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DORE Gustave DORE Gustave & PISAN Héliodore
Charles Perrault, Contes, La Barbe bleue, "Ils lui passèrent leur épée au travers du corps" - Gravure originale sur bois debout, tirée sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande
- Hetzel, Paris 1862, planche : 29,9x42,1cm / sujet : 23,3x28,1cm), une feuille. - Gravure originale sur bois debout signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in-folio des Contes de Perrault en 1862. Piqûres en marge sans atteinte à la gravure. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DORE Gustave DORE Gustave & PISAN Héliodore
Charles Perrault, Contes, La Belle au bois dormant, "Il marcha vers le château qu'il voyait au bout d'une grande avenue où il entra" - Gravure originale sur bois debout, tirée sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande
- Hetzel, Paris 1862, planche : 29,9x42,1cm / sujet : 23,3x28,1cm), une feuille. - Gravure originale sur bois debout signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in-folio des Contes de Perrault en 1862. La marge est légèrement tachée dans le coin inférieur gauche sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DORE Gustave DORE Gustave & PISAN Héliodore
Charles Perrault, Contes, Le Chat botté, "Le Chat eut soin de s'informer qui était cet ogre" - Gravure originale sur bois debout, tirée sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande
- Hetzel, Paris 1862, planche : 29,9x42,1cm / sujet : 23,3x28,1cm), une feuille. - Gravure originale sur bois debout signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in-folio des Contes de Perrault en 1862. Très rares piqûres dans la marge en bas à gauche sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DORE Gustave DORE Gustave & PISAN Héliodore
Charles Perrault, Contes, Le Petit Poucet, "Le Petit Poucet grimpa en haut d'un arbre pour voir s'il ne découvrirait rien" - Gravure originale sur bois debout, tirée sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande
- Hetzel, Paris 1862, planche : 29,9x42,1cm / sujet : 23,3x28,1cm), une feuille. - Gravure originale sur bois debout signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in-folio des Contes de Perrault en 1862. Une pâle mouillure marginale, sans atteinte au dessin ainsi qu'une petit déchirure sans perte et sans atteinte à la gravure en bas et trou de ver en marge inférieure. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DORE Gustave DORE Gustave & PISAN Héliodore
Charles Perrault, Contes, Le Petit Poucet, "Une bonne femme vint leur ouvrir" - Gravure originale sur bois debout, tirée sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande
- Hetzel, Paris 1862, planche : 29,9x42,1cm / sujet : 23,3x28,1cm), une feuille. - Gravure originale sur bois debout signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in-folio des Contes de Perrault en 1862. Une pâle mouillure marginale, sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DORE Gustave DORE Gustave & PISAN Héliodore
Charles Perrault, Contes, Peau d'Âne, "La joie de se trouver si belle lui donna envie de s'y baigner, ce qu'elle exécuta" - Gravure originale sur bois debout, tirée sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande
- Hetzel, Paris 1862, planche : 29,9x42,1cm / sujet : 23,3x28,1cm), une feuille. - Gravure originale sur bois debout signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in-folio des Contes de Perrault en 1862. Pliure dans le coin inférieur droit et très rares piqûres. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Dorotheum (Hrsg.)
Kunstauktion 26. März 1993. Alte Reklame. Sammlung Karin und Heinz Träger. Teil 2
Dorotheum Auktionshaus. Wien 1993. Ca. 180 n. n. Seiten. Mit sehr zahlreichen farbigen Abbildungen. Farbig illustrierte Originalbroschur. (Geringe Gebrauchsspuren. Untere rechte Ecke teils gestaucht). 29x20 cm
Referencia librero : 144213
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Doré (Gustave)
Elaine.
français Dimensions de la feuille : 33,5 x 25,3 cm. Dimension de la gravure : 24,3 x 18,3 cm. Gravé par H. Robinson.
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DOUDELET Charles
"La châtelaine" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Octobre) 1897, sujet : 35x26cm, planche : 55x40,8cm, une feuille. - Rare lithographie originale exécutée par Charles Doudelet pour L'Estampe Moderne, série numéro 6 publiée en octobre 1897. Une des 50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers : le Chine. « Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures... » (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DOUDELET Charles
"La châtelaine" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Octobre) 1897, sujet : 35x26cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente. - Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Charles Doudelet pour L'Estampe Moderne, série numéro 6 publiée en octobre 1897. Une des 50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un texte de présentation ; et d'une autre serpente vierge. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée en couleurs sur le plus prestigieux des papiers : le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Doury Pascal, Richard Bruno:
L'amour en noir et blanc.
