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Maurice FEUILLET - [1873 - 1968] - Peintre et critique français - Fondateur du Figaro artistique
Manuscrit autographe : "Les Ventes de février" - le 22 février 1927 -
Article pour le Gaulois artistique - 11 pages in8 - râtures et corrections - bon état -
书商的参考编号 : 35471
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Maurice FEUILLET - [1873 - 1968] - Peintre et critique français - Fondateur du Figaro artistique
Manuscrit autographe : "Les Ventes de février" - le 22 février 1927 -
Article pour le Gaulois artistique - 11 pages in8 - râtures et corrections - bon état -
书商的参考编号 : 35481
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Maurice CLAVEL (1920-1979) - Ecrivain, journaliste, philosophe français.
Page manuscrite de la pièce de théâtre Maguelone de Maurice Clavel, Ecrivain, journaliste, philosophe français.
1 M.A. (297 x 210). Bon état.
书商的参考编号 : 8517
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Maurras (Charles ; 1868-1952) - Drevet (Joanny; 1889-1969) :
Paysages Mistraliens. Texte de Charles Maurras, eaux-fortes et dessins de Joanny Drevet.
Grenoble, Didier et Richard, 1944; in-folio en feuilles sous couverture crème à rabats, étui de l’éditeur ; [32] pp., 20 dessins hors-textes, 20 eaux-fortes hors-texte, 5 dessins dans le texte.
书商的参考编号 : 21752
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Maurice DRUON
Photographie originale dédicacée par Maurice Druon en tenue d'académicien
s. n. | Paris s. d. [1970] | 15 x 19.5 cm | Une photographie
书商的参考编号 : 88440
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MAULNIER Thierry - (Alès 1909 - ?) - écrivain français
Portrait photographie représentant Thierry Maulnier sur le plateau de Télé-Paris - cliché O'Dette-Baumont, reporter -
Photographie format 13 x 18 cm - cachet O'Dette-Baumont au dos - petite déchirure restaurée sur un cm -
书商的参考编号 : GF16161
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Maurel, Christian (1931-2011, écrivain et journaliste)
Tapuscrit de L'Exotisme colonial
1980 Ensemble comprenant : 1) Le tapuscrit de premier jet avec de nombreuses corrections autographes : environ 16 ff. in-4 assemblés ; 2) Le tapuscrit définitif, y compris tables, crédits photographiques, 4e de couverture... : 29 ff. in-4 souvent reconstitués ; 3) Instructions pour les retouches de photos : 3 pp. tapuscrites in-4 avec corrections autographes, 2 pp. manuscrites in-12.
书商的参考编号 : 2665
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MAURIAC (François)]. AUFORT (Jean).
Un grand écrivain et un peintre. Rencontres et souvenirs. Textes, dessins et aquarelles de Jean Aufort.
Arcachon chez l'artiste 1982 1 vol. broché in-8, broché, couverture à rabats illustrée en couleurs, 177 pp., dessins, aquarelles et photographies, ainsi que de nombreuses lettres en fac-similé. Edition originale de cet émouvant livre publié à compte d'auteur par le peintre bordelais Jean Aufort qui s'attache à rendre hommage à son ami et mentor François Mauriac et à ses fréquents séjours dans sa famille à Malagar. Tirage unique à 435 exemplaires numérotés sur vélin Johannot, celui-ci hors commerce, dédicacé par l'auteur à Jean Mauriac avec un petit dessin original à la plume au dessus de la justification. Notre exemplaire est truffé de 2 émouvantes lettres de Jean Aufort à Jean Mauriac qui évoquent sa cécité grandissante et les difficultés qu'il a pour mener à bien la publication de ce bel ouvrage dans lequel il a englouti "le montant des ventes de [ses] peintures des trois dernières années". En parfaite condition.
书商的参考编号 : 103673
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MAURIAC (François)]. AUFORT (Jean).
Un grand écrivain et un peintre. Rencontres et souvenirs. Textes, dessins et aquarelles de Jean Aufort.
Arcachon chez l'artiste 1982 1 vol. broché in-8, broché, couverture à rabats illustrée en couleurs, 177 pp., dessins, aquarelles et photographies, ainsi que de nombreuses lettres en fac-similé. Edition originale de cet émouvant livre publié à compte d'auteur par le peintre bordelais Jean Aufort qui s'attache à rendre hommage à son ami et mentor François Mauriac et à ses fréquents séjours dans sa famille à Malagar. Tirage unique à 435 exemplaires numérotés sur vélin Johannot, celui-ci hors commerce, dédicacé par l'auteur à Jean Mauriac avec un petit dessin original à la plume au dessus de la justification. Notre exemplaire est truffé de 2 émouvantes lettres de Jean Aufort à Jean Mauriac qui évoquent sa cécité grandissante et les difficultés qu'il a pour mener à bien la publication de ce bel ouvrage dans lequel il a englouti "le montant des ventes de [ses] peintures des trois dernières années". En parfaite condition.
书商的参考编号 : 103673
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Mauch, Johann Matthäus von, Architekt und Kunstschriftsteller (1792-1856)
Eigenh. Brief mit U.
o.J. Ohne Ort [Stuttgart], 23. I. 1856, 8°. 1 Seite. Doppelblatt.
书商的参考编号 : 50844
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Maugham, William Somerset, Schriftsteller (1874-1965)
Masch. Brief mit eigenh. U.
o.J. München, 5. IX. 1962, Gr.-8°. 1 Seite. Hotelbriefpapier "Hotel Vier Jahreszeiten".
