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‎Grandville - Desperet. Talleyrand‎

‎LE TRIAGE POPULAIRE…Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎1833 Planche noire n° 305 du journal La Caricature n°146 du 22 aout 1833,pli vertical central,Lithographie. 220 x 275. Vic. col. 71. bon état,plis en coins‎

‎Triage politique. Le Peuple passant le gouvernement au tamis... Beaucoup ne passent pas. Lithographie de Grandville et Desperret parue dans la Caricature . Talleyrand est de dos dans la brouette. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Jean- Ignace-Isidore Gerard dit GRANDVILLE‎

‎GRANDS EXERCICES.Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎1833 Planche noire n° 293 du journal La Caricature n°141 du 18 juillet 1833,pli vertical central,Lithographie. 220 x 275. Vic. col. 71. bon état,plis en coins‎

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‎BOUQUET‎

‎SANS TITRE.Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche coloriée n° 317 du journal La Caricature n°152 du 3 octobre 1833,pli vertical central,Lithographie. 220 x 275. . bon état,plis en coins‎

‎Auguste Bouquet, né à Abbeville (Somme) le 13 septembre 1810, et mort prématurément à Lucques (Italie) le 21 décembre 1846. Peintre, lithographe, graveur et caricaturiste français, Bouquet fait ses études à l'École des beaux-arts de Paris. Élève d' Ary Scheffer, il s'oriente sous l'influence du maître vers l'art nazaréen. Il réalise de nombreuses lithographies de caricatures pour les journaux L'Artiste, La Caricature (1831-1834), Le Charivari (1832-1833), Le Triboulet (1843), ainsi que pour l'ouvrage de Jules Janin Deburau, l'histoire du théâtre à quatre sous (1832).Collaborateur et ami de Philippon, Honoré Daumier et Grandville, Auguste Bouquet fait partie de cette génération de caricaturistes courageux qui osèrent défier la censure, et dont la cible privilégiée était Louis-Philippe. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎FER - Attribué à Ferogio, François-Fortuné-Antoine (Marseille, 02–04–1805 - Paris, en 1888)‎

‎OBELISQUE DE LUXE - NEZ Pyramide nasicale du juste milieu.Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Planche coloriée n° 311 du journal La Caricature n°149 du 12 septembre 1833,pli horizontal,Lithographie. 220 x 275. . bon état,plis en coins‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 12 septembre 1833 (Planche n°311)Marques, inscriptions, poinçons:Inscription - Titre en bas au centre : « Obélisque de Luxe-nez » ; légende plus bas au centre : « Pyramide nasicale du juste milieu. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°149. », en ht à dte : « Pl. 311. »Inscription - Dans la lettre : « chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « F. F. » [François-Fortuné-Antoine Ferogio, dessinateur ?]Description iconographique:Sur la place de la Concorde, dont on aperçoit les chevaux de Marly, ainsi que le palais des Tuileries à l’arrière-plan, est érigé un obélisque « pour faire pendant au grand obélisque de Luxor » (in explication). En 1831, le vice-roi d'Égypte, Méhémet Ali, offrit à la France les deux obélisques qui marquent alors l'entrée du Temple de Louxor à Thèbes. Seul le premier d'entre eux fut transporté vers la France et arriva à Paris le 21 décembre 1833. La pl. se saisit de cette actualité pour créer l’image d’un obélisque revu et corrigé à la lumière du contexte politique de l’époque. Il s’agit du nez de d’Argout qui est pris pour cible et qui constitue l’obélisque. Le reste du visage du ministre constitue la base du monument, lequel porte à son faîte une petite poire à figure humaine. Il est gravé de hiéroglyphes, lesquels « résumeraient les faits principaux du régime-citoyen » (in explication) de ht en bas : un essaim de petites poires en chérubins, un coq gaulois, une poignée de mains surmontant une inscription illisible en partie (sont seulement lisibles les 3e et 4e lignes : « PONT D’ARCOLE » // « ETAT DE SIEGE »), une représentation de la chambre des députés surmontée d’une inscription (« CHAMBRE [ ?] »), une forteresse entourée de l’inscription « PAIX A TOUT PRIX » et deux canons se faisant face autour d’un tas de boulets de canons, censés évoquer les emprisonnement (« EMBASTILLEMENT »). Plus bas, une représentation de la charte en deux volets, entourée du visage de Louis-Philippe en poire et de Marie-Amélie. Puis suivent deux petits pistolets « philantropes [philanthropes] » (in explication), un chapeau haut de forme décoré de la cocarde tricolore. Une seringue à clystère et un parapluie entrecroisés, deux sacs d’écus, une clé, des insignes de la légion d’honneur, des sergents de ville, et enfin deux hommes portant la main sur le sommet d’une poire portée par des canards. « On sait que dans la langue hiéroglyphique, la poire est le symbole de l’astuce, et le canard celui de la duperie » (in explication). Le monument est entouré d’une barrière dont les pilones sont en forme de sacs d’argent. L’obélisque rassemble ainsi une grande partie des symboles satiriques rencontrés dans "La Caricature" afin de dénoncer les travers du régime de Juillet.Personne / Personnage représenté:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Françaisportrait charge, Louis-Philippe, ministre, obélisque Description: Obélisque faisant office de nez à un visage. Référence à l'obélisque de Louxor érigé sur la place de la Concorde en 1836 sous la Monarchie de Juillet. Au sommet de l'obélisque, le pyramidon doré est remplacé par une tête en forme de poire, caricature de Louis-Philippe. Fait référence à Victor de Persigny Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Talleyrand - attribué à Eugène Poitevin sous le pseudonyme W. B. (William Blake)‎

‎Scéne diabolique.Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎Caricature de Eugène Poitevin sous le pseudonyme W. B. (William Blake) parue dans le journal la Caricature N° 107 du 22 novembre 1832. Talleyrand est sous les traits de Méphistophélès et tend les Évangiles à Satan Louis Philippe. A gauche, la haute société se réjouit ; à droite le peuple apprécie beaucoup moins la représentation.‎

‎Titre en bas au centre : « Scène diabolique. » ; légende plus bas au centre : « Les diables nous parodient : ils font une chambre des députés et une chambre des pairs, ils jurent comme nous, ils // tiennent leurs sermens [serments] comme nous, Satan fait le monarque ; Mephistophélès fait l’évêque, l’ambassadeur, l’apostat, // et le protocoliseur. La foule siffle ou applaudit………….. c’est comme chez nous ! » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°107) », en ht à dte : « Pl. 220. »Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « .W. B. » [attribution : Eugène-Modeste-Edmond Le Poittevin, lithographe ?] - Sur le haut de la page de dte de l’ouvrage présenté par Talleyrand : « EVAN […] [EVANGILE] »Sur une estrade recouverte d’un tapis, à gche, un évêque (Talleyrand, « le prince des protocoles, l’évêque ambassadeur » in explication) est assis, tenant l’Evangile ouvert. Des cornes sortent de sa mitre. Il s’agit de Méphistophélès. Vers la dte, le roi Louis-Philippe, sous l’apparence d’un diable, les bras tendus, lance des incantations vers le livre. Il a le nez crochu, le ventre bedonnant, un manteau d’hermine, et des cornes sortent de sa couronne. Deux types de réaction sont visibles parmi les hommes représentés à l’arrière-plan observant la scène du premier plan : ceux de gche, représentant l’aristocratie, se réjouissent et rient, tandis que les gens du peuple à dte ont l’air inquiet.Personnage représenté:Cruciani, François; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Talleyrand - Grandville , dessinateur-lithographe - Desperet ou Desperret, Auguste , dessinateur-lithographe‎

‎Le temps l'amène. Patience ! patience !. Lithographie double parue dans le N° 177 du journal la Caricature du 27 mars 1834.‎

‎1834 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 27 mars 1834 (Planche n°372-373) -Hauteur: 35.5cm Largeur: 52.5cm - Dimensions - Image Hauteur: 22cm - Largeur: 40.5cm‎

‎Titre en bas au centre : « LE TEMPS L’AMÈNE, PATIENCE, PATIENCE ! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°177. », en ht à dte : « Pl. 372. 373. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur], « L. de Benard. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « JJ. Grand.. A. Desp… » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Auguste Desperet, lithographe]Inscription - Sur le sac d’écus : « 10000 ». Sur la colonne, on repère le motif de la poire à visage humain et le motif du parapluie du roi-citoyen.Description iconographique:La composition se compose de deux parties. A gauche, le Temps, sous la figure d’un vieillard à barbe et longs cheveux blancs, muni d’une grande paire d’ailes, portant une faux et une hotte contenant des couronnes et un sceptre à fleur de lys (reliques des monarchies déchues). Dans sa main dte, son attribut principal, c’est-à-dire un sablier. Il marche aux côtés de la figure de la liberté, représentée sous la forme d’une femme robuste vêtue d’une robe et portant un bonnet phrygien décoré de la cocarde tricolore. Elle est désignée dans l’explication par l’expression « la sainte immortelle ». Elle porte un grand étendard sur lequel se lisent les mots « LIBERTÉ ! » deux fois. Sous son bras droit, elle porte la table des « DROITS // DU PEUPLE ». Au devant de ces deux personnages vient une femme, qui s’adresse à eux. Il s’agit de l’incarnation de la « PRESSE », femme brune amaigrie, portant une robe noire. Son bras droit est en écharpe et son bras gche garde trace d’un emprisonnement (chaîne). Elle a disposé devant elle les raisons des maux qu’elle subit de la part du gouvernement : une paire de ciseaux symbolisant la censure, un dossier portant l’inscription « CENSURE // DE LA // POLICE », une plume d’écrivain à laquelle est accroché un cadenas au bout d’une chaîne, un « RAPPORT // CONTRE LES // ASSOCIATI […] [ASSOCIATIONS] », des « JUGEMENS [JUGEMENTS] // SANS JURY // CONDAMNAT […] [CONDAMNATIONS] ». Cette figure de la presse désigne au Temps et à la Liberté la scène qui se déroule dans son dos, à gche de la composition, au second plan. Sur une plaine, entre deux colonnes (l’une portant la sculpture d’un gros sac d’écus, l’autre la statue d’un homme représentant peut-être Lobau, étant donné que la forme du fût de la colonne s’apparente à une seringue à clystère), un dais, surmonté d’une énorme couronne (dont la forme s’apparente à une poire) à fleurs de lys abrite un roi à tête de perroquet. Il s’agit de Louis-Philippe (fréquemment représenté sous forme de perroquet à en raison de sa propension à parler sempiternellement de ses exploits militaires lors des combats révolutionnaires de Jemmapes et Valmy en 1792) entouré de ses trois fils. Il porte un sceptre à fleur de lys. Une ronde d’hommes évolue autour de la statue portant le sac d’écus (« cette farandole d’improstitués, dansant autour du veau d’or » in explication). Des courtisans sont agenouillés devant le roi sur son trône. Devant, des gardes procèdent à des arrestations. Un assommeur poursuit un homme de sa batte. Enfin, la figure du journal Le Constitutionnel (à ses pieds se trouve une feuille sur laquelle on peut lire « CONSTITUTI »), coiffé de son bonnet de coton blanc, regarde le ciel à travers une longue-vue. L’explication précise qu’il s’écrie « de sa voix éraillée : « L’horizon se rembrunit. » ». C’est l’arrivée imminente de la liberté qui entraîne un changement de climat météorologique et, par conséquent, provoque l’inquiétude du Constitutionnel qui alerte aussitôt les membres du gouvernement. Au loin, à l’arrière-plan, deux forteresses, sans doute les prisons dans lesquelles le gouvernement enferme les opposants au régime, ce que dénonce vivement la pl. Par cette composition, la pl. dénonce la censure que le gouvernement fait subir à la presse par le biais d’amendes et d’arrestations. Elle dénonce également le régime de répression qui soupçonne et a trop facilement recours à la violence et à l’emprisonnement. Elle annonce la venue prochaine de la liberté qui libérera la presse, et plus largement les Français, du joug de la censure et de la répression. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph - Talleyrand‎

‎Gard à vous blagueurs ! Portez armes !. Lithographie‎

‎Lithographie parue dans le N° 202 du journal la Caricature du 18 septembre 1834.‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎BOUQUET TALLEYRAND‎

‎En verité! En verité ! Je vous le dit il en est un parmi vous qui me trahira...Lithographie‎

‎La Cène. Lithographie parue dans le N° 81 du journal la Caricature du 17 mai 1832. Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 17 mai 1832 (Planche n°163)‎

‎Titre en bas au centre : « En vérité, en vérité, je vous le dis, il en est un parmi vous qui me trahira……….. » ; légende plus bas à dte : « Dernier soupé [souper] de la liberté avec ses apôtres // Le 29 Juillet 1830. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal.) // (N°81) », en ht à dte : « Pl. 163. » Dans la lettre : « Raphaël pinxit », « A.B. délineavit. » [Auguste Bouquet, dessinateur], « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « chez Aubert Eeur du Jal la caricature, galerie véro dodat. » [éditeur]Parodie de la Cène de Léonard de Vinci à l’église Santa Maria delle Grazie (1494-1498 ; Milan). Au centre, à la place de Jésus se trouve la figure de la liberté coiffée du bonnet phrygien. Les ministres remplacent les apôtres : de gche à dte, on peut y reconnaître Lameth ou Royer-Collard (1er), Lobau (3ème), d’Argout (4ème), Thiers (5ème)… Louis-Philippe, incarnant Judas, se trouve de l’autre côté de la table, au premier plan à dte. Détournement de la dernière cène pour mettre en lumière la trahison de la République par Louis-Philippe. Le titre est tiré de l’Evangile selon saint Jean. Sur un thème similaire, cf. pl. 185 (numéro 91) et pl. 198 (numéro 97).Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Mouton, Georges, comte de Lobau; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baronAuguste Bouquet, né à Abbeville (Somme) le 13 septembre 1810, et mort prématurément à Lucques (Italie) le 21 décembre 1846. Peintre, lithographe, graveur et caricaturiste français, Bouquet fait ses études à l'École des beaux-arts de Paris. Élève d' Ary Scheffer, il s'oriente sous l'influence du maître vers l'art nazaréen. Il réalise de nombreuses lithographies de caricatures pour les journaux L'Artiste, La Caricature (1831-1834), Le Charivari (1832-1833), Le Triboulet (1843), ainsi que pour l'ouvrage de Jules Janin Deburau, l'histoire du théâtre à quatre sous (1832).Collaborateur et ami de Philippon, Honoré Daumier et Grandville, Auguste Bouquet fait partie de cette génération de caricaturistes courageux qui osèrent défier la censure, et dont la cible privilégiée était Louis-Philippe. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎WATTIER - TALLEYRAND‎

