‎Autographes‎

‎MARGERIT (Robert).‎

‎Vacances. Tapuscrit signé.‎

‎17p. dactylographiées, 27 x 20,5, avec des corrections et des ajouts autographes, daté et signé 20 juillet 1946. Publié sous ce titre, Vacances, dans Les Œuvres Libres, Nouvelle Série no 58 (294), en janvier 1952. Cette nouvelle plonge le lecteur dans la même ambiance sourdement érotique que celle du roman publié deux ans plus tôt chez Gallimard: Par un été torride. La découverte pour le jeune Raymond de la féminité en la personne d’Henriette grimpée à l’échelle pour la cueillette des cerises… Devant le potager des Chassagne, elle ôta de son bras nu, rond et brun, son panier qu’elle tendit en souriant. — vous me le tiendrez. Une longue échelle rustique était dressée contre l’un des deux grands cerisiers qui faisaient au potager un fronton de feuillages. Henriette empoigna les montants et se mit à grimper. Raymond, ne sachant s’il devait la suivre ou demeurer à tenir l’échelle, attendait en la regardant machinalement. Il remarqua le gonflement charnu de ses bras dans la traction, puis le mouvement de sa taille, le renflement de sa croupe…‎

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‎Marggraff, Hermann, Schriftsteller (1809-1864)‎

‎Eigenh. Gedichtmanuskript (32 Zeilen) mit U.‎

‎o.J. Leipzig, 1861, 8°. 1 1/2 Seiten. Doppelblatt.‎

‎"Die rechte Buße. | Wenn je in dunklen Schauernächten | Ein Schwert durch deine Seele drang; | Wenn je mit unterird'schen Mächten | Dein Herz auf Tod und Leben rang | Wenn ruhend auf dem weichen Pfühle, | Du Ruh und Frieden doch nicht fand'st | Und in des Halbschlafs dumpfer Schwüle | Dich angstvoll und gepeinigt wandst [...] Dann müßtest Du der Adamssünde | Des alten Fluches ganzen Graus [...] Denn Schaffen ist die rechte Buße | Und Wirken ist die beste Reu! [...]" - Die letzte Strophe montiert. - Aus der Autographensammlung Friedrich von Reden mit deren Vermerk auf dem Respektblatt.‎

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‎Marghiloman, Alexandru, Politiker und Ministerpräsident (1854-1925).‎

‎Eigenh. Brief mit U. Villa Albatros, Buzeu, 23. II. 1925.‎

‎4 SS. auf Doppelblatt. 8vo. Mit eh. adr. Kuvert. In französischer Sprache an den Wiener Mediziner Josef Wiesel, Primar des Franz-Joseph-Spitals, über eine Erkrankung, die ihn am Donnerstag, nach seiner glücklichen Ankunft am Dienstag, mit plötzlicher Appetitlosigkeit, Empfindlichkeit am Bauch und Schmerzen zwischen Bauchspeicheldrüse und Rippen ereilte, sowie seine Therapie dagegen, nämlich eine Ernährungsumstellung, Warmhalten des Bauches und die Einnahme von Pantopon: "Bien arrivé Mardi, midi, voyage confortable [...] Jeudi, subitement, chute de l'appétit, tout le ventre sensible, la barre en travers du Pancréas sous les côtes douloureuse [...] J'ai du faire un écart de régime. Appliqué du chaud sur le ventre et pris du Pantopon [...]". - Außerdem über einen Brief der Frau des Direktors des Zoologischen Instituts in Hermanstadt, die an Gelbsucht gelitten und sich nach einer erfolglosen Operation in die Hände des ungarischen Mediziners Aladár Elfer aus Klausenburg begeben hat, der sie mit dem schweizer Medikament Felamin Sandoz behandelt hat, und die inzwischen vollständig geheilt ist; eine kuriose Meldung, die er dem Adressaten zur Auskunft weiterleiten wollte: "J'ai trouvée ici une lettre d'une Dame dont je connais la famille. C'est la femme du Directeur de l'Institut Zoologique de Hermanstadt. Elle a horriblement souffert de l'Icter [...]. En Juillet, après une opération infructueuse elle s'est remise aux mains du professeur Elfer Aladar de Klausenburg [...] qui l'a soignée par la Felamin Sandoz, produit suisse fabriqué à Bâle. Elle est aujourd'hui complètement guérie. Je vous envoce à titre de renseignement cette curieuse communication [...]". - Auf Briefpapier mit gepr. Ortsnamen. - Die Adresse fehlerhaft: "85. Piaristen Gasse" (statt Piaristengasse 56).‎

