‎Vercors‎

‎Vercors (Jean Bruller, dit).‎

‎LES ARMES DE LA NUIT.‎

‎P., Les Editions de Minuit, 1947. In-12 br., 123p.‎

‎Papier lég. jauni.‎

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‎LA PICIRELLA Joseph‎

‎Témoignages sur le VERCORS. DROME - ISERE.‎

‎broché - 13,5x20,5 - 400 pp - 1971 - éditions RIVET, Lyon.Préface de Fernand RUDE.45 photographies et 13 croquis.‎

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‎paul DREYFUS‎

‎HISTOIRE DE LA RESISTANCE EN VERCORS‎

‎broché - 13X18.5 - 29+0 pp - 1980- éditions arthaud‎

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‎pierre FARAUD‎

‎NI TRAITRE,NI HEROSdu Vercors à Marseille via Montélimar,Avignon et Le Thor1943-1945chantiers de jeunesse, clandestinité, armée‎

‎broché - 21x15 - 174pp - autoédition - 1994‎

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‎[SARTRE Jean-Paul]‎

‎Sartre‎

‎0 20,6 x 25,3 Pas de couverture Edition originale‎

‎PHOTOGRAPHIE ORIGINALE de Muller. Tirage argentique d'époque sur papier glacé. Tampon et annotation d'imprimeur au dos pour la reproduction de cette image dans les Lettres Françaises. Trace de cadrage au crayon blanc. Petites fentes au bord. €€€€€€€€ Jean-Paul Sartre lors de la signature en 1953 du livre "L'Affaire Henri Martin" pour lequel il avait écrit le commentaire. Très bon exemplaire 0‎

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‎VERCORS‎

‎Le Songe précédé de Ce jour là‎

‎Paris Pierre Seghers "Collection PS" 1949 In-16 Broché, couverture à rabats‎

‎Pâle aureole. Très bon 0‎

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‎VERCORS‎

‎Les Divagations d'un français en Chine‎

‎Paris Albin Michel 1956 In-8 Broché, couverture illustrée Dédicacé par l'auteur‎

‎Edition originale. 70 dessins et 14 photo en couleurs hors texte de l'auteur. Exemplaire portant un ENVOI AUTOGRAPHE signé de Vercors. Inséré le prospectus "Les Animaux dénaturés de Vercors et la presse mondiale". Bon 0‎

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‎VERCORS‎

‎La Liberté de décembre - Sur ce rivage... ***‎

‎Paris Albin Michel 1959 Broché Dédicacé par l'auteur‎

‎Edition originale de ce récit, troisième tome de la série "Sur ce rivage...". Exemplaire du tirage courant portant un ENVOI AUTOGRAPHE signé de l'auteur. Bon 0‎

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‎Chroniques de Minuit. Premier Cahier, Avril 1945 -- Deuxième cahier, 1946. > 2 volumes‎

‎Paris Editions de Minuit 1945 In-8 Broché Edition originale‎

‎Edition originale de ces deux cahiers regroupant les textes suivants: Cahier I : Les hommes et l'homme de VERCORS - Faire vivre de Paul ELUARD - Lazare de Charles VILDRAC - Apprendre l'espérance de Pierre VACQUIN - Permanence d'une idée politique de THIMERAIS - Deux prophéties de Jacques RIVIERE et Henri HEINE - Nourriture de l'amour de Jean LESCURE - Vigile de John STEINBECK. --- Cahier 2: Jean PAULHAN, Yves LEVY, MACHIAVEL, Stephen SPENDER, Jean CAYROL, Roland de PURY, Howard SPRING. >>>Les 2 Volumes Très bon 0‎

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‎Chroniques De Minuit. Premier Cahier, Avril 1945‎

‎Paris Editions de Minuit 1945 In-8 Broché Edition originale‎

‎Edition originale de ce premier cahiers regroupant les textes suivants: Les hommes et l'homme de VERCORS - Faire vivre de Paul ELUARD - Lazare de Charles VILDRAC - Apprendre l'espérance de Pierre VACQUIN - Permanence d'une idée politique de THIMERAIS - Deux prophéties de Jacques RIVIERE et Henri HEINE - Nourriture de l'amour de Jean LESCURE - Vigile de John STEINBECK. Rousseurs éparses. Bon exemplaire 0‎

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‎VERCORS (Jean Bruller, dit).‎

‎Les Nouveaux jours. Esquisse d’une Europe. Briand-l’oublié (1942-1962) .‎

‎Plon, 1984, gr. in-8°, 460 pp, 16 pl. de photos hors texte, index, broché, couv. illustrée, bon état (Cent ans d'histoire de France, 3)‎

