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BOURDEAU, A.
Manuscrit musical religieux, rédigé par un prisonnier français au Camp de Tauberbischofsheim (Baden), Allemagne Novembre 1916 - Octobre 1917
Matricule N° 8477, 1 carnet format in-8 reliure demi-toile à coins grise, 1916-1917, 185 pp. manuscrites
Referencia librero : 51212
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MEKUSA, Angela
Parc Montsouris avec lac. Pastel original signé
1 pastel sous passe-partout, format , signée A. Mekusa, daté 1967, avec son cachet A. Mekusa Artiste peintre Paris au verso (du pastel et du passe-partout), portant au verso, au stylo la mention : 1009 Parc Montsouris avec lac
Referencia librero : 51311
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MEKUSA, Angela
Vue au Parc Montsouris. Aquarelle originale signée
1 pastel sous passe-partout, format , signée A. Mekusa, s.d. [ circa 1967 ], avec son cachet A. Mekusa Artiste peintre Paris au verso (de l'aquarellel et du passe-partout), portant au verso, au stylo la mention : 1028 Vue au Parc Montsouris
Referencia librero : 51312
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MEKUSA, Angela
Nature morte au bouquet de fleurs. Pastel original signé
1 pastel sous passe-partout, format , signée A. Mekusa, s.d. [ circa 1967 ], avec son cachet A. Mekusa Artiste peintre Paris au verso du passe-partout)
Referencia librero : 51313
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CHABOT, Auguste
Manuscrit : Cours de Géographie (Année 1885)
1 manuscrit format grand in-4 br., 2 cahiers de 15 et 9 feuillets, 1885 (1ère leçon datée du 5 Septembre 1885)
Referencia librero : 51342
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MEKUSA, Angela
Automne à Galhuis 1950. Aquarelle originale signée
1 pastel sous passe-partout, format , signée A. Mekusa, 1950, avec son cachet A. Mekusa Artiste peintre Paris au verso de l'aquarelle, portant au verso, au stylo la mention : 1106 Automne à Galhuis
Referencia librero : 51345
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GUILLON, Georges
Gendarmerie Nationale. Cahier d'Instruction tenu par le Gendarme Guillon Georges, 1ère Section. Compagnie de Loir et Cher, Section de Vendôme. Brigade à pied de Saint Amand de Vendôme.
1 cahier manuscrit pré-imprimé, Charles-Lavauzelle & Cie, Paris, Limoges, 1935-1938, 99 pp.
Referencia librero : 51396
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DE SAINTIVES, Marie
Analyse Religieuse. Catéchisme de Persévérance. [ Manuscrit ]
Manuscrit en 1 vol. in-8 reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs, 1868-1869, circa 260 pp.
Referencia librero : 51498
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CHERET, Notaire
Contrat de Mariage passé le 10 août 1885 entre Jean Louis Marie Armand Bovet, Ingénieur civil des Mines, fis de François Bovet, Général de Brigade, Gouverneur de Belfort et de François Louise Anne Audebert et Mademoiselle Sophie Marie Charlotte de Courpon, demeurant chez M. et Mme de Creutzer
1 vol. in-4 reliure demi-chagrin bleu, dos à 5 nerf, environ 24 feuillets façon vélin, 1885 : Contrat de Mariage passé le 10 août 1885 entre Jean Louis Marie Armand Bovet, Ingénieur civil des Mines, fis de François Bovet, Général de Brigade, Gouverneur de Belfort et de François Louise Anne Audebert et Mademoiselle Sophie Marie Charlotte de Courpon, demeurant chez M. et Mme de Creutzer
Referencia librero : 53760
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RENARD, Maurice
[ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Libert grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillais de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".
4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".
Referencia librero : 53850
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DESTIEU, Jean ; [ VIGNES, Henri ]
[ Tapuscrit ] Gorille mon ami ou Les secrets d'un Roi africain (Roman pour jeunes lecteurs de 13 à 18 ans)
1 tapuscrit de 123 feuillets, sous chemise à ressort, s.d. (circa 1960-1970)n avec qq. corrections manuscrites
Referencia librero : 54091
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DESTIEU, Jean ; [ VIGNES, Henri ]
[ Tapuscrit ] La Grande Chevauchée de Gaston Phoebus, Comte de Foix, Vicomte de Béarn
1 tapuscrit de 153 feuillets thermocollés, s.n., mention "reçu le 10.4-74" sur couv.avec qq. corrections manuscrites
Referencia librero : 54092
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DESTIEU, Jean ; [ VIGNES, Henri ]
[ Tapuscrit ] Au Coeur du Gabon barbare [ Roman tiré des aventures de Paul Belloni du Chaillu ]
1 tapuscrit de 182 feuillets thermocollés, s.n. [circa 1970-1975 ] avec qq. corrections manuscrites
Referencia librero : 54093
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HOUSSAYE, Henry
France. Tragédie en Cinq Actes [ Tapuscrit inédit signé par l'auteur ]
1 tapuscrit d'époque, Henry Houssaye, 24 Place Malesherbes, Paris 17e, s.d. [ circa 1945 ], 30-53-42-32 pp.
Referencia librero : 54142
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VARRY, Claude
Tapuscrit corrigé de son spectacle sur La Fontaine au Théatr'O avec trois lettres signées relative au spectacle, datées d'octobre et novembre 1973 et janvier 1974, adressées au philosophe et critique Marc Soriano
3 lettres tapuscrites au format A4 signées par Claude Varry, à en-tête du "Théatr'O", datées du 19 cotobre 1973, 29 novembre 1973 et 24 janvier 1974, avec le tapuscrit joint du spectacle sur La Fontaine, 31 ff. au format A4 avec quelques corrections manuscrites
Referencia librero : 54249
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BEUCLER, André ; [ FARGUES, Léon-Paul ]
Dimanche avec Léon-Paul Fargue [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur - Avec une L.A.S. de Léon-Paul Fargues ]
Un des 50 exemplaires sur vélin supérieur marqués H.C., 1 vol. in-8 br. sous couv. rempliée, Les Editions du Point du Jour, Paris, 1947, 104 pp.
Referencia librero : 54654
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PETIT, Henri ; [ SAUTET, Camille ; PETIT, Madame Henry : SUFFRAN, Michel ]
Paysages [ Livre dédicacé par l'auteur ] [ Avec : ] Lettre autographe signée de Camille Sautet à Michel Suffran, évoquant Henri Petit [ Avec : ] Lettre autographe signée de Madame Henry Petit à Michel Suffran [Avec : ] Pays de Bourgogne. n° 107 trimestre 1979 : Hommage à Henri Petit
Texte recueilli par Camille Sautet, un des 450 exemplaires non numérotés (après 50 numérotés), 1 vol. in-4 reliure pleine toile éditeur sous jaquette transparente, sous étui cartonné, collection "L'univers sensible", SNPMD, Paris, 1977, 110 pp. avec Pays de Bourgogne, 1 vol. in-8 br., 1979, pp. 353-417
Referencia librero : 54662
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ROUGERIE, René
Poèmes [ Exemplaire manuscrit unique réalisé pour le Docteur Suffran - Fait à Talence au printemps 1969 ]
1 vol. in-8 br., Talence, 1969, 10 ff.
