Professional bookseller's independent website

‎Estampes‎

Main

????? : 11,471 (230 ?)

??? ??? 1 ... 179 180 181 [182] 183 184 185 ... 191 197 203 209 215 221 227 ... 230 ??? ????

‎Pierre BRISSAUD - Jeanne LANVIN‎

‎Au Pré Catelan - Robes de fillettes et tailleurs de Jeanne Lanvin. (La Gazette du Bon ton, n°6. Juin 1914 - Planche 55: )‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1914 | 38.10 x 24.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 51297

‎Pierre de Clairambault Auguste Flandrin Bibliotheque nationale France . Cabinet des estampes Bibliotheque nationale France .‎

‎Inventaire des pièces dessinée ou gravées relatíves à l'histoire de France: conservées au . 1887 Leather Bound‎

‎2019. Leather Bound. New. Leather Binding on Spine and Corners with Golden Leaf Printing on round Spine. Reprinted in 2019 with the help of original edition published long back 1887. This book is printed in black & white sewing binding for longer life Printed on high quality Paper re-sized as per Current standards professionally processed without changing its contents. As these are old books we processed each page manually and make them readable but in some cases some pages which are blur or missing or black spots. If it is multi volume set then it is only single volume if you wish to order a specific or all the volumes you may contact us. We expect that you will understand our compulsion in these books. We found this book important for the readers who want to know more about our old treasure so we brought it back to the shelves. Hope you will like it and give your comments and suggestions. Lang: - French Pages 591. EXTRA 10 DAYS APART FROM THE NORMAL SHIPPING PERIOD WILL BE REQUIRED FOR LEATHER BOUND BOOKS. FOLIO EDITION IS ALSO AVAILABLE. hardcover‎

书商的参考编号 : LB1111002657120

Biblio.com

Gyan Books
India India Índia Inde
[Books from Gyan Books]

€42.48 购买

‎Pierre de Clairambault Auguste Flandrin Bibliotheque nationale France . Cabinet des estampes Bibliotheque nationale France .‎

‎Inventaire des pièces dessinée ou gravées relatíves à l'histoire de France: conservées au . 1887 Leather Bound‎

‎2019. Leather Bound. New. Leather Binding on Spine and Corners with Golden Leaf Printing on round Spine. Reprinted in 2019 with the help of original edition published long back 1887. This book is printed in black & white sewing binding for longer life Printed on high quality Paper re-sized as per Current standards professionally processed without changing its contents. As these are old books we processed each page manually and make them readable but in some cases some pages which are blur or missing or black spots. If it is multi volume set then it is only single volume if you wish to order a specific or all the volumes you may contact us. We expect that you will understand our compulsion in these books. We found this book important for the readers who want to know more about our old treasure so we brought it back to the shelves. Hope you will like it and give your comments and suggestions. Lang: - French Pages 591. EXTRA 10 DAYS APART FROM THE NORMAL SHIPPING PERIOD WILL BE REQUIRED FOR LEATHER BOUND BOOKS. FOLIO EDITION IS ALSO AVAILABLE. hardcover‎

书商的参考编号 : LB1111002657122

Biblio.com

Gyan Books
India India Índia Inde
[Books from Gyan Books]

€42.48 购买

‎Pierre de Clairambault Auguste Flandrin Bibliotheque nationale France . Cabinet des estampes Bibliotheque nationale France .‎

‎Inventaire des pi�ces dessin�e ou grav�es relat�ves à l'histoire de France: conserv�es au . 1887‎

‎2020. Paperback. New. Lang: - French Pages 591. Reprinted in 2020 with the help of original edition published long back 1887. This book is Printed in black & white sewing binding for longer life with Matt laminated multi-Colour Soft Cover HARDCOVER EDITION IS ALSO AVAILABLE Printed on high quality Paper re-sized as per Current standards professionally processed without changing its contents. As these are old books we processed each page manually and make them readable but in some cases some pages which are blur or missing or black spots. If it is multi volume set then it is only single volume if you wish to order a specific or all the volumes you may contact us. We expect that you will understand our compulsion in these books. We found this book important for the readers who want to know more about our old treasure so we brought it back to the shelves. Any type of Customisation is possible with extra charges. Hope you will like it and give your comments and suggestions. paperback‎

