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‎(HALEVY Ludovic) BOUTET Henri‎

‎"Dans les coulisses" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Décembre 1897), sujet : 24x33,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Henri Boutet pour L'Estampe Moderne, série numéro 8 publiée en décembre 1897. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, papier velin contrecollé sur Japon, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un extrait d'oeuvre ; serpente vierge. Lithographie inspirée d'un extrait d'oeuvre de Ludovic Halévy qui est reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74015

‎(HANDKE Peter) TRIVIER Marc‎

‎Portrait de Peter Handke. Photographie originale tirée par l'artiste.‎

‎Par l'auteur, s.l. 1980, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.‎

‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier du Prix Nobel de Littérature 2019. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 62273

‎(HAYTER William) TRIVIER Marc‎

‎Portrait de William Hayter. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1983, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.‎

‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 62281

‎(HARTUNG Hans) TRIVIER Marc‎

‎Portrait de Hans Hartung. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur, s.l. 1982, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.‎

‎Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 62311

‎(Hagenlocher, Alfred)‎

‎Karl Rössing. Hans-Thoma-Gesellschaft, Reutlingen, Spendhaus, 21. März bis 25. April 1971.‎

‎Reutlingen, Hans-Thoma-Gesellschaft, 1971. 70 S. Mit zahlr. tls. farb. Abb. (= Schriftenreihe der Hans-Thoma-Gesellschaft). (Ca. 24 x 18 cm). OKart.‎

‎Ausstellungskatalog. Eines von 80 Expl. der VORZUGSAUS-GABE mit einem vom Künstler signiertem Original-Holzstich (GA: 800 Ex.). Textbeiträge von Jürgen Rausch u. Karl Rössing; mit Zeittafel, Literatur-Auswahl u. Bibliographie.- Gutes, sauberes Exemplar‎

Bookseller reference : 66921

‎(HEREDIA José Maria de) DONNAY Auguste‎

‎"Artémis" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Février) 1898, sujet : 23,5x34,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale imprimée en couleurs, exécutée par Auguste Donnay pour L'Estampe Moderne, série numéro 10 publiée en février 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un poème; serpente vierge. Lithographie inspirée d'un poème de José Maria de Heredia, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74358

‎(HEREDIA José Maria de) DONNAY Auguste‎

‎"Artémis" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Février) 1898, sujet : 23,5x34,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Auguste Donnay pour L'Estampe Moderne, série numéro 10 publiée en février 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée d'un poème de José Maria de Heredia. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74359

‎(HEREDIA José Maria de) LAURENS Paul-Albert‎

‎"Le bain des nymphes" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Janvier 1898), sujet : 32x22cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Paul Albert Laurens pour L'Estampe Moderne, série numéro 9 publiée en janvier 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, papier velin contrecollé sur Japon, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un poème ; serpente vierge. Lithographie inspirée du poème Les trophées de José-Maria de Heredia, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74285

‎(HEREDIA José Maria de) LAURENS Paul-Albert‎

‎"Le bain des nymphes" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Janvier 1898), sujet : 27x35cm, planche : 40,8x55cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Paul Albert Laurens pour L'Estampe Moderne, série numéro 9 publiée en janvier 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée du poème Les trophées de José-Maria de Heredia. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style Art Nouveau. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74287

‎(HEREDIA José Maria de) GUYON Maximilienne‎

‎"Maris stella" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juillet 1898), sujet : 24x34,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Maximilienne Guyon pour L'Estampe Moderne, série numéro 15 publiée en juillet 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos,légère trace du tampon de la gravure précédente au recto ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un poème. Lithographie inspirée d'un poème de José Maria de Heredia, Les Trophées, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74499

‎(HEREDIA José Maria de) GUYON Maximilienne‎

‎"Maris stella" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Juillet 1898), sujet : 24x34,5cm, planche : 40,8x55cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Maximilienne Guyon pour L'Estampe Moderne, série numéro 15 publiée en juillet 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales et infime manque au coin inférieur droit du feuillet de papier vélin. Lithographie inspirée d'un poème de José Maria de Heredia, Les Trophées. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74500

‎(Hempe, Lothar)‎

‎Die Ockenheimer Hufnagelkantate, oder Das Ärgernis Lothar Hempe.‎

‎Altenburschla, (Verlag der Rheingauer Drucke), 1964. [16] Doppelbll. Mit 1 Foto-Porträt u. 5 Illustr. (= Rheingauer Drucke, 8). Gr.-8vo (24 x 17 cm). Orig. Engl. Brosch., als Blockbuch gebunden.‎

