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‎Leybach, Ignace Xavier Joseph, French pianist, organist, music educator and composer (1817-1891).‎

‎Autograph letter signed. Toulouse, 8. XI. 1874.‎

‎8vo. 3 pp. on bifolium. To the journalist, music critic and music publisher Léon Escudier (1821-81) about his completed manuscript of a Verdi requiem, which had previously either been too long or too challenging to sing, as well as another work with which he had great success before an audience, asking for Escudier's opinion on the title, suggesting "Fantaisie" or "Illustration": "Le manuscrit sur la Messe de Requiem d. Verdi est enfin terminé. C'est inoui, tout ce que j'ai écrit pour ce morceau, tantôt il était trop long, tantôt trop difficile et pas bien chantant. Certainement tout l'ouvrage de Verdi est admirablement beau [...] D'un autre côté j'ai voulu aussi vous faire un ouvrage [...] qui fait de l'effet [...] je l'ai fait entendre à quelques personnes qui en ont été satisfaites. Faut-il appeler ce travail Faintaisie, ou Illustration, d'un côté le premier titre me parait vulgaire et le second un peu pritentieux, voyez et décidez [...]". - The postscript mentions a letter by Monsieur Wolf from the Schott publishing house in London, who is still awaiting Escudier's answer regarding the acquisition of Leybach's latest work: "M. Wolf de la maison Schott à Londres m'a écrit il y a quelque jours, qu'il attendait toujours votre reponse quant à l'achat de mon dernier morceau". - On stationery with embossed initials.‎

‎Massenet, Jules, French composer (1842-1912).‎

‎Autograph letter signed. Paris, 23. I. 1884.‎

‎8vo. 1 page on bifolium. To a friend with thanks for her congratulations, in which he has taken great pleasure: "Vos chères félicitations, Madame, me causent le plus sincère plaisir car vous m'avez toujours gardé un fidèle souvenir! [...]".‎

‎Parent, Hortense, French pianist, composer and music educator (1837-1929).‎

‎4 autograph letters signed, and 2 autograph visiting cards. [Paris], no date.‎

‎8vo and visiting card format. Together (4+3½+2+1+1+1 =) 12½ pp. on 4 bifolia and 2 single sheets. To a journalist pointing out a mistake in an article about his work, wherein it was claimed that the music teacher, pianist and composer Félix Le Couppey (1811-87) had participated in its creation: "Malheureusement il s'est glissé une erreur de fait dans votre article si bienveillant d'ailleurs. Mr. Le Couppey n'a, en aucune façon, mis la main à mon ouvrage. Je ne le lui ai lu que lorsqu'il a été terminé et c'est à dessein que dans ma dédicace je demande à mon maitre d'accorder son approbation à ce travail tout personnel [...] J'ai beaucoup regretté cette insinuation inexacte qui pouvait donner lieu à des interprétations complètement fausses [...]". On stationery with embossed initials. - Two letters asking for reviews of his latest publications, one for the cultural magazine "Le Monde Artiste": "Permettez-moi de me rappeler aujourd'hui à votre bon souvenir en vous adressant ma dernière publication avec l'espoir que vous voudrez bien la lire et en rendre compte dans le Monde Artiste [...]". - To the publisher Antoinette-Louise Girod (1838-1906), asking for her latest catalogue, including crayon indications of major piano works, which would help her in revising her manuscript of a "Répertoire": "Vous savez que je travaille en ce moment à un 'Répertoire d'oeuvres choisies classiques et modernes avec annotations à l'usage des jeunes professeurs' J'en suis à la révision de ce travail avant de le livrer à l'impression et, pour être sûre de ne rien oublier dans les publications importantes de votre maison, je viens vous demander de vouloir bien m'adresser votre dernier catalogue avec les grands succès de piano marqués au crayon rouge ou bleu [...]". On mourning paper. - Visiting cards expressing "mille remerciements" and "compliments empressés". Letters with remnants of old labels torn off.‎

‎Planté, Francis, French pianist (1839-1934).‎

‎2 autograph letters signed and 1 autograph correspondence card signed. Mont de Marson and no place, 26 Jan. 1881, 11 April 1887, and no date.‎

‎8vo and oblong 12mo. Together (1+4+4 =) 9 pp. on 2 bifolia and 2 single sheets. With 2 autograph envelopes. About his forthcoming concert in the Netherlands, brought about by E. Zilcken, who had supported the establishment of a concert hall in The Hague since 1851, to which he greatly looks forward, as he has long desired to visit the country: "C'est donc le 2 Février et quatre du même mois que j'aurai l'honneur de me présenter devant le public Hollandais, désir que j'ai depuis long temps et que bien des obstacles ont semblé rendre d'une réalisation difficile. Monsieur Zilcken voudra bien me rendre cette justice qu'à son premier appel et sans conditions pour ainsi dire [...] J'ai dit un oui très empressé voulant témoigner toute ma bonne volonté à répondre à l'appel de Monsieur Zilcken [...]" (Mont de Marson, 26 Jan. 1881). On mourning paper. With a few pencil annotations. Corresponding envelope adressed to E. Zilcken in The Hague, who was probably expected to forward the letter to a newspaper. - To a friend about his visit to Madame Hollander, the delivery of a piano by the instrument maker Pierre Erard (1794-1855), the work number of a Beethoven piece, and in anticipation of a meeting on Tuesday: "Je m'empresse de vous dire que je serai chez Mme Hollander Mardi 14 Avril avant dix heures. En enverra de chez Erard un piano demi queue. Le trio de Beethoven porte le numéro d'oeuvre 38. Ce mardi donc, en attendant le plaisir de vous voir, je vous prie d'agréer Monsieur tous mes sentiments très distingués [...]" (no place, "Jeudi"). - About his experience performing at the Trocadéro in Paris, which strikes him as a little intimidating, a fact he dreads to admit to the concert organiser Philbert Bréban: "Je n'ai pas non plus oublié que j'ai eu le plaisir de connaître Monsieur Breban au Trocadéro et mon souvenir m'est resté très sympathique [...] Je crains de lui paraître bien ingras envers cette belle salle du Trocadéro où on fait de si belle musique, et où j'ai eu moi même le bonheur [...] d'obtenir les plus précieux succès qu'un artiste puisse ambitionner! Mais il faut bien que je lui avoue qu'au point de vue spécial de mon instrument [...] cette admirable salle m'inspire malgré tout, une certaine terreur! [...]" (Mont de Marson, 11 April 1887). On stationery with embossed address. - The second envelope, addressed to E. Zilcken in The Hague, does not apparently correspond to any letter at hand. Some small rust stains; the correspondence card somewhat waterstained as well. With remnants of old labels torn off.‎

‎Pugno, Raoul, French composer, teacher, organist and pianist (1852-1914).‎

‎Autograph letter signed. No place, 21 Dec. [1881].‎

‎8vo. 1 page. To the operatic singer and theatre director Angelo Neumann (1838-1910), declining his participation in a performance of Wagner's "Lohengrin" in German, due to anti-German feelings in France following the Franco-Prussian War: "J'ai le regret de vous informer qu'il m'est impossible de concourir aux représentations de Lohengrin comme vous me l'avez proposé, en me priant de me charger de la direction du chant et des choeurs. Je suis de ceux qui croient que l'art n'a pas de patrie, mais je suis aussi de ceux qui savent bien que l'art en Allemand ne peut être nationalisé en France [...]". - With a short note in a former collector's hand giving the name of the recipient: "M. Raoul Pugno vient d'adresser à M. Neumann, directeur de la troupe allemande qui doit chanter du Wagner au theâtre des Nations, la lettre que voici". With a few marks in pencil.‎

