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‎Decorative arts‎
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‎Sidney Colvin British Museum. Dept. of Prints and Draw Creator‎

‎Guide to an exhibition of drawings and etchings by Rembrandt and etchings by other masters in the British Museum‎

‎Nabu Press 2011-05-25. Paperback. Good. Nabu Press paperback‎

Bookseller reference : SONG1172883874 ISBN : 1172883874 9781172883875

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Ergodebooks
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[Books from Ergodebooks]

€26.16 Buy

‎Siegel Nancy & Krieger Jennifer; With Color Prints Illustrator‎

‎Remember the Ladies Women of the Hudson River School May 2 - October 31 2010‎

‎Thomas Cole National Historic Site 2010-01-01. Paperback. Very Good. 2010 Paperback. Clean has a good binding the pages are crisp and free of markings/notations. 33 pp. lz Thomas Cole National Historic Site paperback‎

Bookseller reference : 181648 ISBN : 0982344457 9780982344453

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Ed's Editions, LLC
United States Estados Unidos Estados Unidos États-Unis
[Books from Ed's Editions, LLC]

€21.15 Buy

‎Siegl Helen wood engravings by‎

‎A FELICITY OF CAROLS‎

‎Fine in Very Good dust jacket. paperback. 082717019X . Barre Publishers 1970 white paperback with purple dust jacket Fine/Very Good dust jacket price-clipped 42 pages unmarked. POETRY CHRISTMAS CAROL LYRICS; G4237 S Poe . paperback‎

Bookseller reference : 19531 ISBN : 082717019X 9780827170193

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m.l. granlund - bookseller
United States Estados Unidos Estados Unidos États-Unis
[Books from m.l. granlund - bookseller]

€15.65 Buy

‎SIEURIN (J.)‎

‎Manuel de l'amateur d'illustrations. Gravures et portraits pour l'ornement des livres français et étrangers.‎

‎P., Adolphe Labitte, 1875. In-8, demi-maroquin brun à coins de l'époque, dos à nerfs titré, VIII-242 pp.‎

‎Exemplaire imprimé sur vergé d'Arches, enrichi d'une intéressante L.A.S. de l'auteur à M. Hervey, à propos de son livre et d'autres ouvrages nouvellement parus, datée du 23 février 1875 (4 p. in-8). Dos frotté, intérieur frais. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)‎

Bookseller reference : 565221

Livre Rare Book

Librairie Le Trait d'Union
Troyes France Francia França France
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€100.00 Buy

‎Silcher.- Weber:‎

‎Friedrich Silcher.‎

‎Zürich, Orell, Füssli und Comp., 1879. Gr.-8°. 21 S. Mit einem lithogr. Porträt nach H. Bodmer. Orig.-Heft (Namenszug auf Umschlag). = "67. Neujahrsblatt (Neujahrsgeschenk an die Zürcherische Jugend sic.) von der allgemeinen Musik-Gesellschaft in Zürich auf das Jahr 1879".‎

‎Rohr 891. Mit einem Verzeichnis der Volkslieder F. Silchers. - Durchgehend leicht gebräunt. Porträt am Rand leicht stockfleckig.‎

Bookseller reference : 27511AB

Livre Rare Book

EOS Buchantiquariat Benz
CH-8001 Zürich Switzerland Suiza Suíça Suisse
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€38.23 Buy

‎Silly Giggles Prints‎

‎Would You Rather Book for Kids: Kids Book of Silly Questions Hilarious Scenarios and Funny Situations / Christmas Edition / Game Book Gift Idea for Kids age 6-12‎

‎2019-10-15. New. Ships with Tracking Number! INTERNATIONAL WORLDWIDE Shipping available. May be re-issue. Buy with confidence excellent customer service! unknown‎

Bookseller reference : 1700116576n ISBN : 1700116576 9781700116574

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Books Express
United States Estados Unidos Estados Unidos États-Unis
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€87.91 Buy

‎SILTZER, FR‎

‎The story of British sporting prints. New edition, revised and enlarged.‎

‎London, Halton & Truscott, 1929. 4to. 412 S., 8 farb., montierte Tafeln, 1 Bl. OLwd (etwas bestoßen, Kapitale berieben).‎