书商的参考编号 : 43418
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MAUL, Johammes
DEUTSCHE BUCHEINBÄNDE (Encuadernaciones alemanas) - Leipzig 1888 - Muy ilustrado + 10 HOJAS MANUSCRITAS EN ESPAÑOL
Leipzig, Edit.Karl W. Hiersemann, 1888. 40 ilustraciones en b/n fuera texto. Incluye, encartadas con el libro, 10 páginas manuscritas en español con la traducción del texto alemánb, seguramente del antiguo poseedor, el encuadernadoR Josep Capafons. muestras de tela. Leves puntos de óxido. Guardas decoradas. Ex libris. Gran folio. Holandesa. Lomo con tejuelo de piel y dorados. Libro en alemán. Muy buen ejemplar. Folio. 2 fols. Text, forty collotype plates all printed on heavy card. Two leaves containing 48 colour samples.
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Maulana Minhaj Ud Din Abu 'Umar I 'Usman; Raverty Major H. G. Translated from Original Persian Manuscripts by
Tabakt-I-Nasiri: A General History of the Muhammadan Dynasties of Asia Including Hindustan; from A.H. 194 810 A.D. To A.H. 658 1260 A.D. Adn the Irruption of the Infidel Mughals Into Islam Vol. I & II
New Delhi: Oriental Books Reprint Corporation 1970. 2 Vols. Very clean and tight. Creased with loss unclipped dust jacket. Vol. I is 717p. Vol. II is p.718-1296. Appendix and index at end of Vol. II. Reprint. Cloth. Very Good/Very Good in mylar. 8vo - over 7�" - 9�" tall. Hardcover. Oriental Books Reprint Corporation Hardcover
书商的参考编号 : SJ9466
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MAULNIER Thierry
Introduction à la poésie française
- Gallimard, Paris 1959, 14x20cm, broché. - New edition. Autograph inscription from Thierry Maulnier. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Nouvelle édition. Envoi autographe signé de Thierry Maulnier.
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MAULNIER Thierry
Lecture de Phèdre
- Gallimard, Paris 1967, 12x19cm, broché. - Edition en partie originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi autographe signé de Thierry Maulnier. Ex-dono au stylo en tête de la première garde, agréable exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MAUPASSANT Guy de
Carte-lettre autographe signée à la Comtesse Potocka : «je vous suis [...] ami tout à fait dévoué, quoique vous pensiez de moi »
- S.l [Paris] s.d. [circa avril-mai 1886], 11,7x9cm, 2 pages sur une carte-lettre. - 20 lignes autographes et signées par Maupassant à l'encre noire sur une carte-lettre à en-tête « GM 10, rue de Montchanin » à la Comtesse qui lui bat froid. Publiée dans Marlo Johnston, « Lettres inédites de Maupassant à la comtesse Potocka », Histoires littéraires, n°40, octobre-novembre-décembre 2009. Maupassant parait sous l'emprise du doute quant aux sentiments de la Comtesse envers lui : « Est-il dangereux d'aller vous voir ? Je vous avoue que j'ai peur...Vous m'avez parue, à mon retour d'Antibes, d'un froid terrifiant à mon égard. » La Comtesse traitait Maupassant au même titre que ses autres « Macchabées ». Une sorte de cour d'amoureux transis sur lesquels elle avait tout pouvoir. Potocka tient Maupassant en respect : « J'en ai conclu que je ferais bien de ne pas vous fatiguer. » Il se désole : « Et puis en vous rencontrant l'autre soir, je n'ai pas sur voir ce que vous pensiez. » Démuni, il demande humblement : « [...] je vais, tout simplement, et tout franchement vous demander. Que faut-il faire ? Si je vous ennuie, ne me répondez rien, car ... je ne voudrais pas vous ennuyer de près. » Pour finir il demande à la Comtesse : « [...] n'oubliez point que je vous suis, de près ou de loin un ami tout à fait dévoué, quoique vous pensiez de moi ». Provenance : collection Jean Bonna. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MAUPASSANT Guy de
Carte-lettre autographe signée à la Comtesse Potocka : « Votre conscience me préoccupe. Je m'efforcerai de bien la diriger. »
- S.l [Paris] n.d. [décembre 1880-juillet 1884], 11,7x9 cm, en feuilles. - Carte-lettre autographe signée de Guy de Maupassant à la comtesse Potocka, 19 lignes à l'encre noire, à en-tête « GM 83, rue Dulong ». Publiée dans Marlo Johnston, « Lettres inédites de Maupassant à la comtesse Potocka », Histoires littéraires, n°40, octobre-novembre-décembre 2009. Maupassant fait partie du cercle de soupirants de la Comtesse Potocka qu'elle a surnommé les « Macchabées ». L'auteur était très sollicité socialement et cela lui crée des problèmes d'emploi du temps : « Or, voici le cas [...] Legrand m'avait recommandé de ne pas m'engager [...] à ce dîner en m'annonçant une invitation de sa belle-soeur, invitation qui n'est pas venue. » Il décide de lever le doute en allant chez son ami Georges Legrand : « prendre le vent. » Ami proche de Maupassant, c'est lui qui l'introduisit auprès de la comtesse Potocka. L'auteur lui dédiera en 1884 la nouvelle Suicide, reprise dans le volume Les Soeurs Rondoli et qui avait auparavant été publiée dans la revue Le Gaulois. Maupassant semble plus inquiet d'aller chez Potocka qu'il a surnommée « présidente » et dont la « conscience [le] préoccupe. Je m'efforcerai de bien la diriger. » Il fait référence à la création de la « Société religieuse Coopérative sous la dénomination de Société Anonyme Anti-Soporifique pour la Récréation perpétuelle de la comtesse Potocka », un des nombreux jeux qui avaient lieu lors de soirée chez la comtesse Potocka. Avant de la quitter, il lui réitère son admiration : « Je suis aux pieds de ma présidente. » Provenance : collection Jean Bonna. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MAUPASSANT Guy de
