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‎BECKETT (Samuel).‎

‎Assez.‎

‎Paris, Editions de Minuit, 19 février 1966. In-8, broché, couverture à rabats, 30 pp.‎

‎Édition originale. Tirage à 662 ex n° sur velin cuve B. F. K. rives.. Un des cent douze exemplaires marqués "112" numérotés de 1 à 112 et réservés à la librairie des Editions de Minuit. N° 33. Bel exemplaire à l'état de neuf. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 30386

Livre Rare Book

Livres de A à Z
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€400.00 Buy

‎BECKETT Samuel‎

‎Berceuse suivi de Impromptu d'Ohio‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1982, 10x18cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 99 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches, le nôtre un des quelques hors commerce justifiés H.C., seuls grands papiers. Envoi autographe signé de Samuel Beckett à une proche amie. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 54723

‎BECKETT Samuel‎

‎Berceuse suivi de Impromptu d'Ohio‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1982, 10x18cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 99 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches, seuls grands papiers. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 73883

‎BECKETT Samuel‎

‎Bing‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1966, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 100 exemplaires hors commerce numérotés sur B.F.K. de Rives, seuls grands papiers avec 662 autres B.F.K. de Rives. Précieux envoi autographe daté d'Octobre 1966 et signé de Samuel Beckett à son ami le peintre Geer (Van Velde) et à sa femme Lise. Bel exemplaire. « Que dire de ces plans qui glissent, ces contours qui vibrent, ces corps comme taillés dans la brume, ces équilibres qu'un rien doit rompre, qui se rompent, et se reforment à mesure qu'on regarde ? Comment parler de ces couleurs qui respirent, qui halètent ? de cette stase grouillante ? de ce monde sans poids, sans force, sans ombre ? Ici tout bouge, nage, fuit, revient, se défait, se refait. Tout cesse, sans cesse. On dirait l'insurrection des molécules, l'intérieur d'une pierre un millième de seconde avant qu'elle ne se désagrège. C'est ça la littérature. » (La Peinture des van Velde ou Le monde et le pantalon, in Cahiers d'Art n°11-12, Paris 1945) Beckett ne parle pas ici, malgré les apparences, de son uvre littéraire mais de la peinture de Geer Van Velde, ajoutant quelques lignes plus loin: «[Bram] Van Velde peint l'étendue. G[eer] Van Velde peint la succession.» Cet éloge, publié à l'occasion de la double exposition des Van Velde, Geer chez Maeght et Bram à la galerie Mai, est le premier texte d'importance sur ces peintres alors à peu près inconnus du public: «On ne fait que commencer à déconner sur les frères VanVelde. J'ouvre la série. C'est un honneur.» Il est aussi le premier texte critique écrit directement en français par un jeune écrivain irlandais qui n'a encore jamais publié en France. Ainsi, le premier et plus important écrit sur l'art de Beckett, composé à l'aube de sa carrière littéraire, instaure, dès l'origine, une relation fondamentale entre son uvre en gestation et la peinture de ses amis: «Aussi a-t-on souvent lu ce texte en creux, ou en miroir, comme une des rares désignations de la poétique (à venir) de Beckett par lui-même, une sorte de programme anamorphique d'écriture» (Un pantalon cousu de fil blanc: Beckett et l'épreuve critiquepar Pierre Vilar) Véritable déclaration d'intention du dramaturge, ce texte fondamental - dont Beckett confesse dès l'introduction la valeur introspective: «avec les mots on ne fait que se raconter» - inaugure la période créatrice la plus fructueuse de l'écrivain. En effet, à l'instar d'Apollinaire et de Cendrars, Beckett puise dans les problématiques artistiques de ses contemporains le ferment de son écriture à venir par «la mise en cause la plus profonde des présupposés narratifs, figuratifs ou poétiques.» (Pascale Casanova inBeckett l'abstracteur) L'influence majeure de la peinture moderne sur la structure - ou déstructuration - narrative du théâtre et des romans de Beckett sera révélée et analysée par de nombreux penseurs, dont Gilles Deleuze, Julia Kristeva ou Maurice Blanchot. C'est justement à partir de la peinture des Van Velde, de Geer, puis de Bram, que Beckett formalise cette volonté de traduire la question picturale en dramaturgie. Ainsi refuse-t-il les décors de Nicolas de Staël pourEn attendant Godotcar: «Il faut que le décor sorte du texte, sans y ajouter. Quant à la commodité visuelle du spectateur, je la mets là où tu penses. Crois-tu vraiment qu'on puisse écouter devant un décor de Bram, ou voir autre chose que lui?» (Lettre à Georges Duthuit, 1952). Lorsqu'il rencontre Geer en 1937, «Beckett traverse une crise existentielle majeure, il vient de remodeler son premier romanMurphy, refusé par un grand nombre d'éditeurs, il sombre dans l'alcoolisme, quitte l'Irlande et s'installe définitivement à Paris» (Le Pictural dans l'uvre de Beckett,Lassaad Jamoussi). Il revient d'un long voyage artistique en Allemagne où il s'est imprégné d'uvres classiques et d'art contemporain - c'est lors de ce voyage qu'il découvre lesDeux hommes contemplant la lunede Caspar David Friedrich, à l'origine deEn attendant Godot. L'art est alors au cur de sa réflexion créatrice et l'amitié qui va le lier à Geer puis plus tard à Bram et à leur sur Jacoba (avec laquelle il entretint peut-être une relation plus qu'amicale) va profondément influencer sa vie et son écriture. Son premier écrit sur l'art est une courte notice sur Geer Van Velde dont il impose les uvres à sa nouvelle amante Peggy Guggenheim à l'occasion de la création de sa galerie londonienne. Malgré l'échec relatif de l'exposition (qui suit celle de Kandinsky), il obtient de Peggy une bourse d'un an pour son ami. James Knowlson avance même que «si Beckett a longtemps gardé des liens étroits avec Peggy, c'est d'abord et avant tout parce qu'elle était susceptible de donner un sérieux coup de pouce à ses amis artistes, à commencer par Geer Van Velde.» (inBeckettp. 474) Enigmatique, la petite note que Beckett rédige alors à la demande de Peggy contient déjà en germe la pensée du dramaturge: «Believes painting should mind it on business, i.e. colours. i.e no more say Picasso than Fabritius, Vermeer. Or inversely. » (« Pense que la peinture devrait se mêler de ses propres affaires, c'est-à-dire la couleur, c'est-à-dire pas plus de Picasso que de Fabritus ou Vermeer. Et inversement. ») Plus lents à croître, son amitié pour Bram et son intérêt pour sa peinture modifient peu à peu le regard de Beckett sur la peinture de Geer et lorsque, dix ans après sa première rencontre avec les frères, il écritLe Monde et le Pantalon, Beckett met à jour une dualité symbolisée par ce titre tiré d'une anecdote placée en exergue de l'article. Le monde, c'est l'uvre «imparfaite» de Dieu créé en six jours à laquelle le tailleur oppose la perfection de son pantalon achevé en six mois. La relation entre cette anecdote et les frères Van Velde est peut-être à chercher dans le second essai que Beckett leur consacre en 1948,Peintres de l'empêchement(Derrière le miroirn°11/12): «L'un d'eux dira: Je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce qu'il est ce qu'il est. L'autre: je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce que je suis ce que je suis. Il y a toujours ces deux sortes d'empêchement, l'empêchement-objet et l'empêchement-il. [...] Geer Van Velde est un artiste de la première sorte [...], Bram Van Velde de la seconde.». Résistance de l'objet ou impuissance de l'artiste, cette fable, «véritable noyau narratif premier en forme de kôan zen» (P. Vilar), se retrouvera ensuite dispersée dans l'ensemble de l'uvre de Beckett et occupera plus particulièrement une place centrale dansFin de Partie, dont Roger Blin, note par ailleurs la similitude avec l'uvre de Geer: «Il était ami à cette époque des frères Geer et Bram van Velde, hollandais et peintres tous deux. Geer était un peintre dans la lignée de Mondrian. J'ai le sentiment que Beckett voyaitFin de partiecomme un tableau de Mondrian, avec des cloisons très nettes, des séparations géométriques, de la géométrie musicale.» (R. Blin,Conversations avec Lynda PeskineinRevue d'Esthétique). L'affinité grandissante de Beckett avec l'uvre de Bram Van Velde et l'énergie qu'il dépense pour défendre son travail, notamment auprès de la galerie Maeght ou de son ami, l'historien d'art Georges Duthuit, se feront sans doute aux dépens de ses relations avec Geer. Cependant, malgré quelques malentendus, leur amitié ne sera jamais rompue, ni le dialogue silencieux mais agité que l'écrivain entretient avec l'uvre du petit frère van Velde dont il possédait deux grandes toiles: «Le grand tableau de Geer me fait enfin des signes. Dommage qu'il ait si mal tourné. Mais ce n'est peut-être pas vrai.» (lettre à Georges Duthuit, mars 1950) «Geer dégage un grand courage. Des idées un peu tranchantes, mais peut-être seulement en apparence. Je l'ai toujours beaucoup estimé. Mais pas assez je crois.» (lettre à Mania Péron, août 1951) La mort de Geer Van Velde en 1977 affecte profondément Beckett et coïncide avec une période d'intense nostalgie durant laquelle l'écrivain décide de se livrer à un «grand ménage» dans sa demeure pour vivre entre des «murs gris comme le propriétaire». Confiant ses états d'âme à son amie, la décoratrice de théâtre Jocelyn Herbert, Beckett témoigne de l'indéfectible affection qu'il porte au peintre depuis quarante ans:«plus de toiles sous les yeux, y compris celle du grand Geer Van Velde derrière le piano». Précieux témoignage de l'amitié de ces compagnons de route qui, depuisle premier roman de Beckett pour lequel ils vérifiaient ensemble la vraisemblance de la partie d'échecs opposant Murphy à M. Endon, ont affronté ensemble les grands enjeux de la modernité: «C'est qu'au fond, la peinture ne les intéresse pas. Ce qui les intéresse, c'est la condition humaine. Nous reviendrons là-dessus.» (Beckett à propos des frères Van Velde, inLe Monde et le Pantalon) - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 51867

