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‎Pierre MOINOT‎

‎Lettre autographe signée de Pierre Moinot‎

‎s. l. 30 juin 1951 | 16.50 x 21.50 cm | un feuillet‎

‎Lettre autographe signée de Pierre Moinot à des amis, Madame et Monsieur O'Heguerty, datée du 30 juin 1951, 16 lignes à l'encre bleue. Rédigée pendant l'écriture du premier roman de Pierre Moinot, la lettre s'ouvre sur une citation d'Albert Camus tirées deNoces, qui rappelle le rôle déterminant de l'écrivain dans le lancement de la carrière littéraire de son cadet. Le titre du roman, Armes et Bagages, qui paraîtra l'année suivante, devient la source d'anagrammes comiques à l'adresse de deux amis, les époux O'Heguerty: «[...] Armes et bagages sont devenus Bagares et mages Mega sabretages Ombrages à étages Ramages gastèbes Serge m'abat sage Bragètes à games Batages émargés» La signature de Moinot est accompagnée d'un petit dessin d'oiseau, clin d'il humoristique au nom de famille de l'auteur. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64368

‎Gus BOFA‎

‎Lettre autographe signée de Gus Bofa‎

‎s. l. s. d. | 18 x 21.50 cm | un feuillet‎

‎Lettre autographe signée de Gus Bofa à l'une de ses connaissances, 16 lignes à l'encre violette accompagnées d'un dessin au crayon à papier. Pliure inhérente à la mise sous pli, déchirure sans manque au niveau du dessin. Adressée à une amie de Gus Bofa et de son épouse, qui semble avoir subi «un long voyage dans la tempête!», la lettre est empreinte de l'humour de son auteur: «nous y joignons deux bons baisers bien chaud pour achever de vous sécher». La missive est enrichie d'un dessin original de Gus Bofa représentant deux oiseaux posés sur un radiateur dont l'un s'écrit «Spring has come!» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64369

‎Pierre-André BENOIT‎

‎Poème autographe inédit "L'arbre"‎

‎s. l. s. d. | 6 x 10.50 cm | un feuillet‎

‎Poème inédit autographe signé de Pierre-André Benoit intitulé «l'arbre», 9 lignes à l'encre noire accompagnées d'un dessin représentant un arbre en pied du feuillet. Structuré autour de la figure de l'anaphore, le poème dégage une charmante sensibilité. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64370

‎Paul MOUNET‎

‎Lettre autographe signée de Paul Mounet‎

‎Paris 1910 | 13.50 x 21.50 cm | un feuillet remplié‎

‎Lettre autographe signée de Paul Mounet probablement adressée à une comédienne, 30 lignes à l'encre noire sur papier vergé comportant l'adresse du café la Régence en tête. Pliures inhérentes à la mise sous pli, petite déchirure sans manque de texte. La missive porte sur les détails d'une production théâtrale à venir que Mounet, alors comédien à la Comédie-Française, réclame avec insistance auprès de son interlocutrice: «Il faut que j'aie l'autorisation - [de jouer hors du Français]» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64371

‎Édouard DRUMONT‎

‎Lettre autographe signée d'Edouard Drumont "Rions un peu! Cela distrait"‎

‎s. l. 3 avril 1891 | 10 x 13 cm | un feuillet remplié‎

‎Lettre autographe signée d'Edouard Drumont, datée du 3 avril 1891, 40 lignes à l'encre noire sur papier à en-tête comportant l'adresse « 157, rue de l'Université » Pliure inhérente à la mise sous pli. Défié en raison de ses positions antisémites radicales, Drumont adresse à un abbé une lettre singulière sur la question du duel: «Je comprends tout ce qu'un prêtre doit penser du duel et je suis de votre avis mais c'est une nécessité dans certains cas» Loin de renier ses opinions, («Tous les Juifs du monde entier m'adressent des cartels»), l'auteur se défend en adoptant une position sarcastique par rapport au duel: «La meilleure façon de les éviter est de se déclarer prêts à les accepter». L'humour qui clôt la lettre notamment par l'insertion d'un dialogue fictif montre toute la dérision avec laquelle Drumont considère sa situation: ««ah vous ne vous battez pas? C'est bien sûr? , - bien sûr... - Eh bien! moi je veux me battre jusqu'à ce que mort s'en suive!» Rions un peu! Cela distrait.» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64384

‎André ROLLAND DE RENÉVILLE‎

‎Six lettres autographes signées d'André Rolland de Renéville‎

‎Paris et Richelieu, 1939-1940 | 21 x 27 cm | en feuillets‎

‎Ensemble de 6 lettres autographes signées de André Rolland de Renéville, 21 pages à l'encre noire et bleue. Les lettres sont toutes datées sauf une entre le 28 juin 1939 et le 27 mai 1940 et comportent diverses adresses en tête des feuillets. Pliures inhérentes aux mises sous pli. Probablement adressées à un membre du groupe littéraire du Grand Jeu, les lettres offrent un remarquable aperçu du quotidien et de la vie intime de l'auteur dans les années cruciales qui marquent le début de la Seconde Guerre mondiale: «La littérature est bien loin, et d'ailleurs je ne suis pas dans des dispositions intérieures favorables aux travaux de l'esprit» La guerre est perceptible dans les détails que Renéville relate à son destinataire concernant les suppressions des émissions de radio et la situation des différentes personnalités littéraires de l'époque: «Reçu à diverses reprises de bonnes nouvelles des Paulhan, évacués à Marmande (Manche) avec les éditions Gallimard». L'auteur souligne l'impact de cette concrétisation des tensions, explicitée par l'évocation de l'invasion de la Pologne, sur sa mentalité: «Je reconnais que je réagis très mal à toutes les épreuves qui accablent l'Europe [...] Pour un esprit épris de la sérénité orientale, il y a là une défaite particulièrement grave, je m'en rends bien compte! Tout cela n'était que position intellectuelle et non prise de conscience» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64406

‎Emmanuel MOUNIER‎

‎Trois lettres autographes signées d'Emmanuel Mounier‎

‎Paris 23 janvier s. d. [1936] | 13.50 x 21 cm | en feuillets‎

‎Trois lettres autographes signées d'Emmanuel Mounier adressées à Henri Petit, 7 pages à l'encre noire sur papier en tête comportant l'adresse du siège de la revue Esprit. Pliures inhérentes aux mises sous pli. Ensemble de trois lettres apportant des suggestions de correction sur le manuscrit de Un homme veut restervivant: le bilan moral d'uneépoque, débat humaniste sur la foi chrétienne par Henri Petit qui paraitra chez Aubier-Montaigne ennovembre 1936 dans lacollection Esprit, qu'Emmanuel Mouniervenait de prendre en charge en lien avec sa revue éponyme. La position de Mounier, chrétien engagé, l'amène à écrire ces lignes pleines d'ironie: «Prenez ceci pour ce que vous voudrez. Un certain snobisme à la fois de sectaire et d'archéologue s'est bien emparé de la manière d'écrire le dieu (article et minuscule), au dieu, que cela agace un peu. Pourquoi pas Dieu, comme dit à la fois l'incroyant et l'homme de peuple athée? C'est tellement plus sympathique.» (Nous remercions Yves Roullière, vice-président de l'Association des Amis d'Emmanuel Mounier et chargé de ses uvres complètes, du précieux éclairage qu'il nous a apporté sur ces lettres sans nom de destinataire explicite.) - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64419

