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‎Lawrence DURRELL‎

‎"je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 10 novembre 1969 | 13.90 x 10.10 cm | une carte postale, enveloppe jointe‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'un dessin humoristique. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa vie dans sa maison de Sommières à son amante française : "Je me force de [sic] travailler un peu - c'est à dire je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours [...] Il pleut. Je coupe du bois aussi et bientôt il faut que je ramasse les mûres. Much love, Larry D". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70623

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Toi, tu peux m'écrire en Français. J'ai du mal à l'écrire mais je le comprends très bien". Lettre autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Paris 18 juillet 1969 | 21.60 x 28 cm | 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun datant du début de leur relation. Une page au stylo bille bleu. Enveloppe jointe. L'écrivain adresse ici une des premières lettres de sa correspondance avec sa jeune amie montpelliéraine, qui s'étendit sur plus de deux décennies. Encore peu habitué à la langue française, il demanda de l'aide pour traduire sa lettre : "J'espère bien mieux te connaître [...] Gérard a traduit ceci de l'anglais pour moi. Comprendrais-tu si la prochaine fois j'écrivais en anglais [...] ?" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70624

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières circa 1970 | 9.50 x 6.50 cm | une carte de visite sous enveloppe‎

‎Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70626

‎Lawrence DURRELL‎

‎"le MONTAGUE HOTEL à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable" Lettre autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 22 août 1969 | 12.60 x 20.30 cm | 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées sur deux feuillets. Pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain arrange pour son amante un séjour à Londres et a demandé à son éditeur Alan G. Thomas de l'accueillir : "Thomas a déjà réservé une chambre au MONTAGUE HOTEL [...] à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable.Maisvérifiez vos dates et télégraphiez lui en avance pour qu'il refasse l'opération". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70627

‎Lawrence DURRELL‎

‎"m[ake] great haste" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 2 février 1970 | 8.70 x 12.70 cm | une carte postale, enveloppe jointe‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'une vue en noir et blanc de l'intérieur du temple de Diane à Nîmes. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa fille : "Saph part pour Israel troisième semaine de février" et attend avec impatience la venue de son amante : "m[ake] great haste" (viens vite). Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70629

‎Maurice BÉJART‎

‎"Je reçois les Saisons à l'instant et c'est une joie de vous sentir présent à travers les lignes" Carte postale autographe signée adressée à André-Philippe Hersin‎

‎Capri 20 juillet 1972 | 10.40 x 15 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Maurice Béjart depuis Capri adressée à André-Philippe Hersin, qui était alors à Avignon pour le festival de théâtre et de danse. Au verso se trouve un dessin représentant les armoiries de Sir Galahad. Le chorégraphe adresse une chaleureuse missive au rédacteur desSaisons de la danse, dont il vient de lire le dernier numéro. Hersin fut en effet un grand défenseur du style chorégraphique de Béjart et lui consacra d'élogieux articles dans sa revue ainsi que des fascicules monographiques sur son oeuvre. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70632

‎Maurice BÉJART‎

‎"Ispahan où nous étions ensemble est toujours aussi émouvant." Carte postale autographe signée adressée à André-Philippe Hersin‎

‎Ispahan 22 novembre 1974 | 14.90 x 10.20 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Maurice Béjart adressée à André-Philippe Hersin, au verso d'une reproduction photographique représentant lesminarets tremblants d'Ispahan. Le chorégraphe adresse cette carte postale depuis l'Iran, où il créa en 1971 sous le patronage de l'impératriceFarah Pahlavi son balletGolestan(La roseraie), eten 1974 au festival de Shiraz son balletMallarmé III,sur une musique de Pierre Boulez. Ce serait également à cette période que Béjart se serait converti à l'Islam après la rencontre de Dariouche Safvate, éminent musicien soufi kurde. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70633

‎Lawrence DURRELL‎

‎"je suis vraiment navré pour le voyage" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 16 septembre 1971 | 17.90 x 12.80 cm | un feuillet‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu. L'écrivain présente ses excuses à sa jeune amante française, à qui il avait promis un voyage : "Je suis vraiment navré pour le voyage. mais un peu plus tard. L.D." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70820

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières circa 1970 | 9.50 x 6.50 cm | une carte de visite‎

‎Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. L'écrivain donne l'adresse de son éditeur londonien à sa jeune amante française afin qu'il l'acceuille à son arrivée : "ALAN THOMAS [...] si le taxiteur n'est pas sûr dites lui que Hobury St se trove [sic] directement en face du pub WORLD'S END dans le KING'S ROAD." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70821

‎Lawrence DURRELL‎

‎"maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main" Lettre autographe signée adressée à Jani Brun à propos du roman Tunc‎

‎Sommières 18 juillet 1968 | 21.20 x 13.40 cm | 1 feuillet sous enveloppe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre brun, datant du début de leur relation. Pliure centrale inhérente à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain, en pleine écriture de son roman Tunc, donne des nouvelles à sa nouvelle amante française dans un français encore hésitant : "Enfin pour le moment pas des [sic] aventures à vous raconter. trop de travail. trop de correspondance. Mon fils (de Claude [-Marie Vincendon, épousée en1961]) est ici est [sic] aide Barbie avec les papiers. Il la trouve jolie mais moi je suis plein des [sic] sentiments peu charitables. En tous cas maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main. Je ne serais maisentièrementmécontent de te revoir un de ces jours. si l'idée vous vient". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70824

‎Zoé RAILLARD DE MARSAC‎

‎Lettres‎

‎1860 | 12.50 x 18.50 cm | relié‎

‎Recueil constitué de la copie de plusieurs lettres et d'articles au sujet de la parution d'une plaquette de poèmes en faveur des pauvres. Ces lettres cherchent à recueillir des souscriptions, des commandes ou une approbation, avec la protection du curé de Saint-Sulpice qui a adhéré au projet ; elles s'adressent tant à des proches que d'illustres personnages, l'Empereur par exemple, à des institutions religieuses ou d'éducation, avec pour objet la charité. Reliure en demi basane rouge d'époque. Dos lisse orné de fers romantiques en miroir. Titre doré : Souvenir d'une amie. Chiffre E. R. sur le plat supérieur. Absence des pages de garde marbrées sur le premier et dernier feuillet de garde. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 70985

‎George SAND‎

‎"Je suis toujours enfermée pour écrire, ou sortir pour me promener." Lettre autographe signée adressée à Léon Curmer‎

‎Paris jeudi 7 mai [1840] | 13.60 x 20.90 cm | une page sur un double feuillet‎

‎Lettre autographe signée de George Sand adressée à l'éditeur Léon Curmer. Une page rédigée à l'encre noire sur un double feuillet. Cette lettre a été publiée dans la correspondance complète réunie par Georges Lubin. "Monsieur, J'ai parcouru votre recueil avec beaucoup d'intérêt, et j'accepte la collaboration que vous m'avez offerte, mais je ne pourrais m'occuper de vous satisfaire que dans six semaines ou deux mois. Si cette époque vous convient veuillez bien me le faire savoir ainsi que les conditions de la rédaction. " Le "recueil" dont il est ici question n'est autre queLes Français peints par eux-mêmes. Sand ne collaborera cependant pas à cette monumentale somme de types lui préférant, quelques années plus tardLe Diable à Paris publié sous la direction de son proche ami l'éditeur Hetzel. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 77244