‎BECKETT Samuel‎

‎Comédies et actes divers‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1966, 11,5x18,5cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 80 exemplaires numérotés sur pur fil, tirage de tête. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 73835

‎BECKETT (Samuel).‎

‎Compagnie.‎

‎Paris, Editions de Minuit, 1980. In-8, broché, non coupé, 87 pp.‎

‎Édition originale. Un des 99 exemplaires numérotés sur Alfa mousse, N° 10, seul tirage en grand papier avec 7 H. C. Neuf, non coupé. ETAT NEUF. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 29182

Livre Rare Book

Livres de A à Z
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‎BECK Béatrix‎

‎Cou coupé court toujours‎

‎Gallimard, Paris 1967, 12,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 35 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Un ex-libris encollé sur une garde, un autre, plus grand qui a laissé une décharge due à la colle. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 64934

‎BECK (Béatrix).‎

‎Cou coupé court toujours.‎

‎Paris, Gallimard, 1967. In-12, broché, non coupé, 110 pp.‎

‎Edition originale. Un des 35 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage en grand papier. N° 12. Bel exemplaire. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 26728

Livre Rare Book

Livres de A à Z
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€160.00 Buy

‎BECKETT Samuel‎

‎Film‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1972, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à 342 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches, le nôtre un des 50 exemplaires hors commerce. Envoi autographe signé de Samuel Beckett à Ludovic (Janvier). Dos légèrement insolé sans gravité. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 46804

