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‎ANGLADE (Joseph).‎

‎Les Troubadours de Toulouse.‎

‎Toulouse, Privat et P., Didier, 1928, in-12, 210 pp, 10 pl. planches hors texte, figures dans le texte, broché, papier jauni comme toujours, qqs rares marques au stylo en marges, bon état‎

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‎FLORI (Jean).‎

‎Chevaliers et chevalerie au Moyen Age.‎

‎GLM/Hachette, 2000, in-8°, 307 pp, notes, biblio, reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état (Coll. La vie quotidienne)‎

‎La chevalerie, c'est d'abord une image, celle des chevaliers du roi Arthur, ces nobles héros aux armures étincelantes, brandissant des bannières aux couleurs chatoyantes pour se jeter, la lance ou l'épée au poing, au secours de l'affligé, de la veuve et de l'orphelin. La réalité est plus complexe et l'évolution plus chaotique. Le mot "chevalier" est d'ailleurs ambigu, et plus encore la notion de "chevalerie". Son acception latine, la militia, désigne la force armée au service de l'État. Au Moyen Age, cette fonction publique s'est privatisée et ses caractères aristocratiques et militaires se sont accrus. C'est le renforcement de la cavalerie lourde qui lui donne son impulsion entre les IXe et XIe siècles. Mais il faut attendre le XIIe siècle pour que la chevalerie s'affirme, avec la généralisation de la charge à la lance couchée. Elle se donne alors un code déontologique, fondé sur l'honneur, qui va "humaniser" quelque peu les "lois de la guerre". Dans le même temps, l'Église tente de lui assigner une mission et une éthique conformes à sa cause. Ainsi, du XIe au XIIIe siècle, s'ébauchent les traits essentiels d'une chevalerie qui se mue peu à peu en confrérie d'élite de la noblesse.‎

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‎BARBIER (Pierre).‎

‎La France féodale. Tome 1 (seul paru) : Châteaux-forts et églises fortifiées. Introduction à l'étude de l'architecture militaire médiévale en France.‎

‎Saint-Brieuc, Les Presses Bretonnes, 1968, gr. in-8°, 508 pp, 159 photos, figures et plans, 2 cartes dépliantes hors texte, broché, bon état‎

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‎AUBERT (Marcel), Marcel POBÉ et Joseph GANTNER.‎

‎L'Art monumental roman en France.‎

‎Editions Braun et Cie, 1964, gr. in-4°, 84 pp, 84 pages de texte suivies de 271 photos de Jean Roubier hors texte reproduites en héliogravure, reliure toile écrue décorée de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état‎

‎Ce livre offre une présentation luxueuse. Les photos sont proprement admirables et révèlent des détails d'œuvres peu connues, même des spécialistes. Des textes de synthèse sérieux et documentés (une cinquantaine de pages) et un commentaire précis des illustrations.‎

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‎AUTRAND (Françoise).‎

‎Charles V.‎

‎Fayard/GLM, 2000, fort in-8°, 909 pp, 8 pl. d'illustrations hors texte, 7 cartes, 12 tableaux généalogiques, biblio, index, reliure souple illustrée de l'éditeur lég. abîmée, bon état‎

‎La guerre de Cent Ans, la Peste noire et les grandes compagnies, les révoltes et les défaites. Malgré tant de malheurs, l'espoir n'a pas manqué aux contemporains qui ont vu dans leur temps le beau XIVe siècle et encore moins à Charles V : dès le jour de son avènement, il affirmait sa volonté de "bouter les ennemis hors du royaume". Un roi sage, un règne réparateur. Arrivé au pouvoir à dix-huit ans, en pleine crise, ayant fait face à Etienne Marcel et aux états généraux, à la contestation dynastique et à la levée de boucliers contre l'Etat moderne, Charles V, devenu roi, sans quitter sa chambre ni son étude, dirigea la reconquête du royaume. La sagesse de l'homme fut la patience. La sagesse du roi, ce fut de porter le débat politique sur le terrain intellectuel, de penser l'Etat, de l'expliquer en clair et en français. La science politique moderne est sortie de là. Ce fut d'abandonner les méthodes brutales du gouvernement et de leur préférer la loi et la justice. Ce fut encore d'engager la royauté dans le chemin qui conduit à l'Etat de droit.‎

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‎BALARD (Michel), Jean-Philippe GENET, Michel ROUCHE.‎

‎Des Barbares à la Renaissance.‎

‎Hachette, 1973, gr. in-8°, 280 pp, 42 cartes sur 24 pl. hors texte in fine, index, broché, bon état‎

‎Ce livre présente de manière claire et précise dix siècles d'Histoire de Clovis à Christophe Colomb. Ouvert par les invasions barbares, le haut Moyen Age s'achève avec la désagrégation de l'empire carolingien. Le Moyen Age classique voit s'épanouir la féodalité dans l'Europe chrétienne. À la fin de la période naissent les États monarchiques européens et les premières formes du capitalisme. L'ouvrage montre les liens constants entre les institutions et les sociétés, largement influencés par les retournements de la conjoncture. La trame est constituée par l'étude du fait religieux et des mentalités. Il s'appuie sur un cahier de cartographie et un index.‎

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‎[Collectif] – Société des historiens médiévistes.‎

‎L'Histoire médiévale en France. Bilan et perspectives. Préface de Georges Duby. Textes réunis par Michel Balard.‎

‎Seuil, 1991, fort in-8°, 567 pp, index, reliiure pleine toile rouge éditeur, jaquette illustrée, gardes piquées, bon état (Coll. l'Univers historique)‎

‎La Société des historiens médiévistes fondée en 1969, a tenu, lors de son vingtième anniversaire, des assises destinées à faire le bilan des recherches et des travaux, des forces et des faiblesses, des innovations et des éventuelles retards, qui ont marqué l’histoire du Moyen Age en France depuis un quart de siècle. Les rapports, riches de toutes les références utiles, concernent tous les champs d’étude – de l’histoire des campagnes aux « sciences auxiliaires », de « l’espace français » au « monde turc ». Un index comprenant plus de 1300 auteurs cités offre au lecteur l’usage commode de ce livre qui est aussi un répertoire.‎

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‎BALARD (Michel)(textes réunis par).‎

‎Bibliographie de l'histoire médiévale en France (1965-1990).‎

‎Publications de la Sorbonne, 1992, gr. in-8°, ii-486 pp, index, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎"En 1989 se tenait à Paris un important congrès de la Société des Historiens médiévistes qui fêtait ses vingt ans d'existence. À cette occasion furent discutés vingt-et-un rapports (dus à septante-deux historiens) sur les « bilans et perspectives » de l'histoire médiévale en France. Ce volume fut publié, avec une préface de Georges Duby, en 1991 aux éditions du Seuil (572 pp, coll. «L'Univers historique»). En 1992, paraît, dans les publications de la Sorbonne, une bibliographie d'histoire médiévale 1965-1990, qui constitue en quelque sorte le volume justificatif et complémentaire du premier : près de 7000 références y sont réparties en vingt-et-une sections et suivies d'un index des noms d'auteurs. Devant une telle richesse documentaire, classée en rubriques thématiques, chronologiques et/ou géographiques, on ne peut qu'être reconnaissant à Michel Balard d'avoir assumé cette entreprise..." (Alain Dierkens, Revue belge de philologie et d'histoire, 1995)‎

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‎BABELON (Ernest) (publié par).‎

‎Les Derniers Carolingiens, d'après Richer et d'autres sources originales.‎

‎P., Librairie de la Société bibliographique, 1878, in-12, xi-388 pp, texte traduit et établi par Ernest Babelon, un frontispice, reliure demi-chagrin noir, dos à nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), bon état‎

‎Archiviste paléographe diplômé (1878), après avoir soutenu sa thèse sur « Les bourgeois du roi au Moyen-Age », Ernest Babelon publie, à 24 ans, son premier ouvrage, “Les derniers Carolingiens” d’après le moine Richer. Choisi pour intégrer le cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale, il se familiarise avec l’archéologie et la numismatique, apprend l’hébreu, le phénicien, l’assyrien à l’Institut des hautes études. Et pour approfondir ses connaissances, le Haut-Marnais participe à des fouilles à Carthage (Tunisie) en 1883. Conservateur du cabinet des médailles (1892), professeur au Collège de France, Ernest Babelon est élu le 7 décembre 1897 à l’Académie des inscriptions et belles lettres (Institut de France) en remplacement de Léon Gautier. Il est l’auteur de nombreux ouvrages de numismatique et d’histoire.‎