‎Zweite erweiterte Ausgabe der Arbeit über British sporting prints und ihre Schöpfer von Alken bis Wootton. Über jeden Künstler gibt einen biographischen Teil sowie ein chronologisches Auswahl-Werkverzeichnis.- Unter den Appendices u.a. Auflistungen von bedeutenden Sport-Graphik-Verlegern sowie der wichtigsten Pferde-Darstellungen in Aquatinta, Mezzotinto und Radierung.‎

Bookseller reference : 1246608

‎Siltzer, Frank‎

‎The Story of British Sporting Prints‎

‎London, Peter Loveday Prints, (second edition) 1979. Leinen/fester Pappband???, mit goldener kleinerer Deckelprägung, ca. DinA 4, 412 Seiten, !!! KEINE Abbildungen !!! / NO pictures/illustrations, Einband mit geringen Gebrauchsspuren, minimal fleckig und berieben, private Widmung auf dem Vorsatzblatt, Schnitt und Seiten papierbedingt gebräunt, insgesamt gut erhalten / insgesamt guter Zustand‎

‎!!! Englische Ausgabe !!!; Inhalt: Artists and their engraved Work; Anhang‎

Bookseller reference : 21585di

‎Silva, Marquis de :‎

‎Pensées sur la tactique et la stratégie ou vrais principes de la science militaire.‎

‎Turin, Imprimerie Royale, 1778 ; in-4 ; demi-veau glacé havane, dos à faux-nerfs dorés et palettes décoratives, pièce de titre vert-pistache, tranches mouchetées de bleu (reliure de l'époque) ; (14), 359, (1 bl.) ; (4), 55, (1) pp. et 30 planches gravées dépliantes.SUIVI DE : "CONSIDERATIONS SUR LA GUERRE DE 1769 ENTRE LES RUSSES ET LES TURCS. Nouvelle édition corrigée et augmentée de plusieurs notes historiques."‎

‎EDITION ORIGINALE de cet ouvrage intéressant de tactique militaire ; le marquis de Silva était officier dans l'Etat Major de l'armée du Roi de Sardaigne. pour lui, "la stratégique est proprement la science du Général. Elle enseine à former le sprojets des opérations et à bien employer et combiner tous les moyens que lui fournissent le sdifférentes branches de la tactique" ; ainsi, tous les types de manoeuvres se trouvent étudiés ici et éclairés par l'analyse des batailles de Maxen (1759), de Prague (1757), de Leuthen (1767), de Suptitz ou de Torgau (1760), de Breslau (1757), de Hochkirch (1758), de Lignitz ou de Panten (1760) ; ainsi que par les opérations des troupes russes et ottomanes en 1769 ; une carte partielle du Piémont vient compléter l'iconographie qui fait une large part à l'évolution des troupes en s'adaptant aux diverses situations.les coins sont usés, deux petites restaurations au dos, sinon bonne reliure, bien solide ; intérieur en bel état avec un beau tirage des planches gravées sur cuivre.‎

Bookseller reference : 6494

Livre Rare Book

Librairie Ancienne Clagahé
Saint Symphorien d’Ozon France Francia França France
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€900.00 Buy

‎SILVESTRE (Israël)‎

‎[Estampe]. Prosp. dess Schlosses de Bourbon l'Archambaut. [Gravure à l'eau-forte].‎

‎S.l.,, (c.1657). 29,2 x 19,2 cm à la cuvette.‎

‎Célèbre vue du château de Bourbon l'Archambault, gravée par Israël Silvestre pour la Topographia Galliae de Martin Zeiller publiée par Mérian à partir de 1657. Nommé dessinateur et graveur du roi en 1662, puis maître de dessin du Dauphin en 1675, I. Silvestre (1621-1691) est l'un des meilleurs graveurs de vues topographiques du XVII°s. Son oeuvre se compose de près de quatre cent pièces représentant des vues d'Italie et de France. - Marges correctes. Trace de pli central.‎

Bookseller reference : 16581

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Librairie Devaux
Moulins France Francia França France
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€30.00 Buy

‎SILVESTRE (Israël)‎

‎[Estampe]. Veüe du Chasteau de Blois. Conspectus Regia Blesensis. [Gravure à l'eau-forte].‎

‎S.l.,, fin XIX°-début XX°s. 102 x 38 cm. à la cuvette + marges.‎

‎Retirage tardif, sur papier vergé, de la grande vue panoramique du château de Blois, gravée par Silvestre en 1672. Elle est en 2 parties assemblées. - Marges un peu salies, plis marqués.‎