‎BECKETT Samuel‎

‎Film suivi de Souffle‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1972, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale de la traduction française établie par l'auteur, un des 50 exemplaires hors commerce numérotés sur vélin d'Arches, seuls grands papiers avec 292 autres vélin d'Arches. Précieux envoi autographe daté de Décembre 1972 et signé de Samuel Beckett à son ami le peintre Geer (Van Velde) et à sa femme Lise. Dos et plats marginalement insolés. « Que dire de ces plans qui glissent, ces contours qui vibrent, ces corps comme taillés dans la brume, ces équilibres qu'un rien doit rompre, qui se rompent, et se reforment à mesure qu'on regarde ? Comment parler de ces couleurs qui respirent, qui halètent ? de cette stase grouillante ? de ce monde sans poids, sans force, sans ombre ? Ici tout bouge, nage, fuit, revient, se défait, se refait. Tout cesse, sans cesse. On dirait l'insurrection des molécules, l'intérieur d'une pierre un millième de seconde avant qu'elle ne se désagrège. C'est ça la littérature. » (La Peinture des van Velde ou Le monde et le pantalon, in Cahiers d'Art n°11-12, Paris 1945) Beckett ne parle pas ici, malgré les apparences, de son uvre littéraire mais de la peinture de Geer Van Velde, ajoutant quelques lignes plus loin: «[Bram] Van Velde peint l'étendue. G[eer] Van Velde peint la succession.» Cet éloge, publié à l'occasion de la double exposition des Van Velde, Geer chez Maeght et Bram à la galerie Mai, est le premier texte d'importance sur ces peintres alors à peu près inconnus du public: «On ne fait que commencer à déconner sur les frères VanVelde. J'ouvre la série. C'est un honneur.» Il est aussi le premier texte critique écrit directement en français par un jeune écrivain irlandais qui n'a encore jamais publié en France. Ainsi, le premier et plus important écrit sur l'art de Beckett, composé à l'aube de sa carrière littéraire, instaure, dès l'origine, une relation fondamentale entre son uvre en gestation et la peinture de ses amis: «Aussi a-t-on souvent lu ce texte en creux, ou en miroir, comme une des rares désignations de la poétique (à venir) de Beckett par lui-même, une sorte de programme anamorphique d'écriture» (Un pantalon cousu de fil blanc: Beckett et l'épreuve critiquepar Pierre Vilar) Véritable déclaration d'intention du dramaturge, ce texte fondamental - dont Beckett confesse dès l'introduction la valeur introspective: «avec les mots on ne fait que se raconter» - inaugure la période créatrice la plus fructueuse de l'écrivain. En effet, à l'instar d'Apollinaire et de Cendrars, Beckett puise dans les problématiques artistiques de ses contemporains le ferment de son écriture à venir par «la mise en cause la plus profonde des présupposés narratifs, figuratifs ou poétiques.» (Pascale Casanova inBeckett l'abstracteur) L'influence majeure de la peinture moderne sur la structure - ou déstructuration - narrative du théâtre et des romans de Beckett sera révélée et analysée par de nombreux penseurs, dont Gilles Deleuze, Julia Kristeva ou Maurice Blanchot. C'est justement à partir de la peinture des Van Velde, de Geer, puis de Bram, que Beckett formalise cette volonté de traduire la question picturale en dramaturgie. Ainsi refuse-t-il les décors de Nicolas de Staël pourEn attendant Godotcar: «Il faut que le décor sorte du texte, sans y ajouter. Quant à la commodité visuelle du spectateur, je la mets là où tu penses. Crois-tu vraiment qu'on puisse écouter devant un décor de Bram, ou voir autre chose que lui?» (Lettre à Georges Duthuit, 1952). Lorsqu'il rencontre Geer en 1937, «Beckett traverse une crise existentielle majeure, il vient de remodeler son premier romanMurphy, refusé par un grand nombre d'éditeurs, il sombre dans l'alcoolisme, quitte l'Irlande et s'installe définitivement à Paris» (Le Pictural dans l'uvre de Beckett,Lassaad Jamoussi). Il revient d'un long voyage artistique en Allemagne où il s'est imprégné d'uvres classiques et d'art contemporain - c'est lors de ce voyage qu'il découvre lesDeux hommes contemplant la lunede Caspar David Friedrich, à l'origine deEn attendant Godot. L'art est alors au cur de sa réflexion créatrice et l'amitié qui va le lier à Geer puis plus tard à Bram et à leur sur Jacoba (avec laquelle il entretint peut-être une relation plus qu'amicale) va profondément influencer sa vie et son écriture. Son premier écrit sur l'art est une courte notice sur Geer Van Velde dont il impose les uvres à sa nouvelle amante Peggy Guggenheim à l'occasion de la création de sa galerie londonienne. Malgré l'échec relatif de l'exposition (qui suit celle de Kandinsky), il obtient de Peggy une bourse d'un an pour son ami. James Knowlson avance même que «si Beckett a longtemps gardé des liens étroits avec Peggy, c'est d'abord et avant tout parce qu'elle était susceptible de donner un sérieux coup de pouce à ses amis artistes, à commencer par Geer Van Velde.» (inBeckettp. 474) Enigmatique, la petite note que Beckett rédige alors à la demande de Peggy contient déjà en germe la pensée du dramaturge: «Believes painting should mind it on business, i.e. colours. i.e no more say Picasso than Fabritius, Vermeer. Or inversely. » (« Pense que la peinture devrait se mêler de ses propres affaires, c'est-à-dire la couleur, c'est-à-dire pas plus de Picasso que de Fabritus ou Vermeer. Et inversement. ») Plus lents à croître, son amitié pour Bram et son intérêt pour sa peinture modifient peu à peu le regard de Beckett sur la peinture de Geer et lorsque, dix ans après sa première rencontre avec les frères, il écritLe Monde et le Pantalon, Beckett met à jour une dualité symbolisée par ce titre tiré d'une anecdote placée en exergue de l'article. Le monde, c'est l'uvre «imparfaite» de Dieu créé en six jours à laquelle le tailleur oppose la perfection de son pantalon achevé en six mois. La relation entre cette anecdote et les frères Van Velde est peut-être à chercher dans le second essai que Beckett leur consacre en 1948,Peintres de l'empêchement(Derrière le miroirn°11/12): «L'un d'eux dira: Je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce qu'il est ce qu'il est. L'autre: je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce que je suis ce que je suis. Il y a toujours ces deux sortes d'empêchement, l'empêchement-objet et l'empêchement-il. [...] Geer Van Velde est un artiste de la première sorte [...], Bram Van Velde de la seconde.». Résistance de l'objet ou impuissance de l'artiste, cette fable, «véritable noyau narratif premier en forme de kôan zen» (P. Vilar), se retrouvera ensuite dispersée dans l'ensemble de l'uvre de Beckett et occupera plus particulièrement une place centrale dansFin de Partie, dont Roger Blin, note par ailleurs la similitude avec l'uvre de Geer: «Il était ami à cette époque des frères Geer et Bram van Velde, hollandais et peintres tous deux. Geer était un peintre dans la lignée de Mondrian. J'ai le sentiment que Beckett voyaitFin de partiecomme un tableau de Mondrian, avec des cloisons très nettes, des séparations géométriques, de la géométrie musicale.» (R. Blin,Conversations avec Lynda PeskineinRevue d'Esthétique). L'affinité grandissante de Beckett avec l'uvre de Bram Van Velde et l'énergie qu'il dépense pour défendre son travail, notamment auprès de la galerie Maeght ou de son ami, l'historien d'art Georges Duthuit, se feront sans doute aux dépens de ses relations avec Geer. Cependant, malgré quelques malentendus, leur amitié ne sera jamais rompue, ni le dialogue silencieux mais agité que l'écrivain entretient avec l'uvre du petit frère van Velde dont il possédait deux grandes toiles: «Le grand tableau de Geer me fait enfin des signes. Dommage qu'il ait si mal tourné. Mais ce n'est peut-être pas vrai.» (lettre à Georges Duthuit, mars 1950) «Geer dégage un grand courage. Des idées un peu tranchantes, mais peut-être seulement en apparence. Je l'ai toujours beaucoup estimé. Mais pas assez je crois.» (lettre à Mania Péron, août 1951) La mort de Geer Van Velde en 1977 affecte profondément Beckett et coïncide avec une période d'intense nostalgie durant laquelle l'écrivain décide de se livrer à un «grand ménage» dans sa demeure pour vivre entre des «murs gris comme le propriétaire». Confiant ses états d'âme à son amie, la décoratrice de théâtre Jocelyn Herbert, Beckett témoigne de l'indéfectible affection qu'il porte au peintre depuis quarante ans:«plus de toiles sous les yeux, y compris celle du grand Geer Van Velde derrière le piano». Précieux témoignage de l'amitié de ces compagnons de route qui, depuisle premier roman de Beckett pour lequel ils vérifiaient ensemble la vraisemblance de la partie d'échecs opposant Murphy à M. Endon, ont affronté ensemble les grands enjeux de la modernité: «C'est qu'au fond, la peinture ne les intéresse pas. Ce qui les intéresse, c'est la condition humaine. Nous reviendrons là-dessus.» (Beckett à propos des frères Van Velde, inLe Monde et le Pantalon) - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 51869

‎BECKER Lucien‎

‎L'homme quotidien‎

‎M. Audin, Lyon 1941, 14x21,5cm, agrafé.‎

‎Edition originale imprimée à 200 exemplaires hors commerce. Rare et agréable exemplaire. Envoi autographe daté et signé de Lucien Becker à Albert Béguin : "...en espérant qu'il reconnaîtra en ces poëmes quelques voix du "passager de la terre"..." - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 75613

‎BECK Béatrix‎

‎Le muet‎

‎Gallimard, Paris 1963, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 40 exemplaires numérotés sur pur fil, le nôtre non justifié, seuls grands papiers. Dos légèrement insolé. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 58058

‎BECK (Béatrix).‎

‎Le Muet.‎

‎Paris, Gallimard, 1963. In-12, broché, non coupé, 194 pp.‎

‎Edition originale. Un des 40 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage en grand papier. N° 17. Bel exemplaire. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 26677