‎Gregory MASUROVSKY‎

‎Carte de voeux autographe signée adressée à Georges et Alice Raillard‎

‎Paris 6 Janvier 2008 | 15 x 10.50 cm | une carte de voeux sous enveloppe‎

‎Carte de voeux autographe signée de Gregory Masurovsky adressée au critique d'art Georges Raillard et sa femme Alice, enveloppe jointe. Le devant de la carte est illustré d'une reproduction d'une oeuvre picturale de Gregory Masurovsky intitulée "L'apparition de la vierge et l'enfant". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 71508

‎Gregory MASUROVSKY‎

‎Carte de voeux autographe signée adressée à Georges et Alice Raillard pour Noël de l'année 1995 et de bonne année pour 1996‎

‎Paris 26 Décembre 1995 | 15 x 21.50 cm | une carte de voeux sous enveloppe‎

‎Carte de voeux autographe signée de Gregory Masurovsky, pour Noël 1995 et la bonne année 1996, adressée au critique d'art Georges Raillard et sa femme Alice, enveloppe jointe. Le devant de la carte est illustré d'une reproduction d'une oeuvre picturale de Gregory Masurovsky intitulée "L'homme à la Pomme-Adam". La carte de voeux est imprimée sur papier d'Arches. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 71509

‎Gérard de NERVAL‎

‎Billet autographe signé de Gérard de Nerval adressé à Georges Bell‎

‎s. l. s. d. [1853] | 13.50 x 8.80 cm | une feuille‎

‎Billet autographe signé de Gérard de Nerval adressé à son ami Georges Bell, quatre lignes rédigées au crayon de papier et signées de son prénom "Gérard". Trace de tampon au verso. Deux petits trous d'épingle sans atteinte au texte, deux traces transversales de pliure inhérentes à la mise sous pli du billet. Ce petit mot a été rédigé lors de l'avant-dernier séjour de l'écrivain chez le Docteur Blanche en 1853. Ce billet a été retranscrit dans le tome 3 desOeuvres complètesde Nerval à la Pléiade. Gérard de Nerval fit la connaissance de Joachim Hounau,connu sous lenom de plumeGeorges Bell, chez Joseph Méry, à Marseille en 1843, au retour de son voyage d'Orient. Bell fut un très proche ami de Gérard de Nerval qui, agonisant, l'appelera à son chevet. Les autographes de Gérard de Nerval sont très rares. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 72618

‎Louis ARAGON - (à Hubert JUIN)‎

‎"Je me considère pour ce qui est de ce que j'écris, comme dépourvu de droit d'orienter ce qui s'écrit de moi" Lettre autographe signée de Louis Aragon à un critique sur son oeuvre‎

‎s. l. s. d. (circa 1967) | 21 x 26.90 cm | une feuille‎

‎Lettre autographe signée de Louis Aragon, 11 lignes et 2 lignes de post-scriptum à l'encre bleue, adressée à un critique vers 1967. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre. Emouvante lettre du poète qui, au détour d'une question d'un biographe, offre à cet impertinent interlocuteur une réponse désabusée sur le droit du poète à contrôler les exégèses : "Que vous dire ? Je ne puis vous conseiller dans le détail, ni m'amuser à rectifier ceci ou cela. Je me considère pour ce qui est de ce que j'écris, comme dépourvu de droit d'orienter ce qui s'écrit de moi, ce qui n'est que de peu précéder l'époque où on ne me demandera même plus on avis." Le poète, cependant s'insurge contre cette institutionalisation qui semble précipiter l'achèvement de sa carrière en soulignant l'importance de son oeuvre poétique des dernières années : "puisque vous voulez compléter votre livre, n'oubliez pas que dans le temps qui s'est passé depuis que l'avez écrit, il n'y a pas eu que Le Fou[d'Elsa],La M.à.m.[La mise à mort]et Blanche [ou l'oubli]. Mais aussi Le voyage de Hollande (augmentée de quelques poèmes dans la seconde édition) et l'Elégie à Pablo Neruda." Le destinataire de la lettre pourrait être Hubert Juin qui a publié en 1960 un essai sur Aragon chez Gallimard, mais le ton employé semble un peu expéditif envers un critique aussi important. Une autre oeuvre consacrée à Aragon fut publiée durant la même période : Georges Sadoul,Aragon, collectionPoètes d'aujourd'hui, numéro 159, Seghers, en 1967, mais aucun titre mentionné ne manque et il n'avait écrit aucun livre sur Aragon auparavant. A moins qu'il ne s'agisse de Roland Desné, auteur de l'article mentionné par Aragon en post-scriptum ("La Semaine sainted'Aragon",Le Français dans le monde, no21, décembre 1963, pp. 41-48.). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 72798

‎Gérard de NERVAL‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Auguste Cavé‎

‎Paris 18 novembre [1841] | 13.90 x 20.80 cm | une page sur un feuillet remplié‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Auguste Cavé, rédigée d'une écriture soignée à l'encre noire sur la première page d'un double feuillet. Infimes traces de pliures inhérentes à la mise sous pli et quelques claires piqûres. Cette lettre a a été retranscrite dans lesOeuvres complètesde Nerval à la Pléiade. Après deux violentes crises de nerfs, Gérard de Nerval fut contraint de séjourner à la clinique du Docteur Blanche entre mars et novembre 1841. Désargenté, il adresse cette lettre à son ami Auguste Cavé, alors directeur de la section des Beaux-Arts au ministère de l'Intérieur, pour solliciter son appui auprès de «M. le Ministre»: «Quoi qu'entièrement rendu à la santé, je sens que je ne puis encore travailler qu'avec ménagement, et s'il était possible que l'on m'aidât d'une légère somme mensuelle [...] je serais plus sûr de pouvoir reprendre peu à peu ma position littéraire, sans risquer de nouveaux accidens». - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 72914

‎Gérard de NERVAL‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Hippolyte Delaunay‎

‎Paris s. d. [avril 1841] | 13.50 x 21 cm | une page sur un feuillet‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Hippolyte Delaunay rédigée à l'encre noire.Nom du destinataire de la main de Nerval au dos du feuillet. Une pliure centrale inhérente à la mise sous pli. Cette lettre a a été retranscrite dans lesOeuvres complètesde Nerval à la Pléiade. Gérard de Nerval est enfin «libre et sorti de la maison Blanche» après y avoir séjourné des suites de sa crise du début printemps 1841. Il ne s'agit toutefois pas d'une sortie définitive mais probablement d'une permission accordée par le docteur Blanche à son patient, ce dernier ne sortira définitivement qu'en novembre 1841. L'écriture, difficilement lisible par endroits, montre la fébrilité de Gérard de Nerval, qui cherche à renouer avec le milieu littéraire: «J'apporte des masses de copie, pour vous et trois ou quatre autres journaux.» Hippolyte Delaunay fut rédacteur en chef de la revue L'Artiste dans laquelle Nerval publia le 11 avril de la même année un article intitulé «Mémoires d'un Parisien, Sainte-Pélagie 1832». - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 72928

‎Marcel JOUHANDEAU‎

‎Billet autographe signé de Marcel Jouhandeau adressé à son cher ami‎

‎Samedi 6 novembre 1941 | 10 x 15.80 cm | une feuille‎

‎Billet autographe signé de Marcel Jouhandeau, adressé à son cher ami. 9 lignes à l'encre bleue sur un feuillet , traces de pliure inhérentes à la mise sous pli de la lettre. "Malgré le très grand plaisir que je me faisais de vous recevoir demain. Je ne suis pas libre. Excusez-moi. Dès que possible. Je vous ferai signe." Bel état. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73217

