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Baroche, Pierre Jules, French statesman (1802-1870).
Autograph letter signed. [Postmark: Paris, 25 May 1844].
8vo. 1½ pp. on bifolium. With autograph address verso. To Fitreman in Château-Thierry, about the lawyer Félix Liouville (1803-60), who is too busy to visit Château-Thierry and has not yet received his dossier, asking him to mail the note he announced in his last letter, for which he thanks him, as it provided details on a lady he is awaiting just then, who intends to file a complaint against her husband: "Je viens d'envoyer chez Liouville. Il est juré pour la 1re quinzaine de Juin et ne peut quant à préface, prendre jour pour aller à Chateau Thierry. Il n'a pas encore vu son dossier et me le communiquera prochainement. Envoyez ta note dont me parle Votre lettre et recevez mes remerciements des détails confidentiels que m'a donnés Votre lettre. J'attends maintenant la dame en question et je serai mieux en état d'apprécier les griefs qu'elle me confiera contre Son mari [...]".
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Baronio, Cesare, italienischer Kardinal und Kirchenhistoriker (1538-1607).
3 eigenh. Briefe mit U., und 1 Briefentwurf mit eh. Korrekturen. Ferrara, Rom und o. O., 1592-1598.
4½ SS. auf 1 Doppelbl. und 3 Einzelbl. 4to. 3 Briefe mit eh. Adresse verso. Interessante Korrespondenz mit Bischof Giovanni Giovenale Ancina (1545-1604) in lateinischer und italienischer Sprache über sein Hauptwerk, die "Annales ecclesiastici", sowie über eine Hitzewelle in Ferrara. - Einer der eh. Briefe als Antwort auf einen Brief von Ancina auf demselben Blatt. Ancina erwähnt einige strittige Punkte der Kirchengeschichte, etwa die Teilnahme des Athanasius von Neapel an der Synode von Rom: "An verum sit, Athanasium Neapolit. Episcopum a Nicolao I. Romano Pontifice Romam vocatum fuisse ad Synodum contra Io. Ravennatem Schmiaticum coactam [...]" (Ex Eremo Capitis Montium, 17. VII. 1592). Baronio betont in seiner Antwort, dass seine Teilnahme nicht auszuschließen sei: "Nihil est quod obstet, quominus verum esse possit., nam Synodus Romae habita est a Nicolao pp. primo in causa Io. Ravennen. an. Dom. 862, sed videndum, num hic, vel eius nepus [...] Athanasius Episcopus Neapolitanus is fuerit [...]" (o. O. u. D.). - Mit Dank für eine Erfrischung in der sommerlichen Hitze und in Freude über den Baufortschritt und den Schmuck einer Kirche: "Son debitore a due delle sue a me grate, sicut acqua frigida in estate. O gran consolazione in questi caldi qualche rinfrescamento. Hò inteso con mio gran gusto il progresso della Fabrica, et ornato della chiesa [...]" (Ferrara, 22. VII. 1598). - Briefentwurf mit eh. Korrekturen an einen Freund über seine Unzufriedenheit, nach seiner Ernennung zum Protonotar violette Kleidung tragen zu müssen, und mit der Erlaubnis, nach San Matteo in Salerno zu reisen: "Cesare Baronio, fatto Prothonotario e vestito de pauonazzo per ordine del Papa forzatamente. Piange et desidera morire [...] Mi contento d'ogni consolation vostra, et molto voluntieri vi dò licenza che andiate à San Mattheo in Salerno [...]" (Rom, Jänner 1596). - Zwei der drei Briefe an Ancina gedruckt in der Sammlung "Sacra rituum congregatione ... Card. Otthobono Salutiarum. Beatificationis, & Canonizationis Ven. Servi Dei Ioannis Iuvenalis Ancinae" (Rom, 1714). - Gebräunt; mit Randläsuren. Sacra rituum congregatione, 196f., 200.
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Baronio, Cesare, Kardinal und Kirchenhistoriker (1538-1607).
Eigenh. Manuskript. O. O., [1562?].
(10) SS. auf 5 Doppelblättern. 4to. Über die von Seiten des Papstes bekräftigte Reformation und Visitation des Klarissinnenklosters Maria Magdalena in Regensburg und die dahingehenden Bemühungen des Vikars Jacob Miller (1550-97): "In hoc negotio de pluribus agitur 1. de indigentia visitationis ac reformationis Monasterii [...] Sanctae Mariae Magdalenae 2. de ipsa reformatione facta IV. februarii a Jacobo Myllero vicario ratisbonensis [...] 3. de confirmatione supra reformatione ac visitatione quem d. vicarius petit a sede apostolica [...]". - Die Zeit der Reformation überstand das Kloster glimpflich, da viele Konventualinnen aus Regensburger Bürgerfamilien stammten. Es erlebte den Tiefpunkt seiner Geschichte im ausgehenden 16. Jahrhundert unter der Äbtissin Margarete Weigel (gest. 1590): Unter ihrer Regierung verfiel die Diszplin; die Äbtissin selbst floh 1580 mit zwei Schwestern unter Mitnahme von Geld und Preziosen des Klosters und trat zum Protestantismus über. Da sich das darniederliegende Kloster mit vier Chorfrauen aus eigener Kraft nicht mehr erholen konnte, wurden vier Schwestern aus dem Kloster Valduna eingesetzt und die bischöfliche Observation eingeführt, womit der Aufschwung langsam wieder einsetzte. - Mit einigen Korrekturen. Vereinzelt Tintenfraß; durchgehend etwas gebräunt.
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Benso di Cavour, Camillo, Italian statesman (1810-1861).
Autograph letter signed. Santene, 14. VIII. 1839.
4to. 1½ pp. on bifolium with integral address panel. To Eugène de la Rive in Geneva, expressing his condolences on the death of the recipient's mother, Marguerite-Adelaïde de la Rive, née Broissier, mentioning his own mother's severe illness the previous year and the strong relationship between the two women, which he says resembled that of sisters rather than cousins. He also mentions the recent death of his uncle, the Swiss pacifist and philanthropist Jean-Jacques de Sellon (1782-1839), and concludes with sending his mother's and his aunts' love: "Ma tante Cécile vient de nous apprendre la perte terrible que vous avez faite, je ne veux pas tarder un instant à te temoigner toute la part que j'y prends, ainsi que la douleur que cette nouvelle me fait eprouver. Je sens combien tu dois souffrir, l'année dernière à cette heure ci, ma mère était mourante aux bains de Vaudier, et j'ai appris alors ce que c'était que le lien qui unit un fils à sa mère [...] Elle avait des rapports frappants avec ma mère. C'était la même bonté, la même douceur, le même esprit, on aurait pu croire qu'elles étaient soeurs, tant il y avait de ressemblences en elles. Elles n'étaient que cousines par le sang, mais elles étaient soeurs par le coeur [...] Dans le court espace de deux mois, nos familles ont fait deux pertes cruelles ta mère et mon oncle Sellon [...] Ma mère, mes tantes sont dans la douleur, elles ont perdu, j'ose le dire, la plus chère amie, qu'elles eussent à Genève. Une amie d'enfance, une amie de coeur dont les sentiments ne se sont jamais dementis un instant. Elles me chargent de te dire ainsi qu'à ton frère les choses les plus amicales et les plus tendres [...]". - Short handwritten summary in a former collector's hand loosely enclosed.
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Benso di Cavour, Gustavo, Italian statesman (1806-1864).
Autograph letter signed. Turin, 15. VI. 1850.