‎Rabaud, Henri, French composer and conductor (1873-1949).‎

‎Autograph letter signed. [Paris], 29. II. 1924.‎

‎8vo. 1 page on bifolium. To a friend about a funeral taking place the following day, which will prevent him from attending a breakfast at the Parisian Café de la Paix: "Il faut que je sois demain, à 1h, à un enterrement à Villejuif. Il m'est donc impossible d'assister au déjeuner du Café de la Paix. Veuillez croire à tous mes regrets [...]". - On headed stationery of the Conservatoire National.‎

‎Ravel, Maurice, Komponist (1875-1937).‎

‎Eigenh. musikalisches Albumblatt mit U. O. O. u. D.‎

‎1 S. Qu.-8vo (90:147 mm). Zwei Takte aus dem ersten Thema seiner Sonate für Violine und Klavier in G-Dur (1927, Werkverzeichnisnummer 2284), seinem letzten Kammermusikwerk, das Ravel der befreundeten Violinistin Hélène Jourdan-Morhange, die sein Interesse an zeitgenössischer amerikanischer Musik teilte, gewidmet hatte. Da sie rheumatischer Probleme wegen das komplexe Werk - an dem Ravel fünf Jahre gearbeitet und dabei nach und nach angeblich alle unnötigen Noten eliminiert hatte - jedoch nicht selbst spielen konnte, fand die Uraufführung am 30. Mai 1927 im Salle Érard mit Ravel am Klavier und mit Georges Enesco an der Violine statt. - Von einer vertikalen Knickfalte abgesehen tadellos erhalten; verso die Bitte eines zeitgenössischen Sammlers: "Ich bitte um ein Autogramm".‎

‎Rossini, Gioachino, Komponist (1792-1868).‎

‎Eigenh. musikalisches Albumblatt mit U. Baden-Baden, 8. IX. 1856.‎

‎1 S. Qu.-4to. Mit einem weiteren musikalischen Albumblatt mit U. (s. u.). Gerahmt. Zehn mit "Allegretto" bezeichnete Takte für "Piano Forte" mit Widmung "a Madame Benazet | son ami G. Rossini", d. i. die Gattin von Impresario Édouard Benazet, dem Direktor des Casinos in Baden-Baden, der auf mannigfache Art und Weise das reiche und lebhafte Musikleben der Stadt förderte. - Verso mit dem Anfang eines "Canon à 4 voix", den die Pianistin Rosa Escudier-Kastner unterm 21. Februar 1861 gleichfalls Madame Benazet widmete. - Gering fleckig.‎

‎Sauer von Aichried, Emil, pianist and composer (1862-1942).‎

‎Autograph musical quotation signed. Paris, 31. III. 1903.‎

‎Oblong 8vo. 1 p. 1 line. - Browned, with some notes on verso.‎

‎Scaria, Emil, Sänger (1838-1886).‎

‎Eigenh. Visitenkarte. Wohl Wien, November (o. J.).‎

‎1 S. Visitkartenformat. "Donnerstag 26 Novemb. 7 Uhr Jass bei" Emil Scaria (dies gedruckt): "U. A. w. g.". - Emil Scaria war in Budapest, Brünn, Frankfurt am Main, Magdeburg, Dresden und Leipzig zu hören, ehe er 1873 an die Wiener Hofoper engagiert wurde. Er trat vor allem als Wagner-Interpret hervor und sang 1875 in der Wiener Erstaufführung der "Walküre" die Partie des Wotan. Zudem gastierte er am Victoria-Theater in Berlin und an Her Majesty's Theatre in London, unternahm mit Angelo Neumanns reisendem Wagner-Ensemble Tourneen durch ganz Europa und sang 1882 bei der Uraufführung des "Parsifal" die Partie des Gurnemanz.‎

‎Scharwenka, Franz Xaver, pianist and composer (1850-1924).‎

‎Autograph musical quotation signed. Chicago, 22. IV. 1891.‎

‎Folio. 1 p. 2 lines. - Includes two autograph musical quotations signed on verso: a line from "A Sacred Cantata" by the Italian conductor, cellist and composer Luigi Mancinelli (1848-1921), dated 1894, and a line from "The Flower Girl" by Berignani.‎

‎Strauss, Richard, Komponist (1864-1949).‎

‎Eigenh. Mitteilung. [Garmisch, 27. VII. 1917].‎

‎1 S. 8vo. Mit eh. adr. Kuvert. Möglicherweise fragmentarisch überlieferter Brief an den Dirigenten, Komponisten und Musikwissenschaftler Fritz Volbach, damals Leutnant an der Kaiserlichen Kommandantur in Brüssel, dem er das Programm eines geplanten Konzerts auseinandersetzt: "Programm des I. Concerts muß in folgender Reihenfolge vor sich gehen: I. Béatitudes [von César Franck] II. Taillefer [Kantate von Richard Strauss nach einem Gedicht von Ludwig Uhland] - Pause III. Meistersinger | Das zweite Programm ist viel zu lang: Mahlers Sinfonie dauert 1¼ Stunden, domestica [sic; d. i. Strauss' "Sinfonia domestica", op. 53)] ¾ Stunde; das ist an sich für einen Concertabend reichlich genug, ganz besonders für's Orchester. Geht denn Charpentier nicht in's erste oder dritte Concert zu spielen? Wie viel wird aus den Béatitudes gemacht? Taillefer dauert nur 20 Minuten". - Tadellos erhalten.‎

‎Thomas, Ambroise, French composer (1811-1896).‎

‎2 autograph letters signed. Île Illiec and Paris, 5 Sept. [postmark: 1889] and 17 Nov. 1892.‎

‎8vo. Together (3+3 =) 6 pp. on 2 bifolia. With 2 autograph envelopes. To the French violin maker and art historian Albert Jacquot (1853-1915) in Nancy about the ongoing deliberations of the jury of the 1889 Paris world fair, regarding the reward Jacquot is to receive for his exhibited instruments, meetings Ambroise was unable fully to attend due to his duties at the conservatory: "J'ai eu le regret de ne pouvoir prendre part aux dernières délibérations du Jury de la Classe 13, les concours publics du Conservatoire ne me l'ont pas permis. Il m'était donc difficile, après coup, de combattre les décisions de mes collègues de ce Jury. Mais j'ai lieu d'espèrer que Messieurs Gand [i. e. the violin maker Gautrot Gand] et Thibouville [i. e. the instrument maker Jérôme Thibouville-Lamy] seraient comme moi favorables à toute proposition tendant à élever votre récompense [...]" (Île Illiec, 5. Sept. 1889). - To the same in Paris, happy to find that one of his compositions, a religious march, was skillfully performed during a mass at St. Cécile in Nancy, with thanks for Jacquot's tireless efforts to support his art, as well as congratulations to Jacquot's father, who was recently awarded the cross of the League of Honour: "Vous avez eu l'obligence de m'annoncer que (grace à vous, j'en suis sur) on avait placé une ancienne marche religieuse de moi dans le programme de la Messe de Ste Cécile remarquablement exécutée récemment à la Cathédrale de Nancy. Je vous sais gré de votre zèle et du Concours dévoué que vous ne cessez de donner aux intérêts de l'Art. Tous doivent l'apprécier. Vous m'informez aussi que Monsieur votre père vient enfin d'obtenir la distinction qui vous tenait tant au coeur: La Croix de la Légion d'Honneur. Je vous en félicite, vous et lui [...]" (Paris, 17 Nov. 1892). On headed stationery of the Conservatoire National. - One letter with small marginal tears, partly rebacked with strips of paper. One envelope rather worn around the edges.‎

