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‎André BILLY.‎

‎Route cavalière de la solitude.‎

‎André BILLY. Route cavalière de la solitude. 1928, éditions Lapina, collection Les Images du temps n°6, Paris. 1 vol. in-8 broché, couverture rempliée en couleurs, 147 pages. Exemplaire non coupé. ÉDITION ORIGINALE. L'UN DES 50 EXEMPLAIRES NUMÉROTÉS REIMPOSÉS IN-8 SUR PAPIER JAPON IMPÉRIAL, contenant deux états de la pointe sèche du portrait, une épreuve du cuivre barré, et UNE SUITE DES ILLUSTRATIONS. Illustrations en pointe sèche par MADRASSI et bois originaux de Paul De PIDOLL. Manuscrit en fac-similé. Intérieur en parfait état, bel exemplaire, complet de son étui cartonné avec sa pièce de titre sur le dos. Très bon‎

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Livre Rare Book

Voyage au bout du quai
Saint quentin France Francia França France
[Книги с Voyage au bout du quai]

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‎André BLUM‎

‎Abraham Bosse et la société française au dix-septième siècle‎

‎Albert Morancé | Paris 1924 | 19.50 x 23 cm | reliure de l'éditeur‎

‎Edition originale. Reliure en demi chagrin noisette, dos à cinq nerfs légèrement passé et comportant de légères éraflures sans gravité, monogramme doré de l'éditeur en pied du premier plat, plats de papier marbré, couvertures conservées, tête dorée, reliure de l'éditeur. Ouvrage orné de 24 planches illustrées hors-texte. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BLUM‎

‎Abraham Bosse et la société française au dix-septième siècle‎

‎Albert Morancé | Paris 1925 | 19 x 24 cm | broché‎

‎Edition originale. Ouvrage illustré de 24 planches hors-texte. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BLUM‎

‎Les origines du papier de l'imprimerie et de la gravure‎

‎Editions de la Tournelle | Paris 1935 | 16.50 x 25.50 cm | broché‎

‎Edition originale. Envoi de André Blum à Henri Verne. Iconographie. Dos légèrement gauchi, sinon agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BONNARD‎

‎Civilisation grecque‎

‎La guilde du livre | Lausanne 1954-1959 | 17.50 x 23 cm | 3 volumes brochés‎

‎Edition originale. Riche iconographie. Agréable ensemble complet en 3 volumes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BONNARD‎

‎Le Prométhée d'Eschyle‎

‎Editions des lettres de Lausanne | Genève 1928 | 17.50 x 23.50 cm | broché‎

‎Edition originale de cette libre traduction établie par André Bonnard. Dos muet légèrement insolé, deux claires mouillures angulaires sur le premier plat, rousseurs. Précieux envoi autographe signé d'André Bonnard à Jacques Copeau. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BOUDARD‎

‎Mémoires, lettres et pièces authentiques touchant la vie et la mort de S.A.S. monseigneur Louis-Antoine-Henri de Bourbon Condé, duc d'Enghien‎

‎Audin Urbain Canel Ponthieu | Paris 1823 | 12.50 x 20 cm | relié‎

‎Edition illustrée d'un portrait en frontispice et d'un fac-similé dépliant en début de volume. Reliure en pleine basane marbrée, dos lisse orné de fleurons et de caissons dorés, dos comportant des frottements, pièce de titre de chagrin rouge, gardes et contreplats de papier à la cuve, une gouttière intérieure fendue, coins émoussés, tranches mouchetées, reliure de l'époque. Exemplaire exempt de rousseur. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BOURIN‎

‎Connaissance de Jules Romains‎

‎Flammarion | Paris 1961 | 15.50 x 21.50 cm | broché‎

‎Edition originale, un des 110 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers après 25 Arches. Iconographie. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BOURRIER‎

‎La confession de Saint Pierre‎

‎Imp. de C. Noblet & fils | Paris 1897 | 16.50 x 25 cm | broché‎

‎Edition originale de cette thèse soutenue à la Faculté de théologie protestante de Paris en vue d'obtenir le grade bachelier en théologie. Deux petits manques en tête et en pied du dos, sinon agréable et rare exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎"Allons, ce n'est pas encore cette fois que dans la révolte je parviendrai à introduire la "mesure" que nous prêche aimablement M. Camus." Lettre autographe signée inédite adressée au critique Charles Estienne‎

‎Paris 8 janvier 1953 | 21 x 27 cm | 1 pages et quelques lignes sur un feuillet‎

‎Lettre autographe signée inédite d'André Breton adressée au critique Charles Estienne?; une page et quelques lignes à l'encre noire sur un papier à en-être de la galerie de l'Étoile Scellée. Deux pliures transversales inhérentes à l'envoi, un petit manque angulaire en marge haute droite. Très belle lettre rendant compte de la disparition de l'un des amis les plus chers d'André Breton et de sa brouille avec Albert Camus. Breton fait part à son ami de la disparition de l'artiste surréaliste tchèque Jind?ich Heisler?: «?Votre lettre parlait de ces jours où il semble «?qu'il y ait juste assez de feu pour vivre?»?: c'était bien loin d'être assez de feu lundi, lorsqu'elle me parvenait?: un de mes deux ou trois meilleurs amis, Heisler, pris soudain de malaise en se rendant chez moi le samedi, avait dû être hospitalisé d'urgence et je venais de recevoir le pneumatique de Bichat m'annonçant sa mort. Je suis resté longtemps hagard devant ce fait non moins impensable qu'accompli?: il n'était pas d'être plus exquis que celui-ci, mettant plus de chaleur dans ses entreprises, dont la plus constante était de tout alléger et embellir à ceux qu'il aimait.?» Les deux poètes étaient en effet très proches?: Heisler avait participé, au côté de Breton, au lancement de Néon en 1948 et l'avait soutenu lors d'un épisode dépressif, l'accompagnant avec d'autres amis à l'île de Sein. «?Le début de l'année 1953 est assombri par la mort de Jind?ich Heisler (le 4 janvier). Fidèle entre les fidèles, il «?a vécu intégralement pour le surréalisme?» selon Breton qui rend hommage à son activité d'animateur?: «?C'est ainsi qu'il fut de 1948 à 1950 l'âme de Néon et jusqu'à ses derniers instants le plus grand enfanteur de projets que son génie lui soufflait le moyen de réaliser comme par enchantement.?»?» (Henri Béhar, André Breton) * Dans cette lettre empreinte de douleur, Breton fait soudainement référence à L'Homme révolté d'Albert Camus paru deux années plus tôt?: «?Allons, ce n'est pas encore cette fois que dans la révolte je parviendrai à introduire la «?mesure?» que nous prêche aimablement M. Camus.?» Les deux écrivains se rencontrent à New York à la fin mars 1946 alors que Camus est invité aux États-Unis pour une tournée de conférences comme représentant de Combat. «?Tous deux se concertent sur la meilleure façon de préserver le témoignage de certains hommes libres des distorsions idéologiques. Ils rêvent à une sorte de pacte par lequel des gens de leur trempe s'engageraient à ne s'affilier à aucun parti politique, à lutter contre la peine de mort, à ne jamais prétendre aux honneurs quels qu'ils soient.?» (ibid.) Avec d'autres intellectuels, ils fonderont en 1948 le Rassemblement démocratique révolutionnaire (RDR). Cet idylle prendra fin quelques années plus tard, à l'automne 1951, lorsque Camus publiera «?Lautréamont et la banalité?» extrait de son Homme révolté à venir. Breton, extrêmement blessé, lui répond dans un article intitulé «?Sucre jaune?» (in Arts)?: «?Cet article [...] témoigne de [l]a part [de Camus], pour la première fois, d'une position morale et intellectuelle indéfendable. [...] Il ne veut voir en Lautréamont qu'un adolescent «?coupable?» qu'il faut que lui en sa qualité d'adulte il morigène. Il va jusqu'à lui trouver dans la seconde partie de son uvre?: Poésies, une punition méritée. À en croire Camus, Poésies ne serait qu'un ramassis de «?banalités laborieuses?» [...] Il n'y aurait encore que demi-mal si l'indigence de ces vues ne se proposait d'élever la thèse la plus suspecte du monde, à savoir que la «?révolte absolue?» ne peut engendrer que le «?goût de l'asservissement intellectuel?». C'est là une affirmation toute gratuite, ultra-défaitiste qui doit encourir le mépris plus encore que sa fausse démonstration.?» Ainsi, deux ans plus tard, Breton tient encore rigueur du crime de lèse-majesté de Camus envers celui que Breton a érigé en père du surréalisme, mais plus encore, cette allusion à la philosophie pacifiste de Camus,‎