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‎BAILLY (Auguste).‎

‎Byzance.‎

‎Fayard, 1941, in-12, 442 pp, reliure demi-chagrin vert bouteille, dos à 5 nerfs, titres et fleurons dorés, tranches mouchetées, bon état‎

‎I. L'ascension : les origines de Byzance, l'âge d'or. Justinien et Théodora, l'Empire sous les successeurs de Justinien, la Dynastie isaurienne et l'iconoclasme. – II. L'apogée – La dynastie macédonienne (867-1081) – III. Byzance et l'Occident : l'Empire au mains de la féodalité militaire (les Comnènes, 1081-1185), la Course aux abîmes, les derniers sursauts, les Paléologues. — "Saviez-vous que la puissance de Byzance a été due pendant très longtemps à ce que ses guerriers étaient seuls à connaître le secret du « feu grégeois » ? Vous trouverez bien d'autres choses étonnantes dans ce livre magnifique." (Le Figaro, 4 mars 1939)‎

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‎BARBE (Dominique).‎

‎Irène de Byzance. La femme empereur.‎

‎Perrin, 1990, gr. in-8°, 398 pp, 5 cartes, 6 tableaux généalogiques, liste des Empereurs byzantins, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎Irène de Byzance (752-803) est une énigme : sanguinaire ou pieuse ? tyran ou sainte ? En tout cas, l' "empereur de Byzance" fut un personnage hors du commun. En 797, elle détrône son fils Constantin VI et lui fait crever les yeux, ce qui n'empêchera pas l'Eglise orientale de la reconnaître pour sainte. Pieuse et orthodoxe, sanguinaire et cruelle, canonisée par les uns, maudite par les autres, Irène est une souveraine qui ne fait pas l'unanimité chez les historiens. Son principal tort semble bien d'être une femme à une place que seul un homme peut occuper : le trône des Césars. Et pourtant, après s'être fait reconnaître "empereur" et non "impératrice", elle régna plus de vingt ans sur l'Empire byzantin qui, héritier de Rome, est alors à l'aube d'un second apogée. Rêvant de réunir les empires d'Orient et d'Occident, elle imagina même d'offrir sa main à Charlemagne. Dominique Barbe, avec une rare qualité d'écriture, tente de comprendre et d'expliquer les contradictions de ce personnage mystérieux, tout en analysant une époque où la créativité et le dynamisme de la société permettaient d'échapper au lourd modèle antique.‎

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‎BONNOT (Isabelle)(dir.).‎

‎Marseille et ses Rois de Naples. La diagonale angevine, 1265-1382.‎

‎Marseille, Archives minicipales et Aix-en-Provence, Edisud, 1988, in-4°, 181 pp, nombreuses illustrations en noir et en couleurs, chronologie, généalogie, broché, bon état‎

‎8 études érudites (dont une en italien et une en allemand) suivies de documents historiques : une remarquable reconstitution des liens privilégiés que Marseille a entretenus dès le XIIIe siècle avec le royaume de Naples : Les Comtes de Provence, devenus rois de Naples, sont en effet à l’origine de la première dynastie des Angevins de Naples, de Charles 1er à Jeanne 1ère.‎

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‎BENNASSAR (Bartolomé)(dir.).‎

‎Histoire des Espagnols. 1 : VIe-XVIIe siècle.‎

‎Armand Colin, 1985, pt in-4°, 560 pp, 32 pl. d'illustrations en couleurs hors texte, nombreuses illustrations en noir dans le texte, cartes, biblio, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état‎

‎Tome 1 seul (sur 2) : Les Espagnes médiévales, VIe-XVe siècle (Pierre Bonnassie, Pierre Guichard, Marie-Claude Gerbet) ; Les générations de l'apogée et du déclin, 1519-1700 (Bartolomé Bennassar). — Une Histoire des Espagnols et non une histoire de l'Espagne. Les auteurs ont accordé la primauté aux hommes et aux femmes qui furent les acteurs de cette longue traversée, en réduisant à l'indispensable la part des institutions, des analyses abstraites et des événements ponctuels. Ils racontent la naissance, la vie, l'éducation, les amours, le travail de ces Espagnols ; ils décrivent les divertissements, les croyances et les idéaux de ce peuple...‎

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‎BILLARD (Colonel A.).‎

‎Jehanne d'Arc et ses juges.‎

‎Picard, 1933, pt in-8°, 413 pp, préface de Louis Bertrand, 20 gravures et plans dans le texte et à pleine page, 13 planches et une carte dépliante hors texte, index, reliure pleine toile verte de l'éditeur, qqs très rares soulignures au crayon rouge, bon état‎

‎"L'auteur témoigne, dans ce volume, d'une admirable faculté de labeur. Pour découvrir le degré de responsabilité des juges de Rouen, il a systématiquement envisagé les multiples questions de doctrines et de discipline canonique aussi bien que les relations des personnages les plus en vue avec les conciles et la papauté. (...) II convient de signaler la reproduction de nombreux textes, des illustrations, un index des noms où il semble que Pierre Cauchon tienne le record de 88 citations." (J. de La Martinière, Revue d'histoire de l'Eglise de France, 1934)‎

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‎BLASSELLE (Bruno).‎

‎Chemins de rencontre : l'Europe avant la lettre.‎

‎Editions Hervas, 1992, in-4°, 180 pp, préface d'Emmanuel Le Roy Ladurie, nombreuses illustrations, la plupart en couleurs, biblio, reliure cartonnée illustrée de l'éditeur, bon état‎

‎Une histoire de l'Europe à travers ces voyageurs pacifiques que furent pèlerins, marchands, imprimeurs, savants ou diplomates du Moyen Age et de la Renaissance, incarnant les valeurs qui constituent le ciment de l'unité européenne : l'hospitalité, l'échange et la solidarité. L'illustration de l'ouvrage puise dans les collections de la Bibliothèque nationale de France.‎

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‎BOGLIONI (Pierre)(dir.).‎

‎La Culture populaire au Moyen Age. Etudes présentées au Quatrième colloque de l'Institut d'études médiévales de l'Université de Montréal, 2-3 avril 1977.‎

‎Montréal, L'Aurore, 1979, in-8°, 264 pp, 69 gravures, notes, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎"Onze études constituent la matière de ce recueil, remarquable non seulement par la qualité des articles, mais par le souci de l'éditeur , P. Boglioni, et de plusieurs des auteurs, de contribuer à une réflexion théorique sur la culture populaire médiévale." (J.-C. Schmitt, Annales ESC, 1979)‎

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‎BOINET (Amédée).‎

‎Les Richesses d'art de la ville de Paris. Les Edifices religieux : Moyen Age - Renaissance.‎

‎P., Librairie Renouard, H. Laurens, 1910, pt in-4°, vi-210 pp, 64 pl. de gravures hors texte, chronologie des églises de Paris, biblio, index, reliure pleine toile grise illustrée en noir et rouge de l'éditeur, pt accroc sans gravité à un mors, bon état (Coll. Richesses d'art de la Ville de Paris)‎

‎"Quand ta nouvelle collection des « Richesses d'art de la Ville de Paris » commença de paraître, on pouvait croire qu'il ne s'agirait que d'une sorte de nouvel inventaire commenté des richesses d'art. Mais l'ouvrage d'Amédée Boinet est une vraie étude historique et artistique, où la reconstitution du vieux Paris se base et se fortifie sur des recherches personnelles, un enseignement documentaire, mille indications précieuses par leur éloquence dans le récit. L'érudit doit à la méthode de l'École des Chartes sa façon de procéder, qui relève singulièrement ce que le plan de ce volume pourrait offrir de monotone. En décrivant par le menu les églises, depuis Saint-Germain-des-Prés, qui est de l'époque romane, jusqu'à Saint Eustache, qui est de la Renaissance, M. A. Boinet a fait de solides petites monographies artistiques et historiques, qui répondront à bien des points d'interrogation des visiteurs parisiens ; et la bibliographie et l'index qui les terminent sont une fort heureuse idée. L'illustration de l'ouvrage est d'ailleurs parfaite." (Revue critique d'histoire et de littérature, 1910) — "Les églises de Paris sont intéressantes par leur construction proprement dite, par les objets qu'elles renferment et par les souvenirs qu'elles évoquent. M. Boinet a su nous les montrer sous ces différents aspects. L'archéologue et l'historien trouveront à glaner dans cet ouvrage, mais surtout, et c'est là le but que se proposait l'auteur, nous pourrons tous visiter maintenant avec plus d'intérêt nos monuments parisiens. Combien de fois ne sommes-nous pas passés près de telle ou telle chapelle sans y prêter grande attention. (...) C'est justement un des mérites de l'auteur d'avoir su prendre dans les vieilles histoires de Paris et dans les guides et notices du XIXe siècle ce qui pouvait être intéressant et vrai (...) nous ne le suivrons pas dans le détail de chaque monument dont l'historique et la description sont traités d'une manière claire et précise..." (Marcel Aubert, Bibliothèque de l'école des chartes, 1910)‎