‎Pierre LOTI‎

‎"Malade depuis hier matin, je ne puis aller jusqu'à vous." Billet autographe de Pierre Loti signé de son vrai nom Julien Viaud‎

‎Hendaye s. d. | 11.30 x 9 cm | une feuille‎

‎Billet autographe de Pierre Loti, signé Julien Viaud. 8 lignes à l'encre noire sur un billet cartonné. "Malade depuis hier matin, je ne puis aller jusqu'à vous. J'aurais grand plaisir à vous voir ce soir, entre 5 et 6h, si vous n'avez rien de mieux à faire, - où bien demain soir à la même heure si vous ne pouvez pas aujourd'hui". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73229

‎Gérard de NERVAL‎

‎Reçu autographe signé de Gérard de Nerval‎

‎s. l. [1837 ou 1849] | 13.40 x 9.40 cm | un petit billet‎

‎Reçu autographe signé "Gérard" : "J'ai reçu de M. Rouy la somme de 10F à compte. Gérard. Ce 27". Daniel Rouy était gérant et caissier du journalLa Presse. Deux traces de pliure transversales. Cette reconnaissance de dette, simplement datée "ce 7" pourrait avoir été rédigée en août 1849, si l'on se réfère à unelettre à Ernesta Grisi, compagne de son ami Théophile Gautier, dans laquelle, le poète évoque une telle créance : "Je n'ai pu toucher l'argent qu'aujourd'hui mercredi. M. Rouy n'y était pas. J'y suis allé 4 fois aujourd'hui..."(Pléiade, tome 1, lettre 143 du 30 août 1849). CependantMichel Brix, auteur de Nerval, Glanes et miettes de presse et membre de l'Académie Royale de Langue et de Littérature Françaises de Belgique, nous a très obligement fait remarquer que Nerval signait "Gérard" plutôt entre1837 et 1840 et qu'en 1849, il signait ce genre de billets "Gérard de Nerval". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73271

‎Gérard de NERVAL‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à son père le Dr Labrunie‎

‎Paris s. d. [circa mars 1841] | 10 x 13.10 cm | un feuillet et son enveloppe dépliée‎

‎Très rare lettre autographe signée "Gérard Labrunie" adressée à "[son] cher papa" le Dr Labrunie. 13 lignes rédigées d'une petite écriture à l'encre noire sur une page. Enveloppe dépliée jointe présentant plusieurs tampons postaux, restaurée au dos à l'aide d'une pièce adhésive. Quelques pliures transversales ainsi que quelques très discrets trous, sans atteinte au texte et inhérents à l'utilisation d'une épingle pour sceller la missive. Belle lettre de Gérard Labrunie à son «cher papa» à propos d'une «affaire très embrouillée» ayant trait à la «qualité de subrogé tuteur» du père de l'écrivain. Très rare signature de Gérard de Nerval sous son véritable patronyme : Gérard Labrunie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73272

‎Gérard de NERVAL‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Georges Bell‎

‎Paris s. d. [novembre 1853?] | 10 x 13.60 cm | un feuillet et son enveloppe dépliée‎

‎Lettre autographe signée "votre G." adressée à Georges Bell, rédigée à l'encre bleue au recto d'un petit feuillet. Enveloppe autographe dépliée jointe contenant une phrase que Nerval n'avait pas mise dans sa lettre. Cette lettre a été retranscrite dans la Pléiade, tome 1, lettre 264. Après plusieurs rendez-vous manqués et alors qu'il se trouve à la clinique du Docteur Blanche, Nerval demande à George Bell de ne "[se] préoccupe[r] pas trop de l'affaire de Passy". Malgré son enfermement, Nerval continue à mener ses affaires :"Je conçois un projet ou système d'emprunt qui a quelques chances de réussite - mais il faut que j'engage très sérieusement ma signature."Il termine sa lettre sur une énigmatique formule :"Vous savez que je vous ai fait un conte ce matin. Je sortais des bras de...cherchez." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73273

‎Gérard de NERVAL‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Daniel Rouy‎

‎s. l. [1837 ou 1849] | 9.90 x 14.30 cm | une page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée "votre bien dévoué Gérard" adressée à Daniel Rouy. Enveloppe jointe. Cette lettre, simplement datée "Le 12" pourrait avoir été rédigée en août 1849, si l'on se réfère à unelettre à Ernesta Grisi, compagne de son ami Théophile Gautier, dans laquelle, le poète évoque un tel escompte : "Je n'ai pu toucher l'argent qu'aujourd'hui mercredi. M. Rouy n'y était pas. J'y suis allé 4 fois et j'ai porté les 10F. aujourd'hui, je ne sais pas s'il faut faire le prochain feuilleton ni comment il faut signer."(Pléiade, tome 1, lettre 143 du 30 août 1849). CependantMichel Brix, auteur de Nerval, Glanes et miettes de presse et membre de l'Académie Royale de Langue et de Littérature Françaises de Belgique, nous a très obligement fait remarquer que Nerval signait "Gérard" plutôt entre1837 et 1840 et qu'en 1849, il signait ce genre de billets "Gérard de Nerval". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73289

‎Gérard de NERVAL‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Joseph Méry‎

‎Paris 23 septembre 1853 | 9.70 x 14.50 cm | une page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée "votre ami Gérard" adressée à Joseph Méry. Enveloppe présentant un petit manque angulaire, inhérent au cachetage, jointe. Pliures transversales. Cette lettre a été transcrite dans la correspondance éditée à la Pléiade (tome 3, p. 811). "Envoyez vite à Théo ce qui est imprimé de la pièce. Il fera de grandes citations surtoutle Serpent."La "pièce" en question estGusman le Bravecréée à l'Odéon le 23 septembre 1853. Le 4 octobre, Théophile Gautier entretiendra de cette pièce les lecteurs deLa Presse."Le Serpent"est une allusion au récit de José à l'acte II, scène 1. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73292

‎Gérard de NERVAL‎

‎Billet autographe signé de Gérard de Nerval adressé à Georges Bell‎

‎s. d. [1853-1854] | 8.50 x 13.90 cm | un billet sur un petit bout de papier‎

‎Billet autographes de Geérard de Nerval, signé "votre Gérard", adressé à Georges Bell : "Au fait je ne suis pas sûr de venir de bonne heure demain parce que je sors aujourd'hui. Tâchez donc d'être vers 3 heures au Mousq[uetaire]. Mais ne vous gênez pas en cas de difficulté." Quelques pliures transversales et infimes trous d'épingle. Ce billet a été retranscrit dans la correspondance publiée à la Pléiade (tome 3, p. 839), il a été écrit durant l'avant-dernier ou le dernier séjour de Nerval à la clinique du Docteur Blanche. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73306

‎Gérard de NERVAL‎

‎Billet autographe signé de Gérard de Nerval adressé à probablement adressé à Achille Denis‎

‎Paris s. d. [circa janvier 1850] | 9.80 x 13.30 cm | une page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Billet autographe signé"Gérard de Nerval" adressé à probablement adressé à Achille Denis, rédacteur en chef du Messager des Théâtres. Enveloppe jointe. Pliures inhérentes à la mise sous pli. Une bande de papier encollée en marge gauche du feuillet et de l'enveloppe. Cette lettre a été retranscrite dans la correspondance publiée à la Pléiade (tome 3, p. 923). Dans ce court billet, Nerval sollicite "trois places pour Les Porcherons",opéra-comique de Thomas Sauvage sur une musique d'Albert Grisar. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73342