8vo. 1½ pp. on bifolium. To Eugène de la Rive about the recent death of his father, the politician Michele Benso di Cavour (1781-1850), hoping he may have rejoined his late mother and son Augusto in the afterlife. Cavor looks forward to visiting de la Rive in two months, reassuring him that his father was very fond of him and frequently spoke of his visit the past year. He sends regards to de la Rive's wife and their cousins, mentioning the poor emotional state of his daughter Giuseppina: "Après 29 jours de cruelles souffrances, mon père vient il y a trois ou quatre heures de rendre l'âme à son créateur. La douceur, la résignation, le courage qu'il a témoignés durant cette rude épreuve nous laissent les consolations qui seules peuvent être de quelqu'effet dans une pareille circonstance si douloreuse et dechirante. Je me dis qu'il a été réjoindre ma vertueuse mère, mon pauvre Auguste et tous les nôtres dans ces lieux qui sont après tout notre véritable patrie [...] Si comme je l'espère toujours je peux aller avec mes enfan[t]s vous faire une visite dans deux mois il me sera bien doux de causer de lui avec toi. Je puis t'apurer qu'il t'aimait beaucoup. La visite que tu lui avais faite à Thorens l'année dernière lui avait laissé une bien douce impression et il m'en a plusieurs fois reparlé. Je suis trop ému pour écrire longuement, vueille parler de nous à la femme, et nos cousines Marie et Helene. Josephine est si abbattue que je crains que sa santé n'en souffre [...]". - On stationery with engraved monogram. A large tear without loss to text.
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Berthier, Louis-Alexandre , French minister of war (1753-1815).
Document signed. Paris, 2 Prairial an 9 [i.e., 22 May 1801].
Small folio (ca. 204 x 314 mm). 1 page. Ordinance to pay six men who were employed at the Bureau de la Solde for "extraordinary works" during the month of Floréal 1801, amounting to a total of 600 francs: "Etat pour servir au payement de Six employés auxiliaires, attachés pour travail extraordinaire, au Bureau de la Solde pendant le mois de Floréal an 9 [...] Laudemont [...] Christinat [...] Richard [...] Chuillier [...] Regnard [...] Rosier [...] Arrêté le présent état montant à la somme de Six Cent Francs à payer aux employés y dénommés pour le motif ci dessus [...]". - Somewhat waterstained and foxed.
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Bourbon, Louis Auguste de, Duke of Maine (1670-1736).
Letter signed. Marly, 24. I. 1725.
Folio (ca. 205 x 325 mm). 1 page. With address. To the mayor and public servants of Amboise, writing that they are expected to provide a list of suitable candidates for municipal offices, so that Louis August can select the candidates covenient to him: "Comme les Charges Municipalles sont suprimez et qu'il est necessaire de nommer des Sujets capables de remplir dignement les Officiers Electifs de votre ville, je croy Messieurs, que vous êtes informez qu'auparavant de proceder a la d. Election vous devez m'envoyer un Etat des Sujets que vous estimez être les plus capables de bien remplir ces employs, afin que je fasse choix de ceux qui me conviendront [...]". - Margins somewhat browned.
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Buffalo Bill, d. i. William Frederick Cody, Bisonjäger und einer der Begründer des modernen Showbusiness (1846-1917).
Portraitpostkarte mit eigenh. U. [Wien], 1906.
1 S. 8vo. Mit Adresse von anderer Hand. An Wsevolod de Sipiagnine in Graz: "W. F. Cody / Buffalo Bill". - Der seinerzeit in Wien und München als "Büffel Willy" apostrophierte Cowboy und Unterhaltungskünstler gastierte mit seiner 1883 gegründeten "Buffalo Bill’s Wild West Show" 1890 und 1906 in Wien. Für letzteres Gastspiel, das im Mai und Juni des Jahres drei Wochen lang zu sehen gewesen war, wurde eigens eine 12.000 Zuseher fassende Amphitheater-Arena in der Nähe der Rotunde gebaut, um den 800 Ensemblemitgliedern und 500 Pferden Platz zu bieten. "In 20 Spieltagen kamen mehr als 200.000 Zuschauer - ein enormer Erfolg" (Wiener Zeitung vom 30. III. 2016).
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Carl Theodor in Bayern, Herzog in Bayern (1839-1909), Augenarzt und jüngerer Bruder der "Sisi".
Eigenh. Gedicht mit U. O. O., 25. VIII. 1847.
4 SS. auf Doppelblatt. 8vo. Kindlicher Gratulationsbrief an seine Mutter Ludovika (1808-92) mit Versen über die Mutterliebe: "Sieh, wie hier, dieß Herz in selig stiller Wonne, | Theuerste Mama, von Liebe überfließt, | Heut! Da gleich den Tag die holde Morgensonne | Dich Geliebteste dein Namensfest begrüßt. | Fromme Wünsche, die in meinem Herzen glühen, | Steigen für dein stetes Wohl zum Himmel auf. | Schön und anmuthsvoll, wie Frühlingsblumen blühen, | Die der Thau erquickt, so sey dein Lebenslauf. | Mög der güt'ge Himmel seine besten Gaben, | Dir verleihen, lächeln dir mit holdem Blick, | Stets mit süßer Freude deine Seele laben, | Lohnen deine Mutterliebe mit reinstem Glück. | Ich will werth seyn stets des Himmels hoher Gnade | Die in deinem Glücke er auch mir beschert, | Und verdienen immerdar auf meinem Lebenspfade | Das, was deine treue Mutterliebe mir gewährt [...]". - Auf Briefpapier mit dekorativer Spitzenbordüre.
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Cérésole, Paul, Swiss politician and judge (1832-1905).
Autograph letter signed. Bern, 19. X. 1871.
8vo. 2 pp. on bifolium. With autograph address. To Colonel Jean-Louis Aubert (1813-88) in Lausanne, recommending Monsieur Blanc, the former director of the Lausanne railway station, who wishes to return to the Western Switzerland Railway (Suisse-Occidentale). His motives for leaving the Laurent-Bergeron Railway, writes Aubert, do not reflect poorly on his honour or skills: "L'ancien chef de gare de Lausanne, Mr. Blanc, m'a parlé de son vif désir de rentrer dans les chemins de fer de la Suisse occidentale, et m'a prié de le récommandre auprès de vous. Comme je sais que les motifs pour lesquels Mr. Blanc a quitté dans le temps Mr. Laurent & Bergeron ne jetaient aucun jour défavorable sur son honorabilité, ni sur sa capacité, & sais que vous soyez d'ailleurs beaucoup mieux placé que moi pour apprécier sa merite, je me permets cependant de vous demander pour Mr. Blanc votre bienveillant appui. Je le connais depuis assez longtemps pour savoir que c'est un homme intelligent, actif & d'une parfaite droiture. Je ne crains donc pas de vous dire que je serais charmé de lui voir obtenir la place qu'il postule [...]". - With an autograph note by Aubert, promising to look into the matter, on the reverse.
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Don Alvarez de Luna, castellan and governor of Cremona (fl. 1547-1556).
2 documents signed. Cremona, 7 Oct. 1548 and 26 June 1552.
Folio and oblong 8vo. Together 1 p. and two lines. With an additional letter to the magistrate of Milan. The documents date to the term of Ferrante I Gonzaga as governor of Milan, who was Alvarez de Luna's direct superior. A note from 7 October 1548 confirms the dispatch of "letters for the governor of Cremona", probably Alvarez de Luna's predecessor. - In a letter from 27 June 1552, de Luna informs Ferrante Gonzaga that he found "the princess" in the thermal baths of the city with improved health, possibly referring to Ferrante's wife Isabella di Capua: "Yo ellegado aqui alos baños a donde e hallado a mo señor la princesa con harta mejoria. A me dado este pliego delantas para que yo lo encamynea [...]". - The letter from 1552 with address and papered seal. The 1552 letter with damage from ink corrosion and a clipped corner in the blank leaf (not affecting the address). Both documents with pinholes. - The additional letter to the magistrate of Milan from 20 December 1547 was written on behalf of the Milanese tax collector Paolo de Cela (folio, 1/3 p. with address and papered seal). A draft of the letter is enclosed. - Several deep tears to the upper and right margins affecting the text; somewhat brittle.
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Dorothea Sophie von der Pfalz, Herzogin von Parma und Piacenza (1670-1748).
Brief mit eigenh. U. Piacenza, 24. V. 1728.
