour être certain de ne pas du tout prendre part à la conversation de ses parents [...] sur quelque ignoble route de Lorient où ceux-ci s'étaient à temps retirés » (note de Breton, 1930). On reconnaît sans peine l'influence des symbolistes dans la précision de l'alexandrin rimé et le goût pour les allusions mythologiques. Le jeune Breton consacre son hymne aux amants de Lesbos, le couple légendaire de poètes grecs Sappho et Alcée. Breton glisse dans la première strophe un souvenir de L'après midi d'un faune parmi les allusions voluptueuses (« Un bras faible se noue en des mythologies / Scabreuses dont la flûte émeut l'enchanteresse / Au torse vain du faune avide [...] »). Erotisme et fascination morbide se mêlent lorsqu'il évoque le sort tragique de Sappho, qui, selon Ménandre, s'élança du haut des rochers de Leucade. Le poème s'achève sur une invocation d'Alcée à Sappho, déjà emportée par les eaux : « Tu vois qu'un cerne aimable diminue Aux paupières. La peur que fraîchissent les touffes Désertes, l'une ou l'autre, en vain, si tu l'étouffes, Promit ta chevelure aux fleurs d'écaille, bleue... Trêve d'héliotrope où s'irise une queue De sirène, le flot te cajole. » Digne héritier de la poésie de Mallarmé, ce rarissime manuscrit date de la jeunesse symboliste d'André Breton, au lendemain de la déclaration de guerre. *** Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a été adressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection (« André Derain »), composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème « Age », dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel « Poème ». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieur à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes, furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et
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BRETON André
"Hymne" : poème autographe de jeunesse « Alcée en pleurs dédaigne une rose glacée »
circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui.
Bookseller reference : 64270
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BRETON André
"L'An Suave" : poème autographe de jeunesse dédié à Marie Laurencin : « Ai-je omis la Nymphe miraculeuse, / Icare au buissons neigeux [...] »
- circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui. - «L'An suave»: autograph youth poem dedicated to Marie Laurencin. «Have I neglected the miraculous Nymph, Icarus in the snowy shrubs...» [ca 1917-1918] | 22.3 x 27.6 cm | single sheet in custom chemise and slipcase A remarkable autograph poem of youth by André Breton dedicated to Marie Laurencin entitled «L'an suave». 15 verses in ink on vergé paper, composed in April 1914. This manuscript was copied between March 1917 and the beginning of 1918. This poem is offered for sale in a chemise and case with paper boards decorated with abstract motifs, the spine of the chemise in green morocco, pastedowns and endpapers of beige suede, a sheet of flexible plexiglass protecting the poem, case edged with green morocco, piece of green paper with caption «poème autographe» to bottom of upper cover of case, the whole by Thomas Boichot. Key poem of the author's pre-Dadaist period, it formed part of the set of 7 manuscript poems by Breton (known as coll. X. in the uvres complètes d'André Breton, volume I in La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). These poems of his juvenilia are carefully copied out in black ink on watermarked vergé paper. The small collection was addressed to his circle of friends and writers, most notably including Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, and his brother in arms André Paris. They were later published in his first collection, Mont de piété, which appeared in June 1919, published by Au Sans Pareil, established not long before by his friend René Hilsum. The precise dating of this set of autograph poems is made possible by the composition of the final poem in the set («André Derain»), written on 24 March 1917, which provides a definitive terminus post quem. An earlier version of the poem «Age», dedicated to Léon-Paul Fargue, appears in our collection under its original name, «Poème». Dated by the author 19 February 1916, the day of his 20th birthday, and composed 10 days previously (according to his letters), it was not retitled and reworked until its publication in July 1918 in Les Trois Roses. Judging by the similarities to things published before this last poem, the seven autograph poems were probably written during 1917 or at the beginning of 1918, while Breton was doing his residency in Val-de-Grâce and where, significantly, he made the acquaintance of Louis Aragon. The poems that make up Mont de piété represent a rare and valuable insight into his youthful influences at the dawn of his joining the Dada movement and his discovery of automatic writing. Quite short and sometimes sibylline, one detects Symbolist highlights borrowed from Mallarmé, whom he rediscovered at poetry mornings in the théâtre Antoine and the Vieux-Colombier accompanied by his schoolfriend Théodore Fraenkel. During the first month of the War, Breton also dedicated himself to Rimbaud, plunging into Les Illuminations, the only work he carried with him in the confusion and haste that followed the outbreak of war. From his readings of Rimbaud were born the poems «Décembre», «Age», and «André Derain», while he borrowed Apollinaire's muse Marie Laurencin to whom he dedicated «L'an suave». The author's poetic inheritance was particularly marked by Paul Valéry, with whom he corresponded from 1914. Valéry played a considerable role in the writing of the poems of Mont de piété with the advice he gave the young poet. Admiring his disciple's audacity, who addressed each of these poems to him, he characterized the poem «Façon» (1916) thus: «The theme, language, scope, meter, everything is new, in the style, the manner of the future» (Letter of June 1916, uvres complètes d'André Breton, vol. I in La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). These essential buds of Breton's youth were written between his seventeenth and twenty-third year. Taken by surprise in Lorient by the declaration of war, he became a military nurse, serving in several hospitals
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BRETON André
"L'An Suave" : poème autographe de jeunesse dédié à Marie Laurencin : « Ai-je omis la Nymphe miraculeuse, / Icare au buissons neigeux [...] »
circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui.