‎Margolius, Hans, Philosoph (1902-1984)‎

‎Eigenh. Albumblatt mit U.‎

‎o.J. Miami, Florida, ohne Jahr, Gr.-8°. 1 Seite. Briefkopf.‎

‎Vier Aphorismen. - "Erkenntnisse verändern die Tatsachen nicht, aber sie klären und erhellen sie. | Wer an das Gute im Menschen glaubt, den können trübe Erfahrungen nicht wankend machen. Glaube ist stärker als Erfahrung. [...]"‎

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‎Marguerite d'Escola‎

‎LES PLUMES D'OIE‎

‎Avec un envoi de l'auteur à Alfred Poizat en page de garde. Reliure demi cuir. vol in8, 180x120, 271 pages. Couvertures d'origines conservées, contrecollé un portrait de Alfred Poizat. Petites traces de mouillures anciennes sur qq pages, sans gravité. Complet. Illustrations de G.Dardillon Paris, Edition SPES 1928 Alfred Poizat, né le 9 juillet 1863 à Roussillon et mort le 27 novembre 1936 à Paris, est un homme de lettres français. ref/234‎

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‎Marguerite Savigny-Vesco‎

‎GABRIELLE DELZANT ET SES AMITIÉS.‎

‎AVEC UN ENVOI AUTOGRAPHE DE L'AUTEUR ! « A Madame Claude Aragon en souvenir du salon ami qui m'a donné la joie de la rencontrer Marguerite Savigny-Vesco Paris - 2 Février 1938 » Marguerite Savigny-Vesco - préface de S. Rocheblave Paris: ÉDITIONS ALSATIA, sans date, circa 1938 Une belle reliure en pleine toile.in8 (13,5 × 19 cm) Dos lisse orné d'une pièce de titre en cuir. Une reliure de bonne facture, décorative.358 pages, complet. avec 7 planches illustrées de photos en noir bel exemplaire. Une belle reliure propre et solide, de bel aspect. Intérieur légèrement bruni, sans gêne pour la lecture. En bon état TABLE DES MATIÈRES : Le souvenir de G. Delzant - Prémices - Annonciation d'amitié - Le roman de Marie - A quoi rênet les jeunes filles - Fleurs coupées - Sous l'égide de Minerve - Les lundis etc. ref/78‎