Referencia librero : 54681
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ROUGERIE, René
Le Calendrier Belluaire [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ]
Cette plaquette, texte manuscrit et dessins de l'auteur, a été établie à 25 exemplaires numérotés de I à XXV sur papier de Rives et comporte, en outre imprimés, la justification du tirage et le nom de chacun des bénéficiaires, exemplaire XVI imprimé spécialement pour Pierrette Sartin, 1 vol. in-8 br., Editions des Sept Points, Caudéran, 1950, 10 ff.
Referencia librero : 54682
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SOUBIRAN, Yvonne
Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents
3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents
Referencia librero : 54723
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Anonyme ; [ PISOT, Charles ]
Notes de cours manuscrites : Cours de Calcul des Probabilités [ 5 cahiers manuscrits circa 1947 ] On joint une L.A.S. de Charles Pisot datée du 14 novembre 1947
5 cahiers d'écolier format in-8 manuscrit, circa 1947
Referencia librero : 55291
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Anonyme ; [ LELONG-FERRAND Jacqueline ]
Notes de cours manuscrites : Cours de Mécanique rationnelle. Mécanique du point. Cinématique (2 cahiers manuscrits)
2 cahiers d'écolier format in-8 manuscrit, circa 1946-1947
Referencia librero : 55292
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DU VIVIER, Marquis Fernand ; LAWTON, William ; LAWTON, Edouard ; DE LUZE LAWTON, Simone
Notes manuscrites recueillies par le Marquis Fernand du Vivier, mari de Magdelaine Lawton, et grand oncle de William Lawton (1824-1902) sur les origines de sa famille, complétées à Bordeaux en 1906 par Edouard Lawton (1846-1933) et recopiée par Simone Lawton de Luze à La Cruz Floirac, en août 1906
1 cahier d'écolier format 17 x 22 cm. dont 20 feuillets manuscrits, 1906. Rappel du titre complet : Notes manuscrites recueillies par le Marquis Fernand du Vivier, mari de Magdelaine Lawton, et grand oncle de William Lawton (1824-1902) sur les origines de sa famille, complétées à Bordeaux en 1906 par Edouard Lawton (1846-1933) et recopiée par Simone Lawton de Luze à La Cruz Floirac, en août 1906
Referencia librero : 55357
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SUFFRAN, Michel
Village. Poème [ 2 Jeux d'épreuves corrigées et les 11 dessins préparatoires originaux ]
2 jeux d'épreuves corrigées, à savoir une quarantaine de feuillets datés du 4 octobre 1996 et une quarantaine de feuillets datés du 7 octobre 1996, avec les 11 dessins préparatoires au crayon et encre noire format 32,5 x 24 cm
Referencia librero : 55464
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PREVERT, Jacques
Un Poème de Jacques Prévert [ Cet Amour si violent, si fragile, si tendre, si désespéré ]
1 vol. in-8 cartonnage à l'italienne, avec 19 ff. calligraphiés, s.d.
Referencia librero : 55683
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JEANNE, Paul ; LEFEBVRE, Eugène
Die Poesjenellenkelder (Théâtre de Marionnettes d'Anvers) [ Avec 3 courriers manuscrits originaux ayant servis à la rédaction de l'ouvrage ]
Avec 2 croquis à la plume de l'auteur et une reproduction photographique, couverture d'Eugène Lefebvre, 1 vol. in-4 br., Editions de la Très Illustre Compagnie des Petits Comédiens de Bois, Paris, 1934, 32 pp.
Referencia librero : 55686
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MARCHAL REBOUL, Ninette
Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Referencia librero : 55717
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Anonyme
[ Manuscrit : Histoire militaire de la Guerre franco-allemande de 1870, avec cartes manuscrites en couleurs ]
1 cahier format in-8 cartonnage bradel demi-percaline à coins verte, circa 115 feuillets dont une centaine manuscrits, avec de nombreux cartes manuscrites en couleurs, s.d. (circa 1875-1890 ]
Referencia librero : 56035
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BOUSSAC, André Jacques
La Fontaine de Mur-Blanc. Comédie en 3 actes [ Manuscrit ]
Manuscrit de 37 feuillets A4 à petits carreaux sous chemise papier, texte rédigé uniquement au recto, s.d. [ circa 1950-1960 ? ]
Referencia librero : 58089
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LEMONNIER, Camille
Les Charniers (Sedan) [ On joint : ] L'Arche. Journal d'une Maman [ Edition originale ] [ On joint 2 Lettres autographes signées de l'auteur ] L.A.S. de 3 pp. datée du 18 novembre 1885 : "N'a pas lu cq - Huysmans plat, & d'autres. Bon Dieu ! Quel gâchis ! Depuis samedi, je n'ai plus lu d'épreuve de Happe-Chair. Pourquoi ? Sachez, Cher ami, que je ne veux me mettre à mon nouveau roman qu'après avoir terminé toute la révision de ce bouquin-là. Nous avons donc un intérêt commun à accélérer vous l'envoi & moi le renvoi des épreuves. Décidez l'imprimeur à me faire les expéditions de jour en jour.Un mot à propos des en-tête, des lettres ornées & des culs-de-lampe : ils sont d'une lourdeur et d'un faux goût parfaits. Jetez y un coup d'oeil : vous verrez qu'ils ne cadrent pas avec l'esprit de mon texte et qu'ils alourdissent l'expression. [... ]PS : [ ... ] n'oubliez pas les deux ex. sur Japon"L.A.S. de 4 pp. datée du 12 mars 1886"Ah ça, mon cher Brunhoff que devenez-vous ? Quelle est la raison de ce trop long silence [ ... ] ? La maison n'est-elle plus au coin du quai ? [ Vous êtes ] loin de la promesse que vous me fîtes ici de m'écrire tous les jours ! Parbleu ! [... ] de mon Happe-Chair dont vous avez totalement celui de ma parole et qui peut-être par votre faute, ô nautonnier-papillon ! court le risque d'aller [... ] dans les bas-fonds de [ ...cule ]publique ! Mme Lupar ne va plus ; je me décourage à l'idée que ce [ ... ] bouquin ne vivra que la répétition de l'échec subi par Happe-Chair, & je regrette Charpentier qui du moins l'aurait acheminé à ses 6000. Mais dites moi donc si vous n'avez pas tout à fait hérité du funeste mutisme de votre ex-associé, où nous en sommes de notre tirage - où nous en sommes de toutes les belles promesses [ ... ] et quand paraîtront les fameuses annonces - et quand le Gil Blas publiera la note relative [... ] - et ce qu'il faut [... ] Wolff, Ulbach, Geffroy, Lapierre, Rochefort, Colombine & les autres - et si décidément tout le service d'essais a été enfin fait, Huysmans, Mirbeau, Taine, Fabre, Barbey, etc etc. [... ] de foules d'autres [... ] dont je voudrais faire des épines pour en vous crever les yeux ! Celui-ci du moins, nous a fait un mot [... ] Ah : le Malheureux ! Jamais le couplet d'une telle phrase & d'une ordonnance d'art n'a frôlé son cervicules ! Il eût mieux fait de se taire : dites le lui & pour vous & pour moi. Je vous prie de présenter mes respectueuses salutations à Mme de Brunhoff [... ]