Bookseller reference : 14252

Livre Rare Book

Librairie Devaux
Moulins France Francia França France
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€54.00 Buy

‎SILVESTRE Israel‎

‎SILVESTRE Israël Veduta di Campo Vaccina Veue du Campe Vaccine P. Mariette excudit - Eau-forte 13,2 x 25,8 Dessinée et gravée par Silvestre.Faucheux p. 51 n° 8. 2è état sur 3.De la plus belle suite de gravures de Silvestre.‎

‎Israël Silvestre (Nancy, 1621-Paris, 1691) l'un des plus fameux graveurs de son temps, effectua trois voyages en Italie, le premier avant 1640 (la première suite de ce recueil a été dessinée lors de ce voyage, il n’a alors pas 20 ans), le deuxième de 1643 à 1644 et le dernier vers 1653. Israël en rapporta de nombreuses vues - Bibliografie L. E. Faucheux, Catalogue raisonnée de toutes les estampes qui forment l'oeuvre d'Israel Silvestre (1885), Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Bookseller reference : 19940

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
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€100.00 Buy

‎SILVESTRE Israel‎

‎Citadelle de Milan.- Eau-forte originale; tirage d'époque.‎

‎1650 c. 1650, Paris.Silvestre delin.H : 115 L : 163-Faucheux : 26.3 - Baré : N° 746 - de la Suite de 12 pièces gravées par François Noblesse sur les dessins de Silvestre. Sans numéros.‎

‎Planche montée dans papier postérieur à grandes marges. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Bookseller reference : 27898

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
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€120.00 Buy

‎SILVESTRE Israel‎

‎Grotte de la Vigne Aldobrandine. par Israël Silvestre - Grote de la Vigne Aldobrandine.- Eau-forte originale; tirage d'époque.‎

‎1650 c. 1650, Paris.- Grote de la Vigne Aldobrandine.H : 102 L : 146- Hors Faucheux : 375.782 / Baré : N° 782- Cette image fait partie de la suite 375 : Vues hors Faucheux décrites par Baré- Le N° de vue reprend la numérotation du catalogue de Baré- Baré :— 7. GROTE DE LA VIGNE ALDOBRANDINE. — (H : 102 - L : 146). Planche montée dans papier postérieur à grandes marges.‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Bookseller reference : 27901

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
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€100.00 Buy

‎SILVESTRE Israel‎

‎Livre de diverses Perspectives et Paisages faits sur le naturel, mis en lumière par Israël 1650. Avec privilege du Roy. par Israël Silvestre -- Eau-forte originale; tirage d'époque.‎

‎1650 c. 1650, Paris.- H : 138 L : 250- Faucheux : 52.0 / Baré : N° 128 - Cette image fait partie de la suite 52 : Vues de Paris.- 2 eme état; rare. de la Suite de 16 pièces et le titre. Sans numéros, publiées avant 1655. Planche montée dans papier postérieur à grandes marges.‎

‎Livre de diverses Perspectives et Paisages faits sur le naturel, mis en lumière par Israël 1650. Avec privilege du Roy. A Paris, chez Israël Henriet, rue de l'Arbre sec, etc. Ce titre représente, à droite, la fontaine des Innocents, comme elle était au coin de la rue St Denis; et à gauche, la même fontaine répétée en symétrie, avec quelques petites différences. Ou plutôt à droite comme elle était rue St Denis, et à gauche comme elle était rue aux Fers. Dans le fond, on voit, au milieu, le portail des filles Sainte-Marie, rue St Antoine, où Fouquet a été inhumé ; c'est maintenant le temple des calvinistes de la confession de Genève. A gauche de l'église des filles Sainte-Marie, on voit le portail de l'hôpital de la Trinité, qui était situé rue Sr Denis et rue Grénetat. Les figures sont de de La Belle et l'architecture de Marot.Faucheux :— 1. FONTAINE DES INNOCENTS (la). — Livre de diverses Perspectives et Paisages faits sur le naturel, mis en lumière par Israel 1650. A. P. D. R. — Cette vue représente, à droite, la fontaine comme elle était rue Saint-Denis, et à gauche, comme elle était rue aux Fers. — (H : 138 - L : 250). — 2e état, /650 remplacé par 1651.Baré :— 1. FONTAINE DES INNOCENTS (la). — Livre de diverses Perspectives et Paisages faits sur le naturel, mis en lumière par Israel 1650. A. P. D. R. — Cette vue représente, à droite, la fontaine comme elle était rue Saint-Denis, et à gauche, comme elle était rue aux Fers. — (H : 138 - L : 250). — 2e état, /650 remplacé par 1651. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Bookseller reference : 27902

