‎Protestantism‎

‎MANEN G‎

‎Essai sur Jérome Savonarole d'après sa prédication‎

‎Montauban, J. Granié, 1897 Montauban, J. Granié, 1897. In-8 broché de 70 pages. Thèse publiquement soutenue devant la faculté de théologie protestante de Montauban. Bords de couverture jaunis sinon bon état. Peu courant‎

‎Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.‎

Bookseller reference : 148632

‎Manuscrit BOST (Charles).‎

‎L'HYGIENE MENTALE. Résumé pratique des renseignements du docteur G. Liengme (prononcer Lième), clinique des maladies nerveuses, Vers la Rive Vaumarcus (canton de Neuchatel - Suisse). (Sur la rive même du lac de Neuchatel entre Neuchatel et Concise, au pied du Jura).‎

‎Le Havre, Charles Bost, 1922, 1 br. in-8 de 26 feuillets manuscrits, signés de l'auteur ;‎

‎Charles Bost étudie les maladies nerveuses, pour comprendre le phénomène des "Tremblantss des Cévennes" (état d'extase chez les Camisards).A partir de cette étude, il publiera un an plus tard un ouvrage: "L'ygiène mentale. Quelques idées du docteur Liengme de Vaumarcus (Neuchatel-Suisse)".Le pasteur et historien Charles Bost est né au Pouzin (Ardèche).‎

Bookseller reference : 12394

‎Manen (Henri), pasteur‎

‎La main de dieu. Dix sermons prêchés à Aix-en-Provence.‎

‎français In-8 de 77 pp.; broché de l'éditeur.‎

‎Marquet Claudette‎

‎"Le Protestantisme (Collection ""Comprendre aujourd'hui"")"‎

‎Seghers. 1997. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos plié, Intérieur frais. 217 pages.. . . . Classification Dewey : 284-Protestantisme‎

‎"Collection ""Comprendre aujourd'hui"" dirigée par Janine Alaux Classification Dewey : 284-Protestantisme"‎

Bookseller reference : RO30313045

‎MARTIN ERNEST (ANCIEN OFFICIER DE MARINE. 1833-1897).‎

‎CARTULAIRE DE LA VILLE DE LODEVE. DRESSE D’APRES DES DOCUMENTS INEDITS POUR SERVIR DE PREUVES A L’HISTOIRE DE LA VILLE DE LODEVE, DEPUIS SES ORIGINES JUSQU’A LA REVOLUTION.‎

‎MONTPELLIER. IMPRIMERIE SERRE ET ROUMEGOUS. 1900. IN-8 (17,5 X 26 X 4,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (4) + 494 PAGES, RELIURE D’EPOQUE 1/2 VEAU HAVANE, DOS A QUATRE NERFS, TITRE EN NOIR, COUVERTURE CONSERVEE. EDITION ORIGINALE. BON EXEMPLAIRE.‎

Bookseller reference : 3478

‎MARX Jakob‎

‎Die Ursachen der schnellen Verbreitung der Reformation zunächst in Deutschland. Aus Quellen dargestellt, und mit vollständigen Beweisstellen belegt von Jakob Marx‎

‎Arnheim, Josué Witz 1852 viii + 123pp., small stamp on titlepage, modern softcover, text in gotic german, VG, [published in: "Bibliothek für Geschichte, Philosophie und Theologie" 1ster Jahrg. 8ste Lieferung]‎

Bookseller reference : R41171

‎Marc FORISSIER‎

‎Emilien Frossard L'apôtre des Pyrénées 1802-1881.‎

‎Editions d'Albret, 1946. Un des cent exemplaires sur papier bouffant supérieur, avec un hommage de l'auteur.‎

Bookseller reference : ZNF-542

‎Marie-Reine SIRE‎

‎FAMILLES PROTESTANTES au TRAVERS des ACTES (XVIe -( XVIIe siècle)‎

‎3 volumes de 664, 891 et 956 pages, format 210 x 300 mm, illustrés, reliés cartonnage, publiés en 2008-2011, bon état‎

‎Concerne la région de Lusignan, Couhé, Montreuil-Bonnin, Pamproux, la Mothe-Saint-Héray et l'Est des Deux-Sèvres‎