‎Salmigondi politique. Lithographie‎

‎Lithographie parue dans le N° 114 du journal la Caricature du 10 janvier 1833.‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) (Roquevaire, 01–06–1811 - Alger, 14–01–1847), dessinateur lithographe - TALLEYRAND‎

‎Hop!.…………. hop ! ……………… hop !!!! - Lithographie parue dans le N° 191 du journal la Caricature du 3 juillet 1834.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 3 juillet 1834 (Planche n°400)Inscription - Titre en bas au centre : « hop !…………. hop ! ……………… hop !!!! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°191. », en ht à dte : « Pl. 400. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur] ; dans l’image, sur le socle à gche, signature : « BenjAMIN [le N est écrit en sens inverse] » [Benjamin Roubaud, dessinateur] - Sur le socle, un graffiti représentant une tête piriforme‎

‎Sur la piste d’un cirque, Louis-Philippe (vu de dos mais reconnaissable aux favoris et au toupet) bondit de son cheval et passe à travers un cercle de papier représentant la « CHARTE // constitutionn […] [constitutionnelle] » tenu par deux personnages. Il s’agit de Talleyrand, à gche, juché sur un petit socle, incarnant la diplomatie, et de Persil en habit de magistrat, à dte, au milieu du public, de l’autre côté d’une palissade. Il incarne la « jugerie » (in explication), c'est-à-dire le ministère de la justice. Parmi les spectateurs, on peut reconnaître Lobau à gche, portant un bicorne, et Viennet derrière lui. Dans la partie de dte : Bugeaud, Fruchard, ainsi qu’Odier et Jollivet derrière eux. Enfin d’Argout se trouve à l’extrême dte. Les autres sont plus difficilement identifiables. L’explication précise la signification des attributs du roi : « (…) avec le rifflard qui représente la prudence, les culottes rapiécées qui représentent l’économie, et le faux toupet qui représente la maturité, vigoureuse encore et virile ». De plus, à gche au premier plan gît à terre un chapeau haut de forme décoré de la cocarde tricolore. A dte, enfin, un cosaque excite le cheval, un fouet à la main. Il représente « l’indépendance nationale » (in explication). La pl. ironise sur l’immense dépendance de la France de Louis-Philippe vis-à-vis de la Russie dans les affaires diplomatiques. D’après la presse d’opposition, le roi des Français va dans le sens des décisions prises par la Sainte-Alliance afin de ne pas la contrarier et risquer un incident. La pl. se propose de mettre en image une phrase extraite d’un numéro récent du Journal des débats : « On verra bientôt que le système sait surmonter toutes les difficultés, traverser tous les obstacles et briser toutes les résistances ». Le roi est ainsi présenté comme un acrobate, un pantin obéissant aux exigences de la Russie, quitte à renier les principes fondamentaux de la Charte constitutionnelle française.Personnage représenté:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Viennet, Jean Pons Guillaume; Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Mouton, Georges, comte de Lobau; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Jollivet, Adolphe; Bugeaud, Thomas-RobertCaricature of the liberalized Charter of 1830 which lifted censorship of the press and increased the electorate to double its previous size. Talleyrand is portrayed as a circus master in a long frock-coat standing on a pedestal in an arena, holding up a hoop with a paper screen marked ‘Charte Constitutionelle’ with the aid of a lawyer from the side of the audience: at a command, Louis-Philippe has jumped through the hoop from the back of a galloping horse to the applause of the audience, still clutching his umbrella. Talleyrand’s orthopaedic boot is here shown correctly on his right foot. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎TALLEYRAND Philipon, Charles , auteur du modèle - Grandville , dessinateur - Desperet ou Desperret, Auguste (en 1865), dessinateur-lithographe‎

‎A ceux que ces présentes verront, salut!. Lithographie parue dans le N° 194 du journal la Caricature du 24 juillet 1834. Planche n°406-407‎

‎1834 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 24 juillet 1834 -Planche double n°406-407 ,taches dans la planche - Titre en bas au centre : « A ceux qui ces présentes verront, Salut ! » ; légende plus bas au centre : « En commémoration des journées révolutionnaires de 1830, les révolutionnaires de 1834 figureront sur des échafauds dressés par notre noble Cour des Pairs // et toutes nos cours Royales du Royaume. // (Octroyé en notre Château de la Caricature, ce 24 Juillet 1834.) »- Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, rue du Bouloy, 19 » [imprimeur], « Signé : Charles. Philip… » [Charles Philipon, auteur du modèle] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « G. D » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Auguste Desperet, lithographe]‎

‎I - A l’arrière-plan à gauche, une représentation de la prison du « MONT // St // MICHEL ». Derrière le groupe de visiteurs à dte, un poteau auquel est accroché un fer. Une pancarte indique qu’il s’agit du « CARCAN // POUR // LES HEROS // DES 3 JOURS » : il s’agit donc du sort réservé aux combattants révolutionnaires de Juillet 1830. Par terre, devant l’établi, un copeau de bois portant l’inscription « accusa […] [accusation] »Le titre de la pl. est une citation de la phrase par laquelle une autorité (roi ou administration) apostrophe le lecteur et l’engage à lire la suite (on la trouve par exemple dans les ordonnances royales annonçant des décisions politiques ou des nouvelles destinées à être rendues publiques). C’est donc à la parodie d’une ordonnance royale que se livre le titre de la pl. La légende annonce les dispositions prises par le gouvernement à l’occasion de la commémoration du 4e anniversaire des journées révolutionnaires des 27, 28 et 29 juillet 1830. Figurant dans ce numéro du 31 juillet 1834, la pl. dénonce le manque de moyens mis en œuvre par le gouvernement pour fêter cet anniversaire, et montre que pour toute commémoration, il ne propose qu’une multiplication croissante des mesures de répression dirigées contre les républicains. C’est une mise en image de cette répression que la pl. propose, sous forme de saynètes dans une même image. Au premier plan en bas à gche, se trouve un vieil homme assis. Il s’appuie sur un tonneau et à terre, à côté de lui, se trouvent des plats et des seringues à clystère ( ?). Devant lui passe un vieil homme s’appuyant sur une béquille pour marcher. Il porte sur l’épaule un tronçon de bois à l’extrêmité duquel pend une menotte de prison. Il porte un chapeau haut de forme orné d’un médaillon décoré d’une fleur de lys. Son chien, incarnant Dupin, marchant à ses côtés, porte dans sa gueule un panier contenant des armes. Il semble donc s’agir du baron Pasquier qui, bien que vieillissant et mal portant, participe à l’effort engagé par le gouvernement pour réprimer les opposants au régime. Derrière eux au second plan discutent deux gardes nationaux. Au premier plan à dte : d’Argout actionne un vilebrequin. Un homme dort à côté de lui. Autour d’un établi s’affairent deux hommes. Ils fabriquent des pièces à conviction, puisque contre le plan de travail reposent des planches de bois assemblées portant la mention « JONCTION DES // PIECES DU // GRRRAN […] [GRAND] COMPLOT ». Les deux hommes sont alors peut-être Martin du Nord et Pasquier ?). D’autres planches assemblées reposent par terre et portent la mention « PIECES // JOINTES // AU // PROCES ». Derrière eux, à l’arrière-plan, un groupe d’hommes composé de Persil faisant la visite du chantier à Louis-Philippe vu de dos (mais reconnaissable à sa stature, son chapeau haut de forme et ses favoris), accompagné de deux gendarmes. Le chantier dont il est question est celui de la construction d’une guillotine sur une estrade. Trois personnages sont occupés à construire la guillotine, tandis qu’un quatrième consolide l’estrade, et qu’un cinquième monte sur une échelle (qui sont ces personnages ?). La pl. dénonce les arrestations et condamnations, par les pairs, des révolutionnaires d’avril 1834, condamnations jugées très sévères. La pl. établit alors un parallèle ironique entre juillet 1830, moment de toutes les espérances, et juillet 1834, moment des procès des insurgés d’avril.Personnage représenté:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Persil, Jean-Charles Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville et Desperret - TALLEYRAND‎

‎Très humbles et très dévoués gardes nationaux passés en revue par leurs très hautes, très puissantes et très colossales majestés.‎

‎1833 Lithographie de Grandville et Desperret parue dans le N° 159 du journal la Caricature du 21 novembre 1833. planche double n°332,pli central,qques rousseurs en marge‎

‎Le pied-bot du trône de Don Carlos est une allusion à Talleyrand.- Francois Prince von Joinville (1818-1900), Ferdinand Philippe Herzog von Orleans (1810-1842), Louis-Philippe und Leopold I. von Belgien (1790-1865) sitzen auf Sesseln und beobachten das von Marschall Georges Mouton de Lobau (1770-1838) vorgeführte Marionetten-Theater. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎La mort-aux-rats politiques. Lithographie par Charles-Joseph TRAVIES‎

‎Lithographie originale par Charles-Joseph TRAVIES, 335 × 225, marges 340 × 265 , belle epreuve publiee le 4 decembre 1834,n° 445, plis , petite usure au niveau du pli central horizontal,tache claire en marge.‎

‎Le jeune marchand de mort- aux-rats a deja tue quelques rongeurs : Soult, Persil, Louis- Philippe et Thiers. Les produits mortels sont vendus par La Caricature et le Charivari. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Jean-Ignace-Isidore Gerard dit GRANDVILLE‎

‎Le pouvoir use les hommes. Lithographie par Jean-Ignace-Isidore Gerard dit GRANDVILLE‎

‎1832 Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 9 août 1832 (Planche n°187) Lithographie par Jean-Ignace-Isidore Gerard dit GRANDVILLE, 250 × 305, marges 275 × 355 , petits manques dans les marges,tache en marge. Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image: Hauteur: 22cm - Titre en bas au centre : « Le pouvoir use les hommes. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°92 », en ht à dte : « Pl. 187. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, sur un pavé en bas à gche, signature : « JJ. Grand » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur]Inscription - Sur les feuilles de papiers situées sous les figurines à terre, noms lois ou de ministères : « Loi // DU DIVORCE », « TRAVEAU [TRAVAUX] PUBLIC » sous d’Argout, « CHARIVARISE // DE [ ?] », « SCEAUX // JUSTICE » (sous Barthe).Description iconographique:Cf. explication de la pl. p. 734. Complément d’explication p. 758 du numéro 95. Le pouvoir est représenté par la figure de Louis-Philippe, vu de dos, en rémouleur de personnages, figures miniatures de ministres. Celui qu’il est en train de passer à la meule des épaulettes, pièces d’or et décorations, semble être Dupin aîné. Les autres, déjà passés à la meule, gisent à terre : Soult sous le genou gche du roi, d’Argout, qui appuie sa tête sur le corps de Soult, Lobau (avec une seringue à clystère se dressant à côté de lui) et Barthe, situé sous le banc. Les autres personnages à terre sont plus difficilement identifiables (peut-être Montalivet, dont le dos repose sur les jambes de d’Argout ?). Au second plan, des ministres, parmi lesquels on reconnaît Athalin à gche, descendent les marches du Palais Bourbon et transportent des caisses remplies d’autres petites figures (militaires, députés) que le pouvoir pourra passer sous meule. La manivelle permettant le fonctionnement de la meule est actionnée par un personnage souriant, portant un bonnet dont la pointe est pourvue de plumes et de grelots : sans doute s’agit-il de la personnification du journal "La Caricature", sous les traits de Charles Philipon. La pl. dénonce l’avidité avec laquelle sont enclins les ministres à recevoir des distinctions honorifiques, avidité qu’a bien comprise le roi qui se sert de cette faiblesse. La pl. présente les ministres comme de petits pantins sans volonté que le roi manipule sans difficulté en leur promettant des privilèges.baron‎

‎Devant le Palais-Bourbon, le Pouvoir, personnfie par Louis-Philippe assiste de la Caricature (Philippon), est en train de passer Dupin a la meule, a la « poudre a user » et a celle des epaulettes, des sacs d’or et des decorations. Il a deja use de cette facon Soult [...] Lobau et Barthe ainsi que d’autres ministres qui gisent a terre. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎TRAVIES - Talleyrand‎

‎Le festin de Balthazar. Lithographie originale.‎

‎Lithographie parue dans le N° 181 du journal la Caricature du 24 avril 1834.,pl.double en noir 380-381,grandes marges,tirage bien noir,pli vertical,bon état .‎

‎TRAVIES né à Wulffling, canton de Zurich (Suisse) Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎MON BEAU PERE - Lithographie par Charles-Joseph TRAVIES‎

‎Lithographie parue dans le N° 196 du journal la Caricature du 7 aout 1834.,bon état‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎HERCULE VAINQUEUR - Lithographie originale par Charles-Joseph TRAVIES‎

‎1967 Lithographie parue dans le N° 182 du journal la Caricature du 1 mai 1834.,planche double 382/383 - bon état‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎GRANVILLE / FOREST‎

‎Le divorce d’harpagon et de la liberté - Lithographie originale.- La Caricature (morale, religieuse, littéraire et scénique),journal fondé et dirigé par Ch.Philipon,Seconde année,tome Troisieme,N° 67,9 fevrier 1832‎

‎1832 Paris, Aubert,Galerie Vero-Dodat,1832,IN FOLIO broche,couverture imprimée illustree,textes de BALZAC sous divers pseudonymes,paginé 531 a 537 manquants,rare tables des matieres textes,soit 4 pages et gravures sur blanc volantes,Seconde année,tome Troisieme, GRANVILLE /FOREST N°135- le divorce d’harpagon et de la liberté‎

‎bon etat, planche en lithographie originale en noir et couverture imprimée illustree,tres rare,bon etat,lot separable, indiqué uniquement pour prouver l'authenticité des lithographies. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎LE JUSTE MILIEU SE CROTTE - lithographie originale coloriée‎

