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MONTAUT, E.
Affiche originale - Les Dragées d'Hercule, Tournée Frédéric Achard, 150 représentations a Paris.
Manifesto litografico intelato, cm. 140x100. Esemplare con difetti al margine esterno destro.. .
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MONTAUT, Ernest - Gamy
Grand Prix de l’aviation. Henry Farman boucle les 1000 m sur son aeroplane
cm 42x87. colored pochoir print. Litografia colorata con la tecnica del pochoir. La litografia si riferisce probabilmente all’impresa compiuta da Henri Farman (1874-1958) dell’anello o loop di un chilometro, da lui compiuta per primo che gli valse la vittoria al Grand Prix de l’aviation nel 1908.
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MONTAUT, Ernest Gamy
Bleriot traversant la Manche le 25 juillet 1909
cm 45x90. colored pochoir print. Litografia colorata con la tecnica del pochoir. Louis Bleriot (1872-1936) fu il primo ad attraversare la Manica il 25 luglio 1909.
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MONTAUT, Ernest Gamy
Zeppelin
cm 45x89. colored pochoir print. Litografia colorata con la tecnica del pochoir.
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MOON (Sarah) attribuée à
Les Laques Coif Net
Studio Prisunic. ca. 1971. Impression offset. Dim : 740 x 560 mm.
Bookseller reference : 2458
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MOON (Sarah) attribuée à
Les Laques Coif Net
Studio Prisunic. ca. 1971. Impression offset. Dim : 740 x 560 mm.
Bookseller reference : 2458
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Moor Bob de:
Sérigraphie originale en 2 états.
Lausanne, La Marge. Sérigraphie au format 12 x 20 cm. En deux états, soit un essai des passages couleurs et la version définitive, au tirage limité à 200 exemplaires numérotés, la nôtre numéro 95.
Bookseller reference : 6313
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Moore, Henry
Henry Moore. Sculptures et dessins. Galerie Maeght 1983. [Plakat, Offsetdruck / poster, offset print].
o.J. Henry Moore, geboren am 30. Juli 1898 in Castleford, Yorkshire; gestorben am 31. August 1986 in Much Hadham, Hertfordshire.
Bookseller reference : 9802DB
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MORGAN FREEMAN - ASHLEY JUDD
AFFICHE DE CINEMA - LA COLLECTIONNEUR
GARY FLEDER. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Affiche de cinéma 40 x 53 cm.. . . . Classification : 0-Affiches Cinéma
Bookseller reference : R100000409
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MORGAN FREEMAN - ANTHONY HOPKINS - DJIMON HOUNSOU
AFFICHE DE CINEMA - AMISTAD
STEVEN SPIELBERG. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Affiche de cinéma 120 cm x160 cm. Présenté par Dreamwroks Pictures.. . . . Classification : 0-Affiches Cinéma
Bookseller reference : R100000032
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MORGAN FREEMAN - ANTHONY HOPKINS - DJIMON HOUNSOU
AFFICHE DE CINEMA - AMISTAD
STEVEN SPIELBERG. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Affiche de cinema. Pantalon 60 x 155 cm. Présenté par Dreamwroks Pictures.. . . . Classification : 0-Affiches Cinéma
Bookseller reference : R100000031
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MORGAN FREEMAN - ANTHONY HOPKINS - DJIMON HOUNSOU
AFFICHE DE CINEMA - AMISTAD
STEVEN SPIELBERG. Non daté. In-24. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Affiche de cinéma 40 cm x 54 cm.Présenté par Dreamwroks Pictures.. . . . Classification : 0-Affiches Cinéma
Bookseller reference : R100000030
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MOREAU-NÉLATON Étienne.-
Affiche Palais des Beaux-Arts. Exposition Nationale de la Céramique et de tous les Arts du Feu.-
Planche 162 des Maîtres de l'Affiche. Imprimerie Chaix. Vers 1895 - 1900. Lithographie couleurs de 230 x 315 mm, hors marges, dimensions totales 291 x 400 mm. Papier un peu bruni, petit accroc dans le bord supérieur de la feuille, sinon bel exemplaire. Photo sur demande.