‎Erste Ausgabe. - Nr. 118 von 333 numerierten Exemplaren, im Druckvermerk SIGNIERT. Mit eigenhändiger WIDMUNG des Verfassers für den Journalisten, Publizisten, Verleger u. Gründer des "Spiegel" Rudolf Augstein (1923-2002), dat. 7. Dez. 64. - Lothar Hempe (1886-1967), Antiquar, Archivar u. Schriftsteller, Johannens Schlaf-Bibliograph, Begründer u. Herausgeber der Rheingauer Drucke (Thüringer Literaturrat). - Einband lichtrandig, sonst gutes, sauberes Exemplar‎

Bookseller reference : 74397

‎(HOMMAGE À HUGO) - RENAN Ernest.‎

‎1802 Dialogue des Morts.‎

‎1886 Paris, Calmann Lévy 1886; plaquette grand in-8° broché couverture jaune imprimée en noir ; (4),12pp. Edition originale, 1 des 25 exemplaire sur Japon , n°17.‎

‎"Présenté à la Comédie française le 26 février 1886, jour anniversaire de la naissance de Victor Hugo". Couverture poussiéreuse avec petits manques de papier, tache rousse au 2ème plat, très bon état intérieur. ( ClGr)‎

Bookseller reference : 8349

Livre Rare Book

Livres Anciens N. Rousseau
Reuilly France Francia França France
[Books from Livres Anciens N. Rousseau]

€45.00 Buy

‎(HOUSSAYE Arsène) CLARETIE Jules‎

‎Catalogue des tableaux, pastels, dessins, miniatures, sculptures, objets d'art de la galerie de M. Arsène Houssaye‎

‎S.n., Paris 1896, 20,5x30,5cm, broché.‎

‎Edition originale de ce catlogue de vente s'étant tenue les 22 et 23 Mai 1896 à l'Hôtel Drouot. Préface de Jules Clarétie, envoi de ce dernier. Illustrations. Dos et plats uniformément passés, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 21595

‎(HOUSSAYE Arsène) PIEDAGNEL Alexandre‎

‎En route‎

‎Librairie Fischbacher, Paris 1886, 9,5x16,5cm, broché.‎

‎Edition originale tirée à petit nombre. Envoi de l'auteur. Piqûres marginales sur le premier plat, deux petites déchirures recollées sans manque sur le dos. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 5825

‎(HOUELLEBECQ Michel) & GERSON Robin‎

‎Michel Houellebecq soumission nationale ?‎

‎Robert Laffont, Paris 2015, 12,5x20,5cm, broché.‎

‎Edition originale de ce numéro de "spécial actualité" dirigé par René Chiche et entièrement consacré à la parution récente du roman de Michel Houellebecq intitulé "Soumission". Agréable et rare exemplaire. Texte de Robin Gerson. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 87599

‎(HUGO Victor) BRESLAU Louise‎

‎"Fillette à l'orange" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Octobre 1898), sujet : 24x33cm, planche : 40,8x55cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Louise Breslau pour L'Estampe Moderne, série numéro 18 publiée en octobre 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artistedans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée de trois strophes d'un poème de Victor Hugo. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74591

‎(HUGO Victor) WILLETTE Adolphe‎

‎"Valmy" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Avril 1899), sujet : 23,5x30cm, planche : 40,8x55cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Aldolphe Willette pour L'Estampe Moderne d'après le dessin exposé au musée du Luxembourg, série numéro 24 publiée en avril 1899. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, papier vélin contrecollé sur Japon, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un texte. Lithographie inspirée d'un poème extrait du recueil les Chatîments de Victor Hugo, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Époque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74842

‎(HUYSMANS Joris-Karl) MARTINEAU René‎

‎Autour de J.K. Huysmans‎

‎Des, Paris 1946, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Iconographie. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 31507

‎(HUGO Victor)‎

‎Carton d'invitation au bal du centenaire de Victor Hugo‎

‎Société littéraire Victor Hugo, Paris 1902, 14x10,5cm, une feuille.‎

‎Carton d'invitation au bal célébrant le centième anniversaire de la naissance de Victor Hugo se tenant à la salle des Ingénieurs civils, rue Blanche dans le neuvième arrondissement de Paris, le samedi 22 Février 1902. Bel et rare exemplaire malgré une toute petite tache en angle supérieur gauche du carton. Le bal est organisé par le comité de la "Société littéraire Victor Hugo" présidé par P. Heuzey. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 81893

