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Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte
Donnez moi la première chose venue Lithographie sur blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 11 octobre1832 (Planche n°208)- Lithographie,pli central - ŒuvreHauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 24.6cmx Largeur: 18.4cm - Titre en bas au centre : « Donnez moi la première chose venue » ; légende plus bas au centre : « (La scène se passe chez le Pharmacien royal. – il s’agit // de composer un remède.) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°101) », en ht à dte : « Pl. 208. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « JJ. G. E. F. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Dans le coin inf gche, deux bouteilles de « SUCS // PROTOCOLES », et un bouquet d’herbes dans un sachet portant l’inscription : « DORMITIFS ». Sur le mur du fond, à gche, un « BAROMETRE » de l’ « Enthousiasme » portant les mesures : « République », « Glace », « Froid », « Temperé [Tempéré] », « Chaud », « à son comble ». Un petit garde national, bras droit tendu sur le côté, sert d’indicateur. Sur les bocaux rangés sur les étagères au fond : de « huile // d’Amendes // Douces » contenant une amende de « mille francs », du « Medium » contenant une poire, une « Liste Civile // 1832 », de l’ « OR », du « Dupinium // Sel neutre » contenant la figure de Dupin, de l’« Ex-Carbonaro » contenant le buste de Barthe, du « Sel Marin // neutralisé », de l’ « Eau des os », du « Sulfate d’oxygène // Désoxigéné [Désoxygéné] » contenant le baron Louis de profil en pied maintenant un portefeuille (portant l’inscription « FINANCE » sous son bras), du « Vernis Copal » contenant d’Argout de profil en pied maintenant aussi un portefeuille, du « Broglium // Aristocratisé » (duc de Broglie), du « Guizotinium // Caput mortum » (Guizot). Sur la table, d’autres bocaux de « Graine // de lin », de « Mars oxidé [oxydé] », de l’ « Extrait // de // Mercure » contenant une petit figure de Thiers, de l’ « Huile // Essencielle [Essentielle] // d’Alsace » (Georges Humann), et un billet de « PILULE [PILULES] DOREES ». Une poire en guise de bouchon ferme la fiole de la « Potion selon // la Formule » de la « PENSEE // DU 13 // MARS » (ex-gouvernement de Périer). Sous la table sur laquelle repose cette fiole, se trouve un alambic contenant du « Residu [Résidu] // de l’Etat // de Siege [Siège] ». Non loin est posé par terre un récipient d’ « Essence // Légitimité ». Sur le flanc de la table de préparation sont placardés les uns sur les autres des billets : « Ordonnance // Octtob […] [Octobre] 1832 », « Police // Dissolution », « AMENDES // PRISON »
Referência livreiro : 25639
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Grandville
MOYENS COERCITIFS Employés définitivement et sans remise contre la citadelle d’Anvers, après négociations, notifications, ratifications, sommations et mystification sans solution.Lithographie double coloriée sur blanc- Hand-coloured lithograph,.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 13 décembre 1832 (Planche n°227-228)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 52.9cm - Image: Hauteur: 22cmx Largeur: 40cm - Titre en bas au centre : « MOYENS COERCITIFS » ; légende plus bas au centre : « Employés définitivement et sans remise contre la citadelle d’Anvers, après négociations, notifications, // ratifications, sommations et mystification sans solution. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N° 110. », en ht à dte : « Pl. 227 et 228. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, sur le dossier d’un fauteuil, à gche, signature : « JJG » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur]
Referência livreiro : 25640
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Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte
à la source des douceurs- Joujous politiques de la maison Philipon.Lithographie double coloriée sur blanc- Hand-coloured lithograph,.
Planches parues dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 27 décembre 1832 (Planches n°232 et 233)- Lithographie - Œuvre Hauteur: 35.8cmx Largeur: 53.8cm - Image: Hauteur: 31.9cmx Largeur: 51.1cm - [sans titre] ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°112. », en ht à dte : « Pl. 232 et 233. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche de chaque vignette, signature : « JJG EF » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Une étiquette décorée de petites poires aux angles indique le nom de la boutique, dont l’emblème est une poire: « à la Source des douceurs », l’adresse : « Galerie Véro Dodat. » et la liste de ce qu’elle propose aux clients : « PHILIPPON ET COMPAGNIE, // fournisseurs de toutes les Maisons Royales // Tiennent assortiment complet de joujoux politiques et autres // Rébus, pistolets et Balles de Chocolat, princes, pouparts, // Pantins, Polichinelles en papier maché [mâché], fusils et sabres de pain // d’épices pour étrennes fêtes anniversaires. Ils font // des envois dans les Départemens [départements] et à l’Etranger. ». Une seconde étiquette mentionne les destinataires de la pl. « Offert a [à] M.M. les Abonnés » ainsi que le nom des artistes (les principaux contributeurs de la Caricature) de la part de qui est réalisé ce cadeau : « par // M.M. Auguste Dep. [Auguste Desperet ?], Bouchot [Frédéric Bouchot], Bouquet [Auguste Bouquet], David [Jules David], Daumier [Honoré Daumier], // Decamp [Alexandre-Gabriel Decamps], Fontalard, Forest [Eugène Forest], Francis, Grandville [Jean-Jacques Grandville], Julien, Le P… [Le Poittevin] // M… Monnier [Henry Monnier], Numa [Pierre Numa Bassaget ?], Philipon [Charles Philipon], R… Travies [Charles-Joseph Traviès], Vattier. etc. etc. etc. »
Referência livreiro : 25641
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Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte
Sopranos. Rondo allegretto con brio - An-vers prends garde, An-vers prends garde, car nous t’a-bat-trons bien.... Lithographie double coloriée sur blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 22 novembre 1832 (Planche n°225-226)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 52.2cm - Image: Hauteur: 28.1cmx Largeur: 46.3cm - Titre en bas au centre (paroles autour d’une partition de musique) : « Sopranos. Rondo allegretto con brio // An-vers [Anvers] prends garde, An-vers prends garde, car nous t’a-bat-trons [abattrons] bien. », « barytons // et basses-tailles // nous n’a-vons [avons] garde, nous n’a-vons garde, car nous nous te-nons [tenons] bien. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°109. », en ht à dte : « Pl. 225. 226. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue childebert n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, parmi les graffitis présents sur le monument central, signatures : « JJG EF » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe], et « ohé Forest ! » [Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sur le sac tenu en bandoulière sur l’épaule de d’Argout : « Ecole de // DESSIN » ; sur le fond de pantalon de Louis-Philippe, la représentation d’un texte titré « PROGRA […] PROGRAMME », évocation du programme de l’hôtel de ville sur lequel Louis-Philippe s’est assis, au sens propre dans la pl., comme au sens figuré tel qu’il est dénoncé par le caricaturiste ; Guizot porte un petit ouvrage en badoulière, duquel dépasse une feuille avec l’inscription « DOCTRINE » ; sur le grand monument autour duquel les hommes tournent : « CE MONUMENT // A ETE ERIGE // EN MEMOIRE DE LA GRANDE VICTOIRE // QUI SERA REMPORTEE // PAR L’ARMEE FRANCAISE SUR LES HOLLANDAIS // 15 NOV. 1832 » ; parmi les graffitis présents sur le monument central : « Credeville // voleur », « phi phi philipon », l’esquisse du portrait de d’Argout vu de profil avec un nez démesuré, une poire couronnée de lauriers, une poire à l’envers avec des ailes de chérubin (Louis-Philippe), une autre poire, plus grosse. En bas à dte, un graffiti caricaturant sans doute le duc d’Orléans vu de profil, et une autre figure, schématiquement tracée, représentant une tête casquée de profil (sur un corps sommairement dessiné)
Referência livreiro : 25642
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Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte
Poulaupair gargotier restaurateur successeur de Charlot, Rue de Rivoli Lithographie sur blanc.