‎Wiegand, Heinrich, Sänger (1842-1899).‎

‎Albumblatt mit eigenh. U. Graz, 20. V. 1883.‎

‎1 S. Qu.-kl.-4to. Der aus Frankfurt a. M. stammende Sänger dürfte zu jener Zeit, aus der das vorliegende Blatt stammt, Mitglied von Angelo Neumanns reisendem Wagner-Theater gewesen sein und durchreiste mit ihm Holland, Belgien, Dänemark, England, Österreich, Deutschland und Italien. Nach Stationen an den Hofopern von Wien, Hamburg und Berlin verfiel er 1897 dem Irrsinn.‎

‎Wieniawski, Józef, Polish pianist, composer, conductor and teacher (1837-1912).‎

‎3 autograph letters signed. Amsterdam, Warsaw, and no place, 26 Sept. 1877, 15 Feb. 1884, and 7 Sept. (no year).‎

‎8vo. Together (1+1+1 =) 3 pp. on 2 bifolia and one single sheet. To E. Zilcken, who had supported establishing a concert hall in The Hague since 1851, inquiring about the possibility to tour several Dutch cities during his leave of absence from the Warsaw Music Society, and mentioning a collaboration with the Hungarian composer and violinist Leopold von Auer (1845-1930) in London the past summer: "Comme j'entrevois la possibilité d'obtenir un congé à la Societé de Musique de Varsovie, pendant les mois de Décembre (1877) et Janvier (1878), je prends la liberté de vous demander si je pourrais, à cette époque faire une tournée dans les 4 ou 5 villes principales de la Hollande [...] J'ai fait cet été un peu de musique à Londres, avec notre ami Auer [...]" (26 Sept. 1877). - To the same, announcing his imminent departure to Brussels and admitting his relief that a friend of Zilcken's from Brussels was not informed that his concert in The Hague was not a commercial success: "Merci bien pour votre aimable lettre que je reçois à l'instant; je repars demain matin pour Bruxelles [...] Il parait que je n'ai qu'à vous adresser de terribles secrets; voici venir encore une confidence, une prière sustante adressée en toute confiance: Vous m'obligeriez infiniment en ne mettant pas notre jeune amie de Bruxelles [...] au courant d'une non-réussite matérielle de mon concert à La Haye [...]" (15 Feb. 1884). On headed stationery of the Hôtel Adrian in Amsterdam. - To a friend about a concert ticket: "Le 6me Billet Blanc est pour Hendriks [...] au quel je viens de serrer la main [...]" (7 Sept., no year). On stationery with embossed monogram.‎

‎Fournier, Édouard, French playwright, historian, bibliographer, and librarian (1819-1880)‎

‎2 autograph letters signed. Paris, 27 Jan. 1869 and 5 Sept. 1873.‎

‎12mo. 2 pp. To the playwright and theater director Hilarion Ballande (1820-87), thanking for his invitation to one of his "Matinées littéraires", suggesting that he recite Molière's "Tartuffe", as he is confident that he knows it better than anyone, but is ready to prepare any other work as well: "Je suis très flatté de votre bonne demande & j'accepte ce qu'elle m'offre. Sur quoi conférer cependant? Voulez vous que ce fois sur Tartuffe, dont, je puis le dire, je sais l'histoire mieux que personne? Parlez, je suis à vous, si Tartuffe est déjà donné. Dites à moi ce qui ne l'est pas. Je serai prêt [...]". - Likely to the same, promising to present Molières "The Bourgeois Gentleman", calling it one his most anecdotic works, planning to capture the atmosphere leading to the creation of the play in his speech: "C'est entendu, comptez sur moi pour le Bourgeois gentilhomme, & avec une conférence toute neuve, et très neuve, je crois: avec toutes les origines de la Circonstance qui fit naitre la pièce, & de la pièce même. C'est une des plus curieuses conférences qu'on puisse faire, cette comédie de Molière étant une de ses plus anecdotiques [...]". - Both on stationery with embossed initials. With traces of former mounting on verso.‎

‎Guitry, Sacha, French stage actor, film actor, director, screenwriter, and playwright (1885-1957).‎

‎2 autograph working manuscripts. No place‎

‎4to. (54), (68) ff. Mostly in pencil, a few sections in pen, 3 ff. typescript. Drafts for the play "Beaumarchais" (1950) and for the film "Franklin et Beaumarchais", announced in 1949, both adapted by Edouard Molinaro for his film "Beaumarchais, l'insolent" (1995). - The manuscript for "Beaumarchais" is made up for the largest part of dialogue between Beaumarchais and the Chevalier d'Eon, also including the last stanza of the revolutionary song "Chant du départ", titled "Trois guerriers". The three typescript leaves cover a diaglogue between Beaumarchais and Louis XVI. - The manuscript for the film "Franklin et Beaumarchais", treating Franco-American relations and France's support of the recently-founded United States, consists mostly of the narrator's part.‎

‎Hartmann, Ernst, Schauspieler und Regisseur (1844-1911).‎

‎Eigenh. Manuskript mit U. O. O., [1896].‎

‎9 Bll. Verschiedene Formate. Vollständiges, jedoch vom Druck geringfügig abweichendes Manuskript seiner launigen Erinnerungen an den eigenen Werdegang: "Eines Tages, wir hatten zusammen bei Goethe gespeist, klopfte mir der unvergeßliche Schiller (Friedrich) auf die Schulter und sagte in seiner milden, freundlichen Weise: 'Immer strebe zum Ganzen, lieber Hartmann, und, kannst Du selber kein Ganzes werden, als dienendes Glied schließ' an ein Ganzes Dich an!' Ich beherzigte diese eben so richtigen, als auch später gedruckten Worte, ging zu einem Theater als dienendes Glied und bildete bald im Vereine mit mehreren andern Gliedern ein Ganzes [...]". - An den Rändern stark lädiert, der Text aber durchgehend gut lesbar. Gedruckt in: Dekamerone vom Burgtheater (Wien, Hartleben, 1880), SS. 91-98.‎

