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[CHARLEMAGNE] - LAUTREC (Garbiel de).-
Charlemagne. Dessins de Louis BAILLY.
Paris, Lafitte (Lilliput Bibliothèque), in 8°, cartonnage illustré de l'éditeur, 80 pages ; infimes frottis.
Référence libraire : 73408
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[CHARLEMAGNE] - GAILLARD.-
Histoire de Charlemagne. Précédée de considérations sur la première race et suivie de considérations sur la seconde.
1782 Paris, MOutard, 1782, 3 volumes in 12 reliés plein veau tabac ancien, dos lisses très ornés, XXXVI-397, 514 et 560 pages ; une coiffe usée.
Référence libraire : 86206
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JULLIAN MARCEL
CHARLEMAGNE OU LA JEUNESSE DU MONDE
FL 1994. In-8 FL 1994. In-8 reliure éditeur de 276 pages + cartes; Très bon état
Référence libraire : 36660
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JULLIAN MARCEL
CHARLEMAGNE
Grand livre du mois Paris, Grand livre du mois, 1994. In-8 Cartonnage souple éditeur illustré de 276 pages + cartes. Exemplaire de bibliothèque.
Référence libraire : 23834
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FAVIER Jean
Charlemagne
Grand livre du mois Grand livre du mois, 1999. In-8 relié cartonnage souple de l'éditeur de 769 pages illustrées. Quelques passages discrètement soulignés au crayon de papier sinon Bon état
Référence libraire : 157790
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PALESTINE CHARLEMAGNE (né en 1947)
Strumming Music
1974 disque Disque vinyle 33trs 30cm,Paris, Shandar 83517, 1974, sous pochette illustrée conçue pat André Belleguie.Composition, notes et dessins de l'auteur, photographie de Carol Parker. Exécution sur piano Bösendorfer.Broken Music p.196. Schraenen 102. (102679)
Référence libraire : 102679
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CHARLEMAGNE (Armand).
Le Souper des Jacobins, comédie en un acte, en vers, représentée, pour la première fois à Paris sur le Théâtre de la rue Martin, ci-devant de Molière, le 25 Ventose, an 3me. de la République.
A Paris, chez les Marchands de nouveautés, 1794. In-16 broché de 64 pp.
Référence libraire : 1659
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TOWER (Charlemagne).
Le Marquis de La Fayette et la Révolution d'Amérique. Traduit de l'anglais par Madame Gaston Paris.
Paris, Plon-Nourrit et Cie, 1902-1903. 2 vol. in-8 brochés de (4)-V-468-(4) pp. ; (4)-516 pp., index, non coupé.
Référence libraire : 14996
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HALPHEN Louis,
Charlemagne et l'empire carolingien,
Albin Michel, L'évolution de l'humanité, 1979, 508 pp., poche, plis de lecture sur le dos, état correct.
Référence libraire : 26373
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BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne
Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917
94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917
Référence libraire : 55268
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[CHARLEMAGNE] - PALANQUE (Jean-rémy) -
De constantin à charlemagne à travers le chaos barbare.
Paris, Librairie artheme fayard je sais - je crois , 1959; in-8, 122 pp., br.
Référence libraire : 201115527
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Gehrts, Carl (1853 - 1898):
Sendgrafengericht.
Leipzig, Leipziger Schulbildverlag, 1888. Farbige Lithographie. Bildformat: 89 x 66 cm.
Référence libraire : 147DG
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FOLZ ( Robert )
Le Couronnement impérial de Charlemagne 25 décembre 800 Trente journées qui ont fait la france
1964 Paris, éditions Gallimard, 1964, In-huit, 13,5*20,5, 333 pp, Broché, très bon état, quelques annotations au crayon de papier, rhodoïd, dos légèrement abîmé,
Référence libraire : 69477
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BOSSUET;
DISCOURS SUR L' HISTOIRE UNIVERSELLE. TOME PREMIER + TOME SECOND,
, Bruxelles, De Mat, 1824**, Relie de l' epoque, demi - maroquin brun ( dos), demi - chagrin noir ( plats), fleuronne a froid sur les plats, dos orne de fil. dore et de fleuronne a froid, titre dore, 9x14,5cm, 246pp, illustre avec 1 gravure.
Référence libraire : 6857
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BEDEL, MAURICE.
BERTHE AU GRAND PIED. MERE DE CHARLEMAGNE.