Galerie Lambiek, 1988. Affiche au format 50 x 70 cm.
Referencia librero : 3704
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DOUTRELEAU:
Venise - New York, galerie de Paris 1967.
Affiche, lithographie 50,5 x 75.
Referencia librero : 7797
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DOUZALS MARCEL.
AFFICHE. ELECTION AU CONSEIL GENERAL DU 19 JUILLET 1925. CANTON DE BRASSAC.
IMP DE L EMANCIPATION.. 1925. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Affiche pliée de 62 cm / 84 cm.. . . . Classification : 300-Affiches Divers
Referencia librero : R150147504
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DOUZALS MARCEL.
AFFICHE. ELECTION AU CONSEIL GENERAL DU 19 JUILLET 1925. CANTON DE BRASSAC.
IMP DE L EMANCIPATION.. 1925. Bon état. Affiche pliée de 62 cm / 84 cm.
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DOW, Arthur W. Dow Arthur W.
MODERN ART. Les Maitres de l'Affiche Pl. 36
0 Planche N°36, format 29 x 40 cm (toutes marges). Chromolithographie d'époque avec le timbre à sec de l'Imprimerie Chaix (Lugt 1777c). Notre exemplaire est une des très rares épreuves imprimées sur papier Japon, 2 toutes petites traces de punaisage sur chaque extrémité de la marge supérieure (Our plate is one of the few copies printed on Japanese paper. Original plate in good condition). LES MAITRES DE L'AFFICHE, prestigieuse publication d'art, éditée par l'atelier de lithographie Chaix, dont la parution s'étala de décembre 1895 à novembre 1900. Chaque livraison comportait 4 planches de reproduction en chromolithographie d'une remarquable qualité d'impression des plus belles affiches illustrées des grands artistes français et étrangers (auxquelles il faut ajouter 16 planches de lithographies originales offertes en prime aux abonnés). Lors de l'Exposition universelle de 1889, fut organisée la première exposition rétrospective dévolue à l'affiche, celle-ci devait valider la reconnaissance officielle d'appartenance de l'affiche au monde de l'art. Jules Chéret (1836-1932) y sera sacré '' Maître de l'affiche '', c'est aussi à cette date que Seurat commencera à collectionner les affiches de Chéret. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Referencia librero : 24160
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Dreisser, Cajetan
Künstlerzunft Nateswara. Das indische Fest! Schwabinger Brauerei.
München, Druckerei A. Ebner, o. J. (1928). Farb. lithogr. Plakat (120 x 84 cm).
Referencia librero : 65903
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Dress, Evelyn.
Pas d'amour sans amour
Referencia librero : LCI-1728
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DRIAN Etienne
Costumes parisiens. Grand manteau de chinchila (pl.25, Journal des Dames et des Modes, 1912 n°14)
- s.n., Paris 1912, 14x22,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue : Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare : « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie. Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DRIAN Etienne
Costumes parisiens. Robe de linon de fil (pl.98, Journal des Dames et des Modes, 1913 n°42)
- s.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue : Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare : « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie. Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DRIAN Etienne
La Marseillaise (La Gazette du Bon ton, n°8-9. Été 1915 )
- Lucien Vogel éditeur, Paris 1915, 19x24,3cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de
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DRIAN Etienne
Que vas-tu faire ! Robe du soir, de Worth. (La Gazette du Bon ton, n°6. Année 1920 - Planche 46 )
- Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de
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Droese, Felix
Alles Falsch. 1990. [Signiertes Ausstellungsplakat / signed exhibition poster].
o.J. Felix Droese (eigentlich Klaus Felix Droese), geboren am 19. Februar 1950 in Singen/Hohentwiel.
Referencia librero : 10717DB
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DRUILLET (Phillippe).
Paris deux Fous. Hommage de Druillet à Doisneau.
Lithographie originale. Sans mention d'éditeur. 1995. Dimensions: 61,5 x 54 cm. Tirée à 200 exemplaires. Signée par l'artiste à la mine de plomb.
Referencia librero : 666
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DRUILLET (Phillippe).
Paris deux Fous. Hommage de Druillet à Doisneau.
Lithographie originale. Sans mention d'éditeur. 1995. Dimensions: 61,5 x 54 cm. Tirée à 200 exemplaires. Signée par l'artiste à la mine de plomb.
