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Marx, Karl, philosopher and economist (1818-1883).
Autograph letter signed. London, 1. XI. 1872.
8vo. 1¼ pp. on bifolium. To the publisher Maurice Lachâtre concerning a manuscript for the French edition of "Das Kapital" that got lost on the way to the printer Louis Justin Lahure: "Vous savez que j'avais envoyé du manuscrit à M. Lahure le 8 Octobre. Le 19 Oct. je reçus une lettre de M. Lahure m'annoncant que le manuscrit n’était point arrivé à son adresse. Alors a commencé une correspondance entre moi et l’administration supérieure de la poste anglaise. Dans sa lettre d’avant-hier le secrétaire général de la poste me communique - 1) que le manuscrit a été dûment expédié en France et qu’on fait maintenant des recherches à Paris ; - 2) que la recommandation de papiers, journaux etc. lesquels ne sont pas inclus dans une lettre mais, comme c’était le cas avec le manuscrit, dans une enveloppe ouverte, ne compte pas en France, mais seulement pour l’Angleterre. - Je ferai remarquer en passant qu’à l’exception du dernier envoi, j’avais toujours envoyé le manuscrit à vous et à M. Roy (et il a reçu le manuscrit de presque tout le volume) sous forme de lettre recommandée (j’ai payé plus de deux livres st. pour cela pour Bordeaux seul), mais trouvant que votre librairie, sans tenir compte de cela, n’a pas même affranchi les 100 exemplaires du premier fascicule, je commençais aussi de lésiner et d’envoyer le manuscrit sous une forme qui coûtait moins cher. Le résultat a prouvé que dans les circonstances actuelles de votre pays il est absolument nécessaire d’envoyer le manuscrit par lettre recommandée. Maintenant je vous envoie la première partie du manuscrit perdu que j’ai retraduit. Même dans le cas que la poste française vous remettait le manuscrit original, il faudra faire imprimer le nouveau manuscrit qui vaut mieux que le premier. N’oubliez pas de me renvoyer le manuscrit avec les épreuves. Au commencement de la semaine prochaine je vous enverrai du manuscrit pour plus d’une livraison […]" ("You know that I sent the manuscript to M. Lahure on October 8. On October 19, I received a letter from M. Lahure announcing that the manuscript had not arrived at his address. Thus began a correspondence between the higher administration of the English mail and me. In a letter from the day before yesterday the secretary general of the postal service tells me - 1) That the manuscript was duly sent to France and that they are now inquiring in Paris; - 2) that the registration of papers, journals etc. that are not included in a letter but, as it was the case with the manuscript, in an open envelope is not permitted in France but only in England. I may remark, by the way, that with the exception of the last shipment, I have always sent the manuscript to you and to M. Roy (and he received the manuscript to almost the entire volume) by way of a registered letter (I paid more than two pounds sterling for that to Bordeaux alone), but finding out that your publishing house, without taking it into account, has not even franked the first 100 copies of the first instalment, I also started to be stingy and to send the manuscript in a cheaper way. The result of which has proven that in the current situation of your country it is absolutely necessary to send the manuscript as a registered letter. Now I send you the first part of the lost manuscript that I have retranslated. Even if the French mail delivers the original to you, it will be necessary to print the new manuscript since it is better than the first one. Do not forget to return the manuscript to me together with the proofs. Beginning of next week I will send you manuscripts for more than one instalment [...]"). - With an inventory note at the top of the page and two minuscule holes from stapling to the bottom. Not in: Marx/Engels, Werke vol. 33 (Briefe Juli 1870 - Dezember 1874).
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Marx, Karl, philosopher and economist (1818-1883).
Autograph letter signed. [London], 17. III. 1873.
8vo. 1 page. Probably to Paulin Franques (a Paris collaborator of Lachâtre): "Je n’ai plus de copie. Le 16 février j’écrivis à M. Vernouillet qu’elle me faisait défaut depuis des semaines. Alors il devait écrire directement à M. Roy et après un nouveau laps de temps je reçus enfin de la copie mais pas assez. De cette manière des interruptions continuelles sont occasionnées, d’autant plus qu’il me paraît que vous ne tirez pas avant d’avoir cliché, qu’il vous faut avoir, par exemple, les livraisons 18-24 pour pouvoir publier les livraisons 15-20. M. Roy s’est obligé par son contrat avec M. Lachâtre de m’envoyer tous les dix jours soixante pages. Comme la révision de la copie me donne déjà trop de travail, j’ai sûrement le droit de demander que les clauses du traité soient rigoureusement et régulièrement exécutées. Ayez la bonté de faire M. Vernouillet écrit à M. Roy pour qu’il envoie de la copie et de communiquer cette lettre à M. Lachâtre [...]" ("I have no more copy. On February 16th, I wrote to M. Vernouillet that I have had none for weeks. So he had to write to M. Roy, and after another period of time I finally received more copy, but not enough. This way of doing things occasions constant interruptions, the more as it seems to me that you do not print before having printing plates, as you need to have, for instance, instalments 18 to 24 to be able to print instalments 15 to 20. M. Roy is obliged by the contract with M. Lachâtre to send me 60 pages every ten days. The copy's revision already burdens me with a lot of work, so that I could at least ask for strict and regular adherence of the clauses of the contract. Would you please have the kindness to have M. Vernouillet write to M. Roy to send more copy and to communicate this letter to M. Lachâtre [...]". - Lower margin with slight creases. Not in: Marx/Engels, Werke vol. 33 (Briefe Juli 1870 - Dezember 1874).
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Marx, Karl, philosopher and economist (1818-1883).
Autograph letter signed. London, 29. III. 1873.
8vo. 1 page. To an unnamed addressee, probably Juste Vernouillet, director of the publishing house Lachâtre & Co.: "M. Roy ayant priè M. Lachâtre de lui faire donner 300 f. à la fin de ce mois. M. Lachâtre a demandé que je donne mon autorization. J'écris donc aujourdhui à vous et à M. L. pour vous autorizer à payer immédiatement cette somme à M. Roy. Je vois de la lettre de M. Roy qu'il n'a pas encore reçu un seul fascicle imprimé. C'est presque incroyable! Certainement, ce n'était pas là une manière d'activer son travail ou de le mettre à même de changer son mode de traduction [...]" ("M. Roy has asked M. Lachâtre to give him 300 f. by the end of this month. M. Lachâtre has asked me to give my authorisation. Therefore, I write to you and to M. L. today to authorise you to pay M. Roy this sum immediately. From M. Roy's letter I see that he has not received a single printed fascicle. That is almost unbelievable! Surely, this was not a means to prompt his work or to even make him change his mode of translation [...]"). - With old inventory note. Not in: Marx/Engels, Werke vol. 33 (Briefe Juli 1870 - Dezember 1874).
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Marx, Karl, philosopher and economist (1818-1883).
Autograph letter signed. London, 29. III. 1873.