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‎Marguerite YOURCENAR‎

‎"L'époque est à la violence" Lettre autographe signée au peintre Elie Grekoff‎

‎23 janvier 1957 | 16.20 x 23.50 cm | 2 pages sur un feuillet - enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée de Marguerite Yourcenar datée du 23 janvier 1957, deux pages à l'encre noire sur un feuillet, enveloppe autographe jointe. Sur deux pages à l'écriture dense, Yourcenar confie ses déboires éditoriaux à son ami intime le peintre Elie Grekoff, et relate le geste blasphématoire de son éditeur, qui avait déchiré "en deux ou plutôt en quatre"l'exemplaire dédicacé de son recueil de poèmes Les Charités d'Alcippe (1956) et lui avait renvoyé par la poste. Elle s'entretient de projets communs avec Grekoff et le prie d'accepter les profits d'un ouvrage qu'il a illustré pour elle. Yourcenar écrit depuis les Etats-Unis, qu'elle rejoigniten 1939 avec sa compagne Grace Frick, alors professeur de littérature britannique à New York. Elles s'installèrent à partir de 1950 sur l'île des Mont Déserts, jouxtant le Canada, dans une maison baptiséePetite-plaisancequ'elle mentionne dans l'en-tête autographe de la lettre. Au beau milieu de la nature sauvage et deslacs cristallins, elle y écrira certains de ses écrits les plus célèbres, dont L'Oeuvre au noir. Des images fugaces de la vie recluse de l'écrivaine nous parviennent au fil des lignes: «Ici, travail abrutissant, favorisé par les grands froids, qui font qu'on ne sort qu'un bref moment, ou quand on y est obligé. Correction d'épreuves, correspondance en retard depuis des mois, traduction, et enfin le livre en train [...] les journaux arrivent très régulièrement, et si vite, dans le cas du Monde, que j'apprends par lui les nouvelles de New York avant d'avoir le temps d'aller au village acheter leNew York Times». Le passage le plus poignant de la lettre concerne ses aventures mouvementées avec son éditeur Curvers, au sujet de son recueil de poèmes à la verve néoclassique Les Charités d'Alcippe. Yourcenar fait part de l'acte impardonnable de ce dernier, exaspéré par le mécontentement de l'écrivainequi lui reprochait laparutionhâtive du recueil : "Toute la légalité (et le sens commun) sont de mon côté, mais cela n'a pas empêché l'irascible liégeois de me renvoyer un ex. des 'Charités d'Alcippe' déchiré en deux ou plutôt en quatre. L'époque est à la violence". «L'affaire du monsieur de Liège », terme employé dans la lettre, se soldera par un véritable litige par avocats interposés. L'intransigeante exigence de l'écrivaineet sa constante préoccupation pour les droits d'auteur, lui vaudra plusieurs affaires, et mêmedeux procès - avec le metteur en scène Jean Marchat,etson éditeur Plon. Le destinataire de la lettre Élie Grekoff (1914-1985), peintre, illustrateur, maître cartonnier, demeurera un proche confident de la femme de lettres pendant des décennies, et travailla avec elle sur plusieurs projets éditoriaux et théâtraux. Il réalisa notamment les décors de sa pièce aux accents sartriens,Electre ou la chute des masques, créée au théâtre des Mathurins. La lettre garde également la trace de deux de leurs collaborations artistiques : l'édition d'un classique latin et d'uncélèbre poème hindou, leGita-Govinda, tous deux commentés par Yourcenar et illustrés par Grekoff. Dans quelques magnifiques lignes pleines de bonté, Yourcenar le prie d'accepter les bénéfices probablement issus de la parution des Bagatelles d'Amour deLaevius (1956) : "merci Elie, et je vous en prie, considérez les trente huit mille qui restent comme vôtres, puisque nous n'en avons que faire en ce moment. Et quand je dis comme vôtres, je ne parle pas seulement comme vous le faisiez, du cas de force majeure, guerre, accident ou maladie, mais aussi en vue de rendre un peu plus commode la vie journalière - provisions de charbon, si l'on peut de nouveau en faire, ou achat de sympathiques conserves et repas au restaurant qui vous éviteront l'ennui de faire la cuisine quand vous préféreriez dessiner". Charmante et profuse lettre de la première femme élue à l'Académie Française, aux prises avec son éditeur, faisant part de son combatpour l'intégrité de son oeuvre à un proche confident. - Photogra‎

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‎MARGUERITTE (Paul).‎

‎Pour toi, Patrie ! Roman.‎

‎Paris, Librairie Plon, Plion-Nourrit, 1918. In68 (15 x 19 cm), 284 pp. Ex à grandes marges conservées. Reliure de l'époque en plein maroquin havane, triples filets dorés sur les plats avec fleurons aux angles, dos à nerfs orné de motifs dorés, dentelle intérieure et tête dore, couverture et dos conservés (reliure signée G. Desnaux).‎

