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‎Edition originale‎

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‎(BRETON André) RIBEMONT-DESSAIGNES Georges‎

‎Frontières humaines‎

‎Editions du Carrefour, Paris 1930, 13x19cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Une ombre verticale sur toute la longueur du deuxième plat, sinon bel exemplaire. Couverture illustrée. Précieux envoi autographe signé de l'auteur de Georges Ribemont-Dessaignes à André Breton : "... au grand chanteur / à la sirène / au ........ hélas". - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 28224

‎(BRETON Jules) MUENIER Jules-Alexis‎

‎"Le retour des champs" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Septembre 1898), sujet : 38x27cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Jules-Alexis Muenier pour L'Estampe Moderne, série numéro 17 publiée en septembre 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un poème. Lithographie inspirée d'un poème de Jules Breton, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Époque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style symboliste. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 74577

‎(BRETON Jules) MUENIER Jules-Alexis‎

‎"Le retour des champs" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Septembre 1898), sujet : 38x27cm, planche : 55x40,8cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Jules-Alexis Muenier pour L'Estampe Moderne, série numéro 17 publiée en septembre 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artistedans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée d'un poème de Jules Breton. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style symboliste. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 74578

‎(BRYEN Camille) AUDIBERTI Jacques‎

‎Camille Bryen‎

‎Galerie des deux îles, Paris 1949, 10,5x13,5cm, agrafé.‎

‎Edition originale de ce catalogue d'exposition des oeuvres de Camille Bryen à la Galerie des deux îles à Paris du 24 Mai au 18 Juin 1949. Bel exemplaire. Texte de Jacques Audiberti. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 81889

‎(BURMAN Pierre) PIET Fernand‎

‎"Un marché en Zélande" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juillet) 1898, sujet : 24x31,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Fernand Piet pour L'Estampe Moderne, série numéro 15 publiée en juillet 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos,légère trace du tampon de la gravure précédente au recto ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un texte. Lithographie inspirée d'un extrait de texte de Pierre Burman décrivant une scène de marché,reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 74497

‎(BURMAN Pierre) PIET Fernand‎

‎"Un marché en Zélande" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juillet) 1898, sujet : 24x31,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Fernand Piet pour L'Estampe Moderne, série numéro 15 publiée en juillet 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée d'un extrait de texte de Pierre Burman décrivant une scène de marché. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 74498

‎(BUTOR Michel)‎

‎Michel Butor et ses peintres‎

‎Musée des Beaux-Arts du Havre, Paris 1973, 18x24cm, agrafé.‎

‎Edition originale de ce catalogue d'exposition s'étant tenue au musée des Beaux-Arts du Havre, au palais des Beaux-Arts de Bruxelles et au musée Masséna à Nice. Une petite déchirure avec minuscule manque en tête du second plat. Agréable exemplaire orné de reproductions d'oeuvres de Pierre Alechinsky, Christian Dotremont, Camille Bryen, Bernard Dufour, Jacques Hérold, André Masson, Sebastian Matta, Maria Helena Vieira da Silva, Victor Vasarely... Envoi autographe daté et signé de Michel Butor à ses amis Georges et Alice Raillard. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 67846

‎(BUTOR Michel) & OTTOLENGHI Maria Grazellia MONDRIAN Piet‎

‎Tout l'oeuvre peint de Mondrian‎

‎Flammarion, Paris 1976, 24x31,5cm, reliure de l'éditeur.‎

‎Edition originale. Reliure de l'éditeur en pleine toile vert amande, dos lisse, exemplaire complet de sa jaquette illustrée qui comporte de très légères déchirures marginales sans gravité. Agréable exemplaire. Riche iconographie. Introduction de Michel Butor. Envoi autographe daté et signé de Michel Butor à son proche ami et biographe Georges Raillard. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 65056

‎(CALAIS Charles) COLLECTIF‎

‎Le cahier des poètes N°5 de la 3ème année‎

‎Le cahier des poètes, Paris Août 1914, 14,5x23cm, broché.‎

‎Edition originale de ce numéro spécial consacré au poète Charles Calais. Contributions de Francis Carco, Charles Calais, F.J. Bonjean, V. Rocca... Numéro illustré de 2 portraits. Deux pâles mouillures marginales sur le premier plat affectant également les deux premières pages, sinon agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 23098