8vo. 1 page. To an unnamed addressee, probably Maurice Lachâtre: "J'ai écrit à M. Vernouillet pour l'autorizer à payer 300 f. à M. Roy. M. Roy, qui s'est marié et est devenu père, se trouve dans une position très difficile. Pour le mettre à même de donner moins de leçons et consacrer plus de temps à la traduction, M. Roy et moi nous sommes convenus de ceci: d'un côté: je recevrai tous les 10 jours 50 pages; (une quarantaine de pages doit y arriver domain); sa traduction sera ainsi terminé vers la fin de Mai. de l'autre côté: il recevra 200 f. à la fin d'Avril et le reste à la fin de Mai. D'après une lettre de M. Roy il n'a pas encore reçu un seul fascicle imprime! Je trouve cela très étrange! Comment voulez vous qu'il ait activé son travail en ne voyant rien apparaître? Encore, ce n'était que par l'étude des fascicles imprimés qu'il avait été amené à changer sa méthode de traduction. Je suppose que vous n'êtes pour rien dans ce procédé pas convenable [...]" ("I have written to M. Vernouillet authorizing him to pay M. Roy 300 f. M. Roy, who has got married and has become a father, is in a difficult situation. In order to enable him to give fewer lectures and spend more time on the translation, M. Roy and I have agreed on this: on the one hand, I will receive 50 pages every 10 days (some forty pages must arrive tomorrow); this way his translation will be finished by the end of May. On the other hand, he will receive 200 f. by the end of April and the remainder by the end of May. According to a letter from M. Roy he has not yet received a single printed fascicle! I find this very strange! How do you expect him to keep up his work without seeing anything that is released? After all, it was only by studying the printed fascicles that he was made to change his method of translation. I suppose you are not involved at all in this unpleasant process [...]"). Not in: Marx/Engels, Werke vol. 33 (Briefe Juli 1870 - Dezember 1874).
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Marx, Karl, philosopher and economist (1818-1883).
Autograph letter signed. London, 4. VIII. 1873.
12mo. 1 page. To an unnamed addressee: "Ci-inclus la biographie que vous avez demandée. Longuet l'a faite, mais il ne font pas le nommer. J'ai ajouté un de mes photographes dont la reproduction dans le 'Capital' est tres mauvaise. L'état de ma santé ne me permet pas encore de travailler que quelques heures de la journée. De là manque de manuscrit pour M. Lahure. Néanmoins, il reçoit aujourd'hui des épreuves qui comprennent déjà une partie de la trente deuxième feuille. Après les avoir renvoyés, il n'y aura donc aucune raison pour ne pas publier fasc. V et VI. J'espère lui pouvoir fournir jusqu'à la fin de la semaine de nouveau manuscrit [...]" ("Enclosed is the biography you asked for. It was written by Longuet [i.e., the journalist Charles Longuet] but he does not need to be mentioned. I have added one of my photos, the reproduction of which in 'Capital' is very poor. My state of health does not allow me to work more than a few hours a day. Hence the lack of a manuscript for M. Lahure. Still, he receives proofs that already include part of leaf 32 today. After having sent them, there will be no reason not to publish fasc. V and VI. I hope to present him with the new manuscript by the end of the week [...]"). - With old note of inventory. Not in: Marx/Engels, Werke vol. 33 (Briefe Juli 1870 - Dezember 1874).
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Marx, Karl, philosopher and economist (1818-1883).
Autograph letter signed. [London], 28. X. 1873.
12mo. 1 page. To an unnamed addressee, probably Juste Vernouillet, director of the publishing house Lachâtre & Co, about the last part of the translation of "Das Kapital": "Cher citoyen, J’ai reçu hier de la part de M. Roy la fin de la traduction. Il faut lui donc payer le reste des 1500 frs que j’ai avancés (à M. Lachâtre) pour sa rémunération. Ma santé est à peu près rétablie et M. Lahure recevra bientôt une bonne partie du manuscrit [...]" ("Dear citizen, yesterday I received from M. Roy the end of the translation. Therefore he has to be paid the rest of the 1500 frs which I have advanced (to M. Lachâtre) for his payment. My health is nearly restored and M. Lahure will soon receive a good part of the manuscript [...]"). - With a notarial inventory mark. Tiny holes; lower margin slightly frayed. Not in: Marx/Engels, Werke vol. 33 (Briefe Juli 1870 - Dezember 1874).
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Marx, Karl, philosopher and economist (1818-1883).
Autograph letter signed ("K. M."). [London], 19. IX. 1873.
8vo. ½ page. To an unnamed addressee, probably Maurice Lachâtre: "Cher citoyen, J’étais très malade pendant les dernières semaines et je suis encore souffrant. Cependant M. Lahure a reçu les dernières épreuves le 8 septembre. Il a tout et plus qu’il ne lui faut pour publier les 5 et 6 livraisons. Pourquoi ne procède-t-il donc pas? Je trouve qu’il agit très impolitiquement, et vous m’obligerez en m’informant sur les raisons de ce retard. À Berlin, dans les cercles les mieux instruits, on considère la fusion comme une chose perdue et le rétablissement de la monarchie en France comme un rêve qui ne s’accomplira pas [...]" ("I have been very ill during the last weeks and am still suffering. Meanwhile M. Lahure has received the last proofs on September 8th. He has everything and more of what he does not need to publish instalments 5 and 6. So why is he not proceeding? I think his actions are highly impolitic, and I am obliged to you for informing me about the reasons for the delay. In Berlin, in the better informed circles, the fusion is considered a lost cause and the restoration of the monarchy in France a dream never to be accomplished [...]"). - Marx alludes to the attempt of a monarchic fusion undertaken by the count of Paris, Head of the House of Orléans, next to the count of Chambord, legitimist suitor. - Written in a small, close hand. With a notarial inventory mark. Not in: Marx/Engels, Werke vol. 33 (Briefe Juli 1870 - Dezember 1874).
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Marx, Karl, philosopher and economist (1818-1883).
Autograph letter signed ("K. M."). [London], 13. X. 1873.
12mo. 1 page. To an unnamed addressee: "Dans votre lettre que je viens de recevoir aujourd'hui aussi bien que dans la lettre précédente vous parlez seulement de la sixième série, mais veuillez bien remarquer que je n'ai pas encore reçu la cinquième! J'ai écrit pour avoir des notes biographiques de Bebel et Liebknecht. Les chances du roy sont plus que douteuses; mais même s'il revenait, la France ne serait pas perdue. C'est du reste la politique de M. Thiers qui a amené cette catastrophe et, si la France y échappe, c'est grâce à la Hectique absurde des hommes de l'ordre moral et aux hésitations et scrupules de l'enfant du miracle, autrement dit 'l'enfant de l'Europe' [...]" ("In your letter I just received today, as well as in the previous one, you only speak of the sixth series, but please note that I have not yet received the fifth! I wrote to obtain biographical notes on Bebel and Liebknecht. The King's chances are more than dubious; but even if he returns, France will not be lost. By the way, it is M. Thiers' politics that caused this catastrophe, and if France escapes from it, it will be thanks to the absurd hecticness of the men of the moral order and to the hesitations and scruples of the child prodigy, also known as 'the child of Europe' [...]". - Marx alludes to Henri d'Artois, the Legitimist pretender to the throne of France between 1844 and 1883. After the collapse of the Second Empire under Napoleon III, his claim to the throne was supported by both Legitimists and Orléanists. However, Henri's insistence on the abandonment of the tricolour flag led to his losing the throne and to the establishment of the Third Republic. - With old inventory note. Small waterstain to upper left-hand corner, not touching text; two tiny marks from a paper clip, affecting a single letter. Not in: Marx/Engels, Werke vol. 33 (Briefe Juli 1870 - Dezember 1874).
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Minckwitz, Hans Carl David von, Oberleutnant (1762-1810).