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‎BECKETT Samuel.‎

‎Les Os d'Echo et autres précipités. Traduit de l'anglais et présenté par Edith Fournier.‎

‎Paris, Editions de Minuit, 28 août 2002. Un volume in-12, broché, non coupé, 59 pp.‎

‎Édition originale. Un des 99 exemplaires numérotés sur vergé de Vizille seul tirage en grand papier avec 7 h.c. N° 24. ETAT NEUF. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 29152

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‎BECK (Béatrix).‎

‎Léon Morin prêtre.‎

‎Paris, Gallimard, décembre 1952. In-12, broché, non coupé, 237 pp.‎

‎Nouvelle édition recomposée en décembre 1952 (l'édition originale est du 1er trimestre 1952 février). Un des 60 exemplaires du tirage de tête numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 14797

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‎BECKETT Samuel‎

‎Mal vu mal dit‎

‎Editions de Minuit, Paris 1981, 14x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 114 exemplaires numérotés sur alfa mousse, le nôtre un des 15 hors commerce. Bel exemplaire. Envoi autographe signé de Samuel Beckett à une amie. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 48471

‎BECKETT (Samuel).‎

‎Mal vu mal dit.‎

‎Paris, Editions de Minuit, 1981. In-8, broché, non coupé, 76 pp.‎

‎Édition originale. Un des 99 exemplaires numérotés sur Alfa mousse, N° 7, seul tirage en grand papier avec 15 H. C. Neuf, non coupé. ETAT NEUF. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 29181

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‎BECKETT Samuel‎

‎Pas moi‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1975, 10x18cm, broché.‎

‎Edition originale, un des quelques exemplaires hors commerce sur vélin supérieur, tirage de tête avec 92 exemplaires numérotés sur vélin supérieur. Envoi autographe signé de Samuel Beckett à Ludovic (Janvier). Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 46802

‎BECKETT Samuel‎

‎Poèmes‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1968, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 100 exemplaires hors commerce numérotés sur B.F.K. de Rives, seuls grands papiers avec 662 autres B.F.K. de Rives. Précieux envoi autographe daté de Février 1968 et signé de Samuel Beckett à son ami le peintre Geer (Van Velde) et à sa femme Lise. Petites piqûres sur le premier plat marginalement et légèrement insolé. « Que dire de ces plans qui glissent, ces contours qui vibrent, ces corps comme taillés dans la brume, ces équilibres qu'un rien doit rompre, qui se rompent, et se reforment à mesure qu'on regarde ? Comment parler de ces couleurs qui respirent, qui halètent ? de cette stase grouillante ? de ce monde sans poids, sans force, sans ombre ? Ici tout bouge, nage, fuit, revient, se défait, se refait. Tout cesse, sans cesse. On dirait l'insurrection des molécules, l'intérieur d'une pierre un millième de seconde avant qu'elle ne se désagrège. C'est ça la littérature. » (La Peinture des van Velde ou Le monde et le pantalon, in Cahiers d'Art n°11-12, Paris 1945) Beckett ne parle pas ici, malgré les apparences, de son uvre littéraire mais de la peinture de Geer Van Velde, ajoutant quelques lignes plus loin: «[Bram] Van Velde peint l'étendue. G[eer] Van Velde peint la succession.» Cet éloge, publié à l'occasion de la double exposition des Van Velde, Geer chez Maeght et Bram à la galerie Mai, est le premier texte d'importance sur ces peintres alors à peu près inconnus du public: «On ne fait que commencer à déconner sur les frères VanVelde. J'ouvre la série. C'est un honneur.» Il est aussi le premier texte critique écrit directement en français par un jeune écrivain irlandais qui n'a encore jamais publié en France. Ainsi, le premier et plus important écrit sur l'art de Beckett, composé à l'aube de sa carrière littéraire, instaure, dès l'origine, une relation fondamentale entre son uvre en gestation et la peinture de ses amis: «Aussi a-t-on souvent lu ce texte en creux, ou en miroir, comme une des rares désignations de la poétique (à venir) de Beckett par lui-même, une sorte de programme anamorphique d'écriture» (Un pantalon cousu de fil blanc: Beckett et l'épreuve critiquepar Pierre Vilar) Véritable déclaration d'intention du dramaturge, ce texte fondamental - dont Beckett confesse dès l'introduction la valeur introspective: «avec les mots on ne fait que se raconter» - inaugure la période créatrice la plus fructueuse de l'écrivain. En effet, à l'instar d'Apollinaire et de Cendrars, Beckett puise dans les problématiques artistiques de ses contemporains le ferment de son écriture à venir par «la mise en cause la plus profonde des présupposés narratifs, figuratifs ou poétiques.» (Pascale Casanova inBeckett l'abstracteur) L'influence majeure de la peinture moderne sur la structure - ou déstructuration - narrative du théâtre et des romans de Beckett sera révélée et analysée par de nombreux penseurs, dont Gilles Deleuze, Julia Kristeva ou Maurice Blanchot. C'est justement à partir de la peinture des Van Velde, de Geer, puis de Bram, que Beckett formalise cette volonté de traduire la question picturale en dramaturgie. Ainsi refuse-t-il les décors de Nicolas de Staël pourEn attendant Godotcar: «Il faut que le décor sorte du texte, sans y ajouter. Quant à la commodité visuelle du spectateur, je la mets là où tu penses. Crois-tu vraiment qu'on puisse écouter devant un décor de Bram, ou voir autre chose que lui?» (Lettre à Georges