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FEYDEAU, Ernest
Manuscrit autographe : Deuxième partie du roman "Catherine d'Overmeire. Etude"
Manuscrit autographe de 58 feuillets in-folio (de formats divers), foliotés de 69 à 126, repliés en liasse, s.d. (circa 1859-1860). qq. petits accrocs à qq. ff., mais bon état par ailleurs
Referenz des Buchhändlers : 44479
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DE LA BATUT, Pierre
[ Lot de 3 Manuscrits et Notes manuscrites dont deux autographes ] I : Les Bras qui s'ouvrent. Un acte en vers ; II : Notes manuscrites pour 3 scénarios : Almaïde d'Entremont - La Nouvelle Espérance - La leçon d'Amour dans un Parc ; III : Le Blé en Herbe. Un acte en Prose.
[ Lot de 3 Manuscrits et Notes manuscrites dont deux autographes ] I : Les Bras qui s'ouvrent. Un acte en vers, 7 feuillets manuscrits autographes sous chemise, s.d. (circa 1916) ; II : Notes manuscrites autographes pour 3 scénarios : Almaïde d'Entremont - La Nouvelle Espérance - La leçon d'Amour dans un Parc (une vingtaine de notes manuscrites et qq. ff. tapuscrits) ; III : Le Blé en Herbe. Un acte en Prose. Manuscrit de 25 feuillets in-folio (manifestement mis au propre par son épouse, Marguerite Fardet)
Referenz des Buchhändlers : 44481
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DE LA BATUT, Pierre
Catinka Heinfetter. Une cause célèbre sous Louis-Philippe. Récit historique. [ Tapuscrit enrichi de très nombreuses corrections autographes. Récit romancé de l'affaire Caumartin - Sirey ]
1 tapuscrit in-4 en 110 feuillets sous chemise, s.d. (circa 1920-1930 ?)
Referenz des Buchhändlers : 44482
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EL DIB, Moustapha ; Mohamed Abou Brak Omar
Correspondance égyptienne en arabe et en français datée de juillet 1893, adressée à un Comte (vraisemblablement le Comte de La Borie de La Batut) [ 2 lettres en français rédigées par le drogman et 5 feuillets en arabe ] Le Caire, le 8 Juillet 1893 : "Monsieur le Comte" .... "Selon votre ordre je me suis présenté chez Mohamed Abou Bakr Omarle marchand d'essence de géranium. Je lui ai demandé tous les renseignements que vous désiriez avoir au sujet de la qualité d'essence ; lequel m'a délivré une lettre en arabe pour vous et signée par lui que j'ai l'honneur de vous remettre ci-joint avec traduction littérale en français" ... "dans la boîte en fer blanc j'ai l'honneur de vous envoyer trois pierres antiques dont deux scarabés & une statue. J'ai pu obtenir ces pierres d'Edfou, & j'ai l'honneur de les présenter à Madame la Comtesse comme cadeau" .... [ et la traduction de la lettre : ] Le Caire, le 6 juillet 1893 : "Monsieur le Comte, J'ai reçu votre lettre par laquelle vous voulez vous renseigner sur l'essence & le prix de chaque 100 kilos franco à Marseille. En réponse, je vous dis qu'il n'existe pas pour le moment de la vraie essence de géranium qui nous arrive de l'étranger, & même s'il en existe ce ne serait pas de la bonne qualité ; mais la bonne qualité nous arrive dans trois mois & même plus. J'ai en magasin au caire une bonne qualité d'essence identique à celle que je vous avais vendu & je peux vousdonner le kilo au prix de 20 francs" ... "Moustafa Effendi Mohamed le Drogman s'est présenté chez moi. Je lui ai remis l'échantillon de l'essence qui se trouve chez moi"...