Schriftstück mit zwei eigenh. U. Lissa (Leszno), Laue-Delitsch, 13. X. 1806, 10. VI. 1808, 20. XII. 1811.
3 SS. auf Doppelblatt. Folio. Mit rotem Lacksiegel und zwei papiergedeckten Siegeln. Mit einigen Beilagen (s. u.). Schuldverschreibung über 1000 Reichstaler und die gerichtliche Quittung durch den Kreditgeber Christoph Troitzsch der bereits außergerichtlich veranlassten Rückzahlung durch die Gemahlin Louisen Charlotte Friederike Louise von Minckwitz. "Da iedoch nach Ableben eingangsgenannten Herrn Premieur Lieutenant von Minkwitz deßen hinterlaßne Frau Wittwe hierüber gerichtliche Quitung zuerhalten wünscht; Alß wolle er über den richtigen Empfang [...] quittiren [...]". - Mit Wertstempel "Zehn Groschen". Gegenzeichnung. Beiliegend ein Kuvert an Minckwitz mit Siegelrest, zwei gerichtliche Schriftstücke, eines des "Appellantens und Liquidantens" Christian Taugott Junghans aus Dresden gegen die Witwe von Minkwitz, das zweite der Witwe von Minkwitz sowie "der Sophien-Kirche zu Dresden und des Findelhauses daselbst, vertreten durch den Stadtrath daselbst, allerseits Appellanten und Liquidanten, wider die Charlotte Karoline Ernestine von Lemmers Damfort geboren von Engel [...]" (jeweils mit Wertstempel, Prägestempel und großem papiergedecktem Siegel, Naumburg 1830) und ein Briefentwurf an die königliche Majestät mit Bitte um Zahlungserleichterung für die "Rittergutsbesitzern des Wittenberger Kreyßes". - Leicht knittrig und braunfleckig an den Rändern.
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Montefiore, Charlotte Rosalind, Schwester (1855-1933) von Claude Montefiore, des Begründers des britischen Reformjudentums.
Eigenh. Brief mit U. Kaiserhof [Berlin], 17. XI. 1878.
2½ SS. auf Doppelblatt. 8vo. An einen Bekannten mit Dank für ein Autograph und ein Porträt desselben: "Wie kann ich Ihnen genug meinen Dank aussprechen für die große Ehre und Freundlichkeit die Sie mir erwiesen haben. Wir haben ein großes Autographien Buch da wird Ihre Handschrift gehen doch die Photographie behalt ich für mein privat Eigentum, und es wird ein recht heiliges Eigenthum sein! Wir haben uns so über Ihren werthen Besuch gefreut und hoffen so sehr Sie in London zu sehen [...]". - Es folgt die englische Fassung des Textes von derselben Hand. - Mit kleinen Randläsuren.
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Proudhon, Pierre, Joseph, writer and political theorist (1809-1865).
Autograph letter signed. Conciergerie [Paris], 7. III. 1851.
8vo. 1 page on bifolium. Includes an autograph letter signed by Proudhon's widow to Lachâtre (8vo. 2 pp.). To an unnamed addressee: after their discussion of the previous Monday, he sends the plan of the deed of the society, edited by his friends and himself, as a basis of a new publication of "La Voix du Peuple": "Sauf les réserves que vous pouvez avoir à exprimer, et qu'il nous sera possible d'admettre, je crois que notre arrangement pourrait être conclu en deux mots, c’est que vous prendriez la totalité des actions, et que vous accepteriez purement et simplement l’acte de société. À la qualité de bailleur de fonds joignant celle d’administrateur inamovible, vous avez, ce me semble toutes les garanties, tous les avantages qu’il est juste de vous accorder: il n’y aurait plus qu’à nous entendre sur la répartition des actions industrielles. Combien en exigez-vous? [...]" ("Except from reservations which you could have, and which we could possibly accept, I believe our arrangement could be put into two words: you will take all the shares and will purely and simply accept the deed of the society. Concerning the quality of the financial backer joining that of the irremovable administrator, you have, it seems to me, all guarantees, all advantages that it is fair to grant you: there is no more to be done than to agree on the repartition of the industrial shares. How many of them do you demand? [...]"). Proudhon awaits the recipient's observations and conditions: "nous avons depuis un mois commencé de sérieuses démarches pour grouper notre capital; il nous importe de savoir si nous devons ou non les continuer [...]" ("A month ago we launched serious steps to put together our capital; it matters for us to know if we may or may not continue to do this [...]"). - On headed stationery of "La Voix du Peuple, journal quotidien et hebdomadaire". The letter by Proudhon's widow to Lachâtre (Passy, 19 Nov. 1874) deals with a copy of a letter by Proudhon addressed to Lachâtre which she recently received from M. Léon Gélineau, expressing her hope to learn the year in with Proudhon had written it, as a brochure called "l'Epoche à Amétié" is mentioned there.
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Pyat, Félix, politician and writer (1810-1889).
108 autograph letters signed (mostly with paraph or initials, 6 with pseudonym "Solange", one letter incomplete). London and Hastings, 1872-1880.
8vo (104), oblong 8vo (2), oblong 12mo (1), 136 x 33 mm (1). A total of 239 pp. on 50 bifolia and 59 single leaves. One letter with autograph address on verso. Remarkable political correspondence from the exile to Maurice Lachâtre. Pyat, sentenced to death by the 3rd War Council on 28 March 1873, took refuge in London. Lachâtre, to be deported to a fortified compound, fled to Spain in December 1873. Following the amnesty (11 July 1880), the two outlaws, returned in France, co-directed "La Commune", a socialist newspaper (45 issues, 21 Sept.-4 Nov. 1880). - 1872: Pyat recounts his flight from Paris to London and deplores France's state of despondency. - He advises against a return from Spain and attests to horrors committed during the fall of the Commune. Pyat notes the desired conditions for publishing a history of the Commune, combining a newspaper, collaborating with the printer Juste Vernouillet, pros and cons of publishing in Paris or Brussels. Under the pseudonym "Solange" he considers the lifting of the state of siege, weighs the interest of a rapid or deferred publication of the history and the newspaper, and underlines risks to the country. He speaks of help for the outlaws, urges Lachâtre to keep away from the rigors of Thiers, shows interest in other Lachâtre authors (including Karl Marx and Eugène Sue), and makes political predictions: the monarchists, he says, would rally around Thiers, and political opinion would become more radical. - 1873: Pyat promises to provide souvenirs for Lachâtre's biography of Sue, is alarmed at Lachâtre's idea of returning home to Thiers' "orgy of blood", and reacts with ironic pride to his condemnation by the Council of War. He worries about Lachâtre due to the conditions in Spain. Pyat mentions how Thiers' fall corresponds to the laws of political science and invokes quarrels among the international (Vésinier, Landeck, Vaillant, Arnault, etc.). - 1874: Pyat sets out his observations on Castelar's fall and the Spanish Bourbon restoration, as well as on Lachâtre's setbacks in Belgium. - 1875: Pyat communicates a letter by Garibaldi (two ms. copies attached) for the press "for French propaganda". He considers a newspaper proposal. The justice of Paris turns out to be the triumph of the murderers. He debates the project of an exile newspaper, mentioning "La Voix du procrit" of Ledru and "Le Nouveau Monde" of Louis Blanc. - 1876: the amnesty was spoiled. He fights Lachâtre's hesitations to invest in a French newspaper, recalls the success of "Le Combat", and comments on the clumsiness of human rights. - 1877: his friend Gambon has told him about Lachâtre's plan of moving to Naples. Pyat would only agree to direct Duportal's "La Marseillaise" under a different title and with an adopted focus, criticizing the paper's unclear policies. - 1878: Pyat discusses their newspaper "La Commune", finances, seizure of the first issues, a guarantee for the citizen Castelnau, a friend and collaborator of Delescluze, summonses by the correctional police for non-payment of a fine, complaints about Dr Lux and the administrator Avenant. Several times he refers to Lachâtre's safe conduct to Paris. - 1879: New reflections on the amnesty. Versailles had no right to punish, no right to pardon; the outlaw's duty is to return only if he can win his cause and make the others return. Pyat urged Lachâtre to return to launch the newspaper; he was not mistaken: no amnesty. Pyat considers "Le Travail", in regard to declaration, title, administration, drafting (Rogeard, Gambon, Cluseret, Reclus, Protot, etc.). He hopes that General de Wimpffen will pardon Lachâtre. He gives advice in case of Lachâtre's reprieve and return, and receives emotionally the portrait of a martyr who redeems mankind. He warns of an agreement with Blanqui, whose "La Patrie" in danger proves that he is not the best journalist, and advises for caution until after the vote of the Senate. - Includes 2 ms. (copy): Pyat's Speech (Faubourg St.-Antoine, 14 Nov. 1869), declaration of the 1869 amnesty, which is sworn to the people, not to the Emperor; "Felix Pyat and the Tuileries" (London, 25 Jan. 1877), addressed to the editor of the "Standard", on Pyat's role in the Commune. Also includes: ALS by André Mellado (from the newspaper "La Igualdad", 27 May 1873), Spanish Republican tribute; ALS by General de Wimpffen (19 Oct. 1877), with comments on the French press.