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‎André BRETON‎

‎"André Derain" : poème autographe de jeunesse en hommage à Derain « Ah ! plus ce brouillard tendre »‎

‎circa 1917-1918 | 22.30 x 27.60 cm | une feuille sous chemise et étui‎

‎Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton, intitulé "André Derain", 25 vers à l'encre noire sur papier vergé, composé en mars 1917. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a étéadressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture de ce poème, dernier de la collection,composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème «Age», dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel «Poème». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes «Décembre», «Age», et «André Derain», tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie «L'an suave». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème «Facon» (1916) en ces termes: «Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon» (Lettre de juin 1916,uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de la Meuse. Il fait à Nantes la connaissance de Jacques Vaché, qui lui inspire un projet d'écriture collective, ainsi que l'illust‎

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‎André BRETON‎

‎"Cadavre exquis" d'André Breton, photographie originale prise à l'exposition surréaliste de Paris en 1938 tirage argentique d'époque‎

‎Services photographiques The New York Times | 18 janvier 1938 | 17.20 x 13 cm | une photographie‎

‎Photographie originale, tirage argentique d'époque sur papier crumière, réalisée à l'occasion de l'exposition surréaliste de Paris en 1938. Impression «?Wide World Photos Services photographiques The New York Times?» au verso. Précieux témoin photographique d'un rare «?Cadavre exquis?»plastique du père du Surréalisme. Papillon ronéotypé encollé au dos du cliché?: «?L'exposition internationale du surréalisme 1938 s'est ouverte à la galerie des Beaux-arts. Paris. Que penser de cette curieuse «?commode?» aux jambes de femme?? Photo NYT Paris Fre. 18.1.38 DB?» * Breton est le grand instigateur de cette grande rétrospective-manifestation créatrice du Surréalisme en 1938 aux côtés d'Eluard. Davantage familier du jeu d'écriture, il s'essaie ici - avec un certain succès - à l'assemblage d'objets en "ronde-bosse". La sculpture composite était entourée des toiles de René Magritte et des sculptures de Hans Arp. Cette commode aux jambes de femme fait un formidable écho à la «?rue surréaliste?» de l'exposition, peuplée de 15 mannequins «?êtres-objets?» décorés par Marcel Duchamp, Seligmann, Max Ernst, Joan Miró, Augustín Espinoza, Sonia Mossé, Yves Tanguy, Salvador Dalí, Maurice Henry, Man Ray, Oscar Domínguez, Léo Malet et Marcel Jean. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎"Coqs de Bruyère" : poème autographe de jeunesse « et seront-ce coquetteries / de péril / ou de casques couleur de quetsche ? »‎

‎circa 1917-1918 | 22.30 x 27.60 cm | une feuille sous chemise et étui‎

‎Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton, intitulé "Coqs de Bruyère", 14 vers à l'encre noire sur papier vergé, composé en août 1916. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur paprier vergé filigrané. Cet ensemble a étéadressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection («André Derain»),composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème «Age», dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel «Poème». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes «Décembre», «Age», et «André Derain», tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie «L'an suave». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème «Facon» (1916) en ces termes: «Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon» (Lettre de juin 1916,uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de la Meuse. Il fait à Nantes la connaissance de Jacques Vaché, qui lui inspire un projet d'écriture collective,‎

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‎André BRETON‎

‎"Décembre" : poème autographe de jeunesse dédié à Guillaume Apollinaire « J'aurai mordu la vie à tes seins d'ange piètre »‎

‎circa 1917-1918 | 22.30 x 27.60 cm | une feuille sous chemise et étui‎

‎Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton dédié à Guillaume Apollinaire, intitulé "Décembre", 20 vers à l'encre noire sur papier vergé d'Arches, composé en décembre 1915. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a étéadressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection («André Derain»),composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème «Age», dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel «Poème». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes «Décembre», «Age», et «André Derain», tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie «L'an suave». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème «Facon» (1916) en ces termes: «Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon» (Lettre de juin 1916,uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de la Meuse. Il fait à Nantes la connaissance de Jacques Vaché, qui lui inspi‎

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‎André BRETON‎

‎"Ecris tout ce qui te passe par la fenêtre" Manuscrit préparatoire autographe en hommage à Lise Deharme‎

‎s.d. (1953) | 22.30 x 27.60 cm | un feuillet manuscrit et un feuillet tapuscrit‎

‎| "Ecris tout ce qui te passe par la fenêtre" disaitLise| Manuscrit préparatoire autographe d'André Breton pour la préface du catalogue de vente de la collection Lise Deharme.Une demi page manuscrite à l'encre noire, et une demi page tapuscrite avec des corrections manuscrites, chacune au verso d'un feuillet à en-tête "A l'étoile scellée / Rue du Pré-Aux-Clercs - Paris VIIe". Précieux manuscrit de travail d'André Breton, abondamment biffé avec de nombreuses variantes. Le père du Surréalisme signe ici la préface de la vente deslivres surréalistes et tableaux modernes d'une grande protagoniste du mouvement : la romancière Lise Deharme. La vente eut lieu à l'hôtel Drouot le 6 mars 1953, sous le marteau de Maurice Rheims. Joint au manuscrit, figure le tapuscrit du texte, avec les toutes dernières corrections de Breton à l'encre noire. *** Lise Deharme et Breton s'étaient rencontrés en 1924, année de publication du Manifeste du surréalisme. Elle fascina Breton qui en fit une égérie du mouvement et un véritable symbole de la révolution surréaliste. Deharme fut immortalisée dans Nadja et entretint une relation complexe et fusionnelle avec l'écrivain tout au long de sa vie. Breton lui rend ici hommage à travers cette préface, noircie de repentirs et maintes fois retravaillée : par cette présentation "il signe une manière de reconnaissance de dette à l'égard de celle qui lui avait offert le gant deNadja" (Association André Breton). " Ce qui va se disperser ici, soit dit que pour quelques-uns c'est un peu du trésor du temps. De la manne où nous puisons de quoi nous faire cette coquille_ le mobilier au sens très large où le conditionne aussi bien le choix des livres que des [parures] plantes ou des oiseaux. Si rares sont ceux qui, comme Lise Deharme, ont su extraire ce qui est électivement fait pour eux tant de l'intérieur [extérieur] que l'extérieur [intérieur]. "Au pays qui te ressemble", n'est-ce pas dont a parlé Baudelaire ? Et l'on retrouve sa mélancolieà voir, au vent, filer comme graines [filer au vent comme un chardon] ces choses que tant de discernement passionnel avait réunies comme si, autour de celle qui s'en entourait, elles étaient venues obéissant à une loi d'attraction pure. Le goût poétique d'une époque en ce qu'il a de spécifique, a étincelé là comme nulle part. Qu'enparticulier il me soit permis de dire que [dans son caprice souverain, et ce qu'il exaltait du présent et retenait du passé]le surréalisme, à travers plusieurs d'entre nous, a vivement subi l'ascendant de ce caprice souverain. "Ecris tout ce qui te passe par la fenêtre" disait [dit] Lise et [ne songe plus aujourd'hui à rien garder pour soi, que le] voici qu'elle ajoute : ne garde rien que ce que tu tiens du murmure de source de cette année-làet du parful du Pot de mousse. Mais tout ce dont elle se sépare grâce à elle demeurera si chargé d'esprit que rien ne pourra l'éteindre dans sa gravitation vers d'autres destinées" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎"Enfin ! Considérant l'objet fermé, disons-nous qu'il n'y a plus qu'à attendre les événements..." Lettre autographe signée inédite adressée à Jean Schuster‎