Planche numérotée 229, publiée dans le journal la Caricature n°111 du 20 décembre 1832- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 26.4cmx Largeur: 35.5cm
Referência livreiro : 25643
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Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte
Il faut céder à l’octroi et comment s’en dé-fen-dre [défendre] Lithographie sur blanc.
Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 13 septembre 1832 (Planche n°199) - Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19.7cmx Largeur: 29.7cm - Titre en bas au centre, sous une portée musicale : « Il faut céder à l’octroi et comment s’en dé-fen-dre [défendre] »; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal.) // (N°97.) », en ht à dte : « Pl. 199. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, sur la pancarte du bar, signature : « E.F.J.G. » [Eugène Forest, lithographe, et Jean-Jacques Grandville, dessinateur]Inscription - Sur la pancarte du bar, annonce du prix du vin : « VIN // à // 15 // 6 [barré] Sols // le litre » ; sur le sachet tenu par l’homme en train de manger à gche : « VIANDE // A LA // main » ; sur le baril tenu par un cuisinier : « Impôt sur // l’huile commune » ; sur la botte de paille : « IMPÔT // sur // le Foin » ; sur le pantalon de la personnification de l’octroi : « OCTROI // 1832 » ; à dte sur l’engin du paysan et sur le cochon : « IMPOSE » ; sur le bœuf : « SUR IMPOSE » ; sous les mains d’un enfant : « POUSSIERISME »iconographie:Observations : cf. explication p. 775 ; description, analyse : la personnification de l’octroi, de face, au premier plan : un être aux longues canines, aux ongles fourchus, et à la panse bien pleine. Il étend les bras sur des représentants du peuple. A gche, des hommes buvant et mangeant. A dte, des paysans, ainsi qu’une mère de famille assise par terre avec ses quatre enfants. Tous ont l’air effrayé de voir le monstre de l’octroi. La pl. dénonce la politique du gouvernement qui tend à imposer l’octroi sur toutes les marchandises, y compris celles de première nécessité (comme celles qui sont présentées dans la pl.), entraînant ainsi un appauvrissement considérable des masses populaires. D’après l’explication, il n’est qu’un moyen pour résister au pouvoir de l’octroi qui affaiblit surtout les pauvres gens: « c’est de faire fortune ». L’octroi participe à l’appauvrissement des plus miséreux, tandis qu’il n’handicape que très peu les privilégiés : en cela, « l’octroi est un digne soutien de la meilleure des républiques » (in explication), désignant ainsi ironiquement la monarchie de juillet et son injustice.
Referência livreiro : 25644
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Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte
La marche de Gros Gras et Bête et Suite et fin de la marche de gros Gras et Bête [planche double]. 3 planches doubles / [quatre planches doubles]. (Titre de l'ensemble) Lithographies sur blanc.
1832 Planche double, numérotée 145 et 146, d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°72, du 15 mars 1832. Feuille double page, conservée pliée avec Planche double, numérotée 149 et 150, d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°74, du 29 mars 1832.et Feuille double page, Planche double, numérotée 151 et 152, d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°75, du 5 avril 1832. Feuille double page, La marche de Gros Gras et Bête [quatre planches doubles]. (Titre de l'ensemble) - LithographieDimensions - Œuvre Hauteur: 36.5cmx Largeur: 54.5cm- Planche double, numérotée 145 et 146,149 et 150,151 et 152 - d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°72, du 15 mars 1832. Feuille double page, conservée pliée, gravure à l'intérieur
Referência livreiro : 25645
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Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte
E'lèvement des immondices - Lithographie sur velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique volume 4, 25 octobre1832 (Planche n°211)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 24.5cmx Largeur: 20.6cm - Titre en bas au centre : « Elèvement des immondices » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°103. », en ht à dte : « Pl. 211. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, r. Childebert, 9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie Véro-Dodat. » ; dans l’image, en bas à gche, signature : « G. F. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sous le pied droit du roi, deux feuilles avec inscriptions : « 60 » pour l’une, et « la v’la la grande // Ordonnance // qui vient de // paraitre // tout à l’heure » pour l’autre ; sous les pieds de d’Argout, deux feuilles avec inscriptions : « Exposition // Annuelle » pour l’une, et « BEAUX ARTS » pour l’autre ; aux pieds de Soult, deux feuilles avec inscriptions : « Circulaire » pour l’une, et « ETAT DE SIEGE » pour l’autre.iconographie:La table des matières du 4e vol. de "La Caricature" apporte une précision au titre : « (Promotion des 60 pairs) ». Louis-Philippe, à gche, pousse avec un balai vers la pelle de d’Argout des figurines représentant les pairs de France prêts à être jetés dans la charrette qui les emmènera vers le « PALAIS DU LUXEMBOURG ». Soult, à dte, en jette quelques-uns avec sa pelle. Les hommes sont habillés en charetiers. Une poire se trouve dans le coin inf. droit. La pl. dénonce la nomination de soixante pairs de France. Le titre joue sur la ressemblance entre les mots « enlèvement » et « élèvement ».Personnages représentés:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français
Referência livreiro : 25646
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Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte
Mon cher, je voudrais bien avoir un joli bouquet bien fourni, pour souhaiter la bonne année a mes bons Cousins, Nicolas François et Guillaume. Lithographie sur blanc. Lithographie sur blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 20 décembre 1833 (Planche n°343)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27.2cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 17cmx Largeur: 21.4cm - Titre en bas au centre : « Mon cher, je voudrais bien avoir un joli bouquet bien fourni, pour souhaiter la bonne année a [à] mes bons // Cousins, Nicolas François et Guillaume. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°163. », en ht à dte : « Pl. 343. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « JJ G. AD. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Auguste Desperet, lithographe]Inscription - Le parasol porte deux feuilles collées pourvues d’inscriptions : « REQUIS […] [REQUISITION] », « ATTENTAT // HORRIBLE // 1832. » (référence à l’attentat du 19 novembre 1832. La Caricature (comme bon nombre de journaux d’opposition), était persuadé que cet attentat avait été monté de toutes pièces par le gouvernement. Ainsi la présence de cette référence va dans le même sens que la dénonciation du « procès des 27 »)Description iconographique:Non loin des Tuileries (une grille royale surmontée d’un blason en forme de poire couronnée se trouve à l’arrière-plan à gche), un fleuriste, sous les traits de Persil habillé en magistrat, a installé son échoppe dont on peut lire le nom sur le mur à dte : « AU BOUQUET DE PERSIL // Paircy Fleuriste De la Couronne ». Devant sa boutique, dehors, sous un parasol, il est occupé à confectionner des bouquets. Le roi Louis-Philippe, portant un énorme manteau par-dessus sa redingote, un parapluie et un chapeau haut de forme décoré de la cocarde tricolore dans les mains, s’approche du fleuriste pour lui passer une commande : souhaite-t-il offrir un bouquet à ses cousins à l’occasion de la nouvelle année ? Certainement pas selon l’explication. Le roi est plutôt intéressé par les bouquets contenant les têtes des vingt-sept accusés que Persil prépare. En effet, les bouquets que prépare Persil sont particuliers, puisqu’il ne s’agit pas de fleurs, mais de têtes d’hommes emballées dans des cornets en papier. Celui auquel il est affairé est un des bouquets des « 27 », dans lequel déjà deux têtes sont en place ds le groupe de gche, et trois dans le groupe de dte. Trois autres sont sur le point de les rejoindre. C’est à l’aide de sa petite scie (à l’apparence d’une guillotine miniature) pendant à son bras au bout d’un fil, que Persil a découpé les têtes. D’autres bouquets, dans des pots, entourent le fleuriste. La pl. dénonce ainsi les mesures de répression menées par le gouvernement, qui procède à des accusations que La Caricature juge injustifiées. Et la pl. a plus particulièrement pour sujet le « procès des vingt-sept ». Il s’agit d’un procès intenté à vingt- sept membres de la Société des Droits de l’Homme. Ils comparurent devant la Cour d’Assises. Ils étaient accusés d’avoir formé, lors du troisième anniversaire des journées de juillet 1830, un complot contre la sûreté de l’État. Ils furent finalement acquittés. Persil fut celui qui dressa l’acte d’accusation. Les débats prirent fin le 22 décembre 1833. La pl. dénonce les accusations, qu’elle juge non fondées, portées contre l’opposition républicaine. Dans la pl. en outre, il y a une référence à Lobau sur l’arrosoir posé à gche, puisque le goulot a la forme d’une seringue à clystère et la panse porte la mention « INVENTI […] [INVENTION] // LANCELOT ». Pour une pl. usant de la même thématique du bouquet, cf. pl. 197 du numéro 96 (6 septembre 1832).Personne / Personnage représenté:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français
Referência livreiro : 25647
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Grandville , dessinateur-lithographe - Julien, Bernard-Romain, dessinateur-lithographe
Ecritoire monarchique . Lithographie sur blanc.