Duthuit, 1952). Lorsqu'il rencontre Geer en 1937, «Beckett traverse une crise existentielle majeure, il vient de remodeler son premier romanMurphy, refusé par un grand nombre d'éditeurs, il sombre dans l'alcoolisme, quitte l'Irlande et s'installe définitivement à Paris» (Le Pictural dans l'uvre de Beckett,Lassaad Jamoussi). Il revient d'un long voyage artistique en Allemagne où il s'est imprégné d'uvres classiques et d'art contemporain - c'est lors de ce voyage qu'il découvre lesDeux hommes contemplant la lunede Caspar David Friedrich, à l'origine deEn attendant Godot. L'art est alors au cur de sa réflexion créatrice et l'amitié qui va le lier à Geer puis plus tard à Bram et à leur sur Jacoba (avec laquelle il entretint peut-être une relation plus qu'amicale) va profondément influencer sa vie et son écriture. Son premier écrit sur l'art est une courte notice sur Geer Van Velde dont il impose les uvres à sa nouvelle amante Peggy Guggenheim à l'occasion de la création de sa galerie londonienne. Malgré l'échec relatif de l'exposition (qui suit celle de Kandinsky), il obtient de Peggy une bourse d'un an pour son ami. James Knowlson avance même que «si Beckett a longtemps gardé des liens étroits avec Peggy, c'est d'abord et avant tout parce qu'elle était susceptible de donner un sérieux coup de pouce à ses amis artistes, à commencer par Geer Van Velde.» (inBeckettp. 474) Enigmatique, la petite note que Beckett rédige alors à la demande de Peggy contient déjà en germe la pensée du dramaturge: «Believes painting should mind it on business, i.e. colours. i.e no more say Picasso than Fabritius, Vermeer. Or inversely. » (« Pense que la peinture devrait se mêler de ses propres affaires, c'est-à-dire la couleur, c'est-à-dire pas plus de Picasso que de Fabritus ou Vermeer. Et inversement. ») Plus lents à croître, son amitié pour Bram et son intérêt pour sa peinture modifient peu à peu le regard de Beckett sur la peinture de Geer et lorsque, dix ans après sa première rencontre avec les frères, il écritLe Monde et le Pantalon, Beckett met à jour une dualité symbolisée par ce titre tiré d'une anecdote placée en exergue de l'article. Le monde, c'est l'uvre «imparfaite» de Dieu créé en six jours à laquelle le tailleur oppose la perfection de son pantalon achevé en six mois. La relation entre cette anecdote et les frères Van Velde est peut-être à chercher dans le second essai que Beckett leur consacre en 1948,Peintres de l'empêchement(Derrière le miroirn°11/12): «L'un d'eux dira: Je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce qu'il est ce qu'il est. L'autre: je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce que je suis ce que je suis. Il y a toujours ces deux sortes d'empêchement, l'empêchement-objet et l'empêchement-il. [...] Geer Van Velde est un artiste de la première sorte [...], Bram Van Velde de la seconde.». Résistance de l'objet ou impuissance de l'artiste, cette fable, «véritable noyau narratif premier en forme de kôan zen» (P. Vilar), se retrouvera ensuite dispersée dans l'ensemble de l'uvre de Beckett et occupera plus particulièrement une place centrale dansFin de Partie, dont Roger Blin, note par ailleurs la similitude avec l'uvre de Geer: «Il était ami à cette époque des frères Geer et Bram van Velde, hollandais et peintres tous deux. Geer était un peintre dans la lignée de Mondrian. J'ai le sentiment que Beckett voyaitFin de partiecomme un tableau de Mondrian, avec des cloisons très nettes, des séparations géométriques, de la géométrie musicale.» (R. Blin,Conversations avec Lynda PeskineinRevue d'Esthétique). L'affinité grandissante de Beckett avec l'uvre de Bram Van Velde et l'énergie qu'il dépense pour défendre son travail, notamment auprès de la galerie Maeght ou de son ami, l'historien d'art Georges Duthuit, se feront sans doute aux dépens de ses relations avec Geer. Cependant, malgré quelques malentendus, leur amitié ne sera jamais rompue, ni le dialogue silencieux mais agité que l'écrivain entretient avec l'uvre du petit frère van Velde dont il possédait deux grandes toiles: «Le grand tableau de Geer me fait enfin des signes. Dommage qu'il ait si mal tourné. Mais ce n'est peut-être pas vrai.» (lettre à Georges Duthuit, mars 1950) «Geer dégage un grand courage. Des idées un peu tranchantes, mais peut-être seulement en apparence. Je l'ai toujours beaucoup estimé. Mais pas assez je crois.» (lettre à Mania Péron, août 1951) La mort de Geer Van Velde en 1977 affecte profondément Beckett et coïncide avec une période d'intense nostalgie durant laquelle l'écrivain décide de se livrer à un «grand ménage» dans sa demeure pour vivre entre des «murs gris comme le propriétaire». Confiant ses états d'âme à son amie, la décoratrice de théâtre Jocelyn Herbert, Beckett témoigne de l'indéfectible affection qu'il porte au peintre depuis quarante ans:«plus de toiles sous les yeux, y compris celle du grand Geer Van Velde derrière le piano». Précieux témoignage de l'amitié de ces compagnons de route qui, depuisle premier roman de Beckett pour lequel ils vérifiaient ensemble la vraisemblance de la partie d'échecs opposant Murphy à M. Endon, ont affronté ensemble les grands enjeux de la modernité: «C'est qu'au fond, la peinture ne les intéresse pas. Ce qui les intéresse, c'est la condition humaine. Nous reviendrons là-dessus.» (Beckett à propos des frères Van Velde, inLe Monde et le Pantalon) - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 51865

