Professional bookseller's independent website

‎Periodiques‎

Main

????? : 21,641 (433 ?)

??? ??? 1 ... 101 102 103 [104] 105 106 107 ... 153 199 245 291 337 383 429 ... 433 ??? ????

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°307 à n°308, tome LXXXIV, année 1910‎

‎- Mercure de France, Paris avril 1910, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, premier plat légèrement taché, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de P.-G. La Chesnais, A. de Bengoechea, M. Coulon "L'Unité de Jean Moréas", J. de Linières, E. Morel "La Production de l'Imprimerie française en 1909", R. de Gourmont, P. Quillard, A.-Ferdinand Hérold, A. Fontainas "L'œuvre et la passion de William Shakespeare", Péladan "Théorie plastique de l'androgyne", L. Dumur "Le Centenaire de Jean-Jacques", L. Séché "Hégésippe Moreau". Exemplaire orné de portraits de Félix Le Dantec et Jean Moréas par A. Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°112 à n°114, tome XXX, année 1899‎

‎- Mercure de France, Paris avril-juin 1899, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de R. de Gourmont "Du Style ou de l'écriture", A.-Ferdinand Hérold "Les Bacchantes", H.-G. Wells "Une Orchidée extraordinaire", J. de Gaultier, F. Caussy, J. de Tinan "Aimienne ou le Détournement de Mineure", J. Brion "Notes sur le Martinésisme ou le Martinisme", H.-H. Hirsch, A. Clouard, A. Fontainas "L'Ornement de la solitude", Rachilde, P. Quillard, S. Merrill, V. Josz, P. Claudel, M. Griveau "Le Jardin d'épreuve". Exemplaire orné de dessins de Luciano Zuccoli et Claire Demolder. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°205 à n°208, tome LIX, année 1906‎

‎- Mercure de France, Paris janvier-février 1906, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, second plat taché, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de R. de Gourmont "Rivarol, le Politique", Lettres inédites d'Alfred de Vigny, E. Barthélémy "Les 'Pamphlets du dernier jour' de Thomas Carlyle", E. Demolder, A. Séché, C. Derennes "L'Amour fessé", Rachilde, A.-Ferdinand Hérold, R. Canudo "Décadence et résurrection de l'esprit théâtral", Péladan "Réfutation esthétique de Taine", F. Caussy "La Théorie des sacrifices", Exemplaire orné de dessins d'A. Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°257 à n°258, tome LXXII, année 1908‎

‎- Mercure de France, Paris mars 1908, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, dos et second plat taché avec atteinte à la marge supérieure de l'ouvrage, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de E. Dujardin "Le Mouvement symboliste et la musique", F. Jammes "Poèmes mesurés", J. Sageret "H. Poincaré", A. de Bersaucourt "Balzac et sa revue parisienne", G. Meredith "L'Histoire de Chloé", R. de Gourmont, Rachilde, A. Marguillier, G. Batault "La Philosophie de M. Bergson", A. Gide "Quelques mots sur Emmanuel Signoret", P. Quillard, M. Boissard. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°271 à n°272, tome LXXV, année 1908‎

‎- Mercure de France, Paris octobre 1908, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, premier plat taché, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de T. Carlyle "Novalis", S. Rzewuski "Le Jubilé de Tolstoï", E. Jaloux, L. Séché "Les Débuts du Romantisme au théâtre français : le baron Taylor et le 'Léonidas' de Michel Pichat en 1825", M. Réja "La Danse, aperçu historique", J. Giraudoux "Sainte Estelle", R. de Gourmont, P. Quillard, Rachilde, M.-A. Leblond "Idées nouvelles sur le Romantisme", A. Bennett "La Crise théâtrale en Angleterre", A.-Ferdinand Hérold "Le Patriotisme Révolutionnaire", E. Pilon, Legrand-Chabrier "Bestiaire". Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°457 à n°460, tome CXXII, année 1917‎

‎- Mercure de France, Paris juillet-août 1917, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de T. Lavauden, C. Lalo "La Guerre et la paix dans le roman français", C. Marbo "Le Survivant", Rachilde, C.-H. Hirsch, G. Kahn, J. Duhem "Vue générale de la question d'Alsace-Lorraine", L. Narquet "La Femme dans la France de demain", J.-W. Bienstock "La Révolution russe : les partis politiques et leurs chefs", A. Fontainas, E. Pilon "Stendhal et l'amour allemand", E. Maynial, E. Raynaud "Baudelaire et la religion du dandysme", G. Rivals "L'Attitude du Vatican pendant la guerre", T. Stanton. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°449 à n°452, tome CXX, année 1917‎

‎- Mercure de France, Paris mars-avril 1917, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de D. Bellet "Science germanique et réalisme industriel", J. Giraudoux "La Journée portugaise", P. Peltier "La Terreur prussienne et Dumas père", Dostoïevski "Niétotchka Nezvanova", Rachilde, M. Simart "H.-G. Wells sociologue", H. Viollet "Les Fronts d'Asie", A. Erlande "En Campagne avec la Légion étrangère". Exemplaire orné de dessins d'A. Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°263 à n°264, tome LXXIII, année 1908‎

‎- Mercure de France, Paris juin 1908, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de R. de Gourmont "Les Premières idées de Chateaubriand", L. Dumur "Le Surhomme contre Nietzsche", C. Sauvage, M.-A. Leblond "Le Rêve du bonheur : Rousseau, Bernardin et le XIXè siècle", L. Séché "Etudes d'histoire romantique : la Muse de la patrie", Rachilde, G. Danville, G. Palante "La Sensibilité individualiste", P. Halary, A. Mortier, A. Gayet "Les Dernières découvertes archéologiques en Egypte", L. Tailhade "La Farce de la marmite". Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°139 à n°141, tome XXXIX, année 1901‎