2 lettres de 2 pages chacune (sur 2 ff. chacune) en français et 5 ff. en arabe, 1893
Referenz des Buchhändlers : 44504
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DE SCIBOR RYLSKI, Comtesse ; DENTU, Edouard
Mystérieuse correspondance d'une jeune femme exaltée avec l'éditeur Edouard Dentu [ 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est (sic) votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"
3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"
Referenz des Buchhändlers : 44505
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ANONYME ; [ SAUVESTRE, Charles ; SAUVAITRE, Nicéphore Charles ]
Manuscrit : Monita Secreta Societatis Jesu. Notes sur les Similitudes et 1er Cahier : différences existant entre trois éditions de 1718, 1824 et 1861 ; 2ème Cahier : Comparaison entre les traductions de 1845 et 1861
2 cahiers manuscrits in-8 format à l'italienne, de 15 et 13 feuillets, premier cahier daté du 14 septembre 1861
Referenz des Buchhändlers : 44521
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DESAUGIERS ; DES AUGIERS
Livre de Compte de Desaugiers pour ses terres situées à Peyror [ Commune de Gauriac - Vignoble des Côtes de Bourg ] 1753-1800 : "Livres pour Pairor ma mère me layant abandonné le premier aoust mille sept cent cinquante trois et setient réservé la récolte de la ditte année, je mettrais par le present livres tout l'argent qu'il me coûtera pour les réparation, comme aussi tout celuy qu'il me raportera le plus juste qu'il me sera possible aux augiers ce 18 septembre 1753"
Livre de Compte de Desaugiers, 1 vol. in-4 reliure vélin de l'époque, 1753-1800, 92 ff. (presque tous manuscrits) : "Livres pour pairor ma mère me layant abandonné le premier aoust mille sept cent cinquante trois et setient réservé la rcolte de la ditte année, je mettrais par le present livres tout l'argent qu'il me coûtera pour les réparation, comme aussi tout celuy qu'il me raportera le plus juste qu'il me sera possible aux augiers ce 18 septembre 1753". On relève au hasard les paiements des journées d'homme, à Bernadeau pour les barriques, pour le port du bateau de "11 thonneaux souchette", etc... Un feuillet joint daté de 1793 évoque aussi les lieux-dit de Querie [ Comb ] et La Bertine.
Referenz des Buchhändlers : 44540
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HELIER, Pierre ; SERAFFON, Catherine
[ Lot d'archives privées 1682-1850 communes de Sauveterre de Guyenne, Rauzan, Mauriac, Blasimon : 10 actes divers ] Acte daté du 9 décembre 1682 à Mauriac et du 7 février 1688 ; Acte daté du 4 janvier 1676 ; Acte notarié daté 18 mai 1746 : Famille de Pierre Helier et Catherine Seraffon, succession sur commune de Rauzan ; Acte notarié daté du 4 juillet 1731 : Familles Seraffon, Hélier, communes de Sauveterre de Guyenne, Mauriac ; 13 avril 1816 : Contrat de mariage entre Jean Capdemoulin Charpentier COmmune de Blasimon et Marie Taillefer ; Testament devant notaire du 11 août 1842 de Jean Capdemoulin, Chaprentier de haute futaie, demeurant au chef lieu de la commune de Blasimon, rue du Croustet ; 1 lettre, 1 note et 2 brouillon de lettres (fin XVIIIe et début XIX)
[ Lot d'archives privées 1682-1850 communes de Sauveterre de Guyenne, Rauzan, Mauriac, Blasimon : 10 actes divers ] Acte daté du 9 décembre 1682 à Mauriac et du 7 février 1688 ; Acte daté du 4 janvier 1676 ; Acte notarié daté 18 mai 1746 : Famille de Pierre Helier et Catherine Seraffon, succession sur commune de Rauzan ; Acte notarié daté du 4 juillet 1731 : Familles Seraffon, Hélier, communes de Sauveterre de Guyenne, Mauriac ; 13 avril 1816 : Contrat de mariage entre Jean Capdemoulin Charpentier COmmune de Blasimon et Marie Taillefer ; Testament devant notaire du 11 août 1842 de Jean Capdemoulin, Chaprentier de haute futaie, demeurant au chef lieu de la commune de Blasimon, rue du Croustet ; 1 lettre, 1 note et 2 brouillon de lettres (fin XVIIIe et début XIX)
