‎Grande bretagne‎

‎[MAISEAU (Raymons-Balthasard)].‎

‎Enquête faite par ordre du Parlement d'Angleterre, pour constater les progrès de l'industrie en France et dans les autres pays du continent.. Présenté à la Chambre de commerce de Paris‎

‎Paris, Baudouin frères [Imprimerie de Fain], 1825 in-8, xix pp., 359 pp., demi-basane fauve, dos lisse orné de guirlandes et frises dorées, ainsi que de larges fleurons noirs, tranches marbrées (reliure de l'époque). Dos légèrement insolé, rousseurs.‎

‎Unique traduction française, très précieuse pour comprendre les mécanismes mentaux des Anglais confrontés à la concurrence du continent depuis la fin du Blocus. L'enjeu pratique était alors d'évaluer les conséquences économiques et sociales d'une libéralisation des exportations de machines-outils. Raymond-Balthasard Maiseau, dont la carrière antérieure s'était déroulée dans le cadre de la police impériale, n'est que le traducteur de cette pièce.Quérard V, 450.RELIÉ À LA SUITE : MAISEAU : Rapport à la Chambre des Communes d'Angleterre, sur l'enquête faite par son ordre, concernant l'état de la législation relative aux ouvriers et aux machines, et pour constater les progrès de l'industrie en France et dans les autres pays du continent. Publié par R. B. Maiseau, traducteur de l'enquête. Paris, Sautelet [Imprimerie de David], 1826, vij pp., pp. 9-68, [2] ff. n. ch. de catalogue Sautelet. Quérard V, 450. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MARCHAL (Charles)].‎

‎Les Conspirateurs en Angleterre.. 1848-1858. Étude historique par M. Ch. de Bussy. Mazzini. - Ledru-Rollin. - Kossuth. - F. Pyat. - Ruge. - Darrasz. - Proudhon. - Louis Blanc. - Piéri. - Orsini. - Gomez. - De Rudio. - Bernard le clubiste, &c., ainsi que leurs complices en Europe‎

‎Paris, Lebigre-Duquesne frères, 1858 in-12, [2] ff. n. ch., 359 pp., broché sous couverture imprimée. Rousseurs.‎

‎Édition originale. Charles de Bussy est le pseudonyme du pamphlétaire Charles Marchal (1822-1870), l'auteur de Pourquoi j'ai été républicain, pourquoi je ne le suis plus (1854). Dans cet ouvrage, Bussy s'insurge contre les activités politiques menées en toute impunité depuis la trop tolérante ville de Londres par des anciens meneurs de 1848 (Mazzini, Ledru-Rollin, Kossuth etc.). Il faut dire que la capitale anglaise accueillait alors tout ce que l'Europe comptait d'agités et d'agitateurs qui continuaient en toute impunité depuis l'exil leurs activités de déstabilisation. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MARCHAL (Charles)].‎

‎Les Conspirateurs en Angleterre.. 1848-1858. Étude historique. Par M. Ch. de Bussy. Mazzini. - Ledru-Rollin. - Kossuth. - F. Pyat. - Ruge. - Darrasz. - Proudhon. - Louis Blanc. - Piéri. - Ordini. - Gomez. - De Rubio. - Bernard le clubiste, &c., ainsi que leurs complices en Europe.‎

‎Paris, Lebigre-Duquesne, 1858, in-12, [2] ff. n. ch., 359 pp., broché sous couverture jaune imprimée. Rousseurs.‎

‎Édition originale. Charles de Bussy est le pseudonyme du pamphlétaire Charles Marchal (1822-1870), l'auteur de Pourquoi j'ai été républicain, pourquoi je ne le suis plus (1854). Dans cet ouvrage, Bussy s'insurge contre les activités politiques menées en toute impunité depuis la trop tolérante ville de Londres par des anciens meneurs de 1848 (Mazzini, Ledru-Rollin, Kossuth etc.). Il faut dire que la capitale anglaise accueillait alors tout ce que l'Europe comptait d'agités et d'agitateurs qui continuaient en toute impunité depuis l'exil leurs activités de déstabilisation. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MAC DONOGH (Felix)].‎