书商的参考编号 : PB1111002657122

Biblio.com

Gyan Books
India India Índia Inde
[Books from Gyan Books]

€27.26 购买

‎Pierre de Clairambault Auguste Flandrin Bibliotheque nationale France . Cabinet des estampes Bibliotheque nationale France .‎

‎Inventaire des pi�ces dessin�e ou grav�es relat�ves à l'histoire de France: conserv�es au . 1887‎

‎2020. Paperback. New. Lang: - French Pages 591. Reprinted in 2020 with the help of original edition published long back 1887. This book is Printed in black & white sewing binding for longer life with Matt laminated multi-Colour Soft Cover HARDCOVER EDITION IS ALSO AVAILABLE Printed on high quality Paper re-sized as per Current standards professionally processed without changing its contents. As these are old books we processed each page manually and make them readable but in some cases some pages which are blur or missing or black spots. If it is multi volume set then it is only single volume if you wish to order a specific or all the volumes you may contact us. We expect that you will understand our compulsion in these books. We found this book important for the readers who want to know more about our old treasure so we brought it back to the shelves. Any type of Customisation is possible with extra charges. Hope you will like it and give your comments and suggestions. paperback‎

书商的参考编号 : PB1111002657120

Biblio.com

Gyan Books
India India Índia Inde
[Books from Gyan Books]

€27.26 购买

‎Pierre de Clairambault Auguste Flandrin Bibliotheque nationale France . Cabinet des estampes Bibliotheque nationale France .‎

‎Inventaire des pi�ces dessin�e ou grav�es relat�ves à l'histoire de France: conserv�es au . 1887 Hardcover‎

‎2020. Hardcover. New. Lang: - French Pages 591. Reprinted in 2020 with the help of original edition published long back 1887. This book is Printed in black & white Hardcover sewing binding for longer life with Matt laminated multi-Colour Dust Cover Printed on high quality Paper re-sized as per Current standards professionally processed without changing its contents. As these are old books we processed each page manually and make them readable but in some cases some pages which are blur or missing or black spots. If it is multi volume set then it is only single volume if you wish to order a specific or all the volumes you may contact us. We expect that you will understand our compulsion in these books. We found this book important for the readers who want to know more about our old treasure so we brought it back to the shelves. Any type of Customisation is possible with extra charges. Hope you will like it and give your comments and suggestions. hardcover‎

书商的参考编号 : 1111002657122

Biblio.com

Gyan Books
India India Índia Inde
[Books from Gyan Books]

€29.79 购买

‎Pierre de Clairambault Auguste Flandrin Bibliotheque nationale France . Cabinet des estampes Bibliotheque nationale France .‎

‎Inventaire des pi�ces dessin�e ou grav�es relat�ves à l'histoire de France: conserv�es au . 1887 Hardcover‎

‎2020. Hardcover. New. Lang: - French Pages 591. Reprinted in 2020 with the help of original edition published long back 1887. This book is Printed in black & white Hardcover sewing binding for longer life with Matt laminated multi-Colour Dust Cover Printed on high quality Paper re-sized as per Current standards professionally processed without changing its contents. As these are old books we processed each page manually and make them readable but in some cases some pages which are blur or missing or black spots. If it is multi volume set then it is only single volume if you wish to order a specific or all the volumes you may contact us. We expect that you will understand our compulsion in these books. We found this book important for the readers who want to know more about our old treasure so we brought it back to the shelves. Any type of Customisation is possible with extra charges. Hope you will like it and give your comments and suggestions. hardcover‎

书商的参考编号 : 1111002657120

Biblio.com

Gyan Books
India India Índia Inde
[Books from Gyan Books]

€29.79 购买

‎Pierre Gusman‎

‎La gravure française au XVIIIe siècle, avec une suite de 44 estampes.‎

‎In-folio en feuillets dans un étui à lacets; dimensions 460 x 330 mm. Étui satisfaisant, mais avec tâches sur les plats. Intérieur propre. 2,250 kg.‎

‎Ch. Massin, Paris, 13 juillet 1921. Avec table des planches avant la série d'estampes. 25 pp. + 44 planches illustrées en N&B + 2 estampes supplémentaires sur papier de moindre qualité.‎

书商的参考编号 : PPP-879

Livre Rare Book

Le Livre en Pente
Lyon France Francia França France
[Books from Le Livre en Pente]

