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Número de resultados : 55,031 (1101 Página(s))

‎SIMENON Georges‎

‎Maigret et la vieille dame‎

‎Presses de la Cité, Paris 1950, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire complet de sa jaquette illustrée. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 86012

‎SIMENON Georges‎

‎Maigret se fâche suivi de La pipe de Maigret‎

‎Presses de la Cité, Paris 1947, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Quelques rousseurs sur la première garde. Agréable exemplaire complet de sa belle jaquette illustrée. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 86524

‎SIMENON Georges‎

‎PEDIGREE. Et autres romans.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 2009 In-12 ( 175 X 110 mm ) de XL-1699 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés, sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie par Jacques DUBOIS et Benoît DENIS. Très bel exemplaire.‎

Referencia librero : 959306

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Libros de Librairie Tiré à Part]

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‎SIMENON Georges‎

‎Pietr-le-Letton‎

‎A. Fayard & Cie, Paris 1931, 12x18,5cm, broché.‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Belle couverture photographique. Inévitables rides et petits manques angulaires sur le dos et les plats, sinon agréable exemplaire au regard de la fragilité de cette édition populaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 86421

‎SIMENON Georges‎

‎ROMANS. Tome I.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 2007 In-12 ( 175 X 110 mm ) de XCIII-1493 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie par Jacques DUBOIS avec Benoit DENIS. Très bel exemplaire.‎

Referencia librero : 991100

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Libros de Librairie Tiré à Part]

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‎SIMENON Georges‎

‎ROMANS. Tome I.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 2003 In-12 ( 175 X 110 mm ) de XCIII-1493 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie par Jacques DUBOIS avec Benoit DENIS. Très bel exemplaire.‎

Referencia librero : 115770

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Libros de Librairie Tiré à Part]

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‎SIMENON Georges‎

‎Un crime en Hollande‎

‎A. Fayard & Cie, Paris 1931, 12x18,5cm, broché.‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Belle couverture photographique. Inévitables rides et petits manques angulaires sur le dos et les plats, sinon agréable exemplaire au regard de la fragilité de cette édition populaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 86436

‎SIMENON Georges - HEBEY Pierre‎

‎Album SIMENON.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 2003 In-12 ( 175 X 110 mm ) de 317 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Iconographie choisie et commentée par Pierre HEBEY. Très bel exemplaire à l'état de neuf.‎

Referencia librero : 509938

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Libros de Librairie Tiré à Part]

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‎SIMENON Georges - HEBEY Pierre‎

‎Album SIMENON.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 2003 In-12 ( 175 X 110 mm ) de 317 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Iconographie choisie et commentée par Pierre HEBEY. Très bel exemplaire à l'état de neuf.‎

Referencia librero : 363352

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Libros de Librairie Tiré à Part]

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‎SIMENON Georges - HEBEY Pierre‎

‎Album SIMENON.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 2003 In-12 ( 175 X 110 mm ) de 317 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Iconographie choisie et commentée par Pierre HEBEY. Très bel exemplaire à l'état de neuf.‎

Referencia librero : 854806

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Libros de Librairie Tiré à Part]

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‎SIMENON Georges.‎

‎Il y a encore des noisetiers.‎

‎1969 Paris, Presses de la Cité, 1969; un volume in-8° en feuilles sous couverture cartonnée souple rempliée , titre doré au 1er plat, chemise et étui cartonnés bleus, titre doré au dos de la chemise; 246 - (1)pp., (2)ff. Chanière supérieure de la chemise frottrée , sinon très bon état.‎

‎Edition originale. 1 des 296 exemplaires du tirage de luxe, celui 1 des 200 H. C. sur Alfa mousse. Envoi autographe signé de l'auteur sur le faux-titre. (Reu-Bur)‎

Referencia librero : 11267

Livre Rare Book

Livres Anciens N. Rousseau
Reuilly France Francia França France
[Libros de Livres Anciens N. Rousseau]