‎(CALLOT Soeurs) ANONYME‎

‎Rose de Paris. Robe du soir, de Callot soeurs (pl.50, La Gazette du Bon ton, 1924-1925 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Une petite déchirure sans manque en marge gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 55175

‎(CANOVA Antonio) COLLECTIF‎

‎Per la solenne dedicazione del busto di Antonio Canova nella villetta di-negro‎

‎Tip. del R.I. de'Sordo-Muti, Genova 1842, 17x23,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Contributions de Lorenzo Costa, poèmes en guise d'éloges funèbres de G.C. Di Negro, G. Ponta, J. Sanvitale, P. Parodi, G. Chiappe... Dos fendu comportant des manques, plats marginalement piqués et salis, agréable état intérieur. Exemplaire présenté dans son brochage d'origine sous couvertures muettes. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 21749

‎(CARDUCCI Giosuè) ETIENNE Louis‎

‎Poètes contemporains de l'Italie. Giosuè Carducci‎

‎Extrait de la Revue des deux mondes, (Paris) 1874, 15,5x25cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 20674

‎(Carpentras)‎

‎Bullarium privilegiorum comitatus venaissini.‎

‎Important ouvrage contenant la teneur de différents bulles concernant le Comtat Venaissin. Plein veau raciné, pièce de titre verte, tranches rouges. Reliure de l'époque légèrement usagée. Bon Carpentras Quenin 1780 1 volume in-4°‎

‎Édition originale‎

书商的参考编号 : 9409

Livre Rare Book

Librairie Seigneur
Voingt France Francia França France
[Books from Librairie Seigneur]

€ 250.00 购买

‎(CARROLL Lewis) COLLECTIF‎

‎Album Carroll‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1990, 10,5x17,5cm, reliure de l'éditeur.‎

‎Edition originale. Riche iconographie. Bel exemplaire complet de son rhodoïd. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 36042

‎(CARROLL Lewis) COLLECTIF‎

‎Album Lewis Carroll‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1990, 10,5x17,5cm, reliure de l'éditeur sous étui.‎

‎Edition originale. Reliure éditeur en plein mouton grainé marron, tête orange, dos lisse orné de filets dorés. Riche iconographie. Bel exemplaire complet son rhodoïd et de son étui souple. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 78418

‎(CARROLL Lewis) COLLECTIF‎

‎Album Lewis Carroll‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1990, 10,5x17,5cm, reliure de l'éditeur sous étui.‎

‎Edition originale. Reliure éditeur en plein mouton grainé marron, tête orange, dos lisse orné de filets dorés. Riche iconographie. Bel exemplaire complet son rhodoïd et de son étui souple. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 80034

‎(CARROLL Lewis) COLLECTIF‎

‎Album Lewis Carroll‎

‎Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, Paris 1990, 10,5x17,5cm, reliure de l'éditeur sous étui.‎

‎Edition originale. Reliure éditeur en plein mouton grainé marron, tête orange, dos lisse orné de filets dorés. Riche iconographie. Bel exemplaire complet son rhodoïd et de son étui souple. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 83194

‎(CARTIER )‎

‎Une pendulette et une montre. Bijoux, de Cartier (pl.27, La Gazette du Bon ton, 1924-1925 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 24x18cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 55150

‎(CASANOVA Jacques) LE GRAS Joseph‎

‎L'extravagante personnalité de Jacques Casanova chevalier d'industrie 1725-1798‎

‎Grasset, Paris 1922, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des ex du service de presse. Dos passé, papier jauni. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 13247

‎(CASARES Maria) BLOCH-MICHEL Jean‎

‎Ctésippe‎

‎Gallimard, Paris 1964, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des ex du service de presse. Bel envoi de l'auteur à Maria Casarès. Dos insolé, deux claires mouillures affectant en tête, le premier plat, et en pied, le deuxième plat sans aucune atteinte à l'état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 31067

‎(CELINE Louis-Ferdinand)‎

‎L'affaire Céline : l'école d'un cadavre‎

‎Comité d'action de la Résistance, Paris 1952, 15x21cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Rare et agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 82105

‎(CELINE Louis-Ferdinand) CRESCIUCCI Alain‎

‎Les territoires céliniens‎

‎Klincksieck, Paris 1990, 16x24cm, broché.‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Important texte sur l'expression dans l'espace et l'expérience du monde dans les romans de Louis-Ferdinand Céline. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 71524