Referenz des Buchhändlers : 44541
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Collectif
Album Amicorum [ à "Anaïs", avec 5 dessins et aquarelles ]
1 album in-8 format à l'italienne reliure de l'époque plein maroquin rouge, filet doré d'encadrement aux plats, "Anaîs" gravé au premier plat, circa 1826-1828 avec 7 pages annotées par divers annotateurs, et 5 dessins et aquarelles dont : Vues des ruines du château de Brandennburg ; Petit chemineau ; Hussard ; Le dessous du Palais de Capodi Monti à Naples
Referenz des Buchhändlers : 46204
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BARRES, Maurice ; REPPELIN, Léon
Lot de 2 Lettres autographes signées par le poète Léon Reppelin et par l'oncle du sous-lieutenant tombé au front en septembre 1916 adressées à Maurice Barrès, on joint 17 enveloppes affranchies adressées à Maurice Barrès, et un discours de Maurice Barrès évoquant l'Alsace-Lorraine, daté du 26 juillet 1915
Ensemble comprenant : 1 carte postale autographe signée de Léon Reppelin (auteur de Sous les Ailes de la Mort, poèmes du front), datée du 31 août 1916 / 1 LAS de l'oncle d'un sous-lieutenant : "Monsieur le député... le 22 septembre dernier, j'apprenais par un de ses camarades que mon neveu, Louis de Montera, docteur en droit, sous-lieutenant de réserve au 1er tirailleurs, avait été tué le 12 septembre à Boucharesnes d'une balle en pleine tête au moment où, avec sa section de mitrailleurs, il atteignait la tranchée allemande. La confirmation de sa mort ne nous a pas encore été annoncée et sa pauvre mère affolée me demande si elle est bien réelle. ... Si j'ai bonne mémoire, M. Millerand, alors ministre de la Guerre, avait, à la suite d'une interpellation, annoncé que des instructions étaent données pour que les familles soient avisées dans le plus bref délai des malheurs qui les frappent [ ... ] " On joint un extrait des lettres du sous lieutenant Louis de Montera / 14 enveloppes de provenance diverses (Pierre Benoît, Jean Tharaud...) / Un discours format in-8 de 8 feuillets, un indication manuscrite précise : Imprimerie Sirven, 26 juillet 1915 (avec petit manque sur la pliure centrale)
Referenz des Buchhändlers : 46952
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CLAVERIE Boulanger à Génissac
Grand Livre de Compte manuscrit de Claverie, Boulanger à Génissac [ 1854-1865 ]
1 vol. fort in-folio reliure de l'époque plein daim vert, écoinçons de métal, Imprimerie de F. Guillier, Libourne, 336 pp. (rédigé sur les 273 premières pages)
Referenz des Buchhändlers : 47151
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UNZUE, Joseph Andrea de
Questiones elaborate ab D. D. Blasio Matia San Juan in universitate Cesar Augustana Sacre scientia Laurea decorato pro obtinendis Cathedris Iterato Palestrita, et Philosophica Eimii Doctoris Cathedre Moderatore. Scripte fuerunt ab Iosepho Andrea de Unzue anno ab Nativitate Domini milessimo septingentessimo quadragesimo tertio
1 manuscrit reliure plein vélin d'époque, 1743, 192 feuillets. Rappel du titre complet : Questiones elaborate ab D. D. Blasio Matia San Juan in universitate Cesar Augustana Sacre scientia Laurea decorato pro obtinendis Cathedris Iterato Palestrita, et Philosophica Eimii Doctoris Cathedre Moderatore. Scripte fuerunt ab Iosepho Andrea de Unzue anno ab Nativitate Domini milessimo septingentessimo quadragesimo tertio
Referenz des Buchhändlers : 47316
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BELLAT, Paul
[ Deux tapuscrits de Paul Bellat : ] Noël [ On joint : ] Polyeucte Acte VI. Une fantaisie littéraire de Paul Bellat, Grand Prix Littéraire de l'Algérie