‎Maxime DU CAMP‎

‎Lettre autographe signée de Maxime Du Camp‎

‎Paris 16 janvier 1869 | 13.50 x 20.50 cm | un feuillet remplié‎

‎Lettre autographe signée de Maxime Du Camp, datée du 16 janvier 1869, 23 lignes à l'encre noire sur papier bleu, adresse manuscrite de l'expéditeur en tête du feuillet. Lettre de demande de recommandation que Maxime Du Camp adresse très courtoisement à son interlocutrice qui semble l'avoir secouru par le passé. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64422

‎Henry de MONTHERLANT‎

‎Lettre autographe signée de Henry de Montherlant‎

‎19 juin 1949 | 13.50 x 21 cm | un feuillet‎

‎Lettre autographe signée de Henry de Montherlant adressée à Robert Pignarre, datée du 19 juin 1949, 15 lignes à l'encre bleue, enveloppe jointe. Pliures inhérentes à la mise sous pli. Lettre chaleureuse de remerciement adressée au professeur Robert Pignarre à la suite d'une conférence à l'Alliance française sur son uvre: «j'en ai goûté fort le sérieux et l'objectivité». - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64424

‎Pierre PUVIS DE CHAVANNES‎

‎Lettre autographe signée de Pierre Puvis de Chavannes‎

‎Paris, 9 mai 1898 | 12 x 15 cm | un feuillet‎

‎Lettre autographe signée de Pierre Puvis de Chavannes, datée du 9 mai 1898, 19 lignes à l'encre noire, papier à en-tête comportant l'adresse de l'hôtel particulier de son épouse Marie Cantacuzène "89 avenue de Villiers". Emouvante lettre de remerciement du peintre Pierre Puvis de Chavannes: «La pensée d'associer mon uvre [...] à votre propre sentiment paternel me laisse une impression inexprimable, intime, pleine d'émotion.» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64430

‎Napoléon-Jérôme BONAPARTE‎

‎Quatre lettres de Napoléon-Jérôme Bonaparte, aux signatures maçonniques, adressées au peintre Géniole‎

‎Italie, circa 1842 | 13.50 x 20.50 cm | 4 feuillets rempliés‎

‎Ensemble de quatre lettres signées de Napoléon-Jérôme Bonaparte au peintre Géniole, deux sont datées du 21 août et du 12 décembre [1842], 6 pages à l'encre brune, adresse du destinataire au dos des feuillets, deux sceaux de l'expéditeur en partie conservés. Pliures inhérentes aux mises sous pli. Quelques infimes tâches sans atteinte au texte. La singularité de cet ensemble de lettres est constituée par la présence d'un signe franc-maçon rare (deux points de part et d'autre d'une ligne) entrelacé à la signature du Prince Napoléon. Le symbole explicite les liens étroits qui unissent la famille Bonaparte et la franc-maçonnerie qui aboutiront à faire de Paris la capitale de la franc-maçonnerie sous le Second Empire ainsi qu'à la création de la loge «Bonaparte» en 1852 dont fera partie Napoléon-Jérôme Bonaparte. En 1842, le jeune Napoléon-Jérôme Bonaparte, cousin de Napoléon III, est en voyage en Italie en compagnie d'Alexandre Dumas qui tirera de cette expérience son célèbre Comte de Monte-Cristo. Habitué des milieux artistiques, le Prince Napoléon confie ici ses préoccupations au peintre Alfred André Géniole: « Toutes les lettres que l'on m'a adressées à Milan ne me sont pas parvenues ayant passé par le Tyrol et c'est par le plus grand des hasards que j'ai appris ici que l'on me retiendrait à la frontière.» Les lettres retracent la période délicate que traverse la famille Bonaparte exilée dont le représentant principal, le futur Napoléon III, est alors détenu au fort de Ham: «Il y a aussi un nouvel arrangement entre mon frère [Jérôme Napoléon Bonaparte]et moi, il ne peut plus être mon témoin, mon père ne voulait pas voir ses deux fils compromis à la fois.» Traitant parfois de sujets artistiques, comme la composition des armes du Prince Napoléon, les missives révèlent l'ennui qui s'empare du jeune Bonaparte, dont la liberté est limitée, notamment lors de son passage à Bologne: «Vous êtes bien heureux d'être tranquille, personne ne le sent plus que moi qui m'embête furieusement ici [...] Bologne est un bouge affreux, il n'y a que les morts qui y [suitent ?] agréablement le cimetière étant magnifique.» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64434

‎WILLY [Henry GAUTHIER-VILLARS]‎

‎Carte autographe de Willy "Ah ! ah ! vous aussi, vous êtes pornographe !"‎

‎s. d. | 11.50 x 8 cm | une carte‎

‎Carte autographe signée de Henry Gauthier-Villars dit Willy, 6 lignes à l'encre violette, adresse de l'expéditeur en pied : « Rue de Courcelles 93 ». Cocasse lettre de Willy, personnalité centrale de la vie mondaine parisienne du tournant du XIXe, où transparaît tout son goût pour l'humour et la provocation: «Ah! Ah! Vous aussi, vous êtes pornographe! Je ne suis pas fâché, mon cher confrère, de me trouver en si bonne compagnie». - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 64435

‎Michel BUTOR‎

‎Lettre autographe signée à Georges Raillard‎

‎février 1974 | 18.60 x 27 cm | une feuille, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe inédite signée de Michel Butor à Georges Raillard, datée defévrier 1974. 54 lignes rédigées au stylo noir sur une feuille rempliée, l'adresse du destinataire figurant au dos. Michel Butor s'adresse depuis Albuquerque (Nouveau-Mexique) à Georges Raillard,critique littéraire et spécialiste des peintres espagnols Antoni Tapies et Joan Miro. Butor remercie son destinataire pour les compliments qu'il a reçus à propos de l'Enchantement, son projet d'adaptation de La Modification pour la télévision, qu'il avaitécrit en 1971.Il entretient son destinataire de ses déboires universitaires, alors qu'il accède avec difficulté à un poste de maître-assistant à l'université de Nice. Pourtant titulaire d'un doctorat d'Etat, on lui refusa un poste de professeur - optimiste, il écrit à Raillard "il y a une forte tendance à Nice et à Paris à considérer que ce poste pourra être interprété comme la titularisation de celui que j'ai occupé pendant 3 ans. Le point essentiel est naturellement la question du traitement, or, me dit-on, il est vraisemblable qu'il ne peut être inférieur à celui que j'avais l'an passé, les syndicats risquent de s'alarmer devant le précédent que constituerait une telle rétrogradation". Il est également question d'une collaboration pour les Cahiers du XXe siècle aux éditions Klincksiek, qui aboutira un an plus tard sur une série d'interviews de Butor par Raillard, intitulée « Entretien sur la notion de modernité». Butor donne carte blanche à son ami "il vaut mieux, à tous égards, et pour vous et pour moi, que vous constituiez cet ouvrage comme vous l'entendez, et vous n'avez aucune raison de tenir le moindre compte des hypothétiques jalousies de Nathalie Sarraute". - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 65719

‎STENDHAL‎

‎«Un solitaire est jaloux de sa liberté. C'est son plus grand bien comme c'est celui de tous les hommes.» Lettre autographe adressée à sa soeur Pauline‎