‎Edition originale. Un des 3 exemplaires du tirage de tête numérotés sur papier impérial du Japon. Exemplaire n° 1, portant un envoi autographe signé de l'auteur à son épouse : " A toi ma bien aimée Yvonne, le souvenir des longs mois, des années de l'affreuse guerr, avec nos angoisses et notre espoir. Mai 1914. Photos sur demande.‎

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‎MARGUERITTE (Victor).‎

‎Lettre autographe signée adressée à Jules Claretie.‎

‎1 page in-12 à son adresse imprimée de la rue de Passy, "29 nov." [vers 1910]. A propos de sa pièce L'Imprévu (comédie créée à la Comédie Française le 19 février 1910). "J'ai, depuis votre lettre, retravaillé. Et, - sauf bien entendu le nécessaire travail des répétitions -, je crois la pièce maintenant au point".‎

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‎MARGUERITTE Victor (1866-1942), romancier et auteur dramatique français.‎

‎L.A.S., Mardi 25 (après 1920)‎

‎2 pages in-8, en-tête Clos de Madrague, Ste Maxime sur Mer, Var.‎

‎Belle lettre de mise au point à propos d'une revue. “Merci de m'avoir communiqué la lettre (idiote) de M. Falk et votre parfaitement judicieuse réponse. Si l'on en croyait ces messieurs ligueurs, il n'y aurait qu'à se coucher. Cette façon de n'utiliser la vérité que dans la mesure où les adversaires n'en peuvent eux-mêmes dans leur mauvaise foi tirer argument, est la négation même de tout effort. Je laisse ces Jésuites à leur opportunisme.” Il considère les renseignements pris sur deux de ces amis comme quelque chose d'inamical. “Libre à M. Dupin comme à vous de juger ces sources d'argent “suspectes” mais 1° si M. Dupin et vous même aviez commencé par verser à notre entreprise, et sans conditions aucunes comme ont fait mes amis B et C s'en remettant à moi de l'orientation de la Revue des sommes équivalentes, j'eusse compris vos scrupules de participants ; 2° cette hypothèse de participation spontanée et initiale admise, je pense que vous m'auriez fait l'honneur de vous ranger l'un et l'autre à mon point de vue, qui est aussi celui de Delpeuch et de Charpentier, - à savoir que, faite dans un esprit de rapprochement international, notre entreprise est parfaitement fondée à accepter, en dehors des abonnements, toutes sommes nominativement souscriptes par des particuliers, qu'ils soient français comme Baudran, Russes comme Chapiro et Mr Kounetzoff, Allemands comme M. Léon Deutch. Personnalités irréprochables et qui n'engagent en rien d'ailleurs la rédaction de la Revue, où chaque auteur conserve la responsabilité de sa signature. J'ajoute que toute donation étrangère qui nous viendra, comme les premières, de personnalités connues par leur désintéressement d'idées et leur foi dans le rapprochement supranational, seront - à défaut des français qui boudent, - les bienvenues.”‎

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‎MARGUERITTE, Paul:‎

‎Lettre manuscrite de Paul Margueritte. Allusion au critique littéraire (Ferdinand) Brunetière.‎

‎Paris, s.d., 22 cm x 17,5 cm, 32 lignes, écriture mal lisible, bon état.‎

‎Paul Margueritte (Algérie 1860- Paris 1918): Romancier français, d'abord disciple de Zola, avant sa rupture avec le naturalisme. (Ferdinand) Brunetière: directeur de la Revue des Deux Mondes.‎

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‎MARGUERITTE, Victor‎

‎La Patrie Humaine [ Livre dédicacé par l'auteur au prix Nobel de Médecine 1913 , Charles Richet ]‎