‎Krüger, Wilhelm, Schauspieler (1791-1841).‎

‎Eigenh. Albumblatt mit U. Wien, 18. VIII. 1837.‎

‎1 S. auf Doppelblatt. 4to. "Nichts stärkt und kräftiget uns mehr für den Kampfe des Lebens, als während der Jugendjahre ein geistig klarer Ideenaustausch mit vertrauten fein gebildeten Freunden". - Der eigener Angabe auf diesem Blatt zufolge 1794 (entgegen allen anderen Quellen, die übereinstimmend 1791 schreiben) geborene Schauspieler litt seit 1833 an einem Nervenleiden, "das seinen Geist verdüsterte und ihn zu einem finsteren Hypochonder machte" (ADB XVII, 229). Als Krüger die vorliegenden Zeilen verfasste, war er eines Gastspiels wegen in Wien, musste es aber "wegen eines neuen Krankheitsanfalles unterbrechen, der ihn auch zwang sich in Berlin pensioniren zu lassen. Nach einem Aufenthalt in Weimar siedelte Krüger nach Mannheim über und hier glückte ihm 1841 der Selbstmordversuch, an dessen erfolgreicher Ausführung ihn in Wien nur die Entschlossenheit seiner Tochter gehindert hatte" (ebd.). - Mit lithographierter Bordüre; kleine Randläsuren.‎

‎Lehfeld, Otto, Schauspieler (1825-1885).‎

‎Eigenh. Notizzettel mit Paraphe. B[erlin], 9. IV. 1875.‎

‎2 SS. Kl.-4to. Erzürnte Abrechnung mit der Theateragentur E. Christiany's Erben, datiert am "Shylock Tag": "Werther Herr Lehfeld! Besser wäre es immer, Sie bezahlten einen Thaler 2 Groschen für mein Büro und spielten dann in Spandau, Zwickau oder Waldheim (3 Zuchthäuser) Commedie, wagten sich aber niemals mehr auf die, durch Sie, für ewige Zeiten entheiligten Leipziger Bretter! - Offener Brief des Theater Agenten u. literarischen Halsabschneiders E. Christiani an Herrn Lehfeld in München / Christiani: Anfrage an Hr. Lehfeld / Wann werden Sie mich bezahlen? Antwort d. Hr. Lehfeld: Nie! // Und in Charlottenburg / Schlägt Hugo Wauer endlich durch / Das Publikum war klen un nett / En Schutzmann und zwei Freibillet / Und wäre dort ein Mord geschehn / Es hätte kener wat jesehn […]". - Eduard Christiany hatte 1848 die "Norddeutsche Theaterzeitung" gegründet und betrieb eine Theateragentur in Altona, die nach seinem Tod 1856 von seinen Nachfolgern unter dem Firmennamen E. Christiany's Erben weiterbetrieben wurde. Der Schriftsteller und Schauspieler Hugo Wauer (1828-1912) war in den 1880er Jahren Direktor der Theater-Akademie in Berlin.‎

‎Robert, Emerich, d. i. Emmerich Magyar, Schauspieler (1847-1899).‎

‎Sammlung von 12 eigenh. Briefen mit U., 2 eh. Briefkarten mit U. und 2 eh. Visitkarten. [Wien, 1880er Jahre].‎

‎Zusammen 19 SS. auf 27 Bll. Verschiedene Formate. Allesamt an eine nicht genannte gnädige Frau mit der Absage von Einladungen: "Ich bin wirklich unglücklich so oft absagen zu müssen, speziell bei Ihnen, wo ich so gerne verweile, wo ich mich so wohl fühle. In der Charwoche bleibe ich hier u. bitte recht oft um Gelegenheit so viel Versäumtes nachholen zu dürfen [...]".‎

‎Flourens, Marie-Jean-Pierre, French physiologist (1794-1867).‎

‎Autograph letter signed. Paris, 5. II. 1864.‎

‎8vo. 1 page. To an admirer, thanking for a well-written biography, and hoping for a successor at the Academy of Sciences who might praise him with such warmth and talent: "Je viens de voir les quelques bonnes pages que vous avez consacrées à ma biographie. Je serais bien heureux d'avoir un successor tel que vous à l'académie; je serais bien sûr alors d'y être loué avec chaleur et avec talent. Je suis touché de tant de bonté [...]". - On headed stationery of the "Institut Impérial de France". Traces of former mounting on verso. - Flourens is remembered as the founder of experimental brain science and a pioneer in anesthesia, having drawn attention to the anesthetic effect of chloroform.‎

‎Kandinsky, Wassily, Russian painter and art theorist (1866-1944).‎

‎Autograph letter signed. Dessau, 28. III. 1930.‎

‎Folio. 2 pp. Letter in Russian to Alexej von Jawlensky (1864-1941) concerning the preparation of the exhibition "30 deutsche Maler aus unserer Zeit" which would be held from April to July 1930 at the "Nassauischer Kunstverein" in Wiesbaden. - Kandinsky explains that despite his difficulties in communicating with the Germans, not being German himself, he managed to get Jawlensky to present seven paintings there. He pointed out to him that he should not be disappointed because it was more than for most of the other participants, and asked him not to be angry with him since the decision was not up to him. Kandinsky also writes about the two other members of the exhibition group "The Blue Four", which he founded with Jawlensky in 1924: Paul Klee and Lyonel Feininger. - Left margin with punched holes (no loss to text).‎

‎Roller, Alfred, Maler und Bühnenbildner (1864-1935).‎

‎Eigenh. Brief mit U. O. O., 17. III. 1907.‎

‎2½ SS. auf Doppelblatt. Kl.-4to. An Ludwig Hevesi: "[...] Dank für die Übersendung von Hirschfelds Antwort-Artikel. Das ist ja immer das letzte Auskunftmittel des Musikers wenn er irgendeine Inszenierungsfrage angreift: 'die Musik verlangt es so'. Es ist aber klar dass bei einem Musiker, der ausnahmsweise auch erzogene Augen besitzt[,] die Musik andere Dinge verlangen wird, als bei einem der vielen Kunstblinden, zu denen eben auch R. H. zu gehören scheint. - Ich erlaube mir einen guten Ecksitz für Montag (erste Aufführung der 'Iphigenie' von Gluck) beizulegen und würde mich freuen, wenn Sie dieses herrlich edle Werk anhören würden. Bei der Generalprobe war noch allzuvieles nicht fertig. Ich bitte die Inscenierung als eine jener Improvisationen zu betrachten, zu denen ich oft genötigt bin. 16 Tage Arbeitszeit! Da handelt sichs mehr um die Intention als die Ausführung. Besonders schmerzlich war mirs, die letzte Scene, das Losbrechen des günstigen Fahrt-Windes nicht wirkungsvoller gestalten zu können. Aber dazu gehört mehr Zeit und Geld als zur Verfügung stand. - Für das Aussehen Agamemnons bitte ich mich nicht verantwortlich zu machen. Der Träger dieser Rolle macht alle diesbezüglichen Bemühungen vergeblich [...]".‎

‎Uhde, Fritz von, Maler (1848-1911).‎

‎Eigenh. Mitteilung mit U. ("F. Uhde"). O. O. u. D.‎

‎2 SS. Qu.-32°. An den namentlich nicht genannten Maler und Graphiker Max Liebermann (1847-1935): "Wie man auf Höcker verfallen ist, ist mir auch nicht ganz klar. Jetzt will es kein Mensch gemacht haben. Ich kenne den Zusammenhang wirklich nicht [...] Ihre Zeichnung habe ich schon längst an Stadler geschickt, durch meinen Hausmeister, der sie ihm selbst im Atelier übergeben haben will [...]". - Fritz von Uhde war Schüler von Mihály Munkácsy in Paris und widmete sich unter dem Einfluß Max Liebermanns der "Plein-Air"-Malerei. Sein rund 285 Werke umfassendes Oeuvre umfasst Arbeiten religiösen, geschichtlichen und mythologischen Inhalts sowie Szenen aus dem Alltagsleben und Portraits. - Papierbedingt etwas gebräunt.‎

