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Number of results : 9,893 (198 Page(s))

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‎Carte à jouer érotique à secret - Trois de carreau‎

‎- [France] s.d. (circa 1860), 5,5x8,6cm, une carte à jouer. - Carte à jouer érotique à secret, fabricant inconnu, produite en France autour des années 1860. Lithographie coloriée au pochoir, verso blanc. La carte, en transparence, révèle à la lumière une scène érotique : une dame pratique une fellation sur un homme à bonnet pointu. Une curiosité ! [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte à jouer érotique à secret - Trois de pique‎

‎- [France] s.d. (circa 1860), 5,5x8,6cm, une carte à jouer. - Carte à jouer érotique à secret, fabricant inconnu, produite en France autour des années 1860. Lithographie coloriée au pochoir, verso blanc. La carte, en transparence, révèle à la lumière une scène érotique : un curé en érection souffle dans un préservatif, agenouillé devant une dame aux cuisses largement écartées. Une curiosité ! [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Carte à jouer érotique à secret - Valet de carreau‎

‎- [France] s.d. (circa 1860), 5,5x8,6cm, une carte à jouer. - 67301 ANONYMOUS Secret erotic playing cards - Jack of Diamonds [France] s.d(circa 1860), 5.5 x 8.6 cm, one playing card Secret erotic playing card, unknown manufacturer, produced in France around the 1860s. Lithograph coloured by stencil, white verso. In the light, the transparent card reveals an erotic scene: a lady with her dress hitched up appears next to a valet who strokes her. A curiosity! [FRENCH VERSION FOLLOWS] Carte à jouer érotique à secret, fabricant inconnu, produite en France autour des années 1860. Lithographie coloriée au pochoir, verso blanc. La carte, en transparence, révèle à la lumière une scène érotique : une dame à la robe troussée apparaît aux côtés du valet qui la flatte. Une curiosité !‎

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‎Cartes à jouer érotiques à secret - Carré d'as‎

‎- [France] s.d. (circa 1860), 5,5x8,6cm, 4 cartes à jouer. - Disguised erotic playing cards - Four aces [France ca 1860] | 5.5 x 8.6 cm | 4 playing cards Disguised erotic playing cards, maker unknown, produced in France circa 1860. Lithographs colored with stencil, versos blank. In the light, the transparent cards reveal humorous erotic scenes: - Ace of Spades: an intellectual, with a beard and glasses, sharpens the tip of his virile member on a grindstone driven by a young, naked woman while another, at the same stone, brandishes a pair of scissors. - Ace of Hearts: a clothed man flees, straddling his monstrous member, before two laughing, exhibitionist and flatulist young ladies. - Ace of Diamonds: a good nun, dressed only in a rosary around her hips, tows a monk's excessive member, who is also undressed, with the help of a cart. - Ace of Clubs: a Chinese scene, a Chinese man is flattered by two ladies: one uses bellows on his behind while the other spoils him by tickling his attributes with the help of a long feather. A real curio! [FRENCH VERSION FOLLOWS] Cartes à jouer érotique à secret, fabricant inconnu, produites en France autour des années 1860. Lithographies coloriées au pochoir, verso blancs. Les cartes, en transparence, révèlent à la lumière des scènes érotiques humoristiques : - as de pique : un intellectuel, portant barbe et lunettes, aiguise le bout de son membre viril sur une meule mûe par une jeune femme nue tandis qu'une autre, dans le même appareil, brandit une paire de ciseaux. - as de coeur : un monsieur en habit s'enfuit, chavauchant son monstrueux vit, devant deux demoiselles hilares, exhibitionnistes et pétomanes. - as de carreau : une bonne soeur, chapelet aux hanches pour seul habit, tracte le membre démesuré d'un moine tout aussi déshabillé à l'aide d'une charette. - as de trèfle : scène chinoise, un mandarin est flatté par deux dames : l'une joue du soufflet à l'arrière pendant que l'autre le gâte en chatouillant ses attributs à l'aide d'une longue plume. Une curiosité !‎

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‎Chaque vote construit la France. Elections législatives 21 mars 28 mars. A nous d'élire les députés.‎