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[Ramming von Riedkirchen, Wilhelm Frh. von, k. k. General (1815-1876)].
"Ein Beitrag zur Darstellung der Schlacht von Solferino am 24. Juni 1859". Reinschrift von Schreiberhand. O. O. u. D.
131 SS. Mit 2 in Tuschfeder und Farben gezeichneten Karten. Halbleinenband der Zeit. 4to. Saubere Reinschrift von Rammings Darstellung der von Österreich verlorenen Entscheidungsschlacht im Krieg mit dem Königreich Sardinien, an der Ramming als Stellvertretender Generalstabs-Chef teilgenommen hatte. Das Manuskript beschreibt in sechs Kapiteln 1) den Rückzug der k. k. österr. Armee von Magenta bis an die Chiese, 2) die Ereignisse vom 15. bis 22. Juni - weiterer Rückzug bis hinter den Mincio, 3) den Übergang der österr. Armee auf das rechte Ufer des Mincio am 23. Juni und 4) die Schlacht von Solferino am 24. Juni und hält 5) Betrachtungen sowie 6) das Resultat der Schlacht fest. - "Von Ramming ist nach dem Frieden von Zür[i]ch als Manuscript gedruckt ein 'Beitrag zur Schlacht bei Solferino' erschienen, worin nach dem Urtheile von Fachmännern der Gegenstand mit vollem Freimuthe behandelt ist, ein Umstand, der leichtbegreiflich Veranlassung zu mancherlei Reclamationen gab" (Wurzbach XXIV, S. 314). Der Vermerk "als Manuskript gedruckt" findet sich auch hier am Titel, allerdings ist in keinem Bibliothekskatalog weltweit ein Exemplar davon angeführt, lediglich Rammings Schrift über den Feldzug in Ungarn und Siebenbürgen 1849 und sein "Commentar zu der Russischen Darstellung des ungarischen Revolutionskrieges" sind dort zu finden. - Rücken etwas beschabt und bestoßen, die Gelenke angeplatzt, innen jedoch sauber und in tadellosem Zustand.
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Temple, Frederick, Archbishop of Canterbury (1821-1902).
Autograph letter signed ("F. Londin."). Fulham Palace, London, 22. VI. 1892.
2 pp. 8vo. Writing as Bishop of London (1885-96) to "My dear Palgrave", likely the poet and critic Francis Turner Palgrave (1824-97), who had once served as his vice-principal at the experimental school at Kneller Hall, Whitton: "I have kept these an unreasonable time. But I have been well nigh drowned in work. My criticisms you will think petty; and they are petty. But none other occur to me. I am afraid my critical faculty is not worth very much [...]". In 1892 Palgrave published "Amenophis and Other Poems, Sacred and Secular". - Traces of folds.
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[Buchbinder, Bernhard, Schriftsteller (1849-1922)].
Eigenh. adr. Kuvert (Ausschnitt). [Poststempel: Wien, 11. I. 1899].
1 S. Qu.-8vo. An die Redaktion des Adelsblattes "Der Salon". - Mit Rundstempel der Handschriftensammlung J. K. Riess. Beschnitten mit Textverlust in der Adresse.
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Eigenbrodt, Wolrad, Schriftsteller (1860-1921).
Eigenh. Brief mit U. Jena, 11. IX. 1895.
4 SS. auf Doppelblatt. 8vo. Erstes briefliches Kennenlernen mit der Zusendung eines Büchleins: "Sie erwähnten darin, daß Sie bei unserm Freunde Meyer meine Runeberg-Übersetzung kennen gelernt hatten. Es berührte mich eigen, dass Sie so auch einmal auf meine Spur gekommen waren, nachdem ich so oft auf die Ihre gestoßen: in Berlin, wo mir Geheimrat Volkmann, den ich näher kannte, äusserst heiter aus einer Gesellschaft bei Ihnen kommend, ganz beseligt von den frohen Stunden erzählte, in Freiburg, wo mir Meyer am Waldau-Wege kleine Gewächse zeigte, die Ihr Interesse erregt hatten [...] Möchte es nicht unbescheiden von mir sein, wenn ich versuchte, durch beifolgendes Büchlein, (das Meyer Freude machte) Sie ein wenig weiter auf meiner Spur zu bringen! [...] Täusche ich mich nicht, so gefallen Ihnen die Kinderliedchen Seite 103-110 [...] Vielleicht druckte auch ein Blatt das 'Portrait' auf Seite 49 (Mir ist ein milder Fürst bekannt) ab, in Anknüpfung an den 70. Geburtstag des Großherzogs von Baden [...]".
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[Goethekreis]. - Griesbach, Johann Jakob, Theologe (1745-1812).
Schriftstück mit eigenh. Zusatz und U. sowie eine eigenh. Liste mit U. Jena, 19. IX. 1798.
(1+½ =) 1½ SS. Qu.-4to und Folio. Quittung über 12 Thaler 10 Groschen, die ihm während seines "Aufenthaltes auf der Universität Jena von dem Hospitalstipendio [...] vom Hl. Cassirer Haage gütigst ausgezahlt worden [...]". Die undatierte Liste führt 15 Namen von Lehrpersonen, nebst der Herkunft, dem Unterrichtsfach und dem Hörergeld an, beispielsweise "Hagemeister Pommer Exegese u. Hermeneutik 6 [...]"; fünf Positionen sind bereits gestrichen. - Das freundschaftliche Verhältnis zwischen Goethe und Griesbach datiert bereits aus des Letzteren Frankfurter Jahren. Goethe war mit Griesbachs Frau Friederike Juliane, geb. Schütz, bekannt und schätzte sie sehr (vgl. Biedermann, "Goethes Gespräche", und Eckermann, "Gespräche mit Goethe"). - Etwas braunfleckig und altersbedingt etwas gebräunt.