Bookseller reference : ORD-18239
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MORVAN Hervé:
Air France. Europe.
Affiche, lithographie 62,5 x 100. Direction artistique Jean Carlu. Imprimerie de Vasselais, Paris.
Bookseller reference : 8058
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MORETTI [Raymond]:
Carnaval, Nice 1970.
Affiche offset au format de 64 x 100.
Bookseller reference : 8137
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Moro, Lino
Chateau de Coppet, Exposition “Grandes heures de lAmitie” Franco-Suisse.12 juillet au 8 octobre 1967. Affiche 49,5x70 cm
Affiche 49,5x70 cm
Bookseller reference : 1760.1aaf
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MORSE Peter
John Sloan's prints. A catalogue raisonné of Etchings, lithographs and poster.
London & New Haven Yale university press 1969 In-4 Catonnage ed. jaquette ill. Edition originale
Bookseller reference : 004619
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Morvan.
Morvan. Affiche éditée à l'occasion de l'exposition à la Galerie de La Lumière, du 12 mars au 10 avril 1965.
Paris à la Galerie 1965 1 Une seule affiche de dimensions 48 x 65 cm; tirage offset, Aussel, Paris.
Bookseller reference : 15859
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MORO, Lino
Oelbilder, Zeichnungen, Galerie 7, Baden.
1976, Blatt 42x61 cm Einzelblatt
Bookseller reference : 1757.1aaf
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Morrens, Paul / Willemse, Hans
Panamarenko Posters
Gent, Uitgeverij Ludion, 2008 Gebonden met omslagwikkel, rijkelijk geillustreerd.(text in Ned. et /French). ISBN 9789055447756.
Bookseller reference : 20642
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MORIYAMA DAIDO (né en 1938)
Shinjuku
2002 affiche La rue, offset 1020x718mm.Publiée en 2002 lors de la sortie du livre éponyme. (102958)
Bookseller reference : 102958
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MORIYAMA DAIDO (né en 1938)
Shinjuku
2002 affiche Le bar, offset 1020x718mm.Publiée en 2002 lors de la sortie du livre éponyme. (102958)
Bookseller reference : 102959
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Morvan.
Morvan. Affiche éditée à l'occasion de l'exposition à la Galerie de La Lumière, du 12 mars au 10 avril 1965.
Une seule affiche de dimensions 48 x 65 cm; tirage offset, Aussel, Paris. Marque de pli en marge gauche, sinon très fraîche. Voir photo.
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Moscoso, Victor
Sex, Rock Optical Illusions: Victor Moscoso, Master of Psychedelic Posters and Comix
A clean, unmarked book with a tight binding. Full red cloth boards with gilt illustration on cover. Edge wear and small tears on dust jacket. 9 1/4"w x 12 1/8"h. 146 pages.
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Mouron Henri
A.M.Cassandre - Affiches, arts graphiques, théâtre.
Schirmer/Mosel. 1991. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 319 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 741.67-Illustrations des affiches
Bookseller reference : R100058759
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MOURON (Henri)
A.M. CASSANDRE. Affiches - Arts graphiques - Théâtre.
Paris Editions d'Art Albert Skira / Art selection 1985 un volume in-4°, 319 pp. Reliure éditeur toilée rouge à la Bradel, plat titré blanc, jaquette illustrée. 390 illustrations dont 90 en couleurs. Remarquable et très complet ouvrage sur le célèbre affichiste et peintre CASSANDRE écrit par son propre fils.
Bookseller reference : 022197
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MOURON (Henri)
Cassandre. Affiches, arts graphiques, théâtre.
Paris Skira 1985 In-4 (28 x 25 cm.) 317 pp. reliure toilée rouge, jaquette illustrée. 390 illustrations dont 90 en couleurs.
Bookseller reference : 2585
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Mouvement du 22 mars.
Chez Renault, à Flins, les CRS ont envahi l'usine. Les grévistes demandent de l'aide.
