‎First edition‎

‎Grandes constructions : Epicerie. Imagerie d'Épinal Pellerin n°355.‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légère déchirure marginale sur le côté gauche, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35286

‎Grandes constructions Mouvement par le Caoutchouc : Le Savetier. Imagerie d'Épinal Pellerin n°563.‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Coin supérieur droit légèrement plié, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35288

‎Grandes constructions : La Locomotive. Imagerie d'Épinal Pellerin n°159.‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Coin supérieur gauche très légèrement émoussé, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35292

‎Grandes constructions faciles : Case indienne. Imagerie d'Épinal Pellerin n°43.‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Coins gauches très légèrement émoussés, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35296

‎Grandes constructions - Mécanisme marchant au sable : Le Cordier. Imagerie d'Épinal Pellerin n°541‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légers plis au coin inférieur droit, infime déchirure marginale sur le côté gauche, couleurs légèrement passées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35303

‎Grandes constructions : Gare. Imagerie d'Épinal Pellerin n°158‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Léger pli au coin inférieur gauche, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35306

‎Grandes constructions - Mécanisme : La Fête du village. Imagerie d'Épinal Pellerin n°503‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35309

‎Grandes constructions faciles : La Cabane du pêcheur. Imagerie d'Épinal Pellerin n°16‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Importante déchirure en partie supérieure gauche restaurée, plis dans le coins inférieur droit avec déchirures, légers plis aux coins supérieur droit et inférieur gauche, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35360

‎Grandes constructions : Le MARENGO vaisseau cuirassé. Imagerie d'Épinal Pellerin n°376‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères traces de plis dans les coins, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35366

‎Grandes constructions : Chemin de fer. Imagerie d'Épinal Pellerin n°510‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Traces de plis dans les coins supérieurs, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35370

‎Grandes constructions : Le Rémouleur. Imagerie d'Épinal Pellerin n°537‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Déchirure en marge de gauche avec très légère atteinte à l'estampe, légère déchirure en marge inférieure, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35376

‎Grandes constructions : Bateau pêcheur. Imagerie d'Épinal Pellerin n°555‎

‎Pellerin & Cie, Epinal s.d. (circa 1890), 39 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Très légères traces de plis aux coins, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 35378

‎Groupe des 13‎

‎Catalogue de l'exposition tenue à Avignon du 3 au 18 mars 1951. Broché Très bon Avignon 1951‎

‎édition originale‎

Bookseller reference : 12377

‎Groupements (genre Constructions) n°1 : Le Village‎

‎Pellerin, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 26550

‎Généalogie - Famille COSTA de SERDA (Originaire de Saint-Laurent-de-Cerdans ; Pyrénées-Orientales)‎

‎Manuscrit in-folio en date du 9 Octobre 1860 non paginé, Orné d'une planche HT, faisant office de Frontispice, représentant les Armoiries - sommée d'une couronne comtale - aquarellées de la Famille - Truffé de 20 documents dont la majorité sont des pièces originales d'origines française ou espagnole concernant la restitution officielle du Nom et des Prérogatives Nobilliaires de la Famille Costa de Serda; celles-ci perdues dans la tourmente révolutionnaire (en roussillon), pour faits d'armes rendus en france (pour le roi) et en Espagne contre Napoléon.Reliure de l'époque en plein chagrin maroquiné brun richement décoré de motifs dorés accompagné des initiales de la famille surmontée d'une couronne comtale au centre - dos à nerfs richement orné - Envoi rapide et soigné‎

‎COSTA de SERDA,en Roussillon. Armes d' azur à une croix d'argent bordée d'or, posée sur le sommet d'une montagne de11 coupeaux d'argent, verrdoyée de sinople,la dite croix surmontée d'un diadème royal, foncé de gueules, et accompagnée à dextre et à sénestre d'une étoile aussi d'or.Cimier un casque de profil, surmonté d'une main armée d'une massue.Supports deux lionsLafamille de COSTA a occupé un rang distingué dans la noblesse du Roussillon.LaChesnayedesBois lui attribue pour auteur un Christophe Costa qui,après le siège de Milan,fut armé chevalier des mains de l'empereur Charles-Quint. Il fut investi du privilège de noblesse par lettres patentes du même prince données à Bologne le 24 février 1530.Il fut en même temps autorisé à charger ses armoiries d'un diadème royal.Son fils,Léonard,épousa le 27juin 1551 Marguerite Comas,du lieu de Croangues,en Roussillon.Noble don Jean de Costa, Sgr de Llauet de Thuis, descendant des précédents, fit dresser sa généalogie par titres et la fit déposer en 1764 auxarchives des notaires royaux de Perpignan.Louis-Michel de Costa-Serradell et Assiscle-André de Costa prirent part en 1789 aux assemblées de la noblesse du Roussillon.La famille Costa subsistait dans la seconde moitié du xix"siècle.Un de ses représentants, Paul-Émile Costa de Serda,fut promu en 1858 au grade de capitaine.Principale alliance: de Guardia. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148‎