2 vol. in-12 br., Alphonse Lemerre, Paris, 1881, 242 pp. ; E. Dentu, s.d. [ 1894 ], 340 pp. et 2 LAS, l'un format 10,5 x 13,5 cm, 2 pp. et demie, l'autre format 11 x 17,7 cm, 4 pp.. Rappel du titre complet : Les Charniers (Sedan) [ On joint : ] L'Arche. Journal d'une Maman [ Edition originale ] [ On joint 2 Lettres autographes signées de l'auteur ] L.A.S. de 3 pp. datée du 18 novembre 1885 : "N'a pas lu cq - Huysmans plat, & d'autres. Bon Dieu ! Quel gâchis ! Depuis samedi, je n'ai plus lu d'épreuve de Happe-Chair. Pourquoi ? Sachez, Cher ami, que je ne veux me mettre à mon nouveau roman qu'après avoir terminé toute la révision de ce bouquin-là. Nous avons donc un intérêt commun à accélérer vous l'envoi & moi le renvoi des épreuves. Décidez l'imprimeur à me faire les expéditions de jour en jour.Un mot à propos des en-tête, des lettres ornées & des culs-de-lampe : ils sont d'une lourdeur et d'un faux goût parfaits. Jetez y un coup d'oeil : vous verrez qu'ils ne cadrent pas avec l'esprit de mon texte et qu'ils alourdissent l'expression. [... ]PS : [ ... ] n'oubliez pas les deux ex. sur Japon"L.A.S. de 4 pp. datée du 12 mars 1886"Ah ça, mon cher Brunhoff que devenez-vous ? Quelle est la raison de ce trop long silence [ ... ] ? La maison n'est-elle plus au coin du quai ? [ Vous êtes ] loin de la promesse que vous me fîtes ici de m'écrire tous les jours ! Parbleu ! [... ] de mon Happe-Chair dont vous avez totalement celui de ma parole et qui peut-être par votre faute, ô nautonnier-papillon ! court le risque d'aller [... ] dans les bas-fonds de [ ...cule ]publique ! Mme Lupar ne va plus ; je me décourage à l'idée que ce [ ... ] bouquin ne vivra que la répétition de l'échec subi par Happe-Chair, & je regrette Charpentier qui du moins l'aurait acheminé à ses 6000. Mais dites moi donc si vous n'avez pas tout à fait hérité du funeste mutisme de votre ex-associé, où nous en sommes de notre tirage - où nous en sommes de toutes les belles promesses [ ... ] et quand paraîtront les fameuses annonces - et quand le Gil Blas publiera la note relative [... ] - et ce qu'il faut [... ] Wolff, Ulbach, Geffroy, Lapierre, Rochefort, Colombine & les autres - et si décidément tout le service d'essais a été enfin fait, Huysmans, Mirbeau, Taine, Fabre, Barbey, etc etc. [... ] de foules d'autres [... ] dont je voudrais faire des épines pour en vous crever les yeux ! Celui-ci du moins, nous a fait un mot [... ] Ah : le Malheureux ! Jamais le couplet d'une telle phrase & d'une ordonnance d'art n'a frôlé son cervicules ! Il eût mieux fait de se taire : dites le lui & pour vous & pour moi. Je vous prie de présenter mes respectueuses salutations à Mme de Brunhoff [... ]
Referencia librero : 58147
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DUPUIS, Citoyen Français
Origine de Tous les Cultes (12 Tomes et Atlas - "Planches de l'Origine de Tous les Cultes" - Complet) [ Exemplaire annoté par Lenoir de La Roche ]
12 vol. in-8 reliure de l'époque peine basane marbrée, Chez Agasse, Paris, l'An III de la République, I : 2 ff., xxxii-371 pp. ; II : 2 ff., pp. 372-750 ; III : 2 ff., 459 pp. ; IV : 2 ff., pp. 460-898 ; V : 2 ff., 471 pp. ; VI : 2 ff., pp. 472-930 ; VII : 2 ff., 421 pp. ; VIII : 2 ff., pp. 422-860 ; IX : 2 ff., 620 pp. ; X : 2 ff., 380 pp. avec une planche dépliante ; Xi : 2 ff., 491 pp. ; XII : 2 ff., vi-338-286 pp. et 1 vol. in-4 reliure demi-basane marron, dos à 5 nerfs orné, Chez Agasse, Paris, l'An III de la République [ 1795 ], frontispice, 16 pp., 21 planches
Referencia librero : 58299
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[ GERUZEZ ANDLAUER, Jeanne ; PRUDHOMME, Sully ]
Manuscrit [ Recueil de poésies et pièces diverses, dont copies de poèmes de Sully Prudhomme au verso de 5 faire-parts de mariage de Jeanne Geruzez, fille de Victor Geruzez, ami de Sully Prudhomme plus connu sous sous pseudonyme d'illustrateur : Crafty ]
1 cahier manuscrit recouvert de velours et tissu brodé, environ 90 feuillets et 5 faire-parts joints, s.d. [ circa 1890-1900 ]. Rappel du titre complet : Manuscrit [ Recueil de poésies et pièces diverses, dont copies de poèmes de Sully Prudhomme au verso de 5 faire-parts de mariage de Jeanne Geruzez, fille de Victor Geruzez, ami de Sully Prudhomme plus connu sous sous pseudonyme d'illustrateur : Crafty ]
Referencia librero : 59299
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ANONYME ; [ GERUZEZ ANDLAUER, Jeanne ]
Manuscrit fin XIXe relatif à plusieurs communes (dont nombreuses communes de l'Essonne) : Livre de raison du P. Marchetti extrait de La maison d'un Bourgeois au XVIIIe siècle - Premiers Seigneurs de Pithiviers, par J. Devaux - Extrait d'une histoire inédite de Pithiviers au XVIIIe siècle par M. de la Brière - Mémoires sur l'élection de Pithiviers en 1698 ed. Herluison Orléans - Les châteaux de Ribeauvillé : Rappolstein- Girs erg. St Ulrich - Extrait des Archives de Ribeauvillé - N.D. de Dusenbach - Relation d'une Noce célébrée au château de Ribeauvillé XVIe siècle - Château d'Andlau - Rouffach - Schlestadt - Les trois Châteaux - Comte d'Andlau - Les Antiquités de la Ville, Comté et Chatelenie de Corbeil, de la recherche de Me Jean de la Barre cy-devant Prévost de Corbeil ed. 1647 - Pancarte du Chastelet représentant l'étendu et le ressort de la Chastellenie de Corbeil - Les Comtes de Corbeil : Hémon, Bouchard, Maugis, Guillaume, Regnault, Bouchart II, Oddes, Hugues du Puisset, etc... - Fontenay-le-Vicomte [ extrait de l'Histoire du Diocèse de Paris par l'abbé Lebeuf ] - Mennecy - Villabé - Ormoy - La Norville - Leudeville - Ver-le-Grand - Ver-le-Petit - La Saussaie - Escharcon - Avrinville - La Honville
1 cahier plein cuir souple bordeaux, s.d. [ circa 1890-1900 ], environ 96 feuillets. Manuscrit fin XIXe relatif à plusieurs communes (dont nombreuses communes de l'Essonne) : Livre de raison du P. Marchetti extrait de La maison d'un Bourgeois au XVIIIe siècle - Premiers Seigneurs de Pithiviers, par J. Devaux - Extrait d'une histoire inédite de Pithiviers au XVIIIe siècle par M. de la Brière - Mémoires sur l'élection de Pithiviers en 1698 ed. Herluison Orléans - Les châteaux de Ribeauvillé : Rappolstein- Girs erg. St Ulrich - Extrait des Archives de Ribeauvillé - N.D. de Dusenbach - Relation d'une Noce célébrée au château de Ribeauvillé XVIe siècle - Château d'Andlau - Rouffach - Schlestadt - Les trois Châteaux - Comte d'Andlau - Les Antiquités de la Ville, Comté et Chatelenie de Corbeil, de la recherche de Me Jean de la Barre cy-devant Prévost de Corbeil ed. 1647 - Pancarte du Chastelet représentant l'étendu et le ressort de la Chastellenie de Corbeil - Les Comtes de Corbeil : Hémon, Bouchard, Maugis, Guillaume, Regnault, Bouchart II, Oddes, Hugues du Puisset, etc... - Fontenay-le-Vicomte [ extrait de l'Histoire du Diocèse de Paris par l'abbé Lebeuf ] - Mennecy - Villabé - Ormoy - La Norville - Leudeville - Ver-le-Grand - Ver-le-Petit - La Saussaie - Escharcon - Avrinville - La Honville
Referencia librero : 59301
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Anonyme ; [ DE SOLAGES, Madame ]
[ Manuscrit : ] Recueil de Chansons, Romances, etc. - A Madame De Solages à Vannes
Manuscrit en 1 vol. in-8 reliure de l'époque pleine basane racinée, super libris "F. D. S.", s.d. [ circa 1805-1814 ], 67 ff. (dont 22 rédigés) au grand filigrane au portrait lauré de Napoléon (mention "Napoléon Empereur des Français Roi d'Italie") et à l'Aigle Impériale (format du papier : 23,5 x 17,5 cm)
Referencia librero : 59751
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Collectif
[ Manuscrit : Cours de Mathématiques et d'Arithmétiques. Cours de l'Ecole Normale Primaire de Dijon, 1855 ] Preuves de l'addition et de la soustraction des nombres décimaux - Multiplication des nombres décimaux - Fractions - Systèmes des Nouvelles Mesures, etc...