Planche numérotée 298, publiée dans le journal la Caricature n°142 du 25 juillet 1833- Lithographie,taches en marge - Œuvre: Hauteur: 27.2cmxLargeur: 36.1cm
Referência livreiro : 25648
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Grandville , dessinateur - Attribué à Julien, Bernard-Romain
Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ; Mieux vaudrait un sage ennemi - Lithographie sur blanc.
Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 16 août 1832 (Planche n°191- Lithographie - Œuvre:Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 22cmx Largeur: 28.8cm - Titre en bas au centre : « Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ; // Mieux vaudrait un sage ennemi. » ; légende plus bas à dte : « (L’ours et l’amateur de jardins. Lafontaine.) » ; indications, en ht à gche : « La Caricature (Journal) // (N°93) », en ht à dte : « Pl. 191. » - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « Grandville et Julien » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Bernard-Romain Julien, lithographe ?]Inscription - Sur la pierre tenue par l’ours : « Procès », « Saisies » ; sur les ailes de la grosse mouche : « Caricature », « Journal » ; sur les liasses de papier sur lesquelles s’est endormi le roi : « Protocole 7 », « Protocole 9999 »Description iconographique:Observations : cf. explication de la pl. p. 742 et l’article « VINGT ET UNIEME SAISIE » p. 739. Parodie de la fable de La Fontaine "L’ours et l’amateur des jardins", dans laquelle un ours assomme un vieillard endormi avec une pierre alors qu’il voulait simplement tuer une mouche. La pl. dénonce les moyens répressifs considérables déployés par le gouvernement (saisies, procès) à l’encontre de certaines pl. (en l’occurrence, il s’agit de la pl. 187 du numéro 92 de La Caricature). Ici, dans un jardin, au premier plan à dte, l’ours incarne le mandat Zangiacomi qui permit la saisie de plusieurs numéros de La Caricature. A bout de bras, il tient une pierre en l’air, qu’il s’apprête à jeter sur la mouche incarnant le journal La Caricature, posée sur un homme endormi par terre, le roi Louis-Philippe. Ce dernier est reconnaissable à sa coiffure (toupet), au parapluie et au chapeau à cocarde tricolore disposés à dte de la composition. La pl. tente d’expliquer que les saisies de pl. de La Caricature jouent finalement contre le roi, puisqu’elles tendent à en faire la publicité, à populariser des motifs inventés par le journal qui serait passés presque inaperçus sans cela. L’explication rappelle le succès populaire rencontré par les poires dessinées par Philipon lors d’une séance de son procès. Ainsi, les saisies sont jugées irresponsables puisqu’elles contribuent à détruire l’image du roi des Français, bien plus que l’image caricaturale en elle-même.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français
Referência livreiro : 25649
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Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur- Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste
Hé bien ! vous devez être content ?..... ça marche…..je n’en descends pas mal ! – Oh ! il y en a encore diablement qui m’inquiètent !.....Lithographie coloriée sur blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 3 juillet 1834 (Planche n°401)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 22cmx Largeur: 25.8cm - Titre en bas au centre : « hé bien ! vous devez être content ?..... ça marche…..je n’en descends pas mal ! // – Oh ! il y en a encore diablement qui m’inquiètent !...... » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal). N°191. », en ht à dte : « Pl. 401. » - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur]Inscription - Sur le dos des livres rangés dans la bibliothèque, à dte, des titres : « police », « FORTIFICATIONS » (référence à la volonté du gouvernement d’encercler Paris de forts afin de protéger la ville. Cette idée fut vivement contestée par l’opposition qui y vit un moyen pour le pouvoir d’emprisonner les Parisiens dans leur ville), « VIDOCQ » (certainement les Mémoires de Vidocq, chef de la police de Sûreté, jusqu'en 1827 par Eugène-François Vidocq), « HISTOIRE », « L’AVARE » (de Molière, en référence à la cupidité du roi Louis-Philippe), deux vol. sur « MANDRIN » et « CARTOUCHE » (deux célèbres brigands du XVIIIe siècle). Enfin, un autre livre porte sur la quatrième de couverture le nom de l’auteur du Prince « MACHI // AVEL [MACHIAVEL] ». Les autres ouvrages ne portent pas de titre. La frise décorative sup. de la bibliothèque comporte des motifs de poires encadrant une petite cassolette. L’ouvrage posé sur la chaise à dte, sous laquelle repose un coffre, est le registre « DES // BUDJETS [BUDGETS] ». Enfin, gisent à terre au premier plan à dte des papiers épars portant les titres : « RAPPORT // DE // POLICE », « JOURNAL DEP […] [DEPARTEMENTAL] »
Referência livreiro : 25650
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Roubaud, Benjamin (dit Benjamin)
La France traine [traîne] son boulet - Lithographie sur blanc-
1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 27 décembre 1833 (Planche n°345)- Lithographie sur blanc- Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 18cmxLargeur: 28cm - Titre en bas au centre : « La France traine [traîne] son boulet. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) 164. », en ht à dte : « Pl. 345. » Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie vero dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur],pli à gauche,sinon bon.