Bookseller reference : LFA-126716358

‎MARTIN Henri‎

‎Histoire de France. Tome 9. Guerres de religion. 1559-1585.‎

‎Couverture rigide. Reliure demi-chagrin noir à nerfs. 564 pages. 15 x 23 cm.‎

‎Livre. Quatrième édition. Editions Furne, 1862.‎

Bookseller reference : 33178

‎MARTURE. (JEAN BARTHELEMY FRANCOIS ANTOINE. 1785-1845).‎

‎HISTOIRE DU PAYS CASTRAIS; PAR B.-A. MARTURE, AVOCAT.‎

‎A CASTRES. DE L'IMPRIMERIE DE J. AUGER. 1822. 2 TOMES EN 2 VOLUMES IN-8 (14 X 20 CENTIMETRES ENVIRON) DE XXIV + 320 + 56 ET 368 + 24 PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, PASTICHE XVIII°, DOS A CINQ NERFS ORNE DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE ET TRANCHES DORES. EDITION ORIGINALE DE CET OUVRAGE RARE ET RECHERCHE. (BRUNET. 24747). RELIE D'ORIGINE SANS LES FEUILLETS DE FAUX-TITRES, RESSAUT D'UN CAHIER A REFIXER, QUELQUES PETITES TRACES D'USURE SANS AUCUNE GRAVITE, SINON TRES BEL EXEMPLAIRE, RARE DANS CETTE CONDITION.‎

Bookseller reference : 2134

‎Martin-Achard (R.).‎

‎Israël et les nations.‎

‎1959 Neuchatel et Paris, Delachaux et Niestlé, 1959. Collection "Cahiers Théologiques", N° 42. Un volume broché de format in 8° de 80 pp.‎

‎Parfait état. Rare.‎

Bookseller reference : 3048

‎Marc Edouard Chenevière‎

‎La pensée politique de Calvin‎

‎1937 Editions Labor, editons je sers broché, 383p. Très bon état.‎

‎Thèse présentée à la faculté de droit de l'université de Genève. Table des matières : 1.le problème du droit : la raison - la loi naturelle - le rôle de la raison et de la conscience dans la politique calvinienne - l'ordre de nature - la loi positive - le droit international - conclusions. 2. l'état : définitions - l'état et l'ordre de nature - position générale de Calvin en face du problème de l'état - la nécessité d'une organisation politique est fondée sur la volonté de dieu clairement exprimée dans sa parole - Calvin et la tradition chrétienne - Calvin et les anabaptiste - l'utilité de l'état - reconnaissance de l'homme envers dieu qui a créé l'état. 3.le magistrat : la fonction de magistrat est une fonction sainte - Calvin et les partisans de la tyrannie - le magistrat et le peuple - le magistrat et la loi positive - place occupée par Calvin dans l'histoire des doctrines de l'état. 4.les formes de gouvernement : indifférence de Calvin à l'égard de ce problème - responsabilité spéciale des peuples auxquelles dieu accorde un régime politique libéral - conseils donnés par Calvin au peuple de Genève - Calvin et la constitution politique de Genève - Calvin et la constitution politique de Strasbourg - Calvin et la monarchie. 5.office des magistrats : office religieux - l'église et l'état - les fonctions civiles du magistrat - moyens dont dispose le magistrat pour exercer soin autorité - assitance prêtée par dieu aux magistrats - législation genevoise. 6.le peuple : le peuple et le magistrat - le peuple et le magistrat indigne - Calvin et le contrat de gouvernement - les moyens de défense du peuple - l'obéissance due à dieu passe avant l'obéissance due aux magistrats.‎

Bookseller reference : 2750

‎Martin et Antoine.‎

‎La Querelledu Sacré.‎

‎1970 Paris, Beauchesne, 1970. Collection "Verse et Controverse", N°13. Un volume broché de format in 8° en hauteur, de 144 pp., quelques photographies.‎

‎Bel état, peu commun.‎

Bookseller reference : 4292

‎MARION, Emile‎

‎La réformation au Pays de Vaud.‎

‎Vevey, Imprimerie Säuberlin & Pfeiffer S. A. 1936, 210x175mm, 140pages, reliure demi-toile. Plats papier marbré. Pièce de titre et d’auteur dorés au dos. Bel exemplaire.‎

Bookseller reference : 85358

‎MARQUET Claudette‎

‎Le Protestantisme. Collection Comprendre aujourd'hui.‎

‎Editions Seghers, 1977. 13 x 20, 222 pp., broché, bon état.‎

Bookseller reference : 19818

‎MARCHA (Pierre).‎

‎LES COMMENTAIRES DU SOLDAT DU VIVARAIS ou se voit l'origine de la rebellion de la France et toutes les guerres que, durant icelle, le pays du Vivarais à souffertes, divisés en trois livres, selon le temps que lesdites guerres sont arrivées; suivis du voyage du Duc de Rohan en Vivarais, l'an 1628; de la Relation de la Révolte de Roure en 1670; et d'une anecdote extraite du Journal manuscrit de Banne, chanoine de Viviers. Publiés par J. L. De Laboissière, ancien magistrat.‎

‎Privas, imp. Centrale de l'Ardèche, 1908, réédition de l'édition de 1811, 1 broché. in-8 de X-318 pages ;‎