‎10 Floréal 13 [30 avril 1805] | 18.50 x 23.10 cm | une feuille‎

‎Lettre autographe de Stendhal adressée à sa sur Pauline. 28 lignes rédigées d'une fine écriture à l'encre noire. Prénom «Pauline» de la main de l'expéditeur au bas de la lettre. Numéro d'inventaire «36» à l'encre d'une autre main. Deux petites traces de timbre et cachet, une petite déchirure restaurée en marge basse de la page. Quelques infimes pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre. Rare et belle lettre de Stendhal adressée à sa sur Pauline, dans laquelle transparaît toute la sensibilité du jeune homme et son amour pour l'art dramatique plus d'une vingtaine d'année avant ses grands succès romanesques. Cette lettre provient de la correspondance qu'entretint Henri Bayle, ici âgé de vingt-deux ans, avec sa sur Pauline de trois ans sa cadette. Cette véritable liaison épistolaire, qui prit bien vite la forme d'un «journal» - les réponses de Pauline étaient rares - est un jalon essentiel dans la constitution du parcours intellectuel du futur Stendhal. Notre lettre, d'un grand lyrisme, témoigne de la force du lien unissant le jeune écrivain et sa sur: «Serrons-nous l'un contre l'autre ma bonne amie. Nous ne trouverons jamais personne qui aime Pauline comme Henri, ni Henri ne trouvera jamais une plus belle âme que Pauline.»L'emploi de la troisième personne et d'un vocabulaire amoureux érige la jeune femme au rang d'alter ego, d'âme-sur et même de maîtresse idéale. Le jeune Henri est alors justement sous le joug d'une dévorante passion pour la comédienne Mélanie Guilbert qu'il a rencontrée à l'occasion de ses cours de déclamation chez Dugazon: «Je m'en vais peut-être vous ennuyer par ma sombre tristesse. Je sais bien que le sérieux des passions ardentes, n'est pas aimable. » Contrastant avec cette relation passionnée, Pauline symbolise la raison et l'équilibre, une figure qu'Henri, tel un pygmalion peut façonner à loisir. En bon précepteur il conseille: «Apprends par cur des rôles. À propos de déclamation, je t'apprendrai mille choses. Je te porte un Gil Blas, et un Tracy.» On comprend ici l'adoration que Stendhal voua au théâtre dès ses plus jeunes années, tant en qualité de lecteur que de dramaturge (le fonds de ses archives à la Bibliothèque de Grenoble contient près de 700 feuillets d'ébauches): «Je suis au désespoir de ne pas pouvoir vous porter des Bonnets. Mais attendez, peut-être un jour viendra que...comme dit Ulino.» Cette passion du théâtre, Henri compte bien la transmettre à sa sur: «Nous travaillerons comme des diables, pendant le temps que je resterai à Grenoble.» En contrepied total avec l'éducation des femmes à son époque, il mit un point d'honneur à ce que Pauline soit une personne instruite; on retrouve d'ailleurs dans plusieurs lettres des injonctions du frère ordonnant à sa sur d'abandonner les travaux d'aiguille au profit des lectures qu'il lui recommande. Véritablement obsédé par le théâtre et persuadé qu'il deviendra un auteur de comédies à succès, il travaille sans relâche: «On m'annonce une chambre où je ne serai pas libre, et où je ne pourrai pas seulement déclamer. Tâche de déranger cet arrangement.» Bien des années avant la rédaction des grands romans qui feront sa renommée, Stendhal comprend déjà que la solitude - thème cher aux écrivains romantiques - est pour lui source de création et affirme: «Un solitaire est jaloux de sa liberté. C'est son plus grand bien comme c'est celui de tous les hommes.» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 66974

‎Antoine COMPAGNON‎

‎Lettre autographe signée adressée à Georges Raillard‎

‎Paris 6 avril 1979 | 13.50 x 21 cm | 2 feuillets‎

‎Lettre autographe signée d'Antoine Compagnon adressée à Georges Raillard. Deux pages sur deux feuillets, rédigées à l'encre noire. Enveloppe jointe. Intéressante lettre dans laquelle Compagnon affirme qu'"il y a encore moyen d'écrire. (C'est la question actuelle qui se pose à moi au lendemain de la parution du récit)".Il y évoque également Maurice Nadeau et d'autres connaissances universitaires communes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 67036

‎Roland BARTHES‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Georges Raillard‎

‎Maroc 30 décembre 1968 | 15 x 10.50 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Roland Barthes adressée à Georges Raillard. Treize lignes au feutre noir au verso d'une carte représentant un paysage de Tetouan au Maroc. "Cher Ami, nous nous sommes manqués à Barcelone. Je n'ai pu vous téléphoner - pris dans des retards d'avion - et sans doute étiez-vous déjà partis en vacances dans le Sud, comme vous m'aviez dit. Ne m'en veuillez pas et acceptez avec tous les vôtres mes voeux très amicaux. A bientôt j'espère. Vôtre. R. Barthes" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 67054

‎Roland BARTHES‎

‎Lettre autographe signée à Georges Raillard‎

‎Paris 16 décembre 1968 | 21 x 27 cm | 2 pages sur un feuillet‎

‎Longue lettre autographe signée de Roland Barthes adressée à Georges Raillard. Deux pages rédigées à l'encre bleue rédigée sur un feuillet à en-tête de l'Ecole pratique des hautes études. Enveloppe à en-tête identique jointe. Deux pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de l'enveloppe. "Cher ami, Merci pour votre bonne lettre, merci pour la liste des notabilités et merci pour le chèque. Le hasard veut que je vais repasser quelques heures à Barcelone à la fin de la semaine. Je n'ai pas pu avoir de place le samedi 21 dans l'avion Genève. Casablanca, qui n'a lieu qu'une fois par semaine et tenu par des dates compliquées, j'ai été obligé, pour aller au Maroc, de prévoir d'aller de Genève à Barcelone, puis de Barcelone à Madrid et à Tanger. Si tout va bien - car avec les avions on ne sait jamais, j'arriverai à Barcelone, de Genève, le samedi 21 à 19h40, je coucherai à l'hôtel Colon (dont j'ai un bon souvenir), je repartirai pour Madrid le dimanche après-midi 22. Je ne veuxen rienvous déranger (j'ai même hésité à vous dire mon passage), et au reste je serai pris, en principe le samedi soir - mais si par hasard, vous étiez à Barcelone le dimanche et que vous n'ayez vraiment rien de mieux à faire, on pourrait déjeuner ensemble ; maissurtoutne changez rien à vos projets, fussent ils de repos. Vous pouvez me laisser un mot à l'hôtel Colon d'où je vous téléphonerai samedi soir, à l'Institut ou chez vous. Je n'ose dire que j'espère vous revoir - car c'est aussi risquer de vous déranger ; de toutes manières, à bientôt. Amitiés autour de vous - et pour vous. Roland Barthes" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 67060

‎Hans HARTUNG‎

‎Carte postale autographe adressée à Georges Raillard‎

‎29 août 1977 | 15 x 10.50 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe d'Hans Hartung adressée à Georges Raillard. Neuf lignes à l'encre noire au verso d'une carte postale bleue monochrome légendée "Vacances méditerranéennes sous un ciel d'azur". "Cher Ami, ce n'est que dernièrement que j'ai reçu une copie de votre article à propos de ma peinture dans la Quinzaine Littéraire ; merci mille fois de vous rappeler de moi, et aussi gentiment ! Comment allez-vous ? Où êtes-vous ? Je vous envoie bien des amitiés d'Anna Eva et les miennes. Hans Hartung" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 67100