Referência livreiro : 25651
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Grandville & Julien.TALLEYRAND
Gare les Quilles (bewarethe skittles)
1832 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No 93. Pl[anche] 189. [Paris] Becquet for Maison Aubert [16 August 1832]. Lithograph. Overall paper size: 21.3 × 32.6cm.; caricature de Grandville et Julien, parue sous le n° 93 dans le journal La Caricature, le 16 août 1832. Talleyrand est à terre , pour "ramasser et remettre en place " les souverains et les princes européens que la "Liberté", invisible ici, s'apprête à faire tomber. C'est don Miguel, roi du Portugal, que le diplomate tient dans sa main droite. A demi caché, le jeune duc d'Orléans, fils aîné du roi Louis-Philippe.Satirical print showing an allegory of Liberty fighting against the monarchical principle by attempting to upset the political arena with a revolutionary bowl. Her opponent in the ‘bowling alley’, a barren hillside outside a castle, is the seasoned diplomat Talleyrand, who is sitting on the ground facing her, his crutch visible to the right. The skittles are miniature images of European princes; King Louis Philippe is recognizable from behind in the centre of the print, and half-hidden in front of him, is his eldest son, the young Ferdinand-Philippe Duc d’Orleans. Supporting himself with his left hand, Talleyrand has restored to its place the diminuative effigy of Dom Miguel I, the auto- cratic young ruler of Portugal, with his right hand.A vitriolic caricature of all members of the July Monarchy govern- ment, mocking its repression of the opposition, and its weak foreign policy. Louis Philippe, represented as a fat, effeminate king wearing a toga, is accompanied by a decadent family and scheming, corrupt ministers. The composition is dominated by Talleyrand to the left who is portrayed as Vulcan, forging chains and protocols. He is sitting on netting with which he ensnares the world; a fleur-de-lys is tattooed on his right forearm; his orthopaedic shoe is on the correct foot and his crutch is partly buried under documents to his right.
Referência livreiro : 24403
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Forest] E. & J. Grandville -TALLEYRAND - Forest, Eugene Hippolyte
Les faux dieux de l’Olympe.
1832 Planches HT parues dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 20 septembre 1832 (Planches n°200 et 201)La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature (Journal) No.98. [Paris] Becquet for Maison Aubert [22 September 1832] Lithograph. 32.7 × 52.3 cm.Talleyrand est Vulcain forgeant des chaînes et des protocoles ; il est assis sur les filets dont il entortille le monde... Une fleur de lys est tatouée sur le bras droit. Titre en bas au centre : « LES FAUX DIEUX DE L’OLYMPE. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°98) », en ht à dte : « Pl. 200, 201. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « E.F.J.G. » [Eugène Forest, lithographe, et Jean-Jacques Grandville, dessinateur]Inscription - Une fleur de lys tatouée sur le bras droit de Talleyrand ; sur les poteaux à gche : « TRAVAI […] [TRAVAIL] // PUBLIC », « ROUTE // des // BEAUX // ARTS » (charges ministérielles incombant à d’Argout)Assemblée des membres du gouvernement de Juillet, travestis en dieux de l’Olympe ou personnifications de concepts. Au premier plan, de gche à dte : Thiers en Mercure volant, un petit putto aux yeux bandés représentant le Juste-Milieu tenant un carquois contenant les « TRAITS LOURDS » des journaux favorables au gouvernement (« MONITE […] [MONITEUR] », « NOUVELL […] [NOUVELLISTE] », « [JOURNAL DES] DÉBATS »), une Vénus entourée de sacs d’or, de décorations (épaulettes, croix d’honneur, écharpes…). Elle tient, de plus, sur ses genoux, de petites statuettes (Némésis et sans doute le Figaro, c'est-à-dire les deux journaux naguère d’opposition, et servant ensuite le gouvernement, lequel a acheté leur silence avec de l’argent). Le baron Louis, dans l’ombre, représente l’Avarice, posant ses pieds crochus sur un sac d’or. Au deuxième plan, de gche à dte : Talleyrand en Vulcain, forgeant des chaînes et des protocoles (« PROTOCOLE // N°73050 », « BELGIQUE », « « ANGLETE […] [ANGLETERRE] », « PROTOC […] // N°74051 »), des serments (« SERMENS [SERMENTS] // de // 93 à 1832 »), l’histoire de la « révol [révolution] », Cerbère gardant les prisons de « Ste PELAGIE », de « LA FORCE » (chien à trois têtes couvertes de casquettes de police). La Discorde tenant non une pomme, mais une poire, et la Cupidité tenant un registre d’ « AGIOT » au-dessus du temple de la Bourse. Au troisième plan, de gche à dte : d’Argout en statue de Pan en terme (avec une palette et des pinceaux à la base), les furies : Persil avec ses « saisies » et « condamnation », Guizot et sa guizotine (la troisième furie n’est pas identifiée). Soult en Mars brandit un cierge, une figure ( ?) tient une fourche tordue et une clé de cachot. Barthe en Thémis tient un double glaive et une balance, Girod de l’Ain en Bacchus, Lobau en Neptune tenant la seringue à clystère se terminant en trident. Viennet en Apollon (ou Orphée ?) joue la « PHILIPPIDE » à la harpe, Montalivet, représentant la Flatterie, verse de l’ambroisie (sous forme de papiers avec les inscriptions : « TRES FIDELE SUJET // FLATTERIE ») dans la coupe de Louis-Philippe en Jupiter, accompagné de son coq foulant des armes, et coiffé d’une couronne en forme de poire. Derrière lui, la Paix avec son rameau, et la Frayeur avec son lièvre. Le duc d’Orléans en Hercule s’appuyant sur sa massue portant l’inscription « DISCOURS », Dupin en Momus, dieu de la Folie, ayant pour marotte une chaussure. Et enfin, Sébastiani, en paon (sans doute Junon). A l’arrière-plan, une figure volante représentant le journal le « MONITEUR », la Nuit, répandant des pavots, et un zodiaque qui sert à dénoncer les différents événements des derniers mois (« JUIN 1832 » avec une balance, « JUILLET 1832 » avec un lion, « AOUT 1832 » avec un scorpion, « SEPTEM […] [SEPTEMBRE 1832] »). Puis, un homme portant une faux : il s’agit de Saturne, emportant avec lui dans son sac la « MEILLEURE // REPUBLIQUE ». Ce dieu se retire aux Etats-Unis (La Fayette ?). Et enfin, un siège vide au centre : il s’agit de celui de la « Sagesse » (in explication).
Referência livreiro : 24404
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Grandville & Forest - TALLEYRAND
Memento homo quia pulvis es et pulverem reverteria - Pl. n°1. de la série "Cérémonie des cendres politiques".Lithographie, Coloriée.