‎(CELINE Louis-Ferdinand) DESTOUCHES Amélie‎

‎Portrait photographique de la tante de Louis-Ferdinand Céline, accompagnée de sa fille et son mari‎

‎Studio Louis, Bucarest 14 juin 1877, 6,7x10cm.‎

‎Rare portrait photographique d'Amélie Destouches, tante de Louis-Ferdinand Céline, au format carte cabinet sur papier albuminé contrecollé sur un carton du studio Louis. Légendes manuscrites «?Suzannica 3 ans, Bucarest ce 14 juin 1877?» et «?Zenon Zawirski?» d'une autre main, au dos. Le portrait est réalisé par les studios Louis, au 127 Calea Mosilor à Bucarest. Amélie épouse à vingt-quatre ans le riche roumain Zenon Zawirski, qui pose à ses côtés avec leur fille Zenone Zawirska, alors âgée de trois ans. Céline lui consacre un portrait peu flatteur dans Mort à crédit, et emprunte ses traits pour le personnage de la tante Hélène, dont il transpose les aventures slaves en Russie et non en Roumanie. Encore vivante à l'époque de la rédaction du roman, Céline fait pourtant mourir son personnage dans le déshonneur et la honte?: «?Elle a pris tout le vent dans les voiles. Elle a bourlingué en Russie. À Saint-Pétersbourg, elle est devenue grue. À un moment, elle a eu tout, carrosse, trois traîneaux, un village rien que pour elle, avec son nom dessus. Elle est venue nous voir au Passage, deux fois de suite, frusquée, superbe, comme une princesse et heureuse et tout. Elle a terminé très tragiquement sous les balles d'un officier. Y avait pas de résistance chez elle. C'était tout viande, désir, musique. Il rendait papa, rien que d'y penser. Ma mère a conclu en apprenant son décès?: "Voilà une fin bien horrible?! Mais c'est la fin d'une égoïste?!"?» - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 76022

‎(CELINE Louis-Ferdinand) DESTOUCHES Colette‎

‎Rare portrait enfantin inédit de Colette Destouches, fille de Louis-Ferdinand Céline‎

‎Menzil, Rennes circa 1921, 14,5x21,8 cm.‎

‎Rare et inédit portrait d'enfance de Colette Destouches, fille unique de Louis-Ferdinand Céline, née en 1920, sur papier albuminé contrecollé sur un carton du studio Menzil. Légende manuscrite «?Colette Destouches?» inscrite au recto et verso, avec la mention «?1920?». Le portrait est réalisé par la maison Menzil, 6 rue Beaumont, Rennes, ville où Céline rencontra et passa quelques années en compagnie d'Édith Follet, sa deuxième femme et mère de Colette. Cette photographie de Colette Destouches, qui n'a que quelques mois, est à notre connaissance inédite. Céline garda sa vie durant une affection pour sa fille qu'il vit régulièrement à Rennes, Genève et Paris, et qui fut «?sûrement plus possessif à sa façon avec elle qu'il ne l'avait été avec aucune de ses épouses, de ses maîtresses. Il avait rêvé pour elle un avenir glorieux, d'une carrière médicale, comme pour resserrer leur complicité?» (Frédéric Vitoux, La Vie de Céline, coll. Folio, 2005, p.636). - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 76019

‎(CELINE Louis-Ferdinand) DESTOUCHES René‎

‎Portrait de René Destouches, oncle de Louis-Ferdinand Céline‎

‎circa 1930, 12,5x17,8cm.‎

‎Rare portrait photographique de René Destouches, oncle de Louis-Ferdinand Céline. Agrandissement photographie dans un tirage probablement postérieur. Mention «?René Destouches?» au dos. René Destouches reste employé toute sa vie à divers menus travaux à la suite d'une grave chute du haut de la falaise de Sainte-Adresse. Céline lui consacre des passages dans Mort à crédit sous les traits de l'oncle Rodolphe?: «?Mais le plus cloche de la famille, c'était sûrement l'oncle Rodolphe, il était tout à fait sonné. Il se marrait doucement quand on lui parlait. Il se répondait à lui-même. Ça durait des heures. Il voulait vivre seulement qu'à l'air. Il a jamais voulu tâter d'un seul magasin, ni des bureaux, même comme gardien et même de nuit. Pour croûter, il préférait rester dehors, sur un banc. Il se méfiait des intérieurs. Quand vraiment il avait trop faim, alors, il venait à la maison. Il passait le soir. C'est qu'il avait eu trop d'échecs. La "bagotte", son casuel des gares, c'était un métier d'entraînement. Il l'a fait pendant plus de vingt ans. Il tenait la ficelle des "Urbaines", il a couru comme un lapin après les fiacres et les bagages, aussi longtemps qu'il a pu.?» - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 76020