‎Moeurs anglaises. L'Hermite de Londres. ou Observations sur les moeurs et les usages des Anglais au commencement du XIXe siècle, faisant suite à la Collection des moeurs françaises par M. de Jouy. Orné de gravures et vignettes‎

‎Paris, Pillet aîné, 1820 - 1821 3 vol. in-12, [2] ff. n. ch., 354 pp., un f. n. ch. ; [2] ff. n. ch., 344 pp. ; [2] ff. n. ch., 344 pp., avec 3 frontispices sous serpentes, des vignettes culs-de-lampe, et un plan dépliant de Londres (au vol. I), chevrette bouteille, dos lisses ornés de filets à froid, pièces de titre et de tomaison fauve, chiffre B. M. poussé en lettres dorées en queue des dos, tranches jaunes (reliure de l'époque). Coiffes frottées, coins abîmés, rousseurs.‎

‎L'Hermite français eut tant de succès qu'il fit des émules en Europe. Notre titre n'est pas d'Étienne de Jouy, mais forme la traduction de : "The Hermit in London, or Sketches of english manners" (Londres, Henry Colburn, 1819-1820, cinq volumes) par A-J.-B. de Defauconpret. L'auteur est le romancier Thomas Skinner Surr (1770-1847) d'après Barbier, mais en réalité l'original anglais est en réalité de Felix Mac Donogh ou Donough (1768-1836), sur lequel on est très peu renseigné. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MAYNE] [BARNARD (H. C.)]‎

‎Pedigree of the family of Mayne.‎

‎S.l. [Yatton, Somerset], s.d. (1925) in-4, 18 tableaux généalogiques dépliants, cartonnage modeste. Dos défraîchi.‎

‎Rarisime généalogie privée, compilée en 1922 par un des membres de la famille Mayne of Powis (attestée réellement depuis le XVIe siècle, mais que l'on fait évidemment remonter bien plus haut), Henry Cuthbert Barnard (1865-1924), ancien ingénieur du rail.Aucun exemplaire au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] TASCHER DE LA PAGERIE (Stéphanie de)‎

‎Souvenirs.‎

‎S.l., 1862 in-12, 266 pp., chagrin prune, double filet doré d'encadrement sur les plats, S couronné central, roulette sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées, fermoir avec sa clef conservée (reliure de l'époque).‎