1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 21 février 1833 (Planche n°248) -La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No 120, plate 248. [Paris] I. de Becquet for Maison Aubert -[28 February 1833]. Hand-coloured lithograph. Overall paper size 27.5 × 36.5 cm.Titre en bas à gche : « Memento homo quia pulvis es et in // pulverem reverteris. » ; légendes, en bas, de gche à dte : « Paillasse…. », « Tupin. », « Le grand conquérant // de la Hollande. », « Lebeau Lancelot. », « Le prince // Cartouche de Damas-scie. », « Le petit diable d’argent. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°120. », en ht à dte : « Pl. 248. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue de Childebert n°9. » [imprimeur] ; « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur].Description iconographique:Pl. n°1. de la série "Cérémonie des cendres politiques". Cf. pl. n°2 (pl. 250 du numéro 121) et pl. n°3 (pl. 251 du numéro 121). Le titre est une citation latine extraite de la Genèse, vers 19, signifiant : « Souviens-toi, homme, que tu es poussière, et que tu redeviendras poussière ». A gche se trouvent trois personnages, figures du peuple, dans l’encadrement d’une porte, juchés au sommet de deux marches : un homme (ayant participé à la révolution de Juillet) tient en l’air un pavé portant les dates des Trois Glorieuses « 27. 28 // 29 » (juillet) qu’il s’apprête à jeter sur le groupe de personnages en face de lui. Il est accompagné de deux enfants (« ces enfans [enfants] sont les gamins héroïques qui firent les barricades », in explication) : l’un, coiffé d’un bonnet phrygien décoré de la cocarde tricolore, porte un sac contenant des pavés, tandis que l’autre tient un plat sur lequel se trouvent deux autres pavés. Le groupe de personnages s’avançant se compose des membres du gouvernement. De gche à dte: Louis-Philippe, déguisé en Paillasse (les boutons du costume sont en forme de poire). Il a posé par terre sson chapeau décoré de la cocarde tricolore. A genoux, il joint ses mains pour supplier les hommes du peuple de l’épargner. Puis Dupin, déguisé en sauvage et tenant un gourdin portant l’inscription « PLAISANTERIE ». Ensuite, le conquérant de la Hollande (le duc d’Orléans). Puis vient Lobau, portant une perruque d’ancien régime, un grand tablier blanc et tenant de sa main dte un seringue à clystère. Soult vêtu à la mode de Louis XIII, fait reposer son genou droit sur une béquille. Enfin, Thiers, portant un vêtement de petit diable blanc (il porte un bonnet blanc pourvu de cornes, et une queue dépasse de son pantalon). La pl. met en garde le gouvernement de ne pas trahir les idéaux républicains qui ont présidé à la naissance de la monarchie de juillet. Elle rappelle le rôle fondamental du peuple dans l’instauration du régime. Elle entend rappeler au roi et aux ministres que c’est grâce au peuple que la monarchie de juillet a pu voir le jour, et menace de faire basculer le régime en place si les idées républicaines sont bafouées. L’explication est très claire : « Souvenez-vous que c’est moi, moi peuple, qui vous ai faits tous, et que je puis vous défaire demain si vous êtes parjures, si vous êtes prévaricateurs, si vous êtes prodigues de mon sang et de ma sueur, si vous gaspillez mon bien, si vous enchaînez ma liberté ».
Referência livreiro : 24406
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Grandville & E.Forest.-
Résurrection de la Censure Et elle ressuscita le troisième jour après sa mort » (évangile St Luc) - Lithographie en noir.
1832 Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 5 janvier 1832, (Planche n°125)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 27.8cmx Largeur: 26.6cm- Titre en bas au centre : « Résurrection de la Censure. » ; légende plus bas au centre : « Et elle ressuscita le troisième jour après sa mort » (évangile St Luc) » ; indications, en ht à gche : « N°62. », en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « Pl. 125. Inscription - Dans la lettre : Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro-dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « J.J. Grandville / E. Forest [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sur les façades de théâtre, de gche à dte : « THEA[…] [THÉÂTRE] DE VARIÉTÉS », « […] [THÉÂTRE] NOUVEAU » ; noms des journaux indiqués sur des personnages ou des numéros épars : « CONSTITUTION[…] [CONSTITUTIONNEL] », « LA FRANCE [ ?] », « LA TRIBUNE » ; dans la boîte, sur des papiers : « PROCES du / MARECHAL / NEY » (maréchal Ney condamné à mort en 1815 ; jugé injuste par La Caricature); sur des pierres en bas,
Referência livreiro : 24407
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Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) & Paillet - TALLEYRAND
Cet enfant la ne marchera jamais seul.Lithographie en couleur.
1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 29 août 1833 (Planche n°308)- La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No 147.coloriée. Plate 308. [Paris de Becquet for Maison Aubert [29 August 1833] Lithograph. Overall paper size 34.5 × 25.8 cm.French caricature of Talleyrand’s proposal to Lord Palmerston to form an alliance with Britain to counter-balance the continental league of the autocratic states of Russia, Austria, and Prussia.The print represents Talleyrand standing, supported on a crutch, reining in the infant Louis-Philippe, whilst King William IV bemus- edly looks on, commenting: ‘this child will never walk alone’. One rein is marked ‘Traite de 1815’, the other ‘Sainte Alliance’. Louis- Philippe is depicted from behind as a small boy in skirts playing with a miniature fortress and pulling a toy cannon. As usual with this artist, Talleyrand’s surgical boot is attached in error to his left foot.1 Benjamin Roubaud (1811–1847), lithographer, etcher and painter, made his name as an inspired Parisian caricaturist, contributing to the humorous comic journal La Caricature (1830–1835); he signed himself ‘Benjamin’or ‘A.B.’Dwyer 762 (misdated 1834).
Referência livreiro : 24409
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Travies de Villers, Charles Joseph -TALLEYRAND
Le Char de l’Etat. Lithographie
1833 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No.158, 14 November 1833, planche double,pli central - plates 330–1.planche double en noir- [Paris,] Lithograph. Overall paper size,33 × 55.5 cm. Vertical folds.
Referência livreiro : 24410
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Travies de Villers,Charles Joseph -TALLEYRAND
Il serait plus facile d’arreter le soleil.Lithographie.
1833 Planche HT double parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 20 décembre 1833 (Planche 341-342)- Hauteur: 35.6cmxLargeur: 53cmDimensions - Image :Hauteur: 27.5cmx Largeur: 48cm - Titre en bas au centre : « IL SERAIT PLUS FACILE D’ARRÊTER LE SOLEIL. » ; indications : en ht à gauche : « La Caricature (Journal) N°163. », en ht à dte : « Pl. 341 et 342. »- Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « C.J. Traviès. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Inscription - Sur les feuilles emballant les pierres, sous les roues du char, des inscriptions, de dte à gche : « Congrès », « Ste Alliance », « Légitimité // quasi-légitim […] légitimité », « ARMEES // PERMANANTES [PERMANENTES] », « INQUISITION // DE LA // PENSEE », « Inviolabilité // Royale », « Irrespon // sabilité [Irresponsabilité] // royale », « IMPÔTS », « PRIVILEGES // et // MONOPOLES ». Sur les cordes attachées au char et que tiennent les ministres : « PROCES A LA PRESSE », « attaques au jury AMENDES », des noms de prisons : « MONT St MICHEL. la Force » (2e câble), « illégalité état », « siège Conseils de guerre », « ecrivains [écrivains] [ ?] LEVES A leur juges [ ?] » (1e câble). Sur les papiers à terre sous les genoux de Talleyrand : « TRAITE D […] [DE] // 1815 // PROTOCOLE // 1833 », « il ne faut pas // flatter les peuples »La figure de la liberté, sous les traits d’une femme portant un bonnet phrygien décoré d’une cocarde tricolore, est debout dans un char, tenant une lance dans la main gche et les rênes des deux chevaux dans l’autre. Derrière, les ministres de la monarchie de Juillet et le roi tentent de retenir le char dans sa marche. Ils forment « la mauvaise queue de la contre-révolution » (in explication). Soult, d’Argout, Guizot, Montalivet et Persil tendent la première corde. (celle de l’illégalité, de l’état de siège, des conseils de guerre). Barthe, Humann, Dupin et Gisquet tirent le câble des attaques contre la presse, des amendes… Thiers s’accroche à la redingote du roi. Le bâton des « Procès à la PRESSE » a été jeté dans une des roues du char pour freiner son avancée. Talleyrand jette des pierres sur le chemin de la Liberté afin de ralentir le char. Elles sont emballées dans des feuilles portant des inscriptions mentionnant les diverses mesures prises pour contrecarrer l’avancée de la république. A quatre pattes par terre, sa main dte repose sur une pierre portant le projet d’une « 3e Restaura […] [Restauration] » pour la France. L’explication précise que « la Liberté se rit de ces vains efforts, qui en font que retarder un peu sa marche prudente, et passe par-dessus ces pierres d’achoppement, qui produisent à peine de légers cahots. ». Le corbeau, oiseau de mauvais augure, plane au-dessus de la scène. Il est annonciateur d’un destin funeste à cette entreprise qui vise à détruire la république et la liberté. La phrase de titre est significative de l’impossibilité de freiner la marche de la liberté qui « poursuit sa carrière, d’un pas lent, mais sûr » (in explication).
