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‎Lemarchand.‎

‎Lemarchand. Une affiche éditée à l'occasion de l'exposition à la galerie La belle Gabrielle du 19 mai au 19 juin 1965.‎

‎Une seule affiche de dimensions 52 x 78 cm; lithographie de Mourlot. Un coin légèrement marqué; discrètes traces de punaises. Belle fraîcheur. Voir photo.‎

MareMagnum

Sciardet Daniel
Germany Alemania Alemanha Allemagne
[Books from Sciardet Daniel]

€ 25.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°31 Le cinquième acte.‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [Mai 1900]. Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Légères restaurations marginales au Filmoplast au verso.‎

‎Cette affiche représente Loubet qui est chassé de lÉlysée à coup de fouet par Paul Déroulède. Le titre est peut-être une réponse à celui d'une tribune de Zola dans L'Aurore du 12 septembre précédent.Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14057

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 200.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°5 Trou de Balle.‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [Novembre 1899].Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Manques angulaires et restaurations au Filmoplast au verso.‎

‎Cette affiche représente Fernand Laborit en âne.Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14058

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 150.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°8 Georgette.‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [décembre 1899]. Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Petites déchirures marginales sans manque‎

‎Cette affiche représente Marie-Georges Picquart en dromadaire.Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14059

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 250.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°9 Pré salé.‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [décembre 1899].Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Très légères restaurations marginales au Filmoplast au verso‎

‎Cette affiche représente Francis de Pressensé, en dindon, juché sur un journal intitulé L'Ordure (L'Aurore).Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14060

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 200.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°10 L'ex-copain de Cornélius Herz.‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [décembre 1899]. Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Petits manques et restaurations au Filmoplast au verso.‎

‎Cette affiche représente Georges Clemenceau, en hyène, veillant sur des sacs de livres sterling, en écho aux accusations du temps de l'affaire Norton (1893). Le titre rappelle ses liens avec Cornelius Herz avant le scandale de Panama (1892).Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14061

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 150.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°12 Crassus.‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [Janvier 1900]. Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Restaurations marginales au Filmoplast au verso.‎

‎Cette affiche représente Henri Maret en rat d'égout. Légout, nommé "canal de Panama" (Maret a été impliqué dans le scandale), charrie un numéro du Radical.Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14062

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 200.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°13 Ranc le Caïman.‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [Janvier 1900]. Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Restaurations marginales au Filmoplast au verso.‎

‎Cette affiche représente Le sénateur Arthur Ranc en caïman (sobriquet donné aux sénateurs).Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14063

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 200.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°20 Boum boum! madame !!‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [Février/Mars 1900]. Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Rousseurs et petites déchirures marginales sans manque.‎

‎Cette affiche représente Emile Loubet en ours de cirque vendant des nougats (le président est originaire de Montélimar). Le titre et le sujet rappellent un passage dAutour du monde en pousse-pousse de Fernand Hue: une famille visitant l'Exposition universelle de 1889 y voit "un homme coiffé d'un fez et qui, tenant sur un plateau de métal un amas de pâte de couleur douteuse, criait: - Boum-boum, Messieurs! boum-boum, Madame!".Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14066

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 200.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°23 Ministre et Traître.‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [Mars 1900].Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Petites déchirures marginales sans manque.‎

‎Cette affiche représente Le ministre de la Marine Lanessan, en poisson ou en monstre marin, qui tient une lettre dans laquelle il a écrit à Jude Philipp: "Partez en paix, je veille au grain. Mes amitiés à Canivet". Le 5 mars, Georges Berry a reproché à Lanessan d'avoir mis un mois, entre janvier et février, pour agir contre l'un de ses fonctionnaires, Philipp, laissant à ce dernier le temps d'échapper à des poursuites pour escroquerie voire trahison (cf. no32). L'allusion au journaliste Raoul Canivet rappelle qu'en 1894 Lanessan a été révoqué de son poste de gouverneur de l'Indochine en raison de ses liens avec le directeur du Paris, accusé de chantage.Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14067

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 250.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°24 Coquin.‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [Mars/Avril 1900]. Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Petites déchirures marginales sans manque.‎

‎Cette affiche représente Isidore-René Jacob-Paquin, en singe, trempant la croix de la Légion d'honneur dans un bidet. Grand couturier juif et dreyfusard, Paquin a été nommé chevalier de la Légion d'honneur sur rapport d'Alexandre Millerand le 19 février 1900. Les antidreyfusards contestent cette décoration, qui fait l'objet d'une interpellation à la Chambre le 23 mars.Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14068

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 250.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°25 Ça porte toujours bonheur.‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [Mars/Avril 1900].Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Très bel exemplaire.‎