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‎FUSTEL de COULANGES (Numa Denis).‎

‎Histoire des Institutions politiques de l'ancienne France. Les Origines du système féodal : le Bénéfice et le Patronat pendant l'époque mérovingienne.‎

‎Hachette, s.d. (1926), in-8°, xv-432 pp, ouvrage revu et complété sur le manuscrit et d'après les notes de l'auteur par Camille Jullian, reliure demi-chagrin noir, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), bel exemplaire‎

‎Sur les origines du système féodal, Fustel de Coulanges introduit une distinction sur laquelle s’appuie toujours la science actuelle ; il faut selon lui distinguer : 1) l'histoire de la grande propriété foncière, du domaine rural, dont la physionomie, la structure remonte au Bas-Empire et qui demeure pratiquement inchangé du IVe au IXe siècle ; ce grand domaine possédé en propriété quiritaire par un grand propriétaire est divisé en deux parts, l’une exploitée directement, la réserve, l’autre distribuée en tenures à des esclaves, des affranchis ou de colons partiaires ; elle n’a pas subi dans sa nature de transformations suite aux invasions germaniques ; 2) l'histoire de la féodalité qui n'a rien à voir avec cette histoire de la propriété rurale : la féodalité se développa à la fin du VIIIe siècle et sortit de trois institutions : le bénéfice, le patronage, l’immunité : le précaire étant dès la fin de la république l’équivalent du bénéfice ; la clientèle personnelle était alors la forme que prenait la recommandation ; enfin, par l’immunité, qui se développe à partir du palais du roi, la royauté soustrait certains grands domaines à l’autorité de ses agents. Mais ces trois coutumes ont en commun un caractère : elles concernent non plus les terres mais les hommes, elles créent des liens réciproques de sujétion entre les hommes sur une même terre. (Claude Nicolet, La Fabrique d'une nation. La France entre Rome et les Germains, 2003)‎

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‎BOUDET (Jean-Patrice), Sylvain GOUGUENHEIM, Catherine VINCENT.‎

‎L'Europe occidentale chrétienne au XIIIe siècle. Etudes et documents commentés.‎

‎SEDES, 1995, in-12, 318 pp, cartes et figures, broché, bon état (Coll. Regards sur l'histoire)‎

‎L'Europe du XIIIe siècle fourmille de particularités, de contrastes, d'oppositions. Derrière l'apparente uniformité de la chrétienté et de sa culture scolastique et universitaire, se maintiennent ou s'accentuent des différences d'évolution politique, économique ou religieuse. Seul le contact direct avec les sources, tant narratives qu'iconographiques ou archéologiques, permet d'entrevoir ce que fut l'histoire des hommes de ce "beau XIIIe siècle". Aussi a-t-on rassemblé ici des documents de nature variée (textes diplomatiques ou littéraires, tableaux, plans de villes ou de villages). Les auteurs de ce volume ont voulu présenter aux étudiants un guide pour l'épreuve de commentaire de documents, souvent redoutée. Il s'agissait également de faciliter l'approche de secteurs mal connus tels que l'histoire de l'Allemagne ou la vie culturelle, ou renouvelés par la recherche historique récente comme l'essor du mouvement franciscain ou les diversités d'évolution du monde rural. Volontairement réduit pour permettre de présenter des commentaires étoffés, le nombre des dossiers n'empêche cependant pas d'ouvrir largement l'éventail des exemples, de Lübeck à Assise, des ambitions théocratiques de la Papauté aux subtilités du Roman de la Rose.‎

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‎BORDONOVE (Georges).‎

‎Philippe Auguste, le conquérant.‎

‎Pygmalion, 1983, gr. in-8°, 317 pp, 8 pl. de gravures hors texte, un plan, notices biographiques, biblio, reliure simili-cuir bleu de l'éditeur, demi-jaquette illustrée, rhodoïd, bon état (Les Rois qui ont fait la France : Les Capétiens, 1). Edition originale reliée et numérotée, tirée à part‎

‎Vrai fondateur de sa dynastie, il est le premier roi de France digne de ce nom. Son extraordinaire personnalité émergeant du puzzle féodal domine une époque de mutations profondes. Parti de rien, il parvint à disloquer le puissant empire des Plantagenêts, à triompher de la coalition européenne à Bouvines et à transformer sa petite principauté d'Île-de-France en royaume de France ! Il créa de toutes pièces une vaste monarchie féodale, une administration, une armée. Politique et guerrier au milieu de paladins tels que Richard Cour de Lion, chevalier et homme d'État passionné par le pouvoir, ambitieux, rigoureux sans cruauté, diplomate subtil, novateur mais pondéré, sa gloire et sa grandeur sont les fruits de son mérite.‎

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‎BORDONOVE (Georges).‎

‎La Tragédie cathare.‎

‎Pygmalion, 1991, gr. in-8°, 459 pp, notices biographiques, biblio, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎La croisade contre les Albigeois au XIIIe siècle a profondément modifié le cours de notre histoire. De son issue découle le rattachement du Languedoc à la France. C'est dire l'importance extrême de cette guerre "sainte" prêchée pour la première fois par l'Eglise de Rome à l'encontre d'un peuple chrétien ! Menée à l'origine pour extirper du Midi de la France l'hérésie cathare, elle dégénérera vite en guerre dévastatrice de conquête, opposant inexorablement défenseurs de la civilisation occitane et assaillants venus du Nord, c'est-à-dire les "Français". Dans le tumulte des combats, l'atmosphère fiévreuse des chevauchées, des massacres, des incendies où culmine la tragique vision de l'holocauste de Montségur, s'affronteront donc pendant un demi-siècle croisés, inquisiteurs, légats du pape et peuple occitan sporadiquement rassemblé sous l'étendard des comtes de Toulouse. C'est l'histoire de ce long et terrible conflit jalonné de bûchers, d'actes d'héroïsme, de dévouements insignes, de duplicité, d'odieux excès, que raconte avec force et sagacité Georges Bordonove.‎

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‎BON (Antoine).‎

‎Byzance.‎

‎Nagel, 1972, gr. in-8°, 215 pp, 141 illustrations hors texte dont 90 en couleurs, 2 cartes sur les gardes, biblio, index, reliure éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Archaeologia Mundi)‎

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‎BOUCHON (Geneviève).‎

‎Vasco de Gama.‎

‎Fayard, 1997, in-8°, 409 pp, 12 pl. de gravures en couleurs hors texte, 8 cartes, chronologie, biblio, glossaire, index, reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état‎

‎Les hommes de mer sont hommes de mystère. Vasco de Gama n'échappe pas à la règle, lui qui, il y a tout juste cinq siècles, ouvrit les portes de l'Asie et traça le premier chemin reliant les peuples d'Afrique, d'Europe, d'Asie et d'Amérique. Il dessinait ainsi l'image de la terre où se construisait une ère nouvelle qui fut, comme la nôtre, celle de la conquête de l'espace et de la communication. Vasco de Gama grandit parmi les chevaliers et les corsaires dont il partage les passions, les rancunes et les espérances. Sur les navires du roi, il s'entraîne aux techniques de navigation qui donnent au Portugal la maîtrise de l'Atlantique, avant de traverser l'océan indien où il découvre un monde maritime prospère, un espace immense marqué par la puissance croissante de l'Islam. Sa personnalité a été occultée par une gloire posthume farouchement exaltée par ses descendants. Celle-ci a culminé à la fin du XVIe siècle avec la publication de la célèbre épopée des Lusiades où le poète Camoens en fait un héros mythique, digne de l'Odyssée ou de l'Enéide, bien différent de l'homme dont on peut retracer le portrait à travers les témoignages de son temps : un capitaine impitoyable, un caractère forgé dans la violence des éléments. — "Vasco de Gama est de retour ! Directrice de recherche honoraire au CNRS, solide spécialiste de l'histoire des Découvertes en Orient et de la présence portugaise en Asie méridionale, Geneviève Bouchon possède un remarquable talent de biographe et de narratrice. Écrit d'une plume remarquablement élégante et allègre, mais toujours sûre, qui sait parfaitement mettre à profit les larges connaissances accumulées sans cacher ce que l'on ignore toujours, qui ordonne le tout de façon claire et subtile, et qui parvient à maintenir d'un bout à l'autre le même plaisir soutenu de la lecture, sous la forme d'une aventure personnelle qui se lit, c'est bien le cas de le dire, « comme un roman » . Il y a, on le savait et cela se confirme, du Georges Duby chez Geneviève Bouchon. Certes, l'ouvrage obéit à la loi du genre, qui veut que l'attention portée au personnage central oblige à ne consacrer à son environnement politique, économique, social et culturel que la fonction de paysage d'arrière-plan, comme dans les tableaux des peintres de la Renaissance de la même époque. Cet arrière-plan n'en est pas moins très finement esquissé, et une bibliographie consistante permettra aux curieux d'aller au-delà." (F. Guichard, Lusotopie, 1998)‎