Carte-lettre autographe signée à la Comtesse Potocka : « Je dois vous prévenir que je suis plus muet et plus ennuyeux que jamais [...] »
- S.l [Paris] s.d. [circa juillet 1884-décembre 1889], 11, 7x 9,1cm, 2 pages sur une carte-lettre. - Carte-lettre autographe signée de Guy de Maupassant à la comtesse Potocka, 13 lignes à l'encre noire, à en-tête « GM 10, rue Montchanin ». Publiée dans Marlo Johnston, « Lettres inédites de Maupassant à la comtesse Potocka », Histoires littéraires, n°40, octobre-novembre-décembre 2009. Dès 1877, la santé de Maupassant subit une détérioration continue. Cela commence cette année-là par la contraction de la syphilis. En outre, il doit faire face à la démence qui court dans la famille. En proie à de violentes migraines, sa sociabilité en a parfois souffert : « Je dois vous prévenir que je suis plus muet et plus ennuyeux que jamais, je le sais, vous pouvez donc ne pas me le dire. » Il prend tout de même le soin de rassurer sa correspondante : « Moi je serai ravi de vous voir. Je vais rester fort peu de temps à Paris, je ne vous fatiguerai donc pas trop. » Provenance : collection Jean Bonna. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MAUPASSANT Guy de
Lettre autographe signée et enveloppe adressée à la comtesse Potocka : « J'ai parlé de vous hier soir avec [Paul] Bourget qui vous trouve charmante et qui m'a presque chargé de vous le dire. »
- S.l. [Paris] s.d. [5 mai 1884], 10x12,9cm, 4 pages sur un feuillet double. - Lettre autographe signée de Guy de Maupassant à la comtesse Potocka, 70 lignes à l'encre noire, agrémentée d'un dessin original à l'encre, sur un feuillet double à en-tête « 83, rue Dulong ». Enveloppe jointe. Publiée dans Marlo Johnston, « Lettres inédites de Maupassant à la comtesse Potocka », Histoires littéraires, n°40, octobre-novembre-décembre 2009. Maupassant a, des années durant, été l'un des soupirants les plus assidus de la comtesse Potocka. Il s'apprête à aller la voir sur invitation de son mari : « Vous savez, n'est-ce pas, que je dîne chez vous demain, invité par votre mari. » Son époux le comte Potocki vivait en totale liberté avec la comtesse, occupé qu'il était à entretenir la célèbre courtisane Émilienne d'Alençon, il ne s'offusqua pas des « Macchabées » de son épouse, son groupe de soupirants. Les « Macchabées » avaient érigé l'amour en religion et ils en étaient les pénitents. Ainsi Maupassant écrit-il à la comtesse : « Il n'y a pas deux pénitentes comme vous, d'abord. Et puis j'ai qu'une pénitente qui me fait plutôt l'effet d'une Directrice car je me sens disposé bien plus à lui obéir qu'à la conseiller. » Plus loin, alors qu'il décrit une soirée à laquelle il a assisté, il admet s'être abîmé dans la ferveur que la comtesse provoque chez lui : « Comme j'avais mon chapelet dans ma poche je me suis mis à en réciter une dixaine en répétant entre chaque « ave » - « Notre Dame de Vassivière, patronne du lac Pavin, priez pour moi. » J'étais dans un parfait état de recueillement en sortant de cette maison où j'ai été reçu comme l'enfant prodigue. » Maupassant avait vu la comtesse en Auvergne, lors d'un voyage qui le mena au lac Pavin et au lac de Vassivière. Cette religion devait être bien plus du goût de Maupassant que le petit séminaire d'Yvetot où il fut envoyé étudier de 1863 à 1868. L'amour érigé au rang de religion élève Maupassant à la dignité de saint stylite : « [...] je suis remonté sur ma colonne pour me trouver à votre hauteur. » À la suite, il a esquissé un dessin à l'encre où il s'est représenté lui-même ainsi que la comtesse, tous deux auréolés. Cette dernière est sur une autre colonne et lui tend la main pour le rattraper alors que la colonne sur laquelle il se trouve s'est brisée et tombe. Comme Maupassant, Paul Bourget fut un « Macchabée » : « J'ai parlé de vous hier soir avec Bourget qui vous trouve charmante et qui m'a presque chargé de vous le dire. Je m'acquitte de cette commission parce que je connais les réserves de mon ami, dans ses... déclarations. » Les deux hommes se sont rencontrés en 1877 dans les bureaux de la revue La République des lettres et partagent la même fascination pour la comtesse : « je lui ai parlé de vous selon ma pensée. Et il m'a avoué qu'il craindrait de vous connaître par peur de lui-même et de ses amies. » Paul Bourget est également un habitué des brillants salons de cette époque, il l'introduit chez la princesse Mathilde : « Cette conversation avait lieu chez la princesse Mathilde que je me suis décidé à aller voir entraîné par le dit Bourget. » La princesse Mathilde Bonaparte n'est autre que la cousine de Louis-Napoléon Bonaparte, le futur Napoléon III auquel elle fut longtemps fiancée avant d'épouser un comte russe. Vivant à Paris, elle tient un des salons littéraires les plus courus de la capitale. Après ces considérations religieuses puis mondaines, Maupassant en vient à la littérature : « Aujourd'hui j'ai lu des vers depuis le matin, pour mon article du Gaulois que je n'ai pas encore fait. Je suis troublé décidément. » Il a publié dans la presse nombre de chroniques, nouvelles ou poèmes au cours de sa carrière, notamment entre 1880 et 1889 pour la revue Le Gaulois. Il n'y a pas que la comtesse qui trouble son activité littéraire : « J'avais chez moi un horrible écrivain russe nommé Boborykine, qui m'a empêché de trouver une phrase. » Piotr Boborykine, auteur natur