1 S. auf Doppelblatt. 4to. In italienischer Sprache an einen Geistlichen mit einer Empfehlung ihres Cousins, des Prinzen Joseph Ignaz Philipp von Hessen-Darmstadt (1699-1768), der sich für eine geistliche Laufbahn entschieden hat: "La risoluzione presa dal Serenissimo Sig. Principe Giuseppe Landgravio d'Hassia Darmstat mio Cugino di vestir l'abito Ecclesiastico, non meno che il vivissimo interesse, che hó per ogni più placisibile anuanzamento d'un Principe santo à me congiunto, mi obbligano á raccomandarlo alla validissima protezione di V. Em. pertutto quello possa essere di suo vantaggio in tale suo stato: La prego dungue á compiacersi d'essergli sempre propizia colla poderosa sua assistenza, e cogli atti della singolare, e generosa sua bontà nelle di lui occorenze, ed assicurandola, che siccome riceveró in mestessa ed á mio debito particolare tutt' i favori, che L'Em. [...] compartirá all' accennato Sig. Principe [...]". Joseph wurde am 13. März 1729 zum Priester geweiht und am 18. August 1740 zum Bischof von Augsburg ernannt. - Auf Briefpapier mit Trauerrand. Die Gegenzeichnung ausgeschnitten. Fehlstelle an der linken oberen Ecke.
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Dufour, Guillaume Henri, Swiss general (1787-1875).
Autograph letter signed. Bern, 22. VII. 1842.
4to. 1 page on bifolium. To Colonel Jean-Louis Aubert (1813-88) about a Lieutenant Bürkli. Dufour points out that Bürkli, a capable man, has several years of experience and might chafe at being placed among first-year lieutenants, but that, on the other hand, it would be against common practice to place a new officer like Bürkli above longer-serving men of the same rank: "Il paraît d'après ce que vous me dites de Mr. le Lieutenant de Sapeurs Burkli que le Corps du Génie fédéral ferait une bonne acquisition. J'y serais pour ma part assez disposé, mais je ne voudrais pas en faire la proposition au Conseil de la guerre sans savoir si Mr. Burkli ne fera pas d'objection à être placé à la queue des Lieutenants en premier, ayant déjà plusieurs annés de grade. D'un autre côté, il est contre nos usages, de faire passer un officier nouvellement admis par dessus les officiers du même grade. Veuillez lui en parler et me faire connaître à qu'il vous aura répondu [...]".
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Eugene, Prince of Savoy, military commander (1663-1736).
Letter signed. Vienna, 3. I. 1731.
Folio (ca. 225 x 337 mm). 1 page on bifolium. With address. To Duke Mataloni in Rome, reciprocating his good wishes for Christmas, writing that the Duke should not have troubled himself in a matter, as he has previously given ample proof of his kindness and affection: "Essendo già altresi pienamente perfuaso della gentilezza ed affettione di Vostra Eccelenza verso di me, non occoreva si fosse incommodata in darmene nuovi attestati con l'augurio di prosperità compiaciutasi favorirmi in contingenza del Santo Natale; Velmentre le ne professo distinte obligazioni, e reciprocando pure à Vostra Eccelenza le piú perfette contentezze, bramo d'avere molte aperture di poterla Servire, e fratanto mi raffermo con la Solita costante mia vera osservanza [...]". - Rubrum on the reverse. Somewhat foxed.
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Franz Joseph I., Kaiser von Österreich (1830-1916).
Eigenh. Schreiben mit Paraphe. O. O. u. D.
1 S. Kl.-4to. "Ich bitte mir den stenographischen Bericht der vorgestrigen Herrenhaussitzung, dann jenen der Sitzung des Abgeordneten Hauses, in welcher der Antrag Rygers auf Abänderung der Verfassung besprochen wurde und nahmentlich die Erklärung des Staatsministers dagegen, zu verschaffen". - Der aus Mähren stammende Advokat und Notar Anton Ryger (1810-87) war - mit Unterbrechungen - von 1861 bis 1879 Mitglied des Abgeordnetenhauses, zumeist im Klub der Linken. - Mit einem größeren Einriss im Mittelfalz, sonst tadellos erhalten.
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Gonzaga, Ricciarda, italienische Adelige (1698-1768).
Brief mit eigenh. U. Massa, 3. I. 1761.
1 S. 4to. Mit Adresse. In italienischer Sprache an Bonifazio Rangoni mit Dank für gute Wünsche zum Weihnachtsfest: "Tale appunto è Stata quella della passata Solennità Natalizia, avendomi riportati i più sinceri attestati delle disei brame per ogni mia contentezza, onde io nel farne à V. S. Illustrissima i più distinti Ringraziamenti, Ripresagisco anche à Sei Lunga serie d'anni ricolma tutta di fortunati avvenimenti, passo à Rassegnarmi con perfetta stima [...]". - Der obere Rand unsauber abgetrennt; geringer Textverlust.
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[Grand Prix de Monaco 1973].
Gedr. Programm mit 27 eigenh. U. von Fahrern. Monaco, 1973.
72 SS. Farbig illustr. OBroschur. 8vo. Der Große Preis von Monaco war das sechste Rennen der Formel-1-Weltmeisterschaft 1973, die Jackie Stewart zum dritten und letzten Mal (nach 1969 und 1971) gewinnen sollte. Die Unterschriften stammen von Andrea de Adamich, Chris Amon, Jean-Pierre Beltoise, Michael Beuttler, Francois Cevert, Emerson Fitipaldi, Emerson Fittipaldi, George Follmer, Nanni Galli, Howden Ganley, Mike Hailwood, Graham Hill, Denis Hulme, James Hunt, Jacky Ickx, Niki Lauda, Carlos Pace, Henri Pescarolo, Ronnie Peterson, David Purley, Brian Redman, Clay Regazzoni, Carlos Reuteman, Peter Revson, Jackie Stewart, Ken Tyrell und einem nicht identifizierten Fahrer; eine weitere Unterschrift stammt von dem Journalisten und Sportkommentator Heinz Prüller.
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Henry IV, King of France (1553-1610).
Document signed. Fontainebleau, May 1603.
Oblong folio (ca. 321 x 496 mm). ½ page on vellum. Renaming an eighth of a fiefdom in Normandy, granted by the Seigneurs de Quièvrecourt to Jacques de Regnard des Angles, from "fief de Regnard" to "fief des Angles", in recognition of de Regnard's and his late father's services to the king during the latest period of political unrest: "Notre cher et bien aimé Jacques de Regnard [...] Seigneur des Angles [...] Nous a fait remonstrer qu'il est seigneur d'un huitième de fief assis en la paroisse d'Esclavelles près le neuf chastel au Baillage de Caux en notre duché de Normandie, la dicte huitième partie nommée le fief Rohart tenu et mouvant de la Seigneurie de Quièvrecourt [...] que pendant tous les troubles passez feu son père et luy ont tousiours porté les nom et qualité de Seigneurs des Angles comme il continue encores. Le S. de Regnard nous a très humblement supplié et requis affin qu'il luy puisse demeurer vouloir en considération des services que son père et luy nous ont faites pendant les dites troubles, Ordonnér que le fief Rohart sera doresnavant nommé et appellé le fief des Angles. Nous à ces causes voulant bien et favorablement traicter le S. de Regnard en considération des dictes services, après avoir reçu le consentement baillé à cet effet par les S. de Quièvrecourt [...] commuons le nom du dict fief de Rohard en celuy du fief des Angles [...]". - Rubrum and three counter-signatures on the reverse. Another contemporary document regarding the same matter is attached (oblong 8vo, 1 page). - Vellum a little limp; somewhat duststained; a large tear in the blank lower half; faded in places. A full transcription in a former collector's hand, as well as a transcription of a different document prepared by the same collector, are loosely enclosed.
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Herzl, Theodor, Schriftsteller und Begründer des Zionismus (1860-1904).
Eigenh. Briefkarte mit U. O. O., "auch Samstag".
1 S. Qu.-kl.-8vo. Mit Reliefprägung des Hl. Georg. An eine Dame: "Chère Madame! Warum? Ich habe so wenig Zeit, dass ich manchen Tag nicht einmal dazu komme, mir selber Guten Morgen! zu sagen. Meinem Papa geht's immer besser, doch muss ich Punkt 8 Uhr abends zu Hause sein. Vielleicht aber ist es mir gegönnt, Sie morgen beim Trabrennen zu sehen. Ich will Sie nämlich nicht zu Hause aufhalten - ist es doch die Rosenzeit - oder beinahe. Zum Trabrennen geh' ich auf eine halbe Stunde [...]". - Auf Briefpapier mit Reliefprägung des Hl. Georg.