1 manuscrit format in-8 reliure demi-percaline brune de l'époque, daté du 1er août 1855, env. 300 ff. : [ Manuscrit : Cours de Mathématiques et d'Arithmétiques. Cours de l'Ecole Normale Primaire de Dijon, 1855 ] Preuves de l'addition et de la soustraction des nombres décimaux - Multiplication des nombres décimaux - Fractions - Systèmes des Nouvelles Mesures, etc...
Referencia librero : 60866
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CROUAN, Louise
Manuscrit "Extraits d'Histoire" : Notions préliminaires et Histoire Sainte (de "Première époque : de la Création 4963 au Déluge 3307" jusqu'au Livre des Macchabées) ; Histoire de la Gaule et Histoire de France, des origines à Louis XVI (1859-1860) ; Suite de l'Histoire d'Angleterre ; Histoire de la Russie ; Etats Scandinaves (Suède, Danemark et Norwège) ; Royaume de Pologne, Italie, Royaume de Savoie ; Littérature européenne ; Histoire d'Allemagne ; Histoire des Peuples Musulmans (Khalifat du Kaire, Turcs Ottomans, Mongols (sic), Khalifat de Syrie, Mamelucs...) ; Histoire de la Péninsule Hispanique ; Notice sur quelques Grands Hommes
Papier avec petit cachet du "Pensionnat des Bernardines", 1 vol. in-8 reliure demi-percaline mauve, 248 ff. dont 25 vierges) : Notions préliminaires et Histoire Sainte (de "Première époque : de la Création 4963 au Déluge 3307" jusqu'au Livre des Macchabées, 29 ff.) ; Histoire de la Gaule et Histoire de France, des origines à Louis XVI (1859-1860), 54 ff. ; Suite de l'Histoire d'Angleterre (2 ff., 8 ff. blanc, 16 ff.) ; Histoire de la Russie (4 ff.) ; Etats Scandinaves (Suède, Danemark et Norwège) 4 ff. ; Royaume de Pologne, Italie, Royaume de Savoie (8 ff.) ; Littérature européenne (13 ff. et 1 f. blanc) ; Histoire d'Allemagne (21 ff.) ; Histoire des Peuples Musulmans (Khalifat du Kaire, Turcs Ottomans, Mongols (sic), Khalifat de Syrie, Mamelucs... : 22 ff.) ; Histoire de la Péninsule Hispanique (15 ff.) ; Notice sur quelques Grands Hommes (daté de Lille, 2 février 1864), 51 ff. ; 16 ff. blancs
Referencia librero : 61650
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CROUAN, Louise
Manuscrit "Extraits de Géographie" : 1er Cours. Notions préliminaires - Asie Mineure (Carie, Lysie, Bithynie, etc...) - Syrie - Phénicie - Palestine - Arabie - Haute-Asie (Babylonie, Mésopotamie, Assyrie propre, Arménie, Perse, etc...) - Lybie - Egypte - Ethiopie - Péninsule hellénique, Grèce - Grèce Septentrionale - Péninsule Italique, Gaule Cisalpine Grande Grèce - Péninsule hispanique - Germanie - Iles Britannia. 1er Cours 2e div. : Notions préliminaires - Europe. Iles Britaniques - Ecosse - Irlande - Danemark - Islande - Suède et Norwège - Russie - Pologne - France - Belgique - Hollande - Prusse - Autriche - Royaume Lombard-Vénitien - Suisse - Allemagne - Péninsule Ibérique : Portugal - Espagne - Italie : Etats Sardes - Piémont - Duché de Parme - Duché de Modène - Grand-Duché de Toscane - Etats de l'Eglise - Royaume des Deux-Siciles - Turquie - Asie : Inde Transgangétique. Empire d'Annam - Royaume de Siam - Malacca - Indoustan - Région Persique - Turkestan - Afrique - Amérique : Amérique Russe - Groënland - Etats-Unis - Grande-Bretagne - Mexique - Colombie ; Géométrie [ appliquée à la Géographie ]
Papier avec petit cachet du "Pensionnat des Bernardines", 1 vol. in-8 reliure demi-percaline mauve, dos à 4 nerfs, reliure signée A. Arnold, relieur Librairie Catholique à Lille, environ 216 feuillets (dont une vingtaine vierges, les autres rédigés). Rappel du titre complet : Manuscrit "Extraits de Géographie" : 1er Cours. Notions préliminaires - Asie Mineure (Carie, Lysie, Bithynie, etc...) - Syrie - Phénicie - Palestine - Arabie - Haute-Asie (Babylonie, Mésopotamie, Assyrie propre, Arménie, Perse, etc...) - Lybie - Egypte - Ethiopie - Péninsule hellénique, Grèce - Grèce Septentrionale - Péninsule Italique, Gaule Cisalpine Grande Grèce - Péninsule hispanique - Germanie - Iles Britannia. 1er Cours 2e div. : Notions préliminaires - Europe. Iles Britaniques - Ecosse - Irlande - Danemark - Islande - Suède et Norwège - Russie - Pologne - France - Belgique - Hollande - Prusse - Autriche - Royaume Lombard-Vénitien - Suisse - Allemagne - Péninsule Ibérique : Portugal - Espagne - Italie : Etats Sardes - Piémont - Duché de Parme - Duché de Modène - Grand-Duché de Toscane - Etats de l'Eglise - Royaume des Deux-Siciles - Turquie - Asie : Inde Transgangétique. Empire d'Annam - Royaume de Siam - Malacca - Indoustan - Région Persique - Turkestan - Afrique - Amérique : Amérique Russe - Groënland - Etats-Unis - Grande-Bretagne - Mexique - Colombie ; Géométrie [ appliquée à la Géographie ]
Referencia librero : 61660
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SAMAIN, Albert ; (BAZIRGUIAN, Paul Aram ; DORGELES, Roland ; ARNYVELDE, André)
Aux Flancs du Vase suivi de Polyphème et de Poèmes inachevés [ Avec 4 pages manuscrites par Paul Aram Bazirguïan, à propos de son ami Jean Lévêque, chroniqueur au Gil Blas ].