‎- Mercure de France, Paris juillet-septembre 1901, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, second plat légèrement taché, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de P. Quillard "Francis Jammes et Charles Guérin", H. de Régnier, L. Charpentier, P. Lasserre, A. Delacour "Le Pape rouge", R. de Gourmont "Le Succès et l'idée de Beauté", A. Fontainas, V. Josz, E. Barthélémy "Thomas Carlyle et la Démocratie : le principe de différenciation", Rachilde, A.-Ferdinand Hérold, M.-A. Leblond "Leconte de Lisle avant la Révolution de 1848", G. Danville "L'Amour magicien". Exemplaire orné de dessins d'A. Donnay. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎(RIMBAUD Arthur) VERLAINE Paul‎

‎Mercure de France, n°329 à n°332, tome XC, année 1911‎

‎- Mercure de France, Paris mars-avril 1911, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, dos taché, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de M. Coulon "Moréas dévoilé", O. Uzanne "L'Art graphique et figuratif de Monsieur Ingres", P. Berrichon "Rimbaud chez les Parnassiens : sa liaison avec Verlaine", R. Martineau "Flaubert à Chenonceaux", R. de Gourmont, E. Herpin "Les Tiroirs de Chateaubriand", R. Schwab "Maeterlinck, le sage des jours ordinaires", P. Quillard, Saint-Alban "Le Nu au théâtre", A. Paupe, F. Mauriac "Enfance", Péladan "Philosophie de la volupté", Rachilde, P. Louis "Le Double prolétariat antique", A. Spire, E. Pilon, L. Dumur "L'Ecole du dimanche". Exemplaire orné de dessins d'A. Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°237 à n°238, tome LXVII, année 1907‎

‎- Mercure de France, Paris mai 1907, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de E. Pilon, F. Jammes "Souvenirs d'enfance", F. Charpin "La Question religieuse", A. Maybon "Le Malaise japonais", R. de Gourmont "Théophile poète romantique", R. de Gourmont "Une Loi de constance intellectuelle", Rachilde, G. Danville, C. Merki. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎(APOLLINAIRE Guillaume) COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°445 à n°448, tome CXIX, année 1917‎

‎- Mercure de France, Paris janvier-février 1917, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de M. Maeterlinck "Adieu à l'ami", H. de Régnier, F. Viélé-Griffin "Verhaeren", A. Fontainas "Sur la vie et l'oeuvre de Verhaeren", Dostoïevski "Niétotchka Nesvanova III-IV", Rachilde, E. Laloy "Guillaume II et l'Alliance anglo-japonaise", L. Boisse "Le Paysage et la nature dans l"oeuvre de Gustave Moreau", J.-W. Bienstock "Raspoutine", H. Clouzot, G. Apollinaire "Contribution à l'étude des superstitions et du folklore du Front". Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°163 à n°165, tome XLVII, année 1903‎

‎- Mercure de France, Paris juillet-septembre 1903, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de L. Bloy "Le Dernier poète catholique : Jehan Rictus", Rachilde "La Fille du louvetier", E. Fazy, C. Méré "La Sensation du 'déjà vu' ", G. d'Aspremont "Demomousike", J. de Gourmont, H.-G. Wells "L'Amour et M. Lewisham XXIV-fin", F. Jammes, L. Séché "Les Petits Romantiques : Ulrich Guttinguer et ses correspondants", M. Beaubourg, H.-D. Davray, J. de Gaultier, C. Merki "L'Exposition des Primitifs français", H. Krains "Le Pain noir", P. Quillard, Rachilde, G. Eekhoud. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°253 à n°254, tome LXXI, année 1908‎

‎- Mercure de France, Paris janvier 1908, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de H. Bachelin "Jules Renard", F. Porché, L. Séché, M. Réja "La Responsabilité criminelle", V.-E. Michelet, A. Hippius "Notes sur la littérature russe de notre temps", E. Pilon "Madame Greuze ou la cruche cassée", R. de Gourmont, Péladan "Un Idéalisme expérimental : la philosophie de Léonard de Vinci d'après ses manuscrits", J. Sageret, P. Arbelet "Sur la tombe de Stendhal", E. Magne, A. Spire, P. Lebesgue "Le Portugal et l'Espagne dans l'œuvre de la Civilisation", R. de Gourmont, Rachilde, G. Danville, C. Morice, C.-H. Hirsch. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°277 à n°278, tome LXXVII, année 1909‎

‎- Mercure de France, Paris janvier 1909, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, un important accroc au dos, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de H. Schoen, H. Clouard "Maurice de Guérin et le sentiment de la nature", F. Nitezsche "Ecce Homo, comment on devient ce que l'on est", S. Rzewuski "Rudolph Eucken, Prix Nobel de littérature", G. Le Cardonnel "Les Soutiens de l'ordre", P. Louis "Crise d'Orient", J. H. Ingram "Edgar Poe et ses amis", E. Henriot "La Flamme et les cendres", A. Van Gennep "Le Masque de fer, une solution nouvelle", H. Potez "Chanfort et Alfred de Vigny", R. de Gourmont, Rachilde, C.-H. Hirsch, C. Morice. Exemplaire illustré de portraits de Sarah Bernhardt et Henri de Régnier par A. Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°485 à n°488, tome CXXIX, année 1918‎