Ensemble de 1+2+9 feuillets : 1 f. de courrier tapuscrit signé par Paul Bellat, daté de décembre 1966, accompagné de 2 ff. tapuscrit (Poème sur Noël), avec 9 ff. tapuscrit : Polyeucte Acte VI. Une fantaisie littéraire de Paul Bellat, Grand Prix Littéraire de l'Algérie
Referenz des Buchhändlers : 49301
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Anonyme ; CAIRE, André Antoine Esprit Vincent
Histoire de la vie et des vertus de Mgr. Caire protonotaire apostolique décédé à Lyon le 5 juillet 1856 ( 1797 - 1856 ) [ Biographie manuscrite inédite d'un prêtre marseillais, aumônier d'Henri IV et de Louis le Grand, contemporain de Lamennais, Frayssinous, Quelen et Mgr. de Mazenod, ami de Mgr. de Salinis et co-directeur du collège de Juilly ]
Manuscrit de travail anonyme et original, abondamment corrigé et annoté, et reproduisant abondamment la correspondance de Mgr. Caire, en 1 vol. in-8 relié demi-basane marron, Congrégation de Notre Dame, Chanoinesses de St Augustin, s.d. (circa 1880), 401 pp. (rel. frottée avec le premier plats et les premiers ff. détachés). Un passionnant document retraçant un intéressant parcours ecclésiastique dans la première moitié du XIXe siècle (avec un saisissant récit de l'épidémie de choléra de 1832 à Paris)
Referenz des Buchhändlers : 26578
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DEJEAN, Albert ; Collectif
Recueil manuscrit de partitions musicales [ Plus de 130 morceaux chantés ] Chanson arabe (Godard) ; O Gué Landériloulette ; Coupe du Roi de Thulé (Diaz) ; Ici bas (T. Dejean) ; Envoi de Fleurs (Delmet) ; La Sauge (Le Jongleur) ; Les Armaillis (Koebi) ; L'Omnibus funéraire ; L'Amour (Holmès) ; Miseremini (Steenmann) ; O Salutaris (Albert Dejean) ; ça fait peur aux oiseaux [ etc. etc... ]
1 vol. in-12 format à l'italienne cartonnage percaline, s.d. [ circa 1900-1920 ] 417 pp. manuscrite et 3 ff. de tables. Rappel du titre complet : Recueil manuscrit de partitions musicales [ Plus de 130 morceaux chantés ] Chanson arabe (Godard) ; O Gué Landériloulette ; Coupe du Roi de Thulé (Diaz) ; Ici bas (T. Dejean) ; Envoi de Fleurs (Delmet) ; La Sauge (Le Jongleur) ; Les Armaillis (Koebi) ; L'Omnibus funéraire ; L'Amour (Holmès) ; Miseremini (Steenmann) ; O Salutaris (Albert Dejean) ; ça fait peur aux oiseaux [ etc. etc... ]
Referenz des Buchhändlers : 49802
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NICOLAI, Alexandre
Les Nouvelles Paroisses du XIXe et du XXe siècles [ à Bordeaux ] [ Manuscrit autographe daté du 1er janvier 1950 ]
1 manuscrit autographe de 8 pp. en 8 ff. (rédigés uniquement au recto) sur papier quadrillé format A4
Referenz des Buchhändlers : 50560
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Collectif
Liber amicorum and Collection of poems copied in Flemish, English, French and German. With poems copied on various authors (Petrus Augustus de Génestet, Victor Hugo, Jacob Cats, Béranger, Lamartine, Countess of Blessington, etc.) or written by : DP Kool Mirandolle (18 maart 1864) - zuster Regina - De Bissy de Mauregnault - Tante P. H. Mirandolle - Oncle R. Le Boulenger - Charlotte Le Boulenger - A.F. de Mauregnault, à Eilbracht - Jos. Eilbracht, 'SGravenhage - van der Noordaa - J. H. C. de Ridder Rappard - Dr. E. Laurillard - etc.
1 cahier format in-8 reliure demi-chagrin bordeaux, plats estampé à froid, toutes tranches dorées, circa 1864, 60 feuillets manuscrits. Rappel du titre complet : Liber amicorum and Collection of poems copied in Flemish, English, French and German. With poems copied on various authors (Petrus Augustus de Génestet, Victor Hugo, Jacob Cats, Béranger, Lamartine, Countess of Blessington, etc.) or written by : DP Kool Mirandolle (18 maart 1864) - zuster Regina - De Bissy de Mauregnault - Tante P. H. Mirandolle - Oncle R. Le Boulenger - Charlotte Le Boulenger - A.F. de Mauregnault, à Eilbracht - Jos. Eilbracht, 'SGravenhage - van der Noordaa - J. H. C. de Ridder Rappard - Dr. E. Laurillard - etc.