1 vol. in12 reliure demi-maroquin à coins vert, dos à 5 nerfs, tête dorée, couvertures et dos conservés, Société du Mercure de France, Paris, 1908
Referencia librero : 63842
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ELZEAR, Pierre; [ BONNIER ORTOLAN, Elzéar ]
[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.
[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page datée au crayon par une autre main de 1882: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.
Referencia librero : 63944
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ESCHOLIER, Raymond
[ Lot de 4 lettres autographes signées ] 1 L.A.S. de 3 pages, datée du 11 mars 1924: Raymond Escholier y présente un bref curriculum vitae, avec le détail de ses œuvres, ses collaborations aux journaux et ses décorations ; 1 L.A.S. de 1 page grand sur papier à en-tête de la «Maison de Victor Hugo», datée du 29 octobre 1930: «Mon cher ami, Vous m’obligeriez infiniment en faisant bon accueil à mon jeune ami M. Campagne, artiste en bijoux. Vous pourriez orienter ce charmant garçon, ami de J. J. Brousson et de moi-même. Il a vraiment besoin d’un coup d’épaule […]; 1 L.A.S. de 1 page grand sur papier à en-tête de la «Maison de Victor Hugo», datée du 30 janvier 1931: «Cher Monsieur Sabatier, Je suis débordé – et il me faut pourtant faire mon service de presse pour «Cantegril» (le livret). Brun m’a dit que cinquante livrets étaient à ma disposition [… ]»; 1 billet autographe signé
[ Lot de 4 lettres autographes signées ] 1 L.A.S. de 3 pages, datée du 11 mars 1924: Raymond Escholier y présente un bref curriculum vitae, avec le détail de ses œuvres, ses collaborations aux journaux et ses décorations ; 1 L.A.S. de 1 page grand sur papier à en-tête de la «Maison de Victor Hugo», datée du 29 octobre 1930: «Mon cher ami, Vous m’obligeriez infiniment en faisant bon accueil à mon jeune ami M. Campagne, artiste en bijoux. Vous pourriez orienter ce charmant garçon, ami de J. J. Brousson et de moi-même. Il a vraiment besoin d’un coup d’épaule […]; 1 L.A.S. de 1 page grand sur papier à en-tête de la «Maison de Victor Hugo», datée du 30 janvier 1931: «Cher Monsieur Sabatier, Je suis débordé – et il me faut pourtant faire mon service de presse pour «Cantegril» (le livret). Brun m’a dit que cinquante livrets étaient à ma disposition [… ]»; 1 billet autographe signé
Referencia librero : 63946
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D’ESME, Jean; [ ESMENARD, Vicomte Jean Marie Henri ]
Lettre autographe signée datée du14 janvier 1932, adressée au «Gouverneur Généralde l'Exposition coloniale » à propos de la Légion d’Honneur. Victime d’une violente crise de paludisme, Jean d’Esme n’a pu présenter ses vœux au Gouverneur Général. «Dès que j’irai mieux, j’irai vous voir au Grand Palais. D’autant que, si vous le voulez-bien, je vous demanderai l’appui que vous m’avez si cordialement promis pour cette fameuse Légion d’Honneur pour laquelle j’ai déjà été quatre fois proposé – dont la première par vous. Je sais que Gaston Rageot vous a vu à ce sujet – et qu’il a vu également Paul Raynaud [ sic ]… Or, cette fois - tout dépend de vous – puisqu’il s’agirait de me faire passer dans la promotion de l’Exposition Coloniale – à laquelle j’ai – vous le savez, bien des titres (par les collections que j’ai exposées, les articles que j’ai écrits, et toute mon œuvre purement coloniale). Or, en la circonstance, nul n’est plus puissant que vous [… ]
Lettre autographe signée datée du14 janvier 1932, adressée à un «Gouverneur Général» à propos de la Légion d’Honneur. Victime d’une violente crise de paludisme, Jean d’Esme n’a pu présenter ses vœux au Gouverneur Général. «Dès que j’irai mieux, j’irai vous voir au Grand Palais. D’autant que, si vous le voulez-bien, je vous demanderai l’appui que vous m’avez si cordialement promis pour cette fameuse Légion d’Honneur pour laquelle j’ai déjà été quatre fois proposé – dont la première par vous. Je sais que Gaston Rageot vous a vu à ce sujet – et qu’il a vu également Paul Raynaud [ sic ]… Or, cette fois - tout dépend de vous – puisqu’il s’agirait de me faire passer dans la promotion de l’Exposition Coloniale – à laquelle j’ai – vous le savez, bien des titres (par les collections que j’ai exposées, les articles que j’ai écrits, et toute mon œuvre purement coloniale). Or, en la circonstance, nul n’est plus puissant que vous [… ]
Referencia librero : 63947
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ESMENARD, Joseph-Alphonse
Billet autographe signé daté du 2 nivôse an 13 [ 23 décembre 1804 ]: «J’ai reçu de Messieurs Giguet & Michaud la somme de Dix Huit Cent Livres, pour solde du premier payement stipulé dans notre Convention du 18 Vendémiaire an 13, à l’époque de la mise en vente du poëme de la Navigation»
1 billet autographe format in-12 oblong: Billet autographe signé daté du 2 nivôse an 13 [ 23 décembre 1804 ]: «J’ai reçu de Messieurs Giguet & Michaud la somme de Dix Huit Cent Livres, pour solde du premier payement stipulé dans notre Convention du 18 Vendémiaire an 13, à l’époque de la mise en vente du poëme de la Navigation»
Referencia librero : 63948
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ESPARBES, Georges d’