€300.00 Comprar

‎Simenon Georges.‎

‎Pedigrée. ( Un des 200 exemplaires, numérotés du tirage de tête ).‎

‎Editions Presses de la cité 1948. Fort in-8 cartonnage éditeur souple, à marges, de 516 pages au format 14,5 x 5 x 23 cm. Couverture avec titre imprimé. Dos carré avec titre. Plats et intérieur frais malgré une légère trace de pliure au coin inférieur droit du 1er plat. Intérieur frais malgré des rousseurs, importantes en pages de garde, puis plus légères sur les 15 premières pages et des pages 512 à la fin. Rousseurs sur la tranche supérieure. Complet de la belle et rarissime jaquette illustrée. Cette dernière présente de petits frottis, de petits plis et de très légers manques épars. La jaquette n'a subi aucune restauration. Un des 200 exemplaires numérotés sur Velin Alfama des Papeteries du Marais ( n° 149 ), seul grand papier. Très rare édition originale non expurgée achevée d'imprimer le 15 octobre 1948. Ce texte considéré par certains comme le chef-d'oeuvre de Simenon, fut écrit entre 1941 et 1943, suite au choc d'un diagnostic médical, erroné, qui condamnait l'auteur à une mort certaine à brève échéance. Ce roman autobiographique où Georges Simenon réglait quelques comptes, lui vaulut des poursuites judiciaires, qui conduisirent l'éditeur à rééditer le roman dans une version expurgée.‎

‎Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues‎

Referencia librero : 16814

Livre Rare Book

Librairie Victor Sevilla
Paris France Francia França France
[Libros de Librairie Victor Sevilla]

€1,250.00 Comprar

‎Simenon Georges:‎

‎Lettre à ma mère.‎

‎Presses de la Cité, 1974. In-8, cartonnage titré or au dos, jaquette couleurs. 2 déchiures sans manque à la jaquette.‎

‎Edition originale sur papier courant.‎

Referencia librero : 18387

Livre Rare Book

La Bergerie
Le Locle Switzerland Suiza Suíça Suisse
[Libros de La Bergerie]

€23.89 Comprar

‎SIMENON, Georges.‎

‎Quand j'étais vieux.‎

‎Paris, Presses de la Cité, 1970, 1 volume in-4 de 255x165 mm environ, 407 pages, broché. Exemplaire N° 57, un des 100 exemplaires sur papier Alfa Mousse des Papeteries de Navarre, numérotés de 1 à 100, feuillets non coupés non rognés. Bon état. Edition originale.‎

‎Georges Simenon est un écrivain belge francophone né à Liège en Belgique le 13 février 1903 et mort à Lausanne en Suisse le 4 septembre 1989. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

Referencia librero : 109948

Livre Rare Book

Librairie Diogène
Lyon France Francia França France
[Libros de Librairie Diogène]

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‎SIMEON‎

‎L'ondulation permanente Eugène (Publicité, La Gazette du Bon ton, 1920)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur faisant la publicité de la boutique Verlaine, tirée sur papier vergé. Deux vignettes publicitaires au dos sur Valaze et les produits du Dr Dys. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 73139

‎SIMEON‎

‎Le Retour des autans. Tailleur et Robe d'après-midi, de Doeuillet. (La Gazette du Bon ton, n°7 - Planche 55 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris [circa 1920], 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 43226

‎SIMEON‎

‎Un peu beaucoup. (La Gazette du Bon ton, n°5. Année 1920 - Planche 34 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas au centre dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 39039

‎SIMEON Fernand‎

‎Au bal noir et blanc. Manteau du soir (pl.25, La Gazette du Bon ton, 1921 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 54861

‎SIMEON Fernand‎

‎Costumes parisiens. Tailleur de velours blanc frappé garni de loutre et de passementerie (pl.28, Journal des Dames et des Modes, 1912 n°15)‎

‎S.n., Paris 1912, 14x22,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 57636

‎SIMEON Fernand‎

‎La Lettre surprise (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1920 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Février 1920, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 54711

‎SIMEON Fernand‎

‎O Maître el Relicario (pl.66, La Gazette du Bon ton, 1920 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 54812

‎SIMEON Fernand‎

‎Un peu beaucoup (pl.34, La Gazette du Bon ton, 1920 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Juin 1920, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 54773

‎SIMEON Fernand‎

‎Vous avez vu ? Cette petite. Robe de promenade en Parquetine de Rodier. (La Gazette du Bon ton, n°4. Année 1920 - Planche 24 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, la signature ne permet pas d'identifier l'artiste. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 39027

‎SIMEON Mario‎

‎La Partie de cache-cache. Robe en ruban. (La Gazette du Bon ton, n°1. Année 1921 - Planche 1 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé et signée dans la planche par l'auteur en bas à gauche. Gravure originale réalisée pour l'illustration deLa gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Quelques petites ombres ne portant néanmoins pas atteinte à l'estampe. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 38999