Bookseller reference : 64263
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Breton André
Arcane 17. Enté d'ajours
Sagittaire, Jean-Jacques Pauvert Broché 1947 In-12 (12,1 x 18,5 cm), broché, 222 pages ; pliure au dos, bords des plats, dos et intérieur brunis, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Bookseller reference : lr1347
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BRETON André
Clair de terre
Editions Gallimard Editions Gallimard, 1973. In-12 broché de 194 pages. Collection Poésies. Bon état
Bookseller reference : 175620
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Breton André
Clair de terre
Gallimard 1966 collection poesie. poche. 1966. broché. 192 pages. Etat Correct d'usage
Bookseller reference : 100102532
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Breton André
Clair de terre précédé de Mont de Piété, suivi de le revolver à cheveux blancs et de l'air de l'eau - Collection Poésie.
Gallimard. 1976. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 194 pages.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Bookseller reference : R320141751
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Breton André
Je vois, j'imagine
Gallimard Cartonné avec jaquette sous emboîtage 1991 In-4, (30x24.5 cm), cartonné sous jaquette illustrée et emboîtage, 187 pages, préface d'Octavio Paz, illustrations en couleurs et en noir et blanc ; bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Bookseller reference : dd272
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BRETON André
Le surréalisme au service de la révolution.
Couverture souple P, 1933 , in4°br , 55pp , 6 pages d'illustrations hors texte. Dernier numéro de la revue. A Breton, Y Tanguy, M Ernst, R Char, T tzara, P Eluard, . Langue: Français
Bookseller reference : ML3351
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BRETON André
Le Surréalisme même
Volume 3 automne 57. In 8 broché à l'italienne, édition à tirage limité 96 pages,Textes d'André Breton,Flora Tristan,Kostas Axelos, Jean-Louis Bédouin,Gérard Legrand Robert Lebel,Octavio Paz, E.L.T Mesens Leopoldo Chariarse,Alain Joubert,Jean Palou, Jehan Mayoux,Nora Mitrani,Gérard Legrand,Jean Schuster et Joyce Mansour,illustrations de Bona, Marcel Duchamp, Yves Elléouët, Jean-Jacques Leel,Maréchal.Jean-Jacques Pauvert éditeur 1957 Nombreuses reproductions photographiques catalogue de 4 pages en fin de volume, très bon état
Bookseller reference : 2026
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BRETON André
Les pas perdus
Editions Gallimard, 1969. In-8 relié pleine toile mauve éditeur sous rhodoïd de 173 pages. Bandeau conservé. Collection Soleil. Tirage limité numérotéà 3100 exemplaires sur bouffant alfa calypso, celui-ci n° 619. Bon état
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BRETON André
Lettre autographe datée et signée à propos d'un règlement qu'il vient de recevoir pour une de ses contributions chez Jean-Jacques Pauvert
S.n., Paris 12 Mai 1964, 21x26cm, une page.