‎Hans HARTUNG‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Georges Raillard‎

‎Madrid 29 juin 1970 | 15 x 10 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée d'Hans Hartung adressée à Georges Raillard. Sept lignes au stylo à bille au verso d'une carte postale représentant des danseurs de sardane. "Mille fois merci et un bon souvenir de "votre" ville ! En espérant de vous revoir bientôt un jour. Bien à vous, Anna-Eva et Hans Hartung" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 67104

‎Louis, Chevalier de SADE‎

‎Ensemble complet des archives du Chevalier de Sade‎

‎s. l. (Londres, Paris, Toulon...) 1791-1832 | 12000 feuillets de divers formats | en feuilles‎

‎Exceptionnel ensemble des archives manuscrites inédites et complètes de Louis, Chevalier de Sade (1753-1832), auteur du Lexicon politique et cousin du Divin Marquis représentant environ 12 000 feuillets manuscrits dont plusieurs milliers inédits et écrits de sa main. Le Chevalier y expose un système de pensée de type « holistique», comprenant à la fois des réflexions historiques, politiques et scientifiques. Précieuses archives géopolitiques, historiques et scientifiques d'un aristocrate érudit, témoin privilégié de la fin de l'Ancien Régime, de la Révolution française, du Consulat, de l'Empire et de la Restauration. Fonds unique de recherches sur la mise en place d'une monarchie constitutionnelle. * Si l'on regarde la Révolution Française comme la naissance de l'expérimentation de l'idéologie laïque et politique, le chevalier de Sade en fut sans doute un des premiers et précoces déconstructeurs. Non de la Révolution elle-même qui connut pléthore de contempteurs, mais de l'idéologie en politique, phénomène qui devait profondément marquer les deux siècles à venir. Ce qu'il nomme la «politique positive» est «fondée sur le calcul et sur l'expérience.». «La théorie a eu des charmes pour moi ; je l'ai étudiée avec soin, j'ai savouré ses principes. Maintenant je n'apprécie leur valeur que par les effets provenant de leur mise en pratique, qu'on leur a vu produire chez les peuples dont l'histoire est parvenue à ma connaissance. C'est ma méthode ; je sais qu'elle est, du tout au tout, l'opposée de celles que nos gouvernants et nos faiseurs de constitutions ont suivies jusqu'à présent sans s'en désister. Cette divergence continuelle entre ce qui s'est fait et ce qu'on n'aurait pas dû faire, en augmentant ma confiance dans ma manière de procéder a fortifié en même temps ma résolution à persister dans la vue que j'avais adopté, de juger les législations par les conséquences historiques qu'elles ont entraînée après elles, plutôt que par les beaux raisonnements métaphysiques et supposés concluants, dont les novateurs n'ont cessé et ne cessent tous les jours de nous accabler.» Le Chevalier de Sade, qui ne concevait le monde qu'au regard de ce qu'il fut, ne pouvait être autre que Royaliste. La démocratie n'avait pratiquement aucun exemple dans l'histoire connue du Chevalier, hormis les antiques sociétés grecques et romaines qui n'avaient expérimenté que des formes très élitistes de démocraties. Ces modèles sont d'ailleurs bien connus du politologue dont les archives contiennent plus de 7000 pages consacrées à l'Histoire antique. La République portée par la Révolution, plus qu'une adoption d'un modèle politique, fut la réalisation politique d'un idéal philosophique. Or, si la plupart des opposants à ce nouveau régime y voyaient surtout une atteinte à leur situation personnelle, à leurs convictions religieuses ou plus simplement à leurs habitudes, les écrits du Chevalier de Sade ne relèvent d'aucune influence dogmatique ou, du moins, ne se justifient jamais par celle-ci. Louis de Sade, gentilhomme sans fortune et sans attache, est conservateur par conviction philosophique et historique, et non par intérêt. Et c'est avec une parfaite honnêteté intellectuelle qu'il étudie et commente les essais, mémoires et uvres politiques ou théoriques de ses contemporains. à contre-courant de la pensée des Lumières, le chevalier porte un regard très peu philosophique sur la société. Bien qu'il construise une véritable histoire théorique de l'évolution des hommes depuis l'état «sauvage» jusqu'aux constitutions des sociétés, il ne postule pas une nature idéale de l'homme, comme le font certains de ses contemporains (que ce soit pour justifier la politique ou pour la déplorer). Au contraire, le chevalier relève la césure entre l'être de nature et l'être de culture, sans porter de jugement moral ou philosophique sur celle-ci comme il était alors d'usage de le faire. «L'erreur politique qui a perdu l'Europe du XVIIIè a été de baser ses raisonnements et‎

Bookseller reference : 67693

‎Jean RICARDOU‎

‎Bristol postal autographe signé concernant le projet d'organisation d'un colloque sur Raymond Roussel‎

‎Paris 5 Octobre 1975 | 8 x 12.50 cm | une feuille avec enveloppe‎

‎Bristol autographesigné de Jean Ricardou à Georges Raillard, critique littéraire et professeur à l'université de Vincennes-Saint Denis, à propos d'un colloque sur Raymond Roussel organisé à l'initiative de Gilbert Lascault et Georges Raillard et auquel Jean Ricardou a été convié de participer. 20 lignes au feutre, enveloppe jointe. "P, le 5/10/75. D'accord, en principe, cher Raillard, pour participer à un Arc sur Roussel. Et merci à Lascault et à vous d'avoir songé que j'y pourrais prendre place. Pour moi, ce sera en fait une question de temps; encore que les délais soient des plus raisonnables. Au premier abord, ce que j'e"ntrevois, c,est un rapport RR / NR à différents niveaux mais peut-être que, entre temps, j'aurais envie de faire un peu autre chose... A vous, bien." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 67955

‎Jean-Clarence LAMBERT‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Georges Raillard‎

‎Lagorce 27 Décembre 1967 | 13.50 x 9 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Jean-Clarence Lambert adressée à Georges Raillard depuis le mas de La Rouvière le Lundi 27 Décembre 1967. Six lignes au stylo à bille au verso d'une carte postale représentant le village de Lagorge en Ardèche afin de présenter ses voeux de bonnes fêtes de fin d'année à Georges Raillard, alors directeur de l'Institut français de Barcelone, et sa femme Alice. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 67959

‎Antonio TORRES‎

‎Carte postale autographe signée adressée à sa traductrice en français Alice Raillard‎

‎Coimbra 25 Janvier 2000 | 14.50 x 10.50 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe datée et signée de l'écrivain brésilien Antonio Torres adressée à la traductrice de ses oeuvres en français Alice Raillard depuis Coimbra le 25 Janvier 2000 représentant une vue de la ville. "Alice, une pensée à toi, ici, à Coimbra, où ja parle pour le public de l'université. (Pardon pour mon pauvre français...) Abracos pare voce e Georges, mon officier !" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 68058

‎Antonio TORRES‎

‎Carte postale autographe signée adressée à sa traductrice en français Alice Raillard‎

‎Coimbra 12 Novembre 1995 | 14.50 x 10.50 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe datée et signée de 11 lignes, et entièrement écrite en brésilien, de l'écrivain Antonio Torres adressée à la traductrice de ses oeuvres en français Alice Raillard depuis Rome le 11 Novembre 1995 représentant la place saint-Pierre. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 68151