Referenz des Buchhändlers : 50564
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Anonyme
Manuscrit : Artillerie de la 36e Divison d'Infanterie [ Vers 1930-1940 ] 24e et 224e Régiment d'Artillerie Divisionnaire [ Contient : Principaux tirs d'Artillerie. Consommations nécessaires pour obtenir certains résultats - Bombardement successifs. Tirs du 75, du 105 C, du 155C, du 105 L - Destructions des tranchées, des chevaux de frise, de réseaux, des abris, de fortification permanente, des localités, des ballons d'observation, etc... - Code spécial pour la liaison Infanterie-Artillerie - Cadre Memento des principales décisions concernant l'Artillerie qui doivent être prises au cours des diverses situations tactiques. Etc... ]
1 carnet manuscrit format in-8, plus de 50 pages manuscrites dont plusieurs tableaux dépliants, plusieurs passages rehaussés en couleur, s.d. [ circa 1930 - 1940 ]Rappel du titre complet : Manuscrit : Artillerie de la 36e Divison d'Infanterie [ Vers 1930-1940 ] 24e et 224e Régiment d'Artillerie Divisionnaire [ Contient : Principaux tirs d'Artillerie. Consommations nécessaires pour obtenir certains résultats - Bombardement successifs. Tirs du 75, du 105 C, du 155C, du 105 L - Destructions des tranchées, des chevaux de frise, de réseaux, des abris, de fortification permanente, des localités, des ballons d'observation, etc... - Code spécial pour la liaison Infanterie-Artillerie - Cadre Memento des principales décisions concernant l'Artillerie qui doivent être prises au cours des diverses situations tactiques. Etc... ]
Referenz des Buchhändlers : 50690
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GOSSET, Edouard ; [ DE BUXEUIL, René ]
Lot de 28 feuillets manuscrits de partitions musicales : La Saison des Folies (Batterie, Batterie, Flûte, Clarinette, 1er Violon) - Définitions (Flûte, 2e Violon, Alto, Clarinette Si, 1er Violon, Conducteur Chef) - Mes Trois Amoureux (Clarinette, Flûte, 2e Violon, Alto, 1er Violon - C'est la Fille du Moulin (Flûte, Clarinette en La, Pistons, Trombone, Batterie, Violoncelle, Contrebasse, 1er Violon, 1er Violon - Ma Petite Line (Clarinette, Flûte, 1er Violon)
28 feuillets manuscrits, avec cachet d'Edouard Gosset, "Compositeur de Musique, Pianiste, Chef d'Orchestre 68 Boulevard de l'Hôpital, Paris", s.d. [ circa 1935 ]. Rappel du titre complet : Lot de 28 feuillets manuscrits de partitions musicales : La Saison des Folies (Batterie, Batterie, Flûte, Clarinette, 1er Violon) - Définitions (Flûte, 2e Violon, Alto, Clarinette Si, 1er Violon, Conducteur Chef) - Mes Trois Amoureux (Clarinette, Flûte, 2e Violon, Alto, 1er Violon - C'est la Fille du Moulin (Flûte, Clarinette en La, Pistons, Trombone, Batterie, Violoncelle, Contrebasse, 1er Violon, 1er Violon - Ma Petite Line (Clarinette, Flûte, 1er Violon)
Referenz des Buchhändlers : 51105
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ROUSSEAU, Raymond
Phrasie. Comédie Paysanne en un acte [ Manuscrit ]
1 cahier manuscrit, 22 pp. couvertes d'une écriture très lisible, s.d. (circa 1940)
Referenz des Buchhändlers : 51208
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BOURDEAU, A.