‎Manuscrit entièrement calligraphié à l'encre brune de la main de la comtesse Tascher de La Pagerie.Stéphanie Tascher de La Pagerie, née à Paris en 1814 et morte à Munich en 1905, était la fille d'un cousin germain de l'Impératrice Joséphine, Louis Tascher de La Pagerie (1787-1861), aide de camp du Prince Eugène, qu'il accompagna dans son exil en Bavière, sénateur en 1852 et grand maître des cérémonies de l'Impératrice Eugénie en 1853. Elle fut élevée dans la familiarité de la reine Hortense, et passa sa jeunesse en Bavière. Après le rétablissement de l'Empire, elle vécut dans le cercle des habitués de la Cour des Tuileries.C'est le journal d'un court séjour à Londres que fit la comtesse fin juin-début juillet 1862. Sur l'invitation de la duchesse Hamilton, elle se rend dans la capitale anglaise en passant par Boulogne. Elle retient surtout de sa traversée de la Manche, "la mer houleuse" et un mal de mer tenace, au point de confier que "l'art de plaire me semblait indifférent" et que les autres femmes "n'avaient plus d'yeux que pour leur cuvette qu'elles remplissaient avec des bruits très peu poétiques". "La campagne si verte" autour du port de Folkstone l'enchante. Puis elle nous fait part de sa découverte naïve de l'Angleterre "grand pays plein de sève, de force et fort de sa nationalité… On sent que tout a changé autour de vous, la nature, les usages, le type des hommes, leurs habitudes, c'est une autre nation, un autre peuple, même le ciel est différent". Elle atteint Londres "un amas de maisons à deux ou trois étages, toutes noires et enfumées, alignées l'une à l'autre dans des rues tirées au cordeau… Londres n'a travaillé qu'à s'étendre sans s'embellir". Elle constate "l'animation inouïe de certaines rues, et le silence d'autres". Hamilton House, la demeure de son hôtesse, lui semble très agréable. Le lendemain de son arrivée, elle entreprend la visite de la ville qu'elle va continuer pendant quelques jours : James Street, Regent Street, qui est "le bazar des beaux magasins", le Palais de Westminster, le jardin zoologique, la cathédrale Saint-Paul et sa lanterne d'où "l'on découvre tout Londres qui ressemble à une mer de maisons et d'édifices en tout genre", la City, "la rue la plus riche du monde entier mais elle est toute noire, enfumée et tortueuse", Lombard Street qui est "la rue classique des banques et des compagnies d'assurances"…Elle émaille son journal de petits renseignements historiques, "la Bourse a été inaugurée par la reine Victoria en 1844", ou de diverses réflexions d'ordre général, urbanistique ou architectural, "Londres est loin de renfermer toutes les ressources de joie et d'amusement qu'on trouve à Paris… la fine élégance des modes n'arrive pas à Londres, le mauvais goût national gâte tout", "les parcs ont gardé leur rusticité quasi champêtre… le bel édifice Saint-Paul reste écrasé et opprimé par un tas d'horribles maisons qui gâtent son aspect… Londres semble n'avoir demandé qu'à grandir, le comment lui est indifférent".Elle se rend à l'Exposition, dont "la construction lourde et peu élégante tient un peu de tous les genres depuis l'entrepôt jusqu'à la basilique du Moyen-Age". Elle y retourne deux fois et y admire les collections de peintures, les envois des Indes Orientales ou les statues italiennes : "C'est un tour d'Europe que vous faites et chaque pays vous offre comme à l'envie ce qu'il produit et a de mieux… mais à force de voir tout s'embrouille"Sensible à l'accueil qu'on lui réserve, elle fait souvent part de sa vie mondaine en présentant une véritable galerie de portraits dont lady Palmerston, la duchesse de Cambridge, lord Darby, la duchesse de Wellington, le duc de Sutherland, le comte de Flahaut, ambassadeur de France à Londres, chez qui elle rencontre le prince Napoléon… et elle ajoute des commentaires parfois acides à travers lesquels percent la finesse d'observation ou la surprise : "Je les dévisage et je les juge sans qu'ils s'en doutent; c'est un vrai théâtre… je jure que j'ai vu une dame habillée en catafalque, toute sa toilette était noire avec des décorations blanches… les hommes sont plutôt grands que petits et barbus à l'excès, c'est une richesse de poils qui me frappe… ce qui m'a étonné pour une anglaise, c'est le blanc qu'elle met sur sa figure… ce jour-là, elle n'avait pas une robe faite d'après les règles de la couture, c'était un vêtement décoré de la main d'un tapissier".Elle est lucide sur le caractère un peu décousu de son journal : "Mes impressions sont variées comme l'habit d'Arlequin, plus rien de règlé ou d'uniforme, c'est une chaîne d'épisodes qui se rangent l'un à côté de l'autre". Le style est toujours alerte et l'intérêt est soutenu par de nombreux détails qui restituent toute une ambiance Second Empire : "Je suis une parente de l'Empire, ce dont je me glorifie".De nombreuses corrections, à la mine de plomb et d'une autre main, modifient les tournures des phrases de la comtesse, dans le projet d'une édition.Mais ce manuscrit est resté inédit. Il n'apparaît pas dans ses mémoires parus en trois volumes en 1893-94 sous le titre Mon séjour aux Tuileries.La reliure, au chiffre de la comtesse, a été réalisée à Londres chez Asprey (166 New Bond Street), certainement à la demande du donateur du carnet qui signe, sur la première page de garde, "Le plus humble de ses admirateurs. A. L."Ex-libris du Baron Charles d'Huart et de Jean Marchadier d'Estray.J. Tulard, Dict. du Second Empire. Paris, 1995. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MILTON (John)]‎