‎(HUYSMANS Joris-Karl) GALLOT H.M.‎

‎Explication de J.K. Huysmans‎

‎Agence parisienne de distribution, Paris 1954, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant, il n'a été tiré que 25 alfa en grands papiers. Envoi de l'auteur. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 31282

‎(HUYSMANS Joris-Karl) D'ARMAGNAC M.M.‎

‎Huysmans ou les frontières du chrétien‎

‎La bonne presse, Paris 1937, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Ouvrage illustré d'un portrait de J.K. Huysmans en frontispice. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 31325

‎(HUYSMANS Joris-Karl) VEYSSET Georges‎

‎Huysmans et la médecine‎

‎Sté d'édition des Belles lettres, Paris 1950, 13x20,5cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 31425

‎(HUYSMANS Joris-Karl) CHASTEL Guy‎

‎J.-K. Huysmans et ses amis‎

‎Grasset, Paris 1957, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant, fausse mention de sixième édition, il n'a été tiré que 25 ex alfa en grands papiers. Une éraflure avec petit manque en pied du dos. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 31324

‎(HUYSMANS Joris-Karl) THERIVE André‎

‎J.K. Huysmans, son oeuvre‎

‎Editions de la Nouvelle revue critique, Paris 1924, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Ouvrage illustré d'un portrait et d'un fac-similé. Dos insolé. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 31466

‎(HUES DE TABARIE ) BARBAZAN Etienne‎

‎L'ordene de chevalerie, avec une dissertation sur l'origine de la langue françoise. Un essai sur les étimologies. Quelques contes anciens. Et un glossaire pour en faciliter l'intelligence‎

‎Chez Chaubert & Claude Herissant, Lauzanne (Lausanne) & se trouve à Paris 1759, in-8 : 11,5x18cm, XX, 237 pp et 3 p, relié.‎

‎Edition originale. Peu courant. Reliure en demi veau glacé à coin XIXe signé Petit succ de Simier. Dos à nerfs orné de caissons. Filets sur les plats. Etienne Barbazan (1694-1770) est un philologue spécialiste des manuscrits du Moyen-âge, il a notamment contribué à remettre des textes oubliés en mémoires et à réhabiliter le Moyen-âge dans le champ de la recherche. L'ordene de chevalerie est un texte du XIIIe sur les règles et les cérémonies de chevalerie, Barbazan en aurait eu un manuscrit entre les mains. L'ouvrage contient d'autres textes du XIIIe, un glossaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 30082

‎(HUGO Victor) GARSOU Jules‎

‎L'évolution démocratique de Victor Hugo 1848-1851‎

‎Emile-Paul, Paris 1904, 13,5x20cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 7334

‎(HUYSMANS Joris-Karl) COGNY P.‎

‎Le 'Huysmans intime' de Henri Céard et Jean de Caldain‎

‎Nizet, Paris 1957, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Nombreux inédits, préface de René Dumesnil. Ouvrage orné de 2 photographies. Dos et plats marginalement insolés. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 12516

‎(HUGO Victor) LIMA-BARBOSA M. de.‎

‎Victor Hugo et Rosita Rosa‎

‎A. Blanchard, Paris 1927, 16x23cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Une petite déchirure en pied du dos, rare et bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 11388

‎(HUGO Victor) PELLETAN Camille‎

‎Victor Hugo homme politique‎

‎Ollendorff, Paris 1907, 14,5x22,5cm, broché.‎

‎Edition originale, fausse mention de troisième édition. Une petite déchirure recollée en pied du dos, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 15273

‎(HUGO) - Raymond ESCHOLIER, et COLLECTIF (Théophile Gautier, Balzac, Camille Pelletan, Charles Hugo, Jules Clarétie, Alphonse Daudet, etc.)‎