‎Saint-Cirq-Lapopie 9 octobre 1956 | 13.50 x 18 cm | 1 page sur un double feuillet et une enveloppe‎

‎Lettre autographe signée d'André Breton adressée à Jean Schuster ; une page rédigée à l'encre noire sur un double feuillet de papier blanc. Enveloppe jointe. La rédaction de cette lettre coïncide avec la date de parution du tout premier numéro de la revueLe Surréalisme même: "Enfin ! Considérant l'objet fermé, disons-nous qu'il n'y a plus qu'à attendre les événements..." Breton, alors dans sa maison de Saint-Cirq-Lapopie, prévoit de rentrer à Paris à cette occasion : "Il fallait cela - et le grand froid du matin - pour nous ramener à Paris : nous y serons vendredi et je passerai le soir au Musset." Jean Schuster (1929-1995) rejoint le groupe surréaliste en 1947. Proche de Benjamin Péret et André Breton, il deviendra l'exécuteur testamentaire de ce dernier. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎"Façon poème autographe de jeunesse" poème autographe de jeunesse‎

‎circa 1917-1918 | 22.30 x 27.60 cm | une feuille sous chemise et étui‎

‎Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton, intitulé "Façon", 19 vers à l'encre noire sur papier vergé, composé en juin 1916. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Il servit d'inspiration à Louis Aragon pour céer l'alter-ego de Breton, Baptiste Ajamais, dans son premier roman Anicet ou le panorama. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a étéadressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection («André Derain»),composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème «Age», dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel «Poème». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes «Décembre», «Age», et «André Derain», tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie «L'an suave». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le présent poème «Facon» en ces termes: «Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon» (Lettre de juin 1916,uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front penda‎

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‎André BRETON‎

‎"Hymne" poème autographe de jeunesse « Alcée en pleurs dédaigne une rose glacée »‎

‎circa 1917-1918 | 22.30 x 27.60 cm | une feuille sous chemise et étui‎

‎Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton, intitulé "Hymne", vers à l'encre noire sur papier vergé, daté par l'auteur en d'août 1914. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Probablement la pièce la plus mallarméenne jamais écrite par Breton, "Hymne"est composé durant le premier mois de la guerre,alors que le jeune poète et ses parents se hâtent de rejoindre Paris.Le poème fut par la suite publié dans Solstices n°2 en juillet 1917. Il est l'un des deux seuls à porter une date dans le recueil et dans sa version manuscrite, sans doute pour souligner le contexte difficile de sa rédaction:«par un sale temps, l'auteur rimant ce poème pour être certain de ne pas du tout prendre part à la conversation de ses parents [...] sur quelque ignoble route de Lorient où ceux-ci s'étaient à temps retirés» (note de Breton, 1930). On reconnaît sans peine l'influence des symbolistes dans la précision de l'alexandrin rimé et le goût pour les allusions mythologiques. Le jeune Breton consacre son hymne aux amants de Lesbos, le couple légendaire de poètes grecs Sappho et Alcée. Breton glisse dans la première strophe un souvenir de L'après midi d'un faune parmi les allusions voluptueuses(« Un bras faible se noue en des mythologies / Scabreuses dont la flûte émeut l'enchanteresse / Au torse vain du faune avide [...]»). Erotisme et fascination morbide se mêlent lorsqu'il évoque le sort tragique de Sappho, qui, selon Ménandre, s'élança du haut des rochers de Leucade. Le poème s'achève sur une invocation d'Alcée à Sappho, déjà emportée par les eaux : «Tu vois qu'un cerne aimable diminue Aux paupières. La peur que fraîchissent les touffes Désertes, l'une ou l'autre, en vain, si tu l'étouffes, Promit ta chevelure aux fleurs d'écaille, bleue... Trêve d'héliotrope où s'irise une queue De sirène, le flot te cajole.» Digne héritier de la poésie de Mallarmé, ce rarissime manuscrit date de la jeunesse symboliste d'André Breton, au lendemain de la déclaration de guerre. *** Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a étéadressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection («André Derain»),composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème «Age», dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel «Poème». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieur à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes, furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constit‎

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‎André BRETON‎

‎"Je suis, de nouveau, en mauvais termes avec Max Ernst, Masson devenu gaulliste est parti hier pour Paris." Lettre autographe signée inédite adressée à Marcel Jean‎

‎New York 23 octobre 1945 | 17.10 x 25.40 cm | 2 pages sur un feuillet et une enveloppe‎

‎Lettre autographe signée inédite d'André Breton adressée à Marcel Jean, deux pages rédigées à l'encre bleue sur un feuillet. Enveloppe "air mail" jointe. Pliures inhérentes à l'envoi. Cette lettre est évoquée et très brièvement citée dans l'autobiographie de Marcel Jean,Au galop dans le vent. Importante et longue lettre envoyée depuis New York alors que Breton, en exil depuis 1943 car considéré comme "anarchiste dangereux" par le gouvernement pétainiste, a été contraint - à l'instar de nombreux intellectuels - de quitter la France pour pouvoir continuer à travailler. Il fait part à son ami de "l'accablement" dans lequel le met la ville et l'on sent encore son empressement à rejoindre sa patrie. Peintre, dessinateur et décorateur, Marcel Jean rejoignit le groupe surréaliste en 1933 et devint l'un des premiers chroniqueurs du mouvement. On sent toute son émotion à la réception de cette lettre dont il parle longuement dans son autobiographie : "Octobre 1945, j'écris à André Breton à New York. En réponse, deux pages serrées de fine calligraphie. Ma lettre, dont le ton a dû le séduire, lui a fait "vraiment plaisir". Il me retrouve "sain, sauf et nullement dénué de cette façon de voir lucide, souriante, très humaine" qu'il m'a toujours connue ("Je viens de penser, dit-il, à ta rude poignée de main..."). Je lui ai signalé l'étude sur Lautréamont dont je rapporte les éléments, il m'engage à en donner des extraits, à un numéro surréaliste en préparation de la revueVrille, "cela sans préjudice de dessin de toi queVrilledevrait reproduire", et, pour la même revue, de soumettre "un certain nombre d'ouvrages récents à un commentaire analytique et critique approfondi". Suivent des conseils et des encouragements en vue d'un travail de critique littéraire qu'il souhaiterait me voir entreprendre. Puis quelques nouvelles de l'Amérique et de nos amis : Max Ernst, Tanguy, Péret, qui s'ennuie à Mexico, Matta, qui "peint de grands panneaux dans un nouveau genre (figuratif sadique) très remarqués.". Et la signature fougueuse. Les lettres de Breton, leur contraste entre le texte, à l'écriture extrêmement régulière, et le paraphe, bousculé, et dans les deux graphismes quelque chose de surveillé m'ont toujours donné l'impression qu'en m'écrivant il me faisait la faveur d'un autographe. Son message esquissait pour moi un programme de chroniqueur en vue de son retour à Paris au printemps, mais j'avais en tête autre chose que de commenter les commentaires des critiques dont il me signalait l'intérêt - Maurice Blanchot ou Léon-Pierre Quint. Mes projets concernaient l'étude de Lautréamont et puis - ou en même temps : peindre, et dessiner." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎"L'An Suave" poème autographe de jeunesse dédié à Marie Laurencin‎