‎Histoire entière et véritable du procez de Charles Stuard, Roi dAngleterre. Contenant, en forme de Journal, tout ca qui sest faict et passé sur ce sujet dans le Parlement, et en la Haute cour de justice; Et la façon en laquelle il a été mis a mort. Au mois de Janvier, 1648 et 49. Le tout fidellement receuilly des pièces autentiques et traduit de lAnglois [sic].‎

‎In-8, broché, couverture papier moderne, (4), 221, (2) p. de table, planche gravée. Paris, Chaudrillié, s.d. [1792].‎

‎Réédition révolutionnaire du texte de John Milton publié en 1650, augmentée d'une préface de l'éditeur et d'additions. Milton y affirmait ses principes républicains et légitimait l'exécution du roi Charles Ier.L'ouvrage, qui est ici publié à la veille de l'exécution de Louis XVI, fait un parallèle dans la préface, entre les deux régicides. "La déclaration des deux maisons du Parlement (...)" (p. [151]-196) et "La déclaration des Communes d'Angleterre" (p. [197]-221) possèdent tous deux une page de titre particulière.La planche représente la décapitation de Charles 1er.(Manque à Martin & Walter).Bon exemplaire.‎

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‎[Ministère des Affaires Etrangères]‎

‎Le LIVRE JAUNE FRANCAIS : DOCUMENTS DIPLOMATIQUES (1938-1939)‎

‎Un ouvrage de 431 pages, format 150 x 235 mm, broché, publié en 1939, Impr. Nationale‎

‎Pièces relatives aux événements et aux négociations qui ont précédé l'ouverture des hostilités entre l'Allemagne d'une part, la Pologne, la Grande-Bretagne et la France d'autre part‎

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‎[Michelin & Cie. ]‎

‎MICHELIN GREAT BRITAIN AND IRELAND 1977‎

‎Ex-Library; 8vo; 558 pages‎

‎[MIEGE (Guy)], CARLISLE (Charles Howard, comte de)‎

‎La Relation de trois ambassades de Monseigneur le Comte de Carlisle (…). Commencées en l'an 1663 et finies sur la fin de 1664. Nouvelle édition revue et annotée par le Prince Augustin GALITZIN.‎

‎In-12, pleine percaline rouge de l'éditeur (lég. passée), xxxi, 368 p. Publié par la Bibliothèque elzévirienne. Exemplaire imprimé sur vergé.‎

‎[MONPLANET (Albert Guillemin de)].‎

‎Ministère des finances. Inspection générale. Mission en Angleterre.. Les banques d'émission dans les colonies anglaises‎

‎Paris, Imprimerie nationale, 1891 in-8, 60 pp., broché.‎

‎Unique édition, peu commune. Albert Guillemin de Monplanet (1839-1927) était entré en 1862 dans l'administration comme inspecteur des finances, prenant sa retraite trente ans plus tard, sur sa demande, en tant qu’inspecteur général des finances. Il suit alors une carrière dans le privé, et devient président du Conseil d'administration de la Société générale de Crédit industriel et commercial (CIC), entre 1895 et 1927.Au CCF, exemplaires seulement à la BnF et au Quai d'Orsay. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MÉHÉE DE LA TOUCHE (Jean-Claude-Hippolyte)]‎

‎Alliance des Jacobins de France avec le Ministère anglais ;. les premiers représentés par le C[itoy]en Méhée, et le Ministère anglais par MM. Hamond, Yorke, et les Lords Pelham et Hawkesbury : suivie des Stratagèmes de Fr… Drake, sa correspondance, ses plans de campagne, &c‎

‎À Paris, de l'Imprimerie de la République, Germinal an XII - 1804, in-8, [2]-276 pp., demi-basane aubergine, dos lisse, fleurons et filets à froid (rel. postérieure). Qqs piqûres éparses. Dos passé.‎