Bookseller reference : 17199

‎Hamburgisches Magazin, oder gesammlete Schriften zum Unterricht und Vergnügen aus der Naturforschung und den angenehmen Wissenschaften überhaupt. BAND 24, Stücke 1-6 in 1 Bd. [Hrsg. von Abraham Gotthelf Kästner, Johann August Unzer u. a.].‎

‎Hamburg, Georg Christian Grund / Leipzig, A. H. Holle, 1759/1760/. 638 S., 7 Bl. Register. Mit gestoch. Titelvign., 3 gefalt. Kupfertaf.(elektrisches Glockenspiel, chines. Werkzeuge zur Bereitung von Horn), Magnetnadel beim Seekompaß) u. 1 Textholzschnitt. 18 cm. HLdr. d. Zt. m. RSch m. marmor. Schnitt.‎

‎Wie meist, ohne die Falttaf. zum Versuch e. künstl. elektrischen Blitzes. Rapp S. 142, La 10; Kirchner I, 3197; Diesch 128. - Aus dem Inhalt: Beschreibung eines elektrischen Glockenspiels. Die Stadt Stockholm. Hilfsmittel den Ackerbau zu verbessern. Elektrische Versuche. Findelkinder. Kultur der Zwiebeln, des Eichen- und Kastanienholzes. Uber Strichheuschrecken. Behördliche Maßnahmen nach dem Erdbeben zu Lissabon. Von der amerikanischen Insel Kalifornien. Camera Obscura. Ob das Verbot der Ehescheidung der Vermehrung des Menschen nachteilig sei. Komet von 1759. Hydrophobie. Entwicklung von Handel und Schiffahrt in Stockholm. Das Verbrennen und Vergraben der Toten bei den Hebräern. Versuch mit dem elektrischen Blitz. Die nordamerikanischen Indianer. Die Ohren des Seepferdes (Meerpferd/Walross) u.a.m. - Zu dem Mathematiker u. Dichter A. G. Kästner (auch: Kaestner, 1719-1800) siehe ADB 15, S. 439-451; NDB 10, S. 734 ff.; zu dem Mediziner J. A. Unzer siehe ADB 39, S. 331; Schröder 4109. - Rückengelenke aufgeplatzt, Buchblock mit meist kurzen Wurmgängen. .‎

Bookseller reference : 91093

‎Haut-Poitou roman‎

‎Collection Zodiaque, La Nuit des temps. 2è édition. Cachet d'ex-libris très discret sur page de garde. Cartonnage d'éditeur sous jaquette illustrée avec boîtier carton. Très bon La Pierre-Qui-Vire Zodiaque 1984 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Bookseller reference : 13735

‎HISTOIRE DE Ptolémée AULETES, Dissertation sur une pierre gravée antique du cabinet de Madame‎

‎Édition originale. - In-12, 465 pp. 2 parties en 1 volume. - Veau brun, dos a nerfs, pièce de titre marocain rouge, titre doré. Ouvrage illustré de nombreuses vignettes sur cuivre dans le texte. Cioranescu, 10321. Page de garde décollée, coins émoussés. Manque à la coiffe, restauration au dos, 14 pages en début d'ouvrage sont récolées (déchirure sans gravitée en haut de page) travail professionnel quelques rares rousseure). Paris : P. Auboüin et C. Clouzier.‎

‎Hors frais d'envoi. édition originale.Vignettes gravées dans le texte. Plein veau, titre sur pièce‎

Bookseller reference : HistoiredePtolémée-1.