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MAUPASSANT Guy de
Lettre autographe signée à la Comtesse Potocka : « Maupassant prêtre libre »
- Paris s.d. [16 janvier 1884], 10,1x13cm, 2 pages sur un feuillet rempliée. - Lettre autographe signée de Guy de Maupassant à la comtesse Potocka, 26 lignes à l'encre noire sur un feuillet de papier vergé à en-tête "GM 83, rue Dulong". Publiée dans Marlo Johnston, « Lettres inédites de Maupassant à la comtesse Potocka », Histoires littéraires, n°40, octobre-novembre-décembre 2009. Maupassant évoque l'épisode qui marque son entrée dans la familiarité avec la comtesse : la fameuse histoire des poupées. À la suite d'un pari perdu, la comtesse Potocka avait fait envoyer à Maupassant des poupées de chiffon représentant les dames invitées à un futur dîner. Par jeu, Maupassant pris six d'entre elles et leur bourra le ventre de tissu avant de les renvoyer à la comtesse. Dans un mot qui accompagnait l'envoi, Maupassant se vantait de les avoir toutes engrossées en une seule nuit. Pour se sortir d'une soirée qu'il préfèrerait passer chez la comtesse il a du : « [...] faire des démarches de diplomate, d'employer des ruses et des machinations des plus habiles. » Malgré tout, il ne pourra que se : « [...] sauver vers onze heures ou onze heures et demie. » Afin de connaître les invitées qui se trouveront à cette soirée, il demande à Potocka : « Il faudra me redonner six poupées ». Une petite boutade qui reflète leur niveau d'intimité. Il regrette de s'être engagé pour cette soirée qui l'empêche de se rendre chez la comtesse : « Voyez-vous où j'en suis ? La soirée pour laquelle je m'étais engagé ne devant commencer à être agréable que vers minuit, tous invités partis. » À bout, il se propose de : « [...] crier, comme le beau-frère de votre amie : "A moi le camphre et le nénuphar" ! », les deux substances étaient utilisées comme anaphrodisiaque ou pour calmer l'énervement. Malgré son peu d'envie, il devra se rendre à ce dîner mais il compte offrir : « [...] à Dieu, et à Vous, ce sacrifice qui me semblera délicieux. Je viendrai avec des sentiments de contrition et d'exaltation sacrée. » Pour conclure la plus humoristique des lettres de Maupassant à la comtesse Potocka, l'auteur signe : « Maupassant prêtre libre ». Provenance : collection Jean Bonna. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MAUPASSANT Guy de
Lettre autographe signée à la Comtesse Potocka : « vous m'en voudrez un peu pendant longtemps. »
- Triel s.d. [8 juillet 1889], 9,9x15,2 cm, 3 pages sur un feuillet rempliée. - Lettre autographe signée de Guy de Maupassant à la comtesse Potocka, 38 lignes à l'encre noire sur un feuillet double. Publiée dans Marlo Johnston, « Lettres inédites de Maupassant à la comtesse Potocka », Histoires littéraires, n°40, octobre-novembre-décembre 2009. Plus sombre que d'ordinaire, Maupassant semble tracassé par un fait qu'il ne mentionne pas mais dont il s'excuse auprès de la comtesse : « Je vous demande encore pardon, ce qui du reste n'atténue pas mon remords ; et je vous assure qu'il est cuisant car j'ai cette arrière-pensée que cous m'en voudrez un peu pendant longtemps. » Maupassant s'était fait une réputation de farceur ainsi que d'homme au langage très libre, sans doute avait-il dépassé une limite en parole ou en action. Quelques années auparavant, il s'était illustré avec la fameuse blague des poupées. La comtesse Potocka avait offert à Maupassant des poupées de chiffon représentant les invitées d'un dîner qu'elle organisait chez elle. Par jeu, il bourra le ventre des dites poupées et les renvoya le lendemain à la comtesse, prétendant ainsi les avoir engrossées dans la nuit. La farce fut connue et provoqua bien des réactions outrées mais la comtesse avait fini par lui assurer son pardon. Quel qu'ait été l'événement malheureux, les courriers semblent s'être croisés : « Votre lettre m'a été renvoyée à Triel car le facteur ne me savait pas à Paris. » Pensant subir de nouveau des remontrances il avoue avoir : « [...] été, en la lisant pénétré de confusion. » Soucieux de plaire à la comtesse, il exprime son inquiétude : « Pourquoi suis-je ainsi nerveux, par moments, comme une femme, sans motifs réels, et sans avoir ressenti, vraiment, aucun froissement. Je n'en sais rien. Je ne peux que le constater. » Qu'ils soient les signes avant-coureurs de la folie où il terminera ses jours, ou les conséquences de ses sentiments pour la comtesse, qu'il s'effraie de fâcher, ces accès de nervosité ne cesseront plus de la vie de l'auteur. Pour s'assurer de la venue de la comtesse à Triel, Maupassant lui demande confirmation : « Je compte sur vous demain n'est-ce pas. » Pour ce faire, il lui conseille le train : « Si vous venez par le chemin de fer, comme vous y paraissez décidée, j'irai vous attendre à Meulan [...] Si vous veniez par le bateau de Georges je vous prie de vouloir bien m'en informer par une dépêche. » Le Georges en question est Georges Legrand, journaliste, « Macchabée » de la comtesse, qu'il fit connaître à Maupassant, et selon le peintre Jacques-Émile Blanche, le seul qui ait eu ses faveurs. Provenance : collection Jean Bonna. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MAUPASSANT Guy de
Lettre autographe signée à la Comtesse Potocka : « Dites, Madame, voulez-vous un fétiche ? [...] je porte bonheur moi-même !»