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
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€120.00 Buy

‎SILVESTRE Israel‎

‎Veue du Temple du Soleil a Rome / Vista del Templo del Sol (El Elagabalium) en Roma - Eau-forte originale: tirage d'époque‎

‎1650 c. 1650, Paris. P. Mariette excudit - Eau-forte 12,4 x 25,8 Dessinée et gravée par Silvestre. 2è état sur 3.De la plus belle suite de gravures de Silvestre.Planche montée dans papier postérieur à grandes marges.‎

‎Israël Silvestre (Nancy, 1621-Paris, 1691) l'un des plus fameux graveurs de son temps, effectua trois voyages en Italie, le premier avant 1640 (la première suite de ce recueil a été dessinée lors de ce voyage, il n’a alors pas 20 ans), le deuxième de 1643 à 1644 et le dernier vers 1653. Israël en rapporta de nombreuses vues - Bibliografie L. E. Faucheux, Catalogue raisonnée de toutes les estampes qui forment l'oeuvre d'Israel Silvestre (1885), Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Bookseller reference : 27889

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Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
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‎SILVESTRE Israel‎

‎Veuë de Caprarole.- Eau-forte originale; tirage d'époque.‎

‎1650 c. 1650, Paris.12.8 Veuë de Caprarole. Silvestre f. Israël excudit- H : 95 L : 170- de la Suite de 10 pièces sans numéros. Faucheux : 12.8 Baré : N° 723. Planche montée dans papier postérieur à grandes marges.‎

‎La villa Farnèse, ou, plus précisément le palais Farnèse de Caprarola, est considérée comme l'un des meilleurs exemples de villa « Renaissance. » Elle a été construite pour la famille romaine des Farnèse à Caprarola, dans la province de Viterbe dans le nord du Latium, à environ 50 kilomètres au nord-ouest de Rome.Israël Silvestre (Nancy, 1621-Paris, 1691) l'un des plus fameux graveurs de son temps, effectua trois voyages en Italie, le premier avant 1640 (la première suite de ce recueil a été dessinée lors de ce voyage, il n’a alors pas 20 ans), le deuxième de 1643 à 1644 et le dernier vers 1653. Israël en rapporta de nombreuses vues - Bibliografie L. E. Faucheux, Catalogue raisonnée de toutes les estampes qui forment l'oeuvre d'Israel Silvestre (1885), Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Bookseller reference : 27893

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
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€150.00 Buy

‎SILVESTRE Israel‎

‎Veuë de l'Arc de Constantin a Rome. Silvestre F. Israël excudit - Eau-forte originale; tirage d'époque.‎

‎1650 c. 1650, Paris.Veuë de l'Arc de Constantin a Rome. Silvestre F. Israël excudit- H : 98 L : 170 - Faucheux : 12.5 / Baré : N° 907- Cette image fait partie de la suite 12 : Vues de Rome et d'Italie.- de la Suite de 10 pièces sans numéros. Planche montée dans papier postérieur à grandes marges.‎

‎Israël Silvestre (Nancy, 1621-Paris, 1691) l'un des plus fameux graveurs de son temps, effectua trois voyages en Italie, le premier avant 1640 (la première suite de ce recueil a été dessinée lors de ce voyage, il n’a alors pas 20 ans), le deuxième de 1643 à 1644 et le dernier vers 1653. Israël en rapporta de nombreuses vues - Bibliografie L. E. Faucheux, Catalogue raisonnée de toutes les estampes qui forment l'oeuvre d'Israel Silvestre (1885), Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Bookseller reference : 27894

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
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‎SILVESTRE Israel‎

‎Veuë du Lac de Bolsene (Dans les états du Pape.)- Eau-forte originale; tirage d'époque.‎