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Herzl, Theodor, Schriftsteller und Begründer des Zionismus (1860-1904).
Eigenh. Visitenkarte mit U. O. O., "Donnerstag", [nach Mitte Mai 1884].
1 S. Visitkartenformat. An eine Dame: "Ich hoffe, dass Sie heute nicht den Concordia-Club besuchen - nämlich aus Egoismus hoffe ich es. Ich bin zu meinem grössten Bedauern verhindert das Kränzchen zu besuchen. Mit den ganz ergebenen Grüssen Ihr trauender | Herzl". Herzl promovierte am 16. Mai 1884; die Karte, die ihn als "Dr." ausweist, muß also später geschrieben sein.
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Herzl, Theodor, Schriftsteller und Begründer des Zionismus (1860-1904).
Eigenh. Visitenkarte mit U. O. O., 5. III. 1883.
½ S. Visitkartenformat. An eine Dame: "Sind Sie wirklich leidend, und wenn ja (wie wir Interpellanten sagen), wie geht es Ihnen? Jederzeit Ihr | Theodor Herzl".
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Humboldt, Wilhelm von, Schriftsteller und Diplomat (1767-1835).
Brief mit eigenh. U. Basel, 20. I. 1814.
1 S. Kl.-Folio (210 x 315 mm). An einen Fürsten, dem er die Ratifikation eines in Frankfurt geschlossenen Vertrags mit dem Hinweis übersendet, dass diese aus Zeitgründen gekürzt wurde: "J'ai l'honneur d'envoyer ci-joint à Votre Altesse Sérénissime la Ratification du Traité conclu avec le plénipotentiaire de Votre Altesse Sérénissime à Francfort. La nécessité dans laquelle on s'est trouvé de faire expédier ces ratifications dans le quartier général pour éviter les longueurs qu'aurait causées l'expédition à Berlin, a fait adopter une forme de ratification plus abrégée dans laquelle on s'est borné à citer simplement les phrases initiatives du traité & des pièces y annéxées [...]".
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Lenin (Vladimir Ilyich Ulyanov), politician, founder of the Soviet Union (1870-1924).
Autograph letter signed ("N. Lenin"). Paris, 1 Nov. 1911.
8vo. 3 pp. on a bifolium. Includes envelope, addressed by Nadezhda Krupskaya. - Further includes a printed pamphlet: "Der Anonymus aus dem Vorwärts und die Sachlage in der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei Russlands". 8vo. 12 pp. Rare, important letter in German, signed with the pseudonym "N. Lenin", addressed to Anton Nemec in Prague, the leader of the Czech Social Democrats, about organising the 6th All-Russian Conference of the Russian Social Democratic Labour Party (RSDLP). Held in Prague in 1912, the conference would see the de-facto formation of the Communist Party of the Soviet Union when the Mensheviks were driven out of the RSDLP: - "Dear Comrade, you will be doing me a great service if you can help me with advice and action in the following matter. A number of organisations of our Party intend to call a conference (abroad - of course). The number of members of the conference will be about 20-25. Is there a possibility of organising this conference in Prague (to last about a week)? The most important thing for us is the possibility of organising it in extreme secrecy. No person, no organisation, should know about it. (It is a Social-Democratic conference, hence legal according to European laws, but the majority of the delegates do not have passports and cannot use their own names.) I earnestly beg you, dear comrade, if it is at all possible, to help us and tell me as quickly as possible the address of a comrade in Prague who (in the event of an affirmative reply) could make all the practical arrangements. It would be best if this comrade understood Russian - if this is impossible we can also reach agreement with him in German. I hope, dear comrade, that you will pardon me for troubling you with this request. I send you my thanks in anticipation [...]". - Traces of original horizontal and vertical folds. Includes the original envelope, addressed by Lenin's wife Nadezhda Konstantinovna Krupskaya (1869-1939) and postmarked Paris, 29 April. Published in: Lenin, Werke, vol. 34, p. 445, no. 200 (with departures).
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Leopold I., röm.-dt. Kaiser (1640-1705).
Mandatdruck mit eigenh. U. ("Leopold Mp."). Regensburg, 5. IV. 1664.
1 S. Qu.-Folio (ca. 585:450 mm). Mit großem papiergedecktem Siegel. An alle kaiserlichen Untertanen, Adeligen, geistlichen und weltlichen Verwalter, Militärs, Beamten und an alle Militärs von außerhalb des Reichs, die im Kampf gegen die angreifenden Türkenarmeen die kaiserlichen Lande durchziehen, mit Vorschriften zur Regulierung der Versorgung der Truppen. Offiziere sollen zwei Wochen im Voraus ihr Eintreffen und die Truppenstärke ankündigen, ein Zahlmeister bezahle die benötigten Unterhaltsgüter im Voraus, damit die Organisation derselben rechtzeitig eingerichtet und die Not des ohnehin unter dem Krieg leidenden Volkes gelindert werde: "Nach dem der Erb-Feindt Christlichen Nahmens, der Türck nicht allein Unser Königreich Ungarn, daß Fürstenthumb Sibenbürgen, und Unser Marggraffthumb Mähren (wie weniglich bekant ist) im NechstAbgewichenen Jahr, mit einem Mächtigen Kriegs-Heer, Fridtbrüchiger weis, auffs heftigste Angegriffen [...] Also lassen Wir zwar zu eines und andern gelegenheit gestelt seyn, sich nach blieben tractiren zu lassen, iedoch mit dem außtrucklichen vorbhalt und Verstandt, daß Sie alles was Sie empfangen, also gleich in billichen werth paar bezahlen [...]". - Die kaiserliche Koalitionsarmee unter Nikolaus Zrinski, Raimondo Montecuccoli und Louis Raduit de Souches war zu Beginn des Jahres 1664 auf kroatischem Gebiet weit in die osmanische Zone eingefallen; einen strategischen Erfolg errangen sie durch die Zerstörung der Draubrücke bei Esseg. Ende April begann die Belagerung der Festung Kanizsa, die jedoch durch den Angriff der türkischen Armee unter Köprülü nach knapp zwei Monaten beendet wurde. - Mit weiteren Unterschriften des deutschen Merkantilisten Wilhelm von Schröder (1640-88), Kameralist am Kaiserhof in Wien, des Kurfürsten und Erzbischofs von Mainz Johann Philipp von Schönborn (1605-73) und von Wilderich Frh. von Walderdorff (1617-80), Fürsterzbischof von Wien. - Leicht berieben. Mit Spuren alter Montage verso. Etwas unsauberer Druck, ansonsten sehr gut erhalten.
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Lerchenfeld, Maximilian Frh. von , Finanzminster (1778-1843).
Brief mit eigenh. U. München, 2. V. 1822.
1 S. Folio. An die königl. General-Zoll-Administration mit der Anweisung, dem Antrag eines Mayer Loewenthal, der des Tabakschmuggels bezichtigt wurde, nicht stattzugeben, da es für Tabakschmuggler nur zwei Vorgehensweisen gebe, nämlich "entweder den ganzen Strafbetrag zu erlegen, oder den Arrest auszustehen [...]". - Mit einer weiteren U. von Generalsekretär Gottfried von Geiger, Aktenvermerk, Regestierung und gest. Briefkopf des "Staats-Ministeriums der Finanzen". An den Rändern leicht gebräunt und lädiert. Durchgehend etwas braunfleckig.
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Louis XV, King of France (1710-1774).
Document signed. Versailles, 1. X. 1760.
Folio (ca. 241 x 347 mm). ½ page. Confirming a payment of 150 livres to Hurlot for the past year, financial support granted by his great grandfather, Louis XIV, in remembrance of Hurlot's father, who was a footman at the French court: "Garde de mon Tresor Royal M. Charles Pierre Savalette de Magnanville paie se comptant au nommé Hurlot la Somme de cent cinquante Livres pour l'année échue ce jour d'huy de la Subsistance que le feu Roy mon bisaieul lui avoit accordée en considerant des Services de son père L'un de ses valets de pied [...]". - Signed twice by Louis: one signature confirming the order, the other confirming the transaction with the addition "paié". Countersigned by the secretary Jean-Frédéric Phélypeaux, comte de Maurepas (1701-81).
