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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte‎

‎Donnez moi la première chose venue Lithographie sur blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 11 octobre1832 (Planche n°208)- Lithographie,pli central - ŒuvreHauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 24.6cmx Largeur: 18.4cm - Titre en bas au centre : « Donnez moi la première chose venue » ; légende plus bas au centre : « (La scène se passe chez le Pharmacien royal. – il s’agit // de composer un remède.) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°101) », en ht à dte : « Pl. 208. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « JJ. G. E. F. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Dans le coin inf gche, deux bouteilles de « SUCS // PROTOCOLES », et un bouquet d’herbes dans un sachet portant l’inscription : « DORMITIFS ». Sur le mur du fond, à gche, un « BAROMETRE » de l’ « Enthousiasme » portant les mesures : « République », « Glace », « Froid », « Temperé [Tempéré] », « Chaud », « à son comble ». Un petit garde national, bras droit tendu sur le côté, sert d’indicateur. Sur les bocaux rangés sur les étagères au fond : de « huile // d’Amendes // Douces » contenant une amende de « mille francs », du « Medium » contenant une poire, une « Liste Civile // 1832 », de l’ « OR », du « Dupinium // Sel neutre » contenant la figure de Dupin, de l’« Ex-Carbonaro » contenant le buste de Barthe, du « Sel Marin // neutralisé », de l’ « Eau des os », du « Sulfate d’oxygène // Désoxigéné [Désoxygéné] » contenant le baron Louis de profil en pied maintenant un portefeuille (portant l’inscription « FINANCE » sous son bras), du « Vernis Copal » contenant d’Argout de profil en pied maintenant aussi un portefeuille, du « Broglium // Aristocratisé » (duc de Broglie), du « Guizotinium // Caput mortum » (Guizot). Sur la table, d’autres bocaux de « Graine // de lin », de « Mars oxidé [oxydé] », de l’ « Extrait // de // Mercure » contenant une petit figure de Thiers, de l’ « Huile // Essencielle [Essentielle] // d’Alsace » (Georges Humann), et un billet de « PILULE [PILULES] DOREES ». Une poire en guise de bouchon ferme la fiole de la « Potion selon // la Formule » de la « PENSEE // DU 13 // MARS » (ex-gouvernement de Périer). Sous la table sur laquelle repose cette fiole, se trouve un alambic contenant du « Residu [Résidu] // de l’Etat // de Siege [Siège] ». Non loin est posé par terre un récipient d’ « Essence // Légitimité ». Sur le flanc de la table de préparation sont placardés les uns sur les autres des billets : « Ordonnance // Octtob […] [Octobre] 1832 », « Police // Dissolution », « AMENDES // PRISON »‎

‎La pl. étudie la composition du nouveau ministère, en remplacement de celui de Casimir Périer, qui s’acheva le 16 mai 1832. Après un long moment sans ministère, le gouvernement de Soult fut justement formé le jour de la publication de la pl., le 11 octobre 1832. Louis-Philippe, dont le visage n’est visible que de trois quarts dos, est le pharmacien qui prépare un remède. Soult, le nouveau président du conseil, au fond, hésite, dans son choix de nouveaux ministres, entre différents bocaux pour la préparation. La France, sous une figure de femme portant une forteresse sur la tête, assise en face du roi, attend que la préparation médicamenteuse qui lui est destinée, soit achevée. Au fond à gche, dans la petite ouverture, Lobau verse un liquide dans une seringue à clystère. La pl. est inquiète vis-à-vis du nouveau gouvernement qui va remplacer le précédent. Au vu des ingrédients que Soult est en train de choisir, la pl. a toutes les raisons d’être craintive. La patiente malade risque de ne pas guérir malgré ce nouveau médicament en préparation. Autrement dit, la France.Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Mouton, Georges, comte de Lobau Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 25639

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‎Grandville‎

‎MOYENS COERCITIFS Employés définitivement et sans remise contre la citadelle d’Anvers, après négociations, notifications, ratifications, sommations et mystification sans solution.Lithographie double coloriée sur blanc- Hand-coloured lithograph,.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 13 décembre 1832 (Planche n°227-228)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 52.9cm - Image: Hauteur: 22cmx Largeur: 40cm - Titre en bas au centre : « MOYENS COERCITIFS » ; légende plus bas au centre : « Employés définitivement et sans remise contre la citadelle d’Anvers, après négociations, notifications, // ratifications, sommations et mystification sans solution. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N° 110. », en ht à dte : « Pl. 227 et 228. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, sur le dossier d’un fauteuil, à gche, signature : « JJG » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur]‎

‎iconographie:La pl. dénonce la participation de la France à la guerre de Belgique face aux troupes hollandaises. Prise du port d’Anvers du 15 au 25 novembre 1832. D’après "La Caricature", les raisons sont mauvaises. En effet, elle estime que c’est en grande partie pour affermir sur le trône de Belgique le gendre de Louis-Philippe, Léopold Ier (marié à la fille du roi des Français, Louise d’Orléans) que la France s’est engagée dans la guerre. La pl. présente quatre personnages jouant à la guerre comme des enfants avec des jouets. Bien qu’ayant des traits d’adulte, ils ont en revanche une taille d’enfant. De dte à gche : Soult, Henri de Rigny, un personnage non identifié, et Louis-Philippe, vu de trois quarts dos, mais reconnaissable aux favoris et au toupet. Soult vise avec un petit canon monté sur des livres (« DROIT CANON », « POIS CHICHES »). Les boulets de canon sont des pois chiches contenus dans un petit bol. Rigny souffle sur des petits bateaux en papier flottant sur l’eau d’une écuelle (les bateaux « Suffren », « RESOLU », « calipso », « conway ») et a le coude posé sur une feuille de papier où se lit « Escadres // Combinées ». Le 3e personnage tient un drapeau tricolore portant l’inscription « AVEC LA // PERMISSION // DE // L’ANGLETER […] [ANGLETERRE] » et tire à la sarbacane un « HARICOT BLANC ». Le son émis par cet objet est retranscrit : « Tu…tutu…turlututu…tu…tu…tu ». La hauteur de vol du haricot est calculée au-dessus de la tête d’un des soldats que Louis-Philippe positionne (de 1 à 6 en « pieds ») pour attaquer la citadelle d’Anvers dont la maquette se trouve à l’extrême gche de la composition. Des cocottes en papier sont également sollicitées pour participer au combat. Un feuille mentionne « Sommation dernier // avec Frais ». Les documents posés devant la maquette portent les inscriptions « notification // Evacuation », « protoco […] [protocole] », « sommation », « notificat […] [notification] ». Un des petits soldats de plomb juchés sur les toits de la maquette et incarnant l’armée hollandaise porte le drapeau du pays avec l’inscription « TÊTU ». La pl. dénonce cette guerre meurtrière qui tua de nombreux soldats français, mais aussi bon nombre de civils belges. Grandville critique l’irresponsabilité des membres du gouvernement qui envisagent la guerre comme un jeu, sans avoir conscience des conséquences désastreuses.Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Gauthier de Rigny, Henri, comte Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 25640

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte‎

‎à la source des douceurs- Joujous politiques de la maison Philipon.Lithographie double coloriée sur blanc- Hand-coloured lithograph,.‎

‎Planches parues dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 27 décembre 1832 (Planches n°232 et 233)- Lithographie - Œuvre Hauteur: 35.8cmx Largeur: 53.8cm - Image: Hauteur: 31.9cmx Largeur: 51.1cm - [sans titre] ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°112. », en ht à dte : « Pl. 232 et 233. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche de chaque vignette, signature : « JJG EF » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Une étiquette décorée de petites poires aux angles indique le nom de la boutique, dont l’emblème est une poire: « à la Source des douceurs », l’adresse : « Galerie Véro Dodat. » et la liste de ce qu’elle propose aux clients : « PHILIPPON ET COMPAGNIE, // fournisseurs de toutes les Maisons Royales // Tiennent assortiment complet de joujoux politiques et autres // Rébus, pistolets et Balles de Chocolat, princes, pouparts, // Pantins, Polichinelles en papier maché [mâché], fusils et sabres de pain // d’épices pour étrennes fêtes anniversaires. Ils font // des envois dans les Départemens [départements] et à l’Etranger. ». Une seconde étiquette mentionne les destinataires de la pl. « Offert a [à] M.M. les Abonnés » ainsi que le nom des artistes (les principaux contributeurs de la Caricature) de la part de qui est réalisé ce cadeau : « par // M.M. Auguste Dep. [Auguste Desperet ?], Bouchot [Frédéric Bouchot], Bouquet [Auguste Bouquet], David [Jules David], Daumier [Honoré Daumier], // Decamp [Alexandre-Gabriel Decamps], Fontalard, Forest [Eugène Forest], Francis, Grandville [Jean-Jacques Grandville], Julien, Le P… [Le Poittevin] // M… Monnier [Henry Monnier], Numa [Pierre Numa Bassaget ?], Philipon [Charles Philipon], R… Travies [Charles-Joseph Traviès], Vattier. etc. etc. etc. »‎

‎Literatur: Kunze 162.iconographie:A l’occasion de l’approche du jour de l’an, les dessinateurs de La Caricature ont décidé d’offrir des cadeaux aux membres du gouvernement. C’est le dessin de ces étrennes qui est proposé par la pl. Chaque groupe de présents est accompagné d’une feuille indiquant le destinataire et les auteurs du cadeau. Le premier groupe de cadeaux, en ht à gche, est destiné à d’Argout, ministre du commerce et des travaux publics. Une dédicace lui est adressée : « A Mr D’Argo.. // M.M. Les Artistes Peintres et Dramatiques ». On y trouve une boîte à nez avec les initiales de d’Argout (« D’A »), une petite maquette de « THEATRE FRANÇAIS », un petit violon, un petit flageolet, une paire de ciseaux (la censure), un ouvrage (« OEUV […] [ŒUVRE] // de // REMBRAND […] [REMBRANDT] »), une fiole avec les « Cendres d’un // Drapeau Tri- // colore de 1815 », un pot de « Moutarde », un petit chevalet de peintre, une petite ancre marine dorée (d’Argout était ministre de la marine et des colonies dans le ministère Laffitte), une palette de peintre, et le tombeau des arts (avec l’épitaphe « CIGISSENT // LES // BEAUX // ARTS // 1832 ». Enfin, des feuilles avec le nom de pièces de théâtre (« CLAUDIUS », « LE ROI // S’AMUSE », « ARABELLE »), et un papier officiel stipulant que « La Censure ne // pourra jamais // […] tre [être] reta […] [retardée] ». Le groupe de cadeaux en bas à gche est destiné à Barthe, ministre de la justice. La dédicace indique « A Mr BARTH. // Mr Mr Les Journalistes reconnaissans [reconnaissants] ». Il contient la « Jolie Petite Loi // des Suspects » a été encadrée, une grosse éponge pour laver sa conscience, un petit poignard de comédie, l’œil de cyclope de Barthe (moquerie sur l’œil de la justice), le chapeau de carbonaro (il en était un lui-même), un bibelot représentant une main tenant le maillet de magistrat, un bocal contenant de l’ « ACIDE // Carbonique », une liasse de « PROCES // Politiques (« folio [ ?] 1832 ») posée sur un volume regroupant les « LOIS // de // Louis // XIV ». Enfin, des liasses de journaux d’opposition victimes de la censure : « LA RÉVOLUTION », « LE CORSAIR […] [CORSAIRE] », « LE NATIONAL », « LA CARICATURE // […] RALE [MORALE] et Politique », « LA TRIBU […] [TRIBUNE] », ainsi qu’un document proclamant l’ « ETAT // de // SIEGE ». Le groupe de cadeaux du milieu est destiné à Louis-Philippe (la dédicace : « A CHOSE // De Pauvres Prolétaires Cotisés »). Il contient une « BUCHE // ECONOMIQUE », des mottes à brûler (avec la mention sur une étiquette de « 2 sous 18 // mottes »), une perruque (on reconnaît le toupet du roi), une maquette du moulin de Jemmapes, un portrait de perroquet sur une feuille titrée « JEMMAPES » (en référence à la bataille révolutionnaire de Jemmapes dans laquelle le roi dit s’être illustré), un coq en bois, une truelle de maçon, des bonbons, un pilon, une tenaille, un petit pistolet (en référence à l’attentat du 19 novembre 1832). Enfin, une « ADRESSE // n° 2221 », un « PROGRAMME // des spectacles », un proverbe accusant le roi de ne pas tenir ses promesses : « Prommettre [promettre] et tenir // sont deux… // Il faut garder un // juste milieu », un « Recueil de // Proverbes » et un exemplaire de l’ « AVARE // COMEDIE » de Molière (le roi était considéré cupide), une bouteille de vin, une petite canne à pêche et une bougie presque entièrement consumée. Le groupe d’objets en ht à dte est destiné à Lobau (« Au Prince de Tricanule // Les Officiers des Legions [Légions] de Paris et de la Banlieue »). Le lot comprend un clyssoir pendu au mur, un bouledogue, un mouton (car son nom est Georges Mouton), une grenouille, un « Baton [bâton] [de] MARECHA […] [MARECHAL] », du « Sucre de // Pommes », deux volumes du « Voyage à Seringa // patam », une autre petite seringue, et enfin une boite de soldats de plomb. La dernière livraison de cadeaux est destinée à Montalivet (« A M. MONTALI… [MONTALIVET] // Les Cordons Bleus de la Maison // du Roi » : elle contient un cheval à bascule, une sorte de quille à tête humaine, un bilboquet, de petits éléments de cuisine (car il s’occupait de la liste civile), un moule à gâteau, un éperon, une fiole contenant de l’ « Esprit d’Huitres » avec des huîtres (censé refléter son manque d’intelligence) et divers coquillages, un petit livret de « mémoire // de cuisine ». Un livre est ouvert à la page du « cuisinier // Bourgeois ». La pl. se moque de son activité à la Maison du roi, qui se réduit, d’après les caricaturistes, à s’occuper de la cuisine… cf. 2e partie dans la pl. 240-241 du numéro 116 Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 25641