‎Très intéressant témoignage de l'utilisation des agents doubles par le premier Consul : Méhée de La Touche (1760-1826) se faisait passer à Londres pour un royaliste pourchassé par la police et monta une opération pour compromettre l'un des meilleurs agents anglais, Drake, résidant à Munich, à l'œuvre derrière la plupart des conspirations du Consulat. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[NAPOLEON IER].‎

‎Letters from the Cape of Good Hope. in reply to Mr. Warden ; with extracts from the great work now compiling for publication under the inspection of Napoleon‎

‎New York, C. Wiley [C. S. Van Winkle], 1817 in-12, iv pp., pp. 5-186, demi-chagrin noir à coins, dos à nerfs orné de guirlandes, filets, caissons et symboles napoléoniens alternés (N couronnés et abeilles), simple filet doré sur les plats, tête dorée (reliure du milieu du XIXe). Abondantes rousseurs.‎

‎Première édition américaine, publiée la même année que l'originale anglaise (donnée à Londres par Ridgway), et dont la version française sera intitulée "Documents particuliers (en forme de lettres) sur Napoléon Bonaparte". Mises sous le nom de Barry O'Meara, ou de Las Cases, ces lettres remontent en définitive à une initiative de Napoléon lui-même, qui rédigea clandestinement trois écrits destinés à éclairer sur ses conditions de détention, et qui réussit à les faire parvenir en Europe pour l'impression, au nez et à la barbe de Lowe : nos Lettres ; les Lettres d’un capitaine de bateau ; enfin, le Manuscrit de l’île d’Elbe.Les Lettres du Cap sont conçues pour compléter l’ouvrage de Warden, recueil de conversations imaginaires mais déjà plutôt favorable à la cause de Napoléon. Dans ce premier livre, le captif revient sur son épopée afin de répondre surtout aux polémiques le concernant. Il donne ainsi sa version des faits, par exemple à propos de l’épisode des soldats malades de la peste qu’il avait dû abandonner aux Turcs à Jaffa en 1799 pendant la campagne de Syrie. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[NEWCASTLE].-‎

‎Plan du Port de Newcastle 1878.-‎

‎Tiré de l'Atlas des Ports étrangers. Paris. Imprimerie Nationale. 1886. Grand plan de 88 x 33 cm plié en 4 volets, gravé par A. Simon, publié par le Ministère des Travaux Publics. Impression en noir et bleu. Bords de feuille lgt poussiéreux sinon bon état.‎

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‎[PAYSAGES]‎

‎[Vignettes].‎

‎Londres et Exeter, 1842-1846 in-8, [42] ff. n. ch., comportant chacun une gravure sur acier (ou une lithographie) à mi-page (généralement 13 x 17 cm), toutes légendées, toile chagrinée modeste, dos lisse muet (reliure de l'époque).‎