, Paris, Les Editions de France, s.d., Relie, demi-maroquin (dos, coins), plats marbre, dos orne de titre dore, dos a nerfs (4), couverture d' editeur illustre n/b., 19x25,5cm, 224pp, couverture d' editeur.
Référence libraire : 11207
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THARAUD J.& J.-
LE MIRACLE DE THEOPHILE- Illustrations en couleur in et ht gravées sur bois de Paul CHARLEMAGNE-
MONACO EDITION DU ROCHER 1945- gd.IN4 en feuilles sous couv.ill.-tirage à 700 ex.num./velin- dos chemise taché avec manque - dans l'état à relier
Référence libraire : 507
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PELLERIN (imprimeur)
Charlemagne,(768-814)
Lithographie en couleurs image d'EpinalHauteur en cm. 42,6 Largeur en cm. 32Inscription : Titre, numéro et éditeur Gloires nationales n° 5 / Série superieure aux armes d'Epinal Pellerin & Cie imp./édit.
Référence libraire : 20851
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CHARLEMAGNE, Edmond.
Les anciennes Institutions municipales de Bourges.
1889 Bourges, Imprimerie Tardy-Pigelet, 1889 ; in-8° broché, couverture grise imprimée en noir; 214pp. Envoi autographe monogrammé de l'auteur sur le faux-titre.
Référence libraire : 8937
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CHARLEMAGNE Georges.
Quelques aspects de la révolution agricole depuis la révolution. Le pays d'Ardentes en Berry. Etude économique et sociale d'une canton rural en 1926.
1926 Châteauroux, Langlois, 1926; in-8, broché de 131pp.; couverture beige imprimée en noir. Accrocs et manque au dos de la couverture, traces de colle au dos, 2 pages jaunies (dû à un papier laissé dans l'ouvrage).
Référence libraire : 12344
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Charlemagne Armand
La Journée des Dupes ou l’Envie de Parvenir, Comédie en cinq actes et en vers
Chez Barba, Librairie, Palais-Royal, derrière le Théâtre Français, n°51 1816 Fin in-8 reliure d’époque demi-percaline verte 20,5 cm sur 12. Titre sur pièce de cuir, 86 pages. Annotation à l’encre noir sur page de titre. Rousseurs importantes, quelques pages écornées sinon Bon état d’occasion.
Référence libraire : 105467
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GILLES (Gilbert)
Un ancien Waffen-SS français raconte... [2 volumes]. Préface du colonel Antoine Argoud
Gold Mail International Publishing 1989 2 volumes. In-8 23,5 x 15,5 cm. Brochés, couvertures blanches ornées d’une vignette en noir & blanc et imprimées en lettres noires, 465-477 pp., 32-32 ill. en noir & blanc hors texte, 7 pp. de plans de combats, 2 pages descriptives des grades de la Waffen-SS, annexes, bibliographie. Exemplaires en bon état.
Référence libraire : 94742
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Gall (Jean)
Charlemagne
Puf, Figures et Plumes, coll. « Histoire » 2008 In-12 cartonné 17,5 cm sur 12,5. 124 pages. Très bon état d’occasion.
Référence libraire : 108964
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ROY, Just-Jean-étienne
Histoire de Charlemagne et de son siècle. 6e édition
Tours, Ad. Mame et Cie 1847 In-12 18 x 10 cm. Reliure romantique de l’époque vert-émeraude, dos à nerfs encadrés de fers dorés, plats en cadrés d’un filet doré et gaufrés d’un décor doré et à froid, 282 pp., vignette en page de titre, 3 gravures hors texte sous serpentes dont le frontispice, table. Ex-libris autographe J.-P. Conil.
Référence libraire : 117406
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Delperrié de Bayac
Charlemagne
Lattès, coll. « Le Club Français du Livre » 1976 In-8 cartonné, pleine toile 22 cm sur 14. 335 pages + cartes en fin d’ouvrage. Jaquette en bon état. Bon état d’occasion.
Référence libraire : 118520
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Lubke, Heinrich
Charlemagne, oeuvre, rayonnement et survivances
1965 In-8 broché sous jaquette 21,6 cm sur 15,5. 32 p + 158 pl. Jaquette en état moyen. État correct d’occasion.
Référence libraire : 120682
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CALMETTE Joseph
Charlemagne, sa vie et son uvre.