‎"La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors)‎

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‎VIAL (Pierre).‎

‎La Bataille du Vercors, 1943-1944.‎

‎France Loisirs, 1993, gr. in-8°, 303 pp, 16 pl. de photos hors texte, 2 cartes, sources, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état‎

‎Cet ouvrage retrace, de 1943 à 1944, la véritable histoire de la bataille du Vercors, reconstituée grâce à des témoignages et des documents inédits à ce jour. 21 juillet 1944. Alarmés par la présence, dans le massif du Vercors, d'une importante force française, les Allemands passent brusquement à l'attaque. Ils ont rassemblé d'importants moyens et feront même acheminer des SS par planeurs. A Valchevrière, le combat s'engage, d'une sauvagerie inouïe. Dépourvus d'armes lourdes, les Français font face. Chasseurs du 6 BCA, reconstitué dans la clandestinité, réfractaires au STO, maquisards dauphinois, résisteront, au coude à coude, jusqu'au bout. Leur sacrifice fera entrer le nom du Vercors dans l'Histoire. Un récit haletant, puisé aux meilleures sources par un historien rigoureux.‎

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‎STEPHEN (Lieutenant)(André Valot).‎

‎Vercors, premier maquis de France.‎

‎Grenoble, Association nationale des pionniers et combattants volontaires du Vercors, 1985, in-8°, 178 pp, 8 pl. de photos et une carte hors texte, broché, bon état. Réédition de la rarissime première édition parue à Buenos-Aires en 1946‎

‎"Sur le maquis du Vercors, quelques publications tranchent par leur franchise, leur richesse d'informations et leur souci d'exactitude : le beau recit d'André Valot (lieutenant Stephen) retrace l'aventure des premiers camps de réfractaires du plateau d'Ambel avec justesse, émotion, et sans « héroisme » inutile." (Gilles Vergnon, “La construction de la mémoire du maquis du Vercors”, 1996) — "Stéphen était André Stéphen Valot, ingénieur forestier, spécialiste des câbles, qui avait été affecté à Ambel en février 1943. C'était un résistant àrdent et convaincu." (Pierre Brunet)‎

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‎VERCORS (Jean Bruller, dit).‎

‎Les Occasions perdues ou l'étrange déclin. L'Après-Briand (1932-1942).‎

‎Plon, 1984, gr. in-8°, 266 pp, 16 pl. de photos hors texte, broché, bon état (Cent ans d'histoire de France, 2), envoi a.s.‎

‎"La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors)‎

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‎VERCORS (Jean Bruller, dit).‎

‎Cent ans d'histoire de France, 1862-1962. 1. L'apogée de la République (1862-1932), ou Moi, Aristide Briand. Essai d'autoportrait – 2. L'Après-Briand (1932-1942). Les Occasions perdues ou l'étrange déclin – 3. Briand-l'oublié (1942-1962). Les nouveaux jours. Esquisse d'une Europe.‎

‎Plon, 1981-1984, 3 vol. gr. in-8°, 332, 266 et 460 pp, 48 pl. de photos hors texte, biblio, brochés, couv. illustrées, bon état‎