Referencia librero : 666
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Druillet Philippe (né en 1944)
THE CRAMPS
1980 633x418mm THE CRAMPS (1975-2009)Philippe Druillet (né en 1944)AffichetteLithographie offset en couleurs 633x418mmDédicace et dessin original signé dans la marge inférieure « Pour Denis amitiés cosmiques et brocanteuses et sincères. Juin 80 » (104273)
Referencia librero : 104273
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Druillet Philippe:
[Le pont sur les étoiles]. Triptyque.
Triptyque collé sur un panneau renforcé par des baguettes de bois, entourage de scotch noir, quelques minimes accrocs et défaut. Format imposant de 1 mètre 50 sur 70 centimères.
Referencia librero : 9963
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Druillet Philippe:
Les trois âges de l'image. Etiquette signée.
1983 Etiquette de cognac, avec 2 bandeaux.
Referencia librero : 2537
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Druillet Philippe:
Sloane. Sérigraphie numérotée, signée.
P.M.J. Sérigraphie originale sur vélin d'Arches, au format de 40 x 50 cm.
Referencia librero : 21887
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Druillet Philippe:
Sérigraphie originale signée et numérotée.
1983. Sérigraphie au format 56 x 76 (feuille), tirage limité, un des 120 exemplaires numérotés et signés par l'artiste, la nôtre numéro 60. Pas tout à fait neuve, mais peu s'en faut (voir image).
Referencia librero : 208
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Druon Maurice, Tardieu Jean-Luc, Sauget Henri (musique):
Tistou les pouces verts. Opéra pour enfants (2).
Onex, UCE, sans date. Affiche au format 50 x 70 cm., avec quelques traces de plis.
Referencia librero : 10114
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Druon Maurice, Tardieu Jean-Luc, Sauget Henri (musique):
Tistou les pouces verts. Opéra pour enfants.
Onex, UCE, sans date. Affiche au format 80 x 55 cm., trous de punaises aux coin, infimes accrocs en bords.
Referencia librero : 10113
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DUBARRY Dominique
100 ans d'affiches automobiles. 100 years of auto-posters.
P;, Maeght, 1990. In-8 carré, 96 pp., nombreuses reproductions en couleurs, br.
Referencia librero : LA9
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DUBOUT
AFFICHES
EDL. 2001. In-4. Relié. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 163 pages. Photo en couleur en frontispice. Dessin en noir et blanc en page de titre. Illustré de nombreuses reproductions en couleur.. . . . Classification Dewey : 741.67-Illustrations des affiches
Referencia librero : RO40098663
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DUBOUT
Affiches
1985 Editions Michèle Trinckvel - 1985 - In-4, plein maroquin noir, reproduction de la signature de Dubout sur le premier plat en doré, titre au dos, sous emboîtage rouge cartonné - 163 pages - Très nombreuses illustrations en couleurs hors-texte - Exemplaire numéroté constituant l'édition originale, N°148/1000
Referencia librero : 122671
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DUBOUT
AFFICHES
ISBN : 2843083214. EDL. 2001. In-4 Carré. Relié. Très bon état. Couv. convenable. Dos satisfaisant. Intérieur frais. 163 pages. Photo en couleur en frontispice. Dessin en noir et blanc en page de titre. Illustré de nombreuses reproductions en couleur. Les affiches de Dubout nous invitent à participer au Tour de France qu'accomplit ce génial compagnon durant près d'un demi-siècle...
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Dubout
Affiches Dubout.
Paris Michèle Trinckvel 1993, in-4, 165 pages. Cartonné illustré éditeur.
Referencia librero : DZN-460
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DUBOUT
Affiches.
Editions Michèle Trinckvel. 1985. In-8. Cartonné. Nombreuses représentation d'affiches. 163 p. BE.
Referencia librero : 37955
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DUBOUT (Albert) - (Affiche publicitaire).
Aluctyl
S.l.n.d. (circa 1950). 1 buvard publicitaire [135 x 205 mm], en couleurs.
Referencia librero : 21231
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DUBOUT (Albert) - (Affiche publicitaire).
Mazda. "A la ville, à la campagne".
S.l.n.d. (circa 1950). 1 buvard publicitaire pour Mazda [135 x 205 mm], bichromie bleu et rouge.
Referencia librero : 21230
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DUBOUT (Albert) - (Affiche publicitaire).
Mazda. "A la ville, à la campagne". Jeu concours n° 2.
S.l.n.d. (circa 1950). 1 buvard publicitaire pour Mazda [135 x 205 mm], bichromie bleu et rouge.