‎circa 1917-1918 | 22.30 x 27.60 cm | une feuille sous chemise et étui‎

‎Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton dédié à Marie Laurencin, intitulé "L'an Suave", 15 vers à l'encre noire sur papier vergé, composé en avril 1914. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a étéadressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection («André Derain»),composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème «Age», dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel «Poème». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes «Décembre», «Age», et «André Derain», tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie «L'an suave». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème «Facon» (1916) en ces termes: «Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon» (Lettre de juin 1916,uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de la Meuse. Il fait à Nantes la connaissance de Jacques Vaché, qui lui inspire un projet d'é‎

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‎André BRETON‎

‎Adieu ne plaise‎

‎P.A.B. | Paris 1954 | 12 x 18 cm | en feuilles‎

‎Edition originale, un des 99 exemplaires numérotés sur vergé, seuls grands papiers. Bel et rare exemplaire de ce discours prononcé par André Breton aux funérailles de Francis Picabia disparu le 30 novembre 1953. Signature manuscrite de P.A.B. à la justification du tirage. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Anthologie de l'humour noir‎

‎Sagittaire | Paris 1940 | 16 x 23 cm | broché‎

‎Edition originale sur papier courant. Petites déchirures sur le dos et les plats. Iconographie. Exemplaire complet de son papillon "Mr Marcel Duchamp étant actuellement en Amérique, la couverture des exemplaires de luxe est de M. Dominguez". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Arcane 17‎

‎Brentano's | New-York 1945 | 12 x 19 cm | broché‎

‎Deuxième édition dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Un manque angulaire en tête du premier plat. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Arcane 17 enté d'ajours‎

‎Sagittaire | Paris 1947 | 12 x 19 cm | broché‎

‎Troisième édition en partie originale, un des exemplaires du service de presse. Envoi autographe signé de André Breton à Maurice Noël sur la page de faux-titre. Pâle mouillure en pied du dos et courant très discrètement en marge inférieure des feuillets. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Brouillon autographe d'une lettre adressée au directeur de Combat à propos de l'affaire du mammouth‎

‎s. l. (Paris) Mercredi 6 août 1952 | 21 x 27 cm | une page sur un feuillet‎

‎Brouillon autographe d'une lettre adressée au directeur deCombat, rédigé à l'encre noire sur un feuillet de papier blanc, nombreuses ratures et ajouts ; en tête du feuillet et au stylo bille rose de la main de Breton, le mot «Combat».Pliures transversales et quelques infimes déchirures marginales. Intéressant brouillon relatant la rocambolesque affaire du dessin de mammouth de la grotte préhistoriquedu Pech Merle. Le témoignage le plus parlant de cette improbable visite est celui que livra Breton lui-même dans l'une de ses lettres à sa fille Cécile le 29 juillet 1952: «J'ai, de plus, ici, une histoire de tous les diables. Figure-toi que, jeudi dernier, nous nous rendons avec les Dax à Cabrerets dans l'intention de visiter la grotte qui présente de nombreux dessins préhistoriques. Tu sais que j'ai toujours eu des doutes sur l'authenticité d'une partie de ces dessins qui remonteraient à 30 000 ans et sont d'une fraîcheur et d'une fragilité bien singulières. Le guide commençait à peine ses explications devant ce qu'il nommait « la chapelle des mammouths » et j'étais déjà agacé par ce mot de chapelle introduit là de manière absolument tendancieuse quand je portai le doigt sur une des lignes tracées sur la paroi, pour voir si un enduit calcaire la recouvrait. C'est à ce moment que le guide, furibond, m'asséna sur la main un violent coup de bâton. Comme de juste, une très violente dispute s'ensuivit, au cours de laquelle je remis le pouce au même endroit et frottai légèrement, assez toutefois pour constater que la ligne s'effaçait comme un simple trait de fusain, me laissant toute sa poussière au doigt. Le guide, qui se donna alors pour le concessionnaire de la grotte et dont je devais apprendre peu après qu'il n'était autre qu'un député M.R.P. (c'est-à-dire catholique) du Lot, fit immédiatement appeler la police mais les gendarmes arrivèrent trop tard : nous étions déjà partis, non sans que j'aie corrigé à coups de poing le personnage en question, qui me traitait de « lâche » entre autres choses. Hier j'ai reçu ici la visite d'un gendarme qui m'a donné lecture de la plainte déposée contre moi par cet individu, qui me poursuit en dommages et intérêts pour dégradation de dessin figurant une trompe de mammouth : tu imagines ! Comme cette grotte de Cabrerets est une des grandes attractions touristiques du département et que le plaignant est député et intéressé à l'exploitation (200 F l'entrée) de ce prétendu sanctuaire, je ne suis pas sans inquiétudes sur les suites de l'affaire : ma consolation est de l'avoir littéralement roué de coups (mon poing en est encore tout meurtri).» L'affaire fit couler beaucoup d'encre et la missive que nous proposons est une réaction à l'article paru dans un numéro deCombat:«Monsieur leRédacteur en chefDirecteur, Jecontesterécuse formellement la base d'information sur laquelle a été établi sansautre précaution d'exactitudeaucune vérification préalable, l'article paru le 4 août dernier dansCombatsous le titre «André Breton attente à la «conservation» d'un mammouth». Je m'affecte particulièrement de le lire dans un journal dont j'ai été collaborateur et où je croyais avoir gardé les amitiés.»Nous reproduisons ici ledit article occupant une petite rubrique du numéro intitulée «Toute la ville en parle...»: «La tentation de la désobéissance et de la révolte ne semble pas avoir abandonné le «Pape du Surréalisme», André Breton, qui se repose actuellement dans sa retraite de Saint-Cirq-Lapopie, dans le Lot. Mêlé à un groupe de touristes conduits par M. Bessac, député du département, il visitait dernièrement la grotte préhistorique de Cabrerets. Passant devant l'un des nombreux dessins rupestres qui couvrent les parois, l'écrivain mit le doigt sur la trompe d'un mammouth, défiant ainsi les barrières et les interdictions. Ce que voyant, M. Bessac, s'empressa de lui rappeler l'existence de règlements draconiens, interdisant expressément toute atteinte contre les précieux et fragil‎

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‎André BRETON‎

‎chroniques littéraires et aristiques parues dans Medium Manuscrit autographe paraphé‎