‎Bebel, August, German socialist politician and one of the founders of the Social Democratic Workers' Party of Germany (1840-1913).‎

‎Autograph letter, signed with initials. Berlin, 17 Oct. 1903.‎

‎8vo.½ p. on bifolium. To "L[ieber] R[ahn?]", obviously an employee of the Vorwärts-Druckerei, sending corrections for an article which has to be published the day after. - On stationery with printed address; slightly dusty and spotty, some smalll damage to edges.‎

‎Blanc, Louis, French socialist and historian (1811-1882).‎

‎Autograph letter signed. Paris, 12 July 1878.‎

‎8vo. ½ p. To an unnamed addressee, sending two tickets for a premiere. - Friedrich Engels had negotiated with Blanc in 1847 about the collaboration of German and French socialists (cf. letter from Engels to Marx, MEGA2 III/2, p. 111-114). - Traces of folds and slight edge flaws.‎

‎Blind, Karl, Revolutionär und Publizist (1826-1907).‎

‎Eigenh. Brief mit U. London, 5. IV. 1872.‎

‎2 SS. auf Doppelblatt. Kl.-8vo. An eine namentlich nicht genannte Dame: “Entschuldigen Sie, daß ich, durch Arbeit stets bis tief in die Nacht in Anspruch genommen, erst heute Ihre werthen Zeilen zu beantworten vermag. Ihrem Wunsch gemäß übergab ich, alsbald nach Empfang Ihres Briefes, die erhaltenen Durchschläge an Frau Kroeker [...]”. - Seiner offen geäußerten demokratischen Überzeugung wegen zweimal der Universität verwiesen und 1847 erstmals verhaftet, mußte Blind als einer der Führer der republikanischen Linken in der badischen Revolution von 1848 fliehen und gelangte nach Straßburg. Später verhaftet und nach der Mairevolution 1849 befreit, trat er als Herausgeber der "Karlsruher Zeitung" in den Dienst des Landesausschusses und wurde Gesandter der badischen Revolutionsregierung in Paris. Nach Belgien ausgewiesen, ging er ins Exil nach London, wo er politische, historische, germanistische und literaturgeschichtliche Studien veröffentlichte.‎

‎Blind, Karl, Revolutionär und Publizist (1826-1907).‎

‎Eigenh. Brief mit U. Hampstead, 18. II. 1899.‎

‎2 SS. auf Doppelblatt. 8vo. Mit gedruckter Adresse. An Patrick E. Docherty, den er um Eintrittskarten für sich und eine Bekannte für das Stück "The Only Way" bittet: "Allow me to mention that, though my hearing is perfect, I found it, now and then, a little difficult to follow one or two actors at the seat (K 18) I occupied. I heard some remarks to the same effect from others. If it were possible to let me have Stall tickets a little more forward, you would confer an additional favour upon Yours very truly [...]". - Blind studierte 1844-47 in Heidelberg Rechtswissenschaften, wurde wegen seiner offen geäußerten demokratischen Überzeugung zweimal der Universität verwiesen und 1847 erstmals verhaftet. Als einer der Führer der republikanischen Linken in der badischen Revolution von 1848 floh er nach Straßburg, machte von der Schweiz aus den Einfall der Revolutionäre nach Baden mit, wurde gefangen genommen und in Rastatt zu fünf Jahren Einzel- und Kerkerhaft verurteilt. Nach der Mairevolution 1849 befreit, trat er als Herausgeber der "Karlsruher Zeitung" in den Dienst des Landesausschusses, wurde Gesandter der badischen Revolutionsregierung in Paris; nach Belgien ausgewiesen, ging er ins Exil nach London. Dort veröffentlichte er neben politischen, historischen, germanistischen und literaturgeschichtlichen Studien die "Bekenntnisse eines Achtundvierzigers" (in: "Die Gegenwart", 1882).‎

‎Blind, Karl, German revolutionist and political writer (1826-1907).‎

‎Autograph letter signed. St Leonards-on-Sea , 14 August, no year.‎

‎Small 8vo. 1½ pages on bifolium. To an unnamed addressee, confirming the receipt of funds: "Entschuldigen Sie, wenn ich heute für die Anweisung von £28/18/10, die mir gerade bei unserer Abreise an die Seeküste zukam, einstw. nur durch diese Zeilen quittire. Ich ließ Ihren Brief mit Quittungsformular durch Versehen in London liegen, u. werde dasselbe bei meiner Rückkehr Ihnen noch nachträglich zusenden [...]".‎

‎Ferdinand Maximilian, Erzherzog von Österreich (1832-1867).‎

‎Eigenh. Brief (Fragment) mit U. O. O. u. D.‎

‎1 S. auf Doppelblatt. 8vo. An einen nicht identifizierten Adressaten: "[...] Indem meine Frau und mein Bruder Carlo mir auftragen sie Ihrem freundlichen Andenken bestens zu empfehlen, verbleibe ich wie immer | Ihr Ihnen aufrichtigst zugethaner Freund | Ferdinand Max". - Auf Briefpapier mit gepr. Briefkopf.‎

‎François de Neufville, duc de Villeroy, französischer Heerführer und Marschall von Frankreich (1644-1730).‎

‎Schriftstück mit eigenh. U. Paris, 6. IV. 1684.‎

‎1 S. 4to. Dienstzeugnis für einen langgedienten Kavalleristen: "Nous certifions a tous ceux qu'il apartiendra que le Sieur Besons sert actuelement de Marechal des Logis dans la compagnie de Neufville Capitaine dans nostre Regiment de Cavalerie et que depuis dix ans que nous comandons leq. Regiment il y a servi sans discontinuation en la dite qualité de Marechal de Logis ou en celle de Cornette [...]". - Mit Resten eines schwarzen Lacksiegels.‎

‎Luxemburg, Rosa, Marxist theorist and activist (1870-1919).‎

‎Autograph letter signed. N. p., 6 Jan. 1905.‎

‎Large 8vo. 1 p. on bifolium. To one "cher Camarade", probably written after the International Socialist Congress, sending the translation "du compte-rendu de la socialdémocratie polonaise, que vous avez si malheureusement omis dans le volume, édité par vous. Les camarades polonais sont très mécontents de cette omission [...]". - Left margin with punched holes (not touching text); on stationery with printed letterhead of "Hotel Polen" at Amsterdam.‎

‎Schmettau, Samuel Graf von, preußischer Feldmarschall (1684-1751).‎

‎Eigenh. Schriftstück mit U. [Wohl Berlin, ca. 1750].‎

‎2 SS. auf Doppelblatt. Kl.-4to. "Instruction. Der Ingenieur Hildner gehet heute mit denen reith pferden auff rühlsdorff oder biß sputendorff, so eine halbe meile weiter ist und nach einer kleinen meile vor sarmunde ist, alwoh er mit anbrechendem tag sein kan, aldahr bey der windmühlen eine station nach dem rechten werd nimt, [...] dann aber gegen michendorff und ferrich eine station einsehn, wo wenn er über pisau und goltzau auff Potsdam komt, und aldahr dem Herrn Generaladjutant Lentulus ein Compliment von mir und meinem Bruder machen und ihm bitten daß er vor unß ein quartier auff 24 stunden außfündig zu machen helffen mochte, da nach ein stall wo die pferde darbey [...] und sich da [...] selbst darumb bemühen [...]". - Etwas knittrig und mit Randläsuren; Bl. 2 verso mit von anderer zeitgenössischer Hand stammenden Notizen.‎