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Heindl, Anton, Schriftsteller (geb. 1859).
Eigenh. Brief mit U. Dresden, 8. X. 1896.
3 SS. auf Doppelblatt. 8vo. An einen namentlich nicht genannten Herrn Doktor in Wien: "Ich komme einmal mit einer Bitte zu Ihnen [...] Es handelt sich nämlich um eine junge Engländerin, [...] die gerne auf angenehme Art u. Weise in dem Schoß einer guten Familie geborgen Wien kennen lernen möchte. Als Entgelt für die Aufnahme in eine solche Familie würde sie ihr Englisch geben, ohne außer Kost und Logis irgendetwas zu beanspruchen. Wenn sie sich ein geringes Maß persönlicher Freiheit reservirt, so ist damit keine Gefahr verbunden, da sie ein [...] feines u. anständiges Mädchen ist. Vielleicht finden Sie in Ihrem großen Bekanntenkreis eine Familie die Haus führt u. Gelegenheit bietet, Theater u. dgl. zu besuchen [...] Es hat mir bei meinem kurzen Aufenthalt in Wien sehr leid gethan, Sie nicht zu treffen, doch habe ich die Absicht im Winter einmal nach W. zu kommen, u. da kann ich das Versäumte nachholen [...]". - Auf Briefpapier mit gepr. Monogramm. Mit Rundstempel und Inventarnummer der Handschriftensammlung J. K. Riess. Leicht angestaubt.
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Schubin, Ossip [i. e. Aloisia Kirschner], Schriftstellerin (1854-1934).
Eigenh. Brief mit U. Smichov-Prag, 15. XII. [1891].
4 SS. auf Doppelblatt. 8vo. An einen Freund mit einer Einladung auf das Gut ihrer Familie in Lochkov bei Prag: "Besten Dank für Ihren Brief. Es wird uns natürlich sehr freuen Ihre Bekanntschaft zu machen, und hoffen wir daß Sie es sich so einrichten, daß Sie an einem der le[t]zten Decembertage mit uns frühstücken könnten zwischen 12-1 - da zu einem einfachen Besuch die Reise von Prag bis Lochkow doch zu weit ist. Ich glaube ja es ist Ihnen bekannt daß wir nicht am 'Smichow' sondern auf unserm Gute leben. Lochkow ist etwa 1¼ Stunden bei schlechter i. e. verschneiter Straße jedoch noch länger von Prag entfernt. Jeder Fiaker weiß den Weg. Am acht u. zwanzigsten Dec. so wie am siebenundzwanzigsten könnte ich möglicherweise nicht zu Hause sein. Vom 29ten an würde ich mich sehr freuen Sie in Lochkow zu sehen [...]".
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[Zadek, Walter, Journalist und Photograph (1900-1992)].
9 ms. Briefe mit eigenh. U., 17 eh. Briefe mit U., 1 eh. Notiz mit U., 2 eh. Postkarten mit U. Breslau, Gießen, Haus Ferlach, Berlin, Köln, Leipzig und o. O., 1927-1932.
Zusammen 34 SS. auf 32 Bll. 4to und (Qu.-)8vo. Umfangreiches Briefkonvolut verschiedener Verfasser, in erster Linie Juristen, an Walter Zadek in seiner Funktion als Redakteur des "Berliner Tagblattes" mit Zu- oder Absagen von Zeitungsbeiträgen sowie über das für dieselben fällige Honorar. - Der Verwaltungsjurist und Presserechtler Kurt Häntzschel (1889-1941) mit Beiträgen für die Zeitung: "Wunschgemäss übersende ich Ihnen in der Anlage einige lebenswahre Geschichten aus dem Verkehr zwischen Behörden und Publikum. Mit Rücksicht auf den letzten Fall, der erst etwa drei Wochen zurückliegt, muss ich bitten, von der Nennung meines Namens Abstand zu nehmen [...]" (10. XII. 1928). - Der Psychiater und Kriminologe Gustav Aschaffenburg mit der Absage eines Beitrags über die Todesstrafe: "Frau Ruben hat mich gebeten, mich an der Beantwortung der Frage 'Hat der Staat das Recht zu töten' mit zu beteiligen. Ich habe mich entschlossen, mich nicht zu beteiligen. Ich fühle mich nicht imstande, diese Frage im Rahmen eines kurzen Aufsatzes zu behandeln [...]" (10. XII. 1928). - Der Landgerichtsdirektor Kurt Bunge (1911-98) über die Vergütung seines Beitrags: "Bei dem Angebot des 2. Aufsatzes war es natürlich nicht meine Absicht Ihnen zuzumuten, daß Sie mir ohne weiteres beide Aufsätze nach dem Normalsatz vergüten, das wäre ja kein Ausgleich. Ich dachte mir vielmehr nur, daß, falls der 2. Aufsatz in der von Ihnen geplanten Serie erscheint, Sie mir das 1½ fache des Normalsatzes zahlen, und daß dadurch dann doch die Differenz bezügl. des 1. Aufsatzes ausgeglichen wäre [...]" (20. I. 1931). - Einige Briefe gelocht; manche mit kleinen Randläsuren und etwas braunfleckig. Ein Brief mit aufgeklebter Postkarte. - Beiliegend 2 hs. (Widmungs-)Gedichte unbekannter Verfasser sowie eine unbeschriebene Bildpostkarte mit einer Fotografie einer mittelalterlichen Handschrift auf der Bildseite.
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Wild, Franz, Sänger (1792-1860).
Eigenh. Albumblatt mit U. Wien, 11. X. 1833.
1 S. Qu.-8vo. "Es wird doch diesem nie an einem Freunde fehlen, der fähig ist ein Freund zu seyn. / Alxinger. / Leben Sie recht glücklich und erinnern Sie sich manchmahl Ihres Freundes [...]".
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Wild, Franz, Sänger (1792-1860).
Eigenh. Brief mit U. Wien, 3. VI. 1845.
1 S. auf Doppelblatt. 8vo. Mit eh. Adresse verso. An den Grazer Theaterdirektor Karl Remmark über den Spielplan: "Eben zurückgekommen muß ich es bedauern nirgends den Herrn Heiling gesehen zu haben, ich muß Sie daher ersuchen, sollte besagte Oper von heute bis 14 Tage dermaln auf dem Repertoire erscheinen, mir es zeitig wißen zu laßen, damit ich es in praxis kann in Augenschein nehmen [...]". - Leicht braunfleckig.
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Wilt, Marie, Sängerin (1833-1891).
Eigenh. Brief mit U. [Wien], 7. I. (o. J.).
1 S. auf Doppelblatt. 8vo. An einen Professor mit Bedauern, dessen Rat aufgrund ihrer baldigen Abreise nicht folgen zu können: "Ich bedauere unendlich nicht von Ihrem Antrag Gebrauch machen zu können da ich nicht weiß wie lange Zeit ich noch in Wien mich aufhalten werde. Sollten sich ein Mal die Verhältnisse günstiger für mich gestalten so hoffe ich daß ich wieder auf Ihren Rath dem ich immer folgen will hoffen darf [...]". - Mit kleinen Randläsuren.