‎Planche 144 de La Caricature N° 71.La Caricature, 8 mars 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. coloriée sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune -‎

‎Titre en bas au centre : « Le juste milieu se crotte. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) / (N°71.) », en ht à dte : « Pl. 144 »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie vero dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « C.J. Traviès. » [Charles-Joseph Traviès]Description iconographique:Lors d’un carnaval, deux hommes transportent, sur leur épaule, un bâton au milieu duquel une grosse poire est accrochée par le sommet. Il s’agit d’une incarnation du juste-milieu, c'est-à-dire de la politique menée par la monarchie de Juillet. Les deux transporteurs sont vêtus en costumes de carnaval. A gche, Périer, porte l’habit et le chapeau de Pierrot, et à dte, Louis-Philippe est travesti en Arlequin. Son visage est caché au spectateur car la tête est tournée vers l’arrière de la scène, mais il est reconnaissable aux favoris et à la forte corpulence. Ils pataugent dans la boue d’un égoût, et leurs vêtements, surtout celui du Pierrot, en sont maculés en partie inf. Un enfant du peuple, débraillé, poursuit les deux hommes et semble leur crier quelque chose, certainement une moquerie. Périer se retourne à peine et affiche un air inquiet et honteux, voire triste. Enfin, à l’arrière-plan se trouvent des silhouettes d’hommes portant des chapeaux haut de forme. Par le biais de cette pl., La Caricature se moque de la capacité qu’a le régime de juillet à se salir dans toutes les affaires auxquelles il participe. L’explication évoque les affaires étrangères de la Pologne, de la Belgique et de la Russie desquelles la France n’est pas sortie glorieuse, mais au contraire, couverte de honte et d’opprobre. Le peuple, voyant passer dans la ville ce cortège à travers les rues de Paris, se demanda ce que pouvait être cette masse transportée et, « ayant remarqué la boue qui la couvrait, on pensa que ce devait être le juste-milieu » (in explication). Ainsi c’est la saleté couvrant la forme qui permet de reconnaître en cette dernière l’incarnation du juste-milieu.Personne / Personnage représenté:Périer, Casimir; Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎AH! Scelerate de poire pourquoi n’es tu pas une vérité !. - lithographie originale coloriée‎

‎Planche 153 de La Caricature N° 76.La Caricature, 12 avril 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. coloriée sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune -‎

‎Titre en bas au centre : « Ah ! scélérate de poire pourquoi n’es tu pas une vérité ! » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) / N°76. », en ht à dte : « Pl. 153. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie Véro Dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche : « CJ. Traviès. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Description iconographique:Un homme, Mayeux, en redingote, de profil, tient une poire de sa main gche et s’apprête à couper cette dernière de sa main dte tenant un couteau. Au second plan, une chaise ainsi qu’une table portant une bouteille de vin, un verre et une assiette avec une autre poire. Il s’agit d’une allusion parodique aux propos tenus par Louis-Philippe en août 1830 : « La Charte sera désormais une vérité ». Mayeux s’insurge contre les atteintes à la liberté de la presse, et se venge sur une poire. La poire étant devenu l’attribut caricatural privilégié du roi des Français, la menacer de la sorte constitue une véritable incitation au régicide.Personne / Personnage représenté:Mayeux (personnage littéraire); Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎Que droles de tetes. - lithographie originale coloriée‎

‎Planche 138 de La Caricature N° 68.La Caricature, 16 fevrier 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. coloriée sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune -‎

‎Titre en bas au centre : « Qué drôles de têtes !! » ; légende plus bas au centre : « Se vend chez l’éditeur à Ste Pélagie. / (Section Politique.) » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) / (N°68) », en ht à dte : « Pl. 138. »- Dans la lettre : « Lith. de Delaporte. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » ; attribution : Charles-Joseph Traviès, dessinateur ? iconographie:Au premier plan, figuration de deux hommes, vus de trois quarts à dte. Ils sont représentés en train de marcher, se dirigeant vers la dte de la composition. Le premier, un homme ventripotent, en pantalon et redingote, tenant dans sa main gche un chapeau haut de forme orné de la cocarde tricolore. Sa tête n’est pas humaine mais est remplacée par une poire. Il s’agit du roi Louis-Philippe. Le second homme prend appui sur le bras du premier. Il s’agit de son fils aîné, le duc d’Orléans, en habit militaire. Sa tête, à lui non plus, n’est pas humaine, mais est remplacée par une courge ou un concombre. A l’arrière-plan, une foule de personnes regardant passer ces deux hommes étranges. On distingue un cavalier à dte. A gche, une femme et un enfant se détachent de la masse informe de la foule. L’enfant pointe du doigt les deux créatures hybrides. La poire est l’attribut caricatural fréquemment utilisé par La Caricature pour désigner le roi des Français. Un cucurbitacée se trouve également souvent associé au duc d’Orléans. Le remplacement de la tête, siège de la pensée, par un végétal, sert à mettre en lumière la bêtise des deux personnages. Sans doute l’idée de cette pl. vient-elle de Charles Philipon, au vu de la légende, celle-ci précisant le lieu de vente de la pl., c'est-à-dire la prison de Sainte-Pélagie, dans laquelle est alors enfermé le directeur de La Caricature depuis le 12 janvier 1832, condamné pour outrages à la personne du roi (à cause de la publication de la pl. 70 du numéro 35 ; 30 juin 1831). Cette pl. résonne alors comme une vengeance.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎DIEU DE DIEU (CORNEBLEU) GENERAL ! lithographie originale‎

‎1748 Planche 174 de La Caricature N° 87.La Caricature, 5 juillet 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎QUEL SAUT,quels sots - lithographie originale‎

‎1748 Planche 175 de La Caricature N° 87.La Caricature, 5 juillet 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎LEVEZ LE SIEGE polissons !.. lithographie originale‎

‎1748 Planche 176 de La Caricature N° 87.La Caricature, 5 juillet 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare‎

‎Titre en bas au centre : « Levez le siège, polissons ! .... » ; indications, en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°87. », en ht à dte : « Pl. 176. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte : « C.J.T. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Inscription - Le personnage de dte porte un chapeau pointu avec les dates des Trois Glorieuses (« 27 // 28 // 29 »)Description iconographique:La pl. montre, de gche à dte : Montalivet, d’Argout (monté sur un balai en guise de cheval), Soult (deux derniers personnages non identifiés) sous leurs traits d’adultes mais avec une taille d’enfants, jouant à la guerre, dans la salle du Conseil. Ils sont surpris par deux magistrats qui prononcent : « Levez le siège, polissons !.... ». Cette phrase est une allusion à l’état de siège qui fut décidé pour Paris par le Conseil des ministres le 6 juin 1832, à la suite de la grande insurrection républicaine (qui se déroula à Paris au début du mois de juin 1832), violemment réprimée par le gouvernement. Cette déclaration de l’état de siège, mesure exceptionnelle, permettait au gouvernement de faire passer les meneurs républicains devant le conseil de guerre, beaucoup plus sévère que les jurys d’assise. L’adoption de cette mesure est ici jugée inadmissible par La Caricature. La pl. dénonce ce qu’elle considère être l’irresponsabilité des ministres. Une autre interprétation peut être proposée : la pl. pourrait mettre les ministres dans la peau des révolutionnaires de 1789. « Les petits drôles jouaient à la Terreur. Moi, je ferai Robespierre ; toi, tu seras un Saint-Just… Mais pour jouer ces rôles, il fallait d’autres têtes et d’autres bras ! » (in explication)Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? lithographie originale‎

‎1788 Planche 178 de La Caricature N° 88.La Caricature, 12 juillet 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare Un homme assis, jambes croisés, un peigne coincé dans les cheveux, regarde en faisant la moue la perruque que lui apporte un autre homme.‎

‎Titre en bas au centre : « Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°88.) », en ht à dte : « Pl. 178. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. De Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Charles-Joseph Traviès, dessinateur?Description iconographique:La table des matières du 4e vol. de La Caricature apporte un complément au titre : « La vieille perruque d’Harpagon ». Athalin, debout à dte, de profil, présente une perruque, comprenant un toupet et des favoris (coiffure de Louis-Philippe) à un perruquier, lequel, assis, les jambes croisées, esquisse une moue perplexe. La pl. se moque de la coiffure du roi, et montre qu’elle est déjà démodée puisque le coiffeur n’en veut pas. Elle pointe également le doigt sur l’avarice du roi, surnommé Harpagon, protagoniste cupide de la pièce de Molière L’Avare. Il serait donc même prêt à vendre sa perruque.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎AH! DOCTEUR lithographie originale‎

‎1849 Planche 184 de La Caricature N° 91.La Caricature, 2 aout 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎La fête a été magnifique et l’allégresse universelle- lithographie originale‎

‎1959 Planche 195 de La Caricature N° 95.La Caricature, 30 aout 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare‎

‎Titre en bas au centre : « La fête a été magnifique // et l’allégresse universelle. » ; légende plus bas à dte : « (Moniteur) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°95 », en ht à dte : « Pl. 195. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche de l’image sup., signature : « CJ. Traviès » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Deux images superposées. L’image au niveau sup. représente une fête donnée par Louis-Philippe, présent au centre de la composition, de dos. Autour de lui, la foule des courtisans. On y reconnaît, entre autres, d’Argout à gche, et Soult à l’extrême gche. A dte prennent place des convives buvant. L’un se précipite sur une boisson avec frénésie. L’image au niveau inf. montre de nombreux détenus entassés dans une prison souterraine et sombre. Contraste saisissant entre les deux scènes. Traviès dénonce ici les conditions déplorables de détention dans les prisons, en particulier celles de Sainte-Pélagie et de la Force. La révolte face à cette situation au sein de "La Caricature" est d’autant plus grande que Daumier venait de se faire emprisonner (à cause de la pl. représentant Louis-Philippe en Gargantua, laquelle a fortement déplu au gouvernement). L’explication propose de mettre en regard l’extrait d’un article du Moniteur évoquant la réception royale, et un texte évoquant les conditions déplorables réservées aux prisonniers (Ricart Farat mort en prison, Raspail et Bonias déplacés de prison en prison…). La décence aurait réclamé davantage de sobriété de la part du Moniteur décrivant la fête royale, eu égard aux conditions indignes des prisonniers. Et surtout, elle aurait désiré ne pas lire que l’allégresse avait été « universelle », puisque de nombreux prisonniers, eux, au même moment, croupissent en prison.Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎1834, [estampe] -Lithographie originale sur Velin blanc.pl.289‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 4 juillet 1833 (Planche n°289)‎

‎Titre en bas au centre : « 1834 » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°139. », en ht à dte : « Pl. 289. »La table des matières du 6e vol. de La Caricature apporte un complément au titre : « 1834 : un trône populaire entouré de sergens [sergents] de ville ». Au milieu d’une place parisienne, Louis-Philippe, de dos, est assis sur un coffre posé en hauteur sur un piédestal. Il est reconnaissable à son haut toupet et à sa forte corpulence. Il tient des clés dans la main gche (sûrement les clés du coffre ou encore des clés des prisons). Le trône est défendu par une ronde de sergents de ville, armes au poing. Certains dégagent une grande agressivité. Derrière les immeubles d’habitation se devinent les forts dont la construction autour de Paris fut voulue par le gouvernement. La pl. dénonce l’attitude de défense du gouvernement, qui confine à l’agressivité, et qui passe par une politique répressive forte. Une statue d’homme nu, juché sur un haut socle, semble observer la scène avec dépit.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Voici Messieurs, ce que nous avons l’honneur d’exposer journellement -Lithographie originale en noir sur Velin blanc.pl.double‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 27 février 1834 (Planche n°366-367) - Titre en bas au centre : « Voici Messieurs, ce que nous avons l’honneur d’exposer journellement. » ; légende plus bas au centre : « Si vous êtes contens [contents] et satisfaits faites en part à vos amis et connaissances, On ne paye qu’en s’abonnant et il faudrait vraiment ne pas avoir 13 f dans sa poche // pour se priver de voir cette magnifique collection qui fait tous les jours l’amusement du Roi et de son Auguste famille. // zin, zin, zin, baound ! bound ! baound ! baound ! » ;‎