‎- Mercure de France, Paris septembre-octobre 1918, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de M. Coulon "Le Problème de Rimbaud, sa solution", G. Houard "Les Bombardements par avions à grande distance et l'aviation américaine", E. Dujardin, E. Cazal, H. Lalande "La Raison du cancer", Péladan "Les Dévotes d'Auvergne VII-fin", H. Mazel, C.-H. Hirsch, P. Louis "Les Courants politiques en Allemagne", G. Prévôt "Rémy de Gourmont et la guerre", J. Supervielle "Poèmes", E. Laloy "Le Livre jaune sur l'Alliance franco-russe", Rachilde, G. Batault "L'Idée de Progrès et la guerre, d'après Xénophon, stratège athénien", J. Chopin "Les Yougoslaves et l'Entente", Ezéchiel "La Résolution de Sa Sainteté le Pape Benoït", R. Maurice "L'Evolution des méthodes d'offensive de 1915 à 1918", H. Bachelin "Sous les marronniers en fleurs I-VIII". Exemplaire illustré d'un portrait de Henri Davernois par André Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°235 à n°236, tome LXVI, année 1907‎

‎- Mercure de France, Paris avril 1907, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de F. Jammes "Charles Guérin", S. Merrill, E. Barthélémy "Littérature et démocratie : Hugo et l'esthétique de Guernesey", Péladan "Les Trois traités doctrinaux de Dante", A. Van Gennep "Les Nouveaux musées de Berlin et le Trocadéro", W. de Sacher-Masoch "Confession de ma vie", R. de Gourmont, P. Quillard, Rachilde, F. Charpin "La Question religieuse, enquête internationale", J. Bainville "Rousseau et le Romantisme français", C. Morice. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°389 à n°392, tome CV, année 1913‎

‎- Mercure de France, Paris septembre-octobre 1913, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de G. Brandès "Hernik Ibsen intime", J. Bouchon "LAéroplane sur la mer", P. Champion "Clercs et écoliers du temps de François Villon", L. Pergaud "Les Rustiques", R. de Gourmont, G.Duhamel, H. Loyson, L. Séché "Les Amitiés littéraires d'Alfred de Vigny", H. Thuile, O. Wilde "La Renaissance anglaise de l'art", L. Tailhade "Le Vrai mystère de la passion", L. Péru de Lacroix "Bolivar jugé par un officier de Napoléon", M. Pays "La Dernière chevauchée, P. Escoube "Verlaine et l'amour", R. D'Humières "Renaissance catholique", P. Castiaux "Loin quelqu'un chante sur la route", G. Duhamel "Le Théâtre du Vieux Colombier", E. Reclus "Lettres inédites", P. Berrichon "A Propos de la nouvelle édition des 'Oeuvres' de Rimbaud", H. Bachelin, H.-D. Davray "Le Secret de Charlotte Brontë", A. Spire, A. Ransome "L'Art pour la vie", M. Beaubourg "Le Houdan". Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°501 à n°504, tome CXXXIII, année 1919‎

‎- Mercure de France, Paris mai-juin 1919, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de M. Boll "Sur l'identité, la divinité et autres contingences", L. Dumur "La Ligne des Nations, la Suisse et Genève", G.-C. Cros, A. Van Gennep, J.-E. Blanche "L'Enfance de Georges Aymeris", G. Duhamel, C. Merki, H. Prunières "Le Renouveau musical en Italie, G. Fransesco Malipiero", Canudo, P. Vulliaud "La Politique mystique de la paix en 1815", Fagus "Shakespeare sans décors", Rachilde, J. de Gaultier, C. Mallarmé "Italia cara ! lettres", F. Viélé-Griffin "In Memoriam Adrien Mithouard", Dr G. Dumas "Les Troubles mentaux de guerre", L. Dumur "Nach Paris ! I-IV", G. de Pourtalès "Petites leçons de maître François Rabelais pour le Temps de guerre et pour le Temps de Paix", P. Claudel "Verlaine, poèmes", A. Vallette. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°305 à n°306, tome LXXXIV, année 1910‎

‎- Mercure de France, Paris mars 1910, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de R. de Chavagnes "Le Juif au théâtre", J. Romains, Ovian "Les Danses d'Isidora Duncan", F. Caussy "Lettres inédites de Voltaire à Panckoucke", H. H. Ewers "La Sauce tomates", R. de Gourmont, Rachilde, C.-H. Hirsch, A. Fontainas, M. Coulon "L'Unité de Jean Moréas", E. Beaurepaire "Le Ruisseau de Ménilmontant et la Grange-Batelière", M. Dauguet, P. Berrichon "Rimbaud et Verlaine", L.-N. Goussiev "Deux entretiens de L.-N. Tolstoï sur la Révolution", M. Legrand "Monsieur Roches", P. Quillard, G. Danville. Exemplaire illustré d'un portrait de H. d'Arbois de Jubainville par A. Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°317 à n°320, tome LXXXVII, année 1910‎