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Wilt, Marie, Sängerin (1833-1891).
Eigenh. Brief mit U. O. O., 8. XII. (o. J.).
1 S. 8vo. An einen Bekannten mit einer Terminbestätigung und über die bevorstehende Rückkunft ihres Gatten, des Architekten Franz Wilt: "Da meine Hand sich sehr zum Besseren neigt, so bin ich in der angenehmen Lage Ihren Wünschen bezüglich dem 25ten zu willfahr[e]n. Oberbaurath Wilt kommt diesen Montag von seiner Reise zurück [...]". - Mit kleinen Randläsuren.
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Wilt, Marie, Sängerin (1833-1891).
Eigenh. Brief mit U. O. O. u. D.
1 S. In Bleistift. 8vo. An einen Freund über Gesangsproben: "Ich komme morgen 12 Uhr zu Ihnen mit Helene singen. Samstag soll hier um 5 Uhr nach Tisch Probe mit ihr und mir sein [...]". - Mit etwas stärkeren Randläsuren (keine Textberührung).
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Wilt, Marie, Sängerin (1833-1891).
Eigenh. Brief mit U. O. O., 29. III. o. J.
1 S. 12mo. An einen Sammler, dem sie schon vor einiger Zeit ein Autograph geschickt habe: "Schon vor 2 oder drei Jahren habe ich nach Graz einige Worte geschickt, ich glaube mich nicht zu irren wenn es nicht an Sie [...] war ich wundere mich daß Sie um eine Wi[e]derholung ersuchten [...]". - Mit Empfangsvermerk von alter Sammlerhand verso, dat. 1. IV. 1881. - Mit kleinen Randläsuren und Spuren alter Montage verso.
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Winkelmann, Hans, Sänger (1881-1943).
Eigenh. Brief mit U. Wien, 4. XII. 1906.
1¼ SS. auf Doppelblatt. 8vo. An einen Freund über die Feindseligkeit seiner Kritiker und mit der Bitte, ihm einige Lieder zukommen zu lassen: "Mit einigen Herrn von der Kritik bin ich noch von früher her in Fehde, die werden nun die verschiedenen Anfänger-Schwächen gegen mich bewirken. Überdies habe ich mich von dieser Übermüdung damals vollständig erholt u. hüte mich vor ähnlichen Überanstrengungen; erinnere Sie auch an das Versprechen, dass ich die neuen Lieder bekommen soll - u. bitte bald, da ich so gute Verwendung für sie schon gehabt hätte u. habe [...]".
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Winkelmann, Hermann, Sänger (1849-1912).
Eigenh. Brief mit U. [Wien] Stadiongasse 4, 10. X. 1888.
1 S. 8vo. An einen Freund über seine schwindenden Urlaubsansprüche: "Mit meiner Urlaubsgeschichte bin ich noch immer nicht im Klaren, denn obwohl ich nicht nach Bayreuth ging, wegen Unwohlsein, so habe ich doch den außergewöhnlich dafür bestimmten Urlaub, benützt zu meiner Erholung, und so sehe ich jetzt erst, daß ich nur noch sehr wenig Urlaub für diesen Winter habe. Ich muß mich noch einmal mit dem Director besprechen und komme dann hin zu dir [...]". - Auf Briefpapier mit gepr. Monogramm. Beiliegend 3 Zeitungsausschnitte mit Nachrufen auf den Sänger.
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Winkelmann, Hermann, Sänger (1849-1912).
Eigenh. Brief mit U. München, 24. X. 1908.
1 S. auf Doppelblatt. 8vo. An einen Freund über einen geplanten Auftritt: "Vielen Dank und ich will natürlich sehr gern mitwirken. Bitte nur seinerzeit mir zu sagen wann die Proben sind. Mit herzlichsten Grüssen von Haus zu Haus [...]". - Auf Briefpapier mit gepr. Monogramm.
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Winkelmann, Hermann, Sänger (1849-1912).
Eigenh. Brief mit U. Mauer, 16. V. 1894.
1 S. 8vo. Mit eh. adr. Kuvert. An Melanie Radamsky in Wien mit Bedauern, ihr keine Portraitaufnahme schicken zu können: "Leider bin ich nicht in der Lage Ihren Wunsch, ein Bild von mir zu schicken, zu erfüllen. Diese Bitte wird so oft an mich gestellt, dass es einfach unmöglich ist [...]". - Auf Briefpapier mit gepr. Monogramm. - Mit einem kleinen und einem etwas größeren Einriss im Mittelfalz.
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Winternitz-Dorda, Martha, Sängerin (1880-1958).
Eigenh. Visitenkarte. O. O. u. D.
1 S. Visitkartenformat. An einen Baron mit Dank für dessen Worte: "Martha Winternitz Dorda [dies gedruckt] dankt Ihnen, verehrter Herr Baron, herzlichst für die freundl. Gratulation!". - Mit Blindprägung zur besseren Griffigkeit.
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Zimmermann, Emmy, Sängerin (1844-1914).
Eigenh. Visitenkarte. O. O. u. D.
2 SS. Visitkartenformat. "Emmy Zimmermann Opernsängerin [dies gedruckt] empfiehlt sich Ihrem Wohlwollen [...]".
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Zimmermann, Gusti, Sängerin (1865 - nach 1906).
Eigenh. Albumblatt mit U. O. O. u. D.
½ S. 8vo. "Die Lorbeern haben auch Dornen! [...]". - Auf Kartonträger montiert.
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Onno, Ferdinand, Schauspieler (1879-1970).
32 eigenh. Briefe, Brief- und Postkarten mit U. Verschiedene Orte, 1920er Jahre.
Zusammen 40½ SS. auf 32 Bll. Meist (qu.-)8vo. Die Karten mit eh. Adresse. Freundschaftliche Korrespondenz mit dem Schauspieler und Regisseur Wilhelm Klitsch (1882-1941) und dessen Gattin. - Geboren in Czernowitz als Ferdinand Onowotschek, war Ferdinand Onno zunächst als Schauspieler in Köthen, Schweidnitz und Kiel engagiert, spielte seit 1903 am Schillertheater in Berlin, seit 1904 an den dortigen Reinhardt-Bühnen und wurde 1906 an das Deutsche Landestheater in Prag verpflichtet. "1910 kam er an das Deutsche Volkstheater in Wien und war seit 1930 Ensemblemitglied des Burgtheaters. Zu seinen erfolgreichsten Rollen gehörten Gloster im 'König Lear' und Marquis Posa in 'Don Carlos'" (DBE).
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[Theater].
Hs. Brief mit U. O. O. u. D.
1 S. auf Doppelblatt. 8vo. Schreiben eines nicht ermittelten Absenders an einen Herrn Frey: "Ich erlaube mir Ihnen mitzutheilen daß meine Frau mit Ende d. M. sich von der Theater Carriere gänzlich zurückzieht. Der Vertrag mit dem Hof-Operntheater wird in gegenseitigem Einvernehmen gelöst [...]". - Auf Briefpapier mit schwarzem Trauerrand. Buchstabenverlust in der Unterschrift durch Ausriß der rechten unteren Ecke; etwas knittrig und angestaubt. Rundstempel der Handschriftensammlung J. K. Riess.
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Wessely, Josefine, Schauspielerin (1860-1887).
Eigenh. Albumblatt mit U. Graz, Dezember 1882.