‎s. l. 1953 | 21 x 27 cm | 2 pages sur 2 feuillets‎

‎Manuscrit autographe d'André Breton trois fois paraphé de sa main, rédigé à l'encre noire sur deux feuillets. Multiples passages biffés et réécrits, annotations de sa main au crayon. Pagination au stylo bleu sur chacun des feuillets.Publié dans la revue Medium, Paris, 1resérie (feuille) no.8, juin 1953. Breton livre deschroniques littéraires et artistiques pleines de verve pour la revue surréalisteMédium - etfustige avec grande virulence les "faux témoins" et "témoins douteux"qui critiquent le Surréalisme. L'éloge duPremier bilan de l'art actuelde son ami Robert Lebel est l'occasion d'une attaque violente contre Michel Tapié : "Déplorons seulement quon ait fait appel [...] à un faux-témoin avéré comme M. Tapié, de qui nous avions déjà pu apprendre, au mépris de toute évidence, que ceux qu'il appelle dans son affreux jargon "les informels" (Mathieu, Riopelle, et autres) oeuvraient à rebours de toutautomatisme et qui a aujourd'hui le front de prétendre que Brauner, Maria, Matte et Dali ont pris l'initiative de rompre avec le surréalisme "où ils ne trouvaient plus leur compte" ce qui se passe tout autre commentaire". Dans trois autreschroniques, ilaccueille avec intérêt le nouvel ouvrage de Pierre Geyraud L'Occultisme à Paris : "Le récent procès dit "des J. 3" a appelé l'attention sur la personnalité du père de la victime, qui, sous l'anagramme de Pierre Geyraud, a mené une série d'enquêtes 'parmi les sectes et les rites" [...] M. Geyraud continue à y braver les menaces de graves représailles que lui ont valu ses divulgations. L'accent reste ici sur l'activité luciférienne [...]" salue les "originaux multiples" du peintre Jean Fautrier : "Par un procédé à lui, de la reproduction si fidèle d'une toile jusqu'à travers ses plus menus accidents de la pâte qu'il est impossible à l'oeil nu de distinguer les copies de l'original, Jean Fautrier est passé à la création d'originaux multiples[...] Le silence gardé par la critique sur cette entreprise attesterait à lui seul de sa valeur révolutionnaire. Brisant avec un mode d'agiotage particulièrement impudent, il ne s'agit rien de moins que de mettre la peinture vivante à la portée de ceux qui l'apprécient pour elle-même". et s'enthousiasme du chef d'oeuvreLa Chouette aveugledu poète iranien Sadegh Hedayat : "Jamais plus dramatique appréhension de la condition humaine n'a suscité pareille vue en coupe de notre coquille, ni pareille conscience de nous débattre hors du temps, avec les immuables attributs qui sont notre lot [...] Un chef d'oeuvre s'il en fût ! Un livre qui doit trouver place auprès de l'Aurélia de Nerval, de la Gradiva de Jensen, des Mystères d'Hamsun, qui participe des phosphorescences de Berkeley Square et des frissons de Nosferatu [...]." Superbe manuscrit du père du Surréalisme truffé d'annotations et de repentirs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Deux manuscrits autographes signés complets intitulés "Magie quotidienne" Première version avec nombreuses ratures et corrections suivi de la version définitive [avec] enveloppe présentant des notes autographes‎

‎26 février 1955 | 21.10 x 27 cm | 2 pages sur 2 feuillets, 4 pages sur 4 feuillets et une enveloppe‎

‎Manuscrit de travail autographe complet signé intitulé «Magie quotidienne», deux pages rédigées d'une écriture fine à l'encre noire sur deux feuillets de la galerie à l'Étoile Scellée. Nombreuses ratures et corrections. Manuscrit définitif autographe complet signé du même article, quatre pages rédigées à l'encre bleue sur quatre feuillets. On joint une enveloppe contenant des notes manuscrites de Breton à l'encre noire réutilisées dans son manuscrit. Importants et longs manuscrits de cet article qui paraîtra dans le premier numéro de La Tour Saint-Jacques en novembre 1955. «1955: avec ce texte intitulé «Magie quotidienne», Breton donne comme un écho lointain à cette belle formule du «merveilleux quotidien» qui fermait le premier chapitre du Paysan de Paris, en 1926. Mais, loin d'Aragon passé au stalinisme, c'est au jeune Jean-Louis Bédouin qu'est dédié un texte qui peut apparaître comme l'une des esquisses du grand projet de Breton cette année-là, un livre consacré à L'Art magique. Pour l'heure, c'est au jeu fascinant des correspondances, autrefois appréhendé sous la catégorie hégélienne du hasard objectif, que sont consacrées ces pages qui paraîtront, accompagnées d'une longue lettre de «G.D.» (Georgina Dubreuil) dans le premier numéro de La Tour Saint-Jacques, en novembre.» (Archives Breton) Ce long manuscrit, abondamment corrigé et constitué de six parties délimitées par des dates - du 21 au 26 février 1955 - prend la forme d'un journal relatant des coïncidences troublantes vécues par l'écrivain. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Enveloppe manuscrite adressée à madame Géo Dupin de la Galerie La cour d'Ingres‎

‎s. n. | Paris 6 mai 1960 | 14.5 x 11 cm | Une enveloppe‎

‎Enveloppe manuscrite rédigée par André Breton à l'attention de son amie Géo Dupin, responsable de la galerie d'art La cour d'Ingres, au 17 quai Voltaire, chez qui le pape du surréalisme achetait des tableaux. L'adresse est rédigée à l'encre noire (quelques lettres ayant bavé). Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎L'amour fou‎

‎Gallimard | Paris 1937 | 14 x 19 cm | broché‎

‎Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Précieux envoi autographe signé d'André Breton à Benjamin Crémieux. Dos restauré, petites déchirures et manques marginaux comblés sur les plats. Iconographie. Etonnant "hommage d'affection profonde" à l'auteur deInquiétude et reconstruction, unportrait sans concession du Surréalisme entre les deux guerres, qui demeure aujourd'hui encore une critique de référence. Cette émouvante dédicace d'André Breton, sur l'une de ses oeuvres majeures, témoigne du respect du Pape du Surréalisme pour les positions polémiques et réalistes de Crémieux. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎L'amour fou‎

‎Gallimard | Paris 1937 | 14 x 19 cm | broché‎

‎Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Quelques discrètes restaurations, tampon à froid du dédicataire sur une garde. Iconographie. Précieux envoi autographe signé d'André Breton à Pierre Rigault. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎La Lampe dans l'horloge‎

‎Robert Marin | Paris 1948 | 11 x 17 cm | broché‎

‎Edition postérieure de quatre mois à l'édition originale, un des exemplaires non justifiés sur alfa. La très rare édition originale, portant l'achevé d'imprimer du 15 juin 1948, a été détruite par l'éditeur à la demande d'André Breton. Notre exemplaire sous couverture verte illustrée est bien complet du frontispice de Toyen, ainsi que d'une photographie de l'auteur par Elise Breton au centre de l'ouvrage. Précieux envoi autographe signé de André Breton à André Rolland de Renéville sur la page de faux titre. Bel exemplaire. Provenance : bibliothèque de André Rolland de Renéville. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎La lampe dans l'horloge‎