‎Précieux et rares témoignages sur les guerres de religion dans le Vivarais. Le siège de Vallon - La défaite de Brison devant Serrières - Attaques du Chateau du Cheylard, du chateau de Salavas, des Salelles, Rochemaure, Le Pouzin, Villeneuve de Berg, etc... L'auteur sans doute Pierre Marcha, zélé protestant qui abjura, accable les protestants de tous les torts. Le rassemblement du camp de Jalès célèbre évènement de la Contre-Révolution en Ardèche est appellé conspiration de Saillans du nom du chef des rebelles, le Comte de Saillans. Il déclencha le soulèvement le 4 juillet 1792. Encerclé dans le chateau de Bannes, il fut arrété et massacré.‎

Bookseller reference : 12365

‎MARCHA DE PRAT (Pierre) - MARCHA (Pierre, Seigneur de Prat)‎

‎Les Commentaires du soldat du Vivarais, où se voit l'origine de la rébellion de la France et toutes les guerres que, durant icelle, le pays du Vivarais a souffertes, divisés en trois livres, selon le temps que les dites guerres sont arrivées. Suivis du Voyage du duc de Rohan en Vivarais, l'an 1628, de la Relation de la révolte de Roure, en 1670, et d'une anecdote extraite du Journal manuscrit de J. de Banne, chanoine de Viviers. Publiés par J.-L. de Laboissière.‎

‎Privas : F. Agard, 1811 - Un volume in-8 demi vélin avec pièce de titre (reliure moderne), 449 pages : les 18 dernières pages (jusqu'à l'avis de l'imprimeur) sont manquantes mais ont été soigneusement recopiées d'une écriture bien lisible et reliées à la suite. Rare édition originale de cet ouvrage de référence.‎

‎Pierre Marcha, seigneur du Prat (1587-16...), était maître des requêtes de Marie de Médicis et, en 1626, intendant de l'armée royale. Gentilhomme catholique, il dresse ici la relation des guerres de religions qui ont eu lieu dans le Vivarais de 1619 à 1629 : il connaît les lieux et décrit avec clarté les opérations militaires.‎

Bookseller reference : 43944

‎MARTEILHE Jean de Bergerac‎

‎Mémoires d'un protestant condamné aux galères de France pour cause de religion.‎

‎Paris, Société des Ecoles du Dimanche, 1865.- reprint de l'éd. de : Rotterdam : J.D. Beman & fils, 1757.- 561 p., (17,5x10,5 cm) ; demi-chagrin marron. Illustré de 4 gravures par L. Morel -Fatio. Rousseurs et quelques taches, nombreuses notes au crayon papier facilement effaçables. Bon etat mais dos manquant.‎

‎Ouvrage dans lequel, outre le recit des souffrances de l'Auteur depuis 1700 jusqu'en 1713 ; on trouvera diverses particularités curieuses, relatives à l'Histoire de ce Temps-là, & une Description exacte des Galeres & de leur Service. precieux document sur une epoque et un fait historique‎

Bookseller reference : 301

‎Marie-Louise & Pierre Cabanes‎

‎PANORAMA du ROUERGUE‎

‎1978 / 419 pages. Broché. Editions Subervie.‎

‎Couverture présentant de légers frottements d'usage, des rousseurs présentent sur la page de garde et de faux titre. Bon état.‎

Bookseller reference : REF030C170

‎MARTIN Joseph‎

‎Ratramne une conception de la Cène au IXe siècle‎

‎Montauban, J. Granié 1891 Montauban, J. Granié 1891. In-8 broché de 80 pages. Quelques rousseurs. Thèse publiquement soutenue devant la faculté de théologie protestante de Montauban. Peu courant‎

‎Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.‎

Bookseller reference : 148612

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.‎

‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Bookseller reference : 55717

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]" "Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]" "Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires). Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]" "Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc... Français‎

‎Marius Richard‎

‎LUTHER‎

‎Phila./NY:: J. B. Lippincott. G/VG unmarked HB; o.n.; no DJ. c. 1974. ISBN: 269 pp. Catalogs: Reformation. Keywords: LUTHER. J. B. Lippincott unknown‎

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‎MARQUET CLAUDETTE‎

‎LE PROTESTANTISME‎

‎SEGHERS. 1977. In-8 Carré. Broché. Bon état. Couv. convenable. Dos satisfaisant. Intérieur frais. 217 pages‎

‎Martin E. Marty‎

‎Protestantism History of Religious : Living Faiths‎

‎<p>Former library book. Usual library stamps stickers and pocket. Moderate shelf/edge wear. Text is clean & tight & unmarked.</p> Holt, Rinehart and Winston hardcover‎

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