‎Cette affiche représente Auguste Thomas (1845-1911), maire et industriel à Gravières, ici représenté en mouche à merde émergeant du trou d'un chalet de nécessité pour récupérer sa croix (Thomas étant l'administrateur, entre autres, de la Société des chalets de nécessité).Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14069

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 300.00 购买

‎LENEPVEU (Victor).‎

‎Le Musée des Horreurs N°30 Le Châtiment.‎

‎Paris, Impr-Gérant Lenepveu, 58 rue Dulong, s.d. [Mai 1900].Affiche lithographique en couleurs imprimée sur papier journal très fragile (652 x 500 mm). Petites déchirures marginales sans manque.‎

‎Cette affiche représente Loubet, reconnaissable à son chapeau enfoncé (par le coup de canne du baron Christiani, le 4 juin 1899), qui est submergé par les bulletins de vote aux noms des conseillers municipaux nationalistes parisiens élus les 6 et 13 mai.Elle fait partie de la célèbre série daffiches caricaturales antidreyfusardes, nationalistes, antimaçonniques et antisémites publiées entre 1899 et 1900, toutes dessinées, non sans talent, par Victor Lenepveu. La série devait compter 200 numéros ; seules 52 affiches du " Musée des Horreurs " et 5 affiches de la série supplémentaire " Le Musée des Patriotes " virent le jour. Ces affiches, vu le support très fragile et cassant, sont très difficiles à trouver en bon état.N.B. : l'étiquette visible sur la photo est collé sur la pochette de protection, pas sur l'affiche elle-même, bien évidemment !‎

书商的参考编号 : 14070

Livre Rare Book

Bouquinerie Aurore
Belmesnil France Francia França France
[Books from Bouquinerie Aurore]

€ 250.00 购买

‎LENICA (Jan) - MARIANOWICZ (Antoni) - SZELAG (Maria)‎

‎Polska Karykatura Polityczna - La Caricature politique polonaise - Polish political caricature‎

‎Spoldzielnia Wydawniczo-Oswiatowa Czytelnik 1950 In-4. Agrafé, 21 pp., 68 planches volantes légendées en couleurs ou en noir, sous portefeuille papier beige, premier plat imprimé en rouge. Portefeuille restauré, planches fraîches.‎

‎Texte quadrilingue polonais, russe, français, anglais. Etat correct d’occasion‎

书商的参考编号 : 90049

Livre Rare Book

Librairie de l'Avenue
Saint-Ouen France Francia França France
[Books from Librairie de l'Avenue]

€ 129.00 购买

‎Lenica, Jean‎

‎Poland Invites You‎

‎Sn. 1970 67 x 97 cm. Impression offset. Effrangée.‎

‎Bon état d’occasion‎

书商的参考编号 : 136732

Livre Rare Book

Librairie de l'Avenue
Saint-Ouen France Francia França France
[Books from Librairie de l'Avenue]

€ 127.00 购买

‎LENOIR Marcel‎

‎"Invocation à la madone d'onyx vert" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juillet 1897), sujet : 33x24,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente. - Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Marcel Lenoir pour L'Estampe Moderne, série numéro 3 publiée en juillet 1897. Une des 50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et une présentation de l'artiste ; et d'une autre serpente vierge. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée en couleurs sur le plus prestigieux des papiers : le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une œuvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'œuvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'œuvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau de l'artiste. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LENOIR Marcel‎

‎"Invocation à la madone d'onyx vert" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juillet 1897), sujet : 33x24,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille. - Rare lithographie originale exécutée par Marcel Lenoir pour L'Estampe Moderne, série numéro 3 publiée en juillet 1897. Une des 50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, rares rousseurs marginales, serpente vierge. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers : le Chine. « Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures... » (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'œuvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'œuvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau de l'artiste. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LEON BLUM Création de M. -F. Pointeau.‎

‎Affiche de Maurice Frantz Pointeau. Pour la première fois depuis dix ans un acte d'autorité gouvernementale entreprend de briser le cycle de hausse et de porter l'effort sur la baisse systématique des prix.‎

‎- Une feuille repliée. 78 x 117 cm.‎

‎Vieux papier. Texte noir recouvrant un 5% jaune. Création de M. -F. Pointeau. Publicité E. A. Dauphin, 1947.‎

书商的参考编号 : 143912

Livre Rare Book

Librairie et Cætera
Belin-Beliet France Francia França France
[Books from Librairie et Cætera]