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte‎

‎Sopranos. Rondo allegretto con brio - An-vers prends garde, An-vers prends garde, car nous t’a-bat-trons bien.... Lithographie double coloriée sur blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 22 novembre 1832 (Planche n°225-226)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 52.2cm - Image: Hauteur: 28.1cmx Largeur: 46.3cm - Titre en bas au centre (paroles autour d’une partition de musique) : « Sopranos. Rondo allegretto con brio // An-vers [Anvers] prends garde, An-vers prends garde, car nous t’a-bat-trons [abattrons] bien. », « barytons // et basses-tailles // nous n’a-vons [avons] garde, nous n’a-vons garde, car nous nous te-nons [tenons] bien. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°109. », en ht à dte : « Pl. 225. 226. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue childebert n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, parmi les graffitis présents sur le monument central, signatures : « JJG EF » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe], et « ohé Forest ! » [Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sur le sac tenu en bandoulière sur l’épaule de d’Argout : « Ecole de // DESSIN » ; sur le fond de pantalon de Louis-Philippe, la représentation d’un texte titré « PROGRA […] PROGRAMME », évocation du programme de l’hôtel de ville sur lequel Louis-Philippe s’est assis, au sens propre dans la pl., comme au sens figuré tel qu’il est dénoncé par le caricaturiste ; Guizot porte un petit ouvrage en badoulière, duquel dépasse une feuille avec l’inscription « DOCTRINE » ; sur le grand monument autour duquel les hommes tournent : « CE MONUMENT // A ETE ERIGE // EN MEMOIRE DE LA GRANDE VICTOIRE // QUI SERA REMPORTEE // PAR L’ARMEE FRANCAISE SUR LES HOLLANDAIS // 15 NOV. 1832 » ; parmi les graffitis présents sur le monument central : « Credeville // voleur », « phi phi philipon », l’esquisse du portrait de d’Argout vu de profil avec un nez démesuré, une poire couronnée de lauriers, une poire à l’envers avec des ailes de chérubin (Louis-Philippe), une autre poire, plus grosse. En bas à dte, un graffiti caricaturant sans doute le duc d’Orléans vu de profil, et une autre figure, schématiquement tracée, représentant une tête casquée de profil (sur un corps sommairement dessiné)‎

‎iconographie:Dans une cour fermée par un muret décoré de deux vases, une ronde d’enfants se tenant la main tourne autour d’un haut monument commémoratif en forme de parallélépipède (un ressaut en arc de cercle a été ménagé dans le muret pour permettre de faire le tour du monument). Il s’agit en réalité des ministres, représentés avec leurs traits d’adulte mais avec une taille d’enfant. Depuis le fond à gche, vers le fond à dte, prennent place Lobau (vêtu d’une robe à rayures violettes, portant un chapeau en papier surmonté d’un panache tricolore. Une seringue à clystère est accrochée à son vêtement), Persil, Dupin (portant tous deux un couvre-chef rouge à pompon), Barthe (couvert de la coiffe de magistrat), le duc d’Orléans, d’Argout, Soult (dans ses habits de maréchal. Des croix d’honneur sont accrochées à ses bottes), Louis-Philippe (avec des sabots), Guizot (dont le corsage blanc est décoré de petites poires), trois personnages de dos non identifiables, Madier de Montjau (portant un pantalon jaune, et représenté très grand même enfant), et enfin Henri de Rigny. En ht du monument se trouvent des jouets et accessoires d’enfants en rapport avec le thème militaire : des cocottes en papier, un canon et un petit soldat de plomb. La pl. se moque de l’assurance qu’a le gouvernement français lors du siège de la citadelle d’Anvers par l’armée française (dirigée par le maréchal Gérard), en Belgique, face aux troupes hollandaises (siège du 15 novembre au 23 décembre). Monument commémoratif par anticipation. La pl. dénonce cette guerre meurtrière qui tua de nombreux soldats français, mais aussi bon nombre de civils belges. Grandville critique l’irresponsabilité des membres du gouvernement qui envisagent la guerre comme un jeu, sans avoir conscience des conséquences désastreuses.Personnages représentés:Mouton, Georges, comte de Lobau; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Gauthier de Rigny, Henri, comte; Madier de Montjau, Joseph Paulin; Barthe, Félix; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Guizot, François; Orléans, Ferdinand-Philippe d', duc; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 25642

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte‎

‎Poulaupair gargotier restaurateur successeur de Charlot, Rue de Rivoli Lithographie sur blanc.‎

‎Planche numérotée 229, publiée dans le journal la Caricature n°111 du 20 décembre 1832- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 26.4cmx Largeur: 35.5cm‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 25643

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte‎

‎Il faut céder à l’octroi et comment s’en dé-fen-dre [défendre] Lithographie sur blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 13 septembre 1832 (Planche n°199) - Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19.7cmx Largeur: 29.7cm - Titre en bas au centre, sous une portée musicale : « Il faut céder à l’octroi et comment s’en dé-fen-dre [défendre] »; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal.) // (N°97.) », en ht à dte : « Pl. 199. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, sur la pancarte du bar, signature : « E.F.J.G. » [Eugène Forest, lithographe, et Jean-Jacques Grandville, dessinateur]Inscription - Sur la pancarte du bar, annonce du prix du vin : « VIN // à // 15 // 6 [barré] Sols // le litre » ; sur le sachet tenu par l’homme en train de manger à gche : « VIANDE // A LA // main » ; sur le baril tenu par un cuisinier : « Impôt sur // l’huile commune » ; sur la botte de paille : « IMPÔT // sur // le Foin » ; sur le pantalon de la personnification de l’octroi : « OCTROI // 1832 » ; à dte sur l’engin du paysan et sur le cochon : « IMPOSE » ; sur le bœuf : « SUR IMPOSE » ; sous les mains d’un enfant : « POUSSIERISME »iconographie:Observations : cf. explication p. 775 ; description, analyse : la personnification de l’octroi, de face, au premier plan : un être aux longues canines, aux ongles fourchus, et à la panse bien pleine. Il étend les bras sur des représentants du peuple. A gche, des hommes buvant et mangeant. A dte, des paysans, ainsi qu’une mère de famille assise par terre avec ses quatre enfants. Tous ont l’air effrayé de voir le monstre de l’octroi. La pl. dénonce la politique du gouvernement qui tend à imposer l’octroi sur toutes les marchandises, y compris celles de première nécessité (comme celles qui sont présentées dans la pl.), entraînant ainsi un appauvrissement considérable des masses populaires. D’après l’explication, il n’est qu’un moyen pour résister au pouvoir de l’octroi qui affaiblit surtout les pauvres gens: « c’est de faire fortune ». L’octroi participe à l’appauvrissement des plus miséreux, tandis qu’il n’handicape que très peu les privilégiés : en cela, « l’octroi est un digne soutien de la meilleure des républiques » (in explication), désignant ainsi ironiquement la monarchie de juillet et son injustice.‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 25644

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte‎

‎La marche de Gros Gras et Bête et Suite et fin de la marche de gros Gras et Bête [planche double]. 3 planches doubles / [quatre planches doubles]. (Titre de l'ensemble) Lithographies sur blanc.‎

‎1832 Planche double, numérotée 145 et 146, d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°72, du 15 mars 1832. Feuille double page, conservée pliée avec Planche double, numérotée 149 et 150, d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°74, du 29 mars 1832.et Feuille double page, Planche double, numérotée 151 et 152, d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°75, du 5 avril 1832. Feuille double page, La marche de Gros Gras et Bête [quatre planches doubles]. (Titre de l'ensemble) - LithographieDimensions - Œuvre Hauteur: 36.5cmx Largeur: 54.5cm- Planche double, numérotée 145 et 146,149 et 150,151 et 152 - d'une suite de quatre, publiée dans le journal la Caricature n°72, du 15 mars 1832. Feuille double page, conservée pliée, gravure à l'intérieur‎

‎la serie incomplete des 3 planches doubles en noir Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 25645

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte‎

‎E'lèvement des immondices - Lithographie sur velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique volume 4, 25 octobre1832 (Planche n°211)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 24.5cmx Largeur: 20.6cm - Titre en bas au centre : « Elèvement des immondices » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°103. », en ht à dte : « Pl. 211. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, r. Childebert, 9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie Véro-Dodat. » ; dans l’image, en bas à gche, signature : « G. F. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sous le pied droit du roi, deux feuilles avec inscriptions : « 60 » pour l’une, et « la v’la la grande // Ordonnance // qui vient de // paraitre // tout à l’heure » pour l’autre ; sous les pieds de d’Argout, deux feuilles avec inscriptions : « Exposition // Annuelle » pour l’une, et « BEAUX ARTS » pour l’autre ; aux pieds de Soult, deux feuilles avec inscriptions : « Circulaire » pour l’une, et « ETAT DE SIEGE » pour l’autre.iconographie:La table des matières du 4e vol. de "La Caricature" apporte une précision au titre : « (Promotion des 60 pairs) ». Louis-Philippe, à gche, pousse avec un balai vers la pelle de d’Argout des figurines représentant les pairs de France prêts à être jetés dans la charrette qui les emmènera vers le « PALAIS DU LUXEMBOURG ». Soult, à dte, en jette quelques-uns avec sa pelle. Les hommes sont habillés en charetiers. Une poire se trouve dans le coin inf. droit. La pl. dénonce la nomination de soixante pairs de France. Le titre joue sur la ressemblance entre les mots « enlèvement » et « élèvement ».Personnages représentés:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 25646

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‎Grandville , Forest, Eugène-Hippolyte‎

‎Mon cher, je voudrais bien avoir un joli bouquet bien fourni, pour souhaiter la bonne année a mes bons Cousins, Nicolas François et Guillaume. Lithographie sur blanc. Lithographie sur blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 20 décembre 1833 (Planche n°343)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27.2cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 17cmx Largeur: 21.4cm - Titre en bas au centre : « Mon cher, je voudrais bien avoir un joli bouquet bien fourni, pour souhaiter la bonne année a [à] mes bons // Cousins, Nicolas François et Guillaume. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°163. », en ht à dte : « Pl. 343. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « JJ G. AD. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Auguste Desperet, lithographe]Inscription - Le parasol porte deux feuilles collées pourvues d’inscriptions : « REQUIS […] [REQUISITION] », « ATTENTAT // HORRIBLE // 1832. » (référence à l’attentat du 19 novembre 1832. La Caricature (comme bon nombre de journaux d’opposition), était persuadé que cet attentat avait été monté de toutes pièces par le gouvernement. Ainsi la présence de cette référence va dans le même sens que la dénonciation du « procès des 27 »)Description iconographique:Non loin des Tuileries (une grille royale surmontée d’un blason en forme de poire couronnée se trouve à l’arrière-plan à gche), un fleuriste, sous les traits de Persil habillé en magistrat, a installé son échoppe dont on peut lire le nom sur le mur à dte : « AU BOUQUET DE PERSIL // Paircy Fleuriste De la Couronne ». Devant sa boutique, dehors, sous un parasol, il est occupé à confectionner des bouquets. Le roi Louis-Philippe, portant un énorme manteau par-dessus sa redingote, un parapluie et un chapeau haut de forme décoré de la cocarde tricolore dans les mains, s’approche du fleuriste pour lui passer une commande : souhaite-t-il offrir un bouquet à ses cousins à l’occasion de la nouvelle année ? Certainement pas selon l’explication. Le roi est plutôt intéressé par les bouquets contenant les têtes des vingt-sept accusés que Persil prépare. En effet, les bouquets que prépare Persil sont particuliers, puisqu’il ne s’agit pas de fleurs, mais de têtes d’hommes emballées dans des cornets en papier. Celui auquel il est affairé est un des bouquets des « 27 », dans lequel déjà deux têtes sont en place ds le groupe de gche, et trois dans le groupe de dte. Trois autres sont sur le point de les rejoindre. C’est à l’aide de sa petite scie (à l’apparence d’une guillotine miniature) pendant à son bras au bout d’un fil, que Persil a découpé les têtes. D’autres bouquets, dans des pots, entourent le fleuriste. La pl. dénonce ainsi les mesures de répression menées par le gouvernement, qui procède à des accusations que La Caricature juge injustifiées. Et la pl. a plus particulièrement pour sujet le « procès des vingt-sept ». Il s’agit d’un procès intenté à vingt- sept membres de la Société des Droits de l’Homme. Ils comparurent devant la Cour d’Assises. Ils étaient accusés d’avoir formé, lors du troisième anniversaire des journées de juillet 1830, un complot contre la sûreté de l’État. Ils furent finalement acquittés. Persil fut celui qui dressa l’acte d’accusation. Les débats prirent fin le 22 décembre 1833. La pl. dénonce les accusations, qu’elle juge non fondées, portées contre l’opposition républicaine. Dans la pl. en outre, il y a une référence à Lobau sur l’arrosoir posé à gche, puisque le goulot a la forme d’une seringue à clystère et la panse porte la mention « INVENTI […] [INVENTION] // LANCELOT ». Pour une pl. usant de la même thématique du bouquet, cf. pl. 197 du numéro 96 (6 septembre 1832).Personne / Personnage représenté:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français‎