€130.00 购买

‎Pierre LEGRAIN‎

‎Costumes parisiens. Robe de velours maïs. Petite veste de velours noir bordée de vair (pl.111, Journal des Dames et des Modes, 1913 n°49)‎

‎S. n. | Paris 1913 | 14 x 22.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas au centre de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 57664

‎Pierre LEGRAIN‎

‎Costumes parisiens. Robe de velours maïs. Petite veste de velours noir bordée de vair (pl.111, Journal des Dames et des Modes, 1913 n°49)‎

‎S. n. | Paris 1913 | 14 x 22.50 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas au centre de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 57777

‎Pierre Mac-Orlan , Edmond Lajoux‎

‎Le lys et l'ancre rouge, les régiments qui construisirent l'empire d'outre-mer 1665-1786‎

‎1942, Les Éditions Militaires Illustrées, Paris. Grand in-4, en feuilles, 27 planches pleine page par Edmond Lajoux. Tirage limité à 450 exemplaires. Couverture légèrement émoussée. Planches en très bel état. Bon exemplaire‎

书商的参考编号 : HIS4154M

Livre Rare Book

Librairie du Levant
Bayonne France Francia França France
[Books from Librairie du Levant]

€180.00 购买

‎Pierre Marcel Bibliotheque nationale France . Cabinet des estampes‎

‎Inventaire des papiers manuscrits du cabinet de Robert de Cotte: et de Jules-Robert de Cotte . 1906 Leather Bound‎

‎2019. Leather Bound. New. Leather Binding on Spine and Corners with Golden Leaf Printing on round Spine. Reprinted in 2019 with the help of original edition published long back 1906. This book is printed in black & white sewing binding for longer life Printed on high quality Paper re-sized as per Current standards professionally processed without changing its contents. As these are old books we processed each page manually and make them readable but in some cases some pages which are blur or missing or black spots. If it is multi volume set then it is only single volume if you wish to order a specific or all the volumes you may contact us. We expect that you will understand our compulsion in these books. We found this book important for the readers who want to know more about our old treasure so we brought it back to the shelves. Hope you will like it and give your comments and suggestions. Lang: - French Pages 309. EXTRA 10 DAYS APART FROM THE NORMAL SHIPPING PERIOD WILL BE REQUIRED FOR LEATHER BOUND BOOKS. FOLIO EDITION IS ALSO AVAILABLE. hardcover‎

书商的参考编号 : LB1111002190628

Biblio.com

Gyan Books
India India Índia Inde
[Books from Gyan Books]

€35.38 购买

‎Pierre Marcel Bibliotheque nationale France . Cabinet des estampes‎

‎Inventaire des papiers manuscrits du cabinet de Robert de Cotte: et de Jules-Robert de Cotte . 1906‎

‎2020. Paperback. New. Lang: - French Pages 309. Reprinted in 2020 with the help of original edition published long back 1906. This book is Printed in black & white sewing binding for longer life with Matt laminated multi-Colour Soft Cover HARDCOVER EDITION IS ALSO AVAILABLE Printed on high quality Paper re-sized as per Current standards professionally processed without changing its contents. As these are old books we processed each page manually and make them readable but in some cases some pages which are blur or missing or black spots. If it is multi volume set then it is only single volume if you wish to order a specific or all the volumes you may contact us. We expect that you will understand our compulsion in these books. We found this book important for the readers who want to know more about our old treasure so we brought it back to the shelves. Any type of Customisation is possible with extra charges. Hope you will like it and give your comments and suggestions. paperback‎

书商的参考编号 : PB1111002190628

Biblio.com

Gyan Books
India India Índia Inde
[Books from Gyan Books]

€20.15 购买

‎Pierre Marcel Bibliotheque nationale France . Cabinet des estampes‎

‎Inventaire des papiers manuscrits du cabinet de Robert de Cotte: et de Jules-Robert de Cotte . 1906 Hardcover‎

‎2020. Hardcover. New. Lang: - French Pages 309. Reprinted in 2020 with the help of original edition published long back 1906. This book is Printed in black & white Hardcover sewing binding for longer life with Matt laminated multi-Colour Dust Cover Printed on high quality Paper re-sized as per Current standards professionally processed without changing its contents. As these are old books we processed each page manually and make them readable but in some cases some pages which are blur or missing or black spots. If it is multi volume set then it is only single volume if you wish to order a specific or all the volumes you may contact us. We expect that you will understand our compulsion in these books. We found this book important for the readers who want to know more about our old treasure so we brought it back to the shelves. Any type of Customisation is possible with extra charges. Hope you will like it and give your comments and suggestions. hardcover‎