‎Gérard de NERVAL‎

‎Billet autographe signé de Gérard de Nerval adressé à Eugène de Stadler‎

‎Paris s. d. [après le 8 août 1854] | 9.70 x 13.20 cm | une page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Billet autographe signé "Gérard" adressé à son proche ami Eugène de Stadler. Enveloppe jointe. Pliures inhérentes à la mise sous pli. Un petit trou dans l'enveloppe, conséquence du cachetage de celle-ci. Ce billet a été transcrit dans la correspondance publiée à la Pléiade (tome 3, p. 889). Etonnant et succinct billet rédigé juste après son arrivée chez le Docteur Blanche invitant son ami à dîner "à la meson (sic) Blanche". Sur l'enveloppe, d'une écriture plus désordonnée encore que celle du billet, on lit quelques mots à la mine de plomb : "J'ai donné à Antony et à Blanche [..] Mirecourt". Gérard de Nerval avait en effet découvert, quelques mois plus tôt, une plaquette d'Eugène de Mirecourt lui étant consacrée :"...j'ai trouvé la biographie sur l'étalage d'un libraire. Mirecourt m'a bien chargé. Il m'a peint en beau...et en buste. Je relèverai les erreurs quelque autre jour, mais il a trop parlé de ma misère." (Lettre à Georges Bell du 1er juin 1854). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73343

‎Gérard de NERVAL - Armand BARTHET‎

‎Lettre autographe signée de Gérard de Nerval adressée à Armand Barthet, suivie d'un commentaire autographe et biographique de ce dernier‎

‎Paris s. d. [fin 1852] | 10.20 x 13.20 cm | quatre pages sur un feuillet remplié‎

‎Lettre autographe signée "ton ami G." adressée au poète et dramaturge Armand Barthet.Nerval félicite"[son] cher ami"pour son drameLe Chemin de Corinthe:"Non seulement je l'ai lu mais je l'ai recommandé chaudement à Delord et à Huard. C'est très beau (ceci est vague) mais c'est même nouveau". Pliures inhérente à la mise sous pli. Une bande de papier à la jonction des deux pages et une restauration en marge intérieure gauche. Cette lettre a été retranscrite dans la correspondance publiée à la Pléiade (tome 3, p. 796). Le destinataire a rédigé, directement à la suite de cette lettre une émouvante notice biographique concernant Gérard de Nerval : "Nul ne savait où il demeurait - il rodait toute la nuit, les poches de sa longue redingote, gonflé (sic) de bouquins". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73345

‎Lawrence DURRELL‎

‎"J'espère que la pièce mérite notre déplacement" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 6-10-1971 | 10.50 x 15 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une reproduction d'un dessin d'Eben "Etes-vous con...ducteur?". L'écrivain donne rendez-vous à sa jeune amante montpelliéraine : "... j'arrive vers midi à l'Hôtel Royale [...] si tu es occupée viens me chercher au Coupole le soir. Tout est arrangé avec Liege pour nous recevoir ! J'espère que la pièce mérite notre déplacement. Love. Larry". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73350

‎Lawrence DURRELL‎

‎"L'oreiller militaire français" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 14-09-1971 | 10.50 x 14.50 cm | une carte postale et enveloppe‎

‎Carte postale autographe signée "L.D." de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "Pour nos Hôpitaux, Ambulances, Trains sanitaires, demandez l'Oreiller Militaire Français qui procure le plus doux des soulagements. [...]", publicité extraite d'un journal scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain organise un voyage avec sa jeune amante montpelliéraine : "Buttons. je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73353

‎Lawrence DURRELL‎

‎"D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 20-04-1971 | 10.50 x 14.50 cm | une carte postale et enveloppe‎

‎Carte postale autographe de Lawrence Durrell signée "Dracula"adressée à Jani Brun, rédigée à l'encre bleue, reproduction d'un dessin de Marcel Vaysse "Ils sortent...tous les soirs", enveloppe jointe. L'écrivain nargue avec humour sa jeune amante montpelliéraine : "Darling Janie - maintenant qu'il fait beau la saison est ouverte et malgré mon age je reçois pas mal des invitations; souvent les filles de dix ans m'envoient des propositions inscrites par télégramme. J'estime que le rôle de papa gâteux me va bien ("le gâtisme c'est le relachment des sphinctères" (Dictionnairemedicale - Pujot)". Je vais en Grèce avec, une, 2, 3, 4 fille(s) plus fidé(?) que vous pour faire des reportages appellation contrôlée. D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires - n'est pas que c'est splendide ? Dracula" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73354

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Buttons. Je ne vous crois pas !" Carte postale autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 12-02-1971 | 10.50 x 14.50 cm | une carte postale et enveloppe‎

‎Carte postale autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre rouge, au verso d'une reproduction d'affichette Mystification imaginée par Jacques Yonnet "... Maintenez la tête hors de l'eau - L'immersion prolongée du nez et de la bouche peut provoquer une asphyxie mortelle", coupure de presse scotchée "en direct avec une glande virile...", enveloppe jointe. L'écrivain renseigne sa jeune amante montpelliéraine sur ses prochains déplacements : "Buttons. Je ne vous crois pas ! je suis ici pour 15 jours encore - puis Genève pour une semaine". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73355

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎London 29-11-1980 | 10.20 x 15.30 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée aux feutres rouge et noir, au verso d'une reproduction d'une liste rose parisienne. L'écrivain, nostagique, donne des nouvelles depuis Londres alors qu'il s'apprêteà signer son dernier livre chez le libraire londonien Bernard Stone. Sa librairie était connue et désignée par le poète Michael Horowitz comme "the merriest backwater of that time": "Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles : ils me prient de te rappeler le changement d'adresse. Il est à Covent Garden maintenant. C'est là que je signe ce soir. Nostalgie, grisailles, souvenirs". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73357

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon" Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Egypte [1971] | 10.50 x 15 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée "Larry" de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo de bas-relief égyptien. L'écrivain à sa jeune amante montpelliéraine : "Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon en train de recevoir le Prix Bonbel pour son roman sur la vie privée d'un crocodile nilotique : "Le croc". Puis il faut rentrer pour quelques semaines à Londres. j'espère que tout va bien, dear Buttons.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73360

‎Lawrence DURRELL‎

‎"L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui." Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun‎

‎Malibu s. d. | 10.50 x 15 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo d'une plage de Malibu. "Buttons hola ! L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui. Pourtant on est très bien traités et je joue un peu le rôle de Scott Fitzgerald à Malibu.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73367

‎Donatien Alphonse François de SADE‎

‎Lettre autographe inédite signée du Marquis de Sade, alors en liberté, au commencement de la Terreur‎