‎Description iconographique:Sur le mur du fond sont accrochées des œuvres dans une exposition. Les œuvres, qui sont des lithographies, présentent toutes des variations autour du visage caricaturé de Louis-Philippe. Ces visages prennent la forme générale de la poire, mais ne sont pas des poires à proprement parler : elles sont composées de divers éléments. C’est le fou de La Caricature, à gche au premier plan, qui présente les œuvres aux visiteurs situés au centre et à dte de la composition. Il s’adresse à eux et au lecteur de La Caricature en prononçant les phrases contenues dans le titre de la pl. Il s’agit en réalité de l’intérieur du magasin d’Aubert, l’éditeur du journal, qui présente, en temps normal, des feuilles à sa vitrine. Ici, la pl. imagine la tenue d’une exposition exceptionnelle. Les pl. représentent, de gche à dte et de ht en bas, la tête de Louis-Philippe : faite avec des rochers ; faite avec des hommes posés les uns sur les autres ; représentant un blason entouré de deux ours ; la forme du corps d’un homme recroquevillé prend la forme du visage de Louis-Philippe ; une flamme ?; des sacs et tonneaux ? ; une pomme de terre ?; un homme vu de dos et portant un chapeau ; une marmite surmontée d’une poire, posée sur un trépied ; une montagne ; un bouquet de fleurs ; une poire ; une maison ; un pain de sucre ?... Les visiteurs de cette exposition, vus de dos ou de profil, sont des représentations de Louis-Philippe, figuré en citoyen (redingote, parapluie), en paysan (sabots, chapeau de paille à cocarde tricolore), en pêcheur (canne à pêche, pipe), en fou (bonnet de coton)… Il semble également que le duc d’Orléans soit présent (le plus mince, mais portant les favoris et le toupet de son père). Une seule figure se retourne vers le spectateur : un homme du peuple que le spectacle de cette exposition semble beaucoup amuser.La pl. se propose d’être une réponse à la justice inquiétant régulièrement les parutions de La Caricature : « Oui, c’est principalement pour l’instruction des jugeurs que la Caricature fait cette exhibition ; quand les accusateurs la réquisitorieront, quand les jugeurs l’interrogeront, elle leur dira, son livret d’exposition à la main : (…) » (in explication). Mais elle se ravise à la fin en supposant que ces hommes ne pourront pas comprendre, et que seuls les souscripteurs à "La Caricature" en seront capables. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎Quel Rêve ! - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.pl.double‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 26 juin 1834 (Planche n°398-399)-Hauteur: 35.5cm -Largeur: 52.4cm Titre en bas au centre : « Quel Rêve ! » ; légende plus bas au centre : « …..il disait que des prisonniers, sans défense, des blessés, des mutilés, de enfans [enfants] avaient été assassinés………il disait qu’on avait même fusillé un // demi-cadavre flottant dans la rivière……….il disait : vous arrosez l’arbre de la discorde avec des flots de sang, vous le fumez // de chair humaine…….. mais c’était un rêve, une erreur, un mensonge, ils l’ont condamné comme Calomniateur……… Calomniateur !!! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature, (Journal), N°190. », en ht à dte : « Pl. 398 et 399. »Dans la lettre : « Au Bureau, chez Aubert, pass : Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « T. »référence à François Gervais « de Caen » (1803-1867), membre de la Société des Amis du Peuple. Il reprocha au gouvernement une série de violences dirigées contre les Français lors des insurrections d’avril 1834 (voir la légende de la pl.). La réponse de la police et de ses témoins est reproduite dans l’explication : « C’est un rêve, une erreur, un mensonge. M. Gervais est un calomniateur ». C’est Gisquet qui attaqua Gervais en justice, suite à une lettre que ce dernier avait envoyée au journal Le Messager. Gisquet en parle dans ses Mémoires : « Durant l’instruction du procès par la Cour des pairs, il survint plusieurs événemens [sic] et quelques incidens [sic] qui me semblent mériter une mention particulière. Tandis que la garde nationale, la troupe de ligne, les gardes municipaux et les sergens [sic] de ville, amenaient au dépôt de la Préfecture tous les individus arrêtés le 14 avril, un sieur Gervais de Caen se trouvait enfermé dans cette prison. Cédant au besoin de dénigrer l’administration et de faire parler de lui, il écrivit au journal Le Messager une lettre fort longue, pour dénoncer les traitemens [sic] affreux dont les agens [sic] de police accablaient les prisonniers. Il déclarait avoir vu assommer des malheureux sans défense ; il avait vu, disait-il, des mares de sang dans les cours de la Préfecture ; il décrivait les scènes d’horreur, les massacres consommés sous ses yeux (…) Je ne sais si M. Gervais de Caen avait le délire, ou si quelque mauvais songe lui faisait croire à la réalité des actes barbares dont il voulait bien être le délateur, mais je sais que sa lettre me parut contenir le délit de diffamation le mieux caractérisé ; je portai plainte contre lui, et le 12 juin M. Gervais de Caen parut devant le jury (…) ». Lors de son procès le 12 juin 1834, Gervais fut finalement condamné à un mois de prison et 2000 francs d’amende pour avoir calomnié les agents de police. La pl. se propose de mettre en image les propos tenus par Gervais : au centre, des policiers piétinent ou enfoncent leurs épées dans des corps de citoyens amoncelés sous un arbre. Au second plan à dte, des policiers battent des hommes déjà mourants dans une charrette. A l’arrière-plan à dte, des policiers pourchassent des citoyens afin de les attraper et les battre. Au fond se détache le bâtiment de la Bourse. L’arbre de discorde inventé par Gervais est mis en image au centre. Ses fruits sont des poires. Enfin, encadrant la composition, deux policiers arrosent de futurs arbres du même type avec des arrosoirs remplis du sang des citoyens français. Ce sont des poires que ces arbres donnent également.‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

‎Très-haut, très-puissant, très-excellent, moutard royal, / Très-bas, très-vils, très-misérables fonctionnaires amovibles… - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 28 août 1834 (Planche n°418)Titre en bas au centre : « Très-haut, très-puissant, très-excellent, moutard royal, // Très-bas, très-vils, très-misérables fonctionnaires amovibles…. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°200. », en ht à dte : « Pl. 418. »- Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « C. J Traviès. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur] - Sur une borne, au premier plan à gche, l’indication du lieu : « ROUTE DE // BREST »Dans la campagne brestoise, à proximité d’un village dont on aperçoit une maison et une église à l’arrière-plan à dte, trois hommes se tiennent à genoux devant un enfant monté sur un cheval. Il s’agit de trois Brestois rendant hommage à François-Ferdinand d’Orléans, prince de Joinville, venu en visite à Brest. L’un d’eux lui présente les clés de la ville sur un plat d’argent, un autre lève les bras en le regardant les yeux remplis d’admiration, tandis que le troisième a posé son chapeau à terre et est à plat ventre devant lui, face contre sol. Au second plan, on distingue un enfant tenant dans ses mains son chapeau décoré de la cocarde tricolore. Il semble ébahi par la venue du prince car sa bouche est grande ouverte. La pl. exagère à dessein le côté puéril du prince en le représentant tel un très jeune enfant, alors qu’il a 16 ans en 1834. Ses jambes, trop petites, n’atteignent pas les étriers, et il est obligé d’avoir recours à des bottes de taille adulte pour y parvenir. Il suce son index tel un bébé, et transporte avec lui des jouets (une casserole et une maquette de bateau), accrochés à l’arrière-train du cheval. Le prince de Joinville s’était notamment rendu à Brest afin d’y passer des examens (il faisait des études de marine ; une ancre marine est d’ailleurs représentée sur le caparaçon du cheval). La pl. tourne en dérision de l’accueil réservé au prince de Joinville, reçu tel un grand monarque, et plus largement, ridiculise l’accueil réservé aux très jeunes princes. L’explication établit un parallèle entre cette pl., représentant d’après elle une « scène d’Auguste-Moutardolâtrie » et une phrase de Félicité Robert de Lamennais : « J’ai vu dans un berceau un enfant criant et bavant, et autour de lui étaient des vieillards qui lui disaient : Seigneur ! et qui, s’aguenouillant [s’agenouillant], l’adoraient ; et alors j’ai compris toute la misère de l’homme. » (Paroles d’un croyant, G. Rouiller, 1833, p. 35). Les hommages rendus à un jeune homme n’ayant encore rien accompli mais ayant uniquement le prestige de sa naissance sont jugés risibles. Sur le même sujet, cf. pl. 93 (numéro 46, 15 septembre 1831).Personnage représenté:Orléans, François Ferdinand Philippe d', prince de Joinville‎

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‎Auguste Bouquet,BOUQUET TALLEYRAND‎

‎LE FESTIN DE BALTHASAR -- Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 4 avril 1833 (Planche 261)La caricature, no. 126, plate 261 ( 4,avril 1833).LE FESTIN DE BALTHASAR. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°126. », en ht à dte : « Pl. 261. »Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue furstemberg N°6. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]‎

‎Dans la salle d’un palais, un festin est donné. Celui-ci rassemble autour d’une grande table le roi et les membres du gouvernement. C’est le coq gaulois qui est le plat principal de ce repas. Une grosse poire est également posée à proximité. Louis-Philippe, au centre de la table, vu de dos, se penche en arrière, ébloui par ce qu’il voit apparaître en hauteur, à gche. Les autres convives, effrayés, quittent leur place et se précipitent hors de la pièce. Les chaises sont renversées. Le tumulte règne. Parmi les invités, sont identifiables Soult, au premier plan, tombé à la renverse, d’Argout, juste derrière, tombant d’une chaise et protégeant son grand nez. Dupin semble pousser les convives vers l’extérieur en agitant ses souliers en l’air. A côté de lui se trouve Barthe. Enfin, Thiers est à plat ventre et se fait enjamber par les fuyards. Ce qui effraie les convives, c’est une inscription lumineuse qui apparaît dans le coin gche de la composition : « 27. 28. 29. », qui sont les dates des Trois Glorieuses de la révolution de juillet 1830. L’idée de l’apparition d’une inscription en lettres lumineuses sur un mur lors d’un repas est une référence au festin de Balthazar (narré dans Le Livre de Daniel), lors duquel une « inscription sur le mur » apparut, présage de destin malheureux pour le roi Balthazar puni de balsphèmes. C’est donc un avenir douloureux que semble prédire "La Caricature" au gouvernement de Juillet. Rappelant aux ministres les dates de la révolution de juillet, elle leur annonce un funeste destin, pour les punir du bafouement des valeurs de la république. Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Barthe, Félix; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baronAuguste Bouquet, né à Abbeville (Somme) le 13 septembre 1810, et mort prématurément à Lucques (Italie) le 21 décembre 1846. Peintre, lithographe, graveur et caricaturiste français, Bouquet fait ses études à l'École des beaux-arts de Paris. Élève d' Ary Scheffer, il s'oriente sous l'influence du maître vers l'art nazaréen. Il réalise de nombreuses lithographies de caricatures pour les journaux L'Artiste, La Caricature (1831-1834), Le Charivari (1832-1833), Le Triboulet (1843), ainsi que pour l'ouvrage de Jules Janin Deburau, l'histoire du théâtre à quatre sous (1832).Collaborateur et ami de Philippon, Honoré Daumier et Grandville, Auguste Bouquet fait partie de cette génération de caricaturistes courageux qui osèrent défier la censure, et dont la cible privilégiée était Louis-Philippe. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Philipon, Charles (Lyon, 19–04–1800 - Paris, 25–01–1862), dessinateur-lithographe‎

‎Les armes / du roi et du peuple.Lithographie Coloriée‎

‎1832 Planche numérotée 162 publiée dans le journal La caricature N°81, le 1er août 1832 - Lithographie, Colorié - Hauteur: 27.8c-Largeur: 36.3cm‎

‎parue pour regler une amende - censure Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Philipon, Charles (Lyon, 19–04–1800 - Paris, 25–01–1862), dessinateur-lithographe - Desperet ou Desperret, Auguste, dessinateur-lithographe -TALLEYRAND‎

‎Les feuilles [filles] publiques / et leurs souteneurs.Planche numérotée 315-316 publiée dans le journal La caricature N°151, 28 septembre 1833 -‎

‎Planche double en noir ,numérotée 315-316 publiée dans le journal La caricature N°151, 28 septembre 1833 -Hauteur: 28.9cm x Largeur: 46.5cm‎

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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847) - Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès)‎

‎Les feuilles publiques (Suite) et leurs souteneurs - Lithographie parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 10 octobre 1833 (n°320 et 321)‎

‎1833 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique (Titre de l'ensemble) = LES FeuILLES PUBLIQUES et leurs souteneurs. Lithographie par Jean- Ignace-Isidore Gerard dit GRANDVILLE et Charles-Joseph TRAVIES, 260 × 465, marges 350 × 550 (Villa 13.235),pl 315/316 , publiee le 26 septembre 1833, pli central, quelques piqures.Inscription - Titre en bas au centre : « LES FEUILLES PUBLIQUES (Suite) // et leurs souteneurs. » ; légendes en bas, de gche à dte : "La Gazette et son Vicomte. », « La France Nouvelle et son rédacteur. », « La Débats et son préfet. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°153. », en ht à dte : « Pl. 320 et 321. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur]Description iconographique:Pl. n°3 et 4 de la série des "Feuilles publiques". Cf. pl. n°1 et 2 (pl. 315-316 du numéro 151).Dans le titre, jeu de mots entre « filles » et « feuilles » grâce à une différence de taille des lettres. Les journaux défenseurs du gouvernement sont alors assimilés à des prostituées peu avenantes, vieilles et défraîchies. A gche, la « GAZET […] [GAZETTE] // DE // FRAN […] [FRANCE] », journal légitimiste, incarné par une vieille prostituée grande et mince, portant une paire de lunettes. Elle tient dans la main gche une couronne. A son bras se tient un jeune homme pourvu d’un long cou. Il s’agit de la personnification de la « Jeunesse dorée » (in explication). Il tient une canne dont le pommeau est la tête de Chateaubriand, lequel est allé rendre visite à la famille royale à Prague de début septembre à début octobre 1833. Et justement, derrière eux, un panneau de bois indiquant le chemin pour la « ROUTE // DE PRAGUE ». Prague est la ville où émigra Henri V avec sa famille en 1832. La pl. met donc en scène les deux personnages sur le point de faire le pèlerinage pour cette ville. Au centre, le journal « FRANCE // NOUVELLE », incarné par une prostituée à l’embonpoint marqué. Elle porte un collier fait de croix de la légion d’honneur et une robe portant des motifs de poires. Elle porte une boucle d’oreille en forme de poire. Son tablier prend la forme d’un exemplaire de journal avec le titre de la revue et les lignes d’un article, illisibles. Louis-Philippe, qui finance ce journal et l’alimente d’informations, se tient face à la prostituée et porte sa main sous son menton. Il lui donne un billet portant l’inscription « article // communiqué ». Vu de dos, il porte une redingote, un bonnet et une plume sur l’oreille. Derrière eux se détache la silhouette de ce qui semble être la boutique du roi, assimilé à un écrivain public fournissant des articles au journal (« PEPIN (PHILIPPE) // ECRIVAIN // PUBLIQUE [PUBLIC] »). Une affiche est placardée sur le côté de l’échoppe, portant l’inscription « DEUX // ANNÉES DE // Regne [Règne] ». A dte, la prostituée du « JOURNAL // DES // DÉBATS », dont la versatilité et l’opportunisme politique sont dénoncés à travers les inscriptions sur le papier accroché à la robe : « VIVE LE // ROÂ !! », « VIVENT // les // Bourbon […] [Bourbons] », « VIVE // L’Emp […] [Empereur] ». La robe est décorée d’un aigle bicéphal et de la date d’instauration de la « […] ESTAURAT […] [RESTAURATION] » : « 1815 ». Son chapeau porte la cocarde tricolore et un médaillon orné d’une fleur de lys. Elle donne le bras à un préfet (Gisquet ?) ventripotent, qui met la main dte dans son veston. Sa redingote porte des distinctions honorifiques. Derrière eux, un canapé portant des motifs évocateurs de la monarchie de Juillet : une seringue à clystère, une toque de magistrat, une poire à face humaine, et plusieurs autres petites poires. Les accoudoirs sont sculptés de têtes humaines. On peut notamment reconnaître Soult.‎