书商的参考编号 : 1111002190628

Biblio.com

Gyan Books
India India Índia Inde
[Books from Gyan Books]

€22.68 购买

‎Pierre MOURGUE‎

‎"La soirée au théâtre" Smoking et cape "Priola", de Larsen (pl.57, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une double page‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Avant l'illustration sur la dernière page du double feuillet, texte de Caylus "Le bois dans la mode". - Photographies et détails sur www‎

书商的参考编号 : 84825

‎Pierre MOURGUE‎

‎Banco. Robe du soir, de Paul Poiret (pl.49, La Gazette du Bon ton, 1922 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur finement rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 84723

‎Pierre MOURGUE‎

‎Bouquet de violettes. Manteau du soir, de Beer (pl.69, La Gazette du Bon ton, 1921 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 54925

‎Pierre MOURGUE‎

‎Eveil. Robe d'après-midi, garnie de ruban (pl.2, La Gazette du Bon ton, 1921 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 54838

‎Pierre MOURGUE‎

‎La Petite Mademoiselle. Tailleur XVIIe en perllaine de Rodier (pl.1, La Gazette du Bon ton, 1922 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 54950

‎Pierre MOURGUE‎

‎La Petite Mademoiselle. Tailleur XVIIe en perllaine de Rodier (pl.1, La Gazette du Bon ton, 1922 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Une petite déchirure marginale sans manque à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 57582

‎Pierre MOURGUE‎

‎La Promenade au Palais-Royal. Redingote "Directoire" (pl.18, La Gazette du Bon ton, 1921 n°3)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 54854

‎Pierre MOURGUE‎

‎La Promenade au Palais-Royal. Redingote "Directoire" (pl.18, La Gazette du Bon ton, 1921 n°3)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 77346

‎Pierre MOURGUE‎

‎La Visite à l'Ermitage. Cape en ruban (pl.49, La Gazette du Bon ton, 1921 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 54887

‎Pierre MOURGUE‎

‎La Visite à l'Ermitage. Cape en ruban (pl.49, La Gazette du Bon ton, 1921 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 57579

‎Pierre MOURGUE‎

‎Les Cinq sens. Le Goût. Chapeaux, de Camille Roger (pl.56, La Gazette du Bon ton, 1922 n°8)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 84790

‎Pierre MOURGUE‎

‎Les Courses ou Gagneront-ils ? Robe d'après-midi, en "carrés roumécla" de Rodier (pl.48, La Gazette du Bon ton, 1924 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1924 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 55094

‎Pierre MOURGUE‎

‎Nemrod ou le départ pour la chasse, Costume de chasse de Larsen (La Gazette du Bon ton, 1922 n°8)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une double page‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Avant l'illustration sur la dernière page du double feuillet, texte "Pour Cendrillon", soulier de femme. - Photographies et détails s‎

书商的参考编号 : 84835

‎Pierre MOURGUE‎

‎Soir de Paris. Robe du soir, de Martial et Armand (pl.5, La Gazette du Bon ton, 1922 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 54954

‎Pierre MOURGUE‎

‎Soir de Paris. Robe du soir, de Martial et Armand (pl.5, La Gazette du Bon ton, 1922 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

书商的参考编号 : 57524

‎Pierre MOURGUE - Jeanne LANVIN‎

‎Un collier Técla (Publicité, Volume 1, La Gazette du Bon ton, 1920 n°2) [suivi de] Robes du soir de Jeanne Lanvin‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1920 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur réalisée par Pierre Mourgue, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Planche publicitaire pour des robes de Jeanne Lanvin au verso. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine V‎

书商的参考编号 : 55372

‎Pierre MOURGUE - Jeanne LANVIN‎

‎Un collier Técla (Publicité, Volume 1, La Gazette du Bon ton, 1920 n°2) [suivi de] Robes du soir de Jeanne Lanvin‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1920 | 18 x 24 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en couleur réalisée par Pierre Mourgue, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Planche publicitaire pour des robes de Jeanne Lanvin au verso. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine V‎