Referência livreiro : 24411
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Travies de Villers, Charles Joseph- TALLEYRAND
Une Execution sous Louis Onze. (XI.) Lithographie
1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No. 180, planche double -plate 378–9. [Paris] Delaunois for Maison Aubert, 17 April 1834. Lithograph. Overall paper size 32.6 × 40.9 cm. Horizontal and vertical fold.Caricature of the July Monarchy’s repressive measures against workers’ uprisings in Lyon and Paris, the so-called ‘April insurgents’. Louis-Philippe is compared to the late mediaeval king Louis XI, notorious for his cunning and cruelty. The print represents a pseudo- mediaeval execution scene with Liberty in a white dress and red cap standing in front of the gallows flanked by jailors. Louis-Philippe wearing a helmet with chain-mail is shown from behind standing on top of the dungeons of Ste Pelagie giving final instructions. To the left, lecherous monks and gloating courtiers are looking on; to the right a moustachioed Talleyrand dressed as a cardinal is in attendance with other ministers in ancient dress or armour. His surgical shoe is wrongly shown on his left foot. Armed mounted guards and a large fortress in the background complete the scene.
Referência livreiro : 24412
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Grandville J.J. & E.Forest - TALLEYRAND
Voila Messieur vos seules espérances [...].Lithographie
1832 Planche publiée dans le journal la Caricature n°63, le 12 janvier 1832, pl.128- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 28.3cmx Largeur: 36.3cm,plis
Referência livreiro : 24413
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Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur - TALLEYRAND
La Quadruple alliance.Lithographie.
1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature( Journal) No 200 Plate 419 [Paris] Delaunois for Aubert [September 1834] Lithograph. Platemark 23 × 27 cm; overall paper size 26.5 × 33 cm.the club foot in error attached to the sitter’s left leg. Four crowned monarchs are swearing their oath by placing a hand on the holy book; from left to right: the rotund figure of Louis-Philippe, the infant Isabella II of Spain supported by a wooden baby walker has dropped her doll, the girlish Maria II of Portugal in a mantilla holding up a doll in her right hand and touching the bible with her left, and KingWilliamIV.French caricature of the Quadruple Alliance of 4th September 1834 portraying Talleyrand dressed as a bishop with mitre and crozier seated in the centre holding a large opened bible; the artist shows
Referência livreiro : 24414
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Travies de Villers,Charles-Joseph -TALLEYRAND
Theatre Royal des Marionettes.
La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No. 204. Plate 426. [Paris] Delaunois for Maison Aubert [12 October 1834]. Lithograph. Overall paper size 33.3 × 26.2 cm.
Referência livreiro : 24415
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Travies de Villers,Charles-Joseph - TALLEYRAND
Atelier de la Caricature et du Charivari (L’on garantit la parfaite ressemblance.)
La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No.210. Plate 438. [Paris] Delaunois for Maison Aubert [13 November 1834] Lithograph. Overall paper size 26 × 33.7 cm.
Referência livreiro : 24416
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Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) - TALLEYRAND
Traites de la quadruple alliance... Resurrection de don Carlos ....Lithographie.
1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique- La Caricature ( Journal) No 196, plate 411 [Paris] Delaunois for Maison Aubert [7 August 1834] Lithograph. Platemark 32 × 27cm; overall paper size 36.3 × 27.6 cm.,rare,bon étatFrench caricature of the Quadruple Alliance between France, Great Britain, Spain, and Portugal signed on 22nd April 1834 which crowned Talleyrand’s diplomatic career. The treaty, conceived by Palmerston to strengthen the liberal countries of western Europe against the auto- cratic northern monarchies, supported progressive governments recently installed in Spain and Portugal, against the claims of rival pretenders to the throne representing traditional interests. The infant Queen Isabella II of Spain1 was challenged by her uncle Don Carlos,2 and the young Queen Maria II of Portugal3 by her uncle Dom Miguel.4 The print shows Talleyrand peacefully reclining on a monument, as the architect of the treaty with pandemonium surrounding him. In apseudo-resurrection scene Don Carlos is shown flying on high shed- ding proclamations causing an explosion on the stock exchange, whilst below, the Queen Regent of Spain with her daughter Isabella, King Louis-Philippe and two other princes are looking up in a daze. Military conflict is indicated in a dark, brooding background.1 Isabella II of Spain (1830–1868), daughter of Ferdinand VII and Maria Cristina of the Two Sicilies, succeeded to the throne, because her father induced the Cortes to set aside the Salic law to re-establish the ancient law of succession. This was contested by her uncle, the Infante Carlos, who fought a civil war to support his claim with the help of the conservative opposition;2 Carlos Maria Isidro de Borbony Borbon-Parma(1788–1855),younger brother of King Ferdinand VII, known as Count of Molina, claimed the throne of Spain according to Salic law which excluded female succession introduced during the 18th century; the law was changed by Ferdinand in favour of his daughter Isabella. As a result the country was rent by civil war between the incumbent regency supported by the liberals and the Carlist pretender backed by the traditionalists;3 Dona Maria II (1819–1853), daughter of Pedro I Emperor of Brazil, became Queen Regnant of Portugal, when her liberal father abdicated the Portuguese throne. The decision was disputed by her absolutist uncle Miguel who usurped the throne, but was forced to abdicate in 1834;4 Dom Miguel(1802–1866),secondsonofKingJoaoofPortugal,aconserva- tive influenced by Metternich, led two revolts against his liberal father, and was exiled as a consequence. After betrothal to his young niece Maria II of Portugal, he took sole power and ruled as Miguel I of Portugal from 1828 to 1834, overthrowing the liberal constitution. In 1831 his elder brother Pedro abdicated the throne of Brazil, and ejected Miguel after a three-year civil war to re-establish Maria as Queen Regnant in 1834.
Referência livreiro : 24417
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Stéphanie-Félicité Du Crest Genlis, comtesse de).; Par Mme de Genlis.- Michel Lambert; Eugène Onfroy; Jean-Baptiste-François Née de La Rochelle
Les veillées du château, ou cours de morale a l'usage des enfans, par l'auteur d'Adele et Théodore... Tome I -II.
A Paris, de l'imprimerie de Michel Lambert. Chez Onfroy, libraire, rue du Hurepoix, près du pont S. Michel. Née de La Rochelle, libraire, même rue. M. DCC. LXXXVI. 2 vol.in12, pleine basane racinée époque,dos ornés ternis,reliures solides (xx-634-[2] p.; [1-1 bl.]-693-[3] p.;
Referência livreiro : 24983
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Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847),- Julien, Bernard-Romain (Bayonne, 16–11–1802 - Bayonne, 03–12–1871), dessinateur-lithographe
Barbe bleue, blanche, rouge, Lithographie- La pl. se réfère à Barbe bleue, conte de Charles Perrault ( 1697).