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‎BOSSUAT (André).‎

‎Le Bailliage royal de Montferrand (1425-1556).‎

‎PUF, 1957, gr. in-8°, 205 pp, 8 pl. d'illustrations hors texte, sources et biblio, index, broché, couv. lég. salie, non coupé, bon état (Saffroy II, 17284)‎

‎Les rivalités urbaines médiévales. — "En 1425, le roi de France établit un bailli à Montferrand, petite ville royale en enclave au milieu de l'Auvergne, afin de surveiller cette province qu'il venait d'abandonner en apanage au duc de Bourbon. Le souverain conservait en effet des droits sur l'apanage, ressort, cas royaux, garde des « exempts », c'est-à-dire des établissements religieux rattachés à la couronne : au bailli la charge, de veiller sur ces prérogatives, de les défendre, à l'occasion de les étendre ; il était bien dans un « poste de combat ». Mais la fonction était liée à l'existence de l'apanage ; le bailliage de Montferrand ne survécut pas au retour de l'Auvergne dans le domaine royal ; il fut définitivement supprimé en 1556. En étudiant l'institution, M. A. Bossuat a montré comment elle s'intégra dans la vie d'une petite ville : c'est l'intérêt majeur de son livre. Etablis par hasard dans cette bourgade, les gens du roi, pour la plupart étrangers à la ville, s'opposèrent d'abord à la haute bourgeoisie locale, à la vingtaine de gros marchands de bestiaux qui tenaient le consulat. Les hommes de loi restèrent eux aussi longtemps à l'écart ; ils avaient leur confrérie de saint Yves, groupe fermé, avec ses fêtes particulières où l'on se retrouvait entre collègues. Mais à la longue, les barrières qui séparaient les deux éléments de l'aristocratie montferrandaise finirent par tomber ; dans le troisième tiers du XVe siècle, le bailliage était incorporé à la ville ; ses chefs de service entraient au consulat. Désormais, les bourgeois furent les plus sûrs défenseurs de l'institution royale et luttèrent avec acharnement pour qu'elle ne fût pas supprimée ou transférée ailleurs. Pour une bourgade à la fonction économique très médiocre, la présence de ce petit groupe d'administrateurs et de juristes aux beaux revenus était en effet de très grand profit ; de. même que l'afflux des plaideurs, qu'il fallait loger et nourrir et que l'on pouvait exploiter. Ceci joint à l'orgueil de clocher, au souci de ne pas se laisser éclipser par les bourgeades voisines, Clermont, Riom ou Cusset, explique l'ardeur des rivalités, les étonnantes violences déployées pour étendre le ressort du bailliage, arracher au roi ou au Parlement de Paris la suspension de telle décision privant la ville de son privilège. Jeu d'influences, petite guerre où l'autorité royale est bafouée – ouvertement lorsqu'on jette de la boue sur les fleurs de lys – d'une manière occulte et plus efficace en achetant tel appui à la cour, en exerçant telle pression. En fait, ces intrigues montrent clairement combien le roi, au XVe, au XVIe siècle, est peu maître de son administration. Le siège de la justice n'est point choisi par souci du bien commun ou d'une meilleure gestion, mais en fonction de petits intérêts particuliers, ceux des officiers maîtres de leur charge et qui répugnent à quitter le bel hôtel qu'ils ont fait construire, ceux des villes pour qui la fonction administrative représente gloire et profit. L'étude très fouillée de M. Bossuat, bien illustrée par de nombreux textes et de belles images, va beaucoup plus loin que son titre ne l'annonce : elle éclaire dans le détail tout un secteur, et non des moindres, de la vie provinciale." (Georges Duby, Annales ESC, 1960)‎

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‎BOUTARIC (Edgard).‎

‎La France sous Philippe le Bel. Etude sur les institutions politiques et administratives du Moyen Age.‎

‎Plon, 1861, in-8°, viii-468 pp, reliure pleine percaline sable, dos lisse avec pièce de titre basane havane, fleuron à froid, date et double filet doré en queue (rel. de l'époque), bon état‎

‎"La France sous Philippe le Bel est divisée en quatorze livres, dans lesquels M. Boutaric étudie successivement la royauté, son caractère et ses progrès ; – les États généraux ; la féodalité et la lutte qui s'engage entre elle et Philippe le Bel ; le clergé français ; les rapports du roi avec le Saint-Siège, les affaires avec Boniface VIII, avec Clément V, et le procès des Templiers ; le tiers état ; l'administration en général ; l'organisation judiciaire ; l'administration financière ; les recettes et dépenses ; l'industrie et le commerce ; l'organisation militaire ; la politique étrangère ; le caractère et les résultats du règne de Philippe le Bel. Ce vaste sujet, ces questions graves et difficiles ont été traitées par M. Boutaric avec une abondance,une sagacité, une méthode qui assurent à son livre une place très-distinguée parmi les publications historiques de ce temps-ci. L'auteur, sobre de phrases et de déductions hasardées, a fait l'usage le plus utile et le plus heureux des documents contemporains et particulièrement de ceux qui sont conservés aux Archives de l'empire. (...) L'ouvrage de M. Boutaric est, je me plais à le répéter, un livre excellent. Il nous fait connaître un homme qui a agi très-fortement sur les destinées de notre pays ; il nous révèle le jeu des institutions de la France, au moment où elle se forme et s'organise sérieusement. Le caractère énigmatique de Philippe le Bel, en tant qu'il peut expliquer sa conduite et les événements sur lesquels il a agi, est un point curieux que M. Boutaric a singulièrement élucidé. Les assertions de Guillaume l'Écossais et de Villani, qui en font un personnage doux, confiant, faible, et presque un saint, sont démenties par les faits. Philippe le Bel est un esprit actif, plein d'initiative, volontaire, ferme, persévérant, tenace, froid, et ne reçulant devant rien pour arriver à ses fins..." (Félix Bourquelot, Bibliothèque de l'école des chartes, 1863)‎

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Livre Rare Book

Pages d'Histoire - Librairie Clio
Paris France Francia França France
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‎BRÉHIER (Louis).‎

‎Le Monde byzantin. II. Les institutions de l'empire byzantin.‎

‎Albin Michel, 1949, in-8°, xviii-631 pp, index, broché, bon état (Coll. L'Evolution de l'Humanité)‎

‎Ce volume s'attache à l'étude de la société, en analyse les structures et les fonctions : Louis Bréhier parle de « I'expérience sociologique que représente l'histoire de Byzance ». Expérience qui aurait pu se poursuivre bien plus longtemps si les principes politiques qui firent sa grandeur n'avaient pas été abandonnés au XIe siècle. Le progrès de l'absolutisme basé sur la puissance de l'armée avait déjà conduit Rome à la catastrophe. La nouveauté, par rapport à Rome, c'est que Byzance avait une mission spirituelle : la conversion de Constantin lui enjoignait « de soumettre tous les peuples et de faire régner le christianisme sur toute la terre ». Autour du souverain, il y a I'Administration, le Palais, dont les préoccupations essentielles semblent avoir été l'étiquette, la pompe des cérémonies, les titres et le luxe des costumes... Le lecteur sera étonné et émerveillé par les pages si documentées que Louis Bréhier consacre à ces « questions importantes ». Des chapitres sont consacrés aux grands Services de l'État, dont le mécanisme est soigneusement examiné : la justice, les finances, la diplomatie, la poste impériale, l'armée et la défense de l'Empire, la marine impériale. En mille ans les modes dadministration, les moeurs politiques ont bien souvent changé – mais pas toujours, hélas, dans le bon sens... La dernière partie de l'ouvrage analyse le statut et le rôle de l'Église. À Byzance comme pour tout État médiéval – chrétien ou musulman , les institutions civiles et religieuses sont liées intimement. II y eut enfin, dans les derniers siècles, le grand développement monastique que l'on sait et qui ne fut pas la moindre cause de l'effondrement final. — "Lorsque, à la fin de sa vie, Louis Bréhier (1868-1951) fit entrer Byzance dans la prestigieuse collection de “L'Évolution de l'Humanité” en publiant “Le Monde byzantin” en trois volumes, “Vie et mort de Byzance”, “Les Institutions du monde byzantin”, “La Civilisation byzantine”, il achevait par une ample synthèse une œuvre d'historien que l'on découvre encore avec admiration." (Gilbert Dagron, 1991)‎