书商的参考编号 : 73135

‎Pierre Ranson, Berthault, Pierre-Gabriel (1737-1831). Graveur‎

‎16.e Cahier de l'Œuvre de Ranson. estampe] / [Pierre-Gabriel Berthault]- eau-forte N°5,‎

‎1720 A Paris ches Esnauts et Rapilly, rue S.t Jacques a la Ville de Coutances. A. P. D. R., [17..]- eau-forte, burin ; 20 x 26,5 cm;bonnes margesNote(s) : de la Suite de 6 feuilles numérotées, comprenant chacune, à l'intérieur d'une bordure rectangulaire, quatre médaillons ovales ou circulaires, surmontés d'un trophée. Mêmes indications que sur les cahiers 14 et 15. En largeur. - Notice à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle‎

‎Référence(s) : Inventaire du fonds français, graveurs du dix-huitième siècle. Tome II, Baquoy (Pierre) - Bizac / Bibliothèque nationale, Département des estampes ; par Marcel Roux,... - Bibliothèque nationale (Paris), 1933, article BERTHAULT (Pierre-Gabriel), n. 40 = IFF18 BERTHAULT (Pierre-Gabriel), 40Pierre Ranson, peintre de fleurs et d'arabesques. 56 planches, accompagnées d'une notice et d'un essai de catalogue de l'œuvre / par Henri Clouzot, 1920, n. 92-97 = Clouzot, Berthault, 92-97 Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

书商的参考编号 : 27759

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Books from Livres Anciens Komar]

€50.00 购买

‎Pierre Ranson,Berthault, Pierre-Gabriel (1737-1831). Graveur‎

‎16.e Cahier de l'Œuvre de Ranson. estampe] / [Pierre-Gabriel Berthault]- eau-forte N°3,‎

‎1720 A Paris ches Esnauts et Rapilly, rue S.t Jacques a la Ville de Coutances. A. P. D. R., [17..]- eau-forte, burin ; 20 x 26,5 cm; bonnes margesNote(s) : de la Suite de 6 feuilles numérotées, comprenant chacune, à l'intérieur d'une bordure rectangulaire, quatre médaillons ovales ou circulaires, surmontés d'un trophée. Mêmes indications que sur les cahiers 14 et 15. En largeur. - Notice à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle‎

‎Référence(s) : Inventaire du fonds français, graveurs du dix-huitième siècle. Tome II, Baquoy (Pierre) - Bizac / Bibliothèque nationale, Département des estampes ; par Marcel Roux,... - Bibliothèque nationale (Paris), 1933, article BERTHAULT (Pierre-Gabriel), n. 40 = IFF18 BERTHAULT (Pierre-Gabriel), 40Pierre Ranson, peintre de fleurs et d'arabesques. 56 planches, accompagnées d'une notice et d'un essai de catalogue de l'œuvre / par Henri Clouzot, 1920, n. 92-97 = Clouzot, Berthault, 92-97 Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

书商的参考编号 : 27758

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Books from Livres Anciens Komar]

€50.00 购买

‎Pierre Ranson,Berthault, Pierre-Gabriel (1737-1831). Graveur‎

‎16.e Cahier de l'Œuvre de Ranson. estampe] / [Pierre-Gabriel Berthault]- eau-forte N°1,‎

‎1720 A Paris ches Esnauts et Rapilly, rue S.t Jacques a la Ville de Coutances. A. P. D. R., [17..]- eau-forte, burin ; 20 x 26,5 cm; bonnes margesNote(s) : de la Suite de 6 feuilles numérotées, comprenant chacune, à l'intérieur d'une bordure rectangulaire, quatre médaillons ovales ou circulaires, surmontés d'un trophée. Mêmes indications que sur les cahiers 14 et 15. En largeur. - Notice à partir de l'Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle‎

‎Référence(s) : Inventaire du fonds français, graveurs du dix-huitième siècle. Tome II, Baquoy (Pierre) - Bizac / Bibliothèque nationale, Département des estampes ; par Marcel Roux,... - Bibliothèque nationale (Paris), 1933, article BERTHAULT (Pierre-Gabriel), n. 40 = IFF18 BERTHAULT (Pierre-Gabriel), 40Pierre Ranson, peintre de fleurs et d'arabesques. 56 planches, accompagnées d'une notice et d'un essai de catalogue de l'œuvre / par Henri Clouzot, 1920, n. 92-97 = Clouzot, Berthault, 92-97 Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