‎Edgar DEGAS‎

‎Lettre autographe inédite signée‎

‎Dieppe 1er septembre 1885 | 22.40 x 17.70 cm | 4 pages sur un double feuillet‎

‎Lettre autographe inédite signée d'Edgar Degas à Albert Bartholomé, peintre et plus tard sculpteur et grand ami deDegas. Sa femme est Prospérie de Fleury, décédée en 1887, déjà malade en 1885.4 pages à l'encre noire sur un feuillet remplié. Une pliure centrale inhérente à la mise sous pli du courrier. Belle lettre inédite témoignant de l'autre grande passion de Degas après la danse?: le chant. "Dieppe, chez M. Halévy, rue de la Grève, 1 Septembre 85 Si je n'ai pas de nouvelles de votre femme, ni de vous, mon cher ami, je n'ai aucune peine à vous avouer que c'est par ma faute et que je l'ai bien mérité! Ecrivez-moi, dites-moi où et comment vous êtes tous les deux, continuez à me croire tous les deux meilleur que je ne le parais. J'aime toujours Sigurd et je l'aime de plus en plus, je n'ai vu Reyer qu'une fois et dans la rue. Et je n'ai pas oublié de lui parler de l'admiration qu'il avait provoquée beaucoup plus immédiatement sur moi que sur une personne qui, pour être ni bonne ni blanchisseuse, ni du commun, méritait quelque considération. On vous fera voir cet ogre charmant cet hiver. Mais sans piano. La partition qu'on me joue ici est paraît-il des plus mal arrangées. C'est un certain Vidal qui est l'arrangeur, et Reyer s'en lave d'autant plus les mains, qu'il ne sait pas jouer du piano, qu'il compose dans les bois et non au clavecin et qu'il ne sait pas la musique. Oeuvre admirable, qui me fait tant de bien, que je ne peux plus m'en passer. Le jeune [Jacques-Emile] Blanche, notre voisin, me la joue tous les jours, à défaut de votre femme. Avez-vous jamais vu le Mont Saint-Michel ? Pourrions-nous un jour y aller passer quelques jours ensemble ? Que c'est beau, que c'est attachant. En un mois j'y suis allé deux fois. Les grandes marées de la fin de septembre vont m'y ramener une troisième. Ecrivez-moi le plus tot que vous pourrez, je serai encore ici toute la semaine. Je vous sers à tous deux bien affectueusement la main." * La première parisienne de l'opéra wagnérien Sigurd d'Ernest Reyer eut lieu le 12 juin 1885 à l'Opéra de Paris. Degas, subjugué par la prestation de la chanteuse Rose Caron vit la pièce à trente-sept reprises?: «?J'aime toujours Sigurd et je l'aime aussi de plus en plus. Je n'ai vu Reyer qu'une fois et dans la rue. Et je n'ai pas oublié de lui parler de l'admiration qu'il avait provoquée beaucoup plus immédiatement sur moi que sur une personne qui, pour être ni bonne, ni blanchisseuse, méritait quelque considération.?» Degas rendit hommage à la beauté de Rose Caron dans Sigurd en réalisant deux dessins sur éventails, aujourd'hui en mains privées aux États-Unis. Véritablement obsédé par cette «?uvre admirable qui [lui] fait tant de bien, qu['il] ne [peut] plus [s']en passer?», le peintre réclame à son célèbre voisin de lui en interpréter la partition au piano?: «?Le jeune [Jacques-Emile] Blanche notre voisin me la joue tous les jours, à défaut de votre femme.?» La lettre s'achève sur une description lyrique du Mont Saint Michel, dont Degas fit plusieurs dessins?: «?Avez-vous jamais vu le Mont Saint Michel?? Pourrions-nous un jour y aller passer quelques jours ensemble ?? Que c'est beau, que c'est attachant. En un mois j'y suis allé deux fois. Les grandes marées de la fin de septembre vont m'y ramener une troisième.?» La passion de Degas pour l'opéra est retracée dans une exposition, en l'honneur du 350è anniversaire de l'Opéra de Paris, se déroulant du 24 septembre 2019 au 19 janvier 2020 au musée d'Orsay. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 68398

‎ANONYME‎

‎(Prostitution) Brevet d'invention - Caisse d'Horloge‎

‎Paris s. d. [circa 1800] | 23.50 x 18.30 cm | une feuille‎

‎Curieux manuscrit d'une quinzaine de lignes sur une feuille lignée au crayon de papier, portant le titre "Brevet d'invention - Caisse d'Horloge". "Un Physionomiste célèbre a constaté que les Filles de mauvaise Vie avaient le cachet de leur inconduite sur leurs Figures. En livrant leur corps a une exploitation honteuse, le sang s'altere il devient aqueux, la décomposition arrive et les couleurs disparaissent. La peau se ride, les yeux deviennent Cernés, le sang altéré par le vice n'a pas plus de sexe qu'une Caisse d'Hologe (sic). Pourquoi une Société s'est Formée contre la Corruption des Murs cause de la dégénérescense de l'espèce humaine et qualifie les impudiques de Caisse d'Hologe (sic) afin qu'elles soient vouées à l'exécration publique. Par leurs toilettes excentriques, produit de leur conduite Criminelle, elles se font reconnaitre et font la honte des honnetes filles. Le réparateur des murs envoyé par la Société dont le siège est à Paris." Très rare document manuscrit. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 68537

‎Charles BAUDELAIRE‎

‎Lettre autographe datée et signée de Charles Baudelaire à Philoxène Boyer concernant l'intrigante Léontine B.‎

‎Paris 25 Juin 1854 | 11.50 x 18.50 cm | une page recto-verso‎

‎Lettre autographe, datée du 25 Juin 1854, et signée de deux pages de Charles Baudelaire à Philoxène Boyer, qu'il surnomme "mon cher Lyrique", dans laquelle il s'excuse d'avoir manqué un rendez-vous avec lui, lui avoue son impécuniosité et lui rend compte des efforts déployés par Léontine B., une intrigante qui finira par compromettre Philoxène Boyer en raison de ses dettes, pour assister à une fête à laquelle elle n'est pas conviée et qui en retire une certaine jalousie : "Vous présumez bien, mon cher Lyrique, qu'il a fallu hier quelque chose de grave pour que j'aie manqué ce rendez-vous. Voici ce que je vous aurais dit : 1 - mon argent n'est pas venu ; mais il viendra. / 2 - Léontine s'entête. Je suis persuadé que je me suis très bien acquitté de ma commission de confiance. Je suis revenu à la charge trois fois. Quand enfin j'ai pu lui expliquer soigneusement que cette fête était familiale, secrète, que Boyer lui-même était censé l'ignorer, - elle m'a répondu : Eh bien, ce n'est plus un secret puisque je le sais." Enfin, tout en reconnaissant à Léontine "un tour d'esprit très original" et bien que l'attitude de cette encombrante intrigante : "... vous cause de l'inquiétude et je le comprends...", Charles Baudelaire plaide pour l'indulgence et la clémence : "puisqu'elle s'entête si fièrement je vous engagerais à laisser courir l'évènement. Ce n'est après tout que l'hommage d'un esprit étourdi." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎STENDHAL‎

‎Lettre autographe adressée à sa soeur Pauline : «?Voilà mes rêveries, (...) tu es la seule personne au monde à qui j'ose les dire.?»‎