‎(CELINE Louis-Ferdinand) DESTOUCHES René‎

‎Portrait en pied de René Destouches, oncle de Louis-Ferdinand Céline, et sa femme‎

‎circa 1930, 8,4x13,3 cm.‎

‎Rare portrait photographique de René Destouches, oncle de Louis-Ferdinand Céline accompagné de sa femme, Pauline Dauteville. Tirage argentique d'époque. Mention «?M. et Mme Destouches?» au dos. Un petit manque angulaire et d'infimes traces de pliure. René Destouches, frère de Fernand Destouches, se marie avec Pauline Dauteville, avec qui il a deux enfants. Céline emprunte son caractère lunaire, hérité d'une chute de la falaise de Sainte-Adresse («?il était tout à fait sonné. Il se marrait doucement quand on lui parlait. Il se répondait à lui-même?») et les travaux de peine qu'il enchaîna sa vie durant pour le personnage de l'oncle Rodolphe dans Mort à crédit. Afin de noircir le tableau encore davantage, Céline a sans doute prêté à l'oncle Rodolphe des éléments de la vie d'un autre de ses oncles, Charles Destouches, dont la femme avait disparu tragiquement à l'âge de vingt-huit ans?: «?Une pauvre malheureuse, elle crachait déjà ses poumons. Ça a pas duré trois mois?» (Mort à crédit, Denoël & Steele, 1936). - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 76021

‎(CELINE Louis-Ferdinand) FOLLET Edith‎

‎Rare et inédit portrait en tondo d'Edith Follet‎

‎Reullinger, Paris circa 1920, diamètre 11 cm.‎

‎Rare et inédit portrait en tondo d'Edith Follet, deuxième femme de Louis-Ferdinand Céline, qu'il épouse en 1919, sur papier albuminé contrecollé sur un carton du studio Reullinger. La photographie comporte une déchirure marginale restaurée et les légendes manuscrites «?Édith Follet?» «?1920?» inscrites au verso. Ce très élégant portrait de la dessinatrice Édith Follet, à notre connaissance inédit, date du début des années 1920 et met un visage sur la «?gracieuse brunette d'une distinction froide?», qui illustra la thèse en médecine de Céline, souvent considérée comme son tout premier livre, préfigurant le Voyage au bout de la nuit. Céline rencontre Édith Follet en 1918 par le biais du père de la jeune fille, le très respecté docteur rennais Athanase Follet. En route vers ses premières tournées de sensibilisation contre la tuberculose au sein de la mission Rockefeller, Céline dîne chez le docteur en compagnie de sa charmante fille?: «?Il avait des yeux extraordinaires, d'un bleu qui changeait selon ses sentiments. Quand il était contrarié, son regard s'éclaircissait. Ce grand garçon d'un mètre quatre-vingts me donnait l'impression d'être un homme?», confie-t-elle soixante-huit ans plus tard. Après son baccalauréat et des mois de chastes tête-à-tête avec la jeune fille de cinq ans sa cadette, Louis Destouches épouse Édith Follet le 10 août 1919 à Quintin. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 76017

‎(CELINE Louis-Ferdinand) RENARD Jean-Claude‎

‎Céline, les Livres de la Mère‎

‎Buchet / Chastel, Paris 2004, 14x20,5cm, broché.‎

‎Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire. Envoi autographe daté et signé de Jean-Claude Renard à Nadine Nimier, épouse et veuve de Roger Nimier. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 79201

‎(CENDRARS Blaise) LEROY Claude‎

‎Blaise Cendrars vingt ans après‎

‎Klincksieck, Paris 1983, broché.‎

‎Edition originale. Premier colloque universitaire consacré à Blaise Cendrars qui s'est tenu à l'université Paris X le 12 et 13 Juin 1981. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 400