- Paris s.d. [début janvier 1884], 10,2x13 cm, 4 pages sur un feuillet double. - Lettre autographe signée de Guy de Maupassant à la comtesse Potocka, 67 lignes à l'encre noire sur un papier à en-tête « GM 83, rue Dulong », enveloppe jointe. Publiée dans Marlo Johnston, « Lettres inédites de Maupassant à la comtesse Potocka », Histoires littéraires, n°40, octobre-novembre-décembre 2009. Cette longue missive débute par une commission qui a été faite à Maupassant : « Je m'acquitte tout de suite d'une commission dont on me charge pour vous, bien qu'il me semble y découvrir un peu d'ironie. La princesse Ouroussow, qui vient de m'écrire pour me demander d'aller la voir ce soir, me prie, en post-scriptum, de la rappeler à votre souvenir lorsque je vous verrai. » La princesse Ouroussow était l'épouse de l'ambassadeur russe à Paris. Avec la Comtesse, elle faisait partie de ce gotha mondain qui entourait les auteurs et les artistes. L'ironie dont il fait mention est celle-ci : « Comme des gens réputés perspicaces ont affirmé que toute la pensée d'une lettre de femme est dans le post-scriptum, [...] j'ai tenu à remplir immédiatement mon rôle d'intermédiaire. » Il a déduit de cet ajout « que la lettre de la princesse, malgré ce qu'elle contient d'aimable pour moi, s'adressait à vous ». Cette étonnante lettre aborde par la suite un penchant peu connu de Maupassant : son goût pour les fétiches. Il informe sa correspondante que : « La main, depuis qu'elle est revenue de chez vous, me semble dans une agitation extraordinaire. » Il s'agit de la fameuse main que Maupassant avait acheté à George Powell. C'était par l'entremise du poète Charles Swinburne (que Maupassant sauva presque de la noyade) que les deux hommes se rencontrèrent à Étretat en 1868. Powell et Swinburne y partageaient une maison, emplie de la collection de curiosités de Powell. La main dont il est question était momifiée et elle a inspiré Maupassant par deux fois. Une première en 1875 avec La Main de l'écorché, puis en 1885 avec La Main. Cette nervosité du porte-bonheur conduit Maupassant à s'interroger : « Peut-être avez-vous eu tort de ne point la garder comme fétiche ? » Il ajoute : « Mais j'ai d'autres fétiches singuliers. En voulez-vous un ? » En effet, il en possède une collection : « Je possède la chaussure d'une petite Chinoise morte d'amour pour un Français. » Il commente les potentiels effets de ces objets : « Ce talisman porte bonheur aux désirs du coeur. J'ai encore une grande croix en cuivre, fort laide, qui faisait des miracles parait-il dans le village où je l'ai trouvée. » Mais ces talismans ne fonctionnent pas tous comme ils le devraient : « Depuis qu'elle est chez moi elle n'en fait plus. C'est peut-être le milieu qui la gêne. » Ce n'est pourtant pas le plus étonnant : « Mais ce que je possède de plus singulier ce sont les deux extrémités d'un homme trompé par sa femme et mort de chagrin. L'épouse coupable conserva le pied et la corne de ce mari [...] et les fit souder ensemble. J'ignore quel peut-être l'effet de cet objet. » Malgré le sérieux de l'affaire, Maupassant ne se départit pas de son humour : « Dites, Madame, voulez-vous un fétiche ? J'ajoute que mes amis prétendent que je porte bonheur moi-même ! Je mets à vos pieds ce dernier porte-veine qui demande la préférence. » Pour faire écho à sa déclaration concernant les post-scriptum féminins, il en ajoute deux à sa lettre. Dans le premier il demande à la comtesse Potocka de le rappeler au souvenir de Mme Lambert. Cette dame était l'épouse d'Eugène Lambert, peintre connu pour ses chats et qui fréquentait le même milieu que Maupassant et la comtesse. Le second est bien plus savoureux : « Il ne faut pas attacher aux post-scriptum des hommes la même importance qu'à ceux des femmes. » Provenance : collection Jean Bonna. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MAUPASSANT Guy de
Manuscrit autographe à la Comtesse Potocka?: «?Vous prenez un chien enragé que vous faites manger par un lapin; vous faites ensuite dévorer ce lapin par un mouton?»