[ Lot de 2 belles pièces autographes signées ] 1 L.A.S. de 3 pp., datée du 12 mai 1908: «Mon cher ami, il pleut, mais ton article sur le Briseur de Fers vient de nous apporter le soleil. Oh! mon cher ami, comme tu es gentil! comme je devine, en relisant ton article, le charmant parti-pris de ne voir que le bon côté de mon livre! C’est une page de camarade, évidemment, et non de critique, quoiqu’elle soit superbe et d’une habileté délicieuse. Car c’est de «l’habileté du cœur». Eh bien, tu as raison, après tout! Tu ne signales au public que les bonnes choses, puisqu’elles lui sont utiles. Leur démontrer que je n’ai pas de talent eût été peut-être un jeu d’artiste mais une grosse erreur de moraliste et de philosophe. J’ai un petit nombre, lentement, très lentement grandissant d’amis et de lecteurs. Ce que je leur dis depuis 15 ans ne peut que leur faire du bien, les raffermir ou les consoler. Je ne cherche pas à donner le goût du «militaire» mais de «l’énergique». Si j’y parviens, qu’importent mes fautes! Du reste, je connais, aussi bien et même mieux que quiconque, mes défauts. Tu peux me le mettre sous les yeux et en ajouter de nouveaux, quand tu me rencontreras. Je suis à ce point dénué de «vanité littéraire» que je t’écouterai […] Mon livre est noble et pur d’intentions, je l’ai écrit laborieusement. Il vaut bien ce qu’il coûte. Le reste n’est que de la fumée de cigare. Maintenant, je veux aller te serrer la main à l’Echo [ … ] En attendant, mon vieux Rar, je t’embrasse»; [ On joint: ] 1 réponse autographe signée au questionnaire du «Salon des Littérateurs», billet de 2 feuillets pré-imprimé: Maître idéal: «Prothée». Esthétique: «Un beau livre sur mes genoux». Prix rêvé: «Les ors et les argents sont fous! ». Devise artistique: «Simplement». Description de l’œuvre en vers de huit: «Parce que le bec de mes plumes, Dans l’orme agité du journal, Tirelire mes amertumes, Et lance un pi-huit matinal, Est-il dit qu’une œuvre m’est née? Alors j’ai volé ma journée… Parce que d’un bout de pastel, En un coin de mauve banlieue, J’esquisse le flâneur untel, Ai-je fait plus d’un quart de lieue, Vers la connaissance du bien? Holà, Dentu, je n’en sais rien! Œuvre, mot risible, oiseau rare. – Vais là-bas fumer un cigare»
2 pièces autographes signées à savoir: 1 L.A.S. de 3 pp., datée du 12 mai 1908: «Mon cher ami, il pleut, mais ton article sur le Briseur de Fers vient de nous apporter le soleil. Oh! mon cher ami, comme tu es gentil! comme je devine, en relisant ton article, le charmant parti-pris de ne voir que le bon côté de mon livre! C’est une page de camarade, évidemment, et non de critique, quoiqu’elle soit superbe et d’une habileté délicieuse. Car c’est de «l’habileté du cœur». Eh bien, tu as raison, après tout! Tu ne signales au public que les bonnes choses, puisqu’elles lui sont utiles. Leur démontrer que je n’ai pas de talent eût été peut-être un jeu d’artiste mais une grosse erreur de moraliste et de philosophe. J’ai un petit nombre, lentement, très lentement grandissant d’amis et de lecteurs. Ce que je leur dis depuis 15 ans ne peut que leur faire du bien, les raffermir ou les consoler. Je ne cherche pas à donner le goût du «militaire» mais de «l’énergique». Si j’y parviens, qu’importent mes fautes! Du reste, je connais, aussi bien et même mieux que quiconque, mes défauts. Tu peux me le mettre sous les yeux et en ajouter de nouveaux, quand tu me rencontreras. Je suis à ce point dénué de «vanité littéraire» que je t’écouterai […] Mon livre est noble et pur d’intentions, je l’ai écrit laborieusement. Il vaut bien ce qu’il coûte. Le reste n’est que de la fumée de cigare. Maintenant, je veux aller te serrer la main à l’Echo [ … ] En attendant, mon vieux Rar, je t’embrasse»; [ On joint: ] 1 réponse autographe signée au questionnaire du «Salon des Littérateurs», billet de 2 feuillets pré-imprimé: Maître idéal: «Prothée». Esthétique: «Un beau livre sur mes genoux». Prix rêvé: «Les ors et les argents sont fous! ». Devise artistique: «Simplement». Description de l’œuvre en vers de huit: «Parce que le bec de mes plumes, Dans l’orme agité du journal, Tirelire mes amertumes, Et lance un pi-huit matinal, Est-il dit qu’une œuvre m’est née? Alors j’ai volé ma journée… Parce que d’un bout de pastel, En un coin de mauve banlieue, J’esquisse le flâneur untel, Ai-je fait plus d’un quart de lieue, Vers la connaissance du bien? Holà, Dentu, je n’en sais rien! Œuvre, mot risible, oiseau rare. – Vais là-bas fumer un cigare»
Referencia librero : 63949
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DUCHESNE, Mgr Louis
[ Lot de 2 lettres autographes signées, à en-tête de l’Ecole Française de Rome ] 1 L.A.S. datée du 21 avril 1903: Mon cher ami, C’est aujourd’hui la Natale di Roma. Cet anniversaire m’a rappelé celui que vous vouliez célébrer dans les Débats, avec ma collaboration. J’en suis navré, mais ayant été submergé tous ces jours-ci, je n’ai pas eu un moment, même pour vous dire non. Maintenant que cette moutarde arriverait longtemps après dîner, je vous offre mes remords, qui sont encore cuisants. Joignons-y, comme fiche de consolation, la pensée que le jubilé de l’Ecole était un faux jubilé, inventé par la bienveillante traîtrise du ministère pour frapper les esprits du bloc et leur amener un plus grand nombre de décorations. Les chronologistes les plus expérimentés s’accordent à dire que l’Ecole a été fondée en mars 1873. On leur ferait de la peine en ne comptant depuis lors que 25 ans. Mais préparez tout de même une jolie tartine; vous la placerez dans vingt ans. Les Débats sont éternels. Si nous n’y sommes plus, ils y seront encore. Ici je vous embrasse avec autant d’effusion qu’il en a débordé, ces jours-ci dans les banquets ministériels»; [ On joint: ] 1 L.A.S. datée du 10 janvier 1910: [ … ] Non, je n’ai pas l’intention de m’occuper de la littérature de Dufourcq, car j’en pense trop de mal et ce n’est pas le moment de le dire à ce brave garçon, que j’aime bien et qui traverse en ce moment un gros ennui professionnel. Quant à Mgr Mignot, oh! mon ami, ne me demandez pas de parler des lires d’évêques. Les évêque me font trop d’effet. De plus celui-là, que j’aime non moins tendrement que Dufourcq se trouve dans une situation très particulière. N’insistons pas. Maintenant, tous mes vœux. Quand je verrai surgir du buisson quelque gibier à ma convenance et à ma portée, je le fusillerai très volontiers à votre intention. Pernot me donnera des conseils. Que n’est-il ici! Que ne suis-je aussi dans le bureau de papa Hébrard pour arrêter au vol les maladroits articles de Tardieu. L’affaire allait bien. Ce animal va la faire manquer. Silence et patience. Mille bonne amitiés».