Bookseller reference : 83997
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BRETON André
Point du jour
Editions Gallimard, 1970. In-8 relié pleine toile mauve éditeur sous rhodoïd de 197 pages. Bandeau conservé. Collection Soleil. Tirage limité numérotéà 2600 exemplaires sur bouffant alfa calypso, celui-ci n° 1352. Bon état
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Breton André
Pour rassurer le fakir (Carnets d'atelier)
Librairie-Galerie Racine Dos carré collé 2000 In-8 (13 x 20,6 cm), dos carré collé, 106 pages, envoi de l'auteur ; quelques infimes traces sur les plats, bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Bookseller reference : vh2101
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BRETON André
Poème autographe de jeunesse signé et dédié à Léon-Paul Fargue : « Aube adieu ! Je sors du bois hanté ; j'affronte les / routes, croix torrides »
- circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui. - Remarquable poème de jeunesse autographe signé d'André Breton, titré "Poème" et dédié à Léon-Paul Fargue, 21 vers à l'encre noire sur papier vergé, daté par l'auteur du 19 février 1916 et probablement composé dix jours plus tôt. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a été adressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection (« André Derain »), composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, le présent manuscrit est une version plus ancienne du poème « Age », dédié à Léon-Paul Fargue. Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes, furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes « Décembre », « Age », et « André Derain », tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie « L'an suave ». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème « Facon » (1916) en ces termes : « Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon » (Lettre de juin 1916, uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de
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BRETON André
Poème autographe de jeunesse signé et dédié à Léon-Paul Fargue : « Aube adieu ! Je sors du bois hanté ; j'affronte les / routes, croix torrides »
circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui.
Bookseller reference : 64262
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Breton André
Poèmes
Gallimard 1967 in8. 1967. Relié.
Bookseller reference : 100113453
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Breton André
Poésie & autre
Le Club du Meilleur Livre Reliure d'éditeur 1960 In-8 (20x17.5 cm), reliure d'éditeur, 329 pages, suivi d'un cahier d'illustrations en noir et blanc non paginé, présentation de Gérard Legrand, exemplaire 562/4850 ; rousseurs, plats légèrement salis, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Bookseller reference : qv698
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BRETON André
Poésie et autre. Collection : Le club du meilleur livre, poésies.
Paris, Le Club du Meilleur Livre, 1960. 17 x 20, 335 pp., nombreuses illustrations en N/B, reliure d'édition pleine toile orange + rhodoïd, très bon état.
Bookseller reference : 92382
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BRETON André
Signe ascendant
Gallimard, 1968. In-12 broché de 187 pages. Collection Poésie Gallimard. Bon état
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BRETON André
Signe ascendant
Gallimard Gallimard, 1968. In-12 broché de 187 pages. Collection Poésie Gallimard. Bon état
Bookseller reference : 154237
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Breton André
Signe ascendant suivi de fata morgana, les états généraux, des épingles tremblantes, xénophiles, ode à Charles Fourier, constellations, le la - Collection poésie n°37.
Gallimard. 1968. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 188 pages - quelques illustrations en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Bookseller reference : R100053288
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Breton André & Soupault Philippe
Les Champs magnétiques suivi de s'il vous plaît et de vous m'oublierez - Collection poésie n°74.