‎1 vol. in-12 br., Ernest Flammarion, Paris, 1931, 285 pp. Edition du service de presse marqué SP dédicacé par Victor Margueritte au Prix Nobel de médecine Charles Richet : "A Charles Richet, son admirateur et ami". Etat très satisfaisant (couv. lég. frottée) Français‎

‎MARHEFKA Joseph C. 1902 2003‎

‎Autograph Note Signed / Autograph Note‎

‎Well-known Lafayette University football star who played halfback on their 1921 national championship team -- the last living member of that team at his death; later a running back for the Pottsville Maroons and Philadelphia Quakers. ANS 1p 5�" X 7" Easton PA 1977 May 31. Addressed to Richard C. Laade. Near fine. In response to a plea also present from this researcher "attempting to locate a number of Lafayette alumni who have played in the N.F.L." Marhefka replies boldly in blue ballpoint in part: "In addition to making necessary corrections I have added three names of Laf. alumni who were quite prominent in pro football their names are Leonard Brunner '24 Bull Lowe '19 and John Scott '19." The researcher's 8�" X 11" query for assistance in locating Lafayette alumni is present on which Marhefka has inked the names he referred to. With original envelope addressed in Marhefka's hand and signed again. unknown‎

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‎MARI (Paul).‎

‎Illusoire.‎

‎Paris Seghers, coll. "Poésie 52" 1952 1 vol. broché plaquette in-12, agrafée, couverture à rabats en couleurs sur fond crème, 34 pp. Edition originale. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Dos et couverture légèrement jaunis, sinon bon état.‎

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‎MARIA (Roger).‎

‎Par ce double chemin.‎

‎P. J. Oswald, coll. "Cahiers de poésie contemporaine" 1956 1 vol. broché in-16, broché, 70 pp. Envoi de l'auteur à G.-E. Clancier. Très bon état.‎

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‎Maria Amalia, Herzogin von Wittgenstein.‎

‎Eigenh. Brief mit U. München, 9. II. o. J.‎

‎1½ SS. auf Doppelblatt. 8vo. Mit eh. adr. Kuvert. An die Generalin von Strakowitz in Wien. - In altem Sammlungsumschlag.‎

‎Maria Anna Christine Victoria von Bayern, "la Grande Dauphine" (1660-1690).‎

‎Eigenh. Brief mit U. ("M. Anna Christina"). Versailles, 2. X. 1680.‎

‎½ S. 8vo. An den Theatinerpater Antonio Spinelli, ihren ehemaligen Beichtvater, mit einem Bericht über ein schweres Fieberleiden ihres Gatten: "La lettera di V. P. mi hè stata carissima et mi rallegro di tutto il cuore di vedere che lei pensi ancora à me io per me sono in una grandissima afflitione per il M. le Dauphein à una grandissima Febre la guale li dura già 10 giorni io non parto un momento da lui ne giorne ne notte, io sio pigliato questo momento per scrivere in tanto chel dorme cossi prego V. P. di scusarmi se io finisco cossi presto [...]". Erst im März hatte Maria Anna den Dauphin von Frankreich geheiratet. - Spuren alter Faltung; verso zeitgenöss. dt. Adressierung und Ablagevermerk. Beiliegend alte Sammlungsumschläge (sowie Beschreibungsbogen für nicht vorhandenes Autograph, eine Pergamenturkunde von 1683).‎

‎Maria Anna von Savoyen, Kaiserin von Österreich (1803-1884).‎

‎Schriftstück mit eigenh. U. ("Kaiserinn Maria Anna"). Innsbruck, 1. VII. 1850.‎

‎¾ S. Folio. Mit rotem Lacksiegel. Quittung über 4166 Gulden und 40 Kreuzer CM: Diese "haben Wir allerhöchst anbefohlenen Maßen als Spenadelgeld von jährlich 50.000 fl Conv. Münze für den Monat July 1850 [...] empfangen [...]". - An den Rändern leicht angestaubt. - Als Gemahlin von Ferdinand I., dem "Gütigen", war Maria Anna von 1835 bis 1848 Kaiserin von Österreich. Sie wirkte entscheidend auf ihren Ehemann ein, dass er im Dezember 1848 abdankte, so dass der erst 18-jährige Franz Joseph den Kaiserthron besteigen konnte; anschließend zogen sich Ferdinand und Maria Anna nach Böhmen zurück.‎