Manuscrit musical religieux, rédigé par un prisonnier français au Camp de Tauberbischofsheim (Baden), Allemagne Novembre 1916 - Octobre 1917
Matricule N° 8477, 1 carnet format in-8 reliure demi-toile à coins grise, 1916-1917, 185 pp. manuscrites
Referenz des Buchhändlers : 51212
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MEKUSA, Angela
Parc Montsouris avec lac. Pastel original signé
1 pastel sous passe-partout, format , signée A. Mekusa, daté 1967, avec son cachet A. Mekusa Artiste peintre Paris au verso (du pastel et du passe-partout), portant au verso, au stylo la mention : 1009 Parc Montsouris avec lac
Referenz des Buchhändlers : 51311
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MEKUSA, Angela
Vue au Parc Montsouris. Aquarelle originale signée
1 pastel sous passe-partout, format , signée A. Mekusa, s.d. [ circa 1967 ], avec son cachet A. Mekusa Artiste peintre Paris au verso (de l'aquarellel et du passe-partout), portant au verso, au stylo la mention : 1028 Vue au Parc Montsouris
Referenz des Buchhändlers : 51312
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MEKUSA, Angela
Nature morte au bouquet de fleurs. Pastel original signé
1 pastel sous passe-partout, format , signée A. Mekusa, s.d. [ circa 1967 ], avec son cachet A. Mekusa Artiste peintre Paris au verso du passe-partout)
Referenz des Buchhändlers : 51313
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CHABOT, Auguste
Manuscrit : Cours de Géographie (Année 1885)
1 manuscrit format grand in-4 br., 2 cahiers de 15 et 9 feuillets, 1885 (1ère leçon datée du 5 Septembre 1885)
Referenz des Buchhändlers : 51342
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MEKUSA, Angela
Automne à Galhuis 1950. Aquarelle originale signée
1 pastel sous passe-partout, format , signée A. Mekusa, 1950, avec son cachet A. Mekusa Artiste peintre Paris au verso de l'aquarelle, portant au verso, au stylo la mention : 1106 Automne à Galhuis
Referenz des Buchhändlers : 51345
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GUILLON, Georges
Gendarmerie Nationale. Cahier d'Instruction tenu par le Gendarme Guillon Georges, 1ère Section. Compagnie de Loir et Cher, Section de Vendôme. Brigade à pied de Saint Amand de Vendôme.
1 cahier manuscrit pré-imprimé, Charles-Lavauzelle & Cie, Paris, Limoges, 1935-1938, 99 pp.
Referenz des Buchhändlers : 51396
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DE SAINTIVES, Marie
Analyse Religieuse. Catéchisme de Persévérance. [ Manuscrit ]
Manuscrit en 1 vol. in-8 reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs, 1868-1869, circa 260 pp.
Referenz des Buchhändlers : 51498
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CHERET, Notaire
Contrat de Mariage passé le 10 août 1885 entre Jean Louis Marie Armand Bovet, Ingénieur civil des Mines, fis de François Bovet, Général de Brigade, Gouverneur de Belfort et de François Louise Anne Audebert et Mademoiselle Sophie Marie Charlotte de Courpon, demeurant chez M. et Mme de Creutzer
1 vol. in-4 reliure demi-chagrin bleu, dos à 5 nerf, environ 24 feuillets façon vélin, 1885 : Contrat de Mariage passé le 10 août 1885 entre Jean Louis Marie Armand Bovet, Ingénieur civil des Mines, fis de François Bovet, Général de Brigade, Gouverneur de Belfort et de François Louise Anne Audebert et Mademoiselle Sophie Marie Charlotte de Courpon, demeurant chez M. et Mme de Creutzer
Referenz des Buchhändlers : 53760
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RENARD, Maurice
[ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Libert grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillais de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".
4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".