‎(CENDRARS Blaise) MILLER Henry‎

‎Blaise Cendrars‎

‎Denoël, Paris 1951, 22,5x28,5cm, broché.‎

‎Edition originale de la traduction française, un des 1000 exemplaires numérotés sur pur fil Johannot, seul tirage avec 10 Auvergne. En frontispice, un portrait original de Blaise Cendrars par Rièra, couverture illustrée par Orfeo Tamburi. Plats très clairement et légèrement ombrés sans gravité en marges. Bel et rare exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 51329

‎(CENDRARS Blaise) MILLER Henry‎

‎Blaise Cendrars‎

‎Denoël, Paris 1951, 22,5x28,5cm, broché.‎

‎Edition originale de la traduction française, un des 1000 exemplaires numérotés sur pur fil Johannot, le nôtre un des 50 hors commerce, seul tirage avec 10 Auvergne. En frontispice, un portrait original de Blaise Cendrars par Rièra, couverture illustrée par Orfeo Tamburi. Infimes piqûres sans gravité sur les plats. Bel et rare exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 53181

‎(CERVEAU. Abbé René.)‎

‎L’esprit de M. Nicole, ou instructions sur les Vérités de la religion, tirées des ouvrages de ce grand théologiens...‎

‎1765 1765 Paris. Desprez. 1765. 1 volume in-12, veau, dos à nerfs orné, pièce de titre rouge, mors fendus, coiffes restaurées. XXIV pp. ; 624 pp.‎

‎Édition originale. Sans le portrait, qui est rarement présent. Barbier II, 192.‎

书商的参考编号 : 26595

Livre Rare Book

Librairie Pierre Prévost
Paris France Francia França France
[Books from Librairie Pierre Prévost]

€ 130.00 购买

‎(CHAR Edmond) BALLURIAU Paul‎

‎"Crépuscule" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris s.d. (Juillet 1897), sujet : 23x33cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Paul Balluriau pour L'Estampe Moderne, série numéro 3 publiée en juillet 1897. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges,signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, un extrait d'oeuvre et une présentation de l'artiste, traces de pliures et d'une autre serpente vierge. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée en couleurs sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style symboliste de l'artiste. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 73924

‎(CHAR René) COLLECTIF‎

‎Cahiers de l'Herne René Char‎

‎L'Herne, Paris 1971, 21x26,5cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Contributions de Saint-John Perse, Georges Bataille, René Char, Martin Heidegger, Gilbert Lély, Gaston Puel, Maurice Blanchot, William Carlos Williams, Albert Camus, Pierre Reverdy, Paul Eluard, Pierre Aandré Benoit, Octavio Paz... Iconographie, bibliographie. Une tache affectant partiellement la tranche et le dernier feuillet (sans aucune atteinte au texte) sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 22208

‎(CHAR René) TRIVIER Marc‎

‎Portrait de René Char à l'Isle sur Sorgue. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1983, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.‎

‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 62285

‎(CHAR René).‎

‎Le temps de la poésie. 6. Poésie partagée. 49 poètes, 49 poèmes, 6 peintres, 6 dessins.‎

‎Introduction par René Char. Paris : Guy Lévis Mano, 1952. Un volume broché 14,5x22,5 cm, 78 pages. Edition originale limitée à 1080 exemplaires : un des 1050 sur vélin. Les poèmes et les dessins de ce recueil sont publiés anonymement. Bon état.‎

书商的参考编号 : 41181

Livre Rare Book

Le Livre à Venir
Chantelle France Francia França France
[Books from Le Livre à Venir]

€ 50.00 购买

‎(CHARCOT J.M.) GARROD Alfred Baring‎

‎La goutte : sa nature, son traitement et le rhumatisme goutteux‎

‎Adrien Delahaye, Paris 1867, 14,5x23cm, relié.‎

‎Edition originale de la traduction française établie par Auguste Ollivier et annotée par J.M. Charcot. Reliure de l'éditeur en pleine percaline violette, dos lisse légèrement passé, lieu, date et nom de l'éditeur dorés en queue, encadrements à froid sur les plats orné de motifs floraux centraux, deux coins légèrement émoussés. Ouvrage illustré de 26 figures dans le texte et de 8 planches hors-texte dont 4 en couleurs. Quelques rousseurs, un mors comportant de petites traces d'usure. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 20122