‎Robert Marin | Paris 1948 | 11 x 17 cm | broché sous chemise et étui‎

‎Édition originale, un des exemplaires numérotés sur alfa mousse, le nôtre non justifié. Précieux et exceptionnel envoi autographe signé d'André Breton à Jean-Paul Sartre. Notre exemplaire est présenté sous chemise et étui en plein cartonnage amande, pièce de titre et mention «exemplaire de J. P. Sartre» de maroquin rouge. Cette dédicace du pape du surréalisme au maître de l'existentialisme dont les rares rencontres, notamment à New York, n'ont laissé presque aucune trace dans les biographies, est d'autant plus surprenante que Jean-Paul Sartre vient juste de publier dans Qu'est-ce que la littérature un article au vitriol contre Breton: «L'accord de principe du surréalisme et du PC contre la bourgeoisie ne dépasse pas le formalisme; c'est l'idée formelle de négativité qui les unit; [...] la négativité se maintient quoi qu'on en dise, en dehors de l'histoire: à la fois dans l'instant et dans l'éternel; elle est la fin absolue de la littérature et de l'art. Quelque part, Breton affirme [...] la «mission sacrée» du prolétariat. Mais précisément, cette classe conçue comme une légion d'anges exterminateurs n'est véritablement pour les auteurs qu'un mythe religieux et qui joue, pour la tranquillisation de leur conscience, un rôle analogue à celui que jouait le mythe du Peuple, en 1848, pour les écrivains de bonne volonté.» André Breton ne répondra pas plus aux critiques de Sartre qu'à celles que formulera, l'année suivante, Simone de Beauvoir dans Le Deuxième Sexe. Ce petit ouvrage politique autant que poétique s'inscrit cependant dans le combat commun des deux intellectuels au sein du très éphémère Rassemblement Démocratique Révolutionnaire fondé en 1947 par Sartre et ayant rapidement avorté malgré l'investissement actif de Breton. 1948 fut donc la seule rencontre intellectuelle de ces deux grands «maîtres à penser» de la seconde moitié du XXème siècle, dont les personnalités, exclusives et intransigeantes ne permettaient pas une communion de pensée durable. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Le revolver à cheveux blancs‎

‎Edition des cahiers libres | Paris 1932 | 14.50 x 19.50 cm | broché‎

‎Edition originale, un des 1000 exemplaires numérotés sur alfa, seul tirage après 10 japon. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Le surréalisme et la peinture‎

‎Gallimard | Paris 1965 | 21.50 x 28 cm | reliure de l'éditeur‎

‎Troisième édition en partie originale. Reliure de l'éditeur en pleine toile noire, dos lisse, exemplaire complet de sa jaquette illustrée qui ne comporte pas de défaut. Riche iconographie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Les manifestes du surréalisme suivis de Prolégomènes à un troisième Manifeste du surréalisme ou non‎

‎Editions du Sagittaire | Paris 1946 | 12 x 19 cm | broché‎

‎Edition en partie originale sur papier courant. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Les pas perdus‎

‎Gallimard | Paris 1924 | 12 x 19 cm | broché‎

‎Edition originale sur papier courant, il n'a été tiré que 30 grands papiers. Dos et plats marginalement passés comme généralement, un petit manque en tête du dos, papier jauni et fragile en marge de certains feuillets. Exemplaire sans mention d'édition. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Les vases communicants‎

‎Editions des Cahiers Libres | Paris 1932 | 14 x 18.50 cm | broché‎

‎Edition originale, un des 2000 exemplaires sur vélin Omnia, seul tirage avec 25 japon, le nôtre exemplaires du service de presse non numérotés. Envoi autographe signé de André Breton à Pierre Lagarde. Couverture illustrée par Max Ernst. Dos et plats marginalement insolés, exemplaire complet de son prière d'insérer. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Les vases communicants‎

‎Editions des Cahiers Libres | Paris 1932 | 13.50 x 18.50 cm | broché‎

‎Edition originale sur papier courant. Précieux envoi autographe signé d'André Breton à Marcel Jouhandeau : "... avec la profonde estime et la vive sympathie d'André Breton." Quelques repères de lecture et passages soulignés au crayon de papier probablement tracés par le dédicataire en marge de certains feuillets Papier jauni comme généralement. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Les vases communicants‎

‎Editions des Cahiers Libres | Paris 1932 | 14 x 18.50 cm | broché‎

‎Edition originale, un des 2000 exemplaires sur vélin Omnia, seul tirage avec 25 japon, le nôtre un des exemplaires du service de presse non numérotés. Envoi autographe signé d'André Breton à Dominique Braga. Couverture illustrée par Max Ernst. Un mors légèrement pincé, agréable exemplaire complet de son prière d'insérer. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Lettre autographe datée et signée adressée à Georges Isarlo‎

‎s. n. | Paris 31 Mars 1964 | 13.5 x 21 cm | Une feuille‎

‎Lettre autographe datée et signée d'André Breton, 21 lignes à l'encre bleue sur un feuillet, adressée à Georges Isarlo de la revue Combat-Art à propos d'un texte que lui a donné son ami José Pierre. Fidèle à lui-même, le chef de file et Pape du surréalisme tient à éclaircir les choses vis-à-vis de son correspondant : "Vous comprendrez sûrement le souci que je puis avoir de ne pas, sous un vain prétexte d'anniversaire, laisser dénaturer le sens et gâter le fruit de quarante années de lutte et voudrez bien considérer qu'il a pour tous ses signataires - répondants du surréalisme aujourd'hui - la même importance vitale que pour moi." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Lettre autographe datée et signée à propos d'un règlement qu'il vient de recevoir pour une de ses contributions chez Jean-Jacques Pauvert‎

‎S. n. | Paris 12 Mai 1964 | 21 x 26 cm | une page‎

‎Lettre autographe datée et signée d'André Breton (11 lignes à l'encre noire depuis son domicile parisien de la rue Fontaine) accusant bonne réception d'un chèque qu'il a reçu de la maison d'édition de Jean-Jacques Pauvert. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Il s'excuse de répondre aussi tardivement à son expéditeur, le prie de remercier Jean-Jacques Pauvert et de lui transmettre ses amitiés. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Lettre autographe signée inédite adressée à Marcel Jean et son enveloppe présentant un quatrain autographe‎

‎Antibes 5 février 1948 | 21 x 27 cm | une page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée d'André Breton, inédite et adressée à Marcel Jean, une page rédigée à l'encre bleue sur un feuillet de papier bleu d'une écriture fine et soignée. Est jointe l'enveloppe accompagnant cette lettre, rédigée par André Breton et présentant un amusant quatrain autographe?: «?C'est à Paris, rue Hégésippe / Moreau 17, que Marcel Jean / Croise, tels soufre et vif-argent, / Le perroquet et la tulipe.?» Au dos, l'adresse de Breton à Antibes «?Shady Rock Avenue des Pins?»?; il s'agit de la villa de Marie Cuttoli et son mari Henri Laugier. Cette enveloppe est d'une importance capitale?: elle résume à elle seule le style des tableaux de Marcel Jean?; l'artiste a d'ailleurs choisi de la reproduire dans son ouvrage?: «?Frédérick Kiesler arrangea pour moi [...] une exposition de mes toiles «?arcimboldiesques?» comme j'en composais alors, au sujet desquelles j'avais reçu d'André Breton une lettre à l'adresse mallarméenne?: [transcription de l'enveloppe accompagnant notre lettre]?». (Marcel Jean, Au galop dans le vent, 1991) Cette lettre a été rédigée peu de temps après la sortie du n°1 de Néon, première revue surréaliste à paraître après-guerre?: «?Je viens d'écrire à Maurice Henri [sic], qui m'interpellait au sujet de Néon dont l'apparition t'a, paraît-il, agité, toi aussi. Je n'ai pas trop envie de me redire. Demande-lui, si tu veux bien, de te faire part de mon point de vue.?» «?En janvier 1948 paraît enfin le premier numéro d'une revue surréaliste Néon «?N'être rien?; Être tout?; Ouvrir l'être.?» De facture originale (elle utilise toutes les possibilités offertes par l'offset), elle est dirigée par les nouveaux venus au surréalisme?: Sarane Alexandrian, Jindrich Heisler, Véra Hérold, Stanislas Rodanski, Claude Tarnaud. Le texte de présentation, fâcheusement idéaliste, parle d'un «?groupe électif se situant au-delà des idées?». Craignant une sorte de dissidence, les anciens, Maurice Henry, Marcel Jean, Henri Pastoureau, s'agitent. D'Antibes (où, faute de moyens, il prolonge son séjour en compagnie d'Elisa chez Marie Cuttoli), Breton écrit pour calmer les passions.?» (Henri Béhar, André Breton) «?Le "coup des billets" a été vivement ressenti (un retour prématuré n'est pas impossible). On ne voit personne autre que Matisse, qui est d'une fraîcheur d'esprit stupéfiante.?» Le «?coup des billets?» fait probablement référence à un projet que mettront en place les surréalistes en collaboration avec les anarchistes en publiant dans Le Libertaire une série de billets s'échelonnant d'octobre 1951 à janvier 1953. «?à Antibes, Breton montra Néon à Matisse, qu'il voyait souvent, et dont il vanta «?la stupéfiante fraîcheur d'esprit?». D'après ce qu'il voulut bien nous en dire, le jugement du grand peintre fut définitif. «?En quoi Néon me concerne-t-il' aurait demandé Matisse. Quelle responsabilité, même la plus lointaine, puis-je avoir dans cette chose??» (Marcel Jean, op. cit.) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Lettre autographe signée inédite adressée à Michel Fardoulis-Lagrange : "Dites-moi : IIIe Convoi ne nous a tout de même pas habitués à cette allure ! "‎