Nanterre Mouvement du 22 mars 1968 1 vol. en feuilles Court tract dactylographié sur papier rose, signé du Mouvement du 22 mars et appelant à la manifestation à prêter main forte aux ouvriers grévistes de l'usine de Flins. Un peu froissé.
Bookseller reference : 93122
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Mouvement du 22 mars.
Chez Renault, à Flins, les CRS ont envahi l'usine. Les grévistes demandent de l'aide.
Nanterre Mouvement du 22 mars 1968 1 vol. en feuilles Court tract dactylographié sur papier rose, signé du Mouvement du 22 mars et appelant à la manifestation à prêter main forte aux ouvriers grévistes de l'usine de Flins. Un peu froissé.
Bookseller reference : 93122
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MOUSE & KELLEY (Stanley & Alton)
GRATEFUL DEAD
Sans mention d'éditeur. ca.1995. Dim: 710 x 560 mm. Signatures originales.
Bookseller reference : 2932
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MOUSE & KELLEY (Stanley & Alton)
GRATEFUL DEAD
Sans mention d'éditeur. ca.1995. Dim: 710 x 560 mm. Signatures originales.
Bookseller reference : 2932
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Moulin.
Moulin. Affiche éditée à l'occasion de l'exposition à la Galerie Visconti du 11 mars au 30 mars 1966.
Paris à la Galerie 1966 1 Une seule affiche de dimensions 50 x 64 cm; tirage offset imprimerie Mazarine, Paris.
Bookseller reference : 15861
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Moulin.
Moulin. Affiche éditée à l'occasion de l'exposition à la Galerie Visconti du 11 mars au 30 mars 1966.
Une seule affiche de dimensions 50 x 64 cm; tirage offset imprimerie Mazarine, Paris. Un angle légèrement marqué; sinon belle fraîcheur. Voir photo
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MOURGUE Pierre
Chez Perugia ou Le Bottier à la mode (pl.34, La Gazette du Bon ton, 1924 n°7)
- Lucien Vogel éditeur, Paris 1924, 18x24cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustrat
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MOURGUE Pierre
Eveil. Robe d'après-midi, garnie de ruban (pl.2, La Gazette du Bon ton, 1921 n°1)
- Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustrat
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MOURGUE Pierre
La Promenade au Palais-Royal. Redingote "Directoire" (pl.18, La Gazette du Bon ton, 1921 n°3)
- Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. - Original color print heightened with palladium, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la pla
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MOURGUE Pierre
La Promenade au Palais-Royal. Redingote "Directoire" (pl.18, La Gazette du Bon ton, 1921 n°3)
- Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. - Estampe originale en couleur rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
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MOURGUE Pierre
La Visite à l'Ermitage. Cape en ruban (pl.49, La Gazette du Bon ton, 1921 n°7)
- Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. - Original color print, printed on vergé paper, signed in the plate. An original print used to illustrate the Gazette du bon ton, one of the most attractive and influential 20th century fashion magazines, featuring the talents of French artists and other contributors from the burgeoning Art Deco movement. A celebrated fashion magazine established in 1912 by Lucien Vogel, La Gazette du bon ton appeared until 1925, with a hiatus from 1915 to 1920 due to the war (the editor-in-chief having been called up for service). It consisted of 69 issues printed in only 2,000 copies each and notably illustrated with 573 color plates and 148 sketches of the models of the great designers. Right from the start, this sumptuous publication "was aimed at bibliophiles and fashionable society," (Françoise Tétart-Vittu, "La Gazette du bon ton", in Dictionnaire de la mode, 2016) and was printed on fine vergé paper using a type cut specially for the magazine by Georges Peignot, known as Cochin, later used (in 1946) by Christian Dior. The prints were made using stencils, heightened in colors, some highlighted in gold or palladium. The story began in 1912, when Lucien Vogel, a man of the world involved in fashion (he had already been part of the fashion magazine Femina) decided, with his wife Cosette de Brunhoff - the sister of Jean, creator of Babar - to set up the Gazette du bon ton, subtitled at the time: "Art, fashion, frivolities." Georges Charensol noted the reasoning of the editor-in-chief: "'In 1910,' he observed, 'there was no really artistic fashion magazine, nothing representative of the spirit of the time. My dream was therefore to make a luxury magazine with truly modern artists...I was assured of success, because when it comes to fashion, no country on earth can compete with France.'" ("Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel" in Les Nouvelles littéraires, no. 133, May 1925). The magazine was immediately successful, not only in France but also in the United States and Latin America. At first, Vogel put together a team of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt, as well as eventually his friends from school and the School of Fine Arts, like George Barbier, Bernard Boutet de Monvel and Charles Martin. Other talented people soon came flocking to join the team: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Chalres Martin, Maggie