‎A gauche, Louis-Philippe et le journal Le Moniteur (dont le vetement est decore d’aigles, de eurs de lys et de poires) ; au centre, Le Figaro avec M. de la Cour (mouchard ou policier) ; le Constitutionnel a droite, avec un naif a qui il fait voir des etoiles en plein midi. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847)‎

‎Règne animal.(1) :« CABINET D’HISTOIRE NATURELLE. »- Lithographie, Coloriée - Pl. 265, 266.-Hand-coloured lithograph,‎

‎1833 Planche HT double parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, (Journal) N°128.volume 5, 18 avril 1833 (Planches n°265 et 266)- Hauteur: 35.8cm x Largeur: 52cm - Dimensions - Image : Hauteur: 22.5cm x Largeur: 40cmTitre en ht au centre : « RÈGNE ANIMAL. » ; légende en bas au centre : « CABINET D’HISTOIRE NATURELLE. » ; indications : en ht à gche : « Pl. 265, 266. », en ht à dte : « La Caricature »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue furstemberg N°6. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « JJ // G. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur], et sur la tablette basse de la table : « J.J. Grandv // E. For. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Description iconographique:Pl. n°1 de la série du "Cabinet d’histoire naturelle" comportant trois numéros : cf. pl. n°2 (pl. 271-272 du numéro 131) et pl. n°3 : (pl. 275-276 du numéro 133). Pl. d’histoire naturelle représentant les membres du gouvernement sous la forme d’animaux. Chaque figure hybride, à tête humaine et au corps animal (exceptés d’Argout, le duc d’Orléans et Louis-Philippe qui ont une tête animale), est identifiable grâce à la mention de son nom (variation humoristique sur le nom de chaque homme, surnom) sur une pancarte ou sur le socle, sur lesquels est également précisé à chaque fois le faux nom scientifique en latin. De gche à dte et de ht en bas : accrochés sur le mur du fond : Barthe, représenté en caméléon portant sur le corps la mention « BART ». La pancarte indique « BARTOLUS CAMELEO // (Classe des Carbonari) ». Ce dessin dénonce l’opportunisme de Barthe, changeant d’opinion politique en fonction du régime en place, et fait référence à son passé de carbonaro. Schonen, représenté en tétard. La pancarte indique « CHONAINUS // Tétard Vineux », en référence à la tendance qu’a ce personnage à boire beaucoup. "Le Journal des Débats" est figuré sous la forme d’un long serpent. La pancarte précise « (SERPENT DEBAT // (JOURNALISTES REPTILES) ». Il porte sur son corps des étiquettes enroulées mentionnant : « EMPIRE // 1800 », « RESTAURATI […] [RESTAURATION] // 1815 », « Révolution de // Juillet de 1830 », et enfin une étiquette représentant une poire à face humaine. Puis vient Soult, représenté en caïman. Il est accompagné de la mention « CAYMAN // MARECHAL (dalmaticus) ». Est dénoncée ici la propension qu’a Soult à courir après les honneurs et les distinctions. Lameth est représenté en flascopsaro, gros poisson rond. Son nom est précisé : « FLASCOPSARO // (Stephanus) ». Enfin sur le mur du fond est également accroché Lobau, en crapaud. La pancarte indique « LANCELOT Aquatique // Famille des Crapauds ». Il porte une culotte avec des rayures bleues et blanches, l’écharpe de la légion d’honneur et la croix d’honneur, ainsi qu’un bicorne. La pl. rappelle l’émeute que Lobau avait réprimée en usant de lances à incendie. La thématique de l’eau, depuis lors, est toujours très présente dans les caricatures de Lobau élaborées par les journaux d’opposition. Sur la table adossée au mur sont posés quatre oiseaux empaillés.Le premier est Thiers, en tiercelt, appartenant à la catégorie des « OISEAUX MOUCHES // TIERCELET ». Un jaseur (« JASEEUR // (Statisticus) ». Viennet est représenté en gros volatile (« VIEUX NIAIS // ORPHEUS »). Sa queue prend la forme d’une lyre. La pl. se moque de son activité de poète. Il porte autour du cou une « clé d’or ». A côté de lui se trouve « FRANCARRET // (Vautour Accusator) » revêtu d’un habit de juge. Par terre au premier plan, le duc d’Orléans en « Oiseau Royal // (Fanfaronus Poulotus) », en habit militaire. A côté sont déposés des œufs sur un épais coussin rouge précisant la nature des œufs « PRINCIPICULES // EN // ŒUFS ». Viennent ensuite deux quadrupèdes posés sur un socle et se faisant face. Il s’agit de Guizot en hyène (le socle indique « GUIZOTHIENE (Doctrinarius Férox) », allusion à la doctrine de Guizot) et de Persil (le socle indique « CHACAL REQUISITOR Persicus », dénonçant la férocité avec laquelle Persil intente des procès contre les défenseurs des idées républicaines). A dte, la personnification de "La Caricature", portant un bonnet phrygien à cocarde tricolore, et dont l’extrêmité est décorée d’une plume et de grelots. Sa robe de chambre est décorée du motif de la poire transpersée d’une flèche. Il manipule un perroquet bleu incarnant Louis-Philippe. Il porte des épaulettes et l’écharpe de la légion d’honneur. Le roi avait déjà été caricaturé en perroquet afin de se moquer de sa propension à parler fréquemment des batailles de Valmy et Jemmapes, combats révolutionnaires de 1792 dans lesquels il se serait illustré (cf. pl. 86 du numéro 43 de "La Caricature"). Posé devant lui sur la table, un sac duquel se déversent des pièces d’or et portant l’inscription « Liste ». Il s’agit d’une allusion à la liste civile du roi. Enfin sur la table, de profil, se trouve d’Argout. Représenté avec une tête de pélican, il porte un petit costume et tient sous le bras le portefeuille du ministère de l’ « INT […] UR [INTERIEUR] ». La pancarte indique « NARGOUT // (Toucanus Nasiférus) 20/ ». Au tout premier plan, à dte, un porc-épic, emblème de la Caricature ou du journalisme d’opposition de manière plus générale (certains de ses pics sont des plumes d’écrivain ou des crayons lithographiques) s’attaque à un « SCORPION » qui est « Venimeux » et appartient à la « Famille Jiskêt », c’est-à-dire Gisquet, le préfet de la police de Paris. La pl. établit un parallèle entre cabinet scientifique et cabinet ministériel.‎

‎Personnages représentés:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Lameth, Charles Malo François de, comte; Guizot, François; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Thiers, Adolphe; Persil, Jean-Charles; Barthe, Félix; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Viennet, Jean Pons Guillaume; Mouton, Georges, comte de Lobau; Schonen, Auguste Jean Marie de, baron Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847)‎

‎Règne animal (suite)« CABINET D’HISTOIRE NATURELLE. (suite) » (2 ) - Lithographie, Coloriée -- n°271-272-Hand-coloured lithograph,‎

‎1833 Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 6, 9 mai 1833 :n°271-272 :Hauteur: 35.8cm -Largeur: 52.6cmPlanche HT double parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, Dimensions - Image Hauteur: 22.5cm - Largeur: 45.5cm- Titre en ht au centre : « RÈGNE ANIMAL (suite) » ; légende en bas au centre : « CABINET D’HISTOIRE NATURELLE. (suite) » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°131. », en ht à dte : « Pl. 271, 272. »Inscription - Dans la lettre : « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur], « Lith. de Becquet, rue Furstemberg N°6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « J.G. [motif d’une poignée de main] E F. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Description iconographique: Pl. n°2 de la série du "Cabinet d’histoire naturelle" comportant trois numéros : cf. pl. n°1 (pl. 265-266 du numéro 128) et pl. n°3 (pl. 275-276 du numéro 133). Pl. d’histoire naturelle représentant des membres du gouvernement et des députés favorables à la politique de Louis-Philippe sous la forme d’animaux. Chaque figure hybride, à tête humaine et au corps animal (excepté Jacques Lefèvre qui a une tête animale), est identifiable grâce à la mention de son nom (variation humoristique sur le nom de chaque homme, surnom) sur une pancarte ou sur le socle, sur lesquels est également précisé à chaque fois le faux nom scientifique en latin. Sur le mur du fond, de gche à dte et de ht en bas : le député Royer-Collard en gros poisson. La pancarte indique « ROYAL COLAS // TORPEUS // DOCTRINAIRE // (GENERATOR // ENTORPILLEUR) ». Le député et bibliothécaire du roi Jean Vatout, en carpe. La pancarte indique « PHILIPOPHI LE // VILAIN (MEUNIER) // BIBLIOTHECARUS // VOTE TOUT ». Un frelon incarnant le journal Le Figaro, accompagné de la pancarte « BASILICUS FRELON Subventionné // (de Séville) » : ses ailes sont deux plumes d’écrivain, son dard est un crayon de dessinateur. Le Figaro, avant de se ranger du côté des opinions politiques de la monarchie de Juillet, était un journal d’opposition. C’est le sens de l’explication : « Ce volatile, du reste, n’a pas toujours joui de la triste figure que vous lui voyez. Il fut un temps où il appartenait à l’utile et laborieuse famille des abeilles, et ce n’est que par une brusque transformation qu’il en est venu à faire partie de celle des frelons ». Ensuite, un serpent à sonnettes incarnant Dupin : « SALVATOR DUPINUS // (SERPENT SONETTE [SONNETTE]) ». Alors que Dupin put se proclamer sauveur de la patrie, La Caricature donne un autre sens à « salvator » : « qui se sauve » (in explication. Celle-ci continue encore le descriptif de l’animal en insistant sur son côté sournois). Puis, sur l’étagère, le député Charles de Rémusat en petit serin. La pancarte indique « VRAI MUSART // SERIN DOCTRINAIRE // (F. COLAR) ». Il n’est « apte qu’à répéter machinalement ce qu’on lui apprend à dire sur la serinette doctrinaire » (in explication). Puis le député Joseph de Podenas, représenté en tortue. La pancarte indique « PODNAZUS LOQUAX // IMPOTENS ». La pl. souligne son ambition mais son incapacité à la réaliser : « Cet animal est tourmenté de la manie de grimper et de s’élever, mais la nature, toujours ingénieuse, s’est plue à l’orner d’une impuissance locomotive qui l’empêchera toujours de faire son chemin ». Puis une sorte de dindon, vu de dos ( ?) avec la pancarte « (EPILEPTICUS VEROLLIUS) // CODINDE ». « Cet animal, qui est dans un état d’irritabilité permanente (…) ce qui l’a fait surnommer l’épileptique par le savant naturaliste Derville ». Le ministre Montalivet est une huître. La pancarte précise « (BIVALVES) // HUITR [HUÎTRE] DU // MONT OLIVET » : « Cet animal, qui est lourd, épais, gluant, dégoûtant, est l’être le plus stupide de la création » (in explication). Ensuite, le député Benjamin Delessert est représenté en chauve-souris. La pancarte indique « (BENJAMINUS) CHAUV’Sourire // DUDESSERT ». La pl. s’amuse de son goût pour les « ténèbres » (in explication), c'est-à-dire pour les idées très peu avancées sur le terrain du républicanisme. Le naturaliste, un homme monté sur un escabeau, est occupé à le suspendre à un clou. Il s’agit d’un portrait du lithographe Eugène Forest. Le député Clément-François-Victor-Gabriel Prunelle est un coq avec une huppe (la pl. se moque de sa chevelure). La pancarte indique « COQ HUPPE // ENVOYE // DE LYON (Médicus Prunellis) ». Dubois est assimilé à une buse. La pancarte indique « [mot effacé] BUSE // PARTIALE (MÂLE) // VENANT // du Bois D’ANGER [ANGERS] ». Il est assimilé à une buse « à cause du maussade roucoulement que la nature s’est plue à lui départir » (in explication). Enfin, un dernier niveau, où les animaux empaillés sont posés à terre. D’abord Sébastiani, en monstre marin poilu ressemblant à un paresseux et portant l’écharpe de la légion d’honneur, la croix d’honneur. Il s’appuie sur un portefeuille ministériel (référence à son statut de ministre sans portefeuille depuis le 22 mars 1833). La pancarte indique « HAÏ // PARESSEUX // (SEBASTIANUS // INUTILIS) », insistant ainsi sur l’inutilité de son poste au gouvernement. Un cœur et un cerveau sont posés sur une petite pl. (« CŒUR CERVELLE // INCONNUS »). L’explication précise que ces deux organes n’appartiennent à aucun des animaux représentés sur cette pl., dénonçant ainsi le manque de gentillesse et la bêtise des membres du gouvernement. Puis, c’est l’amiral Rigny qui est représenté, en veau marin. La pancarte indique « RIGNIUS // AMIRALIS // VEAU MARIN ». La thématique de la mer a été choisie en raison de l’activité de Rigny. La Caricature le trouve très mal à son aise sur la terre (c'est-à-dire dans ses fonctions de député) et aurait préféré le voir dans son élément naturel, c'est-à-dire la mer (elle aurait préféré qu’il ne s’engage pas dans le domaine politique). Puis « FULGIRONUS // AGIOTATEUR // (Loup Cervier) » ( ?). Lui fait face Keratry en bouc. La pancarte indique « BOUCAMBRE // A Cornes Torses // GUERATRIX BRETONUS) ». Vient ensuite le député Jacques Lefèvre, en grue. La pancarte précise « JACK LAFEVE // (Banquius) // Speculator (GRUEJEAN) ». L’avant-dernier animal est un échassier, dont les longues pattes l’apparentent à Madier de Montjau. De cet animal il n’a que les pattes, le reste du corps étant habillé tel un humain. Afin de se moquer avec insistance de sa grande taille, des motifs de girafes décorent son veston. Enfin, un crabe ( ?) : « PINCE // CUTULLENSIS // (Crabus BEDOCUS) ».‎

‎Personnage représenté:Sebastiani, Horace; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Kératry, Auguste Hilarion de, comte; Madier de Montjau, Joseph Paulin; Gauthier de Rigny, Henri, comte; Royer-Collard, Pierre Paul; Delessert, Benjamin Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847)‎

‎Règne animal (3)- CABINET D’HISTOIRE NATURELLE. (suite) : (3 )- Lithographie, Coloriée -Hand-coloured lithograph,‎