‎Très agréable recueil de vues des côtes méridionales de l'Angleterre (Cornouaille, Devon, Hampshire) et de ses petites villes (Torquay, Penzance, Devonport, Southampton, etc.), saisies avec finesse et précision dans le genre qu'affectionnaient les Britanniques en cé début du règne de Victoria.1. Drakes Island, Mount Batten (daté du 1er novembre 1845, et non signé). - 2. Sutton Pool & Custom house, Plymouth (gravé par T. Higham d'après H. Worsley). - 3. Devonport from Moundgecumbe (gravé par Henry Wallis d'après G. B. Campion). - 4. Truro [en Cornouailles] from Kenwyn (dessiné et gravé par W. Willis, de Penzance). - 5. Daddy's hole near Torquay (non signé). - 6.-7.-8.-9. Netley abbey (dessiné et gravé par P. Brannon, de Southampton). - 10. Ilfracombe (d'après Townsend, d'Exeter). - 11. Mill Bay near the land's end(d'après R. T. Pentreath). - 12. Drake's island & Mount Edgecombe (non signé). - 13. Plymouth sound, St. Nicholas Island & Mount Edgecumbe (gravé par W. Deeble d'après T. H. Williams). - 14. Mount Edgcumbe (d'après G. Townsend). - 15. Penzance from the sea (dessiné et gravé par W. Willis). - 15. Arcade in the West Wall, Southampton (non signé). - 16. Exeter cathedral (non signé). - 17. Town hall, column & library, Devonport (daté de janvier 1846, non signé). - 18. The Guildhall, Exeter (lithographie, non signée). - 19. St. Michael's Mount (d'après G. Townsend). - 20. Devonport, from Mount Edgcume (d'après G. Townsend). - 21. Mount Edgcumbe house (daté de août 1845, non signé). - 22. Mount's Bay from Gulval Carn (dessiné et gravé par William Willis). - 23. Kynance cove from the rill (d'après R. T. Pentreath). - 24. Ilfracombe, the parade (d'après G. Townsend). - 25. Truro from Trennick lane (d'après G. Townsend). - 26. Torquay (daté de septembre 1842, non signé). - 27. Exeter (d'après G. Townsend). - 27. Falmouth from Pendennis (d'après G. Townsend). - 28. Babbicombe (non signé). - 29. Penzance from Lescudjack (d'après G. Townsend). - 30. Lynton and Lynmouth (d'après G. Townsend). - 31. Lynton from Holiday hill (d'après G. Townsend). - 32. Tol-Peden-Penwith near the Land's end (non signé). - 33. Cape Cornwall near the Land's end (non signé). - 34. Gurnard's head, Cornwall (non signé). - 35.-36. Land's end from Peden-mean dû (deux fois la même gravure, dessinée et gravée par W. Willis). - 37. Kynance cove (même gravure que 23). -38. Teignmouth (daté du 10 août 1842, non signé). - 39. Nottar bridge on the Lynher, Cornwall (daté du 7 février 1843, non signé). - 40. Logan Rock (dessiné et gravé par W. Willis). - 41. Ansty's cove near Torquay (dessiné et gravé par William Willis). - 42. St.-Ives from Park-an-Roper (dessiné et gravé par W. Willis). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[PARIS (Comte de)]‎

‎Les Associations ouvrières en Angleterre. (Trades-Unions)‎

‎Paris, Germer Baillière, 1869 in-12, VIII-334 pp., demi-basane noire, dos à nerfs (reliure de l'époque). Qqs rousseurs.‎

‎Édition originale. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[PAMPHLET]‎

‎Lettres de Junius.. Traduites de l'Anglois‎

‎Paris, Gueffier, Volland, 1791 2 parties en un vol. in-8, XXIII-210-[2]-295 pp., broché, couv. papier bleu postérieur‎

‎Première édition française de ce fameux recueil pamphlétaire, chef d'oeuvre de la littérature politique anglaise. Junius est le pseudonyme de l'auteur inconnu de lettres politiques publiées à Londres, dans le Public Advertiser de 1769 à 1772, et dont la véhémence est restée célèbre. Elles étaient dirigées contre le ministère de Lord North et ont été tour à tour attribuées à divers auteurs, Ph. Francis, P. Sackville, Burke, Hamilton, etc., sans que la question eût jamais pu être résolue. Pendant trois années, l'invisible justicier frappa sans relâche, sans pitié, tous les crimes et tous les abus qui venaient s'exposer à ses coups, depuis la simple caution accordée à un voleur pris en flagrant délit jusqu'aux actes solennels du ministère North, dont l'impéritie politique causa, aux yeux de nombre d'Anglais, la perte politique de la grande colonie américaine.Sabin, 36906-36910 (éditions anglaises). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[POYNDER (John)].‎

‎Letters to W. Wilberforce, esq., M.P.. To which is added an answer to Melancthon, his vindicator ; demonstrating the inconsistency of a Protestant Christian, and the impolicy of a British legislator, in advocating the Roman Catholic claims. By Amicus Protestans‎

‎Londres, W. Simpkin & R. Marshall [Plummer & Brewis], 1822 in-8, viii pp., 252 pp., broché sous couverture d'attente de papier noisette, étiquette de titre contrecollée sur la première couverture. Manques de papier au dos. Couverture effrangée.‎