‎1er avril 1793 | 15.60 x 20 cm | une page sur un feuillet‎

‎Lettre autographe inédite datée et signée, rédigée à l'encre noire et adressée à un notaire. Au verso, probablement de la main d'un secrétaire, la mention«Sade du 1er avril 1793»; sous cette mention, une courte phrase de la main du Marquis :«pour que j'écrire à Gaufridy de lui envoyer de l'argent». Quelques pliures transversales inhérentes à la mise sous pli. Longue lettre adressée à un notaire alors que le Marquis,rendu à la liberté le2 avril 1790par l'abolition deslettres de cachet, est libre et tente de mettre de l'ordre dans ses affaires. Après la Révolution ses fils ont émigré et il ne les a pas suivis. Son nom figure pourtant sur la liste des personnes ayant quitté la France en raison des troubles révolutionnaires : «J'espère qu'avec tout cela je parviendrai à faire effacer mon nom de dessus cette fatale liste d'émigrés.»Soucieux de ne pas être considéré comme un ci-devant Marquis en cette période précédant la Terreur, il insiste sur la persécution dont il serait victime malgré sa bonne volonté: «C'est une atrocité sans exemple que de m'avoir joué un pareil tour à moi qui n'ai pas quitté Paris depuis la révolution, et qui depuis cette époque n'ai pas cessé de donner les preuves les moins équivoques de mon patriotisme». Sade dénonce également dans cette missive la complexité des rouages de l'administration française après la Révolution :«Je viens d'envoyer à M. Lions le certificat de résidence qui convient et j'y ai joint une pétition au district qu'il me dit être (...) essentielle. »Impécunieux, il prie son avocat«d'exciter le zèle de ceux qui [lui] doivent et de les engager à compter le plus d'argent qu'il percevront tout de suite à M. Gauffridi (sic)» et n'hésite pas à se montrer complaisant pour arriver à ses fins:«ne me ménagez pas alors je vous en conjure (...) conservez moi toujours votre soin et votre amitié (...) Je vous embrasse et salue de tout mon cur.» Les efforts de Sade seront vains, en décembre 1793 il est incarcéré aux Madelonettes, avant d'être admis, grâce à sa bonne amie Mme Quenet, à la maison Coignard de Picpus, un établissement de santé abritant les riches suspects. Intéressante lettre inédite montrant l'infortuné Marquis aux abois, lors de l'un de ses rares moments de liberté. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73394

‎Amable TASTU‎

‎Lettre autographe signée d'Amable Tastu à sa belle-mère Élise Voïart‎

‎s. d. [circa 1840] | 9.80 x 13.80 cm | une page sur un feuillet‎

‎Lettre autographe signée d'Amable Tastu, adressée à sa belle-mère Élise Voïart et rédigée à l'encre noire. Une petite déchirure en marge gauche, sans atteinte au texte. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73433

‎RAVACHOL‎

‎Testament politique autographe signé de Ravachol en grande partie inédit‎

‎1892 | 20 x 29.50 cm | 4 pages sur un double feuillet‎

‎Exceptionnel manuscrit autographe complet signé du véritable testament de Ravachol - en grande partie inédit - inconnu sous cette forme, précédant sa réécriture par un tiers pour la publication dans la presse. Unique témoignage de la véritable pensée de l'icône de l'anarchie. Manuscrit de quatre pages in-4 lignées, entièrement rédigé à l'encre noire et doublement signé «Konigstein Ravachol» en pied de chaque feuillet. Corrections au crayon de papier dans le texte, peut-être de la main de son avocat. Quelques pliures transversales et très infimes déchirures marginales sans manque. Écrit en cellule durant le second procès de Montbrison qui mènera à sa condamnation à mort, ce texte, rédigé d'une écriture hâtive, sans ponctuation ni majuscules et à l'orthographe naïve, devait être prononcé par Ravachol lors de l'audience. «Ravachol avait une sacrée envie de coller son grain de sel dans la défense, non pour se défendre, mais pour s'expliquer. Y a pas eu mèche, nom de dieu ! à la quatrième parole, le chef du comptoir lui a coupé le sifflet. Sa déclaration n'est pas perdue, nom d'une pipe ! ». (Émile Pouget, in Père Peinard 3-10 juillet 1892). Le Rocambole de l'anarchisme ne sera en effet pas autorisé à déclamer son texte, mais il le remettra à son avocat Maître Lagasse et, dès le 23 juin, la déclaration interdite se retrouvera reproduite dans le journalLe Temps. Cette première parution dans un journal conservateur se veut fidèle au texte original jusqu'à reproduire l'orthographe fantaisiste de son auteur. Ce souci d'exactitude sera d'ailleurs dénoncé par Émile Pouget dans le Père Peinard du 3 juillet 1892, une semaine avant l'exécution de Ravachol: «Le Temps, le grand drap de lit opportunard l'a collée nature. En vrai jésuitard, il l'a même collée trop nature. Ravachol avait écrit le flanche pour lui; il savait comment le lire, - mais y avait pas un mot d'orthographe, vu qu'il se connait à ça, autant qu'à ramer des choux. Le Temps a publié le flambeau sans rien changer, de sorte que c'est quasiment illisible [...]. C'est ce que les jean-foutre voulaient, nom de Dieu! [...] Je colle ci-dessous, sans y changer un mot, m'étant contenté d'y mettre de l'orthographe.» Suit, dans ce même numéro du 3 juillet 1892, la reproduction exacte, mais sans les fautes, du discours initialement publié dans Le Temps. Cette double publication associée à la noble attitude de Ravachol devant la guillotine aura un impact considérable sur l'opinion publique. En effet, même les organes anarchistes avaient jusqu'à lors conservé une certaine distance avec ce criminel provocateur accusé d'utiliser la cause anarchiste à des fins crapuleuses. Mais après l'exécution, ce testament sera rapidement repris par de nombreux autres journaux et l'ultime cri de révolte de Ravachol deviendra bientôt un véritable hymne de l'anarchie pour les libertaires de toutes nations. Pourtant, la version reproduite par ces journaux, seule connue à ce jour mais dont la source manuscrite a disparu, diffère sensiblement du manuscrit en notre possession. En effet, le style a été légèrement amélioré, quelques tournures ont été arrangées, et surtout, de larges passages ont été supprimés, dont le paragraphe de conclusion qui a été entièrement remplacé. Notre manuscrit, comportant des ratures et des reprises semble ainsi être, à tout le moins, la version primitive de ce testament politique. Écrit d'une traite, d'une graphie compacte, sans ponctuation, ni paragraphe, ce manuscrit comporte deux longs passages révélant des préoccupations de santé publique totalement absentes de la version publiée. La première concerne un long passage, d'un tiers de feuillet, sur les «ingrédients dangereux» adjoints à la fabrication du pain: «n'ayant plus besoin d'argent pour vivre, plus de crainte que le boulanger introduise dans le pain des ingrédients dangereux pour la santé et dans l'intention de lui donner une belle apparence ou le rendre plus lourd puisque cela ne lui rapporterait rien e‎

Referencia librero : 73438

‎Sacha GUITRY‎

‎"avec ce naturel incomparable que l'on a pris souvent pour du talent et qui n'est que du génie comique" Billet autographe signé de Sacha Guitry à l'acteur Louis Bouchené dit Baron fils‎

‎s. l. s. d. | 20.70 x 10.60 cm | une feuille‎

‎Billet autographe signé de Sacha Guitry à l'acteur Louis Bouchené ditBaron fils. 7 lignes à l'encre bleue sur papier filigrané"Basseau Strong". "O Grand Baron. Je vous dédie, en témoignage de reconnaissance, cette bouffonnerie dont vous avez incarné le rôle principal avec ce naturel incomparable que l'on a pris souvent pour du talent et qui n'est que du génie comique". L'acteur Baron fils a incarné de nombreux rôles dans les pièces de Sacha Guitry, notamment La Prise de Berg-op-Zoom,La Pèlerine écossaise,L'Illusionniste,Deburau,Le Mari, la Femme et l'Amant, Nono etFaisons un rêve. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73656

‎Octave MIRBEAU‎

‎"...vous savez bien qu'il n'y a pas dans mon cur, la moindre indifférence. Thadée a du vous dire combien nous avions partagé votre douleur." Lettre autographe signée d'Octave Mirbeau adressée à Alfred Natanson‎