‎iconographie:Non loin des Tuileries (une grille royale surmontée d’un blason en forme de poire couronnée se trouve à l’arrière-plan à gche), un fleuriste, sous les traits de Persil habillé en magistrat, a installé son échoppe dont on peut lire le nom sur le mur à dte : « AU BOUQUET DE PERSIL // Paircy Fleuriste De la Couronne ». Devant sa boutique, dehors, sous un parasol, il est occupé à confectionner des bouquets. Le roi Louis-Philippe, portant un énorme manteau par-dessus sa redingote, un parapluie et un chapeau haut de forme décoré de la cocarde tricolore dans les mains, s’approche du fleuriste pour lui passer une commande : souhaite-t-il offrir un bouquet à ses cousins à l’occasion de la nouvelle année ? Certainement pas selon l’explication. Le roi est plutôt intéressé par les bouquets contenant les têtes des vingt-sept accusés que Persil prépare. En effet, les bouquets que prépare Persil sont particuliers, puisqu’il ne s’agit pas de fleurs, mais de têtes d’hommes emballées dans des cornets en papier. Celui auquel il est affairé est un des bouquets des « 27 », dans lequel déjà deux têtes sont en place ds le groupe de gche, et trois dans le groupe de dte. Trois autres sont sur le point de les rejoindre. C’est à l’aide de sa petite scie (à l’apparence d’une guillotine miniature) pendant à son bras au bout d’un fil, que Persil a découpé les têtes. D’autres bouquets, dans des pots, entourent le fleuriste. La pl. dénonce ainsi les mesures de répression menées par le gouvernement, qui procède à des accusations que La Caricature juge injustifiées. Et la pl. a plus particulièrement pour sujet le « procès des vingt-sept ». Il s’agit d’un procès intenté à vingt- sept membres de la Société des Droits de l’Homme. Ils comparurent devant la Cour d’Assises. Ils étaient accusés d’avoir formé, lors du troisième anniversaire des journées de juillet 1830, un complot contre la sûreté de l’État. Ils furent finalement acquittés. Persil fut celui qui dressa l’acte d’accusation. Les débats prirent fin le 22 décembre 1833. La pl. dénonce les accusations, qu’elle juge non fondées, portées contre l’opposition républicaine. Dans la pl. en outre, il y a une référence à Lobau sur l’arrosoir posé à gche, puisque le goulot a la forme d’une seringue à clystère et la panse porte la mention « INVENTI […] [INVENTION] // LANCELOT ». Pour une pl. usant de la même thématique du bouquet, cf. pl. 197 du numéro 96 (6 septembre 1832).Personnage représenté:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville , dessinateur-lithographe - Julien, Bernard-Romain, dessinateur-lithographe‎

‎Ecritoire monarchique . Lithographie sur blanc.‎

‎Planche numérotée 298, publiée dans le journal la Caricature n°142 du 25 juillet 1833- Lithographie,taches en marge - Œuvre: Hauteur: 27.2cmxLargeur: 36.1cm‎

‎Ecritoire monarchique (IFF 45). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 25648

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‎Grandville , dessinateur - Attribué à Julien, Bernard-Romain‎

‎Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ; Mieux vaudrait un sage ennemi - Lithographie sur blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 16 août 1832 (Planche n°191- Lithographie - Œuvre:Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 22cmx Largeur: 28.8cm - Titre en bas au centre : « Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ; // Mieux vaudrait un sage ennemi. » ; légende plus bas à dte : « (L’ours et l’amateur de jardins. Lafontaine.) » ; indications, en ht à gche : « La Caricature (Journal) // (N°93) », en ht à dte : « Pl. 191. » - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « Grandville et Julien » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Bernard-Romain Julien, lithographe ?]Inscription - Sur la pierre tenue par l’ours : « Procès », « Saisies » ; sur les ailes de la grosse mouche : « Caricature », « Journal » ; sur les liasses de papier sur lesquelles s’est endormi le roi : « Protocole 7 », « Protocole 9999 »Description iconographique:Observations : cf. explication de la pl. p. 742 et l’article « VINGT ET UNIEME SAISIE » p. 739. Parodie de la fable de La Fontaine "L’ours et l’amateur des jardins", dans laquelle un ours assomme un vieillard endormi avec une pierre alors qu’il voulait simplement tuer une mouche. La pl. dénonce les moyens répressifs considérables déployés par le gouvernement (saisies, procès) à l’encontre de certaines pl. (en l’occurrence, il s’agit de la pl. 187 du numéro 92 de La Caricature). Ici, dans un jardin, au premier plan à dte, l’ours incarne le mandat Zangiacomi qui permit la saisie de plusieurs numéros de La Caricature. A bout de bras, il tient une pierre en l’air, qu’il s’apprête à jeter sur la mouche incarnant le journal La Caricature, posée sur un homme endormi par terre, le roi Louis-Philippe. Ce dernier est reconnaissable à sa coiffure (toupet), au parapluie et au chapeau à cocarde tricolore disposés à dte de la composition. La pl. tente d’expliquer que les saisies de pl. de La Caricature jouent finalement contre le roi, puisqu’elles tendent à en faire la publicité, à populariser des motifs inventés par le journal qui serait passés presque inaperçus sans cela. L’explication rappelle le succès populaire rencontré par les poires dessinées par Philipon lors d’une séance de son procès. Ainsi, les saisies sont jugées irresponsables puisqu’elles contribuent à détruire l’image du roi des Français, bien plus que l’image caricaturale en elle-même.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français‎

‎iconographie:Observations : cf. explication de la pl. p. 742 et l’article « VINGT ET UNIEME SAISIE » p. 739. Parodie de la fable de La Fontaine "L’ours et l’amateur des jardins", dans laquelle un ours assomme un vieillard endormi avec une pierre alors qu’il voulait simplement tuer une mouche. La pl. dénonce les moyens répressifs considérables déployés par le gouvernement (saisies, procès) à l’encontre de certaines pl. (en l’occurrence, il s’agit de la pl. 187 du numéro 92 de La Caricature). Ici, dans un jardin, au premier plan à dte, l’ours incarne le mandat Zangiacomi qui permit la saisie de plusieurs numéros de La Caricature. A bout de bras, il tient une pierre en l’air, qu’il s’apprête à jeter sur la mouche incarnant le journal La Caricature, posée sur un homme endormi par terre, le roi Louis-Philippe. Ce dernier est reconnaissable à sa coiffure (toupet), au parapluie et au chapeau à cocarde tricolore disposés à dte de la composition. La pl. tente d’expliquer que les saisies de pl. de La Caricature jouent finalement contre le roi, puisqu’elles tendent à en faire la publicité, à populariser des motifs inventés par le journal qui serait passés presque inaperçus sans cela. L’explication rappelle le succès populaire rencontré par les poires dessinées par Philipon lors d’une séance de son procès. Ainsi, les saisies sont jugées irresponsables puisqu’elles contribuent à détruire l’image du roi des Français, bien plus que l’image caricaturale en elle-même.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur- Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎Hé bien ! vous devez être content ?..... ça marche…..je n’en descends pas mal ! – Oh ! il y en a encore diablement qui m’inquiètent !.....Lithographie coloriée sur blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 3 juillet 1834 (Planche n°401)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 22cmx Largeur: 25.8cm - Titre en bas au centre : « hé bien ! vous devez être content ?..... ça marche…..je n’en descends pas mal ! // – Oh ! il y en a encore diablement qui m’inquiètent !...... » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal). N°191. », en ht à dte : « Pl. 401. » - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur]Inscription - Sur le dos des livres rangés dans la bibliothèque, à dte, des titres : « police », « FORTIFICATIONS » (référence à la volonté du gouvernement d’encercler Paris de forts afin de protéger la ville. Cette idée fut vivement contestée par l’opposition qui y vit un moyen pour le pouvoir d’emprisonner les Parisiens dans leur ville), « VIDOCQ » (certainement les Mémoires de Vidocq, chef de la police de Sûreté, jusqu'en 1827 par Eugène-François Vidocq), « HISTOIRE », « L’AVARE » (de Molière, en référence à la cupidité du roi Louis-Philippe), deux vol. sur « MANDRIN » et « CARTOUCHE » (deux célèbres brigands du XVIIIe siècle). Enfin, un autre livre porte sur la quatrième de couverture le nom de l’auteur du Prince « MACHI // AVEL [MACHIAVEL] ». Les autres ouvrages ne portent pas de titre. La frise décorative sup. de la bibliothèque comporte des motifs de poires encadrant une petite cassolette. L’ouvrage posé sur la chaise à dte, sous laquelle repose un coffre, est le registre « DES // BUDJETS [BUDGETS] ». Enfin, gisent à terre au premier plan à dte des papiers épars portant les titres : « RAPPORT // DE // POLICE », « JOURNAL DEP […] [DEPARTEMENTAL] »‎

‎iconographie:La mort, personnifiée par un squelette portant des vêtements et un bicorne, vient recueillir les louanges auprès du roi Louis-Philippe, que ce dernier lui doit pour le travail accompli. Ce travail, c’est l’élimination des ennemis du régime. Le roi, vu de dos (mais reconnaissable aux favoris et au toupet), vêtu d’une grande redingote et chaussé d’une petite paire de lunettes, est occupé à lire la liste des personnes évincées par le gouvernement. De ht en bas : « DEPUTE Géneral [général] Lamarqu […] [Lamarque] // IDEM……. Dulong » // IDEM Genrl [général] Laffayett […] [Lafayette] // [ ?] nger Napoléon 2 // […] ional [national] Conseil » (références à Jean-Maximilien Lamarque, à Charles Dulong, et au général La Fayette). Suit la liste des journaux de l’opposition, inquiétés par le gouvernement, de ht en bas : « Tribune // Messager // Caricature // Charivari ». Enfin, c’est la liste des personnes dont se méfie le gouvernement : « Sous Offici […] [Officiers] // Electeurs // Henri V // L’abbé La […] [Lamennais] // Précurseur // Patriotes [ ?] // REPUBLICain ». D’après la pl., le roi aimerait également voir ces personnes mortes afin de pouvoir exercer son pouvoir en toute tranquillité sans opposition ni contestation d’aucune sorte. L’explication précise que « la Mort a endossé la livrée de la monarchie citoyenne », c’est-à-dire qu’elle s’est mise au service du gouvernement de Juillet. Sur le mur du fond, à gche, est accroché le parapluie du roi. Enfin, le tableau accroché au mur, au centre, est certainement une représentation de la bataille de Valmy de 1792. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 25650

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‎Roubaud, Benjamin (dit Benjamin)‎

‎La France traine [traîne] son boulet - Lithographie sur blanc-‎

‎1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 27 décembre 1833 (Planche n°345)- Lithographie sur blanc- Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 18cmxLargeur: 28cm - Titre en bas au centre : « La France traine [traîne] son boulet. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) 164. », en ht à dte : « Pl. 345. » Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie vero dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur],pli à gauche,sinon bon.‎

‎Dans un paysage de plaine désolée, un monticule de pierres à dte, sur lequel est assise la figure de la France, sous les traits d’une femme plantureuse vêtue d’une robe sombre ouverte sur un large décolleté, couronnée d’une maquette de fortifications (la désignant comme l’allégorie de la France). Son bras gche est posé sur ses jambes, tandis qu’elle appuie son front sur sa main dte, le bras plié et posé sur une pierre. La pl. propose une image de la France affligée. La cause de cet accablement est accrochée à son pied gche : elle est en effet enchaînée à un boulet de prisonnier dont la forme s’apparente à celle d’une poire. Il est représenté au premier plan à gche. Il s’agit de la représentation caricaturale du visage du roi Louis-Philippe. Ainsi la pl. critique vivement la politique menée par le roi Louis-Philippe, en assimilant ce dernier à un boulet, c’est-à-dire une entrave au bon développement du pays. C’est une manière de dénoncer le bafouement des principes républicains. Une souche d’arbre mort située derrière la France contribue à amplifier l’atmosphère pathétique qui se dégage de cette pl. Enfin, à l’arrière-plan, deux hommes, habillés en gardes, surveillent la France. Il s’agit de Soult et Lobau. Critique de la situation présente jugée intolérable, cette pl. est également un encouragement à faire évoluer les choses et est signe d’espoir, si l’on en croit l’explication : « La France n’est pas condamnée au boulet à perpétuité, et tôt ou tard la Liberté le lui détachera ».Personnages représentés: Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Mouton, Georges, comte de Lobau Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 25651

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‎Grandville & Julien.TALLEYRAND‎