1833 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique - 1833- Lithographie- Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm- Hauteur: 20.3cmx Largeur: 23.7cm- Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 11 avril 1833 (Planche n°263)- Titre en ht au centre : « Barbe bleue, blanche, rouge. » ; légende en bas au centre : « La presse, ma sœur, ne vois-tu rien venir ? – je ne vois que le soleil de Juillet qui poudroie et l’herbe des // tombeaux qui verdoie. – Presse, ma sœur, ne vois-tu rien encore ? – je vois deux cavaliers qui viennent // au galop, portant une bannière. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°127. », en ht à dte : « Pl. 263. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue furstemberg N°6. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « G. = et Jn » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Bernard-Romain Julien, lithographe ?]- Inscription - Sur la feuille volante posée à terre à côté de la Constitution : « LOI ,qques taches.
Referência livreiro : 25914
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Daumier, Honoré (Marseille, 26–02–1808 - Valmondois, 10–02–1879), dessinateur
Départ pour l’Espagne. Il montera! il ne montera pas ! il montera ! et non, il ne montera pas !!!- Lithographie originale sur Velin blanc.
1835 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique 1835 volume 9, 11 juin 1835 (Planche n°498)- Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmxLargeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 21.4cm Largeur: 27.3cm - Titre dans l’image, en ht au centre : « Départ pour l’Espagne. » ; légende en bas au centre : « Il montera ! il ne montera pas ! il montera ! et non, il ne montera pas !!! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°240. », en ht à dte : « Pl. 498. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau chez Aubert galerie Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois rue du Bouloi 19 » [imprimeur],feuille poussiereuse ,rousseurs en marge,tirage bon.Delteil 118,
Referência livreiro : 25987
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Travies de Villers, Charles Joseph- TALLEYRAND
Une Execution sous Louis Onze. (XI.) Lithographie sur blanc - planche double
1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No. 180, planche double -plate 378–9. [Paris] Delaunois for Maison Aubert, 17 April 1834. Lithograph. Overall paper size 32.6 × 40.9 cm. Horizontal and vertical fold.Caricature of the July Monarchy’s repressive measures against workers’ uprisings in Lyon and Paris, the so-called ‘April insurgents’. Louis-Philippe is compared to the late mediaeval king Louis XI, notorious for his cunning and cruelty. The print represents a pseudo- mediaeval execution scene with Liberty in a white dress and red cap standing in front of the gallows flanked by jailors. Louis-Philippe wearing a helmet with chain-mail is shown from behind standing on top of the dungeons of Ste Pelagie giving final instructions. To the left, lecherous monks and gloating courtiers are looking on; to the right a moustachioed Talleyrand dressed as a cardinal is in attendance with other ministers in ancient dress or armour. His surgical shoe is wrongly shown on his left foot. Armed mounted guards and a large fortress in the background complete the scene.
Referência livreiro : 25988
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Traviès de Villers,Charles Joseph
MARCHE DE LA BANLIEUE venant au secours des Cent mille hommes de troupe réglée assiégés par quelques centaines de lâches républicains -Lithographie originale en noir sur Velin blanc.pl.double
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 1er août 1833, (Planche n°296-297) Hauteur: 26cm Largeur: 70cm;marge du haut rognée court au dessus du numéro,fente en marge au pli central-sinon bon.Titre en bas au centre : « Marche de la Banlieue venant au secours des Cent mille hommes de troupe réglée assiégés par quelques centaines de lâches républicains. » ; légende plus bas au centre : « (Cette caricature fut exécutée après les evènemens [événements] de Juin 1832. Nous en retardames [retardâmes] la publication pour ne pas envenimer les haines politiques aujourd’hui nous la donnons comme une bonne et vieille charge) » ; indications : en ht à gche : « La Caricature Journal (N°142) », en ht à dte : « Pl. 296, 297 »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Chilbert N°9. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « CJ Traviès. // 1832 » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur], réagissant à l’insurrection républicaine à Paris des 5, 6 et 7 juin 1832. Traviès met en lumière l’énorme différence entre le faible nombre d’insurgés républicains et le nombre d’hommes de troupe (garde municipale, garde nationale) mobilisés pour briser la révolte.
Referência livreiro : 25989
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Attribué à Debon, François-Hippolyte (Paris, 02–12–1807 - Paris, 29–02–1872), dessinateur-lithographe- Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur
Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire Lithographie originale en noir sur Velin blanc.
1831 La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique - 1831- Lithographie originale en noir sur Velin blanc,rousseurs dans les bonnes margesOeuvre:: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 22.3cmx Largeur: 27.3cm- Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 11 août 1831, (Planche n°82) - Titre en bas au centre : « Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°82. » - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, date tronquée : « 183 […] » Sur le carnet tenu par la grenouille incarnant Casimir Périer, ses initiales : « C P »
Referência livreiro : 25990
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Anonyme - Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur-lithographe
Le cri du peuple - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.
La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique volume 2, 4 aout 1831,N°80 -rousseurs - Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 20.7cmx Largeur: 26cm- Titre en bas au centre : « Le cri du peuple. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°80. » - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, date : « 1831 »Inscription - Différents éléments auxquels est amarré le trône : « Ste ALLIANCE », « CLERGE », « Pairie Heréditaire [Héréditaire]», « Sens [cens] / Electoral », « Contribu-/ tions [Contributions] » ; sur la pierre, près du menuisier : « 28.29. / 1830 »
Referência livreiro : 25991
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Attribué à Debon, François-Hippolyte (Paris, 02–12–1807 - Paris, 29–02–1872), dessinateur-lithographe- Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur
Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire. Lithographie originale en noir sur Velin blanc.
1831 La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique - 1831- Lithographie originale en noir sur Velin blanc,petites rousseurs dans les marges courtes du bas.Oeuvre:: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 22.3cmx Largeur: 27.3cm- Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 11 août 1831, (Planche n°82) - Titre en bas au centre : « Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°82. » - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, date tronquée : « 183 […] » Sur le carnet tenu par la grenouille incarnant Casimir Périer, ses initiales : « C P »
Referência livreiro : 25992
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Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur - Forest, Eugène, dessinateur-lithographe
L’état de nos finances est rassurant si les besoins sont grands, d’abondantes ressources sont ménagées pour y pourvoir.Lithographie originale en noir sur Velin blanc.
La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 15 septembre 1831, (Planche n°92)- Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 18cmx Largeur: 26.9cm - Titre en bas au centre : « L’état de nos finances est rassurant si les besoins sont grands, d’abondantes ressources sont ménagées pour y pourvoir. » ; légende plus bas à dte : « (Moniteur 3 Août 1831.) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°92. » - Dans la lettre : « Lith de la Delaporte, rue de l’Abbaye, n°4 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « J.J. Grandville invt / E. Forest sculpt » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe] Inscription - Sur le registre, page de gche : « Recette / Impôt / sur le sel / id. le tabac / id. le vin / id. la lumière / id. le personnel », page de dte : « Dépense / Liste Civile / aux Mouchards / aux Etats-Majors / id. Sinecuriste / Pour dîners / aux ventrus » ; sur les feuilles à terre : « contraite / par corps », « Gouvernement / à bon marché / Douzièmes provisoires / Sommation / avec frais ».-Vic. col. 57.
Referência livreiro : 25994
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Anonyme, dessinateur-lithographe
adoration des mages, caricature N°95- Lithographie originale en noir sur Velin blanc.
La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 1831, (Planche n°95)- Lithographie - Oeuvre:: Hauteur: 27.4cmxLargeur: 36.4cm- Delaporte, Victor Hippolyte (29–01–1804), imprimeur-lithographe -Aubert (Imprimeur, lithographe, éditeur), editeur
Referência livreiro : 25997
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Inconnu, dessinateur-lithographe
N°62. / ................!! - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.