‎1650 c. 1650, Paris. Silvestre fe. Israël excudit- H : 95 L : 170- Faucheux : 12.9 / Baré : N° 910- Cette image fait partie de la suite 12 : Vues de Rome et d'Italie.Suite de 10 pièces sans numéros.Baré :— 8. VEUË DU LAC DE BOLSENE (dans les états du Pape). — Silvestre fe Israel excudit — (H : 95 - L : 170)- 2e état. Les inscriptions ont été modifiées en partie.‎

‎Planche montée dans papier postérieur à grandes marges. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Bookseller reference : 27897

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
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‎SILVESTRE Israel‎

‎Veuë du Palais Major de Rome (Sur le mont Palatin.)- Eau-forte originale: tirage d'époque‎

‎1650 c. 1650, Paris.12.3 Veuë du Palais Major de Rome (Sur le mont Palatin.)- Silvestre f. Israël ex. - H : 97 L : 173 - Faucheux : 12.3 - Baré : N° 905. Planche montée dans papier postérieur à grandes marges.‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Bookseller reference : 27892

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Books from Livres Anciens Komar]

€120.00 Buy

‎SILVESTRE Israel‎

‎Veuë particulière de Florence.- Eau-forte originale; tirage d'époque.‎

‎1650 c. 1650, Paris.- 12.10 Veuë particulière de Florence.Silvestre fe. Israël excudit- H : 98 L : 173- Faucheux : 12.10 - Cette image fait partie de la suite 12 : Vues de Rome et d'ItalieBaré : N° 726- de la Suite de 10 pièces sans numéros.Faucheux : Vue d'un des ponts de Florence et d'une partie de la ville.Baré — 2. FLORENCE (Veuë particulière de). (Vue d'un des ponts de FLORENCE et d'une partie de la ville.) — Silvestre fe. Israel excudit— (H : 98 - L : 173). — 2e état, les inscriptions modifiées ; 3e état, Silvestre fecit effacé et remplacé par une légende.‎

‎Planche montée dans papier postérieur à grandes marges. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €‎

Bookseller reference : 27900

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
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‎Sima, Miron / Cohen, Grossman, Grace‎

‎Miron Sima - Woodcuts: October 9, 1977 - January 1, 1978‎

‎215X215 mm. Unpaginated. Soft cover. Cover is worn at edges and corners. Pen inscription on second page - no damage to text. Pen markings on few pages - no damage to text. Pages slightly yellowing. Else in good condition.‎

MareMagnum

The Book Gallery
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‎SIMECEK Françoise.‎

‎Pietro Sarto. Les Estampes 1947-1992. Catalogue raisonné des gravures et lithographies‎

‎Fondation William Cuendet & Atelier de Saint-Prex & Cabinet des estampes de Genève, 1992. Relié toile d'éditeur sous jaquette illustrée. 205 pages. Nombreuses reproductions, dont 18 en couleurs. Index. Edition tirée à 2000 exemplaires. Parfait état. Envoi en colissimo.‎

Bookseller reference : 3568

Livre Rare Book

Librairie Sabine Leschevin
Correns France Francia França France
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€80.00 Buy

‎SIMENON G., MAUROIS A., LANDRY C.-F., GUILLEMIN H., FREY C., ESCARPIT R., DUESBERG D., BEGUIN P., NORDMANN R:‎

‎Ma conviction profonde.‎

‎Sans lieu [Vésenaz], Pierre Cailler, 1963. In-4 (16,7x25,9) de 125 pages, broché sous emboîtage.‎

‎Illustré de 4 estampes originales de Carzou, Dunoyer de Segonzac, Michel Ciry et Lecoultre. Edition originale. Tiré à 720 ex. num., celui-ci un des 220 sur vélin du Marais, seul tirage qui contient les gravures originales, les 500 suivants n'étant illustrés que de reproductions.‎

Bookseller reference : 679

Livre Rare Book

ILLIBRAIRIE | Bombadil SA
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‎SIMEON‎

‎L'ondulation permanente Eugène (Publicité, La Gazette du Bon ton, 1920)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur faisant la publicité de la boutique Verlaine, tirée sur papier vergé. Deux vignettes publicitaires au dos sur Valaze et les produits du Dr Dys. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 73139

‎SIMEON‎

‎L'ondulation permanente Eugène (Publicité, La Gazette du Bon ton, 1920)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille. - Estampe originale en couleur faisant la publicité de la boutique Verlaine, tirée sur papier vergé. Deux vignettes publicitaires au spine sur Valaze et les produits du Dr Dys. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast ava‎