‎Très rare. L'ouvrage regroupe des lettres publiées dans le Morning post entre le 22 mars et le 6 juillet 1821, c'est à dire au moment où le Parlement se remit à discuter sur l'émancipation des Catholiques du Royaume-Uni. Elles sont adressées au célèbre William Wilberforce (1759-1833), héraut de l'abolition de l'esclavage dans le monde britannique.L'attribution au controversiste anglican John Poynder (1779-1849) n'est pas établie avec certitude ; l'opposition fanatique à toute évolution du statut très défavorable des catholiques en Angleterre était cependant cohérente avec les publications très hostiles à la liberté religieuse pratiquée par la Compagnie des Indes, que produisit ce pasteur manqué (il voulait engager une carrière dans l'Église d'Angleterre, mais dut se contenter de devenir un solicitor assez obscur).Aucun exemplaire au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[POOR LAWS].‎

‎Rapports présentés en 1817 et 1818, à la Chambre des communes d'Angleterre. par le Comité chargé de l'examen des lois relatives aux pauvres. Traduits de l'anglais [par André-Daniel Laffon de Ladébat]‎

‎Paris, Delaunay [Imprimerie d'Hacquart], 1818 in-8, xl pp., 164 pp., un f. n. ch. d'errata, broché sous couverture d'attente de papier bleu.‎

‎Unique traduction française, et manifestation de l'intérêt apporté par le philanthrope bordelais Laffon de Ladébat (1746-1829) aux expériences menées outre-Manche pour traiter la question de plus en plus urgente de l'extension du paupérisme. Après 1815 en effet, le nombre de pauvres explosa, en raison de plusieurs facteurs : ralentissement de l'économie, paysans ruinés par de mauvaises récoltes — l'Année sans été est de 1816 —, ouvriers agricoles victimes de la mécanisation. Remontant à l'époque des Tudors, un ensemble de dispositions légales ou réglementaires d'une complexité rare organisait l'assistance au niveau de l'unité élémentaire qu'était la paroisse (parish), sous forme d'aides conditionnées. Elles furent toutes remodelées ou supprimées par le Poor Law Amendment Act de 1834, qui mit fin à l'assistance à domicile aux indigents, considérée comme trop onéreuse, et institua leur enfermement dans les célèbres workhouses. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[PREVOST D'EXILES (Antoine-François)].‎

‎Histoire de Guillaume le Conquérant. Duc de Normandie et Roi d'Angleterre. Par M. l'abbé P***‎

‎Paris, Prault fils, 1742 2 vol. in-12, [2] ff. n. ch., xl pp., 400 pp., avec un portrait-frontispice gravé par Schmidt ; [2] ff. n. ch., xxiv pp., 426 pp., [3] ff. n. ch. de privilège, veau fauve marbré, dos lisses cloisonnés et fleuronnés, pièces de titre et de tomaison noires, encadrement de simple filet à froid sur les plats, simple filet doré sur les coupes, tranches peigne (reliure de l'époque). Petits accrocs aux coiffes et à une coupe.‎

‎Édition originale de cette composition intermédiaire entre l'histoire et le roman historique. C'est l'une des pièces les moins connues de l'abbé Prévost (1697-1763), qu'il faut comparer, pour la similitude du thème, à son Histoire de Marguerite d'Angleterre, parue dès 1740.Quérard VII, 351. Frère II, 416. Cioranescu, XVIII, 51281.Exemplaire de la bibliothèque du château de Saint-Eusoge (commune de Rogny-les-Sept-Écluses dans l'Yonne) ayant appartenu aux Harcourt, avec vignette ex-libris héraldique contrecollée sur les premières gardes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[Revue L'AGE NOUVEAU].-‎

‎L'AGE NOUVEAU. Revue mensuelle d'expression et d'études des arts, des lettres et des idées. Fondateur : Marcello-Fabri. N°49-50, Mai 1950. REGARDS sur La GRANDE-BRETAGNE. Introduction de Raymond Las Vergnas. 23 illustrations.‎

‎P., 1950, in 8° broché, 214 pages ; illustrations hors-texte ; papier terni ; couverture un peu fanée.‎