- s.l. s.d. [juillet-août 1885], 9,6x15,5cm, une feuille. - Manuscrit autographe de Guy de Maupassant adressé à la comtesse Potocka, 36 lignes à l'encre noire sur une page. Pliure horizontale au centre. Publiée dans Philippe Dahhan, Guy de Maupassant et les femmes?: essai, Bertout, 1996. Insolite manuscrit de Guy de Maupassant, donnant une fausse composition du vaccin contre la rage, qu'il appelle «?Élixir Pasteur?», fabriqué entre autres avec «?sept larmes de candidat académique repoussé?», «?cinq gouttes de bave de journaliste?» et «?un centimètre d'orgueil de romancier?». Cette amusante prescription est adressée à la comtesse Potocka, riche aristocrate mondaine et intellectuelle dont la grande beauté et la personnalité volage apparaissent en filigrane de nouvelles et de chefs-d'uvre romanesques de l'auteur (Mont-Oriol, Notre cur, Humble drame). Maupassant écrit à Emmanuela Pignatelli di Cergharia, épouse du comte Nicolas Potocki, qui occupait avenue Friedland à Paris, un hôtel somptueux où elle réunissait une véritable cour de soupirants «?morts d'amour pour elle?», surnommés «?Macchabées?» par allusion aux sept frères martyrs de la Bible. Le compositeur Camille Saint-Saëns lui écrivit une mazurka, Guerlain créa pour elle un parfum ; son charme fut immortalisé par le peintre Léon Bonnat, et un jeune Marcel Proust signera une chronique du Figaro sur son salon si réputé. Elle fut la grande conquête et muse de Maupassant, qui ne cessa de la courtiser jusqu'à la fin de sa vie. L'auteur donne à la comtesse une improbable recette de l'Elixir Pasteur, inspirée par les expériences sur la rage de Louis Pasteur à partir de la moelle du lapin. Le manuscrit autographe, non-daté, a probablement été écrit en 1885 dans le courant de juillet-août, lorsque Pasteur injecte avec succès son vaccin antirabique au petit Joseph Meister, âgé de neuf ans. Maupassant déploie ses talents pour la farce et la parodie, dévoyant le langage médical pour créer un faux vaccin?: «?Ce dernier animal reçoit donc le virus rabique à sa septième puissance et il enrage instantanément. Vous lui enlevez alors l'il gauche dont vous extrayez le fluide visuel au moyen d'une seringue à morphine. Vous mettez ce fluide dans un petit pot de granit avec cinq gouttes de bave de journaliste?». Diagnostiqué avec une syphilis depuis une dizaine d'années, Maupassant était en effet particulièrement familier des remèdes et potions, fréquent visiteur de villes d'eaux et suivi par de nombreux médecins avant son internement à la clinique du docteur Blanche, où il mourut de paralysie générale le 6 juillet 1893. Cette note humoristique adressée à la comtesse Potocka fait partie des innombrables tentatives de séduction engagées par Maupassant, amoureux éternellement contrarié?: l'écrivain lui offrit ses manuscrits, composa des poèmes sur des éventails, et se rendit presque quotidiennement chez elle pendant ses séjours à Paris. Leur correspondance se poursuivit pendant de nombreuses années, Maupassant venant même a créer la «?Société Anonyme Anti-Soporifique pour la Récréation perpétuelle de la Comtesse Potocka?», dans le seul but de distraire la comtesse et d'échapper à son indifférence?: «?Sentant donc que mes efforts demeurent souvent stériles devant votre indifférence voulue j'ai cherché par quel procédé je pourrais venir à bout, en toute occasion, de votre ennui.?» (Lettre d'août 1885, The Pierpont Morgan Library, New York). L'écrivain termine sa note par une amusante remarque, prouvant l'efficacité de son remède contre la rage?: «?C'est par cette méthode que tout accident a été évité pendant le dernier Congrès?», en référence au congrès de Berlin de février 1885, où fut décidé le partage systématique de l'Afrique entre les pays coloniaux. Provenance?: collection Jean Bonna. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MAURIAC François
Mémoires intérieurs
- Flammarion, Paris 1959, 15x21cm, broché. - Edition de l'année de l'originale, mention de mille en pied du second plat. Une petite déchirure recollée en pied du dos, agréable exemplaire, coupures de presse jointes, ex-dono du dédicataire en tête de la première garde. Envoi autographe daté et signé de François Mauriac à Pierre Troillard. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Maurice de Vernouillet
Manuscript Lecture Notes on Ancient Civilizaions from the Teachings of Professor Marc Petit de Baroncourt, Collège Bourbon, La Réunion, 1842-45.
"Histoire Ancienne. Histoire du Moyen Age." [Ancient History. Middle Ages.] Manuscript history of the world from Antiquity to the Middle Ages, being lecture notes written by Maurice de Vernouillet, at the time a pupil of history professor Marc Petit de Baroncourt at the Collège de Bourbon, on the island of Réunion, east of Madagascar. Text is in French. 8vo. 2 volumes, 274, 294 pages, plus title pages to each volume. Bound uniformly in black calf over blue marbles boards, gilt title and tooling to spines. Volumes vary slightly in size, the first measuring approximately 17,5 x 21,5 cm, the second 15,5 x 19,5 cm. Minor wear to boards, otherwise in very good condition, a content-rich work in a fine hand. The origin of these works, Réunion Island, is revealed on the title pages of the second volume, by noting the professor's name, Monsieur [Marc] Petit de Baroncourt, who in 1841 became Professeur agrégé d'histoire au collège de Bourbon [Associate Professor of History at Bourbon College (in 1841)]. Born in Étain, Meuse, De Baroncourt was also a historical writer, beginning with an abridged history of the Middle Ages. The National Library of France holds at least one letter and one book by him. The student and writer is presumably Augustin "Maurice" Marchant de Vernouillet, born 18 April 1829 in Paris, who would later become a Resident Secretary in Madrid, holding the title of "Ministre plénipotentiaire de 1° classe" [a diplomat of ambassador usually with full power over a foreign land]. These volumes provide a rare opportunity to possess and examine the teachings of a notable French professor of the Collège Bourbon, on Isle Bourbon, today called La Réunion, where slavery was still ongoing, as was French colonisation. Manuscript
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MAUROIS André
Magiciens et logiciens
- Grasset, Paris 1935, 12x19cm, broché. - Deuxième édition parue la même année que l'originale. Dos légèrement insolé. Envoi autographe signé d'André Maurois à Maurice Martin du Gard. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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Maurois, André, Schriftsteller (1885-1967)
Eigenh. beschriftete Visitenkarte der Académie Francaise mit U.
o.J. Neuilly-sur-Seine, Ohne Jahr, Kl.-8°. 2 Seiten.