‎VICTOR HUGO RACONTÉ PAR CEUX QUI L'ONT VU. [Édition originale sur alfa]‎

‎Stock 1931 Paris, librairie Stock, collection Les Grands Hommes, 1931. Édition originale, un des 120 exemplaires numérotés sur alfa. Ce volume réunit des souvenirs, lettres et documents, accompagnés de résumés biographiques. Il comprend de larges extraits de l'ouvrage d'Adèle Foucher : "Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie", du "Victor Hugo" de Théophile Gautier, des "Lettres à l'Étrangère" de Balzac, ainsi que des textes de Camille Pelletan, Charles Hugo, Jules Clarétie, Alphonse Daudet, etc. In-8 broché de 415 pp. Tranches et bordures des plats piquées, intérieur en très bon état, non coupé.‎

Bookseller reference : 13954

Livre Rare Book

Le Livre Penseur
Paris France Francia França France
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‎(IBSEN Henrik) STEVENS Gustave Max‎

‎"Solveig" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Janvier 1898), sujet : 35x25cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Gustave Max Stevens pour L'Estampe Moderne, série numéro 9 publiée en janvier 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un extrait d'oeuvre ; serpente vierge. Lithographie inspirée de laChansonde Solveig,paroles de la musique créée pour la pièce de théâtrePeer Gynt de Henri Ibsen, un extrait est reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style préraphaélite. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74279

‎(IBSEN Henrik) STEVENS Gustave Max‎

‎"Solveig" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Janvier 1898), sujet : 35x25cm, planche : 55x40,8cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Gustave Max Stevens pour L'Estampe Moderne, série numéro 9 publiée en janvier 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée de laChansonde Solveig,paroles de la musique créée pour la pièce de théâtrePeer Gynt de Henri Ibsen. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 74282

‎(IBSEN Henrik) ZUCKER A.E.‎

‎La vie d'Ibsen le constructeur‎

‎Gallimard, Paris 1931, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Ouvrage illustré de 2 reproductions. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 31352

‎(JAURES Jean) LENEPVEU Victor‎

‎[AFFAIRE DREYFUS] Musée des horreurs - Affiche originale lithographiée en couleurs - n°14 "L'Eléphant du Jourdain"‎

‎Imprimerie Lenepveu, Paris s.d. [janvier 1900], 49,8x65,2cm, une affiche.‎

‎Affiche originale lithographiée en couleurs représentant Jean Jaurès sous les traits d'un éléphant assis sur un fauteuil et tenant une bouteille d'«?eau du Jourdain?». Pliures transversales et infimes déchirures marginales sans manque. Jusqu'alors portraituré en chien - les caricaturistes raillant son agressivité - Jean Jaurès est ici pour la première fois représenté en éléphant. Il s'agit ici de souligner sa ventripotence et sa silhouette pachydermique, mais on pourra cependant souligner la grande dignité de ce personnage massif au regard haut. L'eau du Jourdain se trouvant dans l'une de ses pattes fait allusion à la rumeur selon laquelle il aurait fait baptiser son fils dans le fleuve sacré, agissant ainsi contrairement à sa politique anticléricale. Malgré la volonté du caricaturiste de ridiculiser Jean Jaurès, le choix de l'éléphant, symbole de force, de prospérité et de sagesse, s'avère finalement positif. Pliures transversales et infimes déchirures marginales sans manque. Diffusés entre octobre 1899 et décembre 1900 dans une France embrasée par l'Affaire Dreyfus, ces immenses portraits à charge en couleurs sont l'uvre de Victor Lenepveu qui annonça la parution de 150 puis 200 dessins et n'en réalisa finalement qu'une cinquantaine. En dépit de la loi sur la liberté de la presse de 1881 permettant la diffusion d'une imagerie politiquement subversive, la parution de ce panthéon cauchemardesque fut interrompue sur ordre du Ministère de l'Intérieur. La fragilité du papier et l'imposant format de ces très violentes affiches, ainsi que leur saisie presque immédiate par la police, contribuèrent à la disparition de ces caricatures qui marquèrent cependant fortement l'opinion publique. Ces horreurs bénéficièrent d'une large promotion de la part des journaux antisémites qui annoncèrent un tirage fantasmé de 300.000 exemplaires, insinuant ainsi le succès des idées antisémites dans la population. Le 1er octobre 1899, L'Intransigeant annonce la parution du Musée des horreurs dans ses colonnes?: «?Un dessinateur de beaucoup d'esprit, au coup de crayon d'un comique intense, M. V. Lenepveu, a eu l'heureuse idée d'inaugurer une série de portraits des vendus les plus célèbres de la tourbe dreyfusarde. Le titre de cette série «?Musée des Horreurs?» est suffisamment suggestif et indique bien ce qu'il promet. [...] C'est la maison Hayard qui mettra en vente, à partir d'aujourd'hui, le numéro 1 de cette désopilante série.?» D'abord camelot puis libraire-éditeur, Napoléon Hayard (dit Léon Hayard) se spécialisa en effet dans la commercialisation d'éphémères et de placards anti-dreyfusards et antisémites. Il ne subsiste cependant aujourd'hui que de très rares exemplaires en bel état de ces caricatures pamphlétaires qui participèrent à la fracture sociale et politique de la France. Publiés en plein essor de la presse écrite - en même temps que le célèbre «?J'accuse?!?» d'Émile Zola - ces documents de propagande eurent notamment un impact significatif sur les jeunes générations et préfigurent la violence idéologique du XXè siècle. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 80337