‎SIMIAND (François).‎

‎Le Salaire, l'évolution sociale et la monnaie. Essai de théorie expérimentale du salaire - Introduction et étude globale.‎

‎Félix Alcan, 1932, 3 vol. gr. in-8°, xxxii-586,620 et xliv-152 pp, nombreux tableaux dont 8 dépliants hors texte dans le tome III, sources et biblio, broché, dos abîmés recollés, état correct. Edition originale. Rare‎

‎Les travaux de Simiand sur le salaire sont exemplaires de sa méthode qui est comme une application des préceptes méthodologiques établis par Durkheim : après avoir défini les concepts adéquats, Simiand fournit un énorme travail de collecte, d’examen critique et de mise en séries des données statistiques disponibles. Il élabore ensuite une théorie de l’action conflictuelle entre groupes sociaux de manière à expliquer les évolutions que donnent à voir les statistiques. Cette théorie repose sur l’idée que l’action intéressée prend quatre formes (dans l’ordre décroissant : diminuer l’effort, accroître le gain, maintenir l’effort, maintenir le gain) pour les deux groupes en opposition (patrons/ouvriers) sur le montant de leurs revenus nominaux (profits/salaires) et de leur effort (organisation et mécanisation/productivité). L’impulsion initiale provient des variations des prix – elles-mêmes expliquées par les variations exogènes des quantités de monnaie – qui amènent les agents à adopter différentes modalités d’action intéressée. La résolution des conflits repose sur l’idée que le groupe mettant enjeu l’action de rang le plus élevé obtient satisfaction sur l’autre. Simiand montre alors comment s’enchaînent les actions et réactions entre les prix, la productivité, la production et les revenus.‎

Referencia librero : 19328

Livre Rare Book

Pages d'Histoire - Librairie Clio
Paris France Francia França France
[Libros de Pages d'Histoire - Librairie Clio]

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‎SIMLER Josias & LEU Johan Jakob‎

‎Von dem Regiment de lobl. Eydgenossschaft zwey Bücher / In deren Ersterem ein kurtzgefasste Politische Historie der Helvetisch und Eydgenössischen Sachen / nebst einer Nachricht von der Eydgenossen unter sich selbst und mit frömden Fürsten und Staaten gemachten Bündnussen Ursprung / Beschaffenheit und Haubt-Articuln; In dem Anderen aber eine Beschreibung der Eydgenossen Fridens-und Kriegs-Uebungen / samt der Beschaffenheit des Regiments wie der Eydgenössischen Republic insgemein / also jeder derselben XIII. und zugewandter Städten / und Orthen insbesonder / auch der Regierung deren allseitigen Unterthanen / enthalten; Erstlich mit sonderem Fleiss vor anderhalben Seculo zusamengetragen.?‎

‎David Gessner, Zurich 1722, Pet. in-4 (15x20cm), (16) 717pp. (23), relié.‎

‎Edition originale, rare, de cette édition révisée, commentée et annotée de Johann Jakob Leu de l'ouvrage majeur de Josias Simler : "De republica helvetiorum" (1576). Une grande carte dépliante de la Suisse par Michael Kauffer d'après Christoph Weigel. Un frontispice de Fussli, par ailleurs souvent absent, n'a pas été joint à cet exemplaire. Reliure en demi vélin à coins d'époque. Dos lisse avec titre à la plume noire. Plats frottés. Quelques rousseurs marginales. Carte renforcée au dos par du papier ancien. Bon exemplaire. Hans Jakob Leu fut appelé par l'éditeur David Gessner à réviser l'édition de Simler : De republica helvetiorum. Dès 1720, Leu rassembla une grande quantité d'informations sur les régiments de chaque canton. Son but initial était de continuer l'ouvrage de Simler jusqu'en 1720 et de le compléter dans ses parties anciennes ; il en fit un nouvel ouvrage, plus ample et solide. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 41213

‎SIMON J.-P.‎

‎L’Ingénuité‎

‎D’après un tableau de Brun. Belle épreuve très légèrement coloriée. En feuille Très bon Avant 1815 37,5 x 29,5 (52 x 40)‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 5246

Livre Rare Book

Librairie Seigneur
Voingt France Francia França France
[Libros de Librairie Seigneur]