‎Histoire d'un géant, écrite par un nain‎

‎Chez Barba, à Paris [1802], 10,3x17,7cm, 307pp., relié.‎

‎Edition originale rare et publiée anonymement. Ouvrage illustré d'une gravure en frontispice "Je n'ai jamais vu un aussi petit homme" par Benoist d'après Claude-Louis Desrais. Reliure en demi veau glacé marron, dos lisse légèrement éclairci orné de frises dorées,plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier caillouté, reliure de l'époque. Rare exemplaire de ce roman satyrique et érotique contant les aventures amoureuses d'un nain et d'un géant. Malgré leur rivalité, ils partagent leurs ébats, le nain caché dans la culotte du géant, pour se venger d'une cruelle marquise. Nous n'avons recensé que quatre exemplaires en collections publiques (Bibliothèque nationale de France, British Library, Bibliothèque du Château d'Oron, Suisse, et Bibliothèque nationale de Hongrie). Absent du Dictionnaire des ouvrages anonymes. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 85150

‎Hommage à Georges Braque‎

‎Genève Galerie E.Engelberts 1962 In-4 En feuille liées par un cordon Edition originale‎

‎Édition originale. Programme du concert privé donné le 15 mai 1962 à l'occasion des 80 ans de Georges Braque. LITHOGRAPHIE ORIGINALE couleur de Georges BRAQUE en couverture, tirée par Mourlot. Textes d'Apollinaire, Reverdy et Char, suivi du programme de la soirée. Illustrations de l'artiste et portrait de Braque par Mariette Lachaud. Tirage unique à 450 exemplaires numérotés. Bon exemplaire 0‎

Bookseller reference : 002308

‎Il Ciarlatano. Costruzione n°70‎

‎s.d. (Circa 1890), 37 x 49 cm, une feuille.‎

‎Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Deux déchirures en marge de droite avec atteinte à l'estampe, léger manque en marge de gauche, coins pliés. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

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‎Invitation au 41ème anniversaire de la fondation des Hydropathes‎

‎28 décembre 1919, 12,8x10,5cm, une feuille.‎

‎Rare invitation à la séance donnée par les Hydropathes, le dimanche 28 décembre 1919, pour le 41e anniversaire de sa fondation. L'événement se tint au grand amphithéâtre de la Sorbonne. Une mention manuscrite indique le nom de l'invité. Un trou en partie supérieure sans atteinte au texte, ainsi qu'un pli vertical au centre du document. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 66580

‎Jahrbuch der bildenden Kunst 1905/06. JG. 4. Begründet durch Max Martersteig unter Mitwirkung von Woldemar von Seidlitz. Hrsg. von Wilhelm Schäfer.‎

‎Düsseldorf, Fischer & Franke, 1905. VII, 128 S., 26 Bll. (= 150 Sp.), XXIV S. Anzeigen in Rot-Schwarz. Mit Jugendstil-Buchschmuck u. zahlr. Abb. u. Illustr. im Text u. auf Taf. 4to (30 cm). OLn. mit goldgepr. Deckelillustr. von Emil Doepler d.J. u. goldgepr. Deckel- u. Rtitel.‎

‎Erste Ausgabe für Wilhelm Schäfer (WG 2, 15). - Text-Beiträge von Ludwig Hevesi, Hans Wolfgang Singer, Max Semrau, Wilhelm Schäfer, Erich Haenel, Ernst Schur, Wilhelm Niemeyer u.a.; Abbildungen nach Gustav Schönleber, Hans Thoma, Ferdinand Hodler, Leopold von Kalckreuth, Thomas Theodor Heine, Emil Rudolf Weiß, Adolf Menzel u.a. Mit Verzeichnissen von Museen, Galerien, Akademien, Ausstellungen, Kunst-Zeitschriften u. -Verlagen, Werkstätten u.a.m. im Anhang. - Leicht berieben, kl. Notiz aV‎

Bookseller reference : 81459

‎Jean Vilar par lui-même‎

‎Très important catalogue, richement illustré. 1/2 chagrin lilas à coins, dos à nerfs orné, filets dorés mors et coins, couvertures conservées. Avignon Maison Jean Vilar 1991 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Bookseller reference : 4618

‎L'Agence. Les photojournalistes de l'Agence France-Presse‎

‎Cartonnage d'éditeur sous jaquette illustrée Très bon Paris La Martinière 2001 1 volume in folio‎

‎édition originale‎

Bookseller reference : 9661