‎- Mercure de France, Paris septembre-octobre 1910, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de F. Delage, L. Rolmer "Petits poèmes d'amour", A. Van Gennep, H. Guilbeaux "Richard Dehmel et le rythme", T. de la Pagerie "L'Enlèvement de Neang-Sock, histoire de mœurs coloniales", R. de Gourmont, A. Paupe "Seize lettres inédites de Prosper Mérimée à Sutton Sharpe", E. Raynaud "Apothéose de Jean Moréas", Legrand-Chabrier "Aspects humains d'Ambroise Paré", R. Kipling "Les Petits renards", L. Maeterlinck "Le Rôle comique du démon dans les Mystères flamands", L. Séché "La Jeunesse dorés sous Louis-Philippe : Alfred Tattet", Marquis de Valori, P. Quillard, P.-P. Plan "Jean-Jacques Rousseau aviateur", A. Erlande, J. Bertaut "Une Folie littéraire : Venise", T. Carlyle "Olivier Cromwell avant la Révolution d'Angleterre", Rachilde. Exemplaire illustré de portraits de Jules Romains, Henri Poincaré, Paul Léautaud et R. Ponchon par André Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎(RIMBAUD Arthur) COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°349 à n°352, tome XCV, année 1912‎

‎- Mercure de France, Paris janvier-février 1912, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de J. Novicow "A Propos du Darwinisme social", L. Le Cardonnel, Dr Guède "Casanova et son évasion des Plombs", G. Cohen "La Renaissance du théâtre breton et l'oeuvre de l'abbé Le Bayon", A. Spire, P. Valmy "Les Bérille", H. Dérieux "L'Oeuvre de Léon Dierx", E. Raynaud "Considérations sur Paul Verlaine", L. Séché "Le 'Ronsard' de Victor Hugo", R. de Gourmont, P. Berrichon "Rimbaud blessé, le mystère de son silence", Sir J. Crichton Browne "Froude et Carlyle", J.-R. Charbonnel "La Philosophie de Lamartine, les sources néo-platoniciennes et le romantisme", R. Séguy "H.-.G. Wells et la pensée contemporaine", Lettres inédites de Chateaubriand sur la guerre d'Espagne, F. Caussy "Voltaire au pays de Gex", E. Morel "Le Livre français et la production mondiale, essai de statistique des imprimés", E. Corot "Madame de Sauge I". Exemplaire illustré de portraits de M. Nordau, E. Magne, F. Fénéon, et Willy par A. Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°269 à n°270, tome LXXV, année 1908‎

‎- Mercure de France, Paris septembre 1908, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, taches sur le premier plat, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de E. Barthélémy "Saint-Simon", L. Le Cardonnel, Péladan "De l'inutilité de la Réforme protestante", P. Hortala, A. de Bersaucourt "Les Pamphlets contre Victor Hugo", R. Kipling "Deux Contes", L. Séché "Les Débuts du Romantisme au Théâtre français : le Baron Taylor et le 'Léonidas' de Michel Pichat en 1825", A. Fontainas, J. de Gaultier "Une Philosophie est-elle encore possible ?", A. Droin, L. Van den Plas "Le Vrai Féminisme provoque-t-il la guerre des sexes ?", J. Giraudoux "Sainte-Estelle", R. de Gourmont, P. Quillard, Rachilde. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°194 à n°197, tome LVI, année 1905‎

‎- Mercure de France, Paris juillet-août 1905, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de E. Magne "Esthétique des villes : l'Esthétique des rues", A. Retté, P. Louis, J.-C. Prod'homme "Beethoven d'après ses carnets de conversation", F. Porché, P. Lafond "A Propos de 'Paul et Virginie' ",L. Evrard "Le Danger", R. de Gourmont "Baudelaire et le Songe d'Athalie", F. Caussy "Laclos et Chanfort", E. Gaubert "Maurice Barrès"Lettres inédites d'Alfred Delvau à Félicien Rops, G.-C. Cros, H. Malo "Sur la mer du nord", H.-D. Davray "Sur la connaissance du Japon", Lettres inédites de Chateaubriand, G. Polti "Compère le renard", V. Pica "Audrey Beardsley, James Ensor, Edouard Münch, trois artistes d'exception", Colette Willy "Nonoche". Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎BAUDELAIRE Charles‎

‎Lettres inédites à sa mère. (1853-1865) In Mercure de France n°478, tome CXXVII, 16 mai 1918‎

‎- In Mercure de France n°478, tome CXXVII, 16 mai 1918., Paris mai-juin 1918, 15 x 23 cm. - Édition originale. Billets inédits publiés par Jacques Crépet. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, dos légèrement taché, couvertures conservées, reliure de l'époque. Autres contributions de L. Boisse "La Guerre et la mystique de l'immanence", F. Eon, R. Dumesnil "La Guerre vue par les écoliers et la psychologie de l'enfant", J. Cals "Rose", C. Merki, G. Apollinaire, F. Mauriac "Le Disparu", P. Claudel "Ballade", G. Duhamel "La Recherche de la grâce", E. Montfort "La Belle-enfant ou l'amour à quarante ans", E. Pilon, L. Narquet, Rachilde. Exemplaire illustré de portraits de René Doumic et Gomez Carrillo par A. Rouveyre. (Mercure de France, n°477 à n°480, tome CXXVII, année 1918.) Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°321 à n°324, tome LXXXVIII, année 1910‎