书商的参考编号 : 47427
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Maurois, André, Schriftsteller (1885-1967)
Masch. Brief mit eigenh. U.
o.J. Neuilly-sur-Seine, 26. II. 1959, Qu.-8°. 1 Seite. Briefkopf. Gelocht.
书商的参考编号 : 61253
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Mausbach, Hans, Stadtplaner (Daten nicht ermittelt)
2 eigenh. Briefe mit U.
o.J. Ronco, 21. IX. und 18. XII. 1975, Fol. und 4°. Zus. 5 Seiten.
书商的参考编号 : 39110
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Mauthner, Fritz, Philosoph (1849-1923)
Eigenh. Brief mit U.
o.J. Berlin, 9. V. 1889, 8°. 1 Seite.
书商的参考编号 : 49043
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Mauthner, Fritz, Philosoph (1849-1923)
Eigenh. Brief mit U.
o.J. Berlin, 24. V. 1887, 8°. 1 Seite. Doppelblatt.
书商的参考编号 : 49042
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Mauthner, Fritz, Philosoph (1849-1923)
Eigenh. Brief mit U.
o.J. Berlin, 18. XII. 1886, 8°. 3 Seiten. Doppelblatt.
书商的参考编号 : 49041
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Mauthner, Fritz, Philosoph (1849-1923)
Eigenh. Brief mit U.
o.J. Berlin, 9. V. 1889, 8°. 1 Seite.
书商的参考编号 : 49044
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Mauthner, Fritz, Philosoph (1849-1923)
Eigenh. Brief mit U.
o.J. Berlin, 28. XII. 1896, Gr.-8°. 2 Seiten auf einem Doppelblatt.
书商的参考编号 : 49079
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Mauthner, Fritz, Schriftsteller und Philosoph (1849-1923)
Brief mit eigenh. U.
o.J. Meersburg am Bodensee, 1. VII. 1915, Gr.-8°. 2 Seiten.
书商的参考编号 : 41466
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Mauthner, Fritz, Schriftsteller und Philosoph (1849-1923)
Brief mit eigenh. U.
o.J. Meersburg, "Glaserhäusle", 26. XI. 1912, Gr.-8°. 3 1/2 Seiten.
书商的参考编号 : 44146
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Mauthner, Fritz, Schriftsteller und Philosoph (1849-1923)
Gedruckter Brief mit eigenh. U.
o.J. Meersburg, 27. XI. 1919, Fol. 1 Seite.
书商的参考编号 : 44526
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MAWLANA KHALID AL-BAGDADI, (1779-1827).
Tercüme-i mektûbât-i hazret-i Mevlânâ Hâlid kuddise sirrehu. Copied and translated by Es-Seyyid Alî Tâlib en-Naksibendî el-Hâlidî.
Very Good Turkish, Ottoman (1500-1928) Original marbled papers. Papers toned, slightly wear on spine and extremities and scattered ink on several words. Otherwise a good copy. 16mo. (15 x 11 cm). In Ottoman script. [18], [2] p. He was an Iraqi Kurdish Sufi, by the name of Shaykh Diya al-Din Khalid al-Shahrazuri, the founder of a branch of the Naqshbandi Sufi order -called Khalidi after him- that has had a profound impact not only on his native Kurdish lands but also on many other regions of the western Islamic world. Mawlana Khalid acquired the nesba Baghdadi through his frequent stays in Baghdad, for it was in the town of Karadag (Qaradagh) in the Shahrizur region, about 5 miles from Sulaymaniyah, that he was born in 1779. His father was a Qadiri Sufi who was popularly known as Pir Mika'il Shesh-angosht, and his mother also came from a celebrated Sufi family in Kurdistan. He was an influential Ottoman mystic, who is believed by his followers to have been capable of time travel (Tayyi Zaman). He was born in the year 1779 in the village of Karadag, near the city of Sulaymaniyyah, in what is now Iraq. He was raised and trained in Sulaymaniyyah, where there were many schools and many mosques and which was considered the primary educational city of his time. His grandfather was Par Mika'il Chis Anchit, which means Mika'il the Saint of the six fingers. His title is `Uthmani because he is a descendant of Sayyidina `Uthman ibn `Affan, the third caliph of Islam. He studied the Qur'an and its explanation and fiqh according to the Shafi`i school. He was famous in poetry. When he was fifteen years of age he took asceticism as his creed, hunger as his horse, wakefulness as his means, seclusion as his friend, and energy as his light.Young Khalid studied with the two great scholars of his time, Shaykh `Abdul Karam al-Barzinji and Shaykh `Abdur Rahim al-Barzinji, and he read with Mullah Muhammad `Ali. He studied the sciences of mathematics, philosophy, and logic as well as the principles of jurisprudence. He studied the works of Ibn Hajar, as-Suyuti, and al-Haythami. He memorized the commentary on Qur'an by Baydawi. He was able to find solutions for even the most difficult questions in jurisprudence. He memorized the Qur'an according to the fourteen different ways of recitation, and became very famous everywhere for this. For many years Mawlana Khalid's interests were focused exclusively on the formal traditions of Islamic learning, and his later, somewhat abrupt, turning to Sufism is highly reminiscent of the patterns in many a classic Sufi biography. He began his studies in Qaradagh, with Qur'an