2 lettres autographes signées, à en-tête de l’Ecole Française de Rome , à savoir: 1 L.A.S. datée du 21 avril 1903: Mon cher ami, C’est aujourd’hui la Natale di Roma. Cet anniversaire m’a rappelé celui que vous vouliez célébrer dans les Débats, avec ma collaboration. J’en suis navré, mais ayant été submergé tous ces jours-ci, je n’ai pas eu un moment, même pour vous dire non. Maintenant que cette moutarde arriverait longtemps après dîner, je vous offre mes remords, qui sont encore cuisants. Joignons-y, comme fiche de consolation, la pensée que le jubilé de l’Ecole était un faux jubilé, inventé par la bienveillante traîtrise du ministère pour frapper les esprits du bloc et leur amener un plus grand nombre de décorations. Les chronologistes les plus expérimentés s’accordent à dire que l’Ecole a été fondée en mars 1873. On leur ferait de la peine en ne comptant depuis lors que 25 ans. Mais préparez tout de même une jolie tartine; vous la placerez dans vingt ans. Les Débats sont éternels. Si nous n’y sommes plus, ils y seront encore. Ici je vous embrasse avec autant d’effusion qu’il en a débordé, ces jours-ci dans les banquets ministériels»; [ On joint: ] 1 L.A.S. datée du 10 janvier 1910: [ … ] Non, je n’ai pas l’intention de m’occuper de la littérature de Dufourcq, car j’en pense trop de mal et ce n’est pas le moment de le dire à ce brave garçon, que j’aime bien et qui traverse en ce moment un gros ennui professionnel. Quant à Mgr Mignot, oh! mon ami, ne me demandez pas de parler des lires d’évêques. Les évêque me font trop d’effet. De plus celui-là, que j’aime non moins tendrement que Dufourcq se trouve dans une situation très particulière. N’insistons pas. Maintenant, tous mes vœux. Quand je verrai surgir du buisson quelque gibier à ma convenance et à ma portée, je le fusillerai très volontiers à votre intention. Pernot me donnera des conseils. Que n’est-il ici! Que ne suis-je aussi dans le bureau de papa Hébrard pour arrêter au vol les maladroits articles de Tardieu. L’affaire allait bien. Ce animal va la faire manquer. Silence et patience. Mille bonne amitiés».
Referencia librero : 63950
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EXPILLY, Charles; [ EXPILLY, Jean Charles Marie ]
Lettre autographe signée, datée de la Prison de la [ … ] le 29 juillet 1849: «Mon cher Dulord, Vous n’êtes pas sans avoir appris mon arrestation le 13 juin. J’aurais besoin de causer avec vous et de vous charger de quelques petites commissions. Vous faire parvenir le vœu du prisonnier, c’est être sûr que vous l’exaucerez. Passez donc rue de [… ] au Palais de Justice chez Mr Broussais, mon juge d’instruction et demandez-lui une permission qu’il ne vous refusera pas puisqu’il l’a accordée à d’autres de mes amis. Je désire savoir aussi si Emile Olivier est revenu de Versailles. Obligez moi de me répondre à ce sujet, si vous ne pouvez pas me voir avant quelques jours et croyez à mes sentiments fraternels».
1 L.A.S. d’une page sur 2 ff. avec adresse au recto («Monsieur Taxile Delord, homme de lettres, rue Pigale, n°20 ou 24, en ville»), monté avec adhésif en charnière sur papier fort rose enrichi d’annotations de Claude Seignolle à propos de Charles Expilly. Rappel du texte: «Mon cher Dulord, Vous n’êtes pas sans avoir appris mon arrestation le 13 juin. J’aurais besoin de causer avec vous et de vous charger de quelques petites commissions. Vous faire parvenir le vœu du prisonnier, c’est être sûr que vous l’exaucerez. Passez donc rue de [… ] au Palais de Justice chez Mr Broussais, mon juge d’instruction et demandez-lui une permission qu’il ne vous refusera pas puisqu’il l’a accordée à d’autres de mes amis. Je désire savoir aussi si Emile Olivier est revenu de Versailles. Obligez-moi de me répondre à ce sujet, si vous ne pouvez pas me voir avant quelques jours et croyez à mes sentiments fraternels».
Referencia librero : 63951
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RIDDLE, John Wallace
Signed autograph letter, in french: «Mercredi, Mon cher collègue, Si vous n’avez rien de mieux à faire ce soir, vous me feriez grand plaisir si vous vouliez bien passer chez moi à Krestosky ce soir vers 9 heures pour faire un bridge avec quelques charmantes dames et pour prendre un whisky et soda. Votre bien dévoué J. W. Riddle».
1 L.A.S. sur carte à en-tête aux armes des Etats-Unis format 13,5 x 10,5 cm. Rappel du texte complet: Signed autograph letter, in french: «Mercredi, Mon cher collègue, Si vous n’avez rien de mieux à faire ce soir, vous me feriez grand plaisir si vous vouliez bien passer chez moi à Krestovsky ce soir vers 9 heures pour faire un bridge avec quelques charmantes dames et pour prendre un whisky et soda. Votre bien dévoué J. W. Riddle».
Referencia librero : 63952
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RODE, Helge
Signed autograph letter, in danish: «Arede Herre! Jeg takker dem for den behagelige med delelse om«Stefan Borgs» overstatteln […]»
1 L.A.S., 1 page format 21 x 13,5 cm
Referencia librero : 63953
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EYMA, Xavier
[ Lot de 5 lettres autographes signées ] 1 L.A.S. d’une page datée du 24 rue de Milan: «Mon cher monsieur, Je vous laisse cy joint mon volume des «Peaux Rouges», en vous priant d’en vouloir bien dire quelques mots dans la Revue. Je vous suis à l’avance reconnaissant de ce que vous ferez à cet égard. Je ous remettrai incessamment un manuscrit d’article […]; [ On joint: ] 1 L.A.S. d’une page datée du 6 8bre 1868, 123 rue Montmartre à l’Epoque, au chiffre de Xavier Eyma: «Mon Cher Monsieur Faure, Vous avez depuis bien longtemps entre les mains un texte de moi intitulé «Les Equipées de M. de Sabran(roman) ». C’est le seul que je possède. Vous avez dû souvent le renvoyer puisque vous m’aviez dit ne vouloir pas vous en servir. Je vous serai très obligé de me le faire tenir à l’adresse ci-dessous»; [ On joint: ] 1 L.A.S. d’une page datée du 12 janvier 1841, à en-tête du Figaro, sur papier vert: «Mon cher Wittersheim, Villemessant vous prie de rétablir le service de l’Officiel à Jouvin, avenue de l’Impératrice n°61. Il fait rendre à l’Officiel le n° qui avait été supprimé [ …]» ; [ On joint: ] 1 L.A.S. d’une page datée de Paris, 8 May 1849: «Monsieur, j’ai eu l’honneur de vous parler il y a quelques jours de la pièce que je vous laisse sous ce pli. J’ai vainement tenté de vous rencontrer, je prends donc le parti de vous laisser la pièce en me recommandant auprès de vous de MM. Léon Gozlan, [ … ], Joly, et de mon titre de rédacteur du «Messager des Théâtres», non point, Monsieur, pour essayer de vous influencer mais seulement pour me servir d’introduction [ … ]». ; [ On joint: ] 1 L.A.S. d’une page à en-tête du «Nouvelliste de Paris»:«Mon Cher Ami, Voulez-vous bien accueillir le porteur de ce mot qui était un des bons employés du Figaro et un de mes bons employés [... ]».