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‎BOUTRUCHE (Robert).‎

‎Seigneurie et féodalité. 1. Le premier âge des liens d'homme à homme.‎

‎Aubier, 1968, pt in-8°, 478 pp, 2e édition, revue et augmentée, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Historique)‎

‎"Le livre de M. Boutruche est un exposé très complet et très précis des connaissances acquises sur les origines de la société médiévale après un demi-siècle d'études historiques et les études critiques publiées par les savants du monde entier. Il n'est que de jeter un coup d'oeil sur la bibliographie – 466 ouvrages et articles recensés – pour apprécier l'ampleur de l'information mise en œuvre. Il s'agit d'une fresque à grands traits de la civilisation qui a précédé l'âge féodal classique ; elle s'ordonne en une mise au point très étudiée, vaste synthèse où sont mis en valeur les points essentiels. C'est une heureuse fortune de trouver ainsi condensé et rassemblé de main de maître le résultat des efforts de générations de chercheurs. (...) L'un de ses principaux mérites de l'ouvrage est qu'il éveille les curiosités et que, par delà la somme des connaissances exposées, il signale les points obscurs, ceux sur lesquels la recherche n'a pas encore été poussée de façon exhaustive. C'est avant tout un état des connaissances actuelles sur la civilisation du haut moyen âge, et ce n'est pas là la moindre utilité de ce brillant exposé, des patientes recherches et du talent d'écrivain de l'auteur." (Jacques Boussard, Journal des savants, 1960)‎

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‎BOUTIÉ (Louis).‎

‎Paris au temps de saint Louis, d'après les documents contemporains et les travaux les plus récents.‎

‎Perrin, 1911, in-8°, v-408 pp, 8 gravures hors texte, reliure demi-basane verte, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), dos uniformément passé, bon état‎

‎"Le souci de venir en aide aux infortunés était fort répandu au moyen âge, en dépit de la barbarie des moeurs, et partout s'élevaient des hôpitaux, des asiles... L'ouvrage de M. Louis Boutié nous fournit de curieux renseignements à ce sujet. Il est bon de dire que l'exemple fourni par le roi et par la reine-mère était un excellent encouragement à faire le bien, car le fils de Blanche de Castille ne négligeait aucune occasion de pratiquer les devoirs de le charité. On sait que ce monarque « avait une tendreur merveilleuse pour les mésaisés », et que partout où il se trouvait, et tous les jours, cent vingt-deux pauvres recevaient chacun deux pains de la valeur d'un denier parisis, un quart de vin, de la viande ou du poisson pour un bon repas, et un denier parisis (environ cinquante centimes d'à présent). Trois de ces pauvres, se mettaient à table dans la même salle que le roi, et tout proche de ce dernier, qui leur envoyait ce qu'on lui servait de meilleur. Après quoi, quand ils étaient enfin congédiés, ils recevaient en sortant quarante deniers parisis. Il existe une lettre datée de 1260, par laquelle saint Louis ordonne que les aumônes faites chaque année, au temps de carême, par la pieuse libéralité de ses prédécesseurs, c'est-à-dire deux mille livres parisis (à peu près un demi-million d'aujourd'hui), 63 boisseaux de blé, 68,000 poissons, etc., seront continuées par lui, et par les autres rois de France, ses successeurs..." (Jean Frollo, Le Petit Parisien, 1er nov. 1910)‎

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‎Collectif – Cahiers de Fanjeaux. 2.‎

‎Vaudois languedociens et Pauvres catholiques.‎

‎Toulouse, Privat, 1967, gr. in-12, 307 pp, 2 cartes (dont une dépliante), 7 planches hors texte, biblio, index, broché, couv. à rabats, bon état (Cahiers de Fanjeaux, 2)‎

‎Par C.-M. Higounet, M. Mollat, E. Delaruelle, J. Gonnet, K.-V. Selge, M.-H. Vicaire, G.-M. de Llobet, Y. Dossat. — "Treize contributions de huit auteurs dessinent, pour le grand public cultivé, le visage de la valdésie médiévale." (Archives des sciences sociales des religions, 1968) — "Les conférences de la deuxième session d'histoire religieuse du Midi de la France aux XIIe et XIIIe siècles, qui a tenu ses assises à Fanjeaux du 26 au 30 juillet 1966, sont publiées dans ce deuxième cahier de Fanjeaux. Le thème choisi a été traité par un éventail de conférenciers tel que le lecteur qui attendait une confrontation de points de vue, n'est pas déçu. Ceux-ci s'affrontent, se corroborent ou s'opposent selon, qu'il s'agit d'auteurs catholiques – voire dominicains – ou de protestants comme K. V. Selge. Le plan du recueil est simple : une première partie situe le « milieu général », la seconde traite de Vaudès et des Vaudois, la troisième concerne les Pauvres catholiques de Durand de Osca. En conclusion, conférence de Y. Dossat sur Jean Guiraud, dont on célébrait le centenaire. Du « milieu social et économique languedocien vers 1200 » présenté par le Pr. Higounet, la conclusion est à retenir. Elle éclaire le climat où évoluent en Languedoc ces « hérétiques ? ». (...) Ces contributions, d'un intérêt certain, une carte et un index font de cet ouvrage un utile instrument pour tous ceux que préoccupent les hétérodoxies médiévales, en leur fournissant l'occasion de prendre conscience des incertitudes qui subsistent et des problèmes posés." (M. R. Mayeux, Revue d'histoire de l'Eglise de France, 1968)‎

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‎Collectif – Cahiers de Fanjeaux. 31.‎

‎Livres et bibliothèques (XIIIe-XVe siècle).‎

‎Toulouse, Privat, 1996, gr. in-12, 565 pp, 43 planches hors texte (dont 4 en couleurs), index, broché, jaquette illustrée, bon état (Cahiers de Fanjeaux. 31)‎

‎On a coutume d'opposer la richesse des bibliothèques de la France du Nord à la pauvreté des bibliothèques méridionales. Il est vrai que le Languedoc n'a pas compté de bibliothèques royales ou princières, mais il a abrité un temps sur ses marches la bibliothèque pontificale, dont des épaves furent longtemps conservées à Toulouse. Les livres étaient plutôt gardés dans les bibliothèques monastiques et canoniales, et il subsiste encore quelques fonds non négligeables, mais peu étudiés. A côté des grandes bibliothèques ecclésiastiques existaient aussi des collections plus modestes, celles des universitaires, des simples prêtres, des notaires et hommes de loi, des consulats, voire même des hérétiques, les livres d'usage. Quels étaient ces livres, que sait-on d'eux, quelle était la place des livres enluminés dans ces collections, quand et comment ces bibliothèques ont-elles disparu..., toutes ces questions et quelques autres ont été abordées au cours du XXXIe colloque de Fanjeaux. — Par Marie-Humbert Vicaire, Jean-Loup Lemaître, Jacques Verger, Marie-Henriette Jullien de Pommerol, Matthieu Desachy, Noël Coulet...‎

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‎BRIDGEFORD (Andrew).‎

‎1066. The Hidden History of the Bayeux Tapestry.‎

‎London, Fourth Estate, 2004, gr. in-8°, xiv-354 pp, une carte, 4 tableaux généalogiques, notes, biblio, index, reliure percale éditeur, jaquette illustrée, bon état. Texte en anglais‎