‎Stadion, Johann Kaspar von, Oberstkämmerer und Oberhofmeister (1567-1641).‎

‎Schriftstück mit eigenh. U. O. O., [1622].‎

‎1 S. Folio. Mit kleinem papiergedecktem Siegel. Wasserzeichen: Doppeladler. Der im Dienst Kaiser Ferdinands II. stehende Berater Maximilians von Liechtenstein bietet sich als Konsulent für die Errichtung eines Bauwerks und für die Organisation der Finanzierung an; eine zeitnahe Einteilung der Arbeiter sei dringlich, da diese schon bald wegen der anstehenden Feldarbeit nicht mehr für solche Arbeiten zu bekommen sein würden: "Wolt mein dienstfreundl. gesinnen [...] sein, dahin zue verhelffen unnd das wörckh zu dirigiern, weilen paldt es zu der Zeit gelangen möcht, das ain Jeder von denen so man jezt umb den lohn zum geben brauchen unndt noch haben khan, in die Veldt Arbeith lauffen [...]". - Mit Sammlernotiz in Bleistift, einigen wenigen winzigen Randeinrissen und Papierdurchbrüchen. An den Rändern stellenweise leicht gebräunt.‎

‎Starhemberg, Heinrich Wilhelm Gf. von, Oberhofmarschall (1593-1675).‎

‎Schriftstück mit eigenh. U. Wien, 20. VII. 1668.‎

‎1 S. auf Doppelblatt. Folio. Mit Adresse verso. An das Konsistorium der Universität Wien, den Empfang von Schriftstücken zu einem Rechtsstreit bestätigend: "Der unterm 7. May negsthin, in Sachen zwischen Juliana Maximiliana Schlöglin und Catharina Theresia Schäfflerin, dan Maximilian Ludwig Medicinae Doctore, bei der löbl. Universitet schwebenden Rechtsführung, umb deßwillen aydliche Examinierung [...] abgelassene Compassschreiben, habe ich sambt beygefuegten Weisartikhlen zurecht empfangen [...]". - Mit Siegelrest, Pergamentstreifen und Rubrum. Teilweise etwas braunfleckig, mit zahlreichen kleinen Randeinrissen, winzigen Papierdurchbrüchen, einigen kurzen parallelen Einschnitten durch Briefverschluss und teilweise etwas gebräunt an den Rändern und Faltlinien.‎

‎Stipsics, Joseph Frh. von, österr. General (1755-1831).‎

‎Schriftstück mit eigenh. U. Wien, 3. VI. 1825.‎

‎Ca. ¾ S. Folio. An den General der Kavallerie Friedrich VI. (1769-1829), Landgraf von Hessen-Homburg, mit der Bekanntgabe der Beförderung von Graf Peter Leopold von Spannocchi (1786-1867) zum Oberstleutnant und mit der Bitte um einen Vorschlag zur Besetzung der freigewordenen Majorsstelle: "Seine Majestät der Kaiser und König haben [...] Major Leopold von Spannochi Eurer Durchlaucht inhabenden Hußaren Regiments No. 4 zum Oberstlieutenant bei dem Hußaren Regimente König von England No. 5 zu ernennen geruht [...]". - Mit Aktenvermerk, einigen wenigen kleinen Randeinrissen und einigen kleinen Tintenflecken; leicht stockfleckig.‎

‎Voigts-Rhetz, Konstantin Bernhard von, preußischer General (1809-1877).‎

‎Eigenh. Brief mit U. Aachen, 29. X. 1876.‎

‎1 S. auf Doppelblatt. Folio. Mit eh. Adresse verso. Dank- und Bittschreiben an einen königlichen Bergmeister namens Baner in Düren. Als Gegenleistung für Baners Karte werde Voigts-Rhetz die ihm bekannte Bergkarte von Düren übermitteln; er bitte außerdem um die Ergänzung seiner Karte sowie um Fixierung der losen Blätter: "In Berlin eingetroffen wird es mein bestes Geschäft sein Ihnen die Generalstabs-Charte des Berg-Bezirks von Düren zu verschaffen. Euer Wohlgeboren würden mich unendlich verpflichten, wenn Sie die große Gefälligkeit hätten, mir auch die übrigen Theile Ihres Bezirks eintragen zu lassen; ich habe zu diesem Zweck die noch fehlenden Blätter der gr. Charte aus Berlin kommen lassen und lege sie, der Anpassung wegen, der schon erhaltenen Charte bei [...]". - Mit Empfängervermerk, Ausriss durch Brieföffnung und Ausschnitt des Siegels; gestempelt. Verso etwas angestaubt, leicht stock- und braunfleckig.‎

‎Wang Yutian, Chinese embassador in East Germany (from 1973-74).‎

‎Signature on a postcard of a view of Peking. N. p., 29. III. 1974.‎

‎8vo. 1 page. Together with the original envelope of transmittal from the Chinese Embassy.‎

‎Blanc, Louis, French socialist and historian (1811-1882).‎

‎Autograph letter signed. London, 10 March 1870.‎

‎8vo. 1 p. on bifolium. With autogr. envelope. To Hedwig Stenger in Mixnitz (Styria, Austria), who got into touch with him by reason of getting an autograph quotation: "Je m'empresse de faire ce que vous désirez, en vous envoyant quelques lignes écrites de ma main, et je vous prie de croire que je suis en ne peut plus touché des sentiments de sympathie dont votre lettre m'apporte le temoignage [...]". - The addressee had also been in contact with Gustav Struve and Heinrich Hoffmann von Fallersleben.‎

‎Brachvogel, Carry, Schriftstellerin (1864-1942).‎

‎Eigenh. Brief mit U. München, 25. XI. 1908.‎

‎2 SS. auf Doppelblatt. 8vo. An eine Dame: "Man sagt mir, daß hier Vorträge arrangiert [folgen die Namen von Konzertagenturen sowie der "Verein für Fraueninteressen"]. So sagt man mir, u. ich hoffe, daß diese Auskünfte sich als richtig erweisen u. Ihnen nützen. Persönliche Erfahrungen fehlen mir aber in dieser Hinsicht vollkommen [...]". - Carry Brachvogel "schrieb Romane und Novellen, in denen zumeist weibliche Figuren aus dem bürgerlichen, künstlerischen oder bäuerlichen Milieu im Vordergrund stehen (u. a. 'Die Schauspielerin', 1927), sowie historische Monographien wie z.B. 'Die Marquise Pompadour' (1905)" (DBE). 1942 wurde sie in Theresienstadt ermordet. - Im linken Rand gelocht.‎