‎Vichy 10 août 1906 | 11.60 x 18 cm | une feuille‎

‎Emouvante lettre autographe signée d'Octave Mirbeau, adressée au dramaturge et fondateur de la Revue Blanche, Alfred Natanson alors qu'il venait de perdre son père.18 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, enveloppe jointe. "Mon cher Fred, Je ne vous ai pas écrit ; mais vous savez bien qu'il n'y a pas dans mon cur, la moindre indifférence. Thadée a dû vous dire combien nous avions partagé votre douleur. Thadéea dû vous dire souvent quelle amitié profonde, j'ai pour vous. Peut-être ne vous l'ai-je pas exprimée, telle que je la sens, mais je la sens fortement, et je voudrais bien que vous la sentiez aussi un peu. C'est un gros chagrin que de ne plus être aimé de ceux qu'on aime véritablement. Vous allez partir ; et vous faîtes bien de quitter cette maison où durant plus de six mois, vous avez assisté à l'horrible agonie de votre pauvre père. Tâchez de travailler pour notre joie à tous... et revenez avec une belle uvre[...]". Mirbeau a été particulièrement proche du groupe de la Revue Blanche, depuis le lancement de celle-ci à Paris en 1891. Mais c'est depuis l'affaire Dreyfus que s'est renforcée son amitié intime et durable avec les frères Natanson, Thadée, Alexandre et Alfred. Après des divergences de vue esthétiques sur l'Art Nouveau et les Nabis, Mirbeau retrouve finalement Thadée autour de 1900, dans une inclination désormais commune pour les jeunes peintres Nabis de la Revue Blanche, Bonnard, Vallotton et Vuillard. La Revue Blanche a joué un rôle essentiel en France, c'est ce que confirme l'historien Paul-Henri Bourrelier : "La plupart des écrivains, peintres, musiciens, hommes politiques, intellectuels les plus marquants de la fin duXIXeet du début duXXesiècle y ont collaboré ou l'ont côtoyée. Créée, financée et dirigée par les trois frères Natanson, jeunes Juifs polonais, avec la complicité enthousiaste de leurs condisciples du lycée Condorcet,La Revue blanchedevient vite un lieu de débat sur tous les sujets qui agitent la France. Elle mène des combats politiques sous l'impulsion d'anarchistescomme Fénéon, Mirbeau; de socialistes, tels Blum, G. Moch, Péguy; de dreyfusards et de fondateurs de la Ligue des droits de l'homme, comme Reinach et Pressensé." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73674

‎Octave MIRBEAU‎

‎"C'est une joie délicieuse quand on a le cur tourmenté, de savoir qu'on a des amis comme vous..." Lettre autographe signée d'Octave Mirbeau adressée à Alfred Natanson‎

‎s. l. [cachet de Seine-et-Marne] 15 Septembre 1901 | 12.50 x 17.60 cm | une feuille‎

‎Emouvante lettre autographe signée d'Octave Mirbeau, adressée au dramaturge et fondateur de la Revue Blanche, Alfred Natanson.15 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, papier de deuil à encadrement noir, filigrané "JDL & cie", enveloppe jointe. "Merci de votre gentille lettre. je savais déjà par Alexandre [Natanson], combien vous aviez été inquiets de l'état de ma femme. C'est une joie délicieuse quand on a le cur tourmenté, de savoir qu'on a des amis comme vous, comme vous tous, les braves gens duRelai. Dites bien à votre femme que la mienne a été très sensible à son amitié... Et embrassez tout le monde avec effusion. Dites aussi à Olga [femme d'Alexandre Natanson] et à Misia [femme de Thadée] que nous les aimons tendrement, et à Alexandre, qu'il est un charmant ami." Long post scriptum sur la mauvaise santé de son épouse, l'ancienne comédienne Alice Régnault : "La journée d'hier n'a pas été bonne, et la plaie du bras présentait un aspect méchant. Aujourd'hui cela va un peu mieux. Mais c'est une chose à surveiller de très près. Les mouvements se font un peu plus facilement mais elle souffre toujours extrêmement la nuit, au moindre jeu des muscles". Mirbeau a été particulièrement proche du groupe de la Revue Blanche, depuis le lancement de celle-ci à Paris en 1891. Mais c'est depuis l'affaire Dreyfus que s'est renforcée son amitié intime et durable avec les frères Natanson, Thadée, Alexandre et Alfred. Après des divergences de vue esthétiques sur l'Art Nouveau et les Nabis, Mirbeau retrouve finalement Thadée autour de 1900, dans une inclination désormais commune pour les jeunes peintres Nabis de la Revue Blanche, Bonnard, Vallotton et Vuillard. Le "Relai" correspond à un ancien relais de poste àVilleneuve-sur-Yonne acheté par Thadée Natanson en 1897 qui devint une destination pour tous leurs amis écrivains et artistes. On y croisait les peintres Nabis, Vuillard, Valloton, Bonnard ou Roussel ainsi que Toulouse-Lautrec. La Revue Blanche a joué un rôle essentiel en France, c'est ce que confirme l'historien Paul-Henri Bourrelier : "La plupart des écrivains, peintres, musiciens, hommes politiques, intellectuels les plus marquants de la fin duXIXeet du début duXXesiècle y ont collaboré ou l'ont côtoyée. Créée, financée et dirigée par les trois frères Natanson, jeunes Juifs polonais, avec la complicité enthousiaste de leurs condisciples du lycée Condorcet,La Revue blanchedevient vite un lieu de débat sur tous les sujets qui agitent la France. Elle mène des combats politiques sous l'impulsion d'anarchistescomme Fénéon, Mirbeau; de socialistes, tels Blum, G. Moch, Péguy; de dreyfusards et de fondateurs de la Ligue des droits de l'homme, comme Reinach et Pressensé." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73686

‎Octave MIRBEAU‎

‎"je voudrais pouvoir chanter en votre honneur un bel épithalame. Le malheur est que je ne suis pas poète." Lettre autographe signée d'Octave Mirbeau adressée à Alfred Natanson‎

‎Nice, Villa Ibrahim, chemin des Baumettes 8 Février 1901 | 12.50 x 17.60 cm | une feuille‎

‎Amicale lettre autographe signée d'Octave Mirbeau, adressée au dramaturge et fondateur de la Revue Blanche, Alfred Natanson, quelques temps après son mariage.12 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, papier de deuil à encadrement noir, filigrané "JDL & cie", enveloppe jointe. "Je vous envoie, à votre femme et à vous, tous nos vux affectueux, et je voudrais pouvoir chanter en votre honneur un bel épithalame. Le malheur est que je ne suis pas poète. Mais nous somme vos amis et nous vous embrassons de tout notre cur. Nous avions espéré que vous viendriez passer quelques jours à Cannes et nous nous faisions une fête de vous avoir ici. Misia nous dit que vous avez renoncé à ce voyage. Comme c'est ennuyeux ! [...]". Mirbeau a été particulièrement proche du groupe de la Revue Blanche, depuis le lancement de celle-ci à Paris en 1891. Mais c'est depuis l'affaire Dreyfus que s'est renforcée son amitié intime et durable avec les frères Natanson, Thadée, Alexandre et Alfred. Après des divergences de vue esthétiques sur l'Art Nouveau et les Nabis, Mirbeau retrouve finalement Thadée autour de 1900, dans une inclination désormais commune pour les jeunes peintres Nabis de la Revue Blanche, Bonnard, Vallotton et Vuillard. La Revue Blanche a joué un rôle essentiel en France, c'est ce que confirme l'historien Paul-Henri Bourrelier : "La plupart des écrivains, peintres, musiciens, hommes politiques, intellectuels les plus marquants de la fin duXIXeet du début duXXesiècle y ont collaboré ou l'ont côtoyée. Créée, financée et dirigée par les trois frères Natanson, jeunes Juifs polonais, avec la complicité enthousiaste de leurs condisciples du lycée Condorcet,La Revue blanchedevient vite un lieu de débat sur tous les sujets qui agitent la France. Elle mène des combats politiques sous l'impulsion d'anarchistescomme Fénéon, Mirbeau; de socialistes, tels Blum, G. Moch, Péguy; de dreyfusards et de fondateurs de la Ligue des droits de l'homme, comme Reinach et Pressensé." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73700