‎Maria Anna von Österreich, Tocher von Maria Theresia (1738-1789).‎

‎Eigenh. Brief. [Klagenfurt, 11.10.1782].‎

‎2 SS. 8vo. Adresse mit Lacksiegel. In französischer Sprache an den von ihr heimlich geliebten Jugendfreund Franz Graf Dietrichstein, k. Oberstsilberkämmerer, den sie bei jeder möglichen Gelegenheit mit Briefen überfiel.‎

‎Maria Anna, Königin von Spanien (1634-1696).‎

‎Brief mit eigenh. U. "Yo la Reyna". Madrid, 25. II. 1669.‎

‎2 SS. auf Doppelblatt. Folio. An den Herzog von Osuna betreffs der Besoldung des Artilleriegenerals Marqués de S. Jorge. - Mit mehreren Gegenzeichnungen, Sichtvermerken und gestempeltem Briefkopf.‎

‎Maria Christina, Erzherzogin, Herzogin von Sachsen-Teschen (1742-1798).‎

‎Eigenh. Brief mit U. O. O. u. D.‎

‎1 S. auf Doppelblatt. 4to. "Vous serés bien etonée Mr. le Cte. de recevoir un billet de ma part mais vous etes trop bien connu avec ce qu'exige l'amitié et la reconnoissance pour ne pus m'excuser quand vous auvés lue la lettre de Sekendorf, et vue l'Etat ou il est - quand vous l'auvres lue je vous prie de me la renvoyer car elle n'est faites que pour votre conoissance a qui je la confié afin que vous sactiées l'Etat dans le quel se trouve Mr. de Sekendorf son zele vous est connue et je scais que vous lui rendes justice c'est a qui m'a encouragée du consentement du duc de vous envoyer cette lettre vous priant Monsieur le Maal d'etre convaincu de la parfaite estime et consideration distinguée avec la qu'elle je suis votre affectionnée Marie mp.". - Am Gegenblatt verso von alter Sammlerhand in Bleistift bezeichnet: "Archiduchese Marie Christine au Marechal Nostitz".‎

‎Maria Ferdinanda of Saxony, Grand Duchess of Tuscany (1796-1865).‎

‎Autograph letter signed ("Maria"). N. p. o. d.‎

‎Large 8vo. ½ p. on bifolium. With autograph address and seal. To the "Maggiordomo Maggiore di S. A. R. la Grandduchessa di Toscana" Francesco Boccella, asking him to indicate her address to his brother: "La prego di scrivere sull'indirizzo di questa lettera a Suo fratello, il nome della strada e il numero della casa dove abito, perché non me ne rammento più, e poi La prego di mandarla semplicemente alla posta. Profitto di quest'occasione per tottificarle [!] la mia più vera stima, Maria". - On mourning paper. With a small tear from breaking the seal (slightly touching text). - From the collection of Eduard Fischer von Röslerstamm (1848-1915).‎

‎Maria Josefa, Erzherzogin von Österreich (1867-1944).‎

‎14 eigenh. Briefe und (Bild-)Postkarten mit U. München, Freiburg i. B. u. a. O., 1936-1942.‎