‎26 mars 1808 | 20 x 24.80 cm | 3 pages 1/2 sur un double feuillet‎

‎Longue lettre autographe de Stendhal, adressée à sa sur Pauline, rédigée d'une écriture fine à l'encre noire. Adresse du père de Stendhal chez qui réside sa sur, à Grenoble et tampon «?n°51 Grande Armée?». Cachet de cire rouge aux armes de Stendhal. Plusieurs pliures d'origine, inhérentes à l'envoi postal. Un manque de papier, dû au décachetage de la lettre, habilement comblé. Très belle lettre, empreinte de passion romantique, mêlant nostalgie de l'enfance et histoires sentimentales et préfigurant Le Rouge et le Noir. * Cette lettre provient de la correspondance qu'entretint le jeune Henri Beyle ici âgé de vingt-cinq ans avec sa sur Pauline de trois ans sa cadette. Cette véritable liaison épistolaire, qui prit bien vite la forme d'un «?journal?» les réponses de Pauline étaient rares est un jalon essentiel dans la constitution du parcours intellectuel du futur Stendhal?: «?Voilà mes rêveries, ma chère amie ; j'en ai presque honte ; mais, enfin, tu es la seule personne au monde à qui j'ose les dire.?» Dans cette lettre témoignant du lien fort entre frère et sur, Stendhal, alors en Allemagne, fait part de toute sa nostalgie?: «?J'ai repassé dans ma mémoire tout le temps que nous avons passé ensemble?: comment je ne t'aimais pas dans notre enfance ; comment je te bâtis une fois à Claix, dans la cuisine. Je me réfugiai dans le petit cabinet de livres ; mon père revint un instant après, furieux, et me dit?: «?Vilain enfant?! Je te mangerais?!?». Ensuite, tous les maux que nous fit souffrir cette pauvre tatan Séraphie ; nos promenades dans ces chemins environnés d'eau croupissante, vers Saint-Joseph.?» Ces regrets d'un temps passé s'accompagnent d'une mélancolie toute stendhalienne?: «?Hélas?! Ce bonheur charmant que je me figurais, je l'ai entrevu une fois à Frascati, quelques autres à Milan. Depuis lors, il n'en est plus question ; je m'étonne de n'avoir pu le sentir. Le seul souvenir en est plus fort que tous les bonheurs présents que je puis me procurer.?» Cette évocation de l'Italie regrettée va de pair avec les femmes qu'il a aimées?: «?Je t'ai conté qu'étant à Frascati, à un joli feu d'artifice, au moment de l'explosion, Adèle s'appuya un instant sur mon épaule ; je ne peux t'exprimer combien je fus heureux. Pendant deux ans, quand j'étais accablé de chagrin, cette image me redonnait du courage et me faisait oublier tous mes malheurs. Je l'avais oubliée depuis longtemps ; j'ai voulu y repenser aujourd'hui. Je vois malgré moi Adèle telle qu'elle est ; mais, tel que je suis, il n'y a plus le moindre bonheur dans ce souvenir.?» Ce long passage concernant Adèle Rebuffet, sa cousine avec laquelle il vécut une histoire sentimentale forte avant d'entretenir des relations plus intimes avec sa mère, témoigne du sentimentalisme de Stendhal. Il évoque d'ailleurs une autre de ses brûlantes passions, Angelina Pietragrua, idéal de la femme italienne et incarnation de ses souvenirs milanais?: «?Madame Pietragrua c'est différent?: son souvenir est lié à celui de la langue italienne ; dès que, dans un rôle de femme, quelque chose me plait dans un ouvrage, je le mets involontairement dans sa bouche.?» Ce «?rôle de femme?» que mentionne Stendhal est un écho à l'essentiel de cette lettre, l'uvre Il Matrimonio segreto du compositeur Cimarosa?: «?Joues-tu quelquefois le Matrimonio?? C'est le passage Cara sposa au commencement entre Carolina et Paolino. [...] Mais joue le Matrimonio pour l'amour de moi surtout Signor deh permettette et la finale Io rival de mia sorella.?» Cet opéra de Cimarosa, loin d'être une lubie passagère, jalonnera toute la vie et l'uvre de l'écrivain. Dans ses Souvenirs d'égotisme (1832) il explique?: «?à Milan, en 1820, j'avais envie de mettre cela sur ma tombe [...] Je voulais une tablette de marbre de la forme d'une carte à jouer?: «?Errico Beyle Milanese Visse, scrisse, amò Quest'anima adorava Cimarosa, Mozart e Shakspeare Morì di anni... il ... 18...?» («?Henri Beyle Milanais Il vivait, écrivait‎

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‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte de visite autographe adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 2 février 1979 | 12.70 x 8.10 cm | une carte de visite sous enveloppe‎

‎Carte de visite autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Quelques lignes à l'encre. Enveloppe jointe. L'encre a légèrement bavée, l'enveloppe ayant sans doute été mouillée. L'écrivain adresse cette carte depuis Sommières, sa retraite languedocienne, à son amante Janine Brun : "Janine est-ce que vos dates sont fixés [sic] ? Je ne sais pas si je suis de retour de Londres avant le 10 samedi - écris moi pour me dire - Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70292

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Tout le monde cherche quelqu'un de fidèle tout en restant 'libre' en échange !" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières s. d. [circa 1970] | 15 x 10 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une vue des bords de la Vidourle à Sommières. Admirable et humoristique confession de l'écrivain à sa jeune amante : "Tout le monde cherche quelqu'un de fidèle tout en restant 'libre' en échange ! Bientôt je serai impuissant et le problème n'existera plus !". Durrell revient sur ses nombreuses conquêtes féminines ("Pour l'instant je suis comblé de belles et j'en profite - pourquoi pas !") et donne de précieux conseils à sa destinataire, qui avait choisi de rester indépendante malgré les prières de l'écrivain : "Tu n'es pas heureuse en amour parce que tu es intéressée - tu cherche [sic] des combines toujours au lieu de te donner sans réserve ni réservation ! C'est quand on deviens [sic] esclave qu'on est vraiment heureux !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70299

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 18 octobre 1971 | 15 x 10.50 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu, au verso d'une citation de Nietzsche soulignant une image humoristique. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70300

‎Lawrence DURRELL‎

‎"Demain soir je vais en Angleterre" Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎s. d. [circa 1970] | 12.70 x 8.10 cm | une carte de visite‎

‎Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches. L'écrivain informe sa jeune amante française d'un imminent départ à Londres, où il venait fréquemment visiter son éditeur : "Je suis chez Alan Thomas. 16 Holbury St. Chelsea. Faites moi signe quand tu veux [sic] Love, Larry" . Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Pierre LOUYS‎

‎Lettre autographe signée adressée à un ami qu'il nomme "khiliarque"‎

‎1er février 1921 | 11.10 x 14.60 cm | 4 pages sur un double feuillet‎

‎Lettre autographe signée de Pierre Louÿs adressée à un ami qu'il nomme "khiliarque". Ecriture ample et calligraphique à l'encre violette. Une déchirure sans manque de texte à la première page. Eloquente lettre témoignant de la santé fragile de Pierre Louÿs les dernières années de sa vie : "Vous me retrouvez en pleine crise d'emphysème. Médecins. Ventouses. Potions. Régime. Intertitude chaque jour sur la journée du lendemain." La missive laisse également percevoir la passion de l'écrivain pour la dramaturgie, notamment grâce à l'évocation de Gustave Quinson, alors directeur du théâtre du Palais-Royal. "Voulez-vous être tout à fait gentil ? Envoyez-moi d'abord votre livret que je suis si curieux de connaître..." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70510