€ 90.00 购买

‎LEPAGE PAUL (CAPITAINE) ET PARROT PIERRE (LIEUTENANT).‎

‎HISTORIQUE DU 19° REGIMENT DE CHASSEURS. 1792-1892. LEGION DE ROSENTHAL DE 1792 A 1793. 19° REGIMENT DE CHASSEURS DE 1793 A 1814. CHASSEURS DE LA SOMME 19° DE 1815 A 1826. 19° REGIMENT DE CHASSEURS DE 1873 A 1892.‎

‎LILLE. IMPRIMERIE L. DANEL. 1893. GRAND IN-4 (39 X 30 X 5,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (6) + 434 PAGES, RELIURE DE L'EDITEUR A LA BRADEL PLEINE PERCALINE VIOLINE, TITRE ET TETE DORES, NON ROGNE. «CET OUVRAGE ILLUSTRE PAR LA MAISON CH. GILLOT DE PARIS, D'APRES LES AQUARELLES DE GRAMMONT, MARIE DE L'ISLE ET LES DESSINS DE NEYMARCK, REPOSE SUR DES DOCUMENTS AUTHENTIQUES TIRES DES ARCHIVES DU MINISTERE DE LA GUERRE, DES MAIRIES, DES FAMILLES, ETC...». COMPREND 60 ILLUSTRATIONS : 4 CARTES HORS TEXTE, 36 REPRODUCTIONS EN NOIR DONT 12 HORS TEXTE ET UNE A PLEINE PAGE, AINSI QUE 20 BELLES PLANCHES EN COULEURS, D'UNIFORMES ET PORTRAITS. EDITION ORIGINALE, TIRAGE LIMITE A 1250 EXEMPLAIRES NUMEROTES, CELUI-CI PORTANT LE N° 601, NOMINATIF : "M. A. HOSTELET-DEGAINE, BRASSEUR". (HANOTEAU ET BONNOT. 257 - MENESSIER DE LA LANCE. I. 638). CAMPAGNES DU RHIN, DE LA MOSELLE, DE SAMBRE-ET-MEUSE; DETACHEMENT AUX ARMEES DU NORD, TOULON, PYRENEES ORIENTALES, VENDEE, CAMPAGNES D'ITALIE, ARMEE DE L'OUEST, ST DOMINGUE, CAMPAGNES DE PRUSSE, DE 1809 ET DE RUSSIE, 1813, 1814. COMPLETE PAR UN IMPORTANT INDEX DES NOMS CITES. QUELQUES DEFAUTS EXTERIEURS DONT DOS PALI ET PETITES TRACES DE COUPS, PREMIER CAHIER DEBOITE AVEC PETITE DECHIRURE MARGINALE SANS MANQUE SUR LE FEUILLET DE FAUX-TITRE, SINON BON EXEMPLAIRE.‎

书商的参考编号 : 928

Livre Rare Book

Librairie du Château de Capens
Capens France Francia França France
[Books from Librairie du Château de Capens]

€ 300.00 购买

‎Lepage-Medvey‎

‎National costumes. - Austria, Hungary, Poland, Czechoslovakia.‎

‎anglais In-4 de 20 pp. + 40 pl. h.t.; relié toile à la Bradel de l'éditeur. With a preface by André Varagnac. Superbes lithographies en couleurs sous serpentes légendées. Sans jaquette.‎

‎LEPAPE Georges‎

‎L'Eventail d'or. Eventail et bracelets (pl.10, La Gazette du Bon ton, 1920 n°2)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Mars 1920, 18x24cm, une feuille. - Estampe originale en couleur finement rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine‎

‎LEPAPE Georges‎

‎La Cueillette. Robe en toile à carreaux (pl.42, La Gazette du Bon ton, 1921 n°6)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à dgauche dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de L‎

‎LEPAPE Georges‎

‎Le Futur Père. Petit négligé du matin (pl.31, La Gazette du Bon ton, 1914 n°4)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1914, 19x24,5cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration‎

‎LEPAPE Georges‎

‎Le Futur Père. Petit négligé du matin (pl.31, La Gazette du Bon ton, 1914 n°4)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1914, 19x24,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎LEPAPE Georges‎

‎Les Trois robes neuves (pl.1, La Gazette du Bon ton, 1913 n°8)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Juin1913, 36,5x24cm, une feuille. - Double original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale double en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. L'une des plus belles‎

‎LEPAPE Georges‎

‎Longchamp (I) Elle a gagné ! (pl.4, La Gazette du Bon ton, Eté 1915 n°8-9)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Eté 1915, 36,5x24cm, une feuille. - Double original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe double originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Elle représente des mod‎