‎1833 Planche HT double parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 6, 23 mai 1833 (Planche n°275-276) - Hauteur: 35.8cm- Largeur: 52.4cm.Dimensions - Image : Hauteur: 22.5cm x Largeur: 45cmDescription:Titre en ht au centre : « RÈGNE ANIMAL (suite) » ; légende en bas au centre : « CABINET D’HISTOIRE NATURELLE. » ; indications : en ht à gche : « Pl. 275, 276. », en ht à dte : « La Caricature (Journal) N°133 »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg N°6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « J.G. E. F. [motif d’une poignée de main] » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe] - Sur le corps de la squille : « NOUVEL // LISTE // Subvention // 300f MARS // 600f AVRIL // 500 f MAI // 800 f JUIN // 15,00 f JUILLET // 850 f AOUT »Description iconographique:Pl. n°3 de la série du Cabinet d’histoire naturelle comportant trois numéros : cf. pl. n°1 (pl. 265-266 du numéro 128) et pl. n°2 (pl. 271-272 du numéro 131) ; description, analyse : pl. d’histoire naturelle représentant des membres du gouvernement, des députés favorables à la politique de Louis-Philippe ou des institutions ou mesures prises par le gouvernement, sous la forme d’animaux. Chaque figure hybride, à tête humaine et au corps animal (ou l’inverse), ou au corps totalement animal, est identifiable grâce à la mention de son nom (variation humoristique sur le nom de chaque homme, surnom) sur une pancarte ou sur le socle, sur lesquels est également précisé à chaque fois le faux nom scientifique en latin. Posés sur l’étagère ou accrochés au mur, de gche à dte : un hibou grand-duc vêtu en pair de France. La pancarte indique « GRAND DUC…. // (PAIRS IN PERES) ». Cet animal représente l’ensemble de la pairie. Puis deux singes siamois, dos à dos, en livrée de cour, incarnant Mahul et Jobard. La pancarte indique « JUMEAUX DOCTRINAIRES // (MEHULIS // JOBARDUS) ». Puis un monstre à multiples tentacules munies de pattes griffues. Sur son ventre : « OCTROI ». La pancarte indique « SECHE PEUPLE // (IMPOTS SUCEURS) ». Il s’agit de l’incarnation des impôts et taxes auxquels le régime soumet le peuple (pour un plus ample développement des impôts suceurs sous forme de monstres, cf. 10e dessin de l’association, mois de mai 1833). Puis est accrochée au mur la « SQUILLE Journaliste // (Subventionespoliceus) », armée d’une plume. Il s’agit de l’incarnation des journaux servant les intérêts du régime de Juillet. Une tortue pend du plafond par une corde. La pancarte indique « RABOTEAU // TORTUE DOCTRINAIRE ». Puis « L’OIE // BIGOTTE » et Roule en canard (« Roulis M. VINUS // (CANARD BARBOTEUR) ». Posés par terre, de gche à dte : le « CHEVANDIUS // PELICAN VITRE », le ministre Humann représenté en âne. La pancarte indique « MULET IMPRODUCTOR // INHUMANUS MINISTRATORT // (Alsace) ». L’explication dit qu’il est « ministre à tort ». Il est entouré de deux pains de sucre. Puis un chien « CANIS AIRCOUR // Ambassador // (ROQUETUS) ». De dos et assis, le dessinateur Grandville est occuper à croquer les animaux du cabinet. Un huissier dans un bocal (« TEIGNE HUISSIERE // (en Larve) »). Puis Ganneron en mouton tatoué sur le flanc du « P » de Louis-Philippe. La pancarte indique « (ANNERON) // GANDELLUS // MOUTON // A // SUIF », en référence à son activité de fournisseur de chandelles. Et enfin madame Athalin en kangourou. La pancarte indique « KANGOURO FEMELLE // Flles (Athali) ».‎

‎Personnage représenté: Humann, Jean Georges Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847)- Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎Voyage... vive le rrrroi 1833 - Lithographie, Coloriée -Voyage de la pensée immuable à travers les populations empressées 1-‎

‎1833 Planche HT double ,d'une suite de 3, parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 24 octobre 1833 (324-325) • Hauteur: 35.8cmxLargeur: 52.2cmDimensions - Image :Hauteur: 29.4cm xLargeur: 44.8cm.Dimension de la feuille hauteur 346 mm x longueur 522 mm.Description: Titre en ht à dte : « VOYAGE » ; légendes, en bas, de gche à dte: « De ses bienfaits chez nous tout parle : // Que le jour de la paix vienne, et // Notre bonheur sera fait par le // Grand Roâ que chante Viennet. », « Vive le rrrrroî ! Vive le rouâ ! vive le roâ ! Vive l’roué ! viv’ le roué ! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°155. », en ht au centre : « Pl. 324 et 325. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie Vero Dodat » [éditeur], « Lith. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « J. J G. invt A D. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Auguste Desperet, lithographe]Inscription - Sur les marches de l’escalier menant au trône, un premier tapis portant des inscriptions : de bas en ht : « PROGRAM […] [PROGRAMME] », « NON // INTERVENTIO […] [INTERVENTION] », « DISSOLUTION // DES GARDES // NATIONAL […] [NATIONALES] », « NATIONALITE // POLONAISE », « ETAT DE // SIEGE // DE PARIS », « MISE EN // LIBE // RTE [LIBERTÉ] de // LA DUCHES […] [DUCHESSE] // [DE BERRY] ». Un second tapis sur le côté : « RESURRECTION // DE L’EDIT DE 1666. », « POURSUITE // DES AMIS // DU PEUPLE », « assommeurs // payés », « PROCES // AUX // JOURNAUX »Description iconographique:Pl. n°1 et 2 du "Voyage de la pensée immuable à travers les populations empressées". Cf. pl. n°3 et 4 (pl. 326-327 du numéro 156) et pl. n°5 et 6 (pl. 328-329 du numéro 157). Représentation de l’accueil réservé au roi par les populations de Lisieux et Evreux, lors de sa visite dans ces villes, en 1833 (Louis-Philippe a effectué un voyage en Normadie du 26 août au 12 septembre. Il s’est notamment rendu à Évreux, Lisieux, Falaise, Granville, Saint-Lô, Cherbourg, Bayeux, Caen, Rouen, Louviers, Le Havre). A gche se trouve le trône royal, au sommet de plusieurs marches. Ses pieds de devant sont sculptés en forme de tête de d’Argout, muni d’une trompe d’éléphant. Les accoudoirs sont sculptés en forme de seringues à clystère, et le dossier est marqué du mongramme de Louis-Philippe (« LP » entrecroisés). Au-dessus du dossier est posé une couronne surmontée d’un lampadaire tenu par Soult et Guizot ( ?). Derrière le trône se trouve un monumental arc de triomphe portant le nom des deux villes accueillantes (« EVREUX. » et « LISIEUX. »). Une frise décorative est composée d’une fleur de lys, d’une seringue à clystère, d’une poire entourée de fleur de lys et d’un coq. Dessous, un bas-relief d’un parapluie croisant une arme, et par-dessus un chapeau portant la cocarde tricolore. Dessous, une poignée de mains. Sur la base de l’arc, un motif de coffre fermé d’un cadenas, et en dessous, des sacs d’écus (« 1,000. »). Devant l’arc de triomphe, au premier plan, Viennet chevauchant un âne. Il tient une lyre en forme de poire entre les mains, porte une redingote dont le dos est marqué de l’inscription « IMPOPULARITE // MEPRIS ». Derrière lui, sur la selle est accroché un rouleau de son « EPÎTRE » surmonté d’un livre. Enfin, une petite plume d’écrivain est accrochée à sa chaussure. Tous ces éléments sont une référence à son ouvrage Epître aux mules de Don Miguel. Au second plan, des membres de la population acclament le roi : « les Constituées et les tamerlans, jusqu’aux femmes idolâtres de la royauté qu’elles ont élevé sur le pavois. » (des femmes vêtues en habit traditionnel). Au centre, au premier plan, des militaires se tiennent bien droit et portent leurs fusils devant eux. L’un, petit, tient un sabre sur le côté. Un autre, grand et peu élégant, derrière le groupe, tient le drapeau tricolore. A l’arrière-plan, une maison à la fenêtre de laquelle sèche du linge.Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Viennet, Jean Pons Guillaume; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron‎

‎Personnages représentés:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Viennet, Jean Pons Guillaume; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847) -Desperet ou Desperret, Auguste‎

‎... empressées 1833 - Lithographie, Coloriée - Voyage de la pensée immuable à travers les populations empressées: 3 -Hand-coloured lithograph,‎

‎1833 Planche HT double parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 7 novembre 1833 (n°328-329) : Hauteur: 35.8cmx Largeur: 53cm- Image Hauteur: 22cm x Largeur: 53cmDescription:Titre en ht au centre : « EMPRESSÉES. » ; légendes, en bas, de gche à dte : « L’omnibus trainé [traîné] par les quatre boiteuses. », « Les Débats. », « Le Constitutionnel. », « Le Moniteur. », « Le Journal de Paris. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) N°157. », en ht à dte : « Pl. 328 et 329. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Furstemberg. 9. » [imprimeur], « Chez Aubert, galerie véro d […] [dodat] » [feuille coupée] [éditeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « G. invt A.D. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Auguste Desperet, lithographe]Inscription - Sur le nez de d’Argout, inscription : « DE PARIS A LISIEUX ». Sur le devant de la cabine du cocher, le slogan « VIVE LE RÔA » : « le cocher, en appuyant le pied sur un petit buffet d’orgue, peut, au moyen de cet appareil, produire un volume satisfaisant d’amour unanime » (in explication)Description iconographique: Pl. n°5 et 6 du "Voyage de la pensée immuable à travers les populations empressées". Cf. pl. n°1 et 2 (pl. 324-325 du numéro 155) et pl. n°3 et 4 (pl. 326-327 du numéro 156). Les deux dernières pl. de la série montrent « l’auguste omnibus, traîné par ses quatre boiteuses » (in explication), c'est-à-dire un carrosse traîné par des chevaux. Sur le toit du carrosse sont assis, de gche à dte : d’Argout, faisant le cocher, un homme de dos (« M. Faim », in explication), Montalivet habillé en cuisiner et tenant une casserole, et Barthe. L’emblème de la monarchie de Juillet imaginé par Grandville se trouve sur le la petite cabine du cocher : il est constitué d’une grande paire de ciseaux ouverts, entourée d’un parapluie, d’une seringue à clystère, d’un chapeau à cocarde tricolore et d’une toque de magistrat. Deux municipaux, « M. Corneille, adjoint d’Evreux, et M. Criquet, maire de Falaise » (in explication) se cramponnent au carrosse (au marche-pied et à la portière arrière) afin de saluer Madame Adélaïde se trouvant à l’intérieur. L’un d’eux souhaite lui offrir un bouquet de fleurs. Des motifs partiels de poire à face humaine décorent le carrosse. A l’arrière-plan, des petits enfants montés sur les branches d’un arbre lèvent le poing au passage du cortège. Derrière le carrosse suivent les incarnations des journaux, sous la forme d’hommes pourvus d’attributs. Le Journal des débats, portant un pantalon fleurdelysé et une poire sur son bicorne, prend des notes sur un petit carnet. "Le Constitutionnel", écrivant sur un cahier dont le titre a le nom du journal, porte un bonnet et tient une vessie au bout d’un bâton sur laquelle peut se lire « ON SE // DESABONN […] [DESABONNE] » ("La Caricature" se moque fréquemment des désabonnements dont est victime ce journal). Un sac d’argent pend de son pantalon (« 1,000 »). Son encrier, accroché à son vêtement, à la forme du buste de Dupin en habit de magistrat. Enfin, « son araignée dilettante » (in explication) court à côté de lui, au bout d’un fil. Puis vient le "Moniteur", « avec ses plumes d’oie et son appareil vélocipède » (in explication). Il est coiffé d’un chapeau en forme de poire à face humaine. A la bicyclette sont accrochés de nombreux symboles des différents régimes successifs en France : la poire à tête de Louis-Philippe de la monarchie de Juillet, la fleur de lys monarchique (représentée à l’envers), le bonnet phrygien à cocarde tricolore, et l’aigle de l’Empire (représenté à l’envers). La tête d’un homme (non identifié) pend dans son dos. Enfin, le "Journal de Paris" ferme la marche : homme barbu et pourvu de gros favoris, il porte un haut chapeau décoré du motif de la poire à face humaine de Louis-Philippe. Il est décoré de la croix d’honneur. Il porte un gros encrier en bandoulière dans le dos. Il est « le seul journal qui n’écrive point, par l’excellente raison qu’il ne sait pas écrire » (in explication). A l’extrême gche, à l’arrière-plan, des enfants du peuple montés sur des branches d’arbres, lèvent le poing en signe de protestation.‎

‎Personnage représenté:Barthe, Félix; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Attribué à Grandville , dessinateur et Eugène Forest, lithographe‎