Salcedo. These artist, mostly unknown when Lucien Vogel sought them out, later became emblematic and sought-after artistic figures. It was also they who worked on the advertising drawings for the Gazette. The plates put the spotlight on, and celebrate, dresses by seven designers of the age: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provided exclusive models for each issue. Nonetheless, some of the illustrations are not based on real models, but simply on the illustrator's conception of the fashion of the day. The Gazette du bon ton was an important step in the history of fashion. Combining aesthetic demands with the physical whole, it brought together - for the first time - the great talents of the artistic, literary, and fashion worlds; and imposed, through this alchemy, a completely new image of women: slender, independent and daring, which was shared by the new generation of designers, including Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas, and so on... Taken over in 1920 by Condé Montrose Nast, the Gazette du bon ton was an important influence on the new layout and aesthetics of that "little dying paper" that Nast had bought a few years earlier: Vogue. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des pl
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MOURGUE Pierre
La Visite à l'Ermitage. Cape en ruban (pl.49, La Gazette du Bon ton, 1921 n°7)
- Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MUCHA Alfons
"Salomé" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juin 1897), sujet : 23,5x33cm, planche : 40,8x55cm, une feuille. - "Salomé" - Original lithograph on China paper - L'Estampe Moderne L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois for C H Masson & H Piazza | Paris (june 1897) | subject: 23.5 x 33 cm, plate: 40.8 x 55 cm | one leaf and one guard Rare original black and white lithograph by Alphonse Mucha for L'Estampe Moderne, series number 2, published in June 1897. One of the 50 grand luxe proofs printed on China paper with wide margins, signed and dated by the artist in the plate. Embossed stamp of the publisher showing a child in profile to lower margin, laid down on a leaf of vélin paper with the numbered stamp of the tirage de luxe to verso, occasional spotting to margins not touching image, blank guard. A magnificent monthly French publication that appeared between May 1897 and April 1899, L'Estampe moderne comprised unpublished chromolithographs that, unlike those in other magazines like Les Maîtres de l'Affiche and as is stipulated on the guard sheets, were specially made by each artist for the magazine. There are thus 100 prints that appeared in total, covering the major artistic currents of the late 19th Century: Symbolism, Art Nouveau, the Pre-Raphaelites, Orientalists and the Belle époque. Each fascicule of four prints was printed in 2,000 copies and sold for 3.50F, with 100 on Japan paper sold at 10F. Henri Piazza also planned a very luxurious secret printing of 50 copies on Japan paper with wide margins and 50 in black and white on China paper at the considerable price of 30F. This well-sized print is superbly printed in colors on the most prestigious of papers: Japan. Thick, creamy, satin and with a nice sheen, it contributes to making each page a work of art in itself. Its absorptive qualities for ink and its affinity for colors make it the ideal support for these lovely lithographs. The interest of French collectors for artistic posters grew from the beginning of the 1890s. Octave Uzanne invented a term for this growing interest: affichomanie, or poster mania. The poster, originally not rare and posted up in the streets of the capital, thus became a work of art and its ephemeral background became precious and essential for conservation. Piazza decided to extract the poster from its advertising role and to elevate it to a form of art, similarly to luxury illustrated artists' books. He thus put together a prestigious collection of entirely original works by the most fashionable European artists of the age: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. He also included in this project a Czech artist freshly arrived in Paris, Alfonse Mucha "who has only recently become active in France but who has immediately carved out for himself the affection of the public. Like in his posters, which everyone knows and covets, he shows us here the varied resources of his multifaceted talents as accomplished draughstman, decorator and colorist" (from the notes printed on the guard for Salomé). The two first special numbers of the review were in fact dedicated to him, and were given to "all the subscribers for all twelve annual numbers of L'Estampe moderne" as well as the famous illustration of the covers. A fine signed plate by the master of Art nouveau. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Rare lithographie originale exécutée par Alphons Mucha pour L'Estampe Moderne, série numéro 2 publiée en juin 1897. Une des 50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tam
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MUCHA Alfons