‎- Mercure de France, Paris novembre-décembre 1910, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de P. Berrichon "Rimbaud en 1870-71, notes inédites", P. Leguay, V. Doussy, J. Sageret, H. Charasson "Les Origines de la Sentimentalité moderne, d'Hélisenne de Crenne à Jean de Tinan", L. Séché, H. Spiess, P. Frémeaux "Sainte-Hélène pendant la captivité de Napoléon", F. Baldensperger "Joseph de Maistre et Alfred de Vigny", P. Quillard "Edmond Fazy, poète et prosateur moderne", R. Kipling "Le Désespoir du singe", P. Louis "Les Origines du capitalisme antique", L. Pergaud, T. de Visan "Le Romantisme allemand et le Symbolisme français", F. Jammes "Les Géorgiques chrétiennes", G. Soulages "La Terrible question Pommié I-XI", C. Baudelaire "Pages de Carnet", publiées par Félix Gautier avec les fac-similés du manuscrit du poète. Exemplaire illustré de portraits de H. Baüer, G. Eekhoud, O. Mirbeau par A. Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°309 à n°310, tome LXXXV, année 1910‎

‎- Mercure de France, Paris mai 1910, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de Saint-Alban, H. Thuile, N. Clifford Barney "Poésies", L.Dumur "Le Centenaire de Jean-Jacques II-fin", G. Hue "Femme et gendre d'homme de Lettres : la famille de Restif de la Bretonne", A. Spire, L. Tolstoï "Lettre à un paysan sur la science", A. Paupe "Stendhal et ses éditeurs", R. de Gourmont, P. Quillard, Rachilde. Exemplaire illustré de portraits du Vicomte Melchior de Vogüe et Enrique Larreta par A. Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°311 à n°312, tome LXXXV, année 1910‎

‎- Mercure de France, Paris juin 1910, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de P. Quillard, E. Magne "Jeunes filles du XVIIè siècle", F. Mauriac, G. de Lautrec "Mark Twain", J. de Gaultier, L. Séché "Balzac et Mme de Girardin", L. Pergaud "La Captivité de Margot", E. Raynaud "Jules Renard", M.-A. Leblond "La captivité dune langue : le polonais", E. Barré "La Généalogie définitive de Leconte de Lisle", A. Vallette "Le Monument de Paul Verlaine". Exemplaire illustré de portraits de S.-C. Leconte, et J.-H. Rosny aîné par A. Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Mercure de France, n°255 à n°256, tome LXXI, année 1908‎

‎- Mercure de France, Paris février 1908, 15 x 23 cm. - Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris,premier plat taché, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de L. Dumur "Nietzsche et la Culture", A. Bennett "Les Auteurs anglais, leurs débouchés, leurs bénéfices", C.-M. Savarit "Les Lois de l'allitération et de l'assonance", Péladan "Un Idéalisme expérimental : la philosophie de Léonard de Vinci d'après ses manuscrits", A. Mockel "L'Ile du repos, conte pour les enfants d'hier", E. Raynaud, C. Méré "André Chénier journaliste", M. Pézard "Salammbô et l'archéologie punique", G. Meredith "L'Histoire de Chloé", R. de Gourmont, Rachilde, P. Quillard, P. Lebesgue. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières œuvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Le Soir n°718, 3ème année‎

‎- paris samedi 8 avril 1871, 4 pages en feuilles. - H. Pessard, rédacteur en chef, contribution de J. Drummond, Nouvelles du jour : L'attaque du Pont de Neuilly par l'artillerie de Versailles ; Avenue de la Grande Armée ; Nouvelles de Versailles ; La Question des loyers : projet de la commission spéciale ; Le Journal officiel de Paris ; Séances du 5 et 6 avril de l'Assemblée nationale : Débat sur la responsabilité des maires qualifiés par M. Prax-Paris d "ambassadeurs accrédités de l'émeute" ; Faits divers ; Bulletin commercial ; Journée judiciaire. Légères rousseurs, une déchirure sans manque en tête du second feuillet, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎Le Soir n°714, 3ème année‎