‎Zusammen 28½ SS. Meist 8vo. Mit 6 eh. adr. Kuverts. Freundschaftliche Korrespondenz mit dem Grafen Dezasse: "Ich habe recht viel Trauriges erlebt, mein guter Graf Salm ist am 25. und die Baronin Irma [...] am 19. gestorben. Beide Fälle gehen mir sehr, sehr nahe. Wenn man alt ist, fühlt man sich danach sehr vereinsamt [...]" (Br. v. 6. IV. 1942). - Die Tochter des späteren Königs Georg von Sachsen und der Infantin Maria Anna von Portugal ehelichte 1886 Erzherzog Otto, den Neffen von Kaiser Franz Josef. Der unglückseligen Ehe mit dem meist außer Haus und in anderer Umarmung weilenden Gatten entsprangen zwei Söhne, Maximilian und Karl, der später zum letzten österreichischen Kaiser gekrönt werden sollte. Während des Ersten Weltkriegs war die Erzherzogin in ihrem im Palais Augarten eingerichteten Lazarett tätig; 1919 mußte sie mit der kaiserlichen Familie das Land verlassen. - Beiliegend ein Brief einer nicht identifizierten Verfasserin an Ilda Dezasse, geb. Baronin Lindheim.‎

‎Maria Josepha, Erzherzogin (1867-1944).‎

‎Eigenh. Brief mit U. ("Mama"). Wien, 15. XI. 1911.‎

‎7½ SS. auf 2 Doppelbll. 8vo. An ihren Sohn Karl, den späteren Kaiser von Österreich, und dessen Frau Zita, die als neuvermähltes Paar in Italien weilen, u. a. über einen nicht näher erläuterten Unfall in Zitas Familie: "Soeben komme ich aus der Favoritenstraße zurück, wo ich mich nach dem Befinden aller Patienten erkundigt. Gott sei dank geht es allen recht gut, nur habe ich leider niemanden gesehen, weil jeder Besuch streng verboten ist. Welches Glück, daß alles noch so gut abgegangen ist, es hätte schrecklich ausfallen können. Ich denke so viel an dich liebe Zitta [!], wie dankbar mußt du dem lieben Gott sein, daß er deine Mama und Cicca [d. i. Prinzessin Franzsiska von Parma, eine Schwester Zitas] so beschützt hat. In Brandeis habe ich viel herumgeräumt. Schön ist es nicht und kann es nie werden, weil die Wände zu entsetzlich grelle Farbe haben. Ich habe mein Möglichstes gethan um Euere Zimmer halbwegs gemüthlich zu gestalten. Ich habe Eure beiden Schreibtische in das große rote Zimmer gegeben, denkend, daß Euch das nicht unangenehm ist [...] Das Speiszimmer hat Deine Prager Einrichtung und der Salon daneben hat lichtgrüne Möbel mit Kirschholz. Mit Eurem Par à vents und Bildern und grünen Pflanzen habe ich geschaut ihn zu einem menschenwürdigen Aufenthalt herzurichten [...] Ich könnte Euch um Triest und Brioni beneiden. Wie schön muß es unten sein, nachdem es hier schon so angenehm ist. Maxi [d. i. Maximilian Eugen, Karls jüngerer Bruder] war einige Tage zu Bett mit Gliederschmerzen, es ist vom Wachsen gekommen und geht es ihm schon wieder gut. Er ist so groß geworden, daß er bald einen Frack tragen kann. Jetzt träumt er nur mehr von diesem Kleidungsstück. Dem Kaiser geht es schon wieder viel besser, er geht schon wieder bei offenem Fenster spazieren. Bei seinem Alter ist man immer ängstlich [...] Ich will abends ins Burgtheater in ein Stück von Tolstoi, es dürfte eher unerquicklich sein, aber doch interessant [...]". - Auf Briefpapier mit gepr. Monogramm.‎

‎Maria Josepha, Erzherzogin von Österreich (1867-1944).‎

‎Faksimilierte Dankeskarte mit eigenh. U. ("Erzh. Maria Josepha"). Geiselgasteig , 31. V. 1931.‎

‎1 S. Qu.-8vo. An einen Gratulanten zu ihrem 70. Geburtstag. - Mit kleinem Fleck am oberen Rand der Recto-Seite.‎