"Salomé" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris s.d. (Juin 1897), sujet : 23,5x33cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente. - "Salomé" - Original lithograph on Japan paper - L'Estampe Moderne L'Estampe Moderne | Imprimerie Champenois for C. H. Masson & H. Piazza | Paris [june 1897] | subject: 23.5 x 33 cm | plate: 40.8 x 55 cm | one leaf and one guard Rare color lithograph heightened in gold by Alphonse Mucha for L'Estampe Moderne, series number 2, published in June 1897. One of 50 grand luxe proofs printed on Japan paper with wide margins, signed by the artist in the stone, publisher's embossed stamp showing a child in profile to lower margin, numbered stamp of the de luxe printing to verso, upper margin of proof slightly sunned; the print itself preceded by a silk paper guard with the name of the artist, the title of the work and an introduction to the work as well as a blank guard leaf. A magnificent monthly French publication that appeared between May 1897 and April 1899, L'Estampe moderne comprised unpublished chromolithographs that, unlike those in other magazines like Les Maîtres de l'Affiche and as is stipulated on the guard sheets, were specially made by each artist for the magazine. There are thus 100 prints that appeared in total, covering the major artistic currents of the late 19th Century: Symbolism, Art Nouveau, the Pre-Raphaelites, Orientalists and the Belle époque. Each fascicule of four prints was printed in 2,000 copies and sold for 3.50F, with 100 on Japan paper sold at 10F. Henri Piazza also planned a very luxurious secret printing of 50 copies on Japan paper with wide margins and 50 in black and white on China paper at the considerable price of 30F. This well-sized print is superbly printed in colors on the most prestigious of papers: Japan. Thick, creamy, satin and with a nice sheen, it contributes to making each page a work of art in itself. Its absorptive qualities for ink and its affinity for colors make it the ideal support for these lovely lithographs. The interest of French collectors for artistic posters grew from the beginning of the 1890s. Octave Uzanne invented a term for this growing interest: affichomanie, or poster mania. The poster, originally not rare and posted up in the streets of the capital, thus became a work of art and its ephemeral background became precious and essential for conservation. Piazza decided to extract the poster from its advertising role and to elevate it to a form of art, similarly to luxury illustrated artists' books. He thus put together a prestigious collection of entirely original works by the most fashionable European artists of the age: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. He also included in this project a Czech artist freshly arrived in Paris, Alfonse Mucha "who has only recently become active in France but who has immediately carved out for himself the affection of the public. Like in his posters, which everyone knows and covets, he shows us here the varied resources of his multifaceted talents as accomplished draughstman, decorator and colorist" (from the notes printed on the guard for Salomé). The two first special numbers of the review were in fact dedicated to him, and were given to "all the subscribers for all twelve annual numbers of L'Estampe moderne" as well as the famous illustration of the covers. A fine signed plate by the master of Art nouveau. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Rare lithographie originale en couleurs réhaussée à l'or, exécutée par Alphons Mucha pour L'Estampe Moderne, série numéro 2 publiée en juin 1897. Une des 50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'é
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MUCHA Alfons
Couverture de L'Estampe Moderne n°1 mai 1897
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris Mai 1897, 41x56cm, une feuille. - Estampe originale en noir et blanc à très grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche et numéro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha « qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste. » (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne » ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MUCHA Alfons
Couverture de L'Estampe Moderne n°10 février 1898
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris Février 1898, 41x56cm, une feuille. - Cover of L'Estampe Moderne n°10 February 1898 L'Estampe Moderne | Imprimerie Champenois for C. H. Masson & H. Piazza | Paris February 1898 | 41 x 56 cm | one leaf Original print in black and white with large margins, serving as the cover for the famous monthly publication Estampe Moderne. Entirely printed in black and white, our print is the cover of the rare collation in large-margin luxury print of the first year of publication. Artist's signature on the board and number of the tirage de luxe added in pencil. A magnificent monthly French publication that appeared between May 1897 and April 1899, L'Estampe moderne comprised unpublished chromolithographs that, unlike those in other magazines like Les Maîtres de l'Affiche and as is stipulated on the guard sheets, were specially made by each artist for the magazine. There are thus 100 prints that appeared in total, covering the major artistic currents of the late 19th Century: Symbolism, Art Nouveau, the Pre-Raphaelites, Orientalists and the Belle époque. Each fascicule of four prints was printed in 2,000 copies and sold for 3.50F, with 100 on Japan paper sold at 10F. Henri Piazza also planned a very luxurious secret printing of 50 copies on Japan paper with wide margins and 50 in black and white on China paper at the considerable