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Ludwig XV., König von Frankreich (1710-1774).
Eigenh. Brief mit U. ("Louis"). O. O., [17. XI. 1755].
¾ S. auf Doppelblatt. Mit eh. Adresse und rotem Siegel verso (Faltbrief). An seinen Schwiegervater, Stanislas Leszczynski, den König von Polen, bezüglich der Niederkunft seiner Tochter, der Kronprinzessin Maria Josepha von Sachsen: Um ein Uhr morgens sei ein kleiner Bub geboren worden, sein Enkel (der zukünftige Ludwig XVIII.), und es bereite ihm, Ludwig XV., überaus große Freude, die Nachricht dieses glücklichen Ereignisses, das ihnen gemein sei, zu überbringen; er hoffe, seinen Enkel in einigen Tage selbst in den Arm nehmen zu können: "Monsieur mon frere, et beau Pere j'annonce par cellecy à Votre Majesté l'accouchement de ma fille la dauphine qui nous a donné ce matin à une heures un petit fils. Sur de ces sentiments dans une occasion qui nous est commune quel plaisir n'aj-je à lui apprendre un si heureux evenement. Dans quelques jours j'espere l'embrasser moy même, mais en attendant je m'en acquitte bien sincerement et lui renouvelle les sentiments de tendresse avec lesquels je suis Monsieur mon frere, et beau Pere, De Votre Majesté, bon frere et Gendre Louis". - Alle Enkelsöhne Ludwigs des XV. und Urenkelsöhne von Stanislas Leszczynski, aus der Vereinigung des Dauphins Ludwig Ferdinand (1729-65) und seiner Gemahlin Maria Josepha von Sachsen, sollten den Thron Frankreichs besteigen: Ludwig XVI. (1754-93), Ludwig XVIII. (1755-1824) und Karl X. (1757-1836). - Mit kleinem Ausriss durch Brieföffnung und minimalem Tintenabklatsch.
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Marcet, Jane, English salonnière and writer (1769-1858).
Autograph letter signed. St. Gervais, 21 Aug. (no year).
8vo. 3¼ pp. on bifolium. With autograph address verso. To Eugène de la Rive, her son-in-law, writing that she is glad that his time of agony is over, as his daughter Marie has recovered from her illness. She expresses her belief that there would be no reason for sorrow in the world without happiness, hopes he and his family have settled in Presinge, and advises de la Rive not to interfere with the affairs of the Lausanne villa Denanton, owned by her brother William Haldimand (1784-1862), the director of the Bank of England, who wishes them to stay as long as they need for Marie's full recovery: "Je vous félicite du fond de mon coeur mon cher Eugène de ce que vos angoisses soient passées, et que vous n'avez plus qu'à rendre grace à ce bon Dieu qui à sauvé votre enfant chérie, je partage votre reconnaissance et votre bonheur. L'on dit dans le monde qu'il n'y a point de bonheur sans entrave, moi je suis partie à dire il n'y a point de malheur sans jouissance [...] Je languis de vous savoir tous bien établis à Presinge, mais il ne faut rien hâter. Mon frère ne demande pas mieux que vous ne restiez tant que cela pourra convenir à Marie, et je vous conseille à ne point vous meler des comptes de Denanton, il ne le voudra jamais [...]".
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Maria II., Königin von Portugal (1819-1853).
8 Briefe mit eigenh. U. ("Rainha"). Palacio das Necessidades und Palacio de Belém [Lissabon], 1844-1853.
5½ SS. auf 8 Doppelbl. (Kl.-)Folio (200 x 326 - 227 x 370 mm). 4 Briefe im Vordruck. Mit Adresse verso. An die Kardinäle Giuseppe Bofondi (1795-1867), Ugo Pietro Spinola (1791-1858), Nicola Paracciani Clarelli (1799-1872), Costantino Patrizi Naro (1798-1876) und Paolo Polidori (1778-1847), zumeist mit Dank für gute Wünsche an die königliche Familie zum Weihnachtsfest: "Vos envio muito saudar como aquello que muito préso. Intimamente convencida da sinceridade dos vossos sentimentos a meu respeito, recebo com particular estimação os ardentes votos que por mim e pela minha Real Familia fazeis ao ceo, por occasião da memoria que celebra a Igreja do Nascimento de Christo [...]" (Palacio das Necessidades, 31. I. 1851). - 2 Briefe mit Gratulationen zur Kardinalsweihe, etwa an Giueppe Bofondi: "Muito vos agradeço a noticia, que Me partecipaes de seres promovido á Dignidade Cardinalicia, em que espero que as mesmas distinctas qualidades que vos fizérão digno, de que o Santo Padre premiasse oi vossos merecimentos, darão em successivos progressos novo credito ao Sacro Collegio, e maior lustre á Universal Igreja de Deus [...]" (Palacio das Necessidades, 21. VII. 1847). - Mit kleinen Einschnitten durch Siegelöffnung.
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Maximilian I. Joseph, König von Bayern (1756-1825).
Brief mit eigenh. U. München, 13. XII. 1804.
1 S. auf Doppelblatt. Folio. Mit hs. Adresse und papiergedecktem Siegel. Aus der Zeit kurz nach dem russisch-österreichischen Bündnisschluss gegen Frankreich (5. XI.) und der Krönung Napoleon Bonapartes zum Kaiser (2. XII.), an die königliche bayerische Landesdirektion bezüglich eines Freipasses zur zollfreien Überstellung von Weizen aus Braunau über Bayern nach Tirol für die dort stehenden Truppen: "In Gemäsheit eines koeniglichen Requisitions Schreibens [...] habt ihr als bald einen Freipaß auf 750 N. öst. Mezen Weizen, welcher von Braunau durch Unsere Staaten nach Tirol zur Verpflegung des dort stehenden k. k. Militaires verführt werden, aus zufertigen, und an Unser Ministerial Departement der auswärtigen Angelegenheiten einzusenden [...]". Mit einer weiteren U. von Außenminister Maximilian von Montgelas und Gegenzeichnung durch Generalmajor Friedrich von Flad. - Bayern handelte im Jahr darauf heimlich mit Frankreich einen Bündnisvertrag aus und bekam schließlich nach der für Frankreich und Bayern erfolgreichen Dreikaiserschlacht bei Austerlitz und dem Frieden von Preßburg (1805) Tirol und Vorarlberg zugesprochen. 1804 zeichnete sich in Europa der nächste Krieg ab, und als Reaktion auf die napoleonischen Volksheere wurde in Bayern unter der Leitung von Montgelas die allgemeine Wehrpflicht als Ersatz für das untauglich gewordene Söldnerheer eingeführt. Friedrich von Flad nahm 1805 als Hauptmann am Feldzug gegen Österreich teil. - Mit Aktenvermerk und kalligraph. Briefkopf. Leicht knittrig, an den Rändern leicht gebräunt und etwas lädiert. Das Gegenblatt mit größerem Eckausriss.
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Maximilian I. Joseph, König von Bayern (1756-1825).
Brief mit eigenh. U. München, 4. VIII. 1807.
1 S. auf Doppelblatt. Folio. An die königliche bayerische Landesdirektion betreffend Unterstützungszahlungen für die durch Krankheit beeinträchtigte Catharina Jouvin, die Tochter des Obermautners: "Da [...] die Mautners Tochter Catharina Jouvin wegen ihrer fortdaurenden schlechten Gesundheits Umständen noch immer Erwerbsunfähig ist, auch dem ärtztlichen Zeugniße jedoch auf eine gänzliche Unheilbarkeit derselben nicht geschlossen werden kann; so wird ihr der bisher genossene Unterstützungs Beitrag von jährlichen Zwei und Zwanzig Gulden 13 Xr. bis zu Ende des Etatsjahres 1808/09 hiemit bewilliget [...]". - Mit je einer weiteren U. des Generalsekretärs Gottfried von Geiger und des Finanzministers Johann Wilhelm von Hompesch (1761-1809), der im Jahr zuvor die Nachfolge Johann Friedrich von Hertlings angetreten hatte und zwei Jahre später nach der Besetzung Bayerns durch die österreichischen Truppen und der Flucht des Königs die Regierung geschäftsführend übernehmen sollte. - Mit Aktenvermerken (verso), Regestierung und gest. Briefkopf. Leicht knittrig, an den Rändern leicht gebräunt und lädiert.