‎Complet — "La trilogie “Cent ans d'Histoire de France” constitue la deuxième et dernière écriture autobiographique assumée de Vercors, après “La Bataille du silence” (1967). Vu le caractère tardif de cette édition, nous pourrions d'emblée penser au fait que Vercors, âgé, éprouve, comme nombre d'écrivains, le besoin de s'épancher sur son passé et de faire le bilan d'une vie. C'est sans doute une hypothèse fort plausible, mais elle n'est pas la seule. Ces mémoires ultimes se veulent en effet une double chronique, historique et biographique. De prime abord, cette trilogie a de quoi dérouter par son caractère insolite. Le premier tome de 1981 s'intitule en effet “Moi Aristide Briand. Essai d’autoportrait. Cent ans d’Histoire de France. L’apogée de la République (1862-1932)” ! Vercors entend faire un autoportrait de cet homme politique qu'il admire depuis les années 20 pour ses actions en faveur du pacifisme. Sa chronique débute donc en 1862, année de naissance de Briand, sous la forme originale d'une autobiographie de celui qui fut autant l'homme de Verdun que celui de Locarno. C'est fictivement Briand qui parle, pourvu du pronom personnel "je" revendiqué. Dans le préambule, Vercors explique avoir préféré cette utilisation du pronom personnel de première personne pour lever les ambiguïtés. Il faut au contraire percevoir toute la filiation personnelle et professionnelle de ces deux hommes dont les patronymes Briand/Bruller sonnent comme une similitude. Et c'est d'autant plus perceptible que la mort de cet homme en 1932, qui clôture ce premier volet, laisse la place dans le deuxième tome à Jean Bruller, alors au sommet de sa maturité personnelle et artistique, prêt bientôt à participer dans son milieu intellectuel à défendre le pacifisme dont il est animé. Dans les tomes 2 et 3, le lecteur assiste ainsi à l'engagement de ce dessinateur devenu l'écrivain Vercors sous l'Occupation, avec la création des Editions de Minuit clandestines et l'écriture du célèbre Silence de la mer. Dans cette chronique de cent ans, le dernier volet s'arrête en 1962, au moment où le combat de Vercors en faveur d'une Algérie indépendante trouvait sa conclusion dans les accords d'Evian. Ainsi, par rapport à “La Bataille du silence”, Vercors a couvert en plus des années de l'Occupation celles d'après-guerre, jusqu'au début des années 60. On remarque néanmoins que son récit autobiographique reste rivé aux années de guerre l'ayant si profondément marqué, et rejette dans l'ombre l'enfance, les années 20, et les années 60-80. Vercors se livre donc tout en restant mystérieux, car peu prolixe sur de larges pans de sa vie. Le lecteur curieux n'a pas d'autre choix que de lire sa production entière pour traquer les éléments biographiques manquants, en se heurtant cependant aux doutes et aux interrogations – on hésite toujours sur la part du réel et du fictionnel dans des récits qui de toute façon n'ont pas vocation au pacte de vérité de l'autobiographie." (Nathalie Gibert-Joly, site Jean Bruller-Vercors) — "Moi, Aristide Briand" n'est pas une biographie comme les autres. Briand n'ayant pas laissé de Mémoires, Vercors, en écrivain de grande classe expert à saisir de l'intérieur les hommes et les choses, s'est substitué à lui pour nous donner ici la plus vraie des autobiographies. Était-il manière moins infidèle de raconter une vie, de comprendre un destin, que de rendre ainsi la parole à celui qui demeure l'une des plus hautes figures de l'histoire contemporaine ? La rencontre est exceptionnelle et la réussite totale, car la sympathie ne masque jamais le regard critique. Et Aristide Briand, avec son éternelle cigarette entre les lèvres, est là tout entier, vivant dans son temps. Du jeune avocat de Saint-Nazaire, aux prises avec un « scandale » amoureux, au diplomate des accords de Locarno, deux grandes passions dominent cette vie et cette carrière politique bien remplie. La passion d'unifier et la passion de la paix. Avant la guerre, voici l'ami de Jaurès – avec lequel il rompra dans la tristesse – œuvrant pour l'union du socialisme français. Après la guerre, voici l'apôtre du désarmement, avec son horreur de la « guerre inhumaine », voulant redonner ses chances à l'Europe meurtrie. Le prix de ce grand livre est de montrer que ces passions, ces combats ont été portés par une même et longue fidélité. Un portrait aux mille facettes, où revit de la façon la plus vivante toute une époque.‎

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‎LA PICIRELLA (Joseph).‎

‎Mon Journal du Vercors.‎

‎Vaissieux-en-Vercors (Drôme), chez l'Auteur, 1974, in-12, 147 pp, nouvelle édition, 56 photos, broché, couv. illustrée, mque la page de titre, bon état‎

‎Témoignage de Joseph La Picirella. Né le 19 mai 1924 à Oullins (Rhône), dans une famille d'immigrés italiens, il est placé à 7 ans comme berger dans une exploitation dans l'Ain avant d'obtenir son CEP avec mention. En 1940, il part avec quatre camarades se réfugier en Ardèche. Il avait alors 16 ans. Après l'Armistice, il revient à Lyon et rejoint les compagnons de France. En 1942, il s'engage dans l'armée et est affecté à la 270e batterie du 405e régiment de DCA à Saint-Genis-Laval, près de Lyon. La zone libre, alors occupée, Joseph La Picirella est renvoyé dans ses foyers. Là commence son aventure dans la Résistance. Arrivé en train à Romans, il regagne à pied, sous la neige, Saint-Martin-en-Vercors où il est présenté au capitaine Geyer, alias Thivollet, qui l'affecte au camp Bourgeois. Le 23 juin 1944, il fait partie du commando qui allait libérer Lyon et le 10 juillet, il participe à l'embuscade du col de la Croix-Haute. Les 22 et 23 juillet, il assiste à l'agonie du village de Vassieux... C'est parce qu'il avait vécu la tragédie du Vercors, qu'inlassablement depuis 1958 Joseph La Picirella amassait des documents. Il publiait en 1961 "Mon journal du Vercors" et en 1969, il éditait "Témoignages du Vercors". En 1973, il se consacrait à la création d'un musée de la Résistance à Vassieux. Pour ce faire, il achetait une ancienne ferme... C'était le début d'une belle aventure. Le 10 juin 1973, l'inauguration attirait plus de 5.000 personnes ! Joseph La Picirella est décédé en 2010. (Le Dauphiné, 16 mai 2010)‎