1 S. Qu.-8vo. "Warum ist uns're Kunst so arm / Dass die Gebilde die sie schafft / Naturgetreu und lebenswarm / Ein Augenblick von hinnen rafft!".
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Wessely, Josefine, Schauspielerin (1860-1887).
Eigenh. Brief mit U. O. O., 22. XII. 1886.
3 SS. auf Doppelblatt. 8vo. An den Juristen und Schriftsteller Emil Granichstädten über dessen vier unter dem Gesamttitel "Galante Könige" erschienenen Lustspiele, auf deren baldige Aufnahme ins Repertoire des Burgtheaters sie hoffe: "Bravo! Bravo! Bravo! Eben habe ich in athemloser Hast die 4 Stücke ausgelesen! Ich weiß nicht welches mir am besten gefällt, ob der Preis der Scarron oder dem Ifti Kari [sic] oder meinem Liebeszeichen gebührt! Ich wünsche mir, dass man bald an die Vorführung dieser für das Repertoire so auffrischenden Novität gelangt! Poetisch und rührend finde ich meine Königin Anna und freue mich schrecklich auf den Abend! Wenn's nur schon wäre! Drängen Sie doch ein wenig lieber Herr Doctor, diese Saison geht ja sonst sang- und klanglos zu Ende! Viel viel Glück! [...]". - Weniger begeistert als die Schauspielerin zeigte sich hingegen die zeitgenössische Kritik, die nach der Uraufführung am 7. Jänner konstatierte: "So interessant die schauspielerischen Leistungen auch sind [...], so athmen doch diese Königslustspiele mit ihrem Mangel an Handlung und ihrem Ueberflusse an falschem Geiste eine niederdrückende Monotonie" ("Neue Freie Presse" vom 8. I. 1888, S. 6). - Mit einer montierten Porträtbriefmarke; etwas angestaubt und mit kleinen Randläsuren.
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Wessely, Josefine, Schauspielerin (1860-1887).
Eigenh. Briefkarte mit U. O. O., "Donnerstag früh 5 Uhr".
2 SS. Qu.-12mo. Mit eh. adr. Kuvert. An die Schauspielerin und Sängerin Anna Grünfeld mit der Bitte, sie vor ihrer Abreise noch einmal zu besuchen: "Ich reise morgen ab und es war mir mit dem besten Willen, den ich ja nicht lange zu betonen brauche, unmöglich noch einmal zu kommen. Nun wäre ich aber doch sehr glücklich Sie vor meiner großen Fahrt in unbekannte Länder noch zu sehen, noch Abschied von Ihnen zu nehmen. Ich bitte also, wenn es Ihnen nur irgend möglich ist, kommen Sie heute Abends zu mir. Ich bin immer allein, seit 8 Tagen [....]". - Auf Briefpapier mit golderhöhten floralen Ornamenten. Mit 2 stärkeren Knickfalten; das Kuvert mit ausgeschnittener Briefmarke.
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Weymar, Karl, Schauspieler (1803-1839).
Eigenh. Brief mit U. Dresden, 17. III. 1836.
2¼ SS. auf Doppelblatt. 4to. Mit eh. Adresse verso (Faltbrief). An den Theaterdirektor Joseph Pellet in Graz über sein bevorstehendes Gastspiel: "In ergebenster Beantwortung Ihres sehr geehrten vom 8ten ds, sage ich nochmals meinen verbindlichsten Dank für die Zusage eines Gastspiels von 12 Rollen. Mit der getroffenen Auswahl u. Reihenfolge bin ich vollkommen einverstanden, nur wünschte ich wo möglich für Isidor u. Olga eine andere Wahl, da das Stück fast überall so abgedroschen ist, daß es wenig Interesse mehr erregt, ich erlaube mir dafür den Schröderschen Hamlet, das Bild, Herr v. Silowa in Verbindung mit der eifersüchtigen Frau, König Enzio, Kerker u. Krone vorzuschlagen, doch füge ich mich ganz Ihren gütigen Bestimmungen [...] Da die Zeit meines Gastspiels immer näher heran rückt, und ich [...] manche der vorgeschlagenen Rollen erst studieren müßte, so würden Sie mich durch eine gütigst schnellst mögliche Auskunft sehr verbinden [...] ". - Papierbedingt etwas gebräunt, sonst tadellos; Bl. 2 mit kleinem Ausschnitt der Verschlussmarke (keine Textberührung).
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Wiene, Karl, Schauspieler (1852-1913).
Eigenh. Albumblatt mit U. Graz, 22. VI. 1884.
1 S. Qu.-8vo. "Natur gab uns Verstand, um recht zu denken, / Um recht zu handeln, gab sie uns das Herz!" - Carl Wiene war Vater des Filmregisseurs Robert Wiene (1873-1938), Schöpfer des expressionistischen Klassikers "Das Cabinet des Dr. Caligari" (1919).
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Wiene, Karl, Schauspieler (1852-1913).
Eigenh. Brief mit U. Wien, 20. II. 1903.
3 SS. auf Doppelblatt. Kl.-4to. An einen Redakteur mit der Bitte, die bevorstehende Premiere von George Bernard Shaws "Teufelskerl" zu besprechen: "Gestatten Sie mir, auf die am 25. d. im Raimund-Theater stattfindende Premiere von Bernard Shauw's [!] 'Ein Teufelskerl', in dessen Hauptrolle ich ein Gastspiel am Raimund-Theater eröffne, hinzuweisen und zu ersuchen, dem Stücke sowohl, wie meinem Gastspiele Ihr wohlwollendes Interesse widmen zu wollen. Gern hätte ich mir die Freiheit genommen, Sie persönlich darum zu ersuchen, aber ich fand bei meiner Ankunft in Wien eine derartige Summe von Arbeit, Proben, Vorbereitungen, schwierige Studien für Costüme etc. vor, daß ich von Ihnen die Erlaubnis erbitten muß, das Versäumte im Verlaufe des Gastspieles nachholen zu dürfen [...]". - Die besagte Aufführung war die erste Inszenierung eines Stücks von G. B. Shaw im deutschsprachigen Raum.
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Wilbrandt-Baudius, Auguste, Schauspielerin (1843-1937).
8 eigenh. Postkarten mit U. sowie 1 Porträtpostkarte mit eh. Widmung und U. Wien, Dürnstein und o. O., 1927 bis 1934 und o. D.
Zusammen 12 SS. und 4 Zeilen auf 9 Bll. (Qu.-)8vo. Mit eh. Adresse. Alle an Emilie (Gogo) Schaup aus der Zipfer-Brauereidynastie mit Dank für deren Briefe sowie für weihnachtliche Geschenkkörbe: "Sie guter Zipfer Weihnachts-Engel spenden mir [...] ein entzückendes [...] Waldmärchen-Körblein mit allen Köstlichkeiten Ihrer weihnächtlichen Häuslichkeit [...] Mir fehlen die Worte würdig zu danken! [...]" (26. XII. 1927). - "Ich war und bin entzückt von dem Zipfer Körbchen - es war so üppig, so wundervoll - ein wahrer Festtags-Schmaus - wir haben dabei dankbar der lieben Geberin gedacht [...]" (9. I. 1930). - "Und wieder einmal haben Sie mich so hoch erfreut. Ihr rührendes, liebevolles Zipfer Körbchen schmückt das Zimmer, und duftet nach Weihnachten. Dank, tausend Dank! Sie sind wahrlich zu gut [...]" (29. XII. 1931). - Die Portraitpostkarte mit einem Hüftbild der Schauspielerin in ihrer Rolle als Brigitte im "Käthchen von Heilbronn" mit einer 4-zeiligen eh. Widmung.