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Maximilian I. Joseph, König von Bayern (1756-1825).
Brief mit eigenh. U. München, 29. IV. 1812.
1¾ SS. Folio. An die Kgl. General-Zoll- und Mautdirektion zwecks Verordnung einer Zollgebührenerhöhung auf Importe von Mennig (das als Pigment auch den Namen Bleirot trägt) zum Schutz der inländischen Wirtschaft: "In Erwägung, daß [...] der vom Ausland eingehende Centner Blei gleich der dem Mennig mit 1 Xr Consummo Maut vom Centner belegt, ersteres aber der Stof zur Fabrikation des lezteren ist, und dadurch die inländischen Mennig Fabriken wegen ihres Bezugs des dazu erforderlichen Bleys aus dem Auslande mit dem von da hereingehenden Mennig nicht Konkurrenz halten können, beschließen Wir [...] für den Centner ausländischen Mennigs neben der bestehenden Consummo-Maut noch 2 Xr-Consumtions Aufschlag [...]". - Mit zwei weiteren U. von Finanzminister Maximilian Frh. von Montgelas und Generalsekretär Gottfried von Geiger. Aus der Zeit, als Napoleons Truppen in Deutschland aufmarschierten und kurz vor Napoleons Russlandfeldzug, der im Juni 1812 mit dem Zweiten Polnischen Krieg beginnen sollte. - Mit Aktenvermerk, Regestierung und gest. Briefkopf. An den Rändern leicht lädiert und durchgehend leicht gelbfleckig.
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Maximilian II., König von Bayern (1811-1864).
Verordnung mit eigenh. U. (Paraphe). Nymphenburg [München], 19. X. 1848.
¾ S. Folio. An die Finanzabteilung der königlichen Regierung von Schwaben und Neuburg bezüglich der Wiederbesetzung des Rentamtes in Dillingen durch den Beamten Johann Baptist Schuster: "Wir haben das allergnädigst bewogen gefunden, [...] den k. Rentbeamten Johann Baptist Schuster in Nabburg seinem allerunterthänigsten Ansuchen entsprechend, sohin ohne Anspruch auf Umzugskosten auf das Rentamt Dillingen mit Beibehaltung seines bisherigen Geld- und Naturalgehaltes, dann mit den in der Verordnung [...] bestimmten Holz- und Tantiemenbezügen zu versetzen [...]". - Mit zwei weiteren Unterschriften, Aktenvermerk, Adresse und lithogr. Briefkopf. An den Rändern leicht gebräunt, leicht braunfleckig, mit wenigen kleinen Randeinrissen und Spuren alter Heftung.
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Narfon, Julien de, French writer (1863-1919).
Autograph letter signed. [Paris], 16. II. 1909.
8vo. 1½ pp. on bifolium. To a scholar, writing that he looks forward to reading a lecture the recipient recently held at the Institut Catholique on the "religious question in Geneva", asking when it is to be published, and requesting that he either mail him a copy or, if the publication is delayed, to let him have the use of the manuscript or its prinicpal pages. Narfon concludes with a promise to cite the work in his own writing: "Je désirerais beaucoup lire la belle conférence que vous avez donnée récemment à l'Institut catholique sur la question religieuse à Genève. Voudriez-vous avoir l'obligeance de me dire quand elle sera publiée, de m'en envoyer alors un exemplaire et, si cette publication doit trop tarder, de m'en communiquer le manuscrit ou les bonnes feuilles. J'aurai d'ailleurs certainement l'occasion de vous citer [...]". - On headed stationery of Le Figaro. Slightly foxed.
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Nisard, Désiré, French writer and literary critic (1806-1888).
Autograph letter signed. Paris, 26. IX. 1899.
8vo. 2 pp. on bifolium. To a writer with thanks for his friendly letter, regretting that he had no chance to reply sooner, praising the French translation he prepared for one of his works as well as the Italian original: "J'ai été très sensible à votre bon souvenir et je vous suis très reconnaissant de la forme dans laquelle vous avez bien voulu me le manifester. Si j'ai tant tardé à vous remercier du plaisir et du profit que m'a valus cette évocation iloquente et attendrée d'une figure véritable et tragique, la faute, vous le derivrez, en est aux circonstances et pas à ma volonté. Vous pouvez, d'ailleurs, apaiser les scrupules que vous m'exprimez, avec plus de modestée que de raison, à propos de votre traduction française. J'étais en état de lire dans l'original votre belle étude et j'ai eu garde de vous [...] [parler] du plaisir que me réservait la prose élegante et forte où votre parfaite maîtrise de la langue italienne vous a permi de formuler votre pensée [...]".
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Pio di Savoia, Luigi Antonio, Diplomat und Hofmusikdirektor (gest. 1755).
Brief mit eigenh. U. Wien, 31. III. 1732.
1 S. auf Doppelblatt. 8vo. Zusammen mit zwei Notizen und einem Notizfragment. Schöner Brief an Marchese Ludovico Zavaglia, ehemaliger päpstlicher Bürgermeister von Ferrara (Giudice dei Savi), mit Nachrichten zur geplanten Konfirmation seines Sohnes und einem wohl aus diesem Anlass entstandenen Porträt. Pio di Savoia kündigt an, eine Kopie des Gemäldes zum Empfänger zu bringen, während er das Original in Wien lassen werde, und berichtet, dass Kaiser Karl VI. sein Versprechen, als Firmpate des Sohnes zu fungieren, noch nicht einlösen konnte, da er vor einer Reise sehr beschäftigt gewesen sei. Abschließend erwähnt Pio di Savoia, dass ein befreundeter General namens Lucarelli mit seinem Regiment nach Ungarn gehe: - "Ho consignata la lettera di V. E. al sig. Marchesino di lei figlio, che gode una perfetta salute, ed avendolo io fatto dipingere in atto di portare il manto dell’Augustissimo nel gran Quadro del ritratto, che meco porto potrà V. E. favorirmi di venire a vedere la copia dell’originale, che qui lascio, e che sara molto bene racommandato per continuare a farsi onore. Le infinite occupazioni che S. M. ha avuto in questi ultimi momenti della sua partenza, non hanno permesso di effettuare la cresima, come in altre mia gli avermai [?]; ma avendo con clemenza la M. S. abbraviato l’impegno di essere il padrino, pui ben differirsi, ma non mancare una simil grazia, di mi V. E. ne può star sicura. Il Generale Lucatelli a momenti parte col [?] suo Regimento ad Vseck [?] in Ungheria come gli scrissi in altra mia, e pregandola de miei rispetti a [...]". - Der aus Padua gebürtige Luigi Antonio Pio di Savoia entstammte einer Adelsfamilie im Dienste der Este. Über sein Leben vor seiner Zeit am Wiener Hof ist wenig überliefert. Es ist anzunehmen, dass er bereits 1704 an einem Konzert wenige Tage vor dem Tod Kaiser Leopolds I. in Wien mitgewirkt hat. Von 1721 bis 1732 diente er als "Cavagliere di musica" am Kaiserhof und war damit auch für die Leitung der italienischen Oper zuständig. 1729 führte er Verhandlungen mit Pietro Metastasio, der 1730 als "poeta cesareo" an den Hof kam. Sein Verhältnis zum Hofkapellmeister Johann Joseph Fux war von Konflikten geprägt. 1732 ging Pio di Savoia als kaiserlicher Gesandter nach Venedig. Dieser Ortswechsel dürfte im vorliegenden Brief bereits angekündigt sein. - Wohlerhalten. Mit Sammlervermerken in Blei. Die beiliegenden Notizen in deutscher und lateinischer Sprache stammen nicht mit Sicherheit aus Pio di Savoias Hand. Bei einer der vollständig erhaltenen Notizen handelt es sich um eine Liste von Pflanzen mit deren deutschen und botanischen Namen.
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Sabatier, Paul, French theologian and historian (1858-1928).
Autograph letter signed. Assisi, [4 April] 1901.