Referenz des Buchhändlers : 53850
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DESTIEU, Jean ; [ VIGNES, Henri ]
[ Tapuscrit ] Gorille mon ami ou Les secrets d'un Roi africain (Roman pour jeunes lecteurs de 13 à 18 ans)
1 tapuscrit de 123 feuillets, sous chemise à ressort, s.d. (circa 1960-1970)n avec qq. corrections manuscrites
Referenz des Buchhändlers : 54091
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DESTIEU, Jean ; [ VIGNES, Henri ]
[ Tapuscrit ] La Grande Chevauchée de Gaston Phoebus, Comte de Foix, Vicomte de Béarn
1 tapuscrit de 153 feuillets thermocollés, s.n., mention "reçu le 10.4-74" sur couv.avec qq. corrections manuscrites
Referenz des Buchhändlers : 54092
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DESTIEU, Jean ; [ VIGNES, Henri ]
[ Tapuscrit ] Au Coeur du Gabon barbare [ Roman tiré des aventures de Paul Belloni du Chaillu ]
1 tapuscrit de 182 feuillets thermocollés, s.n. [circa 1970-1975 ] avec qq. corrections manuscrites
Referenz des Buchhändlers : 54093
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HOUSSAYE, Henry
France. Tragédie en Cinq Actes [ Tapuscrit inédit signé par l'auteur ]
1 tapuscrit d'époque, Henry Houssaye, 24 Place Malesherbes, Paris 17e, s.d. [ circa 1945 ], 30-53-42-32 pp.
Referenz des Buchhändlers : 54142
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VARRY, Claude
Tapuscrit corrigé de son spectacle sur La Fontaine au Théatr'O avec trois lettres signées relative au spectacle, datées d'octobre et novembre 1973 et janvier 1974, adressées au philosophe et critique Marc Soriano
3 lettres tapuscrites au format A4 signées par Claude Varry, à en-tête du "Théatr'O", datées du 19 cotobre 1973, 29 novembre 1973 et 24 janvier 1974, avec le tapuscrit joint du spectacle sur La Fontaine, 31 ff. au format A4 avec quelques corrections manuscrites
Referenz des Buchhändlers : 54249
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BEUCLER, André ; [ FARGUES, Léon-Paul ]
Dimanche avec Léon-Paul Fargue [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur - Avec une L.A.S. de Léon-Paul Fargues ]
Un des 50 exemplaires sur vélin supérieur marqués H.C., 1 vol. in-8 br. sous couv. rempliée, Les Editions du Point du Jour, Paris, 1947, 104 pp.
Referenz des Buchhändlers : 54654
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PETIT, Henri ; [ SAUTET, Camille ; PETIT, Madame Henry : SUFFRAN, Michel ]
Paysages [ Livre dédicacé par l'auteur ] [ Avec : ] Lettre autographe signée de Camille Sautet à Michel Suffran, évoquant Henri Petit [ Avec : ] Lettre autographe signée de Madame Henry Petit à Michel Suffran [Avec : ] Pays de Bourgogne. n° 107 trimestre 1979 : Hommage à Henri Petit
Texte recueilli par Camille Sautet, un des 450 exemplaires non numérotés (après 50 numérotés), 1 vol. in-4 reliure pleine toile éditeur sous jaquette transparente, sous étui cartonné, collection "L'univers sensible", SNPMD, Paris, 1977, 110 pp. avec Pays de Bourgogne, 1 vol. in-8 br., 1979, pp. 353-417
Referenz des Buchhändlers : 54662
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ROUGERIE, René
Poèmes [ Exemplaire manuscrit unique réalisé pour le Docteur Suffran - Fait à Talence au printemps 1969 ]
1 vol. in-8 br., Talence, 1969, 10 ff.
Referenz des Buchhändlers : 54681
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ROUGERIE, René
Le Calendrier Belluaire [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ]
Cette plaquette, texte manuscrit et dessins de l'auteur, a été établie à 25 exemplaires numérotés de I à XXV sur papier de Rives et comporte, en outre imprimés, la justification du tirage et le nom de chacun des bénéficiaires, exemplaire XVI imprimé spécialement pour Pierrette Sartin, 1 vol. in-8 br., Editions des Sept Points, Caudéran, 1950, 10 ff.