‎Gare les Quilles (bewarethe skittles)‎

‎1832 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No 93. Pl[anche] 189. [Paris] Becquet for Maison Aubert [16 August 1832]. Lithograph. Overall paper size: 21.3 × 32.6cm.; caricature de Grandville et Julien, parue sous le n° 93 dans le journal La Caricature, le 16 août 1832. Talleyrand est à terre , pour "ramasser et remettre en place " les souverains et les princes européens que la "Liberté", invisible ici, s'apprête à faire tomber. C'est don Miguel, roi du Portugal, que le diplomate tient dans sa main droite. A demi caché, le jeune duc d'Orléans, fils aîné du roi Louis-Philippe.Satirical print showing an allegory of Liberty fighting against the monarchical principle by attempting to upset the political arena with a revolutionary bowl. Her opponent in the ‘bowling alley’, a barren hillside outside a castle, is the seasoned diplomat Talleyrand, who is sitting on the ground facing her, his crutch visible to the right. The skittles are miniature images of European princes; King Louis Philippe is recognizable from behind in the centre of the print, and half-hidden in front of him, is his eldest son, the young Ferdinand-Philippe Duc d’Orleans. Supporting himself with his left hand, Talleyrand has restored to its place the diminuative effigy of Dom Miguel I, the auto- cratic young ruler of Portugal, with his right hand.A vitriolic caricature of all members of the July Monarchy govern- ment, mocking its repression of the opposition, and its weak foreign policy. Louis Philippe, represented as a fat, effeminate king wearing a toga, is accompanied by a decadent family and scheming, corrupt ministers. The composition is dominated by Talleyrand to the left who is portrayed as Vulcan, forging chains and protocols. He is sitting on netting with which he ensnares the world; a fleur-de-lys is tattooed on his right forearm; his orthopaedic shoe is on the correct foot and his crutch is partly buried under documents to his right.‎

‎Bernard-Romain Julien (1802–1871), a prominent lithographer from Bayonne, worked closely with Grandville.Satirical print showing an allegory of Liberty fighting against the monarchical principle by attempting to upset the political arena with a revolutionary bowl. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 24403

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‎Forest] E. & J. Grandville -TALLEYRAND - Forest, Eugene Hippolyte‎

‎Les faux dieux de l’Olympe.‎

‎1832 Planches HT parues dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 20 septembre 1832 (Planches n°200 et 201)La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature (Journal) No.98. [Paris] Becquet for Maison Aubert [22 September 1832] Lithograph. 32.7 × 52.3 cm.Talleyrand est Vulcain forgeant des chaînes et des protocoles ; il est assis sur les filets dont il entortille le monde... Une fleur de lys est tatouée sur le bras droit. Titre en bas au centre : « LES FAUX DIEUX DE L’OLYMPE. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°98) », en ht à dte : « Pl. 200, 201. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « E.F.J.G. » [Eugène Forest, lithographe, et Jean-Jacques Grandville, dessinateur]Inscription - Une fleur de lys tatouée sur le bras droit de Talleyrand ; sur les poteaux à gche : « TRAVAI […] [TRAVAIL] // PUBLIC », « ROUTE // des // BEAUX // ARTS » (charges ministérielles incombant à d’Argout)Assemblée des membres du gouvernement de Juillet, travestis en dieux de l’Olympe ou personnifications de concepts. Au premier plan, de gche à dte : Thiers en Mercure volant, un petit putto aux yeux bandés représentant le Juste-Milieu tenant un carquois contenant les « TRAITS LOURDS » des journaux favorables au gouvernement (« MONITE […] [MONITEUR] », « NOUVELL […] [NOUVELLISTE] », « [JOURNAL DES] DÉBATS »), une Vénus entourée de sacs d’or, de décorations (épaulettes, croix d’honneur, écharpes…). Elle tient, de plus, sur ses genoux, de petites statuettes (Némésis et sans doute le Figaro, c'est-à-dire les deux journaux naguère d’opposition, et servant ensuite le gouvernement, lequel a acheté leur silence avec de l’argent). Le baron Louis, dans l’ombre, représente l’Avarice, posant ses pieds crochus sur un sac d’or. Au deuxième plan, de gche à dte : Talleyrand en Vulcain, forgeant des chaînes et des protocoles (« PROTOCOLE // N°73050 », « BELGIQUE », « « ANGLETE […] [ANGLETERRE] », « PROTOC […] // N°74051 »), des serments (« SERMENS [SERMENTS] // de // 93 à 1832 »), l’histoire de la « révol [révolution] », Cerbère gardant les prisons de « Ste PELAGIE », de « LA FORCE » (chien à trois têtes couvertes de casquettes de police). La Discorde tenant non une pomme, mais une poire, et la Cupidité tenant un registre d’ « AGIOT » au-dessus du temple de la Bourse. Au troisième plan, de gche à dte : d’Argout en statue de Pan en terme (avec une palette et des pinceaux à la base), les furies : Persil avec ses « saisies » et « condamnation », Guizot et sa guizotine (la troisième furie n’est pas identifiée). Soult en Mars brandit un cierge, une figure ( ?) tient une fourche tordue et une clé de cachot. Barthe en Thémis tient un double glaive et une balance, Girod de l’Ain en Bacchus, Lobau en Neptune tenant la seringue à clystère se terminant en trident. Viennet en Apollon (ou Orphée ?) joue la « PHILIPPIDE » à la harpe, Montalivet, représentant la Flatterie, verse de l’ambroisie (sous forme de papiers avec les inscriptions : « TRES FIDELE SUJET // FLATTERIE ») dans la coupe de Louis-Philippe en Jupiter, accompagné de son coq foulant des armes, et coiffé d’une couronne en forme de poire. Derrière lui, la Paix avec son rameau, et la Frayeur avec son lièvre. Le duc d’Orléans en Hercule s’appuyant sur sa massue portant l’inscription « DISCOURS », Dupin en Momus, dieu de la Folie, ayant pour marotte une chaussure. Et enfin, Sébastiani, en paon (sans doute Junon). A l’arrière-plan, une figure volante représentant le journal le « MONITEUR », la Nuit, répandant des pavots, et un zodiaque qui sert à dénoncer les différents événements des derniers mois (« JUIN 1832 » avec une balance, « JUILLET 1832 » avec un lion, « AOUT 1832 » avec un scorpion, « SEPTEM […] [SEPTEMBRE 1832] »). Puis, un homme portant une faux : il s’agit de Saturne, emportant avec lui dans son sac la « MEILLEURE // REPUBLIQUE ». Ce dieu se retire aux Etats-Unis (La Fayette ?). Et enfin, un siège vide au centre : il s’agit de celui de la « Sagesse » (in explication).‎

‎Personnages représentés : Thiers, Adolphe ; Louis-Philippe Ier, roi des Français ; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet ; Girod de l'Ain, Louis Gaspard Amédée, baron (Louis Gaspard Amédée Girod dit) ; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné) ; Sebastiani, Horace ; Soult, Nicolas-Jean de Dieu ; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron ; Persil, Jean-Charles ; Barthe, Félix ; Viennet, Jean Pons Guillaume ; Cruciani, François ; Guizot, François ; Mouton, Georges, comte de Lobau ; Orléans, Ferdinand-Philippe d', ducA vitriolic caricature of all members of the July Monarchy govern- ment, mocking its repression of the opposition, and its weak foreign policy. Louis Philippe, represented as a fat, effeminate king wearing a toga, is accompanied by a decadent family and scheming, corrupt ministers. The composition is dominated by Talleyrand to the left who is portrayed as Vulcan, forging chains and protocols. He is sitting on netting with which he ensnares the world; a fleur-de-lys is tattooed on his right forearm; his orthopaedic shoe is on the correct foot and his crutch is partly buried under documents to his right.Print shows a group of French political figures as the "false gods of Olympus" each depicted with some attribute of the classical god they are portraying, among them are Georges Mouton as Neptune, Etienne-Denis Pasquier as flattery playing a lyre, Girod de l'Ain as Bacchus, a man as Themis, overhead is a female figure representing the "Moniteur", Marshall Soult as Mars, Félix Barthe as Cyclops, François Guizot as a Fury, Charles Maurice de Talleyrand-Périgord as Vulcan, comte d'Argout as Pan, Adolphe Thiers as Mercury, a blind putti with a quiver of arrows, Venus reclines among objects of wealth next to Joseph Dominique, H.F.B. Sébastiani as a peacock, Andre Dupin as Momus, wearing a fools cap, Ferdinand Philippe, duc d'Orleans as Hercules, and Louis-Philippe, the "citizen king" of the French, as Jupiter, seated with a rooster between his legs. In the upper right corner, Father Time departs.OCLC Number: 844964174 Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville & Forest - TALLEYRAND‎

‎Memento homo quia pulvis es et pulverem reverteria - Pl. n°1. de la série "Cérémonie des cendres politiques".Lithographie, Coloriée.‎

‎1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 21 février 1833 (Planche n°248) -La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No 120, plate 248. [Paris] I. de Becquet for Maison Aubert -[28 February 1833]. Hand-coloured lithograph. Overall paper size 27.5 × 36.5 cm.Titre en bas à gche : « Memento homo quia pulvis es et in // pulverem reverteris. » ; légendes, en bas, de gche à dte : « Paillasse…. », « Tupin. », « Le grand conquérant // de la Hollande. », « Lebeau Lancelot. », « Le prince // Cartouche de Damas-scie. », « Le petit diable d’argent. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°120. », en ht à dte : « Pl. 248. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue de Childebert n°9. » [imprimeur] ; « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur].Description iconographique:Pl. n°1. de la série "Cérémonie des cendres politiques". Cf. pl. n°2 (pl. 250 du numéro 121) et pl. n°3 (pl. 251 du numéro 121). Le titre est une citation latine extraite de la Genèse, vers 19, signifiant : « Souviens-toi, homme, que tu es poussière, et que tu redeviendras poussière ». A gche se trouvent trois personnages, figures du peuple, dans l’encadrement d’une porte, juchés au sommet de deux marches : un homme (ayant participé à la révolution de Juillet) tient en l’air un pavé portant les dates des Trois Glorieuses « 27. 28 // 29 » (juillet) qu’il s’apprête à jeter sur le groupe de personnages en face de lui. Il est accompagné de deux enfants (« ces enfans [enfants] sont les gamins héroïques qui firent les barricades », in explication) : l’un, coiffé d’un bonnet phrygien décoré de la cocarde tricolore, porte un sac contenant des pavés, tandis que l’autre tient un plat sur lequel se trouvent deux autres pavés. Le groupe de personnages s’avançant se compose des membres du gouvernement. De gche à dte: Louis-Philippe, déguisé en Paillasse (les boutons du costume sont en forme de poire). Il a posé par terre sson chapeau décoré de la cocarde tricolore. A genoux, il joint ses mains pour supplier les hommes du peuple de l’épargner. Puis Dupin, déguisé en sauvage et tenant un gourdin portant l’inscription « PLAISANTERIE ». Ensuite, le conquérant de la Hollande (le duc d’Orléans). Puis vient Lobau, portant une perruque d’ancien régime, un grand tablier blanc et tenant de sa main dte un seringue à clystère. Soult vêtu à la mode de Louis XIII, fait reposer son genou droit sur une béquille. Enfin, Thiers, portant un vêtement de petit diable blanc (il porte un bonnet blanc pourvu de cornes, et une queue dépasse de son pantalon). La pl. met en garde le gouvernement de ne pas trahir les idéaux républicains qui ont présidé à la naissance de la monarchie de juillet. Elle rappelle le rôle fondamental du peuple dans l’instauration du régime. Elle entend rappeler au roi et aux ministres que c’est grâce au peuple que la monarchie de juillet a pu voir le jour, et menace de faire basculer le régime en place si les idées républicaines sont bafouées. L’explication est très claire : « Souvenez-vous que c’est moi, moi peuple, qui vous ai faits tous, et que je puis vous défaire demain si vous êtes parjures, si vous êtes prévaricateurs, si vous êtes prodigues de mon sang et de ma sueur, si vous gaspillez mon bien, si vous enchaînez ma liberté ».‎

‎Personnages représentés:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Mouton, Georges, comte de Lobau; Orléans, Ferdinand-Philippe d', ducA satire on royal censorship lifted for the carnival designed in two consecutive prints to be assembled as a panorama of a motley proces- sion of 22 comic figures, five of whom are carrying a rotund paper dummy made up of various newspapers. The first figure in the group is a judge with an axe who is holding up a poster proclaiming the death penalty, the last man is Talleyrand, depicted as a limping devil, all in red with a red face mask and horns; the artist has again attached the surgical boot in error to the left foot. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville & E.Forest.-‎

‎Résurrection de la Censure Et elle ressuscita le troisième jour après sa mort » (évangile St Luc) - Lithographie en noir.‎

‎1832 Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 5 janvier 1832, (Planche n°125)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 27.8cmx Largeur: 26.6cm- Titre en bas au centre : « Résurrection de la Censure. » ; légende plus bas au centre : « Et elle ressuscita le troisième jour après sa mort » (évangile St Luc) » ; indications, en ht à gche : « N°62. », en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « Pl. 125. Inscription - Dans la lettre : Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro-dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « J.J. Grandville / E. Forest [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Inscription - Sur les façades de théâtre, de gche à dte : « THEA[…] [THÉÂTRE] DE VARIÉTÉS », « […] [THÉÂTRE] NOUVEAU » ; noms des journaux indiqués sur des personnages ou des numéros épars : « CONSTITUTION[…] [CONSTITUTIONNEL] », « LA FRANCE [ ?] », « LA TRIBUNE » ; dans la boîte, sur des papiers : « PROCES du / MARECHAL / NEY » (maréchal Ney condamné à mort en 1815 ; jugé injuste par La Caricature); sur des pierres en bas,‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) & Paillet - TALLEYRAND‎