8vo. 1 page on bifolium. To a friend with thanks for understanding his obsession with annotating every book he reads, suggesting a possible trip to Geneva, but particularly hoping to see him in Assisi one day, a place where he considers one may benefit from friendships more than anywhere else: "Vous avez donc deviné ma manie d'annoter les livres que je lis. Je vous en remercie avec une simplicité et une reconnaissance émue. Ne viendrez-vous jamais à Assise? Peut-être pourrai-je vous saluer à Genève, mais ce ne sera pas la même chose. Ici on profite des amis plus qu'en aucun lois du monde [...]".
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Sophie Charlotte, Herzogin in Bayern und Herzogin von Alençon-Orléans (1847-1897), Verlobte König Ludwigs II.
Eigenh. Brief mit U. ("Mama"). Mentlberg, 25. II. 1895.
4 SS. auf Doppelblatt. 8vo. Mit eh. adr. Kuvert. Mit Beilage (s. u.). Inniger Brief an ihre Tochter Louise Victoire d'Orléans, Prinzessin von Bayern (1869-1952), die zur Kur im hessischen Bad Langenschwalbach weilte, und an welche sich Sophie Charlotte zärtlich mit der Anrede "Mein liebes Baby" wendet. Sie dankt für eine Buch-Zusendung und schreibt familiäre Neuigkeiten sowie Grüße an Louises Gatten Alfons von Bayern. Sophie Charlotte brauche einen Hinweis für Louises Geburtstagsgeschenk und bedauere einerseits, dass Louise auf noch unabsehbare Zeit im Sanatorium bleiben müsse, andererseits hoffe sie auf erfolgreiche Heilung. Der Gemütszustand ihrer Schwester und Louises Tante, Marie in Bayern, sei nach dem noch jungen Verlust ihres Ehemanns Franz II. beider Sizilien betrüblich: "Da wir keine Adresse von dir wussten war Schreiben u. auch Telegrafieren nicht möglich - So möchten Papa u. ich jetzt auch gerne wissen, was wir dir für deinen Geburts- und Namenstag geben können. Ob du dir Toilettegegenstände, oder Etwas Anderes wünschest, oder lieber Finanzen [...] Die Länge der Zeit dort ist freilich nicht voraus zu berechnen und vor Allem mußt du bleiben, so lange der Arzt es für nöthig findet [...] Bubi [wohl Sophies Sohn Philippe Emmanuel] kam für einige Tage, wird aber nicht mehr frei vor dem 29. Sept., wegen den großen Manoeuvres [...] Tante Marie ist am 16t. July nach Boulogne sur Mer, kommt Mitte August nach Egern. Sie ist immer sehr traurig u. fühlt sich sehr allein. Zum Glück hat sie ihren großen Hund, den sie sehr liebt [...]". - Beiliegend eine Rechnung des Pariser Modehauses "Mon. Heintz Boyer" vom 21. II. 1893 an die Herzogin von Alençon, außerdem 14 großformatige Anzeigen des Leipziger Mode-Versandhauses "Mey & Edlich" mit detailreichen Darstellungen der angebotenen Produkte, darunter Damen-, Kinder-, Taufbekleidung, Schleifen, Uhren, Schmuck, Tischdecken und Möbelstoffe. Diese Werbeblätter rückseitig mit teilweise kuriosen Werbeanzeigen, wie jener eines "Badestuhls", für Produkte zur Entfernung von Sommersprossen oder Genussmittel wie "Maggi Fleischbrühe" und "Suchard" Schokolade u. a. m. gefüllt, in einer zeitgenössischen Tonpapiermappe mit montiertem Schildchen "Mey & Edlich" und einem montierten Kupferstichnachdruck mit dem Motiv spielender halbnackter Kleinkinder aufbewahrt. Das Kuvert mit geplättetem Siegel und Eckabriss (Verlust der Briefmarke). Ein Werbeanzeigenblatt leicht braunfleckig, die Mappe leicht gebleicht, insgesamt sehr gut erhalten.
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Thureau-Dangin, Paul, French historian (1837-1913).
Autograph letter signed. No place, 18 April (no year).
8vo. 1 page on bifolium. To a friend with thanks for his book on St Francis, which he looks forward to reading: "C'est une vraie bonne fortune qu'un livre de vous sur le cher St. François - Merci. Je vais me delecter et m'édifier à le lire et je suis très touché que vous ayez pensé à moi [...]".
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Wieland, Hans, Swiss general (1825-1864).
Autograph letter signed. Baden-Baden, 16. IX. 1862.
4to. 3 pp. on bifolium. With integral address panel. To Colonel Jean-Louis Aubert (1813-88) in Lausanne, discussing a planned reconnaissance mission along the southern border of Switzerland. The operation, he writes, has been approved by the military department: the area is to be divided into three parts, the frontier on Italian territory, in Ticino, and in Grisons. Wieland himself will take over the Italian reconnaissance party; he has the assistance of several other officers but will need another lieutenant. Aubert is to cover Ticino and is to have several officers his disposal: "J'ai encore à Vous faire ces communications nécessaires sur les reconnaissances de nos frontières du Sud. Je m'en suis occupé très serieusement et j'ai soumis un plan en departement militaire qui l'a approuvé. J'ai partagé les reconnaissances [...] en trois parties distinctes [...] 1. Reconnaissances sur le terrain italien [...] 2. Reconnaissances au Tessin [...] 3. Reconnaissances des Grisons [...] De la première partie je m'en charge et j'ai engagé comme aides des majors Hocher et de Suisse. Maintenant il me faillait encore un officier du genie, un lieutenant - par exemple Burnier ou Meuron [...] La seconde partie serait dirigée par vous pendant votre sejour au Tessin. Le major Siegfried qui connait parfaitement bien le Tessin, est à votre disposition et pour les autres officiers qui vous seront nécesaires, vous n'avez qu'à les désigner [...]".
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Wilhelm, Kronprinz von Preußen (1882-1951).
Bestallungsurkunde mit eigenh. U. ("Wilhelm Kronprinz"). "Neues Palais" [Potsdam], 30. V. 1910.
Lithogr. Formular mit hs. Eintragungen. 1 S. auf Doppelblatt. Folio. Mit großem gepr. Siegel, Begleitschreiben und hs. adr. Kuvert (ca. 240:190 mm). Für den Staatsanwalt Friedrich Carl in Berlin zu dessen Ernennung zum Rat der Staatsanwaltschaft: "Wir Wilhelm von Gottes Gnaden König von Preußen etc. thun kund und zu wissen, daß Wir den Staatsanwalt Friedrich Carl in Berlin (Staatsanwaltschaft I) zum Staatsanwaltschaftsrath Allergnädigst ernannt haben [...]". - Mitunterzeichnet von Justizminister Max von Beseler. Das lithogr. Begleitschreiben aus dem Justizministerium in Berlin mit hs. Eintragungen und signiert von Sekretärshand datiert eine Woche später. - Sehr gut erhalten. Das Kuvert etwas fingerfleckig mit Stempelmarke des "königl. Preuss. Justiz-Ministeriums".
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Wilhelm II., deutscher Kaiser (1859-1941).
Verordnung mit eigenh. U. "Neues Palais" [Potsdam], 29. VIII. 1904.
3 SS. auf Doppelblatt. Folio. Verordnung über die Reiseentschädigung von Vermessungsbeamten, Forstgeometern und Zeichnern des Landwirtschaftsministeriums mit Bestimmungen zu einem Kilometergeld und zusätzlichen Entschädigungszahlungen nach Tagessätzen bei Arbeitsorten, die mehr als zwei Kilometer vom Wohnort entfernt liegen: "1) Bei Abwesenheit von nicht mehr als eintägiger Dauer / Vermessungsbeamte ... 5 Mark / Forstgeometer und Zeichner ... 4 [Mark] / 2) bei mehrtägiger Abwesenheit und dadurch bedingter Uebernachtung außerhalb des Wohnortes / Vermessungsbeamte ... 5,50 Mark / Forstgeometer und Zeichner ... 5,00 [Mark] [...]". - Mitunterzeichnet von Landwirtschaftsminister Victor von Podbielski (1844-1916). Mit lithogr. Dokumentenkopf und Regestierung. An den Rändern, besonders am oberen, leicht gebräunt; Spuren alter Heftung.