书商的参考编号 : 27760

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Books from Livres Anciens Komar]

€60.00 购买

‎Pierre Ranson,Berthault, Pierre-Gabriel (1737-1831). Graveur‎

‎Cahier de l'Œuvre de Ranson. estampe] / [Pierre-Gabriel Berthault]- eau-forte N°3,fleurs et arabesques,coloriées‎

‎1720 ( A Paris ches Esnauts et Rapilly, rue S.t Jacques a la Ville de Coutances. A. P. D. R., [17..])- eau-forte, burin ; 20 x 26,5 cm; bonnes marges‎

‎Référence(s) : Inventaire du fonds français, graveurs du dix-huitième siècle. Tome II, Baquoy (Pierre) - Bizac / Bibliothèque nationale, Département des estampes ; par Marcel Roux,... - Bibliothèque nationale (Paris), 1933, article BERTHAULT (Pierre-Gabriel), n. 40 = IFF18 BERTHAULT (Pierre-Gabriel), 40Pierre Ranson, peintre de fleurs et d'arabesques. 56 planches, accompagnées d'une notice et d'un essai de catalogue de l'œuvre / par Henri Clouzot, 1920, n. 92-97 = Clouzot, Berthault, 92-97 Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

书商的参考编号 : 27854

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Books from Livres Anciens Komar]

€70.00 购买

‎Pierre Vidal (1849-1929). Graveur à l'eau forte et illustrateur. - Attaché au cabinet des estampes de la Bibliothèque nationale (depuis 1876).‎

‎SUITES d’EAUX-FORTES pour LES HEURES DE LA FEMME A PARIS.‎

‎Paris, Édition Boudet, Librairie Lahure, 1903, in-folio (355 x 230), bradel demi-maroquin havane, dos lisse, titre et date en queue dorés, couverture supérieure, illustrée d’une eau-forte et mise en couleurs, conservée ; suite de 171 épreuves, à pleine marge et avec remarques, des 97 eaux-fortes (dont la couverture) tirées pour l’illustration du livre « Les Heures de la Femme à Paris… » comprenant : Le 1er état de la couverture, 48 compositions, signées dans la planche, à pleine page et en double état, 24 en-têtes en double état et signés dans la planche également et 24 culs-de-lampes. Ces épreuves sont tirées sur Japon, premier papier de l’édition, dont le tirage fut strictement limité à 25 exemplaires avec une suite en 1er état au format in-8 et 5 offerts selon Carteret [IV-397], qui relève l’intérêt de ces planches pour l’histoire du costume Belle Epoque. Très beau recueil, en parfait état, d’un ensemble d’épreuves, non justifié car hors commerce, mais, bien évidemment, rare. La reliure Bradel, parfaitement exécutée, offre une consultation agréable des planches, le papier Japon, sans défaut, irise le travail de l’aquafortiste « où il résume avec tant d’esprit la vie moderne en de petits tableaux de genres qui sont le musée intime du bibliophile. » in Vidal, P. (Pierre), 1848-1929; Marthold, Jules de, 1842-1927. Pierre Vidal, peintre et graveur : https://archive.org/details/pierrevidalpeint00vida/page/1‎

书商的参考编号 : SHL-6

Livre Rare Book

Librairie Hervelin Séverine
Saint Jean Pied de Port France Francia França France
[Books from Librairie Hervelin Séverine]

€980.00 购买

‎Pierson Hellen W.; b/w Engravings Illustrator‎

‎History of Germany: In Words of One Syllablert's One Syllable Histories Series‎

‎A.L. Burt 1899-01-01. Hardcover. Acceptable. Nice looking book has edge wear. has tears on spine & cover faded. A.L. Burt hardcover‎

书商的参考编号 : 2335181011007

Biblio.com

books4U2day
United States Estados Unidos Estados Unidos États-Unis
[Books from books4U2day]

€63.24 购买

‎Pierson Lydia Jane; Newman Rose‎

‎The Lady's Wreath: A Christmas and New Year's Present for 1844; embellished with Splendid Steel Engravings Coloured Flowers Music Etc.‎