‎Cet enfant la ne marchera jamais seul.Lithographie en couleur.‎

‎1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 29 août 1833 (Planche n°308)- La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No 147.coloriée. Plate 308. [Paris de Becquet for Maison Aubert [29 August 1833] Lithograph. Overall paper size 34.5 × 25.8 cm.French caricature of Talleyrand’s proposal to Lord Palmerston to form an alliance with Britain to counter-balance the continental league of the autocratic states of Russia, Austria, and Prussia.The print represents Talleyrand standing, supported on a crutch, reining in the infant Louis-Philippe, whilst King William IV bemus- edly looks on, commenting: ‘this child will never walk alone’. One rein is marked ‘Traite de 1815’, the other ‘Sainte Alliance’. Louis- Philippe is depicted from behind as a small boy in skirts playing with a miniature fortress and pulling a toy cannon. As usual with this artist, Talleyrand’s surgical boot is attached in error to his left foot.1 Benjamin Roubaud (1811–1847), lithographer, etcher and painter, made his name as an inspired Parisian caricaturist, contributing to the humorous comic journal La Caricature (1830–1835); he signed himself ‘Benjamin’or ‘A.B.’Dwyer 762 (misdated 1834).‎

‎signature : « Benjamin et Paillet » [Benjamin Roubaud, dessinateur, et Paillet, graveur]- Inscription - Sur le château de sable, un graffiti en forme de poire ; sur les laisses avec lesquelles Talleyrand tient le roi : « Traités de 1815 » et « Sainte alliance »Description iconographique:Talleyrand, à dte de la composition, vu de profil, appuie son bras gche sur une béquille. Il tient en laisse un enfant vêtu d’une robe rose et d’un petit fichu bleu (« en moutard tricolore » in explication). Vu de dos, il est reconnaissable au toupet et aux favoris : il s’agit du roi Louis-Philippe, occupé à construire un château de sable avec une truelle. Il tient en laisse un petit canon posé sur une plate-forme à roulettes. Allusion à son désir d’édifier des forts autour de Paris. Derrière eux se trouve Guillaume IV, roi du Royaume-Uni. Il montre Louis-Philippe du doigt tout en regardant Talleyrand avec un sourire moqueur. Il semble donner des ordres à Talleyrand. Cette pl. est une référence au projet de rapprochement avec l’Angleterre tenté par Talleyrand en direction de Palmerston pour contrer l’alliance continentale de la Russie, l’Autriche et la Prusse (Sainte-Alliance de 1815 entre ces trois pays, puis rejointe par la France en 1818 grâce à l’action de Talleyrand). Or, Guillaume IV s’y opposa, fervent défenseur de l’isolationnisme (le Royaume-Uni avait déjà refusé, en 1818, d’entrer dans la Sainte-Alliance). La pl. se moque du manque d’autonomie et d’autorité de Louis-Philippe sur l’échiquier européen.Personnages représentés:Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Travies de Villers, Charles Joseph -TALLEYRAND‎

‎Le Char de l’Etat. Lithographie‎

‎1833 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No.158, 14 November 1833, planche double,pli central - plates 330–1.planche double en noir- [Paris,] Lithograph. Overall paper size,33 × 55.5 cm. Vertical folds.‎

‎Le char de l'Etat se traîne péniblement sur la route de Cherbourg. Dans la voiture de l'argent ; le cocher est un anglais Louis Philippe est à côté. Talleyrand est à l'arrière. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Travies de Villers,Charles Joseph -TALLEYRAND‎

‎Il serait plus facile d’arreter le soleil.Lithographie.‎

‎1833 Planche HT double parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 20 décembre 1833 (Planche 341-342)- Hauteur: 35.6cmxLargeur: 53cmDimensions - Image :Hauteur: 27.5cmx Largeur: 48cm - Titre en bas au centre : « IL SERAIT PLUS FACILE D’ARRÊTER LE SOLEIL. » ; indications : en ht à gauche : « La Caricature (Journal) N°163. », en ht à dte : « Pl. 341 et 342. »- Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « C.J. Traviès. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Inscription - Sur les feuilles emballant les pierres, sous les roues du char, des inscriptions, de dte à gche : « Congrès », « Ste Alliance », « Légitimité // quasi-légitim […] légitimité », « ARMEES // PERMANANTES [PERMANENTES] », « INQUISITION // DE LA // PENSEE », « Inviolabilité // Royale », « Irrespon // sabilité [Irresponsabilité] // royale », « IMPÔTS », « PRIVILEGES // et // MONOPOLES ». Sur les cordes attachées au char et que tiennent les ministres : « PROCES A LA PRESSE », « attaques au jury AMENDES », des noms de prisons : « MONT St MICHEL. la Force » (2e câble), « illégalité état », « siège Conseils de guerre », « ecrivains [écrivains] [ ?] LEVES A leur juges [ ?] » (1e câble). Sur les papiers à terre sous les genoux de Talleyrand : « TRAITE D […] [DE] // 1815 // PROTOCOLE // 1833 », « il ne faut pas // flatter les peuples »La figure de la liberté, sous les traits d’une femme portant un bonnet phrygien décoré d’une cocarde tricolore, est debout dans un char, tenant une lance dans la main gche et les rênes des deux chevaux dans l’autre. Derrière, les ministres de la monarchie de Juillet et le roi tentent de retenir le char dans sa marche. Ils forment « la mauvaise queue de la contre-révolution » (in explication). Soult, d’Argout, Guizot, Montalivet et Persil tendent la première corde. (celle de l’illégalité, de l’état de siège, des conseils de guerre). Barthe, Humann, Dupin et Gisquet tirent le câble des attaques contre la presse, des amendes… Thiers s’accroche à la redingote du roi. Le bâton des « Procès à la PRESSE » a été jeté dans une des roues du char pour freiner son avancée. Talleyrand jette des pierres sur le chemin de la Liberté afin de ralentir le char. Elles sont emballées dans des feuilles portant des inscriptions mentionnant les diverses mesures prises pour contrecarrer l’avancée de la république. A quatre pattes par terre, sa main dte repose sur une pierre portant le projet d’une « 3e Restaura […] [Restauration] » pour la France. L’explication précise que « la Liberté se rit de ces vains efforts, qui en font que retarder un peu sa marche prudente, et passe par-dessus ces pierres d’achoppement, qui produisent à peine de légers cahots. ». Le corbeau, oiseau de mauvais augure, plane au-dessus de la scène. Il est annonciateur d’un destin funeste à cette entreprise qui vise à détruire la république et la liberté. La phrase de titre est significative de l’impossibilité de freiner la marche de la liberté qui « poursuit sa carrière, d’un pas lent, mais sûr » (in explication).‎

‎Personnages représentés :Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet; Humann, Jean Georges; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Thiers, Adolphe; Guizot, François; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Barthe, FélixLa Liberte, radieuse sur son char tire par deux chevaux, avance lentement mais surement. Talleyrand, au premier plan, cherche a entraver la marche du char en placant des paves (impots, privileges etc...) sous ses roues. Derriere le char, Louis-Philippe aide par Thiers, cherche aussi a arreter le char ainsi que Soult, d’Argout, Guizot, Montalivet et Persil. Berthe, Humann, Dupin et Guisquet tirent le cable des attaques contre la presse. La Liberte se rit de ces vains e orts qui ne retardent sa marche que tres legerement.La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No.163, Plate 341–2. [Paris ] I. de Becquet for Maison Aubert [20 December 1833] Lithograph. Overall paper size 35.7 × 55.5 cm. Central vertical fold.Caricature of the forces of French reaction attempting in vain to halt the triumph of Liberty represented standing serenely on a chariot holding a spear in her left hand, whilst guiding two splendid stallions to advance. Behind the chariot, Louis-Philippe, his ministers, and judges are desperately trying to stop it moving forward; some are so exhausted, a crow is tempted to attack them from above. In the foreground, Talleyrand, crouching on old legislation, is trying to damage the spokes of the wheel by throwing rocks at it; nine rocks already thrown, bear the names of past issues between the king and the opposition. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Travies de Villers, Charles Joseph- TALLEYRAND‎

‎Une Execution sous Louis Onze. (XI.) Lithographie‎

‎1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No. 180, planche double -plate 378–9. [Paris] Delaunois for Maison Aubert, 17 April 1834. Lithograph. Overall paper size 32.6 × 40.9 cm. Horizontal and vertical fold.Caricature of the July Monarchy’s repressive measures against workers’ uprisings in Lyon and Paris, the so-called ‘April insurgents’. Louis-Philippe is compared to the late mediaeval king Louis XI, notorious for his cunning and cruelty. The print represents a pseudo- mediaeval execution scene with Liberty in a white dress and red cap standing in front of the gallows flanked by jailors. Louis-Philippe wearing a helmet with chain-mail is shown from behind standing on top of the dungeons of Ste Pelagie giving final instructions. To the left, lecherous monks and gloating courtiers are looking on; to the right a moustachioed Talleyrand dressed as a cardinal is in attendance with other ministers in ancient dress or armour. His surgical shoe is wrongly shown on his left foot. Armed mounted guards and a large fortress in the background complete the scene.‎

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‎Grandville J.J. & E.Forest - TALLEYRAND‎

‎Voila Messieur vos seules espérances [...].Lithographie‎

‎1832 Planche publiée dans le journal la Caricature n°63, le 12 janvier 1832, pl.128- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 28.3cmx Largeur: 36.3cm,plis‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur - TALLEYRAND‎

‎La Quadruple alliance.Lithographie.‎

‎1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature( Journal) No 200 Plate 419 [Paris] Delaunois for Aubert [September 1834] Lithograph. Platemark 23 × 27 cm; overall paper size 26.5 × 33 cm.the club foot in error attached to the sitter’s left leg. Four crowned monarchs are swearing their oath by placing a hand on the holy book; from left to right: the rotund figure of Louis-Philippe, the infant Isabella II of Spain supported by a wooden baby walker has dropped her doll, the girlish Maria II of Portugal in a mantilla holding up a doll in her right hand and touching the bible with her left, and KingWilliamIV.French caricature of the Quadruple Alliance of 4th September 1834 portraying Talleyrand dressed as a bishop with mitre and crozier seated in the centre holding a large opened bible; the artist shows‎

‎bon état,pli vertical Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Travies de Villers,Charles-Joseph -TALLEYRAND‎

‎Theatre Royal des Marionettes.‎

‎La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No. 204. Plate 426. [Paris] Delaunois for Maison Aubert [12 October 1834]. Lithograph. Overall paper size 33.3 × 26.2 cm.‎

‎Caricature of Louis-Philippe manipulating his ministers. The king is represented as puppet-master controlling his theatre below; he is pulling into action the recently appointed Marshal Gerard, who is standing in front of a table surrounded by seven other ministerial puppets; the rivals Thiers2 and Guizot3 are recognizable in the centre, whilst Talleyrand occupies a prominent position to the right supported on a crutch under his left shoulder. Some light traces of foxing.1 Etienne Maurice, Comte Gerard (1773–1852) had an exceptionally distin- guished military career throughout the Napoleonic period reaching the rank of divisional general. Louis-Philippe appointed him Minister of War and a Marshal of France. In this capacity he commanded the French army during the Belgian Revolution and briefly served as prime minister in 1834;2 LouisAdolpheThiers(1797–1877),politicianandhistorian,wasamemberof the liberal opposition during the reign of Charles X. He persuaded Louis- Philippe to act in 1830, and served as foreign minister to the July Monarchy in 1836 and in 1840. Thiers became Head of State after the Franco-Prussian War;3 Francois Pierre Guillaume Guizot (1787–1874), statesman and historian, was a liberal opponent to the reactionary Restoration government of Charles X. As Orleanist Minister of Education (1832–37), he established primary schooling. Guizot subsequently served as Orleanist foreign minister (1840–47) and prime minister (1847–48).Dwyer 763. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Travies de Villers,Charles-Joseph - TALLEYRAND‎

‎Atelier de la Caricature et du Charivari (L’on garantit la parfaite ressemblance.)‎

‎La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No.210. Plate 438. [Paris] Delaunois for Maison Aubert [13 November 1834] Lithograph. Overall paper size 26 × 33.7 cm.‎

‎A humorous view of the workshop serving the two famous satirical magazines, where perfect likeness is guaranteed to any victim of the caricaturist’s pen. It shows an artist with a cat-o’-nine-tails attached to his belt, taking a sketch of King Louis-Philippe seated in front of him wearing nothing but an overcoat; models of topical politicians abound, including one of Talleyrand in the centre striding with outstretched hands wearing a toga. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) - TALLEYRAND‎

‎Traites de la quadruple alliance... Resurrection de don Carlos ....Lithographie.‎