‎Octave MIRBEAU‎

‎"J'avais bien pensé que cette vieille bonne femme qui tape si fort sur les matelas, avait du écorcher mon nom." Lettre autographe signée d'Octave Mirbeau adressée à Alfred Natanson‎

‎Cormeilles-en-Vexin 22 août 1906 ou 1908 | 12.60 x 17 cm | une feuille‎

‎Amicale lettre autographe signée d'Octave Mirbeau, adressée au dramaturge et fondateur de la Revue Blanche, Alfred Natanson.12 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, papier à en-tête "Cormeilles-en-Vexin(S.&O.)", enveloppe jointe. "Cher ami, J'avais bien pensé que cette vieille bonne femme qui tape si fort sur les matelas, avait du écorcher mon nom. Mais dans l'incertitude, car je pouvais penser aussi que vous étiez pris avec quelqu'un de très sérieux, [...]. Ceci mon cher Fred pour vous dire que je suis parti de chez vous, triste de ne pas vous avoir vu, voilà tout, et sans le moindre sentiment mauvais. Vous savez que j'ai pour vous une affection solide et je vous connais assez gentil pour moi, pour me permettre de supposer des sottises. [...]"" Avec un amusant post-scriptum : "Ne prêtez pas attention à ce gribouillage... L'auto a je ne sais pas quoi, j'y travaille.. et n'y fait rien de bon.. d'ailleurs.. Et mon mécanicien se prend la tête, à deux mains noires d'huile grasse [...]". Mirbeau a été particulièrement proche du groupe de la Revue Blanche, depuis le lancement de celle-ci à Paris en 1891. Mais c'est depuis l'affaire Dreyfus que s'est renforcée son amitié intime et durable avec les frères Natanson, Thadée, Alexandre et Alfred. Après des divergences de vue esthétiques sur l'Art Nouveau et les Nabis, Mirbeau retrouve finalement Thadée autour de 1900, dans une inclination désormais commune pour les jeunes peintres Nabis de la Revue Blanche, Bonnard, Vallotton et Vuillard. La Revue Blanche a joué un rôle essentiel en France, c'est ce que confirme l'historien Paul-Henri Bourrelier : "La plupart des écrivains, peintres, musiciens, hommes politiques, intellectuels les plus marquants de la fin duXIXeet du début duXXesiècle y ont collaboré ou l'ont côtoyée. Créée, financée et dirigée par les trois frères Natanson, jeunes Juifs polonais, avec la complicité enthousiaste de leurs condisciples du lycée Condorcet,La Revue blanchedevient vite un lieu de débat sur tous les sujets qui agitent la France. Elle mène des combats politiques sous l'impulsion d'anarchistescomme Fénéon, Mirbeau; de socialistes, tels Blum, G. Moch, Péguy; de dreyfusards et de fondateurs de la Ligue des droits de l'homme, comme Reinach et Pressensé." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73701

‎Octave MIRBEAU‎

‎"Monsieur, entendu, pour les Mauvais Bergers" Billet autographe signé d'Octave Mirbeau‎

‎s. l. [Paris] [1897] | 13.50 x 18.30 cm | une feuille‎

‎Billet autographe signé d'Octave Mirbeau. 2 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, papier à en-tête "68 avenue du bois de Boulogne". "Alors, Monsieur, entendu, pour les Mauvais Bergers". Les Mauvais bergers correspond à la tragédie d'Octave Mirbeau, drame social incarné au théâtre de la Renaissance, le 15 décembre 1897, par Sarah Bernhardt et Lucien Guitry dans les rôles principaux. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73703

‎Octave MIRBEAU‎

‎"je serais très heureux si vous vouliez bien reproduire dans Le Roman Romanesqueet aux conditions de la Société des gens de lettres, Sébastien Roch..." Lettre autographe signée d'Octave Mirbeau adressée vraisemblablement à Léon Tonnelle‎

‎s. l. [Paris] 1er Juillet 1903 | 13.80 x 18.30 cm | une feuille‎

‎Lettre autographe signée d'Octave Mirbeau adressée vraisemblablement à Léon Tonnelle, directeur de la revue Le Roman Romanesque. 12 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, papier gris à en-tête "68 avenue du bois de Boulogne". "Monsieur, je serais très heureux si vous vouliez bien reproduire dans Le Roman Romanesqueet aux conditions de la Société des gens de lettres, Sébastien Roch, publié chez Fasquelle et qui est un livre auquel je tiens particulièrement. Peut-être aussi, trouverez-vous dans Les vingt et un jours d'un neurasthénique quelques nouvelles que vous pourriez publier. En outre, je vous indique en outre, dans Les Contes de la Chaumière(Fasquelle) une nouvelle : Agronomiequi est presque d'actualité, puisque c'est d'elle que j'ai tiré le caractère de Lechat dans Les Affaires sont les affaires. [...]". Octave Mirbeau publiera son roman Le Calvaire dans le numéro 8 de la revue le Roman Romanesque paru en décembre 1903. Les titres mentionnés dans la lettre n'ont finalement pas été publiés. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73704

‎Félix FÉNÉON‎

‎"Le romancier et occultiste Paul Adam fut, comme vous savez, très lié à Maurice Barrès." Lettre autographe signée de Félix Fénéon adressée à Gabriel Mourey‎

‎s. l. 17-2-1942 | 21 x 27 cm | 2 feuilles‎

‎Lettre autographe signée de Félix Fénéon adressée à Gabriel Mourey, 18 lignes à l'encre noire, traces de pliure inhérentes à la mise sous pli de la lettre. Témoin et acteur privilégié de son époque, le critique d'art et collectionneur Félix Fénéon aide l'auteur Gabriel Mourey dans sa quête pourretrouver la correspondance de Paul Adam avec Maurice Barrès : "Le romancier et occultiste Paul Adam fut, comme vous savez, très lié à Maurice Barrès. (Candidats boulangistes dans deux circonscriptions lorraines contiguës, il firent fraternellement une campagne électorale et journalistique à laquelle leur amitié ne survécut guère.)Comment retrouver tous les papiers de Paul Adam, mort il y a une vingtaine d'années ? Mme Paul Adam vit-elle encore. - je n'en sais rien. Mais il est probable que vive une de ses soeurs, veuve depuis quelques trois ans de ce L. Cappielloauteur de tant d'affiches, - peintre elle aussi (et, de plus, fort sourde). Leur demeure était 8 rue Lechatelier, XVIIe. Par Mme L. Cappiello vous retrouverez peut-être des papiers barrésiens laissés par Paul Adam. Pour le cas où vous chercheriez dans cette direction, je note que que j'ai été en excellents termes avec toute la famille et que vous pouvez donc user de mon nom à votre gré." Personnalité majeure de l'Avant-garde, Fénéon avait le talent de débusquer les plus grands artistes. Cet étrange dandy volontairement discret, fit le vude servir quasi religieusement tout ce qui dans l'art forme une nouvelle sensibilité.Défenseur des néo-impressionnistes Seurat et Signac, ami de Mallarmé et de Camille Pissaro, de Paul Adam, Gustave Kahn, anarchiste puis communiste, directeur d'une douzaine de petites revues, il publia des uvres neuves telles les Illuminationsde Rimbaud, lePaludesd'André Gide,Dédalusde James Joyce. Prolifique journaliste, il écrivit partout et ne signa pas ses articles ou emprunta même des pseudonymes extravagants comme Gil de Bache, Porphyre Kalouguine, voire Thérèse ou Louise. Rare lettre de Félix Fénéon sur ses contemporains. Nous y joignions une lettre autographe signée de Fanny Fénéon, femme de Félix Fénéon, datée du 30 décembre 1941 alors que son mari était malade et alité, 10 lignes à l'encre noire, traces de pliure inhérentes à la mise sous pli de la lettre. "Mon mari gravement malade est dans l'impossibilité de recevoir quelqu'un. Si la difficultéque vous désirez lui remettre peut se résoudre par lettre, veuillez lui dire ce dont il s'agit. Une réponse immédiate vous montrera que malgré ses 80 ans, il est tout à votre disposition. [...]" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73853