‎Greif, Martin (d. i. Friedrich Hermann Frey), Schriftsteller (1839-1911).‎

‎4 eigenh. Briefe mit U. München und Kassel, 1877-1883.‎

‎Zusammen 11 SS. auf Doppelblättern. 8vo. An den namentlich nicht genannten Schriftsteller Balduin Groller: “Wider meine [...] Hoffnung erhielt ich heute mein Schauspiel von [Heinrich] Laube zurück [...] Ich schicke Ihnen [...] zunächst das verurtheilte Stück, damit Sie sehen was ich aus dem Stoffe gemacht habe und zugleich beurtheilen, ob ich nun verdiente Zurückweisung erfahren habe [...]” (Br. v. 19. X. 1877). Des weiteren über den gemeinsam verbrachten Abend “in Ihrem trauten Familienkreise” (undat. Br.) und über den Maler Wilhelm Trübner (ebd. sowie im Brief vom 26. IV. 1882: Von allen Seiten gehen mir die günstigsten Beurtheilungen über d. Trübner’sche Zeichnung [...] zu [...]”). - “Ihr neues Buch ‘Weltliche Geschichten’ [recte: ‘Weltliche Dinge. Neue Geschichten] ist mir gestern zu meiner lebhaften Freude zugekommen u. ich habe dasselbe schon zu lesen begonnen. Ueber den Eindruck werde ich ein getreues Referat niederschreiben und es jedenfalls noch rechtzeitig vor Weihnachten zur Veröffentlichung bringen. Hervorragende Zeitungen stehen mir unterschiedlich offen [...]” (Br. v. 28. XI. 1883). - Greif, als Sohn eines Regierungsdirektors in Speyer geboren, diente 1857-67 in der bayerischen Armee und lebte anschließend als freier Schriftsteller in München und zeitweise auch in Wien. "Seine Dramen verarbeiteten häufig historische Themen. Für sein patriotisches Schauspiel 'Ludwig der Bayer oder Der Streit von Mühldorf' (1891) errichteten ihm die Bürger von Kraiburg/Inn ein eigenes Festspielhaus. Aus Greifs lyrischem Werk, das seit 1870 zunehmend patriotische Züge trug, ragt die Naturlyrik hervor, die in einfacher Strophen-, Reim- und Versform sowie in volksliedhaftem Ton geschrieben ist" (DBE). Vgl. auch Kosch I, 725. - Der aus Arad stammende Balduin Groller (d. i. Adalbert Goldscheider, 1848-1916) leitete von 1886-92 die ‘Neue Illustrierte Zeitung’ und seit 1895 das ‘Neue Wiener Journal’ und war “perhaps the most capable and inventive of the Austrian detective-story writers: his Detektiv Dagobert is perhaps Austria's nearest approach to Sherlock Holmes” (Willard Huntington Wright, The Great Detective Stories. In: The art of the mystery story. Edited by Howard Haycraft. New York, Simon and Schuster, 1946). Als Feuilletonist und humoristischer Erzähler ebenso bekannt wie vielgelesen, veröffentlichte er über dreißig Novellen und Romane, war Vizepräsident des Journalisten- und Schriftstellerverbandes "Concordia" und Mitglied der Kunstkommission des österreichischen Kultusministeriums. Vgl. auch Kosch I, 696.‎

‎Kafka, Franz, writer (1883-1924).‎

‎Autograph letter signed ("K"). [Prague, mid-November 1921].‎

‎Large 8vo (223:145 mm). 1 p. (20 lines in pencil on paper lined in blue). To his friend Robert Klopstock, an Hungarian-born medical student with literary ambitions whom Kafka had met three years earlier at a different sanitarium, a fellow sufferer from tuberculosis: "Lieber Robert, was sind Sie doch für ein Mensch! Fräulein Irene ist aufgenommen. Ein Mädchen, das in 26 Jahren (offenbar entsprechend ihren Anlagen) keine andere Kunstarbeit gemacht hat, als die schlechte Kopie einer schlechten Ansichtskarte, keine andere Ausstellung gesehn hat als die von Hauptmann Holub, keinen Vortrag gehört hat, ausser den von Saphir, keine Zeitung gelesen hat ausser die Karpathenpost - dieses Mädchen ist aufgenommen, schreibt halbglückliche Briefe nicht ohne Feinheit, ist die Freundin eines offenbar bedeutenden Mädchens. Wunder über Wunder und von Ihnen heraufgezaubert. Ich wärme mich daran in diesem traurigen Winter". H. Wetscherek (ed.), Kafkas letzter Freund. Der Nachlaß Robert Klopstock (Vienna, Inlibris, 2003), no. 9. M. Brod (ed.), Kafkas Briefe 1902-1924 (Frankfurt/M., S. Fischer, 1958), p. 364.‎

‎Kerr, Alfred, Schriftsteller und Kritiker (1867-1948).‎

‎Eigenh. Titelblattentwurf mit Namenszug. O. O., wohl 1929.‎

‎½ S. Folio. "Alfred Kerr | Die Allgier trieb nach Algier ... | Ausflug nach Afrika". - Kerrs Buch erschien 1929 im S. Fischer Verlag, Berlin. - Stellenweise etwas knittrig und mit einem kleinen Ausriss am rechten oberen Rand.‎

‎Klabund (d. i. Alfred Henschke), Schriftsteller (1890-1928).‎

‎"Weibertreu. Eine indische Anekdote, erzählt von Klabund". Eigenh. Manuskript mit Namenszug im Titel. O. O. u. D.‎

‎4 SS. auf 4 Bll. Gr.-4to. Mit eh. adr. Kuvert. "Meine Damen! Ich hoffe, daß Sie mir die folgende kleine Geschichte nicht übelnehmen werden; denn sie ist ziemlich leichtfertig. Aber ich möchte Ihnen zur Beruhigung mitteilen, daß sie sich im fernen Indien zugetragen hat, und daß in Europa derartige Frauen nicht vorzukommen pflegen. In Europa gilt, wie bekannt, die Ehe als Sakrament, und noch niemals hat in Europa eine Frau ihrem Gatten die Ehe gebrochen. Es war einmal ein Herr, namens Viradhara, und eine Dame, namens Kamadamini. Letztere war ein junges, zartes und fröhliches Geschöpf, während ihr Gatte Viradhara bereits jenes Alter erreicht hatte, von dem es im indischen Sprichwort heißt: ein alter Esel zieht nicht mehr am Korbwagen. Kamadamini fand nun, daß es noch genug junge Esel gäbe, die ihren kleinen Korbwagen gerne ziehen möchten, sofern sie sie nur einspanne. Solches tat Kamadamini und geriet in einen Ruf, der selbst bis zu ihrem alten Gatten drang [...]". - Die Erzählung wurde erstmals und mit zahlreichen Abweichungen abgedruckt in "Kunterbuntergang des Abendlandes", 1922 im Münchner Roland Verlag erschienen (SS. 143-148), an dessen Inhaber Albert Mundt das Kuvert auch adressiert ist. - Die Recto-Seite von Bl. 1 mit einer zeitgenöss. Bleistiftnotiz von fremder Hand; papierbedingt stärker gebräunt und mit kleinen Randläsuren.‎