‎Philadelphia: William S. Young 1844. Hardcover. Fair . 284 p. frontispiece and 6 additional leaves of plates; 23 cm. Publisher's brown cloth with gilt-stamped spine title and decoration; blind-stamped decoration on both boards. Yellow endpapers. Inscribed on front free endpaper: "To Mary from Curtis New years Day 1844." Not in Faxon. The publisher reissued vol. 1 nos. 1-5 of The Lady's Wreath and Young Ladies' Magazine as an annual for 1844 with a different title page. Contents include poetry and fiction by Lydia Jane Pierson Marguerite St. Leon Loud C. Theresa Clarke Mary L. Willson George Lippard Rose Newman and Jack Gasket. Includes lyrics and music for Adieu! Ye Streams by Reissiger -- My Love is Journeying O'er the Sea by Barry Cornwall and G.J. Webb -- Oh! Is that Heart Still Mine! by F.W. Rosier -- 'Tis Sweet to Think There is a Spot by William Patten -- 'Ere round the Huge Oak by Shield and O'Keefe. The plates include engraved illustrations to accompany some of the contents and hand-colored flower plates. In Fair Condition: cloth is rubbed splitting over both joints and frayed at spine ends and board edges; minor loss of cloth at spine ends; lacking table of contents and pp. 1-2 of text; light foxing throughout; otherwise clean and tight. <br/><br/> William S. Young hardcover‎

书商的参考编号 : 003992

Biblio.com

Classic Books and Ephemera
United States Estados Unidos Estados Unidos États-Unis
[Books from Classic Books and Ephemera]

€38.92 购买

‎Pieth, F‎

‎Das alte Seewis. Kulturgeschichtliches über Seewis und dessen Nachbar-Gemeinden vornehmlich im 18.Jahrhundert.‎

‎Chur, Hermann Fiebig's Buchdruckerei, 1910. 8°. 77(1) S. Mit einem Frontispitz, 3 Zeichnungen von H.Jenny u. 3 Abb. Orig.-Brosch. + Wichtig: Für unsere Kunden in der EU erfolgt der Versand alle 14 Tage verzollt ab Deutschland / Postbank-Konto in Deutschland vorhanden +‎

书商的参考编号 : 19432AB

‎Pieth, F.:‎

‎Das alte Seewis. Kulturgeschichtliches über Seewis und dessen Nachbar-Gemeinden vornehmlich im 18.Jahrhundert.‎

‎Chur, Hermann Fiebig's Buchdruckerei, 1910. 8°. 77(1) S. Mit einem Frontispitz, 3 Zeichnungen von H.Jenny u. 3 Abb. Orig.-Brosch.‎

书商的参考编号 : 19432AB

Livre Rare Book

EOS Buchantiquariat Benz
CH-8001 Zürich Switzerland Suiza Suíça Suisse
[Books from EOS Buchantiquariat Benz]

€57.34 购买

‎Pietro Aretino - L'Arétin‎

‎Sonnets luxurieux de Pietro Aretino dit L'Arétin, avec accompagnement de gravures au burin d'après la description des gravures de Giulio Pippi de Giannuzzi dit Jules Romain‎

‎Aux dépens de quelques amateurs, 1948. Tirage limité à 250 exemplaire In-8 (250 x 164 mm), feuillets non relié sous chemise et emboîtage carmins, 46pp. 16 gravures dans le texte au burin, non signées, de Tavy Notton. Chemise très légèrement émoussées aux coiffes. Dos légèrement insolé.Emboîtage correct partiellement insolé et frotté. Intérieur frais. Bon exemplaire.‎

书商的参考编号 : ERO310M

Livre Rare Book

Librairie du Levant
Bayonne France Francia França France
[Books from Librairie du Levant]

€200.00 购买

‎Pietro Consagra‎

‎10 linoleum‎

‎In-folio, cartella originale con illustrazione, che contiene le 10 incisioni su linoleum, sciolte, tutte numerate e firmate dall’autore, e il testo di Consagra “E’ trascurabile esprimere se stessi”; tiratura limitata, dopo la stampa le matrici furono distrutte. Ottimo esemplare.‎

‎PIEYRE DE MANDIARGUES André‎

‎Jacinthes‎

‎Paris OLV [ Odette Lazare-Vernet], collection "Paroles Peintes" 1967 In-4 Reliure de l'éditeur‎