‎BECKETT Samuel‎

‎Poèmes‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1970, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale de la traduction française imprimée à 792 exemplaires numérotés sur B.F.K. de Rives. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 85337

‎BECKETT (Samuel).‎

‎Premier amour.‎

‎Paris, Editions de Minuit, 127 avril 1970. In-12, broché,format oblong couverture à rabats, 56 pp.-[4].‎

‎Édition originale de cette nouvelle, composée directement en français par lauteur, restée inédite depuis 1945. Samuel Beckett, qui venait de recevoir le Prix Nobel, la confia à Jérôme Lindon, faute de textes nouveaux. Tirage limité à 399 exemplaires numérotés, celui-ci, parmi 293 sur bouffant sélect, l'un des "92" réservés à la Librairie des éditions de Minuit N° 33. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 31148

Livre Rare Book

Livres de A à Z
Paris France Francia França France
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‎BECKETT Samuel‎

‎Sans‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1969, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à 742 exemplaires numérotés sur vélin cuve B.F.K. de Rives, le nôtre un des100 exemplaires hors commerce. Envoi autographe signé de Samuel Beckett à Ludovic (Janvier). Dos et premier plat très légèrement insolés en tête sans gravité. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 46806

‎BECKETT Samuel‎

‎Sans‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1969, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 100 exemplaires hors commerce numérotés sur B.F.K. de Rives, seuls grands papiers avec 642 autres B.F.K. de Rives. Précieux envoi autographe daté de Janvier 1970 et signé de Samuel Beckett à son ami le peintre Geer (Van Velde) et à sa femme Lise. Agréable exemplaire. « Que dire de ces plans qui glissent, ces contours qui vibrent, ces corps comme taillés dans la brume, ces équilibres qu'un rien doit rompre, qui se rompent, et se reforment à mesure qu'on regarde ? Comment parler de ces couleurs qui respirent, qui halètent ? de cette stase grouillante ? de ce monde sans poids, sans force, sans ombre ? Ici tout bouge, nage, fuit, revient, se défait, se refait. Tout cesse, sans cesse. On dirait l'insurrection des molécules, l'intérieur d'une pierre un millième de seconde avant qu'elle ne se désagrège. C'est ça la littérature. » (La Peinture des van Velde ou Le monde et le pantalon, in Cahiers d'Art n°11-12, Paris 1945) Beckett ne parle pas ici, malgré les apparences, de son uvre littéraire mais de la peinture de Geer Van Velde, ajoutant quelques lignes plus loin: «[Bram] Van Velde peint l'étendue. G[eer] Van Velde peint la succession.» Cet éloge, publié à l'occasion de la double exposition des Van Velde, Geer chez Maeght et Bram à la galerie Mai, est le premier texte d'importance sur ces peintres alors à peu près inconnus du public: «On ne fait que commencer à déconner sur les frères VanVelde. J'ouvre la série. C'est un honneur.» Il est aussi le premier texte critique écrit directement en français par un jeune écrivain irlandais qui n'a encore jamais publié en France. Ainsi, le premier et plus important écrit sur l'art de Beckett, composé à l'aube de sa carrière littéraire, instaure, dès l'origine, une relation fondamentale entre son uvre en gestation et la peinture de ses amis: «Aussi a-t-on souvent lu ce texte en creux, ou en miroir, comme une des rares désignations de la poétique (à venir) de Beckett par lui-même, une sorte de programme anamorphique d'écriture» (Un pantalon cousu de fil blanc: Beckett et l'épreuve critiquepar Pierre Vilar) Véritable déclaration d'intention du dramaturge, ce texte fondamental - dont Beckett confesse dès l'introduction la valeur introspective: «avec les mots on ne fait que se raconter» - inaugure la période créatrice la plus fructueuse de l'écrivain. En effet, à l'instar d'Apollinaire et de Cendrars, Beckett puise dans les problématiques artistiques de ses contemporains le ferment de son écriture à venir par «la mise en cause la plus profonde des présupposés narratifs, figuratifs ou poétiques.» (Pascale Casanova inBeckett l'abstracteur) L'influence majeure de la peinture moderne sur la structure - ou déstructuration - narrative du théâtre et des romans de Beckett sera révélée et analysée par de nombreux penseurs, dont Gilles Deleuze, Julia Kristeva ou Maurice Blanchot. C'est justement à partir de la peinture des Van Velde, de Geer, puis de Bram, que Beckett formalise cette volonté de traduire la question picturale en dramaturgie. Ainsi refuse-t-il les décors de Nicolas de Staël pourEn attendant Godotcar: «Il faut que le décor sorte du texte, sans y ajouter. Quant à la commodité visuelle du spectateur, je la mets là où tu penses. Crois-tu vraiment qu'on puisse écouter devant un décor de Bram, ou voir autre chose que lui?» (Lettre à Georges Duthuit, 1952). Lorsqu'il rencontre Geer en 1937, «Beckett traverse une crise existentielle majeure, il vient de remodeler son premier romanMurphy, refusé par un grand nombre d'éditeurs, il sombre dans l'alcoolisme, quitte l'Irlande et s'installe définitivement à Paris» (Le Pictural dans l'uvre de Beckett,Lassaad Jamoussi). Il revient d'un long voyage artistique en Allemagne où il s'est imprégné d'uvres classiques et d'art contemporain - c'est lors de ce voyage qu'il découvre lesDeux hommes contemplant la lunede Caspar David Friedrich, à l'origine deEn attendant Godot. L'art est alors au cur de sa réflexion créatrice et l'amitié qui va le lier à Geer puis plus tard à Bram et à leur sur Jacoba (avec laquelle il entretint peut-être une relation plus qu'amicale) va profondément influencer sa vie et son écriture. Son premier écrit sur l'art est une courte notice sur Geer Van Velde dont il impose les uvres à sa nouvelle amante Peggy Guggenheim à l'occasion de la création de sa galerie londonienne. Malgré l'échec relatif de l'exposition (qui suit celle de Kandinsky), il obtient de Peggy une bourse d'un an pour son ami. James Knowlson avance même que «si Beckett a longtemps gardé des liens étroits avec Peggy, c'est d'abord et avant tout parce qu'elle était susceptible de donner un sérieux coup de pouce à ses amis artistes, à commencer par Geer Van Velde.» (inBeckettp. 474) Enigmatique, la petite note que Beckett rédige alors à la demande de Peggy contient déjà en germe la pensée du dramaturge: «Believes painting should mind it on business, i.e. colours. i.e no more say Picasso than Fabritius, Vermeer. Or inversely. » (« Pense que la peinture devrait se mêler de ses propres affaires, c'est-à-dire la couleur, c'est-à-dire pas plus de Picasso que de Fabritus ou Vermeer. Et inversement. ») Plus lents à croître, son amitié pour Bram et son intérêt pour sa peinture modifient peu à peu le regard de Beckett sur la peinture de Geer et lorsque, dix ans après sa première rencontre avec les frères, il écritLe Monde et le Pantalon, Beckett met à jour une dualité symbolisée par ce titre tiré d'une anecdote placée en exergue de l'article. Le monde, c'est l'uvre «imparfaite» de Dieu créé en six jours à laquelle le tailleur oppose la perfection de son pantalon achevé en six mois. La relation entre cette anecdote et les frères Van Velde est peut-être à chercher dans le second essai que Beckett leur consacre en 1948,Peintres de l'empêchement(Derrière le miroirn°11/12): «L'un d'eux dira: Je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce qu'il est ce qu'il est. L'autre: je ne peux voir l'objet, pour le représenter, parce que je suis ce que je suis. Il y a toujours ces deux sortes d'empêchement, l'empêchement-objet et l'empêchement-il. [...] Geer Van Velde est un artiste de la première sorte [...], Bram Van Velde de la seconde.». Résistance de l'objet ou impuissance de l'artiste, cette fable, «véritable noyau narratif premier en forme de kôan zen» (P. Vilar), se retrouvera ensuite dispersée dans l'ensemble de l'uvre de Beckett et occupera plus particulièrement une place centrale dansFin de Partie, dont Roger Blin, note par ailleurs la similitude avec l'uvre de Geer: «Il était ami à cette époque des frères Geer et Bram van Velde, hollandais et peintres tous deux. Geer était un peintre dans la lignée de Mondrian. J'ai le sentiment que Beckett voyaitFin de partiecomme un tableau de Mondrian, avec des cloisons très nettes, des séparations géométriques, de la géométrie musicale.» (R. Blin,Conversations avec Lynda PeskineinRevue d'Esthétique). L'affinité grandissante de Beckett avec l'uvre de Bram Van Velde et l'énergie qu'il dépense pour défendre son travail, notamment auprès de la galerie Maeght ou de son ami, l'historien d'art Georges Duthuit, se feront sans doute aux dépens de ses relations avec Geer. Cependant, malgré quelques malentendus, leur amitié ne sera jamais rompue, ni le dialogue silencieux mais agité que l'écrivain entretient avec l'uvre du petit frère van Velde dont il possédait deux grandes toiles: «Le grand tableau de Geer me fait enfin des signes. Dommage qu'il ait si mal tourné. Mais ce n'est peut-être pas vrai.» (lettre à Georges Duthuit, mars 1950) «Geer dégage un grand courage. Des idées un peu tranchantes, mais peut-être seulement en apparence. Je l'ai toujours beaucoup estimé. Mais pas assez je crois.» (lettre à Mania Péron, août 1951) La mort de Geer Van Velde en 1977 affecte profondément Beckett et coïncide avec une période d'intense nostalgie durant laquelle l'écrivain décide de se livrer à un «grand ménage» dans sa demeure pour vivre entre des «murs gris comme le propriétaire». Confiant ses états d'âme à son amie, la décoratrice de théâtre Jocelyn Herbert, Beckett témoigne de l'indéfectible affection qu'il porte au peintre depuis quarante ans:«plus de toiles sous les yeux, y compris celle du grand Geer Van Velde derrière le piano». Précieux témoignage de l'amitié de ces compagnons de route qui, depuisle premier roman de Beckett pour lequel ils vérifiaient ensemble la vraisemblance de la partie d'échecs opposant Murphy à M. Endon, ont affronté ensemble les grands enjeux de la modernité: «C'est qu'au fond, la peinture ne les intéresse pas. Ce qui les intéresse, c'est la condition humaine. Nous reviendrons là-dessus.» (Beckett à propos des frères Van Velde, inLe Monde et le Pantalon) - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 51864