‎Lawrence DURRELL‎

‎"youth at the prow and beauty at the helm" luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Grèce 28 mai 1981 | 14.60 x 10.20 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, sa jeune amante française, rédigée au feutre bleu, au verso d'une illustration humoristique mettant en scène Poséidon. L'écrivain a séjourné au Club Méditerranée et en chante les louanges par un vers du poème néomédiévalThe Bard,de Thomas Gray et un de Baudelaire : "youth at the prow and beauty at the helm" (Jeunesse à la proue et beauté à la barre) luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you (tout est fait pour vous) J'ai envie de rester encore vingt ans ici. That would make me 110 years old (j'aurais 110 ans)." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70551

‎Lawrence DURRELL‎

‎tournage du film adapté de son livre "Justine" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 3 janvier 1969 | 14.60 x 10.20 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une illustration humoristique de Lassalvy. L'écrivain adresse ses voeux pour l'année 1969 à sa jeune amante française, et s'apprête à suivre le tournage du film adapté de son roman "Justine", premier volume de son Quatuor d'Alexandrie: "Je vais à Londres samedi pour un mois de 'filmage'. Amuse toi bien mais sagement !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70552

‎Lawrence DURRELL‎

‎"dear and pretty chapeau jaune [...] phone-moi veux-tu ?" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 20 juin1968 | 14.60 x 10.20 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photographie surmontée de la légende humoristique "Finies les vacances !! Les blés sont fauchés / Les vacanciers aussi !!" L'écrivain tente de revoir sa jeune amante française entre deux déplacements : "Dear and pretty chapeau jaune. je suis au mazet vendredi mais chez moi le soir. Vendredi je suis seul. phone-moi veux-tu ? si possible ? Car je m'en vais à Paris dimanche soir pour trois jours mais j'attends un coup de téléphone de là bas pour décider". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70553

‎Stefan ZWEIG‎

‎« J'avais la chance de pouvoir acquérir le lot entierunjour avant que Bayreuth envoyait une personne de confiance » Lettre autographe signée adressée à Alfred Cortot et son épouse à propos du fonds de manuscrits de Richard Wagner‎

‎Londres 26 décembre 1937 | 17.90 x 22.90 cm | une feuille‎

‎Lettre autographe signée de Stefan Zweig adressée à Alfred Cortot, deux pages sur un feuillet rédigées à l'encre violette. Superbe lettre autographe dans laquelle le fin collectionneur fait part de son acquisition de manuscrits inédits de Wagner à son ami Alfred Cortot qui lui-même doit à sa précoce découverte du compositeur allemand, sa carrière de chef d'orchestre. Cortot partageait en effet avec Zweig son « envoûtement quasi tyrannique [subi] avec autant d'ivresse que de ferveur » pour le compositeur. Zweig, qui parlait de sa collection comme « plus digne de me survivre que mes propres uvres » (Le Monde d'hier, 1942) refait pour son ami le détail de cette incroyable découverte de centaines de feuillets oubliés, comprenant de la correspondance intime de Wagner, des partitions et extraits de livrets d'opéras de sa main dont Le Hollandais volant, La sublime fiancée, Les Fées, La défense d'aimer (ou La Novice de Palerme) ainsi qu'une version orchestrale perdue de Rule Britannia. En ce mois de décembre 1937, alors qu'il est réfugié à Londres fuyant la terreur brune, Zweig s'enthousiasme pour des archives d'un temps où l'Europe intellectuelle vivait en parfait syncrétisme. L'écrivain pose un regard nostalgique sur les papiers de Richard Wagner, qui, comme lui, a passé sa jeunesse à parcourir les capitales européennes : «J'ai eu la chance extraordinaire de pouvoir mettre la main pendant un petit séjour à Vienne sur tout un lot de manuscrits musicaux et littéraires deRichard Wagnerde sa première époque (Leipzig, Magdebourg, Riga et Paris)». Parmi ces précieux manuscrits, se trouve entre autres le rarissime arrangement orchestral du chant patriotique anglaisRule Britannia, disparupendant plus de soixante ans. Partageant sa passion de Wagner avec son ami le pianiste Cortot, il lui annonce sa découverte avec cet émerveillement si familier aux collectionneurs devant une trouvaille exceptionnelle :" [...]Il contient des choses qui vous intéresseront spécialement par exemple la traduction complète (60pages) la version française (inédite (je crois) du texte du "Liebesverbot")entièrement de la main de Wagner, puis les manuscrits d'une chanson de vaudeville "Descendons la Courtille"(qu'il faisait dans sa misère la plus noire) [...]presque trente pièces du plus haut intérêtet justementde l'époque la plus rare. Tout cela était caché pendant 50 ans dans une collection privée et j'avais la chance de pouvoir acquérir le lot entierunjour avant que Bayreuth envoyait une personne de confiance". La lettre constitue un fascinant témoignage de la vie parallèle de Zweig, qui s'était forgé une réputation de collectionneur éclairé. Sa collection lui a par ailleurs inspiré une de ses plus belles nouvelles,La collection invisible (die Unsichtbare Sammlung) ainsi qu'un essai pionnier dans leDeutscher Bibliophilen Kalender (De la collection d'autographes considérée comme un art). Ses centaines d'autographes historiques, musicaux et littéraires du Moyen-Age au XXe siècle, étaient soigneusement répertoriés dans des catalogues et rassemblés dans la bibliothèque-musée de sa maison du Kapuzinerberg : "Dans cette bibliothèque, "lieu de culte", il exerce aussi une véritable activité d'expert en autographes [...] La bibliothèque attirera un nombre de savants professeurs, parfois accompagnés de leurs assistants, qui n'hésiteront pas à revenir y travailler au calme des jours d'affilée, voire des semaines" (Stefan Zweig, le voyageur des mondes,Serge Niemetz). Avec cette acquisition, Zweig voit se réaliser le rêve de tout collectionneur. Exilé depuis deux ans en Angleterre, et bravant la progressive fermeture des frontières de l'Europe, Zweig retourne à Vienne à temps et fait l'achat de ces documents exceptionnels, soustraits aux émissaires de Bayreuth qui rassemblaient déjà à l'époque une importante collection aujourd'hui gérée par le musée et la fondation Wagner. On reconnaît également dans cette lettre la curiosité insatiable de Zweig biographe,‎

Bookseller reference : 70612

‎Lawrence DURRELL‎

‎"le babysitting ; assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire" Lettre dactylographiée et autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 23 janvier 1970 | 13 x 20 cm | 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre dactylographiée et autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. L'amante de l'écrivain envisage un séjour à Londres ; Durrell lui donne des conseils sur les agences de babysitting : "assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire ; pour cela il faut déclarer votre intention de rester au moins 6 mois dans le pays (on peut toujours le dire !) [...] N'oubliez pas qu'il y a toujours le grand lycée Français de Londres [...]" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70620

‎Lawrence DURRELL‎

‎"je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 10 novembre 1969 | 13.90 x 10.10 cm | une carte postale, enveloppe jointe‎