Referenz des Buchhändlers : 54682
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SOUBIRAN, Yvonne
Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents
3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents
Referenz des Buchhändlers : 54723
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Anonyme ; [ PISOT, Charles ]
Notes de cours manuscrites : Cours de Calcul des Probabilités [ 5 cahiers manuscrits circa 1947 ] On joint une L.A.S. de Charles Pisot datée du 14 novembre 1947
5 cahiers d'écolier format in-8 manuscrit, circa 1947
Referenz des Buchhändlers : 55291
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Anonyme ; [ LELONG-FERRAND Jacqueline ]
Notes de cours manuscrites : Cours de Mécanique rationnelle. Mécanique du point. Cinématique (2 cahiers manuscrits)
2 cahiers d'écolier format in-8 manuscrit, circa 1946-1947
Referenz des Buchhändlers : 55292
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DU VIVIER, Marquis Fernand ; LAWTON, William ; LAWTON, Edouard ; DE LUZE LAWTON, Simone
Notes manuscrites recueillies par le Marquis Fernand du Vivier, mari de Magdelaine Lawton, et grand oncle de William Lawton (1824-1902) sur les origines de sa famille, complétées à Bordeaux en 1906 par Edouard Lawton (1846-1933) et recopiée par Simone Lawton de Luze à La Cruz Floirac, en août 1906
1 cahier d'écolier format 17 x 22 cm. dont 20 feuillets manuscrits, 1906. Rappel du titre complet : Notes manuscrites recueillies par le Marquis Fernand du Vivier, mari de Magdelaine Lawton, et grand oncle de William Lawton (1824-1902) sur les origines de sa famille, complétées à Bordeaux en 1906 par Edouard Lawton (1846-1933) et recopiée par Simone Lawton de Luze à La Cruz Floirac, en août 1906
Referenz des Buchhändlers : 55357
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SUFFRAN, Michel
Village. Poème [ 2 Jeux d'épreuves corrigées et les 11 dessins préparatoires originaux ]
2 jeux d'épreuves corrigées, à savoir une quarantaine de feuillets datés du 4 octobre 1996 et une quarantaine de feuillets datés du 7 octobre 1996, avec les 11 dessins préparatoires au crayon et encre noire format 32,5 x 24 cm
Referenz des Buchhändlers : 55464
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PREVERT, Jacques
Un Poème de Jacques Prévert [ Cet Amour si violent, si fragile, si tendre, si désespéré ]
1 vol. in-8 cartonnage à l'italienne, avec 19 ff. calligraphiés, s.d.
Referenz des Buchhändlers : 55683
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JEANNE, Paul ; LEFEBVRE, Eugène
Die Poesjenellenkelder (Théâtre de Marionnettes d'Anvers) [ Avec 3 courriers manuscrits originaux ayant servis à la rédaction de l'ouvrage ]
Avec 2 croquis à la plume de l'auteur et une reproduction photographique, couverture d'Eugène Lefebvre, 1 vol. in-4 br., Editions de la Très Illustre Compagnie des Petits Comédiens de Bois, Paris, 1934, 32 pp.
Referenz des Buchhändlers : 55686
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MARCHAL REBOUL, Ninette
Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Referenz des Buchhändlers : 55717
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Anonyme
[ Manuscrit : Histoire militaire de la Guerre franco-allemande de 1870, avec cartes manuscrites en couleurs ]
1 cahier format in-8 cartonnage bradel demi-percaline à coins verte, circa 115 feuillets dont une centaine manuscrits, avec de nombreux cartes manuscrites en couleurs, s.d. (circa 1875-1890 ]
Referenz des Buchhändlers : 56035
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SAMAIN, Albert ; (BAZIRGUIAN, Paul Aram ; DORGELES, Roland ; ARNYVELDE, André)
Aux Flancs du Vase suivi de Polyphème et de Poèmes inachevés [ Avec 4 pages manuscrites par Paul Aram Bazirguïan, à propos de son ami Jean Lévêque, chroniqueur au Gil Blas ].
1 vol. in12 reliure demi-maroquin à coins vert, dos à 5 nerfs, tête dorée, couvertures et dos conservés, Société du Mercure de France, Paris, 1908
Referenz des Buchhändlers : 63842
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ELZEAR, Pierre; [ BONNIER ORTOLAN, Elzéar ]
[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.
[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page datée au crayon par une autre main de 1882: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.
Referenz des Buchhändlers : 63944
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