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‎[Fédération Française de la Randonnée Pédestre]‎

‎La DROME à PIED, du VERCORS à la PROVENCE‎

‎Un ouvrage de 128 pages, format 135 x 210 mm, illustré + cartes, broché couverture couleurs, publié en 2000, FFRP, bon état‎

‎Topo-guide de 50 promenades et randonnées‎

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‎Paul DREYFUS‎

‎HISTOIRE de la RESISTANCE en VERCORS‎

‎Un ouvrage de 295 pages, format 130 x 185 mm, illustré d'une carte, broché couverture couleurs, publié en 1990, Editions Arthaud, bon état‎

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‎BRULLER Jean‎

‎LE MARIAGE DE MONSIEUR LAKONIK‎

‎Chez Paul HARTMANN, s.d. PARIS (circa 1931).‎

‎In-4 non paginé de (20) ff. : dos toilé vert, plats et gardes illustrés en couleurs , 38 chapitres (un par page). L'ouvrage s'ouvre sur un prologue ou les deux personnages principaux sont présentés : Monsieur Lakonik (sourd) et Mademoiselle Carpe (muette). En lisant le titre du 1er chapitre (" LAKONIK fait une première tentative pour se marier et il échoue "), on devine qu'a la fin de l'histoire les deux protagonistes vont se marier ; se marier après évidemment toutes sortes d'aventures comiques. On sait que sous le nom de Jean BRULER, l'auteur de ce livre pour enfants, se cache le futur auteur du grand SILENCE de LA MER, VERCORS. Et la lecture de ce Monsieur LAKONIC , où l'on trouve tout au long des pages l'expression d'un pacifisme anticolonial réel, ne doit pas faire oublier qu'au départ de ses créations pour enfants (LOULOU CHEZ LES NEGRES, PIF ET PAF CHEZ LES CANNIBALES), BRULLER s'était appuyé, sans les dénoncer , sur toutes sortes de clichés et de stéréotypes concernant l'Afrique et les Africains. Mais a peu à peu , il a évolué, (sous l'influence entre autre d'André MAUROIS, dont il illustra le fameux PAATAPOUFS et FILIFERS). Après ce Mr LAKONIK son évolution sur ce thème se terminera avec un dernier livre pour enfants : BABA DIENE ET MORCEAU DE SUCRE. Notre exemplaire , bien que présentant une tendance au jaunissement, aussi bien sur les plats qu'à l'intérieur des pages, se trouve dans un état très satisfaisant.‎

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‎[BOUMEESTER] GŒTZ Henri, VERCORS.‎

‎CHRISTINE BOUMEESTER.‎

‎Paris, Adrien Maeght imprimeur, 1968. In-8 à l'italienne (212 x 292 mm), broché, non paginé, nombreuses reproductions, jaquette illustrée.‎

‎Préface de VERCORS. Edition originale. Photographie du peintre par Hans Hartung en frontispice. [5398]‎

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‎[REVUE] Vercors, Paul Eluard, Charles Vildrac, Pierre Vacquin, Thimerais, Jacques Rivière, Henri Heine, Jean Lescure, John Steinbeck.‎

‎Chroniques de minuit, n° 1, Minuit, avril 1945. In-8, broché, 136 pages.‎

‎Papier brûlé. Exemplaire défraîchi. [10517]‎

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‎VERCORS.‎

‎Monsieur Prousthe. Un souvenir. Sur ce rivage...**.‎

‎Editions Albin Michel, (août) 1958. In-12, broché.‎

‎Mention de 3e mille. [13205]‎

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‎VERCORS‎

‎LA MARCHE A L’ETOILE‎

‎Editions de Minuit, Paris, 1945.‎

‎Un volume in 16°, peu épais, broché, couverture souple éditeur avec la partie verticale rempliée, 93 pages. Ouvrage présenté par léditeur comme “en tous points conforme à celui publié par les Editions de minuit sous l’opression” , lequel fut imprimé clandestinement le jour de Noël 1943 . Notre exemplaire porte lenuméro 1449 sur 3735. Il esrt la première édition publique de ce texte. En TRES BON ETAT.‎

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‎VERCORS‎

‎P.P.C. ou le concours de Blois.‎

‎1957 Paris, Albin Michel, 1957. In-12 broché, 365 pages plus achevé d'imprimer. Un des 35 exemplaires sur vélin du Marais (N° 12).‎

‎Bel exemplaire.‎

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‎Vercors (Jean Bruller)‎

‎PPC ou le concours de Blois‎

‎1957 Albin Michel 1957 In12 broché 365 pages‎

‎édition originale sur papier d édition apres 40 exemplaires sur grands papiersenvoi de l auteur‎

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