‎(JANESICH ) HALOUZE Edouard‎

‎A. Janesich, Joaillier (Publicité, Volume 1, La Gazette du Bon ton, 1920 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur réalisée par Edouard Halouze, finement réhaussée à l'or, tirée sur papier vergé et signée en haut à droite de la planche. Peintre, illustrateur et décorateur, Edouard Halouze dessine des vignettes de mode pour laGazette du Bon tondès les débuts de la revue. Parallèlement à ce travail, il participe en 1920 à une exposition consacrée à "La mode vue par les peintres" et présentée au Musée des arts décoratifs. Il se distingue des autres dessinateurs de la Gazette par son style cubiste dans des décors, des costumes et des couvertures de programmes pour le music-hall. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 73137

‎(JARRY Alfred) LOT Fernand‎

‎Alfred Jarry‎

‎La nouvelle revue critique, Paris 1934, 14x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Ouvrage orné d'un portrait et d'un autographe de A. Jarry. Dos insolé. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 10289

‎(JARRY Alfred) LOT Fernand‎

‎Alfred Jarry‎

‎La nouvelle revue critique, Paris 1934, 14x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Ouvrage orné d'un portrait et d'un autographe de A. Jarry. Quelques petites rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 71108

‎(JANIN Jules)‎

‎Catalogue des livres rares et précieux composant la bibliothèque de M. Jules Janin‎

‎Adolphe Labitte, Paris 1877, 17x25,5cm, broché.‎

‎Edition originale de ce catalogue de vente s'étant tenue à l'hôtel Drouot le 16 Février 1877. Préface de Louis Ratisbonne. Dos absent, piqûres, petits manques et restautations marginales sur les plats, quelques rousseurs intérieures sans gravité. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 21486

‎(JACOB Max) BEALU Marcel‎

‎Dernier visage de Max Jacob 1937-1944‎

‎Pierre Fanlac, Paris 1946, 14x19cm, broché.‎

‎Edition originale, un des 600 ex numérotés, seul tirage avec 100 autres grands papiers. Iconographie. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 7897

‎(JAMES & C° ) & AUSPITZ Max MARTIN Charles & BENDA G. K.‎

‎Deux costumes pour les sports d'hiver (Publicité, Volume 1, La Gazette du Bon ton, 1912 n°2, p.61) [suivi de] Grand manteau d'hermine garni d'un col de zibeline (Publicité, Volume 1, La Gazette du Bon ton, 1912 n°2, p.62)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1912, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampes originales en couleur réalisées par Charles Martin et G.K. Benda, tirées sur papier vergé et signées en haut à gauche de la planche pour la première et en bas à droite pour la seconde. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 55356

‎(JACOB Max) MIOMANDRE Francis de‎

‎La naufragée - Exemplaire de Max Jacob‎

‎J. Ferenczi & fils, Paris 1922, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant, fausse mention de mille. Dos légèrement gauchi comportant deux petites déchirures recollées en tête et en pied, légères piqûres marginales sur certaines pages. Précieux envoi autographe signé de l'auteur à Max Jacob : "...au plus ingénieux des poètes / au délicieux Max Jacob / ce livre qu'il eut la bonté de désirer lire..." - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 32303

‎(JARRY Alfred) CHASSE Charles‎

‎Les sources d'Ubu-Roi‎

‎Henri Floury, Paris 1921, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Ouvrage orné de 12 illustrations. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 27243

‎(JACOB Max) FABUREAU Hubert‎

‎Max Jacob, son oeuvre‎

‎Nouvelle revue critique, Paris 1935, 14,5x19,5cm, broché.‎

‎Edition originale sur papier courant. Ouvrage illustré d'un portrait photographique de Max Jacob. Très légères piqûres marginales sans gravité sur le premier plat. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 25471