Paris, Albin Michel, 1945 14 x 21, 318 pp., illustrations + 1 carte dépliante hors texte, broché non coupé, bon état
Référence libraire : 8366
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ARIOSTE
Roland Furieux.
Paris, Morizot, s.d. (fin XIXe) 16 x 25, 543 pp., cartonnage éditeur, bon état
Référence libraire : 4925
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JUSTE Théodore
Charlemagne. Bibliothèque Nationale.
Bruxelles, Alexandre Jamar, 1848. 11 x 18, 181 pp., gravures, broché, état moyen (couverture défraîchie, rousseurs).
Référence libraire : 31049
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GANSHOF François-L.
Charlemagne, discours. Institut des Hautes Etudes de Belgique, année académique 1935-1936.
Bruxelles, Imprimerie Médicale et Scientifique, 1936. 16 x 24, 10 pp., broché, bon état (couverture légèrement abîmée).
Référence libraire : 26765
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GERARD Jo et alii
Charlemagne, empereur des Belges. Collection : Belgia 2000, Toute l'histoire de Belgique, N° 27.
Bruxelles, J.-M. Collet, 1986. 11 x 18, 191 pp., quelques illustrations en N/B, broché, état neuf.
Référence libraire : 38260
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WARNKOENIG L. A. et GERARD P. A. F.
"Histoire des Carolingiens (mémoire couronné ), 2 volumes; tomes 1 et 2."
Bruxelles, Librairie Universitaire, de J. Rozez/Paris, Librairie de A. Durand, 1862. "14 x 22, 2 volumes, 386 + 454 pages, reliures dos cuir, état moyen (plats, bords et coins abîmés, mouillure au tome 1; cachets bibliothèque)."
Référence libraire : 43931
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RICHE Pierre
L'Empire carolingien VIIIe-IXe siècles. Collection : La vie quotidienne, civilisations et sociétés.
Paris, Hachette, 1994. 13 x 20, 385 pp., broché, couverture à rabats, très bon état.
Référence libraire : 84638 ISBN : 201235100
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VOLTAIRE (CHARLEMAGNE/Rives)
"Micromégas; histoire des voyages de Scarmentado, écrite par lui-même; Le blanc et le noir."
Paris, Les Voyages Fantastiques, LEstampe Moderne, 1945. 19 x 25, 109 pp., broché, non coupé, couverture rempliée, étui carton crème, très bon état (sauf quelques rousseurs, mais uniquement sur la couverture).
Référence libraire : 105.057
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BAUDELAIRE Charles. [CHARLEMAGNE Paul].
Poèmes. Compositions, bandeaux, lettrines et cul-de-lampe par Paul Charlemagne.
Monaco. Editions du Rocher. 1946. In-4° en feuilles sous couverture rempliée et sous papier cristal gaufré. 40 pages. Tirage à 550 exemplaires numérotés, tous sur pur fil Johannot.
Référence libraire : 3261
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SCHULTETUS Heinrich
Carolus Magnus, imperator romanus, discursu historico-politico exhibitus, quem.. praeside.. Joh.-Christfrido Sagittario, .. die [] mai .. examini M. Heinrich Schultetus
Ienae [Jena], excud. C.L. Kempffius 1650 [52] pp., 19cm., text in Latin, modern blind wrappers, rare dissertation on Charlemagne, G95508
Référence libraire : G95508
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Denis Charlemagne Lavoisier
Tous les chemins mènent au ciel
Paris, Regine Deforges, L'or du temps, 1971, in-8, Broché, 372 pages. Marque de mouillure sur la 4e de couverture. Intérieur bon.
Référence libraire : 36248
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Charlemagne Simplice Moukouta
Maladie mentale Représentations itinéraires thérapeutiques au Congo
Editions Paari 2004 Préface du professeur Evelyne Pewzner Broché 196 pages Bon état 249 g
Référence libraire : 0940
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Hubert, Jean, et al.
L'Empire carolingien
Gallimard Jaquette en très bon état Couverture rigide toile Paris 1968
Référence libraire : 18240
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BAKER (Georg Philip) -
Charlemagne créateur d'empire -
traduit de l'anglais par A. Lageix - Paris : Payot (Bibliothèque historique), 1936 - un volume 14,2x22,5cm broché sous couverture illustrée, 308 pages avec cinq croquis - légère pliure en première de couverture sinon bon état -
Référence libraire : 40010
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BULLOUGH (Donald) -
Le siècle de Charlemagne -
Paris, Albin michel, 1965. in-4, toile éditeur et jaquette, 211p. Table : L'Europe avant Charlemagne - L'apprentissage d'un roi - Ordo et justicia - Une cour de lettré et la renaissance du savoir - Les débuts de l'art et l'architecture carolingienne - De Rex francorum à Imperator - Un empereur franc et son empire. La fin d'un règne.Très bon état.