‎Edition illustrée hors texte par Alexandre Bonnier de 8 eaux-fortes en couleurs. L'artiste a également gravé en vert le titre et les 13 lettrines. Reliure de l'éditeur : box blanc orné sur le premier plat d'une gravure à froids de Bonnier, lettre verte au dos lisse, garde de papier à la main auquel est mêlé des cheveux féminins, étui toilé vert.Tirage à 95 exemplaires sur papier d'Auvergne du moulin Richard-de-Bas, numérotés et signés par l'auteur et l'artiste. UN DES 14 premiers, après un exemplaire unique, contenant une GOUACHE originale en couleurs signée de Bonnier, un POEME AUTOGRAPHE de Pieyre de Mandiargues & une SUITE en noir des 8 estampes, chacune signée par l'artiste. Très bel exemplaire dans sa boite carton d'origine. Très bon 0‎

书商的参考编号 : 014420

Livre Rare Book

Librairie-Galerie Emmanuel Hutin
Paris France Francia França France
[Books from Librairie-Galerie Emmanuel Hutin]

€600.00 购买

‎PIGAL- Edmé Jean Pigal‎

‎Vanité des Vanités !! - Lithographie originale sur blanc‎

‎1820 Lithographie de Charles Motte; Date: 1820–36; rare‎

‎Edmé Jean Pigal (French, Paris 1798–1872 Sens). Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

书商的参考编号 : 27402

Livre Rare Book

Livres Anciens Komar
Meounes les Montrieux France Francia França France
[Books from Livres Anciens Komar]

€50.00 购买

‎PIGNATELLI, Ercole (Lecce, 1935),‎

‎Senza titolo‎

‎Acquaforte appartenente al libro ''La rosa verticale'', poesie di Raffaele Carrieri e acqueforti di Pignatelli, stampato da Giorgio Upiglio, Milano 1978 Firma a matita. cm 36x26,5 (foglio 46x34,5). . . Ottimo (Fine). . Tiratura 130. .‎

‎PIGNATELLI, Ercole (Lecce, 1935),‎

‎Senza titolo (Ai feroci accusatori)‎

‎Acquaforte appartenente al libro ''La rosa verticale'', poesie di Raffaele Carrieri e acqueforti di Pignatelli, stampato da Giorgio Upiglio, Milano 1978 Firma a matita. cm 36x26,5 (foglio 46x34,5). . . Ottimo (Fine). . Tiratura 130. .‎

‎PIGNATELLI, Ercole (Lecce, 1935),‎

‎Senza titolo (Avrebbe voluto)‎

‎Acquaforte appartenente al libro ''La rosa verticale'', poesie di Raffaele Carrieri e acqueforti di Pignatelli, stampato da Giorgio Upiglio, Milano 1978 Firma a matita. cm 36x26,5 (foglio 46x34,5). pp.. . Ottimo (Fine). . Tiratura 130. .‎

‎PIGNATELLI, Ercole (Lecce, 1935),‎

‎Senza titolo (Grido bianco)‎

‎Acquaforte appartenente al libro ''La rosa verticale'', poesie di Raffaele Carrieri e acqueforti di Pignatelli, stampato da Giorgio Upiglio, Milano 1978 Firma a matita. cm 36x26,5 (foglio 46x34,5). . . Ottimo (Fine). . Tiratura 130. .‎

‎PIGNATELLI, Ercole (Lecce, 1935),‎

‎Senza titolo (Mi è rimasto)‎

‎Acquaforte appartenente al libro ''La rosa verticale'', poesie di Raffaele Carrieri e acqueforti di Pignatelli, stampato da Giorgio Upiglio, Milano 1978 Firma a matita. cm 36x26,5 (foglio 46x34,5). . . Ottimo (Fine). . Tiratura 130. .‎

‎PIGNATELLI, Ercole (Lecce, 1935),‎

‎Senza titolo (Nei subitanei abbandoni)‎

‎Acquaforte appartenente al libro ''La rosa verticale'', poesie di Raffaele Carrieri e acqueforti di Pignatelli, stampato da Giorgio Upiglio, Milano 1978 Firma a matita. cm 36x26,5 (foglio 46x34,5). . . Ottimo (Fine). . Tiratura 130. .‎

????? : 11,471 (230 ?)

??? ??? 1 ... 179 180 181 [182] 183 184 185 ... 191 197 203 209 215 221 227 ... 230 ??? ????