‎Boris VIAN‎

‎"Guerre de deux maisons de disques qui sont enlisées dans des méthodes antiques de vente" Manuscrit autographe inédit d'un projet de scénario cinématographique de Boris Vian relatant la guerre entre deux maisons de disques‎

‎s. d. [circa 1950] | 21 x 27 cm | 3 pages sur 3 feuillets perforés agrafés‎

‎Manuscrit autographe inédit d'un projet de scénario cinématographique de Boris Vian. 3 pages sur 3 feuillets rédigées à l'encre noire et bleue et au stylo bille bleu. Ratures, corrections et notes marginales. Pliure centrale sans gravité. Une coupure verticale sur le premier feuillet, sans manque de texte. Amusant projet cinématographique raillant l'impitoyable monde des maisons de disques alors que Boris Vian fait la connaissance de Jacques Canetti qui lui ouvrira les portes de Polydor (qui deviendra Philips). La seconde page présente quelques lignes exposant le synopsis du projet: «Deux maisons de disques rivales se trouvent enlisées dans une guerre de concurrence acharnée. Chacune attend pour agir de savoir ce que prépare l'autre [...]» Boris Vian semble avoir une idée bien précise de l'ambiance du film, indiquant déjà des détails techniques d'importance: «Début du film en bistre (historique) [...] arbre découpé (voix des chênes) [...] ou à la guillotine (ombre dans la cour) [...] côté cinémassacre-ballet Hitchcock dans l'action». Il a également une idée assez arrêtée des les acteurs choisis pour interpréter les différents personnages: «[Jacques] Dufilho, [Hubert] Deschamps [...] Personnage de Georges Cravenne (Y.[ves] Robert ou Darry Cowl», bien qu'il ne semble pas encore décidé pour l'interprète du «personnage de Barclay».Fidèle à son humour, il imagine ponctuer l'intrigue de «sketches de démonstration», d'une «parodie du ballet M.G.M.» ou encore de «sketches satiriques venant couper le burlesque». La part belle est, compte tenu du sujet, faite à la musiqueet plus précisément au rock'n'roll: «Un seul orchestre spécialisé dans le rock, et chacune des deux maisons essaie de se l'approprier[...] Rock et Roll sont associés». Influencé par les maîtres de la science-fiction américaine d'après-guerre qu'il admire, Vian introduit dans ce scénario des éléments propres au genre de l'anticipation; les «Maisons de disques s'espionnent à coup de téléviseurs perfectionnés» et il y a même des «Martiens». L'écriture rapide et les ajouts marginaux de ce manuscrit témoignent de la vivacité de Boris Vian, infatigable travailleur à l'imagination prolifique. Dans son langage non-conformiste, il multiplie les idées sur le papier: «il faut moderniser notre organisation. On fait défiler les mecs et on les abat à coup de presse-papier quand ils sont trop vieux [...] chacun des maisons pousse au cul son grand docteur». Comme le souligne Noël Arnaud dans ses Vies parallèles de Boris Vian, «Boris Vian s'est (...) intéressé au cinéma de manière active, et à plusieurs reprises. Il a composé des scénarios (certains ont même été tournés), il est apparu comme acteur dans différents films et il a écrit des commentaires de courts métrages.» Un documentaire intitulé Le Cinéma de Boris Vian, sorti en 2010, relate la passion de Boris Vian pour le cinéma et sa collaboration avec le réalisateur Pierre Kast qui disait de son ami: «J'aimerais beaucoup - c'est un des plus grands regrets de ma vie - j'aimerais beaucoup entrer dans une salle de projection, avec un bon fauteuil et plusieurs dizaines d'heures devant moi, et regarder les vingt films que Boris rêvait de faire.» (Pierre Boiron, Pierre Kast 1985). Ironie du sort, c'est dans un fauteuil de cinéma que Boris s'éteindra...devant l'adaptation qu'il exécrait de son roman J'irai cracher sur vos tombes. Provenance : Fondation Vian - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 73867

‎Édouard VUILLARD‎

‎Lettre autographe signée d'Edouard Vuillard adressée à Bolette Natanson‎

‎17 juin 1931 | 12.20 x 16.90 cm | 1 page sur 1 feuillet remplié‎

‎Lettre autographe signée d'Edouard Vuillard adressée à l'architecte et designer Bolette Natanson, rédigée à l'encre bleue sur un papier de deuil : "Ce n'est pas moi qui règle le cadre aussi je trouve juste de le payer son prix". Amie du peintre Edouard Vuillard, Bolette Natanson encadra plusieurs de ses oeuvres. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Referencia librero : 74124

‎CHAM‎

‎Belle lettre autographe signée à Alexandre Dumas fils le remerciant chaleureusement pour son intervention pour l'obtention du ruban de la Légion d'Honneur‎

‎Paris 1875 | 11.50 x 17 cm | une feuille‎

‎Affectueuse lettre autographe signée d'une page et demie (32 lignes) de Cham adresséeà son ami Alexandre Dumas fils le remerciant fraternellement pour les fructueuses démarches administratives entreprises par ce dernier en faveur de l'obtention du ruban de la Légion d'Honneur pour son camarade caricaturiste : Dans cette missive toute empreinte d'une pudeur et d'une modestie étonnées, Cham s'y montre tout à la fois fier et gentiment moqueur des décorations. Il n'a de cesse de louer l'affection et la reconnaissance qu'il nourrit pour son ami. "Ce 11 Fev. (1875), Mon cher ami, C'est atroce ! Me voilà décoré ! Jusqu'à la fin de mes jours ! et c'est de votre faute ! Par le plus grand des hasards j'ai appris que vous aviez écrit une lettre de quatre pages au ministre. Le tout me concernant et appelant sur moi le ruban ! Sans rien dire à personne ! et sans vous dénoncer une fois le coup terminé et réussi. Que penser d'un pareil homme ? Où trouver assez de reconnaissance pour le remercier d'un pareil traits ? Je forme immédiatement une société au capital d'une reconnaissance énorme qui puisse acquitter ma dette envers vous. Ce n'est pas une croix qui honore un homme, ce sont des amis comme vous. Vous devez comprendre ce que j'éprouve pour vous après un coup pareil. Bien affectueusement et merci je ne vous dis que ça ! Cham. Mes respectueux hommages à madame Dumas. Je porte mon ruban en rosette, ça fait très bien." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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