Référence libraire : 1970
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GAILLARD M. -
Histoire de Charlemagne précédée de Considération sur la première race et suivie de Considération sur la deuxième. -
Paris, Moutard, 1782. 4 vol in-12, cartonnage à dos orné, XXXVI- 397, 513, 500 & 224p. Ouvrage de référence sur Charlemagne. Edition originale.Exemplaire 18iéme, en vieux français donc. Très éparses et infimes rousseurs. Très bon état général.
Référence libraire : 3044
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FRANTIN J-M
Les Annales du Moyen Age
Depuis la Décadence de l'Empire Romain jusqu'à la Mort de Charlemagne. Paris 1825. 8 vol in-4 en demi-reliure romantique. Bon état.
Référence libraire : 4859
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WIDUKIND (755-810) - STURM Johann
Witichindi Saxonis - Beati Rhenani
Deux textes dans une même reliure de l'époque, vélin estampé à froid. Grand in-4.- Witichindi Saxonis rerum ab Henrico et Ottone I. impp. gestarum libri III, una cum aliis quibusdam raris et antehac non lectis diversorum autorum historiis, ab Anno salutis DCCC usque ad praesentem aetatem: quorum catalogus proxima patebit pagina. Huc accessit rerum scitu dignarum copiosus index. Froben, Basileae 1532. 393 pages.- Beati Rhenani Selestadiensis rerum Germanicarum libri tres, ab ipso autore diligenter revisi ,emendati, addito memorabilium rerum Indice accuratissimo. Quibus praemissa est Vita Beati Rhenani, à Ioanne Sturmio eleganter conscripta. Froben . Basileae, 1551. 206 pages.Ouvrage rare. Bel état. (quelques soulignures et notes anciennes à l'encre rouge).De la révolte des Saxons contre Charlemagne à l'amitié d'Erasme.
Référence libraire : 32693
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PIRENNE (Henri)
Mahomet et Charlemagne
1970, Paris. PUF. Collection Hier. Grd In-8. Br. Couv à rabats. IX + 218 p. + cartes. BE.
Référence libraire : 32931
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EGINHARD
Vie de Charlemagne.
Paris. Les Belles Lettres. 1981. Coll : Les Classiques de l'Histoire de France au Moyen Age. In-12. Br. 5ème édition. 128 p. TBE.
Référence libraire : 36682
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BAKER G-P.
Charlemagne Créateur d'Empire
Payot.1936.In-8 br,couv.illustrée.308 pages en partie non coupées.BE.
Référence libraire : 40761
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MORRISSEY Robert
L'Empereur à la Barbe Fleurie
Nrf.1997.In-8,couv.souple.437 p.Documents.BE.
Référence libraire : 42131
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PRETOT (Philippe de.)
Analyse Chronologique de L'Histoire Universelle depuis le Commencement du Monde,jusqu'à l'Empire de Charlemagne inclusivement.
Paris.1756.In-4 relié.377 p.Bel exemplaire en veau glacé.Armes écossaises sur les plats,non identifiées.Triple filet doré.Dos à 5 nerfs avec caissons décorés de chardons.Tranches dorées.
Référence libraire : 42762
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TOWER (Charlemagne)
Le marquis de La Fayette et la Révolution d'Amérique. Traduit de l'anglais par Madame Gaston Paris
1902 Paris, Plon-Nourrit, 1902-1903, 2 tomes en 2 volumes brochés, in-8 de (4)-V-468-(2) pp. ; (4)-516 pp. 2 portraits gravés en frontispices, entièrement non coupé, très frais, bel exemplaire.
Référence libraire : 20335
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HAAGEN Friedrich
Karls des Großen letzte Tage und Grab.
Aachen, Beaufort, 1866; 224 x 150 mm., 32 pp., reliure demi-percaline d'époque, page de titre déchirée sur 25 mm., ouvrage en "Fraktur".
Référence libraire : 2354
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