price of 30F. This well-sized print is superbly printed in colors on the most prestigious of papers: Japan. Thick, creamy, satin and with a nice sheen, it contributes to making each page a work of art in itself. Its absorptive qualities for ink and its affinity for colors make it the ideal support for these lovely lithographs. The interest of French collectors for artistic posters grew from the beginning of the 1890s. Octave Uzanne invented a term for this growing interest: affichomanie, or poster mania. The poster, originally not rare and posted up in the streets of the capital, thus became a work of art and its ephemeral background became precious and essential for conservation. Piazza decided to extract the poster from its advertising role and to elevate it to a form of art, similarly to luxury illustrated artists' books. He thus put together a prestigious collection of entirely original works by the most fashionable European artists of the age: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. He also included in this project a Czech artist freshly arrived in Paris, Alfonse Mucha "who has only recently become active in France but who has immediately carved out for himself the affection of the public. Like in his posters, which everyone knows and covets, he shows us here the varied resources of his multifaceted talents as accomplished draughstman, decorator and colorist" (from the notes printed on the guard for Salomé). The two first special numbers of the review were in fact dedicated to him, and were given to "all the subscribers for all twelve annual numbers of L'Estampe moderne" as well as the famous illustration of the covers. A very beautiful copy. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche et numéro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur
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MUCHA Alfons
Couverture de L'Estampe Moderne n°11 mars 1898
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris Mars 1898, 41x56cm, une feuille. - Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche et numéro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha « qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste. » (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne » ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MUCHA Alfons
Couverture de L'Estampe Moderne n°12 avril 1898
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris Avril 1898, 41x56cm, une feuille. - Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche et numéro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha « qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste. » (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne » ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MUCHA Alfons
Couverture de L'Estampe Moderne n°13 mai 1898
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris Mai 1898, 41x56cm, une feuille. - Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche et numéro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha « qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste. » (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne » ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MUCHA Alfons
Couverture de L'Estampe Moderne n°15 juillet 1898
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris Juillet 1898, 41x56cm, une feuille. - Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche et numéro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha « qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste. » (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne » ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MUCHA Alfons
Couverture de L'Estampe Moderne n°17 septembre 1898
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris Septembre 1898, 41x56cm, une feuille. - Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche et numéro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha « qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste. » (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne » ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MUCHA Alfons
Couverture de L'Estampe Moderne n°18 octobre 1898
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris Octobre 1898, 41x56cm, une feuille. - Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche et numéro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha « qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste. » (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne » ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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MUCHA Alfons
Couverture de L'Estampe Moderne n°19 novembre 1898
- L'Estampe Moderne, Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris Novembre 1898, 41x56cm, une feuille. - Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche et numéro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle : Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe : 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'« affichomanie ». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment : Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha « qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste. » (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne » ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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