‎Paris 16 février 1947 | 20.80 x 27 cm | une page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée inédite d'André Breton adressée à Michel Fardoulis-Lagrange, rédigée à l'encre noire sur un feuillet à en-tête de l'Exposition internationale du surréalisme 1947. Enveloppe jointe. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Intéressante lettre évoquant la revueTroisième Convoifondée parJean Maquet etMichel Fardoulis-Lagrange, rédigée peu de temps avant la seconde exposition surréaliste à la galerie Maeght : "Dites-moi : IIIe Convoi ne nous a tout de même pas habitués à cette allure ! "La revue, dont le titre s'inspire desVases communicants("Nous, voyageurs du second convoi."),connut cinq numéros entre 1945 et 1951. Nous n'avons pas trouvé trace d'une collaboration de Breton à cette revue, mais la lettre que nous proposons démontre qu'il a en peut-être été question : "Et vous savez que je reste en assez mauvaise condition, avec cette séquelle de sinusite. [...] Il me faudrait aussi être un peu plus éclairé peut-être sur l'axe de votre quatrième numéro (pour ne pas partir à côté ou faire malgré moi trop divergent). Ne pensez-vous pas ?" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Lettre autographe signée inédite adressée à Sarane Alexandrian‎

‎Paris mercredi 12 mars 1947 | 20.80 x 27 cm | 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée inédite adressée à Sarane Alexandrian, une page rédigée à l'encre bleue sur un feuillet à en-tête de l'Exposition internationale du Surréalisme de 1947. Enveloppe jointe. Cette lettre est une réponse à une lettre envoyée la veille par Sarane Alexandrian, partiellement consultable sur le site des Archives Breton. Né à Bagdad et engagé dans la Résistance dans le Limousin, c'est à cette époque que Sarane Alexandrian découvre le dadaïsme. A vingt ans, il devient le bras droit d'André Breton et est chargé par ce dernier de la direction du secrétariat deCauseafin de répondre aux candidatures de nombreux jeunes artistes du monde entier souhaitant rejoindre le mouvement surréaliste. En octobre 1948, il rompt avec le pape du surréalisme tout en lui conservant son estime et son admiration :"Auprès de lui, on apprenait le savoir-vivre des poètes, dont l'article essentiel est un savoir-aimer... On l'admirait pour la dignité de son comportement d'écrivain, ne songeant ni aux prix, ni aux décorations, ni aux académies" (Alexandrian, André Breton par lui-même, 1971). La lettre que nous proposons marque les débuts de cette éphémère mais importante relation entre les deux écrivains. André Breton, de vingt ans l'aîné de Sarane Alexandrian, semble porter de grands espoirs en ce jeune théoricien qui s'intéresse à ses écrits : "Max-Pol Fouchet ne m'a pas encore fait lire "Poésie et objectivité" mais votre lettre m'en dit assez pour que je croie à un profond accord entre nous, accord moins fondé sur la réception que vous faites à ce qu'a pu être jusqu'ici mon message qu'à la nature même de votre projet personnel, qui se confond en grande partie avec le mien."Quant à "Poésie et objectivité", il ajoute : "Je verrais le plus grand intérêt à publier au catalogue de l'exposition surréaliste quelques pages de vous, dans lesquelles demanderaient à être à peine transposées les principales idées qui s'expriment dans votre lettre et surtout celles qui touchent à la création d'une "mystique érotique"."Cette publication prenant la forme d'un manifeste verra bien le jour et paraîtra dans la revueFontaineréalisée à l'occasion de l'Exposition internationale du Surréalisme de 1947 à la Galerie Maeght. Le texte vaudra un grand succès au jeune Alexandrian qui sera dès lors considéré par ses pairs comme le théoricien n°2 du surréalisme. Très belle lettre marquant le début de l'importante mais éphémère relation entre les deux maîtres à penser du surréalisme. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Manuscrit autographe de deux chroniques intitulées "Assez souillé !" et "Courrier transpyrénéen"‎

‎novembre 1952 | 20.90 x 13.40 cm | une feuille‎

‎Manuscrit autographe d'André Breton constitué de deux courts textes intitulés "Assez souillé !" et "Courrier transpyrénéen", rédigés pour le n°1 de novembre 1952 de la revueMédium.18 lignes rédigées à l'encre noire d'une écriture soignée sur un feuillet blanc. Un infime trou d'épingle en marge haute droite du feuillet. "Assez souillé !" relate l'accueil réservé par la revue Médium au panégyrique de Céline par Albert Paraz. La chronique intitulée "Courrier transpyrénéen" annonce quant à elle la publication du dernier ouvrage du critique Juan Eduardo Cirlot intituléSurrealismo. Breton y évoque également l'ouvrage de Robert BenayounLe Livre du Non-Sensqui portera finalement le titre d'Anthologie du non-senset paraîtra en 1957 chez J.- J. Pauvert. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Manuscrit autographe intitulé "Un peu jaguar..."‎

‎mai 1953 | 21 x 27 cm | une feuille‎

‎Manuscrit autographe d'André Breton intitulé "Un peu jaguar...", rédigé pour le n°7 de mai 1953 de la revueMédium.12 lignes rédigées à l'encre noire d'une écriture soignée sur un feuillet blanc. Deux pliures transversales sans gravité. Il s'agit de la version finale du texte ; une version intermédiaire de cet article est visible sur le site des Archives Breton. Intéressante chronique concernant le peintre suédoisMax Walter Svanberg : "De Malmö (Suède) notre très admiré amiMax Walter Svanberg nous écrit pour protester contre la manière dont ont été récemment présentées ses toiles à Paris..." "C'est en 1953 que Breton et ses amis découvrent l'uvre de Svanberg. En 1954 il illustre entièrement le numéro 3 de la revue surréalisteMédiumet en 1955 Breton préface sa première exposition particulière à Paris à la galerie " À l'étoile scellée". " (Archives Breton) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Manuscrit autographe signé "Printemps secret" sur la poésie et la peinture‎