‎Voici neuf cents ans que la tapisserie de Bayeux, ouvrage riche en détails exquis, en réjouissante verdeur, en noble tragédie, immortalise la gloire de la conquête de l'Angleterre par les Normands en 1066. Les épisodes célèbres de la bataille de Hastings, de la mort du roi Harold et de la domination de Guillaume, duc de Normandie, sont tissés à tout jamais dans cette tapisserie – et dans l'histoire de l'Angleterre. Mais, demande l'historien Andrew Bridgeford, faut-il se fier aux apparences ? Dans cette révision, qui fera date, d'un chapitre crucial de l'histoire anglaise, il nous montre comment, au nez et à la barbe des Normands, le point de vue des vaincus anglo-saxons fut ingénieusement glissé, sous une forme codée, entre les fils de l'ouvrage. Un comte français, personnage énigmatique, se trouve au centre de ce récit passionnant, peuplé d'évêques guerriers ambitieux, de chevaliers impitoyables et de femmes puissantes, où se côtoient l'apparat, le courage et la tromperie et où rien n'est jamais aussi simple qu'on pourrait le croire de prime abord. Sous le ciel de lin gris, l'immense armada arrive à présent à portée de vue des rivages du Sussex. De quelle terreur elle dut emplir les cœurs de ceux qui la virent approcher : d'abord quelques vagues points éparpillés à l'horizon, puis d'autres points et d'autres encore jusqu'à ce qu'on pût les compter par centaines et les voir prendre peu à peu la forme de navires de guerre, vision terrifiante qui ne cessait de se rapprocher, le métal des épées et des boucliers lançant des éclairs, ici et là, sous la lumière oblique du matin. A l'intérieur des navires, l'armée ne songeait qu'à cette mission que les Anglais redoutaient depuis si longtemps et ils arrivaient trois semaines seulement après que Harold eut ordonné à ses propres hommes de rentrer chez eux.‎

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‎BOISSONNADE (Prosper).‎

‎Du nouveau sur la Chanson de Roland. La genèse historique, le cadre géographique, le milieu, les personnages, la date et l'auteur du poème.‎

‎P., Honoré Champion, 1923, gr. in-8°, vi-520 pp, biblio, broché, bon état‎

‎"Du nouveau, oui, et du meilleur cru, sur la genèse historique de la Chanson. Bédier a ruiné la thèse de l'origine lointaine – c'est-à-dire germanique – de l'épopée française, avec son cortège préalable de cantilènes. La chanson de geste, a-t-il affirmé, est le produit d'un état d'esprit propre à l'époque où ont été écrits les poèmes parvenus jusqu'à nous. Ce qu'il y a de particulier à cette époque, c'est le mouvement des croisades, croisades d'Espagne d'abord, puis croisades d'Orient. La Chanson de Roland, qui a pour théâtre les Pyrénées et les pays de par delà, s'explique par les premières. On n'avait, jusqu'à présent, qu'une connaissance sommaire de ces expéditions. M. Boissonnade en retrace l'histoire avec un grand luxe de détails et il en montre l'importance considérable dans la vie de la France au XIe et dans les vingt premières années du XIIe siècle. A cet effet, il utilise toutes les ressources dont peut disposer un historien expert, soucieux de l'information la plus minutieuse : les chroniques contemporaines, tant arabes que chrétiennes, les documents d'archives de tout ordre. De l'ensemble résulte un vaste tableau, qui permet de saisir sur le vif, dans le remous des événements, la psychologie dont va s'inspirer le chef-d'œuvre de l'épopée médiévale..." (Alphonse Bayot, Revue belge de philologie et d'histoire, 1924)‎

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‎GELLRICH (Jesse M.).‎

‎Idea of the Book in the Middle Ages. Language theory, mythology, and fiction.‎

‎Cornell University Press, 1986, in-8°, 292 pp, 9 illustrations à pleine page, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état. Texte en anglais‎

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‎CHAMPDOR (Albert).‎

‎Tamerlan.‎

‎Payot, 1957, in-8°, 246 pp, 7 cartes (4 sur double page), biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Bibliothèque Historique)‎

‎L'un des plus fameux conquérants de l'Orient. "L'auteur possède ce rare talent de réveiller un passé millénaire, d'animer des ruines enfouies sous les sables..." – "M. Albert Champdor a su joindre à la précision documentée de l'historien un sentiment très vif de la couleur..." — Timour, plus connu sous le nom de Tamerlan (du persan Timur(-i) Lang, qui signifie littéralement « Timour le Boiteux »), né à la fin des années 1320 ou en 1336, dans l'actuel Ouzbékistan, et mort en 1405 à Otrar dans l'actuel Kazakhstan, est un conquérant turco-mongol du XIVe siècle, le premier dirigeant de la dynastie des Timourides. Tamerlan mène des campagnes militaires à travers l'Asie occidentale, méridionale et centrale, le Caucase et le sud de la Russie, battant au passage la Horde d'Or, les Mamelouks d'Égypte et de Syrie, l'Empire ottoman émergeant, ainsi que le Sultanat de Delhi en Inde, et tente même de restaurer la dynastie Yuan en Chine. Se désignant lui-même comme « l'Épée de l'Islam », il émerge en tant que dirigeant le plus puissant du monde musulman. À partir de ces conquêtes, il fonde l'Empire timouride, qui se fragmente peu après sa mort. Commandant militaire invaincu, il est largement considéré comme l'un des plus grands chefs militaires et tacticiens de l'histoire, ainsi que comme l'un des plus brutaux et des plus meurtriers.‎

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‎CHAMPDOR (Albert).‎

‎Tamerlan.‎

‎Payot, 1942, in-8°, 246 pp, 7 cartes (4 sur double page), biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Bibliothèque Historique)‎

‎L'un des plus fameux conquérants de l'Orient. "L'auteur possède ce rare talent de réveiller un passé millénaire, d'animer des ruines enfouies sous les sables..." – "M. Albert Champdor a su joindre à la précision documentée de l'historien un sentiment très vif de la couleur..." — Timour, plus connu sous le nom de Tamerlan (du persan Timur(-i) Lang, qui signifie littéralement « Timour le Boiteux »), né à la fin des années 1320 ou en 1336, dans l'actuel Ouzbékistan, et mort en 1405 à Otrar dans l'actuel Kazakhstan, est un conquérant turco-mongol du XIVe siècle, le premier dirigeant de la dynastie des Timourides. Tamerlan mène des campagnes militaires à travers l'Asie occidentale, méridionale et centrale, le Caucase et le sud de la Russie, battant au passage la Horde d'Or, les Mamelouks d'Égypte et de Syrie, l'Empire ottoman émergeant, ainsi que le Sultanat de Delhi en Inde, et tente même de restaurer la dynastie Yuan en Chine. Se désignant lui-même comme « l'Épée de l'Islam », il émerge en tant que dirigeant le plus puissant du monde musulman. À partir de ces conquêtes, il fonde l'Empire timouride, qui se fragmente peu après sa mort. Commandant militaire invaincu, il est largement considéré comme l'un des plus grands chefs militaires et tacticiens de l'histoire, ainsi que comme l'un des plus brutaux et des plus meurtriers.‎

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‎CHEVALIER (Bernard).‎

‎L'Occident de 1280 à 1492.‎

‎Armand Colin, 1969, gr. in-8°, 256 pp, 16 cartes, 17 tableaux généalogiques, biblio, cart. éditeur, bon état (Coll. U, série Histoire médiévale, dirigée par Georges Duby)‎

‎"M. Β. Chevalier vient avec cet ouvrage de rendre un fort grand service à tous les médiévistes. Il s'agit d'un travail d'histoire politique. Ce livre présente l'avantage d'être conçu comme les autres volumes de la même collection. C'est dire qu'après avoir fourni en introduction une bibliographie générale, chaque chapitre est complété par une bibliographie plus spécialisée et par quelques documents choisis parmi les plus éclairants. L'auteur rassemble dans des chapitres bien venus les données essentielles des institutions pontificales, royales et impériales ; le reste de la matière se distribue selon un plan à la fois chronologique et géographique..." (J.-J. Hoebanx, Revue belge de philologie et d'histoire)‎

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‎CHEVALIER (Bernard).‎

‎Tours, ville royale (1356-1520). Origine et développement d'une capitale à la fin du Moyen Age. (Thèse).‎

‎P. et Louvain, Nauwelaerts, 1975, gr. in-8°, 634 pp, 13 cartes et plans hors texte dont un grand plan dépliant de Tours au début du XVe siècle, généalogies, biblio, index, broché, bon état‎

‎"Une œuvre aussi riche, et d'un agencement aussi achevé, se laisse difficilement enfermer dans un compte rendu de quelques pages. Aussi voudrions-nous insister ici sur la captation progressive du lecteur par ce texte dense et clair, d'une écriture très soutenue. L'enjeu véritable de cette thèse imposante se révèle peu à peu : il s'agit d'opérer, à partir du cas tourangeau, une descente dans les profondeurs de la société de la fin du Moyen Age, beaucoup d'idées reçues dussent-elles en souffrir. (...) On aurait mauvaise grâce à faire la moindre critique à cet ouvrage..." (Hervé Martin, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, 1977)‎

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‎CLOULAS (Ivan).‎

‎Laurent le Magnifique.‎

‎Fayard, 1987, in-8°, 421 pp, 16 pl. de gravures hors texte, généalogie, sources et biblio, index, reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état‎