‎- Versailles mercredi 5 avril 1871, 65 x 46 cm, 2 pages recto-verso. - H. Pessard, rédacteur en chef. Nouvelles du jour : Force et justice, l'Armée repousse et châtie l'insurrection ; Déclaration de M. Thiers suite à la journée décisive qui vu de retirer les insurgés à Châtillon ; Les Modernes malandrins ; Mort de Gustave Flourens, tué à Rueil (élu à la Commune par le 19e arrondissement, nommé général et chargé de la défense du Paris révolutionnaire) ; La Journée du 3 avril : vue d'ensemble ; Nouvelles ; Échos parlementaires ; Assemblée nationale ; Le Combat du 2 avril, version de la Commune ; Les Nouvelles de la province, selon la Commune -extrait du 'Cri du peuple' ; Confiscation des biens religieux, Décret de la Commune ; Actes officiels du Gouvernement français. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 29 mai 1871‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye lundi 29 mai 1871, 44 x 27 cm, 4 pages en feuilles. - Léonce Détroyat, directeur politique gérant et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : La Journée du 27 mai : Prise de Belleville, l'insurrection se replie au cimetière du Père-Lachaise ; A travers Paris : on démonte les barricades, constat des dégâts suite aux incendies des Gobelins, de l'Observatoire et du Palais de Justice ; Les Ruines : constat des dégâts dans les rues de Paris ; Raoul Rigault meurt en criant "A bas les assassins !" ; M. Jules Ferry à Paris ; M. Hugo a parlé : Victor Hugo commente la Commune, "le Mouvement est français, l'impulsion est parisienne" ; Les Incendiaires de Paris jugés à l'étranger ; Versailles ; Nouvelles d'Algérie : le massacre de Palestro ; Nos correspondances ; Nouvelles générales. Légères rousseurs, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 29 mai 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye lundi 29 mai 1871, 28 x 43 cm, 6 pages en feuilles. - Léonce Détroyat, directeur politique gérant et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Contributions de Emile de Girardin, Albert d'Englos. Nouvelles du jour : Le Salut : M. Thiers "L'insurrection est vaincue pour toujours" ; Réaction et répression ; Paris est mort ! Vive Paris !, Journée du 25 mai, détails rétrospectifs ; La Journée du 26 mai : Prise du fort d'Ivry ; Les Assassins : mort de Raol Rigault ; Les Otages : les détenus de Mazas tués par les insurgés ; Les Coupables : Vermesh, Millière, Gustave Courbet, Jules Vallès et Ferré ; Paris brulé : désastres de Paris : Le Louvre, les Tuileries, Le Palais de Justice, La Préfecture de Police, la Sainte-Chapelle sauvée, le Luxembourg, le Panthéon, Notre-Dame, Plais-Royal, l'Odéon, la Bastille, etc. ;, Versailles, Dernière heure : l'incendie de la nuit aux Magasins-généraux de la Villette ; Compte-rendu analytique de la sénace du 27 mai de l'Assemblée nationale ; Nouvelles extérieures : Allemagne, Suisse, la Réorganisation de l'armée russe et le général Fadéef. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 27 mai 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye samedi 27 mai 1871, 28 x 43 cm, 8 pages en feuilles. - Léonce Détroyat, directeur politique gérant et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : La Commune jette son dernier cri à l'Hôtel de Ville ; Le Spectre rouge ; Les Criminels de Lèse-liberté ; La Journée du 23 mai : Félix Pyat et Paschal Grousset en Belgique ; Les Barbares ; La Journée du 24 mai : les Tuileries en feu, la maison d'Émile de Girardin cernée, les Fédérés se réfugient aux Halles ; Nos correspondances : souscription alsacienne en faveur de Gambetta ; Dernière heure : le fort de Montrouge au pouvoir de l'armée ; la Préfecture de Police incendiée ; Suppléments : Compte-rendus analytiques des séances du 25 et du 26 mai de l'Assemblée nationale, les sièges vacants à l'Assemblée nationale ; l'insurrection en Kabylie (suite et fin). Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 26 mai 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye vendredi 26 mai 1871, 28 x 43 cm, 6 pages en feuilles. - Léonce Détroyat, directeur politique gérant et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Contributions de F. Ducuing, Albert d'Englos. Nouvelles du jour : Paris en feu ; Les Opérations militaires : Incendie du Palais des Tuileries ; Les Télégrammes ; A M. Emile de Girardin ; L'Expiation à propos du discours de Thiers "l'expiation par les lois, au nom des lois" ; Les Nouvelles du jour : Prise de Montmartre ; Versailles ; Nouvelles générales ; Dernière heure : Destruction des Tuileries, du Palais-Royal, du Louvre et du ministère des Finances. Supplément dédié au Systèmes militaires de France et de Prusse ; Nouvelles d'Algérie et d'Alsace ; Lettre de Gambetta à Jules Favre. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, légères rousseurs, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 26 mai 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye vendredi 26 mai 1871, 28 x 43 cm, 6 pages en feuilles. - Léonce Détroyat, directeur politique gérant et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : La Commune jette son dernier cri à l'Hôtel de Ville ; Le Spectre rouge ; Les Criminels de Lèse-liberté ; La Journée du 23 mai : Félix Pyat et Paschal Grousset en Belgique ; Les Barbares ; La Journée du 24 mai : les Tuileries en feu, la maison d'Émile de Girardin cernée, les Fédérés se réfugient aux Halles ; Nos correspondances : souscription alsacienne en faveur de Gambetta ; Dernière heure : le fort de Montrouge au pouvoir de l'armée ; la Préfecture de Police incendiée. En supplément : Compte-rendu analytique de la séance du 24 mai de l'Assemblée nationale : M. Thiers déclare l'insurrection vaincue ; Lettres d'un insurgé malgré lui (Émile Cruzél). ; L'insurrection en Kabylie. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 20 avril 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye jeudi 20 avril 1871, 28 x 43 cm, 6 pages en feuilles. - Léonce Détroyat, directeur politique gérant et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : Troisième lettre du bonhomme Franklin à propos de la République française ; La Journée d'hier 18 avril ; Les Nouvelles du jour ; Échos parlementaires : la loi sur les loyers ; Nouvelles générales ; Journal officiel de l'insurrection : la Commune de Paris décrète une loi sur les échéances. Supplément : Compte-rendu analytique de la séance du 18 avril de l'Assemblée nationale : loi sur les loyers ; Rapatriement des prisonniers français de l'Est. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 24 mai 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye mercredi 24 mai 1871, 28 x 43 cm, 6 pages en feuilles. - Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : Les Difficultés commencent ; Les Finances en Espagne ; Paris délivré : l'entrée des soldats dans Paris ; La Journée du 22 mai : des Zouaves de la Commune faits prisonniers ; Le Combat de Choisy-le-Roi ; Versailles ; Rochefort et Mourot ; Les Télégrammes ; Échos parlementaires ; Nos Correspondances ; Le Remplacement militaire ; Dernière heure : Delescluze s'est retiré à Montmartre et dirige la résistance des insurgés ; Une Querelle d'Allemand. Supplément : Compte-rendu analytique de la séance du 22 mai de l'Assemblée nationale : "l'expiation par les lois, au nom des lois" ; Instruction pour l'admission à l'école navale en 1871 ; Faits divers. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 23 mai 1871‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye mardi 23 mai 1871, 28 x 43 cm, 4 pages en feuilles. - Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : Les Télégrammes ; La Victoire inattendue : des troupes entrent dans Paris par le Point-du-Jour ; M. Trèves, capitaine de frégate ; La Journée du 21 mai : l'entrée dans Paris ; Arrivée de Rochefort à Versailles ; Les Nouvelles du jour ; Lettres d'un insurgé malgré lui ; Nos correspondances ; Dernière heure : le drapeau tricolore flotte sur le Trocadéro et l'arc de triomphe, l'état-major de la garde nationale et l'Intendance partent pour Paris. Une déchirure marginale sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 24 mai 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye vendredi 19 mars 1871, 28 x 43 cm, 6 pages en feuilles. - Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : Un Président de la République, sur l'illégalité du suffrage universel ; Toujours Béfort et Thionville, l'échange de territoire avec la Prusse ; Les Télégrammes ; Nouvelles d'Algérie ; Échos parlementaires ; Les Juges de paix de l'Empire ; Lettres d'un insurgé malgré lui sur la chute de la Colonne Vendôme ; L'Opinion de la presse anglaise ; Réorganisation de la flotte française ; Nos correspondances ; Les Nouvelles du jour : Lettre de Charles Lullier suite à son incarcération ; Journal officiel de l'insurrection : tous les trains en direction de Paris devront s'arrêter hors de l'enceinte nouvellement établie ; Dernière heure : explosion au Mont-Valérien ; La Colonne Vendôme toujours à terre. Supplément : Du recrutement, de l'organisation et de l'instruction de l'armée française ; Compte-rendu analytique de la séance du 17 mai de l'Assemblée nationale ; Paris révolutionnaire : le langage des journaux. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, légères rousseurs, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 16 mai 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye mardi 16 mai 1871, 28 x 43 cm, 6 pages en feuilles. - Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : Les Adresses de journaux de province soutenant l'Assemblée ; Le Compromis de Benjamin Franklin - lettre VII ; Belfort ; Discours de M. de Bismarck ; la Journée du 14 mai : Prise du fort de Vanves par l'armée ; Les Libertés communales : pour la liberté de la presse, de réunion, des cultes, etc. ; Les Nouvelles du jour : le bataillon des 'Vengeurs de la République' ; La Nostalgie parmi les Prussiens ; Nos correspondances ; Dernière heure Félix Pyat aurait été arrêté, démolition de l'hôtel de M. Thiers terminée. Supplément : Du Recrutement, de l'organisation et de l'instruction de l'armée française (suite) ; Nouvelles extérieures et générales ; l'Hôtel de M. Thiers : compte-rendu des décisions de la Commune ; Faits divers. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 14 mai 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye dimanche 14 mai 1871, 28 x 43 cm, 6 pages en feuilles. - Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : Le Pape en Corse ; Échos parlementaires ; Le Citoyen Félix Pyat disparu ; Dernière heure : la Commune ne permet plus d'entrer dans Paris ; la Commune va mettre en vente les propriétés du prince Napoléon ; La Guerre sauvage ; La Journée du 12 mai : pluie d'obus sur Passy ; Lettre de M. le Comte de Chambord ; les Dépenses de la Commune ; Nouvelles générales ; Liste exhaustive des membres de la Commune de Paris ; Du recrutement, de l'organisation et de l'instruction de l'armée française (suite). Supplément : Compte-rendu analytique de la séance du 11 mai de l'Assemblée nationale : à l'ordre du jour, le projet de loi tenant à déclarer inaliénables les propriétés publiques ou privées saisies ou soustraites à Paris depuis le 18 mars 1871 ; Journal de Versailles ; Nouvelles extérieures. Bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 25 avril 1871‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye mardi 25 avril 1871, 28 x 48 cm, 4 pages en feuilles. - Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : Pourquoi faire ? : M. Thiers se sépare de trois ministres MM. Ernest Picard, Jules Favre et Jules Simon ; La Journée d'hier : Résistance de la Commune dans les forts d'Issy et de Vanves ; Échos parlementaires ; Les Nouvelles du jour : Jules Vallès nommé membre de la commission de l'enseignement par la Commune, grande barricade de sacs de terre place de la Concorde ; Lettres d'un insurgé malgré lui ; Nouvelles générales ; La Commune et les démissions : Lettre de Félix Pyat et du citoyen Briosne ; Paris révolutionnaire ; Faits divers. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 28 avril 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye vendredi 28 avril 1871, 28 x 48 cm, 6 pages en feuilles. - Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : Les Nouveaux bulletins militaires de M. Thiers ; L'Affaire des Moulineaux ; L'Occupation de Saint-Denis : nos troupes remplaceraient celles des Prussiens ; Échos parlementaires : Louis Blanc et le garde des Sceaux Dufaure ; Dernière heure : Des troupes quittent Versailles, 3000 Parisiens gagnent Versailles ; Lettres alsaciennes ; Nouvelles d'Algérie ; Lettres d'un insurgé malgré lui ; Nouvelles générales ; Journal officiel de l'insurrection : suppression des bons de pain. Supplément : Comte-rendu analytique de la sénace du 26 avril de l'Assemblée nationale : démission de C. Floquet ; Journal officiel de Versailles ; Faits divers. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 25 avril 1871‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye mercredi 25 avril 1871, 28 x 48 cm, 6 pages en feuilles. - Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : L'Armée suffit : la guerre civile comme despotisme ; La Loi sur la presse ; la Liberté électorale ; Les Volontaires de la Seine commandés par le colonel Valette ; Les Approvisionnements dans Paris ; Les Nouvelles du jour : l'action de l'armée reportée ; Lettres d'un insurgé malgré lui ; Nouvelles générales ; Dernière heure :Rationnement des denrées alimentaires, la Prusse menace d'occuper la capitale si l'insurrection n'est pas vaincue au 1er mai. Supplément : Paris révolutionnaire : M. Rochefort attaque M. Vésinier dans le journal le 'Mot d'ordre ; Fragments de la séance de la Commune de Paris du 22 avril : l'arrestation de Félix Pyat est demandée après sa démission ; Journal officiel de l'insurrection ; Arrestations et perquisitions ; Les Démolitions. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 30 mai 1871‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye mardi 30 mai 1871, 28 x 48 cm, 4 pages en feuilles. - Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : "Que fait donc le gouvernement ?" ; Paris, fin de l'insurrection au Père-Lachaise ; Mort de Delescluze et de Millère ; les arrestations des membres de la Commune continuent ainsi que leurs exécutions ; 233 personnes retenues en otage par la Commune -64 ont été fusillées ; Paris doit être préservée de la peste ; Les Incendies : gare de Lyon, l'Institut sauvé ; Les Maires de Paris replacés à la tête de leur arrondissement ; Dernière heure : La Bourse a réouvert, Première messe depuis plusieurs semaines à Paris. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, légères rousseurs, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 18 avril 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye jeudi 18 avril 1871, 28 x 48 cm, 6 pages en feuilles. - Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : "Si l'Assemblée veut être constituante qu'elle procède à la nomination d'un Président de la République" ; L'amendement Raudot repoussé par la Chambre ; Les Etrangers résidant à Paris invités à rejoindre la Commune ; Dernières nouvelles : Violent affrontement entre les troupes de Versailles et la garde nationale, la place de la Concorde transformée en cap retranché ; Lettres d'un insurgé malgré lui ; La question de l'annexion de Santo Dominguo ; La Famine à Paris ; Paris révolutionnaire, le langage des journaux(revue de presse) ; La Prusse neutre ? Supplément : Compte-rendu analytique de la séance du 12 avril de l'Assemblée nationale : proposition d'un amendement par le ministre de la guerre. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, légères rousseurs, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, 19 avril 1871 et son supplément‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye mercredi 19 avril 1871, 28 x 48 cm, 6 pages en feuilles. - Directeur politique gérant : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Nouvelles du jour : La Circulaire du 16 avril, la peur de l'occupation prussienne ; Dernière heure : les absents considérés comme "traîtres de la patrie" par la Commune, et leurs biens seront confisqués et vendus aux enchères ; la Journée du 17 avril : le bombardement à Puteaux et à Suresnes ; la rue MacMahon rebaptisée rue de la Commune ; Lettres d'un insurgé malgré lui ; Aux Français qui se mitraillent entre eux , deuxième lettre du Bonhomme Franklin. Supplément : Compte-rendu analytique de la séance du 17 avril de l'Assemblée nationale : discussion du projet de loi sur les loyers ; Faits divers. Petites déchirures marginales sans atteinte au texte, légères rousseurs, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La Liberté, supplément du 24 avril1871‎