‎s. l. [Paris] 1955 | 21 x 27 cm | 2 pages sur 2 feuillets‎

‎"Bon gré mal gré, comme tous les rêves, on est retenu à l'intérieur de ce b... mental où interfèrent les symbolismes chrétien, alchimique, sexuel, sinon d'autres encore et dont les desservants ne le cèdent pas en impassibilité aux protagonistes d'Histoire d'O [...] En dépit de la météorologie, toujours un peu "à la traîne", le printemps de 1955 s'annonce magnifique à Paris" Manuscrit autographe signé d'André Breton, rédigé à l'encre noire sur deux feuillets de papier vert. Pli horizontal à chaque feuillet, pagination au crayon rouge sur le 2e feuillet. Publié dans la revue Art, 1955. Breton livre une impeccable chronique littéraire et artistique pour le printemps 1955, qui se concentre sur le féminin, décliné dans la peinture et la poésie.Il s'émerveille d'une copie du Jardin des Délices de Jérôme Bosch qui passe bientôt aux enchères et le compare à Histoire d'O, vante les mérites du recueil de poèmes de Roger Droguet,Féminaire, et rend hommage à la célébration continue de la féminité dans les toiles surréalistes de Max Walter Svanberg exposées àla galerie « L'Etoile scellée », en mars et avril 1955. "Ce printemps, qui tarde à naître, tout au moins ajourne ici l'exaltation de la chair de la femme par cette brusque floraison de toilettes légères qui est la grande fête de l'année, semble d'abord vouloir se faire quêter dans les tableaux et dans les livres. Auront pu jouir de son triomphe latent ceux qui ont eu loisir de contempler la réplique ancienne du panneau central du Jardin des Délicesexposée à la galerie Charpentier avant sa mise aux enchères [...] il s'offre ainsi dans un dévoilement résolument impudique, de toute grandeur [...] La dominante chaircréée par la profusion de nus et qui gagne jusqu'aux édifices fantastiques du registre supérieur fait tourner l'esprit dans sa cage comme un écureuil [...] Le Jardin des Délices... N'ayons garde de rejeter dans le passé et sachons quand il y a lieu en percevoir autour de nous les effluves. [...] Depuis longtemps n'avait paru de recueil de poèmes qui en soit aussi chargé que Féminairede Roger Droguet. Rien d'aussi osé non plus, du fait que constamment appliqué à maintenir le désir à l'état d'effervescence [...] Quand bien même ce que la femme chevauche ne serait plus ici une licorne mais bien une 'selle de moto'et par la même occasion, on en serait quitte, une fois pour toutes, avec le 'péché', le grand vertige demeure et le dernier mot reste à l'éperdu". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Manuscrit autographe signé complet du discours prononcé le 22 février 1952 à la salle Wagram en faveur des condamnés à mort espagnols‎

‎s. l. [Paris] 22 février 1952 | 21 x 27 cm | 3 pages sur 3 feuillets‎

‎Manuscrit autographe signé rédigé à l'encre bleue sur trois feuillets de papier blanc ; nombreuses ratures et corrections. "Si quelque part au monde le coeur de la liberté continue à battre, s'il est un lieu d'où ses coups nous parviennent mieux frappés que de partout ailleurs, nous savons tous que ce lieu est l'Espagne." Ce magnifique texte fut prononcé par André Breton le 22 février 1952 lors du meeting organisé par la Ligue des Droits de l'Homme Salle Wagram. Le discours sera ensuite publié dansLe Libertaire du 6 mars 1952. "N'oublions pas que le monstre qui pour un temps nous tient encore à sa merci s'est fait les griffes en Espagne. C'est là qu'il a commencé à faire suinter ses poisons : le mensonge, la division, la démoralisation, la disparition, qui pour la première fois il a fait luire ses buissons de fusils au petit matin, à la tombée du soir ses chambres de torture. Les Hitler, les Mussolini, les Staline, ont eu là leur laboratoire de vivisection, leur école de travaux pratiques. Les fours crématoires, les mines de sel, les escaliers glissants de la N.K.V.D., l'extension à perte de vue du monde concentrationnaire ont été homologués à partir de là. C'est d'Espagne que part l'égouttement de sang indélébile témoignant d'une blessure qui peut être mortelle pour le monde. C'est en Espagne que pour la première fois aux yeux de tous, le droit de vivre libre a été frappé." "Breton ne saurait rester indifférent aux évènements internationaux. En Espagne, le régime de Franco se maintient par la répression policière, mais il ne peut empêcher une succession de grèves importantes, animées par les organisations anarchistes toujours vivaces. En mars, onze meneurs sont condamnés à mort. Une campagne alertant l'opinion publique européenne se déclenche en leur faveur. Breton prend la parole au meeting organisé salle Wagram le 22 février 1952. Citant les grèves de Barcelone, lancées sur un prétendu mot d'ordre de la Phalange, il prophétise à terme une victoire totale. L'humeur des meneurs clandestins annonce la révolte contre la misère économique, contre le fascisme, monstre tricéphale qui a d'abord essayé ses griffes en Espagne." (Henri Béhar,André Breton) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Manuscrit autographe signé de deux chroniques intitulées "Une fameuse gorgée de poison" et "ça !"‎

‎mai 1953 | 21 x 27 cm | une feuille et un petit papillon‎

‎Manuscrit autographe d'André Breton signé "A.B.", de deux chroniques intitulées"Une fameuse gorgée de poison" et "ça !", rédigées pour le n°7 de mai 1953 de la revueMédium.Une longue page rédigée à l'encre noire d'une écriture soignée sur un feuillet blanc, quelques corrections et ajouts parfois à l'encre bleue. Est joint un petit papillon de la main de Breton, concernant un article de René Alleau, comportant un petit texte imprimé et annoté par lui aux stylos à bille rouge et bleu et portant en tête une mention explicative. Deux pliures transversales sans gravité. Il s'agit de la version finale de ces deux textes ; une version intermédiaire de ces articles, plus raturée que la nôtre, est visible sur le site des Archives Breton. "Une fameuse gorgée de poison" est un texte de critique sur deux films : Le Rideau cramoisid'Alexandre Astruc, tiré d'une nouvelle de Barbey d'Aurevilly, etLa Canduela de Maurice Clavel, tiré d'un roman de Stendhal: "Tels quels, ces deux films constituent un ensemble inoubliable. L'amour s'y embrase dans le vent qu'il aime, celui de la perdition." "ça !", dont on voit bien le titre antérieurement choisi par Breton ("Le gredin du jour"), est une diatribe contre "L'effroyable ganache qui porte, pour si peu de jours encore, le nom de Francis Jourdain" et qui "s'est laissée récemment aller à quelques sordidités gâteuses dont la presse a fait grand cas. Le vieil abruti s'était mis dans le panais pourri qui lui tient lieu de tête et d'organe excréteur de salir Huysmans, excusez du peu !" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎André BRETON‎

‎Manuscrit autographe signé intitulé "3² + 4² = 5²"‎

‎mai 1953 | 21 x 27 cm | une feuille‎

‎Manuscrit autographe d'André Breton signé "A.B." intitulé "3² + 4² = 5²", rédigé pour le n°7 de mai 1953 de la revueMédium.18 lignes rédigées à l'encre noire d'une écriture soignée sur un feuillet blanc. Deux pliures transversales sans gravité. Il s'agit de la version finale du texte ; une version intermédiaire de cet article est visible sur le site des Archives Breton. Intéressante chronique sur l'ouvrage de Paul Sérant consacré à René Guénon et à son oeuvre paru aux éditions La Colombe : "De cette oeuvre, une des plus considérables de notre époque, M. Paul Sérant offre une étude pénétrante." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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