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‎SIMON (Claude)‎

‎LE SACRE DU PRINTEMPS.‎

‎Paris, Calmann-Lévy, 1954, in-12, broché, 276 pages. Edition originale dont il n’a pas été tiré de grand papier. Exemplaire du service de presse (mention imprimée) comportant un envoi autographe signé de l’auteur : « A Paul et Suzon / très affectueusement ». Dos un peu creusé, petites piqûres en couverture.‎

‎EDITION ORIGINALE LIVRE DEDICACE Tous nos livres bénéficient d'une réduction de 50% (pour cause de départ à la retraite) jusqu'au 30 avril 2025‎

Referencia librero : 9103

Livre Rare Book

Librairielegalet
Paris France Francia França France
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‎SIMON (Claude).‎

‎Orion aveugle.‎

‎Genève, Albert Skira, Les Sentiers de La Création, 8ème vol. de la collection, 1970. Un volume in-8, couverture illustrée en couleurs, 145 pp. Edition originale. Nombreuses illustrations dans et hors-texte. Bel exemplaire.‎

‎SIMON (Claude).‎

‎Orion aveugle.‎

‎Genève, Albert Skira, Les Sentiers de La Création, 8ème vol. de la collection, 1970. Un volume in-8, couverture illustrée en couleurs, 145 pp.‎

‎Édition originale. Nombreuses illustrations dans et hors-texte. Bel exemplaire. Photos sur demande.‎

Referencia librero : 23272

Livre Rare Book

Livres de A à Z
Paris France Francia França France
[Libros de Livres de A à Z]

€120.00 Comprar

‎SIMON (Jean).‎

‎Etudes et documents sur Gannat.‎

‎Moulins, Imprimerie Pottier, 1965 ; in-8, broché. 82pp.-1f. Parfait état.‎

‎Edition originale avec un envoi autographe de l'auteur : "A celle qui m'a toujours compris. J." Réunion de plusieurs études sur Gannat : la devise de la ville "Nul ne s'y frotte sans gantelet" ; commerçants et artisans au XVIIIe siècle ; création de l'Hôpital général ; origines de l'orphelinat Saint-Joseph ; notes sur le couvent des Capucins ; le procès de la dîme. (Autre exemplaire sans envoi : 30)‎

Referencia librero : 5956

Livre Rare Book

La Librairie Bourbonnaise
Vichy France Francia França France
[Libros de La Librairie Bourbonnaise]

€40.00 Comprar

‎SIMON (Jean).‎

‎Gannat sous le gouvernement de la Défense nationale.‎

‎Moulins, Imprimerie Pottier, 1975 ; in-8, broché. 39pp. Sur vélin Lafuma. Parfait état.‎

‎Edition originale. Un épisode de l'histoire de Gannat à la fin du Second empire.‎

Referencia librero : 5958

Livre Rare Book

La Librairie Bourbonnaise
Vichy France Francia França France
[Libros de La Librairie Bourbonnaise]

€25.00 Comprar

‎SIMON (Jean).‎

‎L'adoration des Bergers. Essai.‎

‎Gannat, Aux Lys Bourbonnais, 1970 ; plaquette in-8, brochée. 30pp.-1f. - Planche en frontispice. Imprimé sur vélin Lafuma par Pottier à Moulins. Très bon état.‎

‎Edition originale avec un envoi autographe de l'auteur.Jean Simon est un écrivain gannatois attachant, (1909-1992) : il a publié une grande quantité d'études plus ou moins courtes sur Gannat et ses environs, la plupart du temps imprimées sur beaux papier, souvent hors-commerce et toujours à petit nombre. Cette plaquette en fait partie : l'auteur évoque ses impressions face au tableau de Guy FRANCOIS conservé dans l'église Sainte-Croix, une "Adoration des bergers" d'une grande qualité, due à l'artiste ponot qui la réalisa pour le couvent des capucins de Gannat en 1630. (Autre exemplaire sans envoi, 20)‎

Referencia librero : 5955

Livre Rare Book

La Librairie Bourbonnaise
Vichy France Francia França France
[Libros de La Librairie Bourbonnaise]

€25.00 Comprar

‎SIMON (Jean).‎

‎Psyché.‎

‎Moulins, Aux Lys Bourbonnais, (Imprimerie Pottier), 1989 ; petit in-12 (12,5 x 16 cm), broché. 46 pp.-1f. Parfait état.‎