‎Textes de Elisabeth Bowen, T.S. Eliot. Herbert Read. Poèmes de Auden, Cecil Day Lewis, Mac Neice, Dylan Thomas; Etc... PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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‎[RUPTURE DE LA PAIX D'AMIENS]‎

‎[La Fuite du Duc de Cambridge, ou La Diligence dudit pays].. Déposé à la Bibliothèque nationale le 26 thermidor an XI [14 août 1803]‎

‎S.l. [Paris], s.d. (août 1803) gravure in-folio oblong (40 x 52 cm), en feuille, sous passe-partout moderne.‎

‎Curieuse gravure à l'eau-forte, coloriée, et déposée par un certain citoyen Badini, en fait le 1er fructidor an XIII [19 août 1803]. Elle est abondamment légendée en français, mais quelques parties de la gravure comportent une légende en anglais.Il s'agit d'une caricature allégorique sur les différents acteurs de la rupture de la paix d'Amiens, à savoir, de gauche à droite :1. Le Roi George III, présenté en Janus incertain de ses actes et décisions (à cette époque, sa folie était plus qu'avérée, depuis sa seconde crise de 1801).2. Le médecin Francis Willis (1718-1807), qui avait réussi une première cure de son royal patient en 1788-1789, à moins qu'il ne s'agisse de l'un de ses deux fils (John Willis ou Robert Darling Willis), qui s'occupèrent plus spécialement de la rechute du Roi en 1801-1810.3. Le duc de Cambridge, sous la forme d'un oison, fuyant le Hanovre en diligence, sous le regard goguenard de deux grenadiers français : allusion à l'occupation du Royaume de Hanovre par les troupes du général Mortier, au cours d'une brève campagne militaire, et de la piètre défense opposée par Adolphus Frederick, duc de Cambridge (1774-1850, septième et dernier fils de George III), pourtant à la tête de 14 000 hommes (Anglais et Hanovriens).De Vinck, 7621. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[RÉVOLUTIONS COMPARÉES]‎

‎La Vérité.‎

‎Paris, Imp. Gratiot, s. d. (1796) in-8, 16 pp., broché. Petit manque de papier sans atteinte au texte sur la première page (effet de l'encre de l'époque).‎

‎Craignant un retour à l'Ancien Régime, souhaité par les forces monarchistes, l'auteur détruit méticuleusement le parallèle que ses opposants font entre la Révolution anglaise et la Révolution française. Pour lui, les situations ne sont en rien comparables : la Révolution française est bien plus solide que jadis celle d'Outre-Manche.Martin et Walter, Anonymes, 17928. "Contre les monarchistes". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[SALUT PUBLIC] LULIER (Louis-Marie)‎

‎Lulier, procureur-général-syndic du département de Paris à ses concitoyens.‎

‎Paris, Impr. de Ballard, s.d. in-4, 6 pp., en feuilles. Trace de pliure sur le document.‎

‎Contre les aristocrates et les Anglais. "Les Anglais sont les agioteurs de l'Europe ; leur puissance est fondée sur la fraude et la duplicité : leur commerce prend sa source dans l'agiotage : leurs richesses découlent d'une banque dont les fonds simulés ne peuvent offrir pour résultat qu'une odieuse banqueroute : tout est fictif sur cette terre de proscription."Martin & Walter, III, 22265. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[Scott (Cyril)] [Haig (Justin Moreward), pseudonyme de]‎

‎Initié (L'). Suivi de L'Initié dans le Nouveau Monde ; suivi de L'Initié durant le Cycle obscur. Traduction de l'anglais par G. Godet.‎

‎Neuchâtel, La Baconnière, 1947 - 1948 ; 3 tomes, petit in-8, brochés ; 302 ; 245, (1) f. de table ; 172 pp., (1) f. de table, couvertures crèmes à rabats, titres dans un encadrement vert.‎

‎Edition originale de ce célèbre ensemble ésotérique du musicien et écrivain anglais Cyril Scott destiné aux "Initiés, Adeptes et Maîtres" ; le Grand Maître fait partie d'une sorte d'élite d'une hauteur spirituelle peu commune.‎

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