‎(JOHANNOT Tony) - NODIER Charles‎

‎Histoire du Roi de Bohème et de ses sept châteaux.‎

‎1830 Paris, Delangle frères, éditeurs-libraires, 1830; in-8 de (2) ff.( faux-titre et titre orné d'une vignette) - 398pp. - (1) f. blanc. Reliure de demi-maroquin brun à coins filet doré aux mors et coins, dos à nerfs , filet pointillé doré sur les nerfs, compartiments de doubles filets dorés entièrement ornés de petits fers dorés, titre doré, date dorée en pied, tête dorée, plats de papier à motif japonisant noir rouge et vert sur fond doré. Ex-libris orné à l'intérieur du 1er plat. Edition originale illustrée dans le texte de 50 vignettes de Tony Johannot gravées sur bois par Porret ( Cf. Vicaire VI). Exemplaire enrichi en frontispice du portrait de Nodier gravé par G. Staal, tiré sur japon.‎

‎Un des textes remarquables de Nodier et "Un des livres romantiques les plus réussis" selon Clouzot. Avec plusieurs facéties typographiques, le livre révèle une réflexion évidente sur la composition, la mise en page et la présentation tout du long. Il est parfaitement et finement illustré par Tony Johannot, redonnant avec Porret ses lettres de noblesse à la gravure sur bois, dans une intéressante reliure postérieure japonisante. Légers frottements à la reliure. Bel exemplaire, sans rousseurs. (Reu-Bur)‎

Bookseller reference : 11890

Livre Rare Book

Livres Anciens N. Rousseau
Reuilly France Francia França France
[Books from Livres Anciens N. Rousseau]

€700.00 Buy

‎(JOUVE Pierre-Jean) COLLECTIF‎

‎Les cahiers idéalistes français. N° 25 - Février 1919.‎

‎Les Cahiers idéalistes français, Paris 1919, 15x20cm, broché.‎

‎Edition originale de cette revue idéaliste et internationaliste française tirée à petit nombre. Exemplaire uniformément passé sur les marges. Contributions de A. J, Qu'est ce qu'une nation? d'après une conférence d'Ernest Renan; A. Dauzat, Romain Rolland : Colas Breugnon; P. Brulat; L. Werth, Clavel soldat; P.-J. Jouve, Huit poêmes de la solitude. Agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 31305

‎(JOUHANDEAU Marcel) RODE H.‎

‎Marcel Jouhandeau et ses personnages‎

‎F. Chambriand, Paris 1950, 16x21,5cm, broché.‎

‎Edition originale, un des ex numérotés sur bouffant, seul tirage avec 350 vélin chiffon. Riche iconographie. Une trace de scotch en tête d'un mors, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 10364

‎(JOHNSON Samuel) REYNALD H.‎

‎Samuel Johnson, étude sur sa vie et sur ses principaux ouvrages‎

‎Librairie A. Durand, Paris 1856, 14x22,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Déchirures marginales avec manques affectant les plats, quelques petites rousseurs. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 13067

‎(Jones, Terry)‎

‎Lady Cottington's pressed fairy book. (Illustrations: Brian Froud).‎

‎Atlanta, Turner Publishing, Inc. (1994). 30 farb. illustr. Bll. 4to (30,5 x 23,5 cm). GepolstertesOKunststoff mit VDeckel-Illustr.‎

‎Erste Ausgabe. - Terry (eigtl. Terence Graham Parry) Jones (geb. 1942), britischer Komiker, Filmregisseur u. Schriftsteller, wurde bekannt als Mitglied der Gruppe Monty Python, der er 1969-1983 angehörte. - Brian Froud (geb. 1947) ist ein englischer Fantasy-Illustrator u. Kostümbildner u. hat mehrfach mit Terry Jones an Kinderbüchern zusammengearbeitet. - Gutes, sauberes Exemplar‎

Bookseller reference : 71655

‎(JUNG Carl Gustav) COLLECTIF‎

‎C.J. Jung and projective techniques : a testimonial to Dr Jung's 80th birthday on July 26th, 1955‎

‎In Journal of projective techniques, s.l. 1955, 15,5x23cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Contributions de B. Klopfer, F. Riklin, K.W. Bash, H. Mindness, M. Spiegelman, J. Jacobi. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 24986

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