‎SIMEON‎

‎Le Retour des autans. Tailleur et Robe d'après-midi, de Doeuillet. (La Gazette du Bon ton, n°7 - Planche 55 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris [circa 1920], 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 43226

‎SIMEON‎

‎Le Retour des autans. Tailleur et Robe d'après-midi, de Doeuillet. (La Gazette du Bon ton, n°7 - Planche 55 )‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris [circa 1920], 19,5x25cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, non signed. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une‎

‎SIMEON‎

‎Un peu beaucoup. (La Gazette du Bon ton, n°5. Année 1920 - Planche 34 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas au centre dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 39039

‎SIMEON‎

‎Un peu beaucoup. (La Gazette du Bon ton, n°5. Année 1920 - Planche 34 )‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas au centre dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illu‎

‎SIMEON Fernand‎

‎Au bal noir et blanc. Manteau du soir (pl.25, La Gazette du Bon ton, 1921 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 54861

‎SIMEON Fernand‎

‎Au bal noir et blanc. Manteau du soir (pl.25, La Gazette du Bon ton, 1921 n°4)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, non signed. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus b‎

‎SIMEON Fernand‎

‎Costumes parisiens. Tailleur de velours blanc frappé garni de loutre et de passementerie (pl.28, Journal des Dames et des Modes, 1912 n°15)‎

‎S.n., Paris 1912, 14x22,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 57636

‎SIMEON Fernand‎

‎Costumes parisiens. Tailleur de velours blanc frappé garni de loutre et de passementerie (pl.28, Journal des Dames et des Modes, 1912 n°15)‎

‎- s.n., Paris 1912, 14x22,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue : Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare : « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie. Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎SIMEON Fernand‎

‎La Lettre surprise (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1920 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Février 1920, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 54711

‎SIMEON Fernand‎

‎La Lettre surprise (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1920 n°1)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Février 1920, 18x24cm, une feuille. - Original color print heightened with gold, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planch‎

‎SIMEON Fernand‎

‎Un peu beaucoup (pl.34, La Gazette du Bon ton, 1920 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Juin 1920, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 54773

‎SIMEON Fernand‎

‎Un peu beaucoup (pl.34, La Gazette du Bon ton, 1920 n°5)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Juin 1920, 18x24cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, non signed. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton‎

‎SIMEON Fernand‎

‎Vous avez vu ? Cette petite. Robe de promenade en Parquetine de Rodier. (La Gazette du Bon ton, n°4. Année 1920 - Planche 24 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, la signature ne permet pas d'identifier l'artiste. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 39027

‎SIMEON Fernand‎

‎Vous avez vu ? Cette petite. Robe de promenade en Parquetine de Rodier. (La Gazette du Bon ton, n°4. Année 1920 - Planche 24 )‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, the signature does not let identify the artist. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, la signature ne permet pas d'identifier l'artiste. Gravure orig‎

‎SIMEON Mario‎

‎La Partie de cache-cache. Robe en ruban. (La Gazette du Bon ton, n°1. Année 1921 - Planche 1 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé et signée dans la planche par l'auteur en bas à gauche. Gravure originale réalisée pour l'illustration deLa gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Quelques petites ombres ne portant néanmoins pas atteinte à l'estampe. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 38999

‎SIMEON Mario‎

‎La Partie de cache-cache. Robe en ruban. (La Gazette du Bon ton, n°1. Année 1921 - Planche 1 )‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 19,5x25cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé et signée dans la planche par l'auteur en bas à gauche. Gravure originale réalis‎

‎Simler, Josias‎

‎Helvetiorum respublica. Diversorum autorum, quorum nonnulli nunc primum in lucem prodeunt.‎

‎Leiden, Ex Officina Elzeviriana (Bonaventura & Abraham Elzevier), 1627. 12°. 535 (1) S., (16) S. Index, (1) S. Privileg. Mit gest. figürlichem Titel (Rütlischwur), signiert P.S. Etwas späteres Pergament. + Wichtig: Für unsere Kunden in der EU erfolgt der Versand alle 14 Tage verzollt ab Deutschland / Postbank-Konto in Deutschland vorhanden +, 5159C‎