‎La chair est faible.Lithographie en noir ,(Planche n°221-222)‎

‎1832 Planche double HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 22 novembre 1832 (Planche n°221-222) - Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image :Hauteur: 23.5cm x Largeur: 33.8cmTitre en bas au centre : « LA CHAIR EST FAIBLE. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°107. », en ht à dte : « Pl. 221.222. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographeDescription iconographique:Dans la partie gauche de la composition, les membres du gouvernement son rassemblés. Dans les bulles au-dessus des personnages, au second plan de gche à dte : Dupin, refusant de suivre d’Argout : « Non, non, // vous n’y voyez // pas plus long // que votre nez. Ça // finira mal. », d’Argout, s’adressant à Dupin : « Venez donc avec nous, // [mon] cher, chacun-z-a // le droit d’y aller. », Lobau : « Connu, connu, la // vieille. On les a // vues tes femmes ! », Guizot, s’adressant à Louis-Philippe : « J’ai prouvé que vous auriez // tort, j’ai prouvé que vous // auriez raison. Je prouverai // tout ce qu’il faudra. », Barthe, s’adressant à Louis-Philippe : « Allez y, je vous // y engage, foi de Carbonaro ! ». Au premier plan, de gche à dte : Soult, s’adressant à Louis-Philippe et posant une main sur l’épaule de ce dernier pour l’inciter : « Allez donc, allez // donc, ce sont de // bonnes personnes, // Je les connais de // longue main. », Thiers au tout premier plan, et enfin Louis-Philippe, vu de trois quarts dos. Il porte un grand manteau et tient à la main son chapeau décoré de la cocarde tricolore. Les membres du gouvernement se trouvent dans la rue, « Boulevard // De // Coblentz » (Coblentz est le lieu où Louis-Philippe trouva, lors de son exil, sauvegardées des éléments de la noblesse française d’ancien régime). Les ministres incitent le roi à aller rendre visite à des prostituées, incarnations de l’ancien régime. La pl. se moque ainsi des tentations monarchiques auxquelles est soumis Louis-Philippe. La mère maquerelle, vieille femme portant une fleur de lys sur sa coiffe, un médaillon avec la lettre « H » surmontant une poire au cou, est vêtue d’une robe sur laquelle peut se lire « GAZETTE //DE // FRANCE // et // Holyrood » : il s’agit du journal le plus légitimiste sous la Monarchie de Juillet. Il essaie d’attirer le roi. Holyrood est une référence à un des lieux de séjour en Ecosse des émigrés aristocrates après la Révolution française. Cette mère maquerelle dit à Louis-Philippe : « Venez donc, belhomme, // elles sont bien aimables, // elles ont un bon feu. belhomme ! // cupidon ! ». Derrière se tiennent deux courtisanes : la première, mince, porte une robe décorée d’une frise de poire en bas. Elle a le pied droit posé sur une feuille volante titrée « CHARTE », montrant de manière significative que les principes de la Charte sont bafoués. Il s’agit de la princesse Louise, fille aînée de Louis-Philippe. La seconde prostituée, plus forte, porte deux broches en forme de fleur de lys. Il s’agit de la duchesse d’Angoulême, fille de Louis XVI et Marie-Antoinette. Les deux travailleuses représentent respectivement la légitimité et l’illégalité. Au fond à dte, dans la pénombre, un homme assiste à la scène. Il cache un fusil dans son dos, porte une arme blanche à sa ceinture, et un médaillon avec l’initial « H » autour du cou, certainement l’initial de Henri V, qui aurait dû monter sur le trône à la place de Louis-Philippe.La pl. dénonce les mauvais conseils prodigués par les ministres au roi des Français, lequel est poussé à abandonner ses principes républicains et d’embrasser les idées moins libérales. La pl. utilise le parallèle d’un homme incité à s’adonner aux plaisirs de la chair. Le titre est la parole du Christ tirée de l'Evangile affirmant « Ainsi vous n'avez pas eu la force de veiller une heure avec moi. Veiller et prier pour ne pas entrer en tentation; l'esprit est ardent mais la chair est faible ». Louis-Philippe est, quant à lui, tenté par les principes monarchiques.Personne / Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Mouton, Georges, comte de Lobau; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Barthe, Félix‎

‎Personnages : Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Mouton, Georges, comte de Lobau; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Barthe, Félix Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville & E.Forest.-‎

‎Cérémonie des cendres politiques. (Suite) Lithographie, Coloriée Hand-coloured lithograph,-‎

‎1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 28 février 1833 (Planche n°250) - Hauteur: 27.3cm x Largeur: 35.8cmDimensions - Image :Hauteur: 20cmx Largeur: 28cmTitre en ht au centre : « Cérémonie des cendres politiques. // (Suite) » ; légendes en bas, de gche à dte: « Pere [Père]-Scie, // ange de la morgue. », « Madrier-Longeau, // Girafe. », « Nargout », « Guizotin // doctrinain. », « Berthe en poissarde », « Bey-dok en marlou. », « Chonaine et // Stephanus // ivres…de joie. », « leur valet // en Figaro. », « M. Vienn.. », « Air du déserteur », et, sous une partition de musique : « Le roi pas-sait [passait] etc etc » ; indications : en ht à dte : « La Caricature (Journal) Pl. 250 // N°121. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » ; dans l’image, en bas à gche, signature : « JJ. Grandville // E. Forest » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe]Pl. n°2 de la série "Cérémonie des cendres politiques". Cf. pl. n°1 (pl. 248 du numéro 120) et pl. n°3 (pl. 251 du numéro 121). Suite du cortège dans lequel on peut reconnaître : Persil en bourreau, affublé d’un grand nez en forme de scie dont le bout est rougi par le sang, portant la coiffe de magistrat, portant un tablier de boucher où apparaît le portrait d’un homme et sur lequel peut se lire « PEINE // DE // MORT // TOUJOURS ! // 5000000000000 // AMENDES ». Il porte une hache de la main dte (décorée d’une poire), tandis que sa main gche est salie par du sang. Madier de Montjau chevauche une fausse girafe pourve de deux jambes d’hommes montées sur des échasses. La girafe est couverte par un carapaçon orné du motif de la poire à face humaine (Louis-Philippe). D’Argout en polichinelle vient ensuite, son costume ayant pris la forme de son grand nez au niveau du buste. Puis Guizot, en ecclésiastique tenant un petit ouvrage ouvert, fervent défenseur de la doctrine, « Berthe en poissarde », « Bey-dok en marlou » (identification difficile de ces deux personnages), puis Schonen, et la figure du "Constitutionnel", soutenu par l’incarnation du journal "Le Figaro" lequel, partageant depuis 1832 les idées du gouvernement, se fait maintenant le soutien de ses membres (« veut les relever de la boue dans laquelle il les a traînés si longtemps » in explication). Se trouve ensuite Viennet récitant des airs d’orgue de Barbarie décoré d’un motif de poire. La pl. se moque de son activité de poète.‎

‎Personnages représentés:Persil, Jean-Charles; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Schonen, Auguste Jean Marie de, baron; Madier de Montjau, Joseph Paulin; Viennet, Jean Pons Guillaume; Guizot, François; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Grandville & E.Forest.- Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de‎

‎Vite main et Coussin pleurant le 21 Janvier - Pl. n°3 de la série " Cérémonie des cendres politiques "- Lithographie, Coloriée -Hand-coloured lithograph,‎

‎1833 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 28 février 1833 (Planche n°251)- Hauteur: 27.3cm-Largeur: 35.8cmDimensions - Image :Hauteur: 15cm xLargeur: 31.5cm -[sans titre] ; légendes en bas, de gche à dte et de ht en bas : « Vite main et Coussin // pleurant le 21 Janvier. », « Un monstre // en Kératry. », « Le Constitutionnel // Jocrisse. », « La gratification portée par la France nouvelle, les Débats, le // Nouvelliste, Le bonhomme Richard, Le moniteur, l’Intendant // des Casseroles. », « La Gazette et la Quotidienne, // en folies », « Mr Roule, // fournisseur des vins de la Cour », « Le Diable boiteux, // prince de bien-au-vent et de Périgord. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°121. », en ht à dte : « Pl. 251. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, r. Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « J. J. Grand // E. For » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Eugène Forest, lithographe] - Inscription - Sur la capuche de Villemain et Cousin : « 21 Janvier » (en référence à la date d’exécution de Louis XVI en 1793) ; sur le chapeau du Nouvelliste : « le NOUVELLISTE // Journal du Soir » et « Police »Pl. n°3 de la série "Cérémonie des cendres politiques". Cf. pl. n°1 (pl. 248 du numéro 120) et pl. n°2 (pl. 250 du numéro 121). Villemain et Victor Cousin, cachés sous des masques (loups) et enveloppés dans de grands manteaux, pleurent la chute de la monarchie qu’ils défendaient d’ailleurs auparavant. Les mouchoirs sont décorés de motifs de poires vertes. Derrière vient Kératry déguisé en monstre vert pourvu de deux cornes faites avec ses cheveux. Les incarnations des différents journaux défendant le régime portent la gratification, sous la forme d’un gros homme couché sur une civière, dont le corps est constitué de plaques avec des inscriptions. Le Constitutionnel en bouffon Jocrisse. Le Journal des « DÉBATS » en armure médiévale, le bonhomme Richard, "Le Moniteur" en vieille femme revêtu d’une calotte ornée de la cocarde tricolore, le Nouvelliste et Montalivet portant un casque en forme de poire, un brassard orné d’une fleur de lys et le visage peint en bandes bleue, blanche et rouge. La gratification est accompagnée d’un drapeau portant l’inscription « GRATIFICATION […] [GRATIFICATIONS] // accordées pour // les // Jours Gras ». Son corps est couvert de plaques grises sur lesquelles se lisent : « Fonds secret […] [secrets] », « MONITEUR », « à Mr // Vienn… // poète à // la Cour », « Bonhomme // Richard », « NOUVELLISTE », « AU FIGARO », « Aux DÉBATS », « FRANCE NOUVELLE ». Son couvre-chef porte la mention « A L’IMPRIME […] [IMPRIMERIE] // ROYALE ». Enfin, en fin de cortège, deux journaux légitimistes et carlistes incarnés par deux hommes déguisés en fous, suivis par Talleyrand, en diable, s’appuyant sur une béquille (« un diable-béni, un évêque-courtisan, le prince de Périgord » in explication). Au premier plan, « Mr Roule », portant deux seaux censés contenir du vin.‎

‎Personnages représentés:Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet; Kératry, Auguste Hilarion de, comte Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Bouquet, Auguste (Abbeville, 13–09–1810 - Lucques (Lucca), 21–12–1846), dessinateur‎

‎Les favoris de la poire Lithographie originale en couleur sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 21 mars 1833 (Planche n°257)- Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm -- Image :Hauteur: 15cm - Largeur: 18.5cm- Titre en bas au centre : « LES FAVORIS DE LA POIRE. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°124. », en ht à dte : « Pl. 257. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie vero dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]Inscription - D’Argout cache derrière son dos une paire de ciseaux, évocatrice de « la censure » conduite par ce ministre. Sous le genou de Barthe dépasse une feuille de papier portant l’inscription « Etat // de // Sie […] e [Siège] » : allusion à l’état de siège qui fut décidé pour Paris par le Conseil des ministres le 6 juin 1832, à la suite de la grande insurrection républicaine (qui se déroula à Paris au début du mois de juin 1832), violemment réprimée par le gouvernement‎

‎Description:Sur un tapis coloré présentant des motifs géométriques, une poire énorme (de la taille d’un homme) est posée. Une esquisse d’yeux, de bouche et de nez humains est dessinée. Cette poire à face humaine est une représentation caricaturale du roi Louis-Philippe. La tige à laquelle sont accrochées deux feuilles fait office de toupet, attribut récurrent dans la représentation du roi des Français. La pl. joue ensuite sur le double sens des « favoris ». En effet, les favoris, touffes de barbe situées entre l’oreille et le menton, constituent, au même titre que le toupet, un des éléments privilégiés par les caricaturistes pour représenter Louis-Philippe. Mais le favori d’un roi est également la personne qui reçoit ses bonnes grâces, qui est préféré à tout autre. Souvent à force de flatterie, un homme devient le favori d’un roi. C’est cette courtisanerie qui est ici dénoncée par la pl. Elle s’attaque à deux ministre : celui des « Beaux-arts », d’Argout, représenté avec un nez hypertrophié, et celui de la « justice », le garde des « sceau […] [sceaux] », Barthe, tous deux représentés en train de cajoler la poire et de se frotter contre elle : tout en l’entourant de leurs soiins, ils souhaitent également se trouver protégés par elle. Leur positionnement au niveau de la partie inf. de cette poire à face humaine leur fait prendre la place des favoris comme les moustaches sur un visage d’homme ; mots-clé : piriforme, flatter, flatterie, courtisanerie, métaphorePersonnages représentés:Barthe, Félix; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des FrançaisAuguste Bouquet, né à Abbeville (Somme) le 13 septembre 1810, et mort prématurément à Lucques (Italie) le 21 décembre 1846. Peintre, lithographe, graveur et caricaturiste français, Bouquet fait ses études à l'École des beaux-arts de Paris. Élève d' Ary Scheffer, il s'oriente sous l'influence du maître vers l'art nazaréen. Il réalise de nombreuses lithographies de caricatures pour les journaux L'Artiste, La Caricature (1831-1834), Le Charivari (1832-1833), Le Triboulet (1843), ainsi que pour l'ouvrage de Jules Janin Deburau, l'histoire du théâtre à quatre sous (1832).Collaborateur et ami de Philippon, Honoré Daumier et Grandville, Auguste Bouquet fait partie de cette génération de caricaturistes courageux qui osèrent défier la censure, et dont la cible privilégiée était Louis-Philippe. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Bouquet, Auguste (Abbeville, 13–09–1810 - Lucques (Lucca), 21–12–1846), dessinateur‎

‎Le chianli crotté de toutes les manières Lithographie originale en couleur sur Velin blanc.‎

‎La Caricature politique, morale, littéraire Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm - Image :Hauteur: 19.8cmx Largeur: 18cm- Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 14 mars 1833 (Planche n°255) - Titre en bas au centre : « Le chianli crotté de toutes les manières. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°223. [123] », en ht à dte : « Pl. 255. » Inscription - Dans la lettre : en bas à gche : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]‎

‎Au premier plan, Louis-Philippe est déguisé: il porte une robe bleue souillée en bas, une ceinture verte à pompons, un loup rose en guise de masque lui cachant le visage, et un bonnet phrygien rouge décoré de la cocarde tricolore. Il est « costumé en espèce de Liberté », c'est-à-dire en allégorie de la liberté ou de la république. Il est reconnaissable à son toupet et à ses favoris. Il se fait poursuivre par trois enfants que l’on distingue à l’arrière-plan. Celui de gche s’apprête à lui jeter quelque chose, sans doute une pierre. L’un des deux enfants de dte brandit une batte portant en partie sup. une craie en forme de poire, afin de marquer le vêtement du roi de ce motif (au lieu du traditionnel rat que l’on trouve sur les battes lors du carnaval). L’explication précise que les enfants crient « C’est Chose !... », l’interpelant par un de ses surnoms. Le roi court pour leur échapper. Il s’agit d’une scène se déroulant lors du carnaval. La chianlit.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des FrançaisAuguste Bouquet, né à Abbeville (Somme) le 13 septembre 1810, et mort prématurément à Lucques (Italie) le 21 décembre 1846. Peintre, lithographe, graveur et caricaturiste français, Bouquet fait ses études à l'École des beaux-arts de Paris. Élève d' Ary Scheffer, il s'oriente sous l'influence du maître vers l'art nazaréen. Il réalise de nombreuses lithographies de caricatures pour les journaux L'Artiste, La Caricature (1831-1834), Le Charivari (1832-1833), Le Triboulet (1843), ainsi que pour l'ouvrage de Jules Janin Deburau, l'histoire du théâtre à quatre sous (1832).Collaborateur et ami de Philippon, Honoré Daumier et Grandville, Auguste Bouquet fait partie de cette génération de caricaturistes courageux qui osèrent défier la censure, et dont la cible privilégiée était Louis-Philippe. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Bouquet, Auguste (Abbeville, 13–09–1810 - Lucques (Lucca), 21–12–1846), dessinateur‎