‎1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique- La Caricature ( Journal) No 196, plate 411 [Paris] Delaunois for Maison Aubert [7 August 1834] Lithograph. Platemark 32 × 27cm; overall paper size 36.3 × 27.6 cm.,rare,bon étatFrench caricature of the Quadruple Alliance between France, Great Britain, Spain, and Portugal signed on 22nd April 1834 which crowned Talleyrand’s diplomatic career. The treaty, conceived by Palmerston to strengthen the liberal countries of western Europe against the auto- cratic northern monarchies, supported progressive governments recently installed in Spain and Portugal, against the claims of rival pretenders to the throne representing traditional interests. The infant Queen Isabella II of Spain1 was challenged by her uncle Don Carlos,2 and the young Queen Maria II of Portugal3 by her uncle Dom Miguel.4 The print shows Talleyrand peacefully reclining on a monument, as the architect of the treaty with pandemonium surrounding him. In apseudo-resurrection scene Don Carlos is shown flying on high shed- ding proclamations causing an explosion on the stock exchange, whilst below, the Queen Regent of Spain with her daughter Isabella, King Louis-Philippe and two other princes are looking up in a daze. Military conflict is indicated in a dark, brooding background.1 Isabella II of Spain (1830–1868), daughter of Ferdinand VII and Maria Cristina of the Two Sicilies, succeeded to the throne, because her father induced the Cortes to set aside the Salic law to re-establish the ancient law of succession. This was contested by her uncle, the Infante Carlos, who fought a civil war to support his claim with the help of the conservative opposition;2 Carlos Maria Isidro de Borbony Borbon-Parma(1788–1855),younger brother of King Ferdinand VII, known as Count of Molina, claimed the throne of Spain according to Salic law which excluded female succession introduced during the 18th century; the law was changed by Ferdinand in favour of his daughter Isabella. As a result the country was rent by civil war between the incumbent regency supported by the liberals and the Carlist pretender backed by the traditionalists;3 Dona Maria II (1819–1853), daughter of Pedro I Emperor of Brazil, became Queen Regnant of Portugal, when her liberal father abdicated the Portuguese throne. The decision was disputed by her absolutist uncle Miguel who usurped the throne, but was forced to abdicate in 1834;4 Dom Miguel(1802–1866),secondsonofKingJoaoofPortugal,aconserva- tive influenced by Metternich, led two revolts against his liberal father, and was exiled as a consequence. After betrothal to his young niece Maria II of Portugal, he took sole power and ruled as Miguel I of Portugal from 1828 to 1834, overthrowing the liberal constitution. In 1831 his elder brother Pedro abdicated the throne of Brazil, and ejected Miguel after a three-year civil war to re-establish Maria as Queen Regnant in 1834.‎

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‎Stéphanie-Félicité Du Crest Genlis, comtesse de).; Par Mme de Genlis.- Michel Lambert; Eugène Onfroy; Jean-Baptiste-François Née de La Rochelle‎

‎Les veillées du château, ou cours de morale a l'usage des enfans, par l'auteur d'Adele et Théodore... Tome I -II.‎

‎A Paris, de l'imprimerie de Michel Lambert. Chez Onfroy, libraire, rue du Hurepoix, près du pont S. Michel. Née de La Rochelle, libraire, même rue. M. DCC. LXXXVI. 2 vol.in12, pleine basane racinée époque,dos ornés ternis,reliures solides (xx-634-[2] p.; [1-1 bl.]-693-[3] p.;‎

‎Par Mme de Genlis.sans le Le tome III qui contient trois contes moraux: "Les deux réputations"; "Daphnis & Pandrose, ou les Oréades"; "Le palais de la vérité" -Privilège du 20 fevrier 1784.Sig. a10, A-Cc12, Dd6; [ ]1, A-Ff12; [ ]1, A-X12.- 2 vol. (xx-634-[2] p.; [1-1 bl.]-693-[3] p.; La comtesse de Genlis est née près d'Autun en Bourgogne le 25 février 1746. "Devenue, en 1770, dame d'honneur de la duchesse de Chartres. elle fut chargée de l'éducation des filles de cette princesse, et, bientôt après de Celle des trois jeunes princes ses fils. Ce fut à cette époque qu'elle publia ses premiers ouvrages, le Théâtre d'éducation (1779), Adèle et Théodore (1782), les Veillées du château (1784). La manière dont elle conçut et dirigea l'éducation des enfants d'Orléans, a dit Sainte-Beuve, est extrêmement remarquable, et dénote chez l'institutrice un sens de la réalité plus pratique que ses livres ne sembleraient l'indiquer" (Institut Français de l'éducation). Ses ouvrages publiés sous Louis XVI, avant 1789, ont tous un rapport direct avec l'éducation. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847),- Julien, Bernard-Romain (Bayonne, 16–11–1802 - Bayonne, 03–12–1871), dessinateur-lithographe‎

‎Barbe bleue, blanche, rouge, Lithographie- La pl. se réfère à Barbe bleue, conte de Charles Perrault ( 1697).‎

‎1833 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique - 1833- Lithographie- Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm- Hauteur: 20.3cmx Largeur: 23.7cm- Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 11 avril 1833 (Planche n°263)- Titre en ht au centre : « Barbe bleue, blanche, rouge. » ; légende en bas au centre : « La presse, ma sœur, ne vois-tu rien venir ? – je ne vois que le soleil de Juillet qui poudroie et l’herbe des // tombeaux qui verdoie. – Presse, ma sœur, ne vois-tu rien encore ? – je vois deux cavaliers qui viennent // au galop, portant une bannière. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°127. », en ht à dte : « Pl. 263. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue furstemberg N°6. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « G. = et Jn » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Bernard-Romain Julien, lithographe ?]- Inscription - Sur la feuille volante posée à terre à côté de la Constitution : « LOI ,qques taches.‎

‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847),Attribué à Julien, Bernard-Romain (Bayonne, 16–11–1802 - Bayonne, 03–12–1871), dessinateur-lithographe- Louis-Philippe, vu de dos mais reconnaissable à son toupet et à ses favoris, tient l’incarnation de la « constitution » (sous les traits d’une femme dont les jambes sont liées par une corde) par les cheveux. Il la traîne par terre et s’apprête à la poignarder de la main dte. La scène se déroule sur le balcon d’un palais aux allures de forteresse médiévale. A gche, une porte ouverte laisse entrevoir l’intérieur d’un cachot dans lequel on distingue deux personnes enchaînées. L’une est une femme portant le bonnet phrygien. Deux autres femmes sont allongées par terre, sans doute mortes. Au-dessus de la porte, un linteau décoré d’une tête de mort au centre, de poires, d’une lyre et d’une paire de ciseaux ouverte. A dte, sur le balcon d’une autre tour une sentinelle observe les environs. Elle sonne la trompette de la « TRIBUNE », journal républicain, et tient dans une main celle du « NATIONAL », journal contestataire du régime également. Cette sentinelle est l’incarnation de la presse, annonçant au roi l’arrivée prochaine de la république, représentée sous la forme de deux cavaliers s’approchant du château, représentés dans la partie dte de la composition. L’un d’eux porte une bannière mentionnant « REPUBLIQUE ». La pl. montre que le peuple est prêt à se battre pour défendre ses droits, notamment ceux contenus dans la Constitution et qui sont bafoués par le régime en place. La pl. se réfère à Barbe bleue, conte de Charles Perrault (1697). Barbe bleue envisage de tuer son épouse, laquelle prie pour éviter cette exécution. Sa sœur, Anne, l’assiste et, se trouvant en haut d’une tour, guette ses frères venus pour la sauver. La sœur d’Anne demande à cette dernière : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? », et Anne lui répond « Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l’herbe qui verdoie ». La pl. propose une parodie du conte : Barbe Bleue est incarné par Louis-Philippe, qui veut tuer la Constitution. Le rôle de la protectrice Anne est endossé par la presse, guettant les chevaliers de la liberté venus délivrer la Constitution en apportant la république. Les paroles contenues dans la légende sont également adaptées à la situation que la pl. veut dénoncer (« le soleil » devient « le soleil de Juillet » et « l’herbe » devient « l’herbe des tombeaux »). Barbe Bleue devient alors Barbe bleue, blanche et rouge, en référence au drapeau tricolore. A noter : sur cette pl. en n/b, seule la barbe de Louis-Philippe est colorée en rouge. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Daumier, Honoré (Marseille, 26–02–1808 - Valmondois, 10–02–1879), dessinateur‎

‎Départ pour l’Espagne. Il montera! il ne montera pas ! il montera ! et non, il ne montera pas !!!- Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎1835 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique 1835 volume 9, 11 juin 1835 (Planche n°498)- Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmxLargeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 21.4cm Largeur: 27.3cm - Titre dans l’image, en ht au centre : « Départ pour l’Espagne. » ; légende en bas au centre : « Il montera ! il ne montera pas ! il montera ! et non, il ne montera pas !!! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°240. », en ht à dte : « Pl. 498. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau chez Aubert galerie Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois rue du Bouloi 19 » [imprimeur],feuille poussiereuse ,rousseurs en marge,tirage bon.Delteil 118,‎

‎Un homme en costume militaire, probablement Louis-Philippe, un sabre à la main, peine à monter sur un cheval. Il est hissé par Thiers, juché sur la selle, tandis que Persil, en robe de magistrat, l'aide à se soulever. Montalivet tient la bride du cheval. La planche fait référence aux atermoiements du régime sur la question espagnole. Dans le cadre de la quadruple alliance signée le 22 avril 1834, Londres et Paris soutiennent le gouvernement constitutionnel de la reine régente Marie-Christine de Bourbon et de sa fille Isabelle II, contre les visées de Don Carlos. Mais devant les offensives de ce dernier, la coopération militaire peine à se matérialiser. C'est ce moment de valse-hésitation que saisit la planche de Daumier. Finalement, le 28 juin 1835, après une offensive carliste, l’Angleterre forme une légion de 12 000 volontaires, le Portugal offre 6 000 combattants et la France envoie 5 000 hommes de la légion étrangère commandée par le général Bernelle. C'est cette même question du soutien militaire à l'Espagne qui provoquera la chute du ministère Thiers en août 1836. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Travies de Villers, Charles Joseph- TALLEYRAND‎

‎Une Execution sous Louis Onze. (XI.) Lithographie sur blanc - planche double‎

‎1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No. 180, planche double -plate 378–9. [Paris] Delaunois for Maison Aubert, 17 April 1834. Lithograph. Overall paper size 32.6 × 40.9 cm. Horizontal and vertical fold.Caricature of the July Monarchy’s repressive measures against workers’ uprisings in Lyon and Paris, the so-called ‘April insurgents’. Louis-Philippe is compared to the late mediaeval king Louis XI, notorious for his cunning and cruelty. The print represents a pseudo- mediaeval execution scene with Liberty in a white dress and red cap standing in front of the gallows flanked by jailors. Louis-Philippe wearing a helmet with chain-mail is shown from behind standing on top of the dungeons of Ste Pelagie giving final instructions. To the left, lecherous monks and gloating courtiers are looking on; to the right a moustachioed Talleyrand dressed as a cardinal is in attendance with other ministers in ancient dress or armour. His surgical shoe is wrongly shown on his left foot. Armed mounted guards and a large fortress in the background complete the scene.‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎MARCHE DE LA BANLIEUE venant au secours des Cent mille hommes de troupe réglée assiégés par quelques centaines de lâches républicains -Lithographie originale en noir sur Velin blanc.pl.double‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 1er août 1833, (Planche n°296-297) Hauteur: 26cm Largeur: 70cm;marge du haut rognée court au dessus du numéro,fente en marge au pli central-sinon bon.Titre en bas au centre : « Marche de la Banlieue venant au secours des Cent mille hommes de troupe réglée assiégés par quelques centaines de lâches républicains. » ; légende plus bas au centre : « (Cette caricature fut exécutée après les evènemens [événements] de Juin 1832. Nous en retardames [retardâmes] la publication pour ne pas envenimer les haines politiques aujourd’hui nous la donnons comme une bonne et vieille charge) » ; indications : en ht à gche : « La Caricature Journal (N°142) », en ht à dte : « Pl. 296, 297 »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Chilbert N°9. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « CJ Traviès. // 1832 » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur], réagissant à l’insurrection républicaine à Paris des 5, 6 et 7 juin 1832. Traviès met en lumière l’énorme différence entre le faible nombre d’insurgés républicains et le nombre d’hommes de troupe (garde municipale, garde nationale) mobilisés pour briser la révolte.‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Debon, François-Hippolyte (Paris, 02–12–1807 - Paris, 29–02–1872), dessinateur-lithographe- Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur‎

‎Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎1831 La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique - 1831- Lithographie originale en noir sur Velin blanc,rousseurs dans les bonnes margesOeuvre:: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 22.3cmx Largeur: 27.3cm- Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 11 août 1831, (Planche n°82) - Titre en bas au centre : « Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°82. » - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, date tronquée : « 183 […] » Sur le carnet tenu par la grenouille incarnant Casimir Périer, ses initiales : « C P »‎

‎Allusion à la fable de La Fontaine "Les grenouilles qui demandent un roi". Des grenouilles adorent la tête d’un roi soliveau (Louis-Philippe) directement envoyé par Dieu qu’on aperçoit en ht de la composition. Sur cette tête est assis Casimir Périer sous l’apparence d’une grenouille, acclamée par d’autres batraciens. A dte, certaines tiennent un bonnet phrygien au bout d’une tige végétale. En ht à gche, un volatile (pélican ?) assiste à la scène.Personnages représentés:Périer, Casimir; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Anonyme - Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur-lithographe‎

‎Le cri du peuple - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique volume 2, 4 aout 1831,N°80 -rousseurs - Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 20.7cmx Largeur: 26cm- Titre en bas au centre : « Le cri du peuple. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°80. » - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, date : « 1831 »Inscription - Différents éléments auxquels est amarré le trône : « Ste ALLIANCE », « CLERGE », « Pairie Heréditaire [Héréditaire]», « Sens [cens] / Electoral », « Contribu-/ tions [Contributions] » ; sur la pierre, près du menuisier : « 28.29. / 1830 »‎