‎Haller IV, 409. ? Barth 17193. ? Willems 278. ? Simler's (1530-1576) berühmtes Werk «De Republica Helvetiorum» in zwei Büchern bildet den Hauptteil der vorliegenden Ausgabe (S. 26?484). Ferner enthalten sind: Brevis Helvetiae Geographica descriptio, ex Francisco Guillimanno & Osualdo Molitore, Helvetiae; Soli naturae, ex Henrico Glareano; De Fluvis aliquot Helvetiae; Danielis Heremita Belga De Helvetiorum ... epistola ad D. Ferdinandum Gonzagam Mantua fil. Eine von drei Ausgaben mit demselben Erscheinungsjahr. ? Alter hs. Eintrag auf Titel, Stempel auf Titel verso, teilw. etwas fleckig, knapp beschnitten, Widmung auf Vorsatz.‎

Bookseller reference : 5159CB

‎Simon Andre L. With Wood Engravings By David Gentleman‎

‎What About Wine Signed By Simon in Dust jacket. Pictorial Q & A of varieties Vineyard Techniques and How and When it Should be Served UK Edition‎

‎Clean and Unmarked Text: Newman Neame Limited 1953 Quality Hardback : hard cover edition in Very Good condition in Good Dust Jacket some slight wear to edges as normal for age of book dj is slightly chipping. Excellent read. A good book to enjoy and keep on hand. Or would make a great GIFT IDEA for the fan / reader in your life. Inscribed to Emerson Spear. . Signed & Insc. By Author. White Cover Shows Soil/age. Illus. by Illustrated with etchings wood cuts engravings and photos. Small Book. Wine Connaiseur. Newman Neame Limited 1953 hardcover‎

Bookseller reference : 5018006

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Great Pacific Book Co.
United States Estados Unidos Estados Unidos États-Unis
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€32.82 Buy

‎SIMON J.-P.‎

‎L’Ingénuité‎

‎D’après un tableau de Brun. Belle épreuve très légèrement coloriée. En feuille Très bon Avant 1815 37,5 x 29,5 (52 x 40)‎

‎édition originale‎

Bookseller reference : 5246

Livre Rare Book

Librairie Seigneur
Voingt France Francia França France
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€85.00 Buy

‎SIMON JOE : KIRBY JACK‎

‎The BULLSEYE Action Portfolio‎

‎Mainline Publications 1979. Print. Illus. by KIRBY JACK : SIMON JOE. Very Fine. Art Portfolio. 1st Edition. Portfolio - VF in VF folder - Five great action prints by the greatest creative team in comics Joe Simon and Jack Kirby featuring their revolutionary Western Comics star Bullseye. A sixth sheet contains an illustrated essay " BULLSEYE Western Scout : The Legend". Mainline Publications unknown‎

Bookseller reference : 004474

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OUTSIDER ENTERPRISES
Canada Canadá Canadá Canada
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€41.71 Buy

‎SIMON Lucien‎

‎Les Marguilliers‎

‎Belle épreuve parue dans le numéro 8 (décembre 1897) de l’Estampe Moderne. Notre épreuve porte le timbre sec de l’Estampe Moderne en bas à droite. L’Estampe Moderne a paru de mai 1897 à avril 1899. en feuille Très bon Paris L’Estampe Moderne. 1897 27 x 35 cm.‎

Bookseller reference : 6124

Livre Rare Book

Librairie Seigneur
Voingt France Francia França France
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€150.00 Buy

‎SIMON (T.P).‎

‎Janvier. January.‎

‎Paris, Chez Bance ainé, 1808. Dimensions: 43(35)x30(24) Cm. Gravure sur cuivre. Une grande partie de la marge coupée. Déchirure dans la marge anférieur sans impact sur la gravure. La gravure en bon état à part quelques miniscules tâches. Très jolie gravure de T.P Simon representant une femme et un enfant au bord d'un lac gelé, où les gens font du patinage sur glace.‎

Bookseller reference : 108878

Livre Rare Book

Ultimo Capitulo S.L.
Barcelona Spain España Espanha Espagne
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‎SIMON Mario‎

‎Les Soeurs jumelles. Robes trois voiles (pl.34, La Gazette du Bon ton, 1922 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 54988

‎SIMON Mario‎

‎Les Soeurs jumelles. Robes trois voiles (pl.34, La Gazette du Bon ton, 1922 n°5)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belle‎

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