‎PERE-SCIE. Lithographie originale en couleur sur Velin blanc.‎

‎La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique,Planche HT parue dans volume 4, 14 juin 1832 (Planche n°170) Hauteur : 27 cmx Largeur : 35.6 cm - Titre en bas au centre : « PERE-SCIE. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°85.) », en ht à dte : « Pl. 170. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]Inscription - Sur la première page des journaux, le nom : « LA CARICATURE. » ; sur la tranche d’une des liasses : « CH. PHILIPON. » ; sur la table du fond, des liasses d’autres journaux d’opposition victimes de la censure : la « TRIBUNE », notamment, et le nom de « BASCANS » (le journaliste Bascans, qui a collaboré à la Tribune, au National et à la Revue républicaine, fut condamné à plusieurs mois de prison)Description iconographique: Persil représenté de profil, en train d’essayer de découper avec son nez immense en forme de scie un personnage (sans doute Charles Philipon. A moins qu’il ne s’agisse de Daumier ?) en le tenant fermement immobile avec ses mains et son genou droit. Les poignets du personnage sont attachés par un lien. Il est allongé sur une pile de journaux qui sont des exemplaires de La Caricature. On reconnaît, sur certaines couvertures, des attributs caricaturaux du régime de Juillet : la poire par Philipon (pour railler Louis-Philippe), la seringue à clystère (pour railler l’usage de lances à incendie par Lobau pour réprimer une manifestation en 1831), un bonnet (portrait du juste-milieu). Dénonciation de l’entrave à la liberté d’expression. C’est Persil, représenté en habit de magistrat, qui est particulièrement visé, en regard de tous les procès intentés et saisies opérées à "La Caricature" et aux autres journaux de l’opposition.Personne / Personnage représenté: Persil, Jean-Charles‎

‎Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Charles Philipon.Charles Philipon (1800-1862), dessinateur et journaliste‎

‎Les armes du roi et du peuple. Lithographie originale en couleur sur Velin blanc.- parue pour regler une amende.‎

‎1832 Planche numérotée 162 publiée dans le journal La caricature N°81, le 1er août 1832,Hauteur: 27.8cm x Largeur: 36.3cm - Dimensions : Hauteur: 28.5cm x Largeur: 43.5cmTitre en bas au centre : « Les Armes // du Roi et du Peuple. » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal.) // (N°81.) », en ht à dte : « Pl. 162. » Dans la lettre : « Lith. de Becquet rue Childebert n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Composées le 1er Août 1832 par le Citoyen Ch. Philipon aujourd’hui condamné par trois jugemens [jugements], après 20 saisies, // à 4200f d’amande [amende], au 10me pour enregistrement, aux frais et à 13 mois de prison pour injure à la personne du Roi Citoyen. » [Charles Philipon, auteur du modèle et dessinateur]Inscription - Au-dessus de chaque blason, en un arc de cercle, les dates des Trois Glorieuses : « 27. 28. 29. » ; Sur le blason du roi, à gche : « TRES PETITE LISTE CIVILE. // PLUS DE COUR NI DE COURTISANS. // LIBERTÉ INDIVIDUELLE, LIBERTÉ D’ECRIRE // PLUS DE SINECURISTES. // PLUS DE TRAITEMENS [TRAITEMENTS] SCANDALEUX. // REPUBLICO-MONARCHIE. // PLUS DE MONOPOLES. // GOUVERNEMENT A BON MARCHE. // ETC. ETC. ETC. » ; sur la bannière tricolore dessous : « LA CHARTE SERA UNE VERITE. » (phrase prononcée par Louis-Philippe au moment de sa montée sur le trône) ; sur les pots de confiture et de beurre autour du blason du peuple : « Abricots », « Groseilles », « BEURRE de BRETA […] [BRETAGNE] » ; étiquette fichée dans un récipient indiquant : « PAté de // Foies Gras » ; sur la bannière dessous : « VIVRE EN TRAVAILLANT. »‎

‎à gauche, les armes du roi : un écu posé sur des pavés, surmonté d'un chapeau haut de forme portant la cocarde tricolore. Derrière, un parapluie et une canne entrecroisés, ainsi que des branches de chêne. Série d’inscriptions ironiques sur le blason. Portrait du juste-milieu. « L’écu royal immortalisera la simplicité auguste du souverain qui remplace si dignement son parent, son bienfaiteur » (in explication)A droite, les armes du peuple : un blason tricolore présentant trois brioches est surmonté d’un plat contenant un gâteau dans lequel est fichée une pique présentant à son sommet un bonnet phrygien. Autour prennent place des alouettes rôties, des pots de confiture et de beurre, des faisans, des dindons et des coqs plumés, ainsi que des pains. « Les armes du peuple témoigneront, par trois belles brioches et toutes ces alouettes rôties, de la prospérité à venir du pays » (in explication) Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Auguste Bouquet,‎

‎La Poire et ses Pépins -- Lithographie originale en couleur double sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 4 juillet 1833 (Planche n°290) Hauteur : 51.5 cm- Largeur : 35.8 cm Dimensions - Image : Hauteur : 36 cm x Largeur : 30 cm- Titre en bas au centre : « La Poire et ses Pépins. » ; indications : en ht à gauche : « La Caricature (Journal) N° [numéro manquant] [290] » Dans la lettre : « L. de Becquet r. Furstemberg N°6. » [imprimeur], « chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, au-dessus du plat, à gche, signature : AB. [Auguste Bouquet, dessinateur]‎

‎A l’intérieur d’une poire gigantesque coupée en deux, à la place des pépins se trouvent rassemblés autour de la réserve du « BUDJET [BUDGET] » les membres de la famille royale. Il ne semble pas que Louis-Philippe s’y trouve, mais sans doute peut-on reconnaître le duc d’Orléans, la reine Marie-Amélie et Adélaïde. D’autres personnages sont présents, mais difficilement identifiables. Tous sont occupés à manger et à boire aux frais du budget, censé être un bien commun à tous les citoyens français et non pas réservé à alimenter la famille royale. La mouche posée sur la poire annonce le pourrissement imminent du fruit. Selon Margadant, il s’agit d’ « une poire géante en train de pourrir, coupée en tranches pour révéler la famille royale blottie autour d’un trésor là où auraient dû se trouver les pépins, en une allégorie parfaite de la culture familiale que l’avarice même du Roi Poire avait forgée ». Dans cette pl., le motif de la poire, inventé par Charles Philipon afin de caricaturer le visage de Louis-Philippe, et devenu par la suite un véritable attribut satirique désignant le roi des Français, est utilisé à grande échelle, comme un habitat protecteur au cœur duquel viendrait se nicher la famille royale tout entière. Au-delà de la personne de Louis-Philippe, la poire sert donc à désigner le régime dans son entier : un fruit pourrissant, dont les pépins, c'est-à-dire les membres du gouvernement, sont profiteurs et néfastes.Personne / Personnage représenté: Louis-Philippe Ier, roi des FrançaisAuguste Bouquet, né à Abbeville (Somme) le 13 septembre 1810, et mort prématurément à Lucques (Italie) le 21 décembre 1846. Peintre, lithographe, graveur et caricaturiste français, Bouquet fait ses études à l'École des beaux-arts de Paris. Élève d' Ary Scheffer, il s'oriente sous l'influence du maître vers l'art nazaréen. Il réalise de nombreuses lithographies de caricatures pour les journaux L'Artiste, La Caricature (1831-1834), Le Charivari (1832-1833), Le Triboulet (1843), ainsi que pour l'ouvrage de Jules Janin Deburau, l'histoire du théâtre à quatre sous (1832).Collaborateur et ami de Philippon, Honoré Daumier et Grandville, Auguste Bouquet fait partie de cette génération de caricaturistes courageux qui osèrent défier la censure, et dont la cible privilégiée était Louis-Philippe. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Auguste Bouquet,‎

‎Requiescant in pace amen !! - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 20 décembre 1832 (Planche n°230) Hauteur : 26.5 cm xLargeur : 35.8 cm - Image :Hauteur : 22.6 cmx Largeur : 29.4 cm - Titre en bas au centre : « Requiescant in pace amen !! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°111. », « Pl. 230. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert, n°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie Véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]‎

‎C’est la mise en image d’un rêve que propose Bouquet, celui des funérailles du Juste-Milieu : dans une église, le catafalque du Juste-Milieu au centre, décoré de trois petites poires. Sous un bonnet et des seringues à clystère entrecroisées, des feuilles portant les inscriptions « JE // jure », « Etat de siege [siège] », « JE PROME […] [PROMETS] ». En allant vers la dte, celui du duc d'Orléans (surmonté d'une cruche et orné des canons du siège d'Anvers), et celui de Soult (surmonté d'une épaulette et orné de deux sabres entrecroisés). A gche, un autre catafalque est décoré d’une couronne royale. Sur un autre est posée une gerbe de fleurs. Tous sont posés sur la seconde marche menant au chœur dans lequel se trouvent un triptyque et des verrières. Le titre indique qu’ils reposent en paix (locution latine). L’artiste eut cette idée de mettre en scène la mort de Louis-Philippe et du duc d’Orléans, en référence à leur actualité respective : le premier fut victime d’un attentat le 19 novembre 1832, tandis que le second partit combattre les Hollandais lors du siège de la citadelle d’Anvers.Personnage représenté: Soult, Nicolas-Jean de Dieu ; Louis-Philippe Ier, roi des Français ; Orléans, Ferdinand-Philippe d', duc Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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‎Auguste Bouquet,‎

‎Navet d’Honneur, offert au Prince Rosolin par la Caricature.- Lithographie originale en couleur sur Velin blanc.‎

‎Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 23 octobre 1834 (Planche n°432) -Hauteur : 35.5 cm Largeur : 27 cm - Image :Hauteur : 29 cm xLargeur : 23.7 cm -Inscription - Titre en bas au centre : « Navet d’Honneur, offert au Prince Rosolin par la Caricature. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°207. », en ht à dte : « Pl. 432. »Inscription - Dans la lettre : « Au Bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, r. du Bouloi, 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]Description iconographique: La planche présente en pleine page un navet décoré de part et d'autre d'une croix accrochée à un ruban (à gauche on reconnaît la Légion d'honneur et à droite il s'agit peut-être de l'ordre de Léopold, créé par le roi des Belges en 1832, à la suite du siège d'Anvers auquel participe Ferdinand-Philippe d'Orléans). Sur la racine sont plantés six petits drapeaux tricolores. Selon l'explication, "La Caricature" rend ainsi hommage au "grand combat singulier du prince Rosolin contre l'un des plus beaux navets de Compiègne". La rencontre entre le duc d'Orléans, désigné ici comme le prince Rosolin, et un navet compiégnois, si elle n'est pas entrée dans les annales, a dû faire suffisamment de bruit à l'époque pour attirer l'attention ironique du journal de Philipon et du dessinateur Auguste Bouquet. Les bosses et les ombres du navet semblent dessiner un profil d'homme, dans lequel on pourrait reconnaître la charge du duc d'Orléans, cible de plusieurs autres planches. L'explication affirme d'ailleurs : "Ce portrait extrêmement ressemblant du reste, n'est qu'un faible hommage de notre admiration". Notons que le mot "navet" est employé dès le Moyen Age (v. 1278) pour exprimer "une valeur figuré de "nullité, valeur minime""et que le mot désigne au cours du XIXe siècle "un très mauvais tableau" (Dictionnaire historique de la langue française, dir. Alain Rey). Entre la nature morte, l'héraldique et le portrait, ce navet désigne le prince comme l'incarnation de la nullité vaniteuse et à travers lui stigmatise la Monarchie de Juillet comme le règne des fausses valeurs et le triomphe des héros sans héroisme.Personne / Personnage représenté: Orléans, Ferdinand-Philippe d', duc‎

‎La planche présente en pleine page un navet décoré de part et d'autre d'une croix accrochée à un ruban (à gauche on reconnaît la Légion d'honneur et à droite il s'agit peut-être de l'ordre de Léopold, créé par le roi des Belges en 1832, à la suite du siège d'Anvers auquel participe Ferdinand-Philippe d'Orléans). Sur la racine sont plantés six petits drapeaux tricolores. Selon l'explication, "La Caricature" rend ainsi hommage au "grand combat singulier du prince Rosolin contre l'un des plus beaux navets de Compiègne". La rencontre entre le duc d'Orléans, désigné ici comme le prince Rosolin, et un navet compiégnois, si elle n'est pas entrée dans les annales, a dû faire suffisamment de bruit à l'époque pour attirer l'attention ironique du journal de Philipon et du dessinateur Auguste Bouquet. Les bosses et les ombres du navet semblent dessiner un profil d'homme, dans lequel on pourrait reconnaître la charge du duc d'Orléans, cible de plusieurs autres planches. L'explication affirme d'ailleurs : "Ce portrait extrêmement ressemblant du reste, n'est qu'un faible hommage de notre admiration". Notons que le mot "navet" est employé dès le Moyen Age (v. 1278) pour exprimer "une valeur figuré de "nullité, valeur minime""et que le mot désigne au cours du XIXe siècle "un très mauvais tableau" (Dictionnaire historique de la langue française, dir. Alain Rey). Entre la nature morte, l'héraldique et le portrait, ce navet désigne le prince comme l'incarnation de la nullité vaniteuse et à travers lui stigmatise la Monarchie de Juillet comme le règne des fausses valeurs et le triomphe des héros sans héroisme.Personnage représenté: Orléans, Ferdinand-Philippe d', duc Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €‎

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