Gallimard. 2002. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Pliures. 182 pages - tâches en début, en fin d'ouvrage et sur les tranches ne gênant pas la lecture.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Bookseller reference : R100052323 ISBN : 207031877
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BRETON André (APOLLINAIRE Guillaume)
"Décembre" : poème autographe de jeunesse dédié à Guillaume Apollinaire « J'aurai mordu la vie à tes seins d'ange piètre »
- circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui. - «Décembre»: autograph youthful poem dedicated to Guillaume Apollinaire. «I would have savaged the life of your poor angel breast.» [ca 1917-1918] | 22.3 x 27.6 | single sheet in custom chemise and slipcase A remarkable autograph poem of youth by André Breton dedicated to Guillaume Apollinaire entitled «Décembre». 20 verses in ink on vergé d'Arches paper, composed in December 1915. This manuscript was copied between March 1917 and the beginning of 1918. This poem is presented in a chemise and case with paper boards decorated with abstract motifs, the spine of the chemise in green morocco, pastedowns and endpapers of beige suede, a sheet of flexible plexiglass protecting the poem, case lined with green morocco, piece of green paper with caption «poème autographe» to bottom of upper cover of case, the whole by Thomas Boichot. Key poem of the author's pre-Dadaist period, it formed part of the set of 7 manuscript poems by Breton (known as coll. X. in the uvres complètes d'André Breton, volume I in La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Thiese poems of his juvenilia are carefully copied out in black ink on watermarked vergé paper. The small collection was addressed to his circle of friends and writers, most notably including Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, and his brother in arms André Paris. They were later published in his first collection, Mont de piété, which appeared in June 1919, published by Au Sans Pareil, established not long before by his friend René Hilsum. The precise dating of this set of autograph poems is made possible by the composition of the final poem in the set («André Derain»), written on 24 March 1917, which provides a definitive terminus post quem. An earlier version of the poem «Age», dedicated to Léon-Paul Fargue, appears in our collection under its original name, «Poème». Dated by the author 19 February 1916, the day of his 20th birthday, and composed 10 days previously (according to his letters), it was not retitled and reworked until its publication in July 1918 in Les Trois Roses. Judging by the similarities to things published before this last poem, the seven autograph poems were probably written during 1917 or at the beginning of 1918, while Breton was doing his residency in Val-de-Grâce and where, significantly, he made the acquaintance of Louis Aragon. The poems that make up Mont de piété represent a rare and valuable insight into his youthful influences at the dawn of his joining the Dada movement and his discovery of automatic writing. Quite short and sometimes sibylline, one detects Symbolist highlights borrowed from Mallarmé, whom he rediscovered at poetry mornings in the théâtre Antoine and the Vieux-Colombier accompanied by his schoolfriend Théodore Fraenkel. During the first month of the War, Breton also dedicated himself to Rimbaud, plunging into Les Illuminations, the only work he carried with him in the confusion and haste that followed the outbreak of war. From his readings of Rimbaud were born the poems «Décembre», «Age», and «André Derain», while he borrowed Apollinaire's muse Marie Laurencin to whom he dedicated «L'an suave». The author's poetic inheritance was particularly marked by Paul Valéry, with whom he corresponded from 1914. Valéry played a considerable role in the writing of the poems of Mont de piété with the advice he gave the young poet. Admiring his disciple's audacity, who addressed each of these poems to him, he characterized the poem «Façon» (1916) thus: «The theme, language, scope, meter, everything is new, in the style, the manner of the future» (Letter of June 1916, uvres complètes d'André Breton, vol. I in La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). These essential buds of Breton's youth were written between his seventeenth and twenty-third year. Taken by surprise in Lorient by the declaration of war, he became a military nurse, serving in several hospitals
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BRETON André - SOUPAULT Philippe
Les champs magnétiques
Editions Gallimard Editions Gallimard, 1971. In-12 broché de 187 pages. Collection Poésies. Très bon état
Bookseller reference : 175618
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BRETON André / ELUARD Paul
Notes sur la Poésie
Edition GLM, Edition originale achevée d' imprimer le 5 mai 1936. Tirage limité à 100 exemplaires sur Vélin (le nôtre n'est pas justifié) après 15 sur Japon numérotés. Ces réflexions des deux poètes sont ornés d' un dessin en N & B sur dépliant de Salvador DALI en frontispice. Non paginé (46 pages).
Bookseller reference : 6170
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Breton André et Paul Eluard
Notes sur la poésie
G.L.M. 1936 "In 12° broché non paginé. Bibliographie des deux auteurs, frontispice dépliant de Salvator Dali. ""Les livres ont les mêmes amis que l'homme : le feu, l'humide, les bêtes, le temps; et leur propre contenu"" (extrait)" Souple - verte - imprimée - titre noir
Bookseller reference : 2253
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BRETON André, CHAR René, ELUARD Paul
RALENTIR TRAVAUX
1968 plaquette blanche in-octavo (booklet in-octavo), dos et couverture imprimés (spine and the cover printed), quatrième de couverture muette (back cover without text), gouttière non coupée (fore-edge uncut), pages de garde blanches (white endpapers), page de faux-titre (half title page), sans illustration (no illustration), 62 pages, 1968 à Paris José Corti,
Bookseller reference : 14144
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BRETON André.
Ode à Charles Fourier commentée par Jean Gaulmier.
in-8°, pp. 97 con 6 tav. f.t. Bross. edit. Intonso l'interno.
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