‎Edition originale tirée à petit nombre, du dernier livre publié par l'érudit et poète gannatois. Avec un envoi autographe de l'auteur. Bien que non numéroté on sais que Jean Simon ne faisait imprimer ses ouvrages qu'en nombre restreint d'exemplaire, et comme ici soigneusement imprimé en typographie, sur du papier de Richard-de-Bas, avec des feuillets de garde du même papier d'Auvergne à incrustations de fleurs des montagnes. Il s'intéresse ici à la fable de Psychée, à la légende bourbonnaise de "La jolie fille de la garde", et livre quelques méditations sur la mythologie gréco-romaine. (Virlogeux, Si Gannat... p. 100). Tous les livres de J. Simon sont des objets de bibliophilie bourbonnaise trop souvent ignorés des amateurs.‎

Referencia librero : 13573

Livre Rare Book

La Librairie Bourbonnaise
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€45.00 Comprar

‎SIMON Claude‎

‎Les corps conducteurs‎

‎Les Editions de Minuit, Paris 1971, 14x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 97 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers avec 92 bouffant. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 47745

‎SIMON Claude‎

‎Lettre autographe signée de Claude Simon à René Wintzen‎

‎Sabres 1er octobre 1975, 14,6x20,9cm, 1 page sur une feuille.‎

‎Lettre autographe signée de Claude Simon à René Wintzen de 15 lignes écrites à l'encre noire. Pliure inhérente à l'envoi postal. Lettre adressée à René Wintzen, ancien rédacteur en chef de Documents,revue des questions allemandes. Il est, au moment de l'envoi de cette lettre, le rédacteur en chef de la revue et de la maison d'édition « Vent debout » et organise des conférences. Claude Simon remercie son correspondant pour un article qu'il a écrit et dans lequel il a compris la volonté de Claude Simon de situer ses livres « dans l'histoire ». Avec ces remerciements, Claude Simon exprime également sa lassitude vis-à-vis des critiques qui ne comprennent pas son oeuvre, « contrairement à la plupart des critiques (mais lisent-ils ?) vous avez bien vu ». Il obtient néanmoins dix ans plus tard le prix Nobel de littérature qui consacre l'importance de son oeuvre en dépit d'un succès commercial et lui laisse l'occasion de répondre aux critiques lors de son discours :« Laissons de côté les griefs qui m'ont été faits d'être un auteur « difficile », « ennuyeux », « illisible » ou « confus » en rappelant simplement que les mêmes reproches ont été formulés à l'égard de tout artiste dérangeant un tant soit peu les habitudes acquises et l'ordre établi [...] le reproche fait à mes romans de n'avoir « ni commencement ni fin », ce qui, en un sens, est tout à fait exact, mais tout de suite je me plais à retenir deux adjectifs considérés comme infamants, naturellement ou, pourrait-on dire, corollairement associés, et qui montrent bien d'emblée où se trouve le problème : ce sont ceux qui dénoncent dans mes ouvrages le produit d'un travail « laborieux », et donc forcément « artificiel ». » Claude Simon conclut sa lettre en promettant à son correspondant de lui envoyer son dernier livre, Leçon de choses, et en s'excusant de ne pas pouvoir le lui dédicacer. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 62729

‎SIMON Claude‎

‎OEUVRES.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 2006 In-12 ( 175 X 110 mm ) de LXXV-1582 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés, sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Très bel exemplaire.‎

Referencia librero : 450209

Livre Rare Book

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‎SIMON Claude‎

‎OEUVRES.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 2006 In-12 ( 175 X 110 mm ) de LXXV-1582 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés, sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie par Alastair B. DUNCAN. Très bel exemplaire.‎

Referencia librero : 879358

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‎SIMON Claude‎

‎OEUVRES.‎

‎Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 2006 In-12 ( 175 X 110 mm ) de LXXV-1582 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés, sous rhodoïd et étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Edition établie par Alastair B. DUNCAN. Très bel exemplaire.‎

Referencia librero : 943588

Livre Rare Book

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‎SIMON Edouard‎

‎Le gouvernement constitutionnel et les partis en Prusse. Extrait de la Revue des Deux Mondes‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] 1862, 15,5x25cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 15305

‎SIMON J.‎

‎Etudes sur la Théodicée de Platon et d'Aristote‎

‎Joubert, Paris 1840, 13x21cm, relié.‎

‎Edition originale. Reliure en demi basane menthe, dos lisse orné de filets à froid, date en queue. Rousseurs. Il a été curieusement et partiellement relié en fin de volume un autre texte de l'auteur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 9585