memorization, Shafi fiqh, and elementary logic. He then traveled to other centers of religious study in Kurdistan, concentrating on logic and kalam. Next he came to Baghdad, where he astounded the established ulema with his learning and bested them in debates on many topics. Such was his mastery of the religious sciences that the governor of Baban proposed him a post as modarres, but he modestly refused. However, when Abd al-Karim Barzanki died of the plague in 1799, Mawlana Khalid assumed the responsibility for the madrasa in Sulaymaniyah he had founded. He remained there for about seven years, distinguished as yet only by his great learning and a high degree of asceticism that caused him to shun the company of secular authority. He reached Delhi in about a year (1809). His journey took him through Rey, Tehran, and other provinces of Iran. He then traveled to the city of Herat in Afghanistan, followed by Kandahar, Kabul, and Peshawar... (Source: Wikipedia). This manuscript and risala includes short examples of his 'letters' to prophet, Ottoman rulers, Sheikh Mahmud Sahib, Abdullah Pasha etc. Proper nouns in this booklet are written in red ink: Fazlullah, Hâlid Naksibendî Mujaddidi Osmani, Abdullah, Akmaladdin, Mahmud, Jacob, Gazali, Sahhab, Suhreverdi, Muhammad Mustafa, Celâl, Suyuti, etc. Hegira. 1286 = Gregorian: 1870.
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Maxime WEYGAND
"Mais cette étude sur le Gal W. écrivain, c'est un sujet qui a bien peu de substance ! " Lettre autographe datée et signée dans laquelle il refuse une tentative de biographie
Paris 18 Juin 1938 | 11.50 x 18 cm | une page et demie
书商的参考编号 : 86583
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Max JACOB
"Un de nos amis explose des tableaux 76 Fg St Honoré galerie Charpentier le 4 avril." Lettre autographe signée inédite adressée à Fernand Pouey
Paris 31 mars 1935 | 21 x 27 cm | une page sur un feuillet
书商的参考编号 : 75865
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Max-Bridge :
Belle (La) Pêcheuse de Murex ou Abdalonyme le roi jardinier.
S. l., s. n., s. d. (circa 1930) ; in-8, broché ; 66 pp., (1) f. (épilogue) ; 6 illustrations en sanguine hors-texte ; couverture beige à rabats imprimée en rouge.
书商的参考编号 : 2573
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Maxime WEYGAND
Carte de visite autographe datée concernant son entrée à l'Académie Française le 11 juin 1931
Paris 22 Mai 1932 | 11.50 x 9 cm | une carte recto versp
书商的参考编号 : 86584
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MAXE WERLY Léon
Etude sur les monnaies antiques recueillies en CHATEL DE BOVIOLLES de 1802 à 1874.
In 8 broché, couverture verte imprimée, faux-titre, titre, 77 pages, 5 planches de monnaies, figures dans le texte, grand plan dépliant du CHATEL DE BOVIOLLES, en regard de la page 8. Envoi manuscrit autographe de l’auteur page de faux-titre. Chalons- sur- Marne imprimerie F. THOUILLE 1876.
书商的参考编号 : 12624
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Maxime Du CAMP - [Paris 1822 - Baden-Baden 1894] - Ecrivain et photographe français
Lettre autographe Signée à "Cher Monsieur" (François Buloz) - le 7 décembre 1881 -
1 page in8 - bon état -
书商的参考编号 : GF25465
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Maxime Du CAMP - [Paris 1822 - Baden-Baden 1894] - Ecrivain et photographe français
Lettre autographe Signée à "Cher Monsieur" (François Buloz) - le 4 janvier 1884 -
1 page in8 - bon état -
书商的参考编号 : GF25466
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Maxime Du CAMP - [Paris 1822 - Baden-Baden 1894] - Ecrivain et photographe français
Lettre autographe Signée à "Cher Monsieur" (François Buloz) - le 29 avril 1878 -
1 page in8 - bon état -
书商的参考编号 : GF25467
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Maxime Du CAMP - [Paris 1822 - Baden-Baden 1894] - Ecrivain et photographe français
Lettre autographe Signée "Maxime" à "Cher Monsieur" (François Buloz) - le 10 décembre 1878 -
1 page in8 - bon état -
书商的参考编号 : GF25468
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Maxime Du CAMP - [Paris 1822 - Baden-Baden 1894] - Ecrivain et photographe français
Lettre autographe Signée à "Cher Monsieur" (François Buloz) - le 12 décembre 1878 -
1 page in8 - bon état -
书商的参考编号 : GF25469
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Maxime Du CAMP - [Paris 1822 - Baden-Baden 1894] - Ecrivain et photographe français
Lettre autographe Signée à "Cher Monsieur" (François Buloz) - le 21 avril 1878 -
1 page in8 - bon état -
书商的参考编号 : GF25470
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Maxime Du CAMP - [Paris 1822 - Baden-Baden 1894] - Ecrivain et photographe français
Lettre autographe Signée à "Cher Monsieur" (François Buloz) - le 2 mars 1879 -
1 page in8 - bon état -
书商的参考编号 : GF25471
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