‎BECKETT Samuel.‎

‎Solo suivi de catastrophe.‎

‎Paris, Editions de Minuit, 28 juillet 1982. Un volume in-12, broché, non coupé, 31 pp.‎

‎Édition originale. Un des 99 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches, seul tirage en grand papier avec quelques exemplaires H.-C. Celui-ci H.-C. Etat neuf, non coupé. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 29150

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Livres de A à Z
Paris France Francia França France
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‎BECKETT Samuel‎

‎Tous ceux qui tombent‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1957, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale de la traduction française établie par Robert Pinget, un des 80 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 50565

‎BECK Béatrix‎

‎Une mort irrégulière‎

‎Gallimard, Paris 1950, 12,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 43 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Bel exemplaire en dépit du dos très légèrement bruni sans aucune garvité. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 85008

‎BECK (Béatrix).‎

‎Une mort irrégulière.‎

‎Paris, Gallimard, 1950. In-12, broché, 166 pp.‎

‎Edition originale. Un des 43 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage en grand papier. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 26678

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Livres de A à Z
Paris France Francia França France
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‎BECK (Béatrix).‎

‎Cou coupé court toujours.‎

‎Paris, Gallimard, 1967. In-12, broché, non coupé, 110 pp. Edition originale. Un des 35 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage en grand papier. N° 12. Bel exemplaire.‎

‎BECK (Béatrix).‎

‎Le Muet.‎

‎Paris, Gallimard, 1963. In-12, broché, non coupé, 194 pp. Edition originale. Un des 40 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage en grand papier. N° 17. Bel exemplaire.‎

‎BECK (Béatrix).‎

‎Léon Morin prêtre.‎

‎Paris, Gallimard, décembre 1952. In-12, broché, non coupé, 237 pp. Nouvelle édition recomposée en décembre 1952 (l'édition originale est du 1er trimestre 1952 février). Un des 60 exemplaires du tirage de tête numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre.‎

‎BECK (Béatrix).‎

‎Une mort irrégulière.‎

‎Paris, Gallimard, 1950. In-12, broché, 166 pp. Edition originale. Un des 43 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage en grand papier.‎

‎BECKETT (Samuel).‎

‎Assez.‎

‎Paris, Editions de Minuit, 19 février 1966. In-8, broché, couverture à rabats, 30 pp. Edition originale. Tirage à 662 ex n° sur velin cuve B. F. K. rives.. Un des cent douze exemplaires marqués "112" numérotés de 1 à 112 et réservés à la librairie des Editions de Minuit. N° 33. Bel exemplaire à l'état de neuf.‎

‎BECKETT (Samuel).‎

‎Compagnie.‎

‎Paris, Editions de Minuit, 1980. In-8, broché, non coupé, 87 pp. Edition originale. Un des 99 exemplaires numérotés sur Alfa mousse, N° 10, seul tirage en grand papier avec 7 H. C. Neuf, non coupé. ETAT NEUF.‎

‎BECKETT (Samuel).‎

‎Mal vu mal dit.‎

‎Paris, Editions de Minuit, 1981. In-8, broché, non coupé, 76 pp. Edition originale. Un des 99 exemplaires numérotés sur Alfa mousse, N° 7, seul tirage en grand papier avec 15 H. C. Neuf, non coupé. ETAT NEUF.‎

‎BECKETT Samuel.‎

‎Les Os d'Echo et autres précipités. Traduit de l'anglais et présenté par Edith Fournier.‎

‎Paris, Editions de Minuit, 28 août 2002. Un volume in-12, broché, non coupé, 59 pp. Edition originale. Un des 99 exemplaires numérotés sur vergé de Vizille seul tirage en grand papier avec 7 h.c. N° 24. ETAT NEUF.‎

‎BECKETT Samuel.‎

‎Solo suivi de catastrophe.‎

‎Paris, Editions de Minuit, 28 juillet 1982. Un volume in-12, broché, non coupé, 31 pp. Edition originale. Un des 99 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches, seul tirage en grand papier avec quelques exemplaires H.-C. Celui-ci H.-C. Etat neuf, non coupé.‎

‎BEDOUIN Jean-Louis‎

‎André Breton‎

‎Pierre Seghers éditeur, coll. "Poètes d'aujourd'hui", 1950. Un volume broché, couverture illustrée, 140 X 170 mm, 226 p. Edition originale. L'un des 100 exemplaires de tête numérotés sur Alfamarais. Oeuvres choisies, bibliographie, dessins, portraits, fac-similés. Marque de pli angulaire au coin supérieur du premier plat, couverture légèrement passée, intérieur bon.‎

‎Port France métropolitaine; 5,68 euros‎

Bookseller reference : 12-07-19.08

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L'Autre Sommeil
Bécherel France Francia França France
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€150.00 Buy

‎BEDOUIN Jean-Louis ERNST Max‎

‎André Breton‎

‎Seghers, Paris 1950, 14x17cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 100 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers avec quelques hors commerce également sur alfa. Iconographie. Ouvrage illustré sur la couverture d'un portrait d'André Breton par Max Ernst. Dos et plats légèrement et marginalement décolorés, deux petits manques en tête et en pied des plats. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 59357

‎BEDEL (Maurice).‎

‎Géographie de mille hectares.‎

‎Paris, Grasset, 15 mars 1934. Un volume in-12, broché, non coupé, 140 pp.‎

‎Édition originale. Un des 60 ex n° sur vélin pur fil Lafuma, seul tirage en grand papier. N° 14 État de neuf.Maurice Bedel, né le 30 décembre 1883 à Paris et mort le 15 octobre 1954 à La Genauraye à Thuré (Vienne), est un écrivain, essayiste et journaliste français. Docteur en médecine, la thèse de Maurice Bedel est consacrée aux obsessions périodiques et se tourne vers la psychiatrie. Maurice Bedel exerce sa profession de médecin pendant les quatre ans de la Première Guerre mondiale, au 170e régiment d'infanterie comme médecin-major.Il publie ses premiers poèmes sous le pseudonyme de Gabriel Senlis : Le Cahier de Phane. Couronné par le prix Goncourt en 1927 pour son premier roman Jérôme 60° latitude nord, il est élu en 1948 président de la Société des gens de lettres. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 30797

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Livres de A à Z
Paris France Francia França France
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‎BEDEL (Maurice).‎

‎L'Alouette aux nuages.‎

‎Paris, Gallimard, 1935. Un volume in-12, broché, 215 pp.‎

‎Édition originale. Tirage à 282 ex n°. Un des 42 ex du tirage de tête sur vélin pur fil Lafuma Navarre. N° 24. Bel ex. État neuf.Maurice Bedel, né le 30 décembre 1883 à Paris et mort le 15 octobre 1954 à La Genauraye à Thuré (Vienne), est un écrivain, essayiste et journaliste français. Docteur en médecine, la thèse de Maurice Bedel est consacrée aux obsessions périodiques et se tourne vers la psychiatrie. Maurice Bedel exerce sa profession de médecin pendant les quatre ans de la Première Guerre mondiale, au 170e régiment d'infanterie comme médecin-major.Il publie ses premiers poèmes sous le pseudonyme de Gabriel Senlis : Le Cahier de Phane. Couronné par le prix Goncourt en 1927 pour son premier roman Jérôme 60° latitude nord, il est élu en 1948 président de la Société des gens de lettres. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 30796