‎SIMON Jules‎

‎L'apprentissage des jeunes ouvriers dans la petite industrie. Extrait de la Revue des Deux Mondes‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] s.d.(1865), 15,5x25cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Sous couveture muette. rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 14388

‎SIMON Jules‎

‎L'ouvrier de huit ans. Extrait de la Revue des Deux Mondes‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] 1864, 15,5x25cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 15472

‎SIMON Lucien‎

‎"Les marguilliers" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Décembre 1897), sujet : 35x27,5cm, planche : 55x40,8cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Lucien Simon pour L'Estampe Moderne, série numéro 8 publiée en décembre 1897. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 74014

‎SIMON Lucien‎

‎"Les marguilliers" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Décembre 1897), sujet : 35x27,5cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Lucien Simon pour L'Estampe Moderne, série numéro 8 publiée en décembre 1897. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un texte de présentation ; serpente vierge. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 74013

‎SIMON Mario‎

‎Les Soeurs jumelles. Robes trois voiles (pl.34, La Gazette du Bon ton, 1922 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Referencia librero : 54988

‎SIMON N.‎

‎Promenade humoristique à travers les religions et les dogmes‎

‎in 12 broché, titre, 192 pages, s’adresser à l’auteur à BAR SUR SEINE (Aube) sans date (1914) Edition originale‎

Referencia librero : 10491

Livre Rare Book

Charbonnel
Bar le Duc France Francia França France
[Libros de Charbonnel]

€35.00 Comprar

‎Simon Nicolas Henri Linguet‎

‎Mémoires sur la Bastille, et la détention de l'auteur dans ce château royal, depuis le 27 septembre 1780, jusqu'au 19 mai 1782.Par Mr. Linguet.‎

‎1783 Londres : De l'imp. de Thomas Spilsbury,Snowhill 1783. Fort in-8° broché,non rogné, Couvertures muettes de papier bleu époque ,titre manuscrit au dos, bel exemplaire, IV,174 pages - non rogné à grandes marges,frais; edition originale.L'adresse de Londres est fausse au regard du nom de l'imprimeur, des réclames...Fleuron au titre gravé sur bois. Bandeau typographique.The imprint is false; printed on the continent.Bel exemplaire.‎

‎Simon-Nicolas Linguet (1736-1794), célèbre littérateur et avocat rayé du tableau en raison des inimitiés qu'il suscita. Journaliste, il fut contraint à l'exil en Angleterre. Retourné en France pour régler quelques affaires, il fut incarcéré à la Bastille le 27 septembre 1780 pour n'en ressortir que deux années plus tard, le 5 décembre 1782. L'exil qu'on lui imposa l'obligea, une fois encore, à gagner l'Angleterre, où il rédigea ces mémoires. Il décrit la Bastille sous un jour particulièrement noir. Son projet est simple, après avoir démontré qu'il n'est pas simplement animé de rancune, il faut démontrer que la Bastille est un enfer. Aussi, la vie à la Bastille est décrite minutieusement, ce afin que le lecteur puisse réellement saisir l'ampleur de l'horreur affectant les conditions de détention : de l'arrivée du futur détenu, sans autre forme de procès qu'une lettre de cachet, à la fouille et à l'incarcération et le mobilier si sommaire des cellules. Publiciste réputé, Linguet (1736-1794) se lance dans le journalisme après avoir été rayé du barreau de Paris en 1774. Son journal est lu aussi bien par la famille royale que par les couches populaires parisiennes. Embastillé du 27 septembre 1780 au 19 mai 1782, il reprend ensuite la publication des Annales.Comme l'indique Tourneux, cette édition ne comporte pas de frontispice.Quérard V, 317 ; Cioranescu, 40579 ; Monselet (Oubliés et Dédaignés) I, pp :4 à 49. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Referencia librero : 25315

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Libros de Livres Anciens Komar]

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‎Simon Pierre‎

‎CARRACHE Augustin‎

‎Magnifique portrait paru chez Odieuvre. en feuille Très bon Paris 17 x 12,5 cm.‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 8153

Livre Rare Book

Librairie Seigneur
Voingt France Francia França France
[Libros de Librairie Seigneur]

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‎Simon Pierre‎

‎Fed. Baroche‎

‎Magnifique portrait paru chez Odieuvre. Baroche était un peintre du XVIè siècle. Paris 17 x 12,5 cm.‎

‎édition originale‎

Referencia librero : 8151

Livre Rare Book

Librairie Seigneur
Voingt France Francia França France
[Libros de Librairie Seigneur]

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