‎explication de la pl. p. 313 ; description, analyse : le trône royal est entouré de protecteurs : militaires, ecclésiastiques, étrangers (notamment la Sainte-Alliance de la Russie, l’Autriche et la Prusse) qui font poids pour l’empêcher de s’envoler. Il est également retenu au sol par la pairie héréditaire, le prix du cens électoral permettant d’écarter la frange la moins aisée de la population… Au premier plan, un homme du peuple, taillant le pied d’un nouveau trône, certainement, qui, celui-ci, prendrait appui sur des bases républicaines, comme tendent à le faire comprendre les inscriptions sur la pierre (dates des Trois Glorieuses). La pl. tend à montrer qu’un régime, s’il veut durer, doit à tout prix recevoir l’appui du peuple : « c’est que tout trône qui n’est point assis sur les bases inébranlables de la liberté doit finir par tomber devant le cri du peuple (…) » Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Debon, François-Hippolyte (Paris, 02–12–1807 - Paris, 29–02–1872), dessinateur-lithographe- Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur‎

‎Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire. Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎1831 La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique - 1831- Lithographie originale en noir sur Velin blanc,petites rousseurs dans les marges courtes du bas.Oeuvre:: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 22.3cmx Largeur: 27.3cm- Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 11 août 1831, (Planche n°82) - Titre en bas au centre : « Les Grenouilles qui demandent un roi. / De celui-ci contentons nous, / De peur d’en rencontrer un pire » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°82. » - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, date tronquée : « 183 […] » Sur le carnet tenu par la grenouille incarnant Casimir Périer, ses initiales : « C P »‎

‎Allusion à la fable de La Fontaine "Les grenouilles qui demandent un roi". Des grenouilles adorent la tête d’un roi soliveau (Louis-Philippe) directement envoyé par Dieu qu’on aperçoit en ht de la composition. Sur cette tête est assis Casimir Périer sous l’apparence d’une grenouille, acclamée par d’autres batraciens. A dte, certaines tiennent un bonnet phrygien au bout d’une tige végétale. En ht à gche, un volatile (pélican ?) assiste à la scène.Personnages représentés:Périer, Casimir; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur - Forest, Eugène, dessinateur-lithographe‎

‎L’état de nos finances est rassurant si les besoins sont grands, d’abondantes ressources sont ménagées pour y pourvoir.Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 15 septembre 1831, (Planche n°92)- Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 18cmx Largeur: 26.9cm - Titre en bas au centre : « L’état de nos finances est rassurant si les besoins sont grands, d’abondantes ressources sont ménagées pour y pourvoir. » ; légende plus bas à dte : « (Moniteur 3 Août 1831.) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) », en ht à dte : « N°92. » - Dans la lettre : « Lith de la Delaporte, rue de l’Abbaye, n°4 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro Dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « J.J. Grandville invt / E. Forest sculpt » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe] Inscription - Sur le registre, page de gche : « Recette / Impôt / sur le sel / id. le tabac / id. le vin / id. la lumière / id. le personnel », page de dte : « Dépense / Liste Civile / aux Mouchards / aux Etats-Majors / id. Sinecuriste / Pour dîners / aux ventrus » ; sur les feuilles à terre : « contraite / par corps », « Gouvernement / à bon marché / Douzièmes provisoires / Sommation / avec frais ».-Vic. col. 57.‎

‎Dans une cave, les membres du gouvernement (on peut reconnaître Lobau ?), le comte d’Argout, Sébastiani, Casimir Périer juché sur le pressoir, Schonen, Dupin, Talleyrand ont placé le peuple dans un pressoir et manoeuvrent la barre ce dernier afin d’en retirer de l’argent, lequel parcourt ensuite un tuyau et arrive dans les caisses du baron Louis. Louis-Philippe au fond à dte emporte avec lui un sac de pièces d’or tout juste rempli. Il s’agit d’un détournement de la phrase officielle du Moniteur. La pl. propose d’apporter une illustration de la manière avec laquelle le gouvernement entend trouver les ressources financières : en taxant le peuple. De même la nature des besoins financiers est dénoncée, puisque, d’après le registre posé à terre à gche, l’argent prélevé au peuple sert les intérêts personnels des membres du gouvernement, sert à créer des sinécures et à multiplier les moyens de répression. Personnages représentés: Cruciani, François; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Schonen, Auguste Jean Marie de, baron; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Sebastiani, Horace; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Périer, Casimir Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Anonyme, dessinateur-lithographe‎

‎adoration des mages, caricature N°95- Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 2, 1831, (Planche n°95)- Lithographie - Oeuvre:: Hauteur: 27.4cmxLargeur: 36.4cm- Delaporte, Victor Hippolyte (29–01–1804), imprimeur-lithographe -Aubert (Imprimeur, lithographe, éditeur), editeur‎

‎rousseurs et taches en marge,dans l'etat Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Inconnu, dessinateur-lithographe‎

‎N°62. / ................!! - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎1831 La Caricature,4 aout 1831, editeur- Delaporte, Victor Hippolyte (29–01–1804), imprimeur-lithographe- Aubert (Imprimeur, lithographe, éditeur), editeur - Oeuvre: Hauteur: 27.4cmx Largeur: 36.1cm; rousseurs et taches dans les marges‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎DESPERET‎

‎Attaque des forts detachés par le 1er régiment des Canonniers de la Presse.Lithographie originale.‎

‎1833 Planche 286 de La Caricature N° 138. La Caricature, 27 juin, 1833. Lithographie originale sur Velin blanc. . ., épreuve en noir, plis central ,plis en marge ;lithographie sur velin blanc,tirage noir malgré l'image jaunie,petite tache jaune coin haut‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Bouquet, Auguste (Abbeville, 13–09–1810 - Lucques (Lucca), 21–12–1846), dessinateur Imprimerie Becquet (28–02–1796), imprimeur-lithographe AB Inconnu, dessinateur-lithographe‎

‎a quelle sauce la voulez vous ? - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 13 décembre 1833 (Planche n°339)Pl. 339. / La caricature (journal) n°162. - Titre en bas au centre : « A quelle sauce la voulez-vous ? » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°162. », en ht à dte : « Pl. 339. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie véro Dodat. » [imprimeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]Inscription - Sur le mur de gche, un graffiti représentant une poire à face humaine couronnée. Sur la tranche de l’étagère au mur, inscription « POIRES POUR LA SOIF… ». A gche au premier plan, une marmite de « MARMELA […] [MARMELADE] » de‎

‎Auguste Bouquet, né à Abbeville (Somme) le 13 septembre 1810, et mort prématurément à Lucques (Italie) le 21 décembre 1846. Peintre, lithographe, graveur et caricaturiste français, Bouquet fait ses études à l'École des beaux-arts de Paris. Élève d' Ary Scheffer, il s'oriente sous l'influence du maître vers l'art nazaréen. Il réalise de nombreuses lithographies de caricatures pour les journaux L'Artiste, La Caricature (1831-1834), Le Charivari (1832-1833), Le Triboulet (1843), ainsi que pour l'ouvrage de Jules Janin Deburau, l'histoire du théâtre à quatre sous (1832).Collaborateur et ami de Philippon, Honoré Daumier et Grandville, Auguste Bouquet fait partie de cette génération de caricaturistes courageux qui osèrent défier la censure, et dont la cible privilégiée était Louis-Philippe. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

Referência livreiro : 26359

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‎Attribué à Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847), dessinateur-lithographe‎

‎Cages !... cages !.... souricières ! Lithographie- Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎1832 La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique (Titre de l'ensemble)1832 - Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 3, 16 février 1832, (Planche n°137) Lithographie - Hauteur: 35.6cmx Largeur: 27cm- Image: Hauteur: 20cmx Largeur: 20cm‎

‎- Titre en bas au centre : « Cages !... cages !.... souricières ! » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) / N°68. », en ht à dte : « Pl. 137. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; attribution: Jean-Jacques Grandville, dessinateur, ou Pierre Numa Bassaget, dessinateur lithographe ?Inscription - Sur les cages, inscriptions, de gche à dte : « Ste PELAGIE », « BICETRE », « FORCE », « POISSY » ; sur le sol, à dte : « […] GRAMME [PROGRAMME] / […] [DE L’HOTEL DE] VILLE » (fréquemment rappelé par l’opposition, mais dont Louis-Philippe nia l’existence)Description iconographique:Louis-Philippe déguisé en marchand ambulant, transporte des cages portant le nom des principales prisons de France. La pl. dénonce l’emprisonnement, jugé injuste, de certains hommes républicains (Marrast, Lennox, Bascans, Barthélemy, Thouret, Trélat, Raspail, Cavaignac, Sarrut, Philipon). Cf ; pl. 267 (numéro 129 ; 25 avril 1833). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès) (Winterthour ou Winterthur, 21–02–1804 - Paris, 13–08–1859), dessinateur - BENARD‎

‎Belles têtes, dit-il ; mais de cervelle point (Lafontaine.) -Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 27 mars 1834 (Planche n°374)- Hauteur: 35.5cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 23.5cmx Largeur: 18.5cm - Titre en ht au centre : « Le Renard et les Masques » ; légende en bas au centre : « « Belle tête, dit-il ; mais de cervelle point. » // (Lafontaine [La Fontaine].) » ; indications : en ht à gauche : « La Caricature (Journal) N°177. », en ht à dte : « Pl. 374. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Benard. » [imprimeur]Inscription - A côté du masque de Thiers, un livre dont le titre est en partie illisible. Il s’agit sans doute de la représentation d’un vol. de l’ « histoire [de la révolution française] » que Thiers écrivit entre 1823 et 1827. Derrière le masque de Lobau semble se trouver une seringue à clystère, son attribut caricatural traditionnel.‎

‎La pl. est une référence à la fable d’Esope Le renard et le masque : « Un renard s’étant glissé dans la maison d’un acteur, fouilla successivement toutes ses hardes, et trouva, entre autres objets, une tête de masque artistement travaillée. Il la prit dans ses pattes et dit : « Oh ! quelle tête ! mais elle n’a pas de cervelle. » ». Mais c’est la fable Le renard et le buste écrite par Jean de Lafontaine (14e fable du livre IV, 1668), inspirée de celle d’Esope, que La Caricature reproduit en explication, en changeant le terme « seigneurs » du dernier vers en « saigneurs » pour dénoncer la violence que fait subir le gouvernement aux Français. Tandis que la plupart des hommes peuvent se laisser facilement tromper par la belle apparence des choses et des personnes, le renard examine les choses plus profondément. Dans la pl., le renard représente les contributeurs de "La Caricature" et, plus largement, les hommes cherchant à décrypter la politique de la monarchie de Juillet. Le renard est malin et s’aperçoit que derrière les belles apparences trompeuses des masques des membres du gouvernement, il n’y a pas de cervelle, et donc aucune réflexion. Chez le fripier de la pl., ce sont des masques de Louis-Philippe, de Soult, de Lobau, de d’Argout et de Thiers que le renard analyse. Au mur du fond sont accrochés un costume de Pierrot et un costume de bergère, entre autres… A la fenêtre pendent des masques sur des fils. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Forest, Eugène (Strasbourg, 24–10–1808 - Grenoble, 28–12–1891), dessinateur‎

‎L'Angleterre ,la Russie,l'Autriche et la Prusse me donnent toujours des témoignages de leur parfaite alliance…Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 23 janvier 1834 (Planche n°354) • Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 22.8cmx Largeur: 33cm - Titre en bas au centre : « L’Angleterre, la Russie, l’Autriche et la Prusse me donnent toujours des témoignages de leur parfaite alliance….. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°168. », en ht à dte : « Pl. 354. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gauche, signature : « Eug. F. » [Eugène Forest, dessinateur lithographe]‎

‎Selon l’explication, cette scène est la matérialisation d’une phrase que Louis-Philippe prononce dans tous ses discours, et qui constitue le titre de la pl. L’explication en propose une version révélant l’interprétation que fait La Caricature de ce propos : « Nous continuons à être bernés par la Prusse, l’Autriche, la Russie et l’Angleterre. » Quatre personnages tiennent les coins d’une couverture et font sauter le roi des Français représenté sous forme de poire munie de jambes. Autour de lui, dans les airs, rebondissent un parapluie et un chapeau haut de forme décoré de la cocarde tricolore. La poire est facilement assimilable à Louis-Philippe car les traits de son visage se dessinent dans la partie sup. La tige de la poire pourvue d’une feuille fait office de toupet. Il porte le cordon et la croix de la légion d’honneur. Son corps semble enveloppé dans des papiers portant les mentions : « JEMMAPES // 1793 », « VALM […] [VALMY] », « […] MAPES [JEMMAPES] », « VALMY », « […] RSEILLAISE [MARSEILLAISE] », ainsi que la page de la « CHARTE // 1830 » comportant les articles I à VII. Le drap sur lequel rebondit le roi porte les inscriptions : « PROTOCOLE » (deux fois), « PROTOC […] [PROTOCOLE] » et « TRAITES // de // 1815 ». On ne pense pas pouvoir reconnaitre les traits des monarques des quatre pays dans les personnages tenant les angles de la couverture. Il semble qu’il s’agisse seulement de figures stéréotypées (et non de personnages particuliers) incarnant l’Angleterre, la Russie, l’Autriche et la Prusse. La pl. se moque du manque de poids de la France sur l’échiquier diplomatique européen. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎Le Quinctius Cincinnatus moderne - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 11 octobre 1832 (Planche n°206) Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image:: Hauteur: 18.4cmx Largeur: 28.4cm- Titre en bas au centre : « Le Quinctius Cincinnatus moderne. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°101.) », en ht à dte : « Pl. 206. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » ; dans l’image, en bas à gche, signature : « A.D. invt et fect. » [Auguste Desperet, dessinateur lithographe] - Taches en marge‎