‎LEPAPE Georges‎

‎Longchamp (I) ou Elle a gagné ! (La Gazette du Bon ton, n°8-9. Été 1915 - Planche 4 )‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1915, 37,7x24,5cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Robes de Beer, Lanvin, Paquin, Callot‎

‎LEPAPE Georges‎

‎Longchamp (II) ou Elle a perdu ! (La Gazette du Bon ton, n°8-9. Été 1915 - Planche 5 )‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1915, 37,7x24,5cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Robes de Jenny, Beer, Worth, Doeuillet‎

‎LEPAPE Georges‎

‎Longchamp (II) ou Elle a perdu ! (pl.5, La Gazette du Bon ton, Eté 1915 n°8-9)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Eté 1915, 36,5x24cm, une feuille. - Double original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe double originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Elle représente des mod‎

‎LEPAPE Georges‎

‎Voici l'orage ! Robe d'après-midi, de Paul Poiret. (La Gazette du Bon ton, n°6. Année 1920 - Planche 45 )‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de‎

‎LEPAPE Georges‎

‎Voici l'orage ! Robe d'après-midi, de Paul Poiret. (La Gazette du Bon ton, n°6. Année 1920 - Planche 45 )‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille. - Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH DESCRIPTION ON‎

‎Leroi (Emile)‎

‎Cathédrale de Rouen. La Tour de Beurr.‎

‎français Slnd. Eau-forte sur papier Normandy Vellum de format 18,2x7,2 cm, à grandes marges (feuille 25,5x15,8 cm). Très bon état. Signée au crayon dans la marge par l'artiste.‎

‎Leroi (Emile)‎

‎Paris. Abside de Notre Dame.‎

‎français Slnd. Eau-forte sur papier Normandy Vellum de format 18,5x9 cm, à grandes marges (feuille 25,3x14,7 cm). Très bon état. Signée au crayon dans la marge par l'artiste. Gravure encollée sur un papier fort, dont une petite partie est déchirée.‎

‎Leroi (Emile)‎

‎Paris. L'Hôtel de Sens.‎

‎français Slnd. Eau-forte sur papier Normandy Vellum de format 15x10,7 cm, à grandes marges (feuille 25,3x14,9 cm). Très bon état. Signée au crayon dans la marge par l'artiste. Gravure encollée sur un papier fort, dont une petite partie est déchirée.‎

‎LEROY Maurice‎

‎La Poisson d'argent (pl.26, La Gazette du Bon ton, 1920 n°4)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Mai 1920, 18x24cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration d‎

‎LEROY Maurice‎

‎La Poisson d'argent (pl.26, La Gazette du Bon ton, 1920 n°4)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Mai 1920, 18x24cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH DESCRI‎

‎LEROY Maurice‎

‎Le Poisson d'argent (La Gazette du Bon ton, n°4. Année 1920 - Planche 26 )‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19,5x25cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, the signature does not let identify the artist. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, la signature ne permet pas d'identifier l'artiste. Gravure orig‎

‎LEROY Maurice‎

‎Les Neiges. Costume pour les sports d'hiver, en "agnella" de Rodier (pl.65, La Gazette du Bon ton, 1920 n°9)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La G‎

‎LEROY Maurice‎

‎Les Neiges. Costume pour les sports d'hiver, en "agnella" de Rodier (pl.65, La Gazette du Bon ton, 1920 n°9)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH DESCRIPTION‎

‎LEROY Maurice‎

‎Remords. Costume de chasse (pl.41, La Gazette du Bon ton, 1920 n°6)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Juillet 1920, 18x24cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH DES‎

‎LEROY Maurice‎

‎Remords. Costume de chasse (pl.41, La Gazette du Bon ton, 1920 n°6)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris Juillet 1920, 18x24cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH DES‎

‎LES 24 HEURES DU MANS. AUTOMOBILE-CLUB DE L'OUEST. AFFICHE. DELOURMEL (André).‎

‎"24 Heures du Mans : 12 et 13 juin 1971".‎

‎1971 Tirage Offset, Paris, Imprimerie Draeger, 1971, 60 x 40 cm.‎

‎Affiche officielle pour les 24 heures du Mans des 12 et 13 juin 1971 (Motor Race) d'après une photographie de André Delourmel prise lors de la course de 1970 présentant Jacky Ickx pilotant, sous la pluie, la Ferrari 512S. Très légers plis et infimes déchirures.‎

书商的参考编号 : 24521

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Librairie Chrétien
Paris France Francia França France
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€ 300.00 购买