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Wirt, Wigand, Dominican friar (1460-1519).
Document (copy, unsigned). [Stuttgart, 9 Oct. 1506].
Small folio (ca. 220 x 315 mm). Latin manuscript on paper. 1 page. With a pen-and-ink initial. Affirmation of orthodoxy by the German Dominican friar Wigand Wirt, best known for his polemical writings attacking the Catholic doctrine of Immaculate Conception. A notarially certified copy of a 1506 charter in delicate penmanship, prepared around 1510. - Wirt was forced to protest his orthodoxy after complaints were lodged against his "Dialogus apologeticus" by the Franciscan Observants and other members of the German clergy. He concludes by submitting to the "right" faith: "Hoc igitur veritatis [con]fidentia suffultus meipsum et om[n]ia mea scripta Romane eccl[es]ie et om[n]ibus divi[n]as litteras pio et no[n] depravato colentibus affectu subicio corrigendos in quor[um] fidem sigillum officii mei p[rese]ntib[us] duxi apponend[um]". The document is likely a reaction to an instruction issued by the Archbishop of Mainz, Jakob von Liebenstein, on 28 July 1506, to confiscate all copies of the "Dialogus". Wirt would be forced to pronounce further retractions in Rome and Heidelberg from 1512 onwards. - Two later notes on verso: "De Wesaliensi" and "T. t t.". - Traces of folds; very well preserved. Unpublished and hitherto unevaluated in scholarly literature.
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Yang Yuting, Chinese warlord (1886-1929).
Autograph dedication signed. N. p. o. d.
Oblong 12mo. 1 p. The dedication reads: "Excellent grades". With name seal of Yuting (Zhuwen style). - Brownstained.
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Baudelaire, Charles, French poet (1821-1867).
Autograph letter signed ("Ch. Baudelaire"). [Paris], 29. IX. 1858.
8vo. 2 pp. on bifolium. With autograph address. To the journalist and editor Paul Mantz (1821-95), apologizing for a further delay in the completion of his famous article on Théophile Gautier for "L'Artiste". Baudelaire cites obligations for "La Revue Contemporaine" as the cause but promises to finish immediately afterwards. He hopes that the article will be "good enough" for Mantz and Gautier, himself an editor at "L'Artiste", to excuse "such tardiness". In closing, Baudelaire announces that he is keen to write a review of Charles Asselineau’s "La double vie" as soon as the Gautier article is done: "Il faut que vous m'excusiez une fois, une seule fois encore. Je suis repris par la Revue Contemporaine pour 5 jours et l'article Gautier n'est qu'à moitié chemin. Je ne pourrai donc m'y remettre que mardi, et la journée de mardi suffira pour le finir. Il y a encore du caricaturisme à l'imprimerie, et c’est même la partie la plus ennuyante; croyez que je suis très honteux, mais j’espère que l’article sera assez bien fait pour que Théophile et vous me pardonniez tant d’inexactitude. Je tiens vivement à me charger du livre d'Asselineau (la Double vie). L’article sera fait le lendemain du Gautier [...]". - Baudelaire’s article on Théophile Gautier ultimately appeared on 13 March 1859, whereas the review of "La double vie" appeared as early as 9 January 1859, both in "L'Artiste". Later in 1859, the Gautier article would appear as a monograph with a congratulatory letter by Victor Hugo to Baudelaire serving as its preface. Charles Asselineau (1820-74) was one Baudelaire's closest friends and had supported the first publication of "Les Fleurs du Mal" in 1857. He also wrote the first biography of Baudelaire, published in 1869. - Traces of folds. A tear from breaking the seal; insignificant tears and some browning.
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Bazin, René, French writer (1853-1932).
Autograph visiting card. No place or date.
Visiting card format. 1 page. With his thanks: "remerciements et vifs compliments".
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Bernhard, Thomas, Schriftsteller (1931-1989).
Bildpostkarte mit eigenh. U. und Adresse. [Riquewihr, Haut-Rhin, Elsass], 9. IX. 1974.
1 S. Qu.-8vo. An seinen Freund und Nachbarn Karl Ignaz Hennetmair. Mit einer weiteren Unterschrift von Grete Hufnagl, geb. Feige, der Gattin des Architekten Viktor Hufnagel, die Bernhard Anfang der 1960er Jahre am Mozarteum kennengelernt hatte und die seine "ungewöhnlichste und letztlich tragischste Beziehung" werden sollte (Mittermayer). Manfred Mittermayer: Faszination Bernhard. In: Der Standard vom 26. IX. 2015.
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Bernhard, Thomas, Schriftsteller (1931-1989).
Eigenh. Mitteilung mit U. [Wien, Anfang November 1971].
1 S. Qu.-schmal-8vo. "Rudolf RACH SUHRKAMPVERLAG FRANKFURT ERWARTE SIE SAMSTAG Bernhard". - Auf der Verso-Seite einer gedr. Einladung des Hauptverbandes des österreichischen Buchhandels zur österreichischen Buchwoche im Wiener Künstlerhaus vom 30. Oktober bis zum 7. November.
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Bordeaux, Henry, French writer (1870-1963).
2 autograph letters signed. Thonon-les-Bains and Paris, 1 Nov. (no year) and 24 Nov. 1908.
8vo. Together 4 pp. on 2 bifolia. To the scholar Théodore de la Rive. Bordeaux regrets he will be unable to visit him as he has to return to his wife, whom he left to tend to her ill mother, but hopes to welcome him in Paris shortly. He mentions working on his "chronique dramatique", which kept him from reading de la Rive's book on the bishop Francis de Sales (1567-1622), titled "Un saint gentilhomme", promising to read it as soon as possible, and announces a conference he is to give about the correspondence of the Saint: "C'était bien mon sujet de vous aller demander l'hospitalité précisément le 2 au soir. Mais j'ai laissé ma femme fatiguée à Cognin auprès de sa mère malade elle même. De sorte que j'ai réduit mon voyage ici à une visite à mes chères tantes, et je repars tout de suite [...] C'est à Paris que je vous attends [...] et que je me réjois de vous recevoir. A mon retour de Paris, j'ai du écrire ma chronique dramatique et n'ai rien lu encore. Mais je vais lire Un saint gentilhomme avec d'autant plus d'intérêt que je vais [...] faire aussi à Lyon et à Bruxelles une conférence sur la correspondance de votre saint de que vous me montrez [...] vos précieux models. Je vous en écrirai bientôt [...]" (1 Nov., no year). On the headed stationery of his father, the lawyer Louis Bordeaux. - To the same, with an invitation to his lecture on Louise de Charmoisy, a close friend and student of Francis de Sales: "C'est le 9 décembre, un mercredi, et le soir, que je ferai mon conférence à Lyon: La vie intérieure. Mme de Charmoisy ou la Philothée de St François de Sales. Je ne sais encore ni le lieu ni l'heure exacte (8h ½ suppose). Il me serait un grand honneur de vous avoir par auditeur. Mais je crains de ne pas mériter un tel déplacement [...]" (24 Nov. 1908). On mourning paper.
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Decourcelle, Pierre, French writer (1856-1926).
Autograph letter signed. 14, Rue Jean Goujon [Paris], 9. XI. 1908.
Small 8vo. 2 pp. on bifolium. To a friend, possibly the French actor and director Charles Burguet (1872-1957), offering his condolences and mentioning that he had to read the obituary ten times over before being able to believe the news, regretting his being unable to visit, as he needs to be with his little daughter at the moment: "Je suis alterré devant ce faire-part... Je l'ai relu dix fois, n'y pouvant pas croire. Vous pensez si je suis avec vous dans votre douleur ... mais je vous avoue que, comme ma penne, je me sens ni capable de venir vous exprimer la tristesse que j'éprouve, vous comprenez pourquoi, et comment, lorsqu'on n'a qu'une petite fille, l'egoisme humain vous serre la poitrine, et vous force à penser à soi au moment du malheur d'autrui [...]". - With engraved address. Some pencil notes by a former collector regarding the authorship and possible recipient.
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