‎"Ecrire en historien la vie et le cadre de vie d'un personnage aussi prestigieux que Laurent de Médicis n'est pas une mince affaire. La bibliographie du sujet, ou plutôt des sujets, est immense; tous les aspects de l'histoire y paraissent tour à tour, et M. Cloulas a su les harmoniser en un récit constamment passionnant. Les premiers chapitres sont surtout l'histoire de la banque Médicis, basée sur les travaux de R. De Roover et de ses élèves. Et l'histoire de cette fabuleuse fortune culmine en effet avec Cosme l'Ancien, tandis que le Magnifique aura à traverser des crises et à régler la déconfiture des filiales de la banque Médicis à l'étranger, – ce qui n'est pas pour diminuer les mérites du personnage, bien au contraire. De belles pages montrent le jeune Laurent, homme de fêtes et de plaisirs – il ne sera mécène que plus tard – séduisant tout Florence aussi bien que les princes étrangers. Le point culminant du livre est la conjuration des Pazzi, qui est montrée dans son contexte international aussi bien que florentin. Le népotisme de Sixte IV (Della Rovere et Riario), la volonté pontificale de recupérer les bénéfices de l'alun romain, trop longtemps drainés par les Médicis, l'antagonisme du roi de Naples, font de cette conjuration l'épisode le plus dramatique d'une guerre italienne. Et la conjuration elle même, qui voulait réveiller les instincts républicains du peuple de Florence, tout comme l'assassinat de Galeazzo Maria Sforza a Milan en 1476, n'a pas abouti. Ces échecs sont un signe des temps: A Florence comme à Milan, le peuple n'a pas suivi les Brutus. Les institutions républicaines sont devenues, depuis longtemps, des jouets aux mains des puissants. Le peuple le sait et s'y est resigné. Il ne se soulève plus. C'est là que l'on touche du doigt le passage d'une époque à l'autre, de l'Italie communale à celle des principats. Puisque les institutions communales fonctionnent, hypocritement et moyennant de constantes refontes, en faveur d'une famille ou d'un personnage, mieux vaut que le maître soit magnifique, prestigieux, et sachant manoeuvrer pour le bien de la patrie. Or tel est le cas de Laurent, qui sait rééquilibrer les ligues princières qui se redivisent sans cesse la Péninsule. L'art politique du Quattrocento, c'est celui de maintenir l'équilibre des forces, et la gloire de Laurent c'est d'avoir été l'aiguille de la balance. Laurent le Magnifique s'éteint alors que l'audience de Savonarole commence à grandir et peu avant la descente de Charles VIII en Italie. C'est à nouveau la fin d'une époque. Mais quelle époque ! Ivan Cloulas se livre au plaisir de décrire le palais et les villas, les oeuvres d'art, les peintures célèbres et leur significations symboliques, l'idéal de vie exprimé par les humanistes et par les oeuvres de Laurent lui-même, abondamment citées et élégamment traduites. Parvenu à la dernière page, le lecteur soupire : dejà fini !" (Alain Dufour, Bibliothèque d'Humanisme et Renaissance, 1983)‎

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‎CLOT (André).‎

‎L'Egypte des mamelouks. L'empire des esclaves, 1250-1517.‎

‎Perrin, 1996, in-8°, 354 pp, une carte, annexes, glossaire, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎Au début du XIIe siècle, les sultans ayyoubides, Saladin en tête, se constituèrent une garde personnelle, formée de Mamelouks. Nés libres, non musulmans, ces anciens esclaves à la peau blanche se virent confier les hauts postes de l'armée, puis de l'État. En 1250, l'un d'eux, Baybars, ancien esclave kiptchak, assassina le dernier sultan ayyoubide et fonda ainsi l'Empire mamelouk qui, jusqu'en 1516, engloba l'Égypte et la Syrie. Ils donnèrent à l'Égypte et à la civilisation islamique un éclat sans pareil. Après la chute de leur empire, les Mamelouks restèrent le fer de lance de l'armée égyptienne, jusqu'au massacre de leurs chefs en 1811 sur l'ordre de Mehmet Ali.‎

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‎GERBIER (Mlle A.).‎

‎Marie de Bourgogne.‎

‎Tours, Alfred Mame et fils, 1865 in-8°, (4)-235 pp, 3e édition, une gravure en frontispice, cart. toile violine, dos lisse avec titre et ornements dorés, encadrements à froid sur les plats, fer doré au 1er plat, tranches dorées (rel. de l'époque), bon état‎

‎Marie de Bourgogne (1457-1482) est la fille unique du duc de Bourgogne Charles le Téméraire (1433-1477) et d'Isabelle de Bourbon (1437-1465). En 1477, après la mort de son père à Nancy, au cours d'une bataille contre le duc de Lorraine René II, elle épousa Maximilien Ier de Habsbourg (1459-1519), futur empereur du Saint Empire Germanique, et lui apporta en dot les Pays-Bas bourguignons (l'actuel Benelux et le nord de la France), la Franche-Comté (comté de Bourgogne) et la titulature du Duché de Bourgogne.‎

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‎COMMYNES (Philippe de).‎

‎Mémoires. Edités par Joseph Calmette avec la collaboration du chanoine G. Durville. Tome I : 1464-1474.‎

‎Les Belles Lettres, 1964, in-8°, xxxvi-257 pp, broché, qqs annotations stylo, état correct‎

‎Tome I seul (sur 3) — Comme l’exprime le Prologue, les Mémoires de Commynes (1447-1511) étaient destinées, dans l’esprit de leur auteur, à servir de matériau à l’archevêque de Vienne, Angelo Cato, pour une histoire de Louis XI qu’il se proposait d’écrire en latin. Commynes se borne donc à consigner des souvenirs. De là le caractère très libre de sa rédaction. L’œuvre se compose de deux parties : l’une, comprenant les livres I à VI, se rapporte au règne de Louis XI (tomes I et II) ; l’autre, comprenant les livres VII et VIII et présentée comme une suite de la première, se rapporte au règne de Charles VIII (tome III). — "Un monument de naïveté, de vérité et de finesse ; l'histoire politique date de là." (Sainte-Beuve) — "Le plus remarquable à coup sûr de tous les historiens du Moyen Age. Commynes ne s'est pas proposé d'écrire l'histoire de son temps : son ambition vise plus haut. Il avait beaucoup vu, beaucoup appris ; il avait été mêlé aux plus grandes affaires et vécu dans l'intimité des princes. Observateur sagace, peu enclin à l'enthousiasme et à l'aveuglement, il a voulu faire profiter de son expérience les politiques de l'avenir, et leur montrer par des exemples ce qu'il faut faire, ce qu'il faut éviter. C'est donc sous forme de récit historique, une leçon de choses ; de là ces réflexions si souvent citées sur les princes du temps qu'il a connus, sur les événements auxquels il a pris part. Il raconte ad probandum autant qu'ad narrandum, et, il faut bien l'avouer, la postérité a ratifié la plupart de ses jugements." (Molinier V, 4663).‎

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‎CROUZET-PAVAN (Elisabeth).‎

‎Venise triomphante. Les horizons d'un mythe.‎

‎Albin Michel, 1999, in-8°, 428 pp, 8 cartes, notes, glossaire, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎Faire l'histoire de Venise, c'est retracer l'aventure unique d'une communauté humaine redoutée et conquérante, toujours âpre et dure, parfois haïe et combattue pour ses violences et son orgueil. Élisabeth Crouzet-Pavan s'attache dans cet ouvrage à expliquer comment, en maîtrisant des espaces proches aussi bien que lointains, en cultivant le mythe d'une élection divine, Venise a pu devenir le centre d'un monde. Des temps obscurs et précaires où la ville surgit lentement, au milieu d'une eau saumâtre, à son image de gloire où, triomphante, elle contrôle et exploite l'Empire maritime et la Terre Ferme, Venise n'a cessé de se construire et embellir. Ainsi naît-elle, au croisement de l'imaginaire et de l'histoire : imaginaire de fragilité suscitant un intense attachement à la vie et à la puissance, histoire d'une cité dont la longue geste, dans un conscient défi au temps, est demeurée inscrite dans un dernier espace de palais et d'églises...‎

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‎COHEN (Gustave).‎

‎Le Théâtre en France au Moyen Age.‎

‎PUF, 1948, in-8°, 158 pp, 8 pl. de gravures hors texte, biblio, broché, état correct. Le théâtre religieux. - Le théâtre profane.‎

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‎COHEN (Gustave).‎

‎Recueil de farces françaises inédites du XVe siècle. Publiées pour la première fois avec une introduction, des notes, des indices et un glossaire.‎