1831 La Caricature,4 aout 1831, editeur- Delaporte, Victor Hippolyte (29–01–1804), imprimeur-lithographe- Aubert (Imprimeur, lithographe, éditeur), editeur - Oeuvre: Hauteur: 27.4cmx Largeur: 36.1cm; rousseurs et taches dans les marges
Referência livreiro : 25998
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DESPERET
Attaque des forts detachés par le 1er régiment des Canonniers de la Presse.Lithographie originale.
1833 Planche 286 de La Caricature N° 138. La Caricature, 27 juin, 1833. Lithographie originale sur Velin blanc. . ., épreuve en noir, plis central ,plis en marge ;lithographie sur velin blanc,tirage noir malgré l'image jaunie,petite tache jaune coin haut
Referência livreiro : 26003
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Bouquet, Auguste (Abbeville, 13–09–1810 - Lucques (Lucca), 21–12–1846), dessinateur Imprimerie Becquet (28–02–1796), imprimeur-lithographe AB Inconnu, dessinateur-lithographe
a quelle sauce la voulez vous ? - Lithographie originale sur Velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 13 décembre 1833 (Planche n°339)Pl. 339. / La caricature (journal) n°162. - Titre en bas au centre : « A quelle sauce la voulez-vous ? » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°162. », en ht à dte : « Pl. 339. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie véro Dodat. » [imprimeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]Inscription - Sur le mur de gche, un graffiti représentant une poire à face humaine couronnée. Sur la tranche de l’étagère au mur, inscription « POIRES POUR LA SOIF… ». A gche au premier plan, une marmite de « MARMELA […] [MARMELADE] » de
Referência livreiro : 26359
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Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur-lithographe
Cages !... cages !.... souricières ! Lithographie- Lithographie originale sur Velin blanc.
1832 La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique (Titre de l'ensemble)1832 - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 16 février 1832, (Planche n°137) Lithographie - Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm- Image: Hauteur: 20cmx Largeur: 20cm
Referência livreiro : 26360
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Attribué à Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès) (Winterthour ou Winterthur, 21–02–1804 - Paris, 13–08–1859), dessinateur - BENARD
Belles têtes, dit-il ; mais de cervelle point (Lafontaine.) -Lithographie originale sur Velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 27 mars 1834 (Planche n°374)- Hauteur: 35.5cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 23.5cmx Largeur: 18.5cm - Titre en ht au centre : « Le Renard et les Masques » ; légende en bas au centre : « « Belle tête, dit-il ; mais de cervelle point. » // (Lafontaine [La Fontaine].) » ; indications : en ht à gauche : « La Caricature (Journal) N°177. », en ht à dte : « Pl. 374. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Benard. » [imprimeur]Inscription - A côté du masque de Thiers, un livre dont le titre est en partie illisible. Il s’agit sans doute de la représentation d’un vol. de l’ « histoire [de la révolution française] » que Thiers écrivit entre 1823 et 1827. Derrière le masque de Lobau semble se trouver une seringue à clystère, son attribut caricatural traditionnel.
Referência livreiro : 26361
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Forest, Eugène (Strasbourg, 24–10–1808 - Grenoble, 28–12–1891), dessinateur
L'Angleterre ,la Russie,l'Autriche et la Prusse me donnent toujours des témoignages de leur parfaite alliance…Lithographie originale sur Velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 23 janvier 1834 (Planche n°354) • Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 22.8cmx Largeur: 33cm - Titre en bas au centre : « L’Angleterre, la Russie, l’Autriche et la Prusse me donnent toujours des témoignages de leur parfaite alliance….. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°168. », en ht à dte : « Pl. 354. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gauche, signature : « Eug. F. » [Eugène Forest, dessinateur lithographe]
Referência livreiro : 26362
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Desperet ou Desperret, Auguste
Le Quinctius Cincinnatus moderne - Lithographie originale sur Velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 11 octobre 1832 (Planche n°206) Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 18.4cmx Largeur: 28.4cm- Titre en bas au centre : « Le Quinctius Cincinnatus moderne. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°101.) », en ht à dte : « Pl. 206. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » ; dans l’image, en bas à gche, signature : « A.D. invt et fect. » [Auguste Desperet, dessinateur lithographe] - Taches en marge
Referência livreiro : 26363
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Desperet ou Desperret, Auguste
Quand finira donc cette partie ? - Lithographie originale sur Velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 11 octobre 1832 (Planche n°207)) Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19.6cmx Largeur: 25.5cm - Titre en bas au centre : « Quand finira donc cette partie ? » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°101) », en ht à dte : « Pl. 207. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Auguste Desperet, dessinateur lithographe ? Taches en marge
Referência livreiro : 26364
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Casati, A., dessinateur
Parodie du tableau de la Clytemnestre - Lithographie originale coloriée sur Velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 23 janvier 1834 (Planche n°353) • Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 18.7cmx Largeur: 20.8cm - Titre en bas au centre : « Parodie du tableau de la Clytemnestre. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°168. », en ht à dte : « Pl. 353. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « a. c. » [A. Casati, dessinateur lithographe]
Referência livreiro : 26365
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Desperet ou Desperret, Auguste
Pauvres aveugles- Lithographie originale sur Velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 6, 13 juin 1833 (Planche n°282)- Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 19.5cmx Largeur: 28cm- Titre en bas au centre : « Pauvres aveugles. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°136. », en ht à dte : « Pl. 282. »Inscription - Dans la lettre : « chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg N°6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « A. D. » [Auguste Desperet, dessinateur]
Referência livreiro : 26366
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Desperet ou Desperret, Auguste
Bravo! Tous les coups portent - Lithographie originale sur Velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 10 janvier 1833 (Planche n°237)- Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 20.2cm Largeur: 23.4cm - Titre en bas au centre : « BRAVO ! TOUS LES COUPS PORTENT. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°114. », en ht à dte : « Pl. 237. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Auguste Desperet ?
Referência livreiro : 26367
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Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste
La baraque politique - Lithographie originale sur Velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 4 décembre 1834 (Planche n°444)Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 35.5cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 25cmx Largeur: 21.5cm - Titre en bas au centre : « La Baraque politique » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°213 », en ht à dte : « Pl. 444. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, r. du Bouloi, 19. » [imprimeur]
Referência livreiro : 26368
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Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste
La police tenait le fil du complot - Lithographie originale sur Velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 16 août 1832 (Planche n°190) :Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19cmx Largeur: 28.3cm - Titre en bas au centre : « LA POLICE TENAIT LE FIL DU COMPLOT. » ; légende plus bas à dte : « (Moniteur // Après toutes les émeutes) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°93.) », en ht à dte : « Pl. 190. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie véro dodat » [éditeur] ; attribution : Auguste Desperet, dessinateur lithographe ?Inscription - Sur le mur (d’un cachot vraisemblablement) à dte, inscription : « Vive La République »
Referência livreiro : 26369
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Attribué à Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur
Aristocratie et Démocratie - Lithographie originale sur Velin blanc.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 27 novembre 1834 (Planche n°443)Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 19.8cmx Largeur: 29.3cm - Titre en bas au centre : « Aristocratie et Démocratie. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°212. », en ht à dte : « Pl. 443. »Inscription - Dans la lettre : "Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat." [éditeur], "Lith : Delaunois, r. du Bouloi, 19.",dans l'etat
Referência livreiro : 26370
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