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Wilbrandt-Baudius, Auguste, Schauspielerin (1843-1937).
Eigenh. Albumblatt mit U. Graz, 20. IX. 1879.
1 S. Qu.-8vo. "Nicht immer heiter ist die Kunst! [...]". - Mit einer biographischen Notiz von alter Sammlerhand verso.
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Wilbrandt-Baudius, Auguste, Schauspielerin (1843-1937).
Eigenh. Brief mit U. Wien, Dezember 1928.
1 S. Qu.-8vo. Mit eh. adr. Kuvert. An den Schriftsteller und Leiter der Literaturabteilung der RAVAG Hans Nüchtern: "Ich möchte Sie bitten, doch einmal gütigst die junge Sängerin Frln. Fräulein [!] Else Tiebe für Ihr Radio-Programm zu berücksichtigen. Sie verdient es [...]". - Mit einer vertikalen Knickfalte.
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Wilbrandt-Baudius, Auguste, Schauspielerin (1843-1937).
Eigenh. Brief mit U. Wien, 11. II. 1901.
2 SS. auf Doppelblatt. 8vo. An den Chefredakteur des "Illustrierten Wiener Extrablattes" Edgar v. Spiegel, dessen Einladung sie wegen des Gesundheitszustandes ihrer Mutter nicht annehmen könne: "Ich danke bestens für Ihre freundliche Einladung. Nach Rücksprache mit Meister Sonnenthal [d. i. der Schauspieler Adolf von Sonnenthal] würde ich ihr gern folgen, wenn nicht die Erkrankung meiner Mutter mich daran hinderte [...]".
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Wilbrandt-Baudius, Auguste, Schauspielerin (1843-1937).
Eigenh. Brief mit U. Wien, 7. XI. 1872.
3 SS. auf Doppelblatt. 8vo. An Franz Frh. von Dingelstedt, den damaligen Direktor des Wiener Burgtheaters, mit der Bitte um ein Gespräch über ihre Anstellung: "Aus mehr als einem Grunde von dem Bedürfniß erfüllt, endlich einmal direkt zu Ew. Excellenz über meine hiesige Stellung mich auszusprechen, und von Hrn. Regisseur Laroche [d. i. der Schauspieler und Regisseur Karl von La Roche] dazu ermuthigt, erlaube ich mir, Ew. Excellenz um eine Privat-Unterredung zu bitten. Ich bekenne offen, daß ich Ihnen zu viel zu sagen habe, um mich den Störungen oder Unterbrechungen einer knapp bemessenen Unterredung im Bureau auszusetzen, und daß ich eine wahre Sehnsucht habe, Wahrheit zu erhalten, und Wahrheit zu geben [...]".
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Wilbrandt-Baudius, Auguste, Schauspielerin (1843-1937).
Eigenh. Brief mit U. Wien, 31. III. 1883.
4 SS. auf Doppelblatt. 8vo. An den Maler Georg Bleibtreu anlässlich eines Trauerfalls: "Vielen Dank, sehr geehrter Herr, für Ihre Nachricht. Leider, leider kam sie zu spät: als ich eben Sie besuchen wollte, las ich die Todes-Anzeige. Das ist gar so bitter und wehmüthig, ihr nichts Liebes erwiesen zu haben. Da sie stets von guter Gesundheit war, so glaubte ich, sie wolle sich nur Oster-Ferien gönnen. Welch rührendes, tief ergreifendes, opfermüthiges Wesen ist da gestorben. Welch ein Charakter! Ich möchte Ihnen so gern danken (heut beim Begräbniß sah ich Sie nicht) und würde mich freuen, wenn Sie uns besuchten [...]".
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Wilbrandt-Baudius, Auguste, Schauspielerin (1843-1937).
Eigenh. Brief mit U. Hallein, 15. IX. 1884.
4 SS. auf Doppelblatt. 8vo. An eine Gräfin anlässlich eines Trauerfalls: "Wie mich Ihr schwarzumränderter Brief ergriffen und gerührt hat! Sie sind wahrlich gar zu gut und nachsichtig, daß Sie uns noch danken, während wir nur das bitterwehmüthige Gefühl hatten. Gott, wie wenig, wie unglaublich wenig können wir zeigen, was uns bei solchem Verlust tief bewegt - wir bleiben tief in der Schuld solcher seltenen Frau. Sie ist und bleibt einzig in ihrer Art, unvergeßlich. Meinem Mann sandte ich Ihren lieben guten Brief; er läßt Ihnen von Herzen danken, verehrteste Frau! Nach den Ferien haben sich stets die Canzley und andern Direktions-Pflichten ganz besonders gehäuft; sonst würde er selbst geschrieben haben [...]".
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Wilbrandt-Baudius, Auguste, Schauspielerin (1843-1937).
Eigenh. Brief mit U. Wien, 6. XI. 1899.
8 SS. auf 1 Doppelblatt und 2 Einzelbll. (Qu.-)8vo. Über ihren bevorstehenden Auftritt in Ostrau, für den sie eine niedrigere Gage als in Wien akzeptiert, mit Bedauern, einige Gedichte nicht mehr rechtzeitig zu bekommen um diese einstudieren zu können, und über ihre Mandelentzündung: "Da der 12te nicht von mir genannt war, für Ostrau, so war ich nicht auf ihn gefasst; musste erst um den Urlaub für 11ten bitten. Ich hatte Zehnten gehabt. Erst heut Nachmittag bekam ich die Antwort, die ich Ihnen telegrafirte [...] Mit den Gedichten von Weiss ist, wie ich es telegrafirte, nichts. Es ist zu spät, sie mir noch zu verschaffen und sie mir so zu eigen zu machen, dass ich für den Dichter einen Erfolg erreichen könnte [...] Ich war in diesen Tagen [...] mit meinen geschwollen[en] Mandeln so fiebrig denkend, das ich Sie schon bitten wollte um Absage. Sollten Sie für den Besuch fürchten, bin ich auch jetzt gern dazu bereit [...] P.S. Troppau lehnte ich hab, weil mein Honorar ohnehin als Minimum 100 fl. ist. Noch dazu ohne Reise, in Wien, habe ich 150 fl. [...] Ausnahmsweise für Ostrau, in der angenehmen Erinnerung an damals, und auf hochgesetzten Geschäfts-Verkehr Rücksicht nehmend, erklärte ich mich einverstanden mit Reducirung, da Sie den grossen Saal nicht bekamen [...]".
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Wilbrandt-Baudius, Auguste, Schauspielerin (1843-1937).
Eigenh. Postkarte mit U. Wien, 18. IV. 1931.
2 SS. Qu.-8vo. Mit eh. Adresse. An Clara von Boschan, geb. Brandeis, über deren Hochzeit, die sie sehr genossen habe: "Innigen herzlichen Dank für die lieben Worte und Blumenspende! Gott, wie ich danke, dass ich bei Ihrer Hochzeit dabei gewesen bin! Und Ihr herrlicher Bruder Heinrich [d. i. der 1885 verstorbene Kaufmann Heinrich Brandeis] fast so lebendig wie wir! [...]". - Mit einer vertikalen Knickfalte.
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