‎Genève, Slatkine Reprints, 1974, in-8°, xxxii-459 pp, introduction, notes, glossaire des mots rares ou difficiles, 4 index, reliure simili-cuir bordeaux de l'éditeur, bon état. (Réimpression de l'édition de Cambridge, 1949)‎

‎"L'histoire des sociétés trouve à glaner dans le précieux “Recueil de farces françaises inédites du XVe siècle” de M. Cohen. Composées dans les milieux de l'Université de Paris et des clercs de la basoche, récitées ou chantées devant un public qui n'était pas seulement formé d'étudiants et d'hommes de loi, elles sont croustillantes et gaillardes. Les cocus y tiennent une place d'honneur, devant les ivrognes et les sots – qui se rencontrent parfois dans les mêmes personnages, – devant aussi les pédants et les vantards. Certains types comiques n'annonçent pas seulement un genre appelé à fleurir dans les farces italiennes du XVIe siècle, mais des caractères, des « types qui anticipent ceux du XVIIe siècle,... et probablement les engendrent »." (Robert Boutruche, Revue Historique, 1955)‎

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‎CHATELAIN (André).‎

‎Evolution des châteaux forts dans la France au Moyen Age.‎

‎Strasbourg, Publitotal, 1988, in-4°, 319 pp, texte sur deux colonnes, 338 plans, figures et photographies dans le texte, quelques-unes en couleurs à pleine page, biblio, index, reliure cartonnée illustrée de l'éditeur, jaquette illustrée, très bon état‎

‎Magnifique ouvrage érudit sur les châteaux forts.‎

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‎DAILLIEZ (Laurent).‎

‎Les Templiers et les règles de l'ordre du Temple.‎

‎Belfond, 1972, in-8° carré, 267 pp, texte sur 2 colonnes, chronologie, 17 pl. de gravures et photos, reliure simili-cuir noir avec titres dorés de l'éditeur, bon état (Coll. Sciences secrètes)‎

‎La Règle du Temple - La hiérarchie du Temple - L'Ordre du Temple et sa Règle - Règle primitive - Statuts hiérarchiques - Election du Grand Maître - Pénalités - Vie conventuelle des frères - Les chapitres - Pénitences - Détails et exemples de pénalités - Réception dans l'Ordre.‎

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‎CURVEILLER (Stéphane).‎

‎Dunkerque, ville et port de Flandre à la fin du Moyen Age, à travers les comptes de baillage de 1358 à 1407. (Thèse).‎

‎Presses Universitaires de Lille, 1989, gr. in-8°, 374 pp, préface de Gérard Sivéry, 3 pl. en couleurs hors texte, 8 cartes et plans, 32 illustrations dans le texte, un tableau généalogique, sources, index, glossaire, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎

‎Réflexion approfondie et essai d'histoire quantitative, l'histoire de Dunkerque au XIVe siècle dévoile l'évolution d'un centre jugé trop longtemps anodin. La bourgade initiale dont l'entité urbaine est reconnue dès la fin du XIIe siècle se dote d'institutions au début du siècle suivant ; ignorée des grands courants commercaiux en raison de sa non-appartenance à la Hanse, elle ne connaît de réelle expansion que vers 1375. En effet, la ruine progressive de cette ligue de marchands, les difficultés rencontrées par des centres rivaux comme Gravelines et enfin, l'arrivée sur les marchés d'étrangers des Pays-Bas conduisent la cité à se hisser à un niveau très respectable lui permttant de s'imposer de plus en plus à Bergues. Par ailleurs, la ville s'apprête à devenir une place forte du littoral face à l'occupation anglaise de Calais. L'épanouissement économique et commercial de la cité au sein d'une vie quotidienne agrémentée de faits piquants amène peu à peu Dunkerque à jouer un rôle régional, consécration de son développement et de son affirmation au coeur de la Flandre maritime.‎

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‎DEANESLY (M.).‎

‎Histoire de l'Europe du Haut Moyen-Age (476 à 911).‎

‎Payot, 1958, fort in-8°, 755 pp, traduit de l'anglais, préface de Robert Fawtier, 5 cartes, index, broché, bon état (Coll. Bibliothèque historique)‎

‎"Mme Margaret Deanesly nous offre dans cet ouvrage une volumineuse synthèse de ces siècles si troublés du haut Moyen Age européen. Comme le souligne M. Fawtier dans la Préface, l'auteur s'est efforcé de mettre l'accent sur les phénomènes de civilisation, souvent avec bonheur. Les chapitres qu'il consacre à la Renaissance carolingienne sont substantiels et nuancés. Quelquefois l'auteur s'attache à brosser un portrait vivant de ces lettrés carolingiens : certains sont très réussis comme ceux de Jean Scot Erigène, témoin isolé en son temps de la pensée hellénique, ou d'Hincmar de Reims, honnête faussaire de génie. Dans ces domaines, l'apport le plus nouveau de Mme Deanesly réside dans ses pages sur la Renaissance northumbrienne. Antérieure de presque un siècle au mouvement carolingien, elle produisit des œuvres sculptées, comme les calvaires de Bewcastle et de Ruthwell ou des manuscrits enluminés comme le Codex Amiatinus ou l'Évangéliaire de Lindisfarne où se marient la tradition celtique et l'influence byzantine. Mais le propos de Mme Deanesly n'était pas tant de renouveler l'histoire de la période que d'offrir un manuel commode pour prendre une connaissance d'ensemble de ce demi millénaire. (...) Un ouvrage incontestablement utile parce que rassemblant une documentation par ailleurs éparse." (Jean Chelini, Revue d'histoire de l'Église de France, 1959)‎

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‎DAWSON (Christopher).‎

‎Le Moyen Age et les origines de l'Europe, des Invasions à l'an 1000.‎

‎Arthaud, 1960, in-8°, 335 pp, préface de Jacques Le Goff, 73 illustrations reproduites en héliogravure sur 52 pl. hors texte, cartes, index, biblio, reliure pleine toile écrue décorée de l'éditeur, rhodoïd, bon état‎

‎"Il y a ving-cinq ans Louis Halphen présentait une édition française de “The Making of Europe”. Depuis, le livre de Christopher Dawson est devenu classique. D'autres ont occupé, aménagé, agrandi le domaine qu'il avait ouvert. Ils ne l'ont pas dépassé." (Jacques Le Goff, préface) — "Excellent volume, qu'on est heureux de voir mis à la portée du public français. Le sujet en est en somme une histoire de l'Europe de la fin de l'Empire romain au XIe siècle. Vers l'ère chrétienne, il existait une grande aire civilisée qui comprenait les pays situés sur le pourtour de la Méditerranée, unis beaucoup plus que séparés par elle. Civilisation à laquelle avaient collaboré la Grèce et Rome, apportant chacune des éléments très différents, qui n'étaient pas complètement fondus ; civilisation bilingue, mais malgré cela assez homogène. Une série de faits considérables l'a transformée ou disloquée : l'avènement du christianisme; la séparation progressive du monde latin et du monde grec ; le réveil, en Orient, des nationalités superficiellement hellénisées ; les invasions germaniques, slaves, arabes, scandinaves, hongroises. A quoi a succédé un travail inverse de regroupement, mais dans un cadre géographique qui ne se confondait pas du tout avec le précédent, au fur et à mesure que le christianisme et. la culture classique ont conquis de nouveaux pays : Iles Britanniques, Germanie, Scandinavie. Tout ceci traité avec compétence, talent, intelligence ; les idées essentielles bien mises en lumière. Parmi les chapitres les mieux venus, nous signalerons le 2ème, sur l'Église celtique et le 3éme, sur la tradition classique et le christianisme. Excellents chapitres aussi sur la civilisation byzantine et sur la Renaissance carolingienne. Le chapitre sur les Vikings et la conversion du Nord sera neuf pour bien des lecteurs..." (Edouard Jordan, Revue d'histoire de l'Église de France, 1935)‎

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‎DAYOT (Armand).‎

‎Le Moyen Age. La Gaule romaine - Les Invasions - La France féodale - La Royauté.‎

‎P., Ernest Flammarion, s.d. (v. 1905), in-4° à l'italienne, 236 pp, 1161 illustrations, reliure demi-chagrin carmin à coins éditeur, dos à 5 faux nerfs et fleurons dorés, décor doré sur le 1er plat, filets dorés sur les plats, tête dorée (rel. de l'époque), coins émoussés, bon état. Précieuse et très importante documentation iconographique sur le sujet.‎

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Pages d'Histoire - Librairie Clio
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