5 L.A.S.: 1 L.A.S. d’une page datée du 24 rue de Milan: «Mon cher monsieur, Je vous laisse cy joint mon volume des «Peaux Rouges», en vous priant d’en vouloir bien dire quelques mots dans la Revue. Je vous suis à l’avance reconnaissant de ce que vous ferez à cet égard. Je ous remettrai incessamment un manuscrit d’article […]; [ On joint: ] 1 L.A.S. d’une page datée du 6 8bre 1868, 123 rue Montmartre à l’Epoque, au chiffre de Xavier Eyma: «Mon Cher Monsieur Faure, Vous avez depuis bien longtemps entre les mains un texte de moi intitulé «Les Equipées de M. de Sabran(roman) ». C’est le seul que je possède. Vous avez dû souvent le renvoyer puisque vous m’aviez dit ne vouloir pas vous en servir. Je vous serai très obligé de me le faire tenir à l’adresse ci-dessous»; [ On joint: ] 1 L.A.S. d’une page datée du 12 janvier 1841, à en-tête du Figaro, sur papier vert: «Mon cher Wittersheim, Villemessant vous prie de rétablir le service de l’Officiel à Jouvin, avenue de l’Impératrice n°61. Il fait rendre à l’Officiel le n° qui avait été supprimé [ …]» ; [ On joint: ] 1 L.A.S. d’une page datée de Paris, 8 May 1849: «Monsieur, j’ai eu l’honneur de vous parler il y a quelques jours de la pièce que je vous laisse sous ce pli. J’ai vainement tenté de vous rencontrer, je prends donc le parti de vous laisser la pièce en me recommandant auprès de vous de MM. Léon Gozlan, [ … ], Joly, et de mon titre de rédacteur du «Messager des Théâtres», non point, Monsieur, pour essayer de vous influencer mais seulement pour me servir d’introduction [ … ]». ; [ On joint: ] 1 L.A.S. d’une page à en-tête du «Nouvelliste de Paris»:«Mon Cher Ami, Voulez-vous bien accueillir le porteur de ce mot qui était un des bons employés du Figaro et un de mes bons employés [... ]».
Referencia librero : 63956
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VAUDOYER, Jean-Louis
[ Manuscrit autographe signé d'un article sur Théodore Aubanel ] Billet de Minuit : "Aubanel fêté en Avignon ou Le souvenir d'Aubanel" : "On vient de clore le cycle des fêtes données en Avignon ces dernières semaines pour commémorer le centenaire de Théodore Aubanel. Dans ce jardin du musée Calvet, où, voici peu de temps, Pol Neveux honorait le passage de Stendhal, un écrivain du nord de la Loire (le signataire de ces lignes), invité par l'Académie du Vaucluse, a apporté à la poésie méridionale l'hommage d'Oïl à Oc. Hommage d'autant plus convaincu et justifié que les chants intimes de Théodore Aubanel, par la qualité de coeur qui les dicte, par leur accent de vérité humaine et permanente, rayonnent bien au-delà de leur foyer. Les vingt-cinq petites pièces qui, dans la Grenade Entr'Ouverte, composent le "Livre de l'Amour" ont été souvent comparées, égalées à l'Intermezzo de Henri Heine. Intermezzo latin, où celui qui devait chanter plus tard en vers impérissables la vénus d'Arles élève, songeant à celle qu'il aima et qui s'est faite religieuse, sa plainte pure, brûlante et soumise. [...] [il évoque : ] "la pauvre fille de Charité, cette "Zani" au visage d'espagnole qui, pour la robe de bure des Soeurs de St Vincent de Paul, quitta la robe "couleur-de-Grenade" qu'elle portait le jour où Aubanel la vit pour la première fois. Les souvenirs terrestres de Zani et d'Aubanel, dans leur matérialité pour ainsi dire décantée, sont pieusement conservés dans la famille du poëte. Présentement, on peut les voir dans une salle du musée Calvet. Il y a là des portraits d'Aubanel, des siens, entre autres du "Corsaire grec" dont le poète descendait. Il y a là aussi un portrait de Zani, pas bien grand, tout modeste, sombre hostie offerte aux mystères cruels du sacrifice. Il y a là des manuscrits, des lettres ; ce touchant "cahier rouge" où Aubanel consigna mille détails tendres [... ] Enfin, dans sa blancheur immaculée, voici le grand exemplaire unique de La Grenade Entr'ouverte, que le poète fit imprimer spécialement "pour Zani" et que sa sainte inspiratrice, toute vouée à soigner les vieillards, à guider les enfants ne devait jamais, pour le presser sur un coeur inconsolé, toucher de ses maines mortelles".
Manuscrit autographe signé de 2 pages format 25 x21 cm, s.d. [1929 ] : Billet de Minuit : "Aubanel fêté en Avignon ou Le souvenir d'Aubanel" : "On vient de clore le cycle des fêtes données en Avignon ces dernières semaines pour commémorer le centenaire de Théodore Aubanel. Dans ce jardin du musée Calvet, où, voici peu de temps, Pol Neveux honorait le passage de Stendhal, un écrivain du nord de la Loire (le signataire de ces lignes), invité par l'Académie du Vaucluse, a apporté à la poésie méridionale l'hommage d'Oïl à Oc. Hommage d'autant plus convaincu et justifié que les chants intimes de Théodore Aubanel, par la qualité de coeur qui les dicte, par leur accent de vérité humaine et permanente, rayonnent bien au-delà de leur foyer. Les vingt-cinq petites pièces qui, dans la Grenade Entr'Ouverte, composent le "Livre de l'Amour" ont été souvent comparées, égalées à l'Intermezzo de Henri Heine. Intermezzo latin, où celui qui devait chanter plus tard en vers impérissables la vénus d'Arles élève, songeant à celle qu'il aima et qui s'est faite religieuse, sa plainte pure, brûlante et soumise. [...] [il évoque : ] "la pauvre fille de Charité, cette "Zani" au visage d'espagnole qui, pour la robe de bure des Soeurs de St Vincent de Paul, quitta la robe "couleur-de-Grenade" qu'elle portait le jour où Aubanel la vit pour la première fois. Les souvenirs terrestres de Zani et d'Aubanel, dans leur matérialité pour ainsi dire décantée, sont pieusement conservés dans la famille du poëte. Présentement, on peut les voir dans une salle du musée Calvet. Il y a là des portraits d'Aubanel, des siens, entre autres du "Corsaire grec" dont le poète descendait. Il y a là aussi un portrait de Zani, pas bien grand, tout modeste, sombre hostie offerte aux mystères cruels du sacrifice. Il y a là des manuscrits, des lettres ; ce touchant "cahier rouge" où Aubanel consigna mille détails tendres [... ] Enfin, dans sa blancheur immaculée, voici le grand exemplaire unique de La Grenade Entr'ouverte, que le poète fit imprimer spécialement "pour Zani" et que sa sainte inspiratrice, toute vouée à soigner les vieillards, à guider les enfants ne devait jamais, pour le presser sur un coeur inconsolé, toucher de ses maines mortelles".
Referencia librero : 63957
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PRIVAS, Xavier
[ 2 lettres autographes signées relatives au Félibrige ] 1 L.A.S. datée de 1910, 1 page : "Cher Ami, J'accepte de faire partie des Félibres en qualité de membre associé. Mille affectueux remerciements. A vous de tout coeur" ; [ On joint : ] 1 L.A.S. datée de 1910, 1 page : "Mes excuses et mes regrets. Je trouve aujourd'hui à mon retour à Paris, l'invitation au dîner du 9 mars (Félibres). A vous en tendre amitié".
2 L.A.S. : 1 L.A.S. datée de 1910, 1 page : "Cher Ami, J'accepte de faire partie des Félibres en qualité de membre associé. Mille affectueux remerciements. A vous de tout coeur" ; [ On joint : ] 1 L.A.S. datée de 1910, 1 page : "Mes excuses et mes regrets. Je trouve aujourd'hui à mon retour à Paris, l'invitation au dîner du 9 mars (Félibres). A vous en tendre amitié".
Referencia librero : 63958
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