Referencia librero : 3902
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DUBOUT (Albert) - LOTERIE NATIONALE.
3 affiches. Elle avait si peur d'oublier d'acheter son billet de la Loterie Nationale
P., SEDEC, (Imp. J. Simon), 1956 ; 59 x 40 cm. Entoilées. Très bel état.
Referencia librero : 10042
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Dubout Albert
Albert Dubout 1905/1976 - Affiches
DE LODI / EDL. 2001. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 163 pages abondamment illustrées de planches en couleur. . . . Classification Dewey : 741.67-Illustrations des affiches
Referencia librero : RO20264204
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DUBOUT Albert
DUBOUT - AFFICHES.
Editions Michèle Trinckvel Paris 1993 In-4 carré ( 280 X 215 mm ) de 163 pages, cartonnage illustré en couleurs. Nombreuses reproductions en couleurs hors-texte. Très bel exemplaire.
Referencia librero : 399076
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DUBUFE Guillaume
L'Estampe Moderne. L'Enfant. Lithographie Originale
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris 1899, 30x40cm, une feuille. - Lithographie originale en couleur exécutée spécialement par l'artiste pour l'Estampe Moderne. Epreuve tirée sur vélin fort protégé par une serpente imprimée, timbre sec de l'éditeur en marge inférieure. Signature de l'artiste dans la planche. Très bel exemplaire. Lithographie inspirée de "La Maison d'exil" d'Edmond Pilon dont un extrait est reproduit sur la serpente de l'estampe. Editée par Ch. Masson et H. Piazza, les deux années de l'Estampe Moderne constituent une des plus belles réalisations lithographiques de l'époque. Chaque estampe est une oeuvre originale réalisée spécialement pour la revue par les plus grands artistes français et étrangers représentant des courants Symbolistes, Art Nouveau, Orientalistes et "Belle Epoque". [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DUBUFE Guillaume
L'Estampe Moderne. L'Enfant. Lithographie Originale
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris 1898, 30x40cm, une feuille. - Lithographie originale en couleurs exécutée spécialement par l'artiste pour l'Estampe Moderne. Epreuve tirée sur vélin fort protégée par une serpente imprimée, timbre sec de l'éditeur en marge inférieure. Signature de l'artiste dans la planche.Très bel exemplaire. Lithographie inspirée du poème "La Maison d'Exil" d'Edmond Pilon dont un extrait est reproduit sur la serpente de l'estampe. Editée par Ch. Masson et H. Piazza, les deux années de l'Estampe Moderne constituent une des plus belles réalisations lithographiques de l'époque. Chaque estampe est une oeuvre originale réalisée spécialement pour la revue par les plus grands artistes français et étrangers représentant des courants Symbolistes, Art Nouveau, Orientalistes et "Belle Epoque". [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DUBUFFET (Jean)
Coucou Bazar.
Impression en lithographie. S. M. I. Paris. 1973. Exposition au Grand Palais. Dim: 68 x 52, cm.
Referencia librero : 1866
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DUBUFFET (Jean)
Coucou Bazar.
Impression en lithographie. S. M. I. Paris. 1973. Exposition au Grand Palais. Dim: 68 x 52, cm.
Referencia librero : 1866
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DUBUFFET (Jean).
"Course la Galope".
Paris L'Atelier Eric Seydoux 1976 Affiche sérigraphiée en 5 couleurs, New York, Pace Editions Inc., Paris, L'Atelier Eric Seydoux, 1976, 90 x 67 cm.
Referencia librero : 24531
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DUBUFFET (Jean). AFFICHE ORIGINALE.
Jean Dubuffet. Musée des Arts Décoratifs, Paris, Musée des Arts Décoratifs, décembre 1960 à février 1961.
Affiche lithographique, 72 x 50 cm, Impr. Mourlot Paris. (Webel 771). Petits défauts.
Referencia librero : 16406
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DUBUFFET, Jean.
Les gens sont bien plus beaux qu'ils croient Vive leur vraie Figure, à la Galerie René Drouin, 17 Place Vendôme. Portraits à ressemblance extraite, à ressemblance cuite et confite dans la mémoire, à ressemblance éclatée dans la mémoire de Mr Jean Dubuffet, peintre, du 7 au 31 Ocotbre 1947.
Affiche sous forme de Journal pour l'Exposition du 7 au 31 Octobre 1947 de Dubuffet à la Galerie DROUIN : Affiche dépliée de 54,5x43,5 cm. Trace de pliure, sinon bon état.
Referencia librero : 104826
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