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Livres de A à Z
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‎BEDARRIDES Albert‎

‎La fin de la semaine‎

‎Seuil, Paris 1962, 13,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 10 exemplaires numérotés sur vélin neige, le nôtre un des 3 hors commerce, seuls grands papiers. Bel exemplaire. Envoi autographe signé d'Albert Bedarrides à Jean Bardet, co-fondateur avec Paul Flamand des éditions du Seuil. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 63692

‎BEDEL Maurice‎

‎Le mariage des couleurs‎

‎Gallimard, Paris 1951, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 130 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 46377

‎BEDEL (Maurice)..‎

‎Monsieur Le Professeur Jubier.‎

‎Paris, Denoël et Steele, 1936. Un volume, in-8, broché, non coupé, ex à grandes marges, 169 pp.‎

‎Édition originale. Tirage à 155 ex n°. Un des cinq exemplaires du tirage de tête numéroté sur Hollande. N° 4. État de neuf.Maurice Bedel, né le 30 décembre 1883 à Paris et mort le 15 octobre 1954 à La Genauraye à Thuré (Vienne), est un écrivain, essayiste et journaliste français. Docteur en médecine, la thèse de Maurice Bedel est consacrée aux obsessions périodiques et se tourne vers la psychiatrie. Maurice Bedel exerce sa profession de médecin pendant les quatre ans de la Première Guerre mondiale, au 170e régiment d'infanterie comme médecin-major.Il publie ses premiers poèmes sous le pseudonyme de Gabriel Senlis : Le Cahier de Phane. Couronné par le prix Goncourt en 1927 pour son premier roman Jérôme 60° latitude nord, il est élu en 1948 président de la Société des gens de lettres. Photos sur demande.‎

Bookseller reference : 30798

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‎BEDEL (Maurice).‎

‎Monsieur Le Professeur Jubier.‎

‎Paris, Denoël et Steele 1936. Un volume in-12, broché, non coupé, 169 pp.‎

‎Édition originale. Tirage à 155 ex n°. Un des 50 ex n° sur vélin pur fil, deuxième papier après 5 Hollande. N° 44.Maurice Bedel, né le 30 décembre 1883 à Paris et mort le 15 octobre 1954 à La Genauraye à Thuré (Vienne), est un écrivain, essayiste et journaliste français. Docteur en médecine, la thèse de Maurice Bedel est consacrée aux obsessions périodiques et se tourne vers la psychiatrie. Maurice Bedel exerce sa profession de médecin pendant les quatre ans de la Première Guerre mondiale, au 170e régiment d'infanterie comme médecin-major.Il publie ses premiers poèmes sous le pseudonyme de Gabriel Senlis : Le Cahier de Phane. Couronné par le prix Goncourt en 1927 pour son premier roman Jérôme 60° latitude nord, il est élu en 1948 président de la Société des gens de lettres. Photos sur demande.‎

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Livres de A à Z
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‎BEDEL Maurice‎

‎Philippine‎

‎Nrf, Paris 1930, 17x23cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 109 ex numérotés sur Lafuma Navarre et réimposés dans le format in-quarto tellière, tirage de tête. Très bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 3883

‎BEDOUIN Jean-Louis‎

‎Vingt ans de surréalisme 1939-1959‎

‎Denoël, Paris 1961, 14,5x20,5cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 25 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers. Iconographie. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74291

‎BEDEL (Maurice).‎

‎Géographie de mille hectares.‎

‎Édition originale. Un des 60 ex n° sur vélin pur fil Lafuma, seul tirage en grand papier. N° 14 État de neuf. Maurice Bedel, né le 30 décembre 1883 à Paris et mort le 15 octobre 1954 à La Genauraye à Thuré (Vienne), est un écrivain, essayiste et journaliste français. Docteur en médecine, la thèse de Maurice Bedel est consacrée aux obsessions périodiques et se tourne vers la psychiatrie. Maurice Bedel exerce sa profession de médecin pendant les quatre ans de la Première Guerre mondiale, au 170e régiment d'infanterie comme médecin-major. Il publie ses premiers poèmes sous le pseudonyme de Gabriel Senlis : Le Cahier de Phane. Couronné par le prix Goncourt en 1927 pour son premier roman Jérôme 60° latitude nord, il est élu en 1948 président de la Société des gens de lettres.‎

‎BEDEL (Maurice).‎

‎L'Alouette aux nuages.‎

‎Édition originale. Tirage à 282 ex n°. Un des 42 ex du tirage de tête sur vélin pur fil Lafuma Navarre. N° 24. Bel ex. État neuf. Maurice Bedel, né le 30 décembre 1883 à Paris et mort le 15 octobre 1954 à La Genauraye à Thuré (Vienne), est un écrivain, essayiste et journaliste français. Docteur en médecine, la thèse de Maurice Bedel est consacrée aux obsessions périodiques et se tourne vers la psychiatrie. Maurice Bedel exerce sa profession de médecin pendant les quatre ans de la Première Guerre mondiale, au 170e régiment d'infanterie comme médecin-major. Il publie ses premiers poèmes sous le pseudonyme de Gabriel Senlis : Le Cahier de Phane. Couronné par le prix Goncourt en 1927 pour son premier roman Jérôme 60° latitude nord, il est élu en 1948 président de la Société des gens de lettres.‎

‎BEDEL (Maurice).‎

‎Monsieur Le Professeur Jubier.‎

‎Édition originale. Tirage à 155 ex n°. Un des 50 ex n° sur vélin pur fil, deuxième papier après 5 Hollande. N° 44. Maurice Bedel, né le 30 décembre 1883 à Paris et mort le 15 octobre 1954 à La Genauraye à Thuré (Vienne), est un écrivain, essayiste et journaliste français. Docteur en médecine, la thèse de Maurice Bedel est consacrée aux obsessions périodiques et se tourne vers la psychiatrie. Maurice Bedel exerce sa profession de médecin pendant les quatre ans de la Première Guerre mondiale, au 170e régiment d'infanterie comme médecin-major. Il publie ses premiers poèmes sous le pseudonyme de Gabriel Senlis : Le Cahier de Phane. Couronné par le prix Goncourt en 1927 pour son premier roman Jérôme 60° latitude nord, il est élu en 1948 président de la Société des gens de lettres.‎

‎BEDEL (Maurice).‎

‎Voyage de Jérôme aux Etats-Unis d'Amérique.‎

‎Paris, Gallimard, 1953. In-12, broché, 268 pp. Edition originale. Un des 80 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seul tirage en grand papier avec 5 hors-commerce. Maurice Bedel, né le 30 décembre 1883 à Paris et mort le 15 octobre 1954 à La Genauraye à Thuré (Vienne), est un écrivain, essayiste et journaliste français. Docteur en médecine, la thèse de Maurice Bedel est consacrée aux obsessions périodiques et se tourne vers la psychiatrie. Maurice Bedel exerce sa profession de médecin pendant les quatre ans de la Première Guerre mondiale, au 170e régiment d'infanterie comme médecin-major. Il publie ses premiers poèmes sous le pseudonyme de Gabriel Senlis : Le Cahier de Phane. Couronné par le prix Goncourt en 1927 pour son premier roman Jérôme 60° latitude nord, il est élu en 1948 président de la Société des gens de lettres.‎

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