‎La table des matières du 4e vol. de "La Caricature" précise le titre : « MM. Persil et Ganneron venant offrir un portefeuille à M. Dupin ». André Dupin est représenté à dte en habit d’avocat, refaisant le lacet de sa chaussure sur un tronc d’arbre. Parodie de la statue antique de Lucius Quinctius Cincinnatus, consul romain et dictateur, traditionnellement représenté tenant les faisceaux du pouvoir et sa charrue. Ici, on aperçoit la charrue à dte. Un homme (Casimir Périer, qui voulait à tout prix avoir Dupin dans son ministère ?) vient lui apporter le portefeuille d’un « MINISTERE ». Un troisième personnage, à gche, observe la scène : il s’agit de Ganneron ( ?), le vendeur de chandelles. La pl. se moque de Dupin qui voulait qu’on le supplie d’être ministre, tel Quinctius Cincinnatus que les sénateurs vinrent supplier de prendre le pouvoir en 458 avant J.-C. Cincinnatus fut un modèle de simplicité et d’humilité, contrairement à Dupin qui lui est comparé de façon tout à fait ironique. Dupin fut nommé procureur général près la cour de cassation en août 1830, puis élu à la présidence de la chambre des députés en novembre 1832, mais ne fut en réalité pas ministre dans le gouvernement Soult. D’après Antonetti, Dupin était l’homme qui refus[ait] toujours les ministères, sous prétexte qu’il [était] plus utile ailleurs, mais qui [était] dévoré de l’envie d’être ministre et qui s’aigri[ssait] de ce qu’on ne le suppli[ât] pas d’accepter un portefeuille ! Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎Quand finira donc cette partie ? - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 4, 11 octobre 1832 (Planche n°207)) Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19.6cmx Largeur: 25.5cm - Titre en bas au centre : « Quand finira donc cette partie ? » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°101) », en ht à dte : « Pl. 207. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Auguste Desperet, dessinateur lithographe ? Taches en marge‎

‎Assis, de trois quarts dos, Louis-Philippe joue au jeu d’échecs avec une figure féminine incarnant la liberté (et/ou la république) portant le bonnet phrygien. Derrière le siège du roi se trouvent des sacs (de pièces d’or), tandis que les pavés des barricades servent d’assise à la Liberté. La pl. met en image la lutte dans laquelle s’affrontent le gouvernement de Juillet et les républicains, jugeant que ce dernier ne respectent pas les principes de la liberté. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Casati, A., dessinateur‎

‎Parodie du tableau de la Clytemnestre - Lithographie originale coloriée sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 23 janvier 1834 (Planche n°353) • Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 18.7cmx Largeur: 20.8cm - Titre en bas au centre : « Parodie du tableau de la Clytemnestre. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°168. », en ht à dte : « Pl. 353. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « a. c. » [A. Casati, dessinateur lithographe]‎

‎Parodie du tableau réalisé par Pierre-Narcisse Guérin "Clytemnestre hésitant avant de frapper Agamemnon endormi" (1817 ; Paris, musée du Louvre ; à l’époque conservé à Paris, au musée du Luxembourg). A la place de la scène mythologique mise en scène par Guérin représentant Egisthe, l’amant de Clytemnestre, incitant cette dernière à tuer son mari, Casati a figuré le roi Louis-Philippe (visible seulement de profil mais reconnaissable à son toupet et ses favoris) poussant un membre de la garde nationale à tuer la Liberté. La disposition des personnages reprend celle du tableau par Guérin : devant un rideau séparant en deux la pièce où le drame se prépare, le roi pousse le garde dans le dos tout en lui indiquant de l’index de la main gche le chemin qui le mènera à une chambre où l’incarnation de la liberté (sous la forme d’une jeune femme) est endormie. Visible dans la partie dte de la composition non cachée par le rideau, celle-ci est allongée dans un lit, accoudée sur un oreiller. Ses yeux sont fermés et un sein est dénudé. Elle porte le bonnet phrygien. Derrière elle, contre le mur, se trouvent ses attributs traditionnels : le faisceau de licteur surmonté d’un bonnet phrygien et une balance de justice. La pl. dénonce ainsi le complot mené par Louis-Philippe contre la liberté et les valeurs républicaines. Le garde est hésitant et semble opposer de la résistance à la poussée du roi. L’explication précise que qu’ « il est probable que ce dernier aura épuisé ses forces en tentatives superflues, avant que celui dont il voudrait faire son complice, soit arrivé au pied du lit où repose la Liberté », signifiant par là les vaines tentatives du roi d’anéantir la liberté, laquelle est plus forte que lui.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎Pauvres aveugles- Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 6, 13 juin 1833 (Planche n°282)- Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 19.5cmx Largeur: 28cm- Titre en bas au centre : « Pauvres aveugles. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°136. », en ht à dte : « Pl. 282. »Inscription - Dans la lettre : « chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg N°6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « A. D. » [Auguste Desperet, dessinateur]‎

‎L’explication de la pl. (p. 1083) indique que c’est l’injustice provoquée par la libération, sans jugement, de la duchesse de Berry, qui a inspiré cette pl. à La Caricature. Conduit par Louis-Philippe (qui porte en besace un sac contenant les « 14 […] 000000 // m […] [millions] » de la liste civile), vu de dos et portant une visière de guide, un cortège de ministres s’apprête à tomber dans le « Gouffre de // l’illégalité ». Le roi s’appuie sur le bâton de l’ « ordre public ». Tous les personnages sont aveugles et se tiennent les uns aux autres. Les fanaux censés les guider sont les journaux patriotes (la « TRIBUNE » et le « NATIONAL »), mais la lumière qu’ils émettent ne sert à rien, puisque les ministres sont aveugles. Les pierres d’achoppement sont les arrêts de cassation (« arrêt de la // cour de // cassation // affaires du // national // chariva […] [charivari] », « arrêt // de la // cour de // cassation // etat [état] de s […] [siège] », « Etat // de // Siège »). Les ministres portent chacun une besace contenant la somme de « 80,00000 // f… », car « le dieu de ces hommes, c’est l’argent » (in explication. La pl. dénonce l’attrait financier auquel cèdent les ministres du gouvernement). Celle de Soult précise que cet argent provient des « Pots de vin // etc etc… ». De gche à dte : d’Argout, s’appuyant sur un personnage non identifiable car vu de dos, puis Barthe, et Guizot, qui se laisse guider par Soult, lequel s’appuie sur le bâton de l’ « Etat de Siège ». Thiers, plus petit, s’agrippe à Guizot et se laisse guider. Enfin, Broglie enjambe une pierre et se guide à l’aide du bâton de l’ « ordre public ». Et « c’est de gaîté de cœur qu’ils vont se jeter dans le précipice où la mort les attend » (in explication). La pl. est une parodie du tableau La parabole des aveugles par Pieter Bruegel l’Ancien (1568 ; Naples, musée Capodimonte). Référence à la parabole du Christ adressée aux Pharisiens : « Laissez-les. Ce sont des aveugles qui guident des aveugles. Or, si un aveugle guide un aveugle, ils tomberont tous deux dans la fosse. ». La pl. de Desperet reprend cette prédiction et prévoit la perte des ministres de la monarchie de juillet.Personne / Personnage représenté:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Broglie, Victor de, duc; Barthe, Félix; Thiers, Adolphe; Guizot, François; Soult, Nicolas-Jean de Dieu Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎Bravo! Tous les coups portent - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 10 janvier 1833 (Planche n°237)- Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 20.2cm Largeur: 23.4cm - Titre en bas au centre : « BRAVO ! TOUS LES COUPS PORTENT. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°114. », en ht à dte : « Pl. 237. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Auguste Desperet ?‎

‎Louis-Philippe, vu de dos (mais reconnaissable aux favoris et au toupet), derrière une barrière de sécurité, tire au pistolet sur la « CHARTE » de « 1830 » placardée sur le mur du fond de la salle de tir. A sa dte, d’Argout, vu de profil, observe le roi tirer. Il tient lui-même de la main dte un pistolet dans son dos. A gche, Guizot applaudit le roi dont chaque tir porte un coup à la charte. Barthe assiste aussi à la scène. Soult, appuyé contre la table, répare un pistolet avec un marteau (suggérant les difficultés à venir ?). Enfin, au fond à gche, de dos, un personnage non identifiable. Le texte d’explication p. 909-910 dresse une liste de toutes les enfreintes à la liberté, et donc à la charte de 1830, commises par le gouvernement contemporain : la liberté individuelle, le droit de publier ses opinions… Ces infractions sont symbolisées par les tirs du roi des Français sur la Charte. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎La baraque politique - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 4 décembre 1834 (Planche n°444)Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 35.5cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 25cmx Largeur: 21.5cm - Titre en bas au centre : « La Baraque politique » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°213 », en ht à dte : « Pl. 444. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, r. du Bouloi, 19. » [imprimeur]‎

‎Louis-Philippe apparaît en marionnettiste, derrière une toile tendue, dans le jardin des Tuileries. "Il signor Lapoire entrepreneur, y fait jouer à juste prix le grrrand combat du ministère Mortier et Rigny avec le ministère Bassano et Charles Dupin [...] Il signor Lapoire tient en réserve dans sa poche Soult, Thiers, Guizot et Persil, et l'on voit cachés dans un coin d'Argout et Barthe, marionnettes hors de service." C'est la monarchie parlementaire qui est ici dénoncée comme spectacle infantile et dérisoire, où les ministres ne sont que des pantins inertes dans les mains du roi. Cette planche s'inscrit ainsi dans la veine des caricatures précédentes inspirées par les crises ministérielles de 1834 et en particulier l'éphémère "ministère des trois jours". On peut aussi la rapprocher de la planche de Grandville "Zin ! zin ! baoun – baoun – baoun !! – zin ! baoun ! zin ! baoun ! zin – zin – zin !.......... Entrrrrrrrrrrrez, messieurrrrs et dames ! venez, venez, venez voirrrr ici dedans les grrrands sauteurrrs politiques qui font l’admirrration de tous les souverrrains de l’eurrrope c’est l’instant, c’est la minute, ça va finirrrr !" (Dessin de l'association, août 1833). L'explication reprend d'ailleurs le jeu sur les onomatopées de l'adresse aux spectateurs : "Et dzing! et dzing! et baound, baound, baound!". Plus proche encore, "Théâtre royal des marionettes", ("La Caricature", 12 octobre 1834, planche 426)) présentait déjà Louis-Philippe en manipulateur et ses ministres en marionettes. Dans le "Charivari" du 22 avril 1850, Daumier reprend le motif des "Marionnettes politiques" et en donne à voir les coulisses en adoptant comme dans "La baraque politique" un point de vue non face à la scène mais derrière le rideau. Mais en 1850, Thiers a remplacé Louis-Philippe dans le rôle du marionettiste.Personne / Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Barthe, Félix; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎La police tenait le fil du complot - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 16 août 1832 (Planche n°190) :Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 19cmx Largeur: 28.3cm - Titre en bas au centre : « LA POLICE TENAIT LE FIL DU COMPLOT. » ; légende plus bas à dte : « (Moniteur // Après toutes les émeutes) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°93.) », en ht à dte : « Pl. 190. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie véro dodat » [éditeur] ; attribution : Auguste Desperet, dessinateur lithographe ?Inscription - Sur le mur (d’un cachot vraisemblablement) à dte, inscription : « Vive La République »‎

‎Observations : cf. explication de la pl. p. 742 ; description, analyse : la pl. dénonce ici les procédés d’une certaine partie de la police qui tend des pièges à la population. Mise en image parodique de la déclaration officielle parue dans Le Moniteur (cf. titre). A gauche de la composition, au second plan, se trouvent des insurgés derrière des barricades, sur lesquels fondent des policiers à cheval. Tandis qu’à dte, au premier plan, trois membres de la police surveillent le fil au bout duquel ils ont placé des pièges, en attirant les révolutionnaires avec un bonnet phrygien posé à terre. Face au gouvernement qui se sent sans cesse être la cible de complots révolutionnaires (ou autres), cette pl. tend à penser que c’est le gouvernement même qui manipule les situations en créant un climat de suspicion.Au fond se distingue la tour Saint-Jacques. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur‎

‎Aristocratie et Démocratie - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 27 novembre 1834 (Planche n°443)Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 19.8cmx Largeur: 29.3cm - Titre en bas au centre : « Aristocratie et Démocratie. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°212. », en ht à dte : « Pl. 443. »Inscription - Dans la lettre : "Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat." [éditeur], "Lith : Delaunois, r. du Bouloi, 19.",dans l'etat‎

‎Face à face, un chat, dont la tête anthropomorphe affiche d'épais favoris, sur un fauteuil et un bouledogue, portant le bonnet phrygien, l'aristocratie d'un côté, la démocratie de l'autre. L'explication décrypte cette scène allégorique : "Sous cette double personnification purement allégorique, se trouvent résumés les deux grands intérêts autour desquels se groupent tous les autres, et qui se disputent l'ordre social actuel. Le chat c'est la royauté, c'est la pairie, c'est le privilège électoral, c'est la liste civile, c'est le cumul, c'est le despotisme, c'est la peur, c'est l'égoïsme, c'est l'exploitation du grand nombre par le petit. ce magnifique bouledogue, au contraire, c'est la souveraineté des peuples, c'est la liberté, c'est légalité politique, c'est le devouement, c'est l'indépendence et la gloire nationale, c'est le peuple, en unh mot." Le chat-aristocratie "se tient sur ses gardes, prêt à défendre à coup de griffes la position élevée où il s'est retranché". Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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