‎Mann, Thomas, Schriftsteller (1875-1955).‎

‎Eigenh. Brief mit U. (Initialen). München, 13. XI. 1900.‎

‎½ S. 8vo. In Bleistift. Auf Briefpapier mit Briefkopf "Thomas Mann". An seinen Jugendfreund, den späteren Kunsthistoriker und Romanisten Otto Grautoff (1876-1937): "Lieber, ich sehe, ich werde mich gewöhnen müssen, mittags der knapp bemessenen Zeit wegen in der Stadt zu essen, und zwar so zwischen 3/4 12 und 1 Uhr. Das ist früh, aber wir sollten trotzdem dabei zusammen halten. Ich war heute im Heck und es hat mir ganz gut gefallen. Iß doch in den nächsten Tagen auch um 12 Uhr dort. Es wird mit meinem Fuß wohl so wie so nicht mehr lange dauern. - Dank für Brief und Drucksache. Der Aufsatz ist hübsch geschrieben, das kann ich sagen. Über die Vorträge mußt Du mir noch mündlich erzählen [...]". - Nach Grautoffs Tod im Pariser Exil erwarb der Verleger Kurt Leo Maschler (1898-1986) die Korrespondenzsammlung von dessen Witwe Erna Grautoff. Nach Maschlers Flucht aus Österreich 1938 wurde der zurückgelassene Bestand von der Gestapo der ÖNB überstellt und von dieser in deren Autographensammlung einsigniert (am unteren Rand die ÖNB-Signatur von 1939: Autogr. 141/58-56). 1949 wurde die Sammlung an Maschler rückgestellt (vgl. ÖNB, Allg. Verwaltungs- u. Korrespondenzakten 00/1949 A); erworben aus dem Nachlaß Maschler. T. Mann, Briefe an Otto Grautoff 1894-1901 und Ida Boy-Ed 1903-1928, hg. von Peter de Mendelssohn (Frankfurt a. M. 1975), S. 126. Die Briefe Thomas Manns. Regesten und Register. Bd. I. Briefe 1889-1933, bearb. und hg. von Hans Bürgin u. a. (Frankfurt a. M. 1976) 00/27. Nicht bei T. Mann, Große Frankfurter Ausgabe, Briefe I (1889-1913) (Frankfurt a. M. 2002).‎

‎Mauthner, Fritz, Schriftsteller und Philosoph (1849-1923).‎

‎Eigenh. Brief mit U. Berlin, 1. V. 1892.‎

‎1 S. 8vo. An einen "cher maître", d. i. der namentlich nicht genannte Maler und Graphiker Max Liebermann (1847-1935): "Ihre Karte erhielt ich nach Prag nachgeschickt, wo ich beim Geburtstag meiner Mutter war. Ich konnte also nicht kommen. Vielleicht lassen Sie sich mal bei uns sehn, bei gutem Wetter und mit Käthe? Im Grunewald, in unsrem Garten | Giebt's Kirschenbäume von zwei Arten. | Die andre Art hat schon drei Blüthen, | Die eine aber wird sich hüten [...]". - Der Sohn eines deutsch-jüdischen Webereibesitzers schrieb von 1876 bis 1905 Feuilletons und Theaterkritiken für das "Berliner Tageblatt" und wurde durch seine literarischen Parodien "Nach berühmten Mustern" (1878) sowie durch zahlreiche Novellen, Essays und historisierende Romane bekannt. Die eigentliche Bedeutung des Feuilletonisten und Kritikers Mauthner liegt jedoch vornehmlich auf dem Gebiet der Sprachkritik, der er sich seit der Jahrhundertwende verstärkt zuwandte ("Beiträge zu einer Kritik der Sprache", 1901/02); mit seinem radikal-skeptischen Standpunkt hatte Mauthner auf die Literatur seiner Zeit (u. a. auf Hugo von Hofmannsthal, mit dem er auch korrespondierte) großen Einfluss. - Auf Briefpapier mit gedr. Briefkopf. - Mit kleinen Randläsuren und einem größeren Einriss im Mittelfalz; am rechten oberen Rand etwas knittrig.‎

‎Molo, Walter Ritter von, Schriftsteller (1880-1958).‎

‎Eigenh. Brief mit U. ("Walter"). Murnau, 20. XII. 1935.‎

‎1¾ SS. Gr.-8vo. An einen namentlich nicht genannten Adressaten: "[...] Mein Lieber! Ich bin † † † von der Arbeit an meinem Eugen, er wird [...] am 2. fertig sein - erscheint 10. März als Buch! PRIMA! Aber dann habe ich Erholung nötig [...]". - Der einer schwäbischen Reichsritterfamilie entstammende Schriftsteller wuchs in Wien auf, studierte an der Technischen Hochschule Maschinenbau und Elektrotechnik und arbeitete anschließend als Ingenieur. 1915 übersiedelte er nach Berlin und war Gründungsmitglied des Deutschen P.E.N-Clubs (1919) und von 1928 bis 1930 Präsident der Sektion Dichtkunst der Preußischen Akademie. Bis 1945 zurückgezogen auf seinem Gut bei Murnau lebend, trat der Verfasser historisch-biographischer Romane erst wieder nach dem Zweiten Weltkrieg u. a. als Mitbegründer der Akademie der Wissenschaften und der Literatur in Mainz an die Öffentlichkeit. - Im linken Rand gelocht (keine Textberührung).‎

‎Morgenstern, Christian, Schriftsteller, Kritiker und Übersetzer (1871-1914).‎

‎Eigenh. Brief mit U. ("Chr.M*"). Wohl Berlin, 23. IV. 1910.‎

‎1 S. auf Doppelblatt. Gr.-8vo. An die Lyrikerin Margarete Beutler (1884-1949), der er eine alte, auf die Innenseite des Doppelblattes mit Schreibmaschine geschriebene Rezension (Durchschlag) von einem ihrer früheren Gedichtbände übersendet: "Liebe Frau Margarethe, finde soeben beim - sit venia verbo - 'Ausmisten' alter Briefschaften umige Leistung, die ich seinerzeit wohl für das berühmte Buchhändler Börsenblatt [...] verfasst habe. Ich benütze das Papier nicht jedoch in diesem Sinne - sondern lediglich als Vehikel eines 'Sörgeleins', Sie möchten meine jüngsten Expectorationen ein wenig überflüssig gefunden haben [...]". - In seiner Rezension hatte Morgenstern den betreffenden Gedichtband als "das Hervorragendste von Frauenlyrik" bezeichnet, "was seit Langem in Deutschland erlebt wurde", und die Dichterin selbst mit dem "herrlichen Schlesier Johann Christian Günther, dem sie am nächsten kommt", verglichen. - Mit größeren Einrissen bzw. Läsuren im Falz und an den Rändern; die Briefseite von alter Hand mit "III" numeriert, die Innenseite mit Rotstift für den Druck bezeichnet.‎

‎Péladan, Joséphin, French novelist and Martinist (1858-1918).‎

‎Autograph letter signed. Villenoy, 16. VI. 1911.‎

‎1½ pp. on bifolium. 8vo. To a lady in Paris, authorizing her to translate an article from Le Figaro into German, for a third of her payment. Péladan gives his permission more generally for his other articles: "Je vous autorise volontiers à traduire en allemand l'article du Figaro, contre le tiers de vos honoraires et même d'une façon générale mes autres articles que ne font pas partie d'une serie déterminée [...]". - Ink slightly smudged in a few places.‎

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