‎(CHARCOT Jean) DUPLAY Maurice‎

‎Ce qui tua Farget‎

‎Fayard, Paris s.d. (circa 1930), 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant, il n'est pas fait mention de grands papiers. Précieux envoi de l'auteur à l'explorateur Jean Charcot. Légères piqûres sur le premier plat, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 22369

‎(CHARLES-LOUIS PHILIPPE ) COLLECTIF‎

‎Les Amis de Charles-Louis Philippe, Bulletin n°20 (2e série)‎

‎Les amis de Charles-Louis Philippe, Moulins Décembre 1962, 17,5x22,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Iconographie en noir et blanc. Quelques traces de pliures angulaires sur les plats, agréable état intérieur. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 30050

‎(CHATEAUBRIAND François René de) ANONYME‎

‎Esprit de la note secrète, ou réponse aux remarques de M. le Vte de Chateaubriand, pair de France, sur les affaires du moment‎

‎Baudouin & Delaunay & Pelicier, Paris 1818, 12,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Exemplaire présenté dans son brochage d'origine sous couvertures muettes. Petits manques sur le dos muet, légères déchirures, pliures et mannques sur les plats. Une correction autographe page 35. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 23591

‎(CHATEAUBRIAND François René de) MARIN Scipion‎

‎Histoire de la vie et des ouvrages de M. de Chateaubriand considéré comme poète, voyageur et homme d'état, avec l'analyse de ses ouvrages‎

‎Vimont, Paris 1832, 13x20,5cm, 2 volumes reliés en 1.‎

‎Edition originale. Reliure en pleine basane lie-de-vin, dos à quatre nerfs orné de quadruples caissons et de triples filets dorés, doubles filets dorés sur les plats, reliure de l'époque. Ouvrage orné de 2 illustrations sur les pages de titre. Quelques petites rousseurs sans gravité. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 22664

‎(CHENIER Marie-Joseph de) LIEBY A.‎

‎Etude sur le théatre de Marie-Joseph Chénier‎

‎Société française d'imprimerie et de librairie, Paris 1901, 16,5x25cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Il s'agit d'une thèse soutenue en vue de l'obtention du doctorat. Dos défraîchi recollé à l'aide d'un morceau de scotch, état intérieur convenable. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 8308

‎(CHERUIT Louise) BOUTET DE MONVEL Bernard‎

‎Le Jardin du Peyrou. Costume tailleur de Chéruit (pl.6, La Gazette du Bon ton, 1914 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Janvier 1914, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 84684

‎(CHERUIT Louise) BRISSAUD Pierre‎

‎"Rentrez vos blancs moutons" Une bergère par Chéruit (pl.8, La Gazette du Bon ton, 1912-1913 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Février 1913, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 54507

‎(CHERUIT Louise) BRISSAUD Pierre‎

‎Bonne chasse ! Petit tailleur de Chéruit (pl.9, La Gazette du Bon ton, 1913 n°10)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Août 1913, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas au milieu de planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 54567

‎(CHERUIT Louise) BRISSAUD Pierre‎

‎Je suis perdue. Robe d'été de Chéruit (pl.4, La Gazette du Bon ton, 1913 n°8)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Juin 1913, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. L'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 54542

‎(CHERUIT Louise) BRISSAUD Pierre‎

‎L'Indiscrète. Robes de garden-party de Chéruit (pl.59, La Gazette du Bon ton, 1914 n°6)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Juin 1914, 36,5x24cm, une feuille.‎

‎Estampe double originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 84761

‎(CHERUIT Louise) BRISSAUD Pierre‎

‎L'Utile Recommandation. Robe de dîner, de Cheruit (pl.2, La Gazette du Bon ton, 1912-1913 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1912-1913, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 54472

‎(CHERUIT Louise) BRISSAUD Pierre‎

‎Le "Meet". Manteau de voiture de Chéruit (pl.7, La Gazette du Bon ton, 1913 n°12)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Octobre 1913, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 54609

‎(CHERUIT Louise) BRISSAUD Pierre‎

‎Ma voiture ! Robe de ville de Chéruit (pl.9, La Gazette du Bon ton, 1912-1913 n°3)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1912-1913, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé et signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

书商的参考编号 : 54500

????? : 55,505 (1111 ?)

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