‎Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'un dessin humoristique. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa vie dans sa maison de Sommières à son amante française : "Je me force de [sic] travailler un peu - c'est à dire je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours [...] Il pleut. Je coupe du bois aussi et bientôt il faut que je ramasse les mûres. Much love, Larry D". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Lawrence DURRELL‎

‎"Toi, tu peux m'écrire en Français. J'ai du mal à l'écrire mais je le comprends très bien". Lettre autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Paris 18 juillet 1969 | 21.60 x 28 cm | 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun datant du début de leur relation. Une page au stylo bille bleu. Enveloppe jointe. L'écrivain adresse ici une des premières lettres de sa correspondance avec sa jeune amie montpelliéraine, qui s'étendit sur plus de deux décennies. Encore peu habitué à la langue française, il demanda de l'aide pour traduire sa lettre : "J'espère bien mieux te connaître [...] Gérard a traduit ceci de l'anglais pour moi. Comprendrais-tu si la prochaine fois j'écrivais en anglais [...] ?" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières circa 1970 | 9.50 x 6.50 cm | une carte de visite sous enveloppe‎

‎Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Lawrence DURRELL‎

‎"le MONTAGUE HOTEL à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable" Lettre autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 22 août 1969 | 12.60 x 20.30 cm | 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées sur deux feuillets. Pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain arrange pour son amante un séjour à Londres et a demandé à son éditeur Alan G. Thomas de l'accueillir : "Thomas a déjà réservé une chambre au MONTAGUE HOTEL [...] à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable.Maisvérifiez vos dates et télégraphiez lui en avance pour qu'il refasse l'opération". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Lawrence DURRELL‎

‎"m[ake] great haste" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 2 février 1970 | 8.70 x 12.70 cm | une carte postale, enveloppe jointe‎

‎Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir au verso d'une vue en noir et blanc de l'intérieur du temple de Diane à Nîmes. Enveloppe jointe. L'écrivain donne des nouvelles de sa fille : "Saph part pour Israel troisième semaine de février" et attend avec impatience la venue de son amante : "m[ake] great haste" (viens vite). Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70629

‎Maurice BÉJART‎

‎"Je reçois les Saisons à l'instant et c'est une joie de vous sentir présent à travers les lignes" Carte postale autographe signée adressée à André-Philippe Hersin‎

‎Capri 20 juillet 1972 | 10.40 x 15 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Maurice Béjart depuis Capri adressée à André-Philippe Hersin, qui était alors à Avignon pour le festival de théâtre et de danse. Au verso se trouve un dessin représentant les armoiries de Sir Galahad. Le chorégraphe adresse une chaleureuse missive au rédacteur desSaisons de la danse, dont il vient de lire le dernier numéro. Hersin fut en effet un grand défenseur du style chorégraphique de Béjart et lui consacra d'élogieux articles dans sa revue ainsi que des fascicules monographiques sur son oeuvre. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70632

‎Maurice BÉJART‎

‎"Ispahan où nous étions ensemble est toujours aussi émouvant." Carte postale autographe signée adressée à André-Philippe Hersin‎

‎Ispahan 22 novembre 1974 | 14.90 x 10.20 cm | une carte postale‎

‎Carte postale autographe signée de Maurice Béjart adressée à André-Philippe Hersin, au verso d'une reproduction photographique représentant lesminarets tremblants d'Ispahan. Le chorégraphe adresse cette carte postale depuis l'Iran, où il créa en 1971 sous le patronage de l'impératriceFarah Pahlavi son balletGolestan(La roseraie), eten 1974 au festival de Shiraz son balletMallarmé III,sur une musique de Pierre Boulez. Ce serait également à cette période que Béjart se serait converti à l'Islam après la rencontre de Dariouche Safvate, éminent musicien soufi kurde. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70633

‎Lawrence DURRELL‎

‎"je suis vraiment navré pour le voyage" Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières 16 septembre 1971 | 17.90 x 12.80 cm | un feuillet‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre bleu. L'écrivain présente ses excuses à sa jeune amante française, à qui il avait promis un voyage : "Je suis vraiment navré pour le voyage. mais un peu plus tard. L.D." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70820

‎Lawrence DURRELL‎

‎Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun‎

‎Sommières circa 1970 | 9.50 x 6.50 cm | une carte de visite‎

‎Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. L'écrivain donne l'adresse de son éditeur londonien à sa jeune amante française afin qu'il l'acceuille à son arrivée : "ALAN THOMAS [...] si le taxiteur n'est pas sûr dites lui que Hobury St se trove [sic] directement en face du pub WORLD'S END dans le KING'S ROAD." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70821

‎Lawrence DURRELL‎

‎"maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main" Lettre autographe signée adressée à Jani Brun à propos du roman Tunc‎

‎Sommières 18 juillet 1968 | 21.20 x 13.40 cm | 1 feuillet sous enveloppe‎

‎Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre brun, datant du début de leur relation. Pliure centrale inhérente à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain, en pleine écriture de son roman Tunc, donne des nouvelles à sa nouvelle amante française dans un français encore hésitant : "Enfin pour le moment pas des [sic] aventures à vous raconter. trop de travail. trop de correspondance. Mon fils (de Claude [-Marie Vincendon, épousée en1961]) est ici est [sic] aide Barbie avec les papiers. Il la trouve jolie mais moi je suis plein des [sic] sentiments peu charitables. En tous cas maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main. Je ne serais maisentièrementmécontent de te revoir un de ces jours. si l'idée vous vient". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70824

‎Zoé RAILLARD DE MARSAC‎

‎Lettres‎

‎1860 | 12.50 x 18.50 cm | relié‎

‎Recueil constitué de la copie de plusieurs lettres et d'articles au sujet de la parution d'une plaquette de poèmes en faveur des pauvres. Ces lettres cherchent à recueillir des souscriptions, des commandes ou une approbation, avec la protection du curé de Saint-Sulpice qui a adhéré au projet ; elles s'adressent tant à des proches que d'illustres personnages, l'Empereur par exemple, à des institutions religieuses ou d'éducation, avec pour objet la charité. Reliure en demi basane rouge d'époque. Dos lisse orné de fers romantiques en miroir. Titre doré : Souvenir d'une amie. Chiffre E. R. sur le plat supérieur. Absence des pages de garde marbrées sur le premier et dernier feuillet de garde. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 70985

‎George SAND‎

‎"Je suis toujours enfermée pour écrire, ou sortir pour me promener." Lettre autographe signée adressée à Léon Curmer‎

‎Paris jeudi 7 mai [1840] | 13.60 x 20.90 cm | une page sur un double feuillet‎

‎Lettre autographe signée de George Sand adressée à l'éditeur Léon Curmer. Une page rédigée à l'encre noire sur un double feuillet. Cette lettre a été publiée dans la correspondance complète réunie par Georges Lubin. "Monsieur, J'ai parcouru votre recueil avec beaucoup d'intérêt, et j'accepte la collaboration que vous m'avez offerte, mais je ne pourrais m'occuper de vous satisfaire que dans six semaines ou deux mois. Si cette époque vous convient veuillez bien me le faire savoir ainsi que les conditions de la rédaction. " Le "recueil" dont il est ici question n'est autre queLes Français peints par eux-mêmes. Sand ne collaborera cependant pas à cette monumentale somme de types lui préférant, quelques années plus tardLe Diable à Paris publié sous la direction de son proche ami l'éditeur Hetzel. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Bookseller reference : 77244

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