‎- L. Toinon & Cie, Saint Germain en Laye lundi 24 avril 1871, 28 x 48 cm, 2 pages recto-verso. - Directeur politique gérant du journal : Léonce Détroyat, et Jehan Valter, secrétaire de la rédaction. Suite du Compte-rendu analytique de la séance du 22 avril, sous la présidence de Jules Grévy ; Faits divers. Petites déchirures marginales, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COLLECTIF‎

‎La France nouvelle n°32‎

‎- Kugelmann, Paris dimanche 8 janvier 1871, 38 x 52 cm, 2 pages recto-verso. - Rédacteur en chef : Alphonse Pagès. Nouvelles du jour : Proclamation du Gouverneur de Paris, le Général Trochu "ne capitulera pas" ; Rapport militaire du chef d'état major général Schmitz : le bombardement prussien continue ; Revue de presse ; texte de L'Affiche rouge placardée dans Paris contenant un appel au peuple des vingt délégués des arrondissements parisiens, dont le plus célèbre est Jules Vallès ; Nouvelles des départements ; L'Ironie prussienne ; Notre approvisionnement ; Communications à la presse ; Correspondance ; Faits divers. Deux déchirures, une en tête avec légère atteinte au texte et une centrale avec infime manque, sinon bon état de conservation. S'ajoutant aux titres déjà existants, plus de 70 journaux sont créés pendant les 70 jours de la Commune. Mais la liberté de la presse est restreinte dès le 18 avril, et le 18 mai le Comité de Salut public interdit les journaux favorables au gouvernement Thiers. Les journaux les plus influents alors sont 'Le Cri du Peuple' de Jules Vallès, 'Le Mot d'ordre' d'Henri Rochefort, 'L'Affranchi' de Paschal Grousset, 'Le Père Duchesne' de Versmersch, 'La Sociale' avec madame André Léo, 'Le vengeur' de Félix Pyat, 'La Commune'. C'est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : ainsi, entre le 5 et le 18 mai, 21 journaux sont supprimés. Il est bien évident que la presse parisienne pro-communarde ne peut être diffusée en province du fait de la vigilance du gouvernement Thiers. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

????? : 21,641 (433 ?)

??? ??? 1 ... 101 102 103 [104] 105 106 107 ... 153 199 245 291 337 383 429 ... 433 ??? ????