‎LESLIE NIELSON‎

‎AFFICHE DE CINEMA - Y-A-T-IL UN FLIC POUR SAUVER LA REINE? - THE NAKED GUN‎

‎DAVID ZUCKER. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Affiche de cinéma 43cm x 29 cm. Présenté par Paramount.. . . . Classification : 0-Affiches Cinéma‎

‎Musique d'ira Newborn, chef décoration John J. Lloyo, Montage de Michael Jablow, Ecrit par Jerry Zucker, Jim Abrahams, David Zucker. Produit par K. Weiss. Classification : 0-Affiches Cinéma‎

书商的参考编号 : R100000233

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Le-livre.fr / Le Village du Livre
Sablons France Francia França France
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‎LESSIVE. HAY Carl.-‎

‎Affiche pour La Lessive de la Ménagère.-‎

‎Paris. Camis. s.d. Magnifique affiche en couleurs de 122 x 188 cm, représentant des lavandières au bord d'un ruisseau. Traces très légères de plis. Photo sur demande.‎

书商的参考编号 : ORD-16767

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Librairie Les Vieux Ordinaires
Toulon France Francia França France
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€ 1,200.00 购买

‎Lestrille.‎

‎Lestrille. Affiche éditée à l'occasion de l'exposition à la Galerie André Weil du16 au 30 juin 1964.‎

‎Paris à la Galerie 1964 1 Une seule affiche de dimensions 50 x 78 cm; lithographie de Mourlot.‎

‎Coins supérieurs un peu marqués , sinon belle fraîcheur. Voir photo.‎

书商的参考编号 : 15842

Livre Rare Book

Librairie Daniel Sciardet
Allemans du Dropt France Francia França France
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‎LES AFFICHES ROUGES‎

‎LES AFFICHES ROUGES. Reproduction exacte de histoire critique de toutes les affiches ultra-républicaines placardées sur les murs de Paris depuis le 24 Février 1848 avec une préface par un Girondin.‎

‎D. Giraud Et J. Dagneau, Libraires-Editeurs Paris 1851 In-12 ( 185 X 120 mm ) de 320 pages, demi-chagrin rouge, dos à nerfs orné de fleurons dorés. ( Reliure de l'époque ). Rousseurs. Bon exemplaire, rare.‎

书商的参考编号 : 821503

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
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€ 60.00 购买

‎Lestrille.‎

‎Lestrille. Affiche éditée à l'occasion de l'exposition à la Galerie André Weil du16 au 30 juin 1964.‎

‎Une seule affiche de dimensions 50 x 78 cm; lithographie de Mourlot. Coins supérieurs un peu marqués , sinon belle fraîcheur. Voir photo.‎

MareMagnum

Sciardet Daniel
Germany Alemania Alemanha Allemagne
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€ 120.00 购买

‎Lestz, Gerald S.‎

‎ARTISTS' ALBUM / LANCASTER COUNTY. Two Centuries of America's Garden Spot Through the Eyes of Artists.‎

‎n.p. Oblong 4to. Highly illustrated, with many plates in color. Original full cloth binding. Number 372 of an edition limited to only 1200 copies. A great illustrated review of historical images of famed Lancaster County, Pennsylvania - joined with 20th century paintings by a group of twenty-five local artists. A remarkable book. PA 08A.‎

‎Leupin.- Gasser, Manuel:‎

‎Herbert Leupin. Plakate. Posters.‎

‎Zürich u. Frankfurt a. M., Hans Rudolf Hug, 1957. Gross-4°. (11) S. Mit 24 farb., mont. Illustr. u. 1 gef., farb. Poster in Weltformat von Herbert Leupin. Orig.-Heft u. lose Tafeln in farb. illustr. Orig.-Umschlag (hint. Gelenk über 5 cm geplatzt, rechte Umschlagklappe mit 2 x 2 cm Einriss).‎

‎Die Illustrationen zeigen grösstenteils Werbeaufträge, u. a. für Eptinger, Milka, Ford, Pril, Coca Cola, Bata, Agfa, Rössli u. Zirkus Knie. - Textheft mit Klein-Abb. aller Tafeln stärker wasserrandig.‎

书商的参考编号 : 4655BB

Livre Rare Book

EOS Buchantiquariat Benz
CH-8001 Zürich Switzerland Suiza Suíça Suisse
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‎LEUPIN Herbert:‎

‎KNIE. Genève, plaine de Plainpalais.‎

‎Affiche offset 90 x 127,5. Pilée.‎

‎******** Samedi 21 Juin la librairie sera fermée. ********‎

书商的参考编号 : 7769

Livre Rare Book

ILLIBRAIRIE | Bombadil SA
Genève Switzerland Suiza Suíça Suisse
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