‎français Affiche politique. 76,5x57 cm. Pliée.‎

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‎Chungonghua. Rêve de printemps. Album de 12 peintures érotiques. Chine, XIXe siècle.‎

‎- Chine 1850 (S.d.), 19x25,4cm, autre. - 12 aquarelles érotiques chinoises, encre et couleurs sur papier, chaque peinture représentant une scène érotique dans un intérieur ou jardin. Reliure en accordéon avec plat recouvert de soie verte brodée de différentes couleurs. Toutes les feuilles de l'album sont recouverts de soie grège damassée. Chaque peinture 16x19,2cm est contrecollée sur soie. Quelques manques de tissu en bordures, 2 petits manques sur le second plat. Un des plis de l'accordéon coupé en partie, au pli. Toutes les peintures sont en très bon état. Les jeux érotiques de la Chine tels qu'ils sont représentés dans les peintures, apparaissent extrêmement différents de leurs voisins japonais. D'autre part l'art érotique chinois demeure relativement inconnu si on le compare à l'art érotique japonais. Il y a sans nulle doute une atmosphère humoristique dans ces peintures, que l'on voit un homme examiner le sexe d'une femme à la loupe, un vieillard semblant supplier une femme qui porte sur son dos un enfant, ou la présence d'enfants. Les femmes sont toujours chaussées et ont de très petits pieds, car on ne devait pas voir les pieds d'une femme et les petits pieds étaient un indice de beauté et d'érotisme. Dans le dessin et la réalisation, la présence de la ligne est caractéristique, qu'elle habille la scène d'un paravent ou représente les corps, étrangement stylisés. La primauté est donnée aux lignes et aux courbes et non aux volumes. Les auteurs de ces peintures sont au départ des groupes d'élèves apprenant à créer des images érotiques sous la tutelle d'un maître, en copiant des chefs-d'œuvre. Les peintures sont rarement signées pour ne pas compromettre la réputation de l'artiste. La date est donnée à titre indicatif, le recueil pouvant être antérieur ou postérieur. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Costumes parisiens. Robe en velours de laine bleu avec longue jaquette de même étoffe doublée et garnie de velours à petit damier (pl.23, Journal des Dames et des Modes, 1912 n°13)‎

‎- s.n., Paris 1912, 14x22,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Quelques petites piqûres, principalement en marge haute, presque sans atteinte à la gravure. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue : Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare : « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie. Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Costumes parisiens. Toilettes de promenade (pl.81, Journal des Dames et des Modes, 1913 n°36)‎

‎- s.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille. - Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature non-identifiée en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue : Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare : « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie. Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Le prince après sa mort‎

‎- Rome circa.1825, 10.5x14cm, une feuille sous marie-louise. - Le prince après sa mort : dessin original sur calque. Le dessin dégage en lignes simples et directes les traits du gisant, au crâne dégarni et portant la barbe. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Makemono de 11 scènes chinoises érotiques. Rêve de printemps‎

‎- Chine s.d. [1920], 24x250cm, autre. - Rouleau se déroulant horizontalement avec un feuillet de titre de 3 idéogrammes (Rêve de printemps) et de 11 estampes en couleurs marouflées sur soie (en fait une seule constituée de 11 scènes). Entièrement déroulé, l'ensemble atteint 250cm. Le rouleau est maintenu fermé par une ficelle, le papier est enroulé autour d'un morceau de bois. Le rouleau, constitué d'un papier relativement épais est recouvert d'une soie fine sur l'endroit ou se trouve collé la gravure Les 11 scènes sont constitués d'un seul tirage en long sur 180 cm, on peut s'apercevoir par la présence de la marge basse qu'on imprimait ainsi plusieurs fois sur une grande feuille ces 11 scènes, que l'on découpait ensuite. Ce type d'impression nécessitait une grande presse. Chaque scène mesure environ 16x20cm. Excellent état. Une pliure sur une des gravures. Il est fort difficile de dater avec exactitude ce type de production anonyme, qu'on peut situer à la fin du XIXe jusqu'aux années 1930, voire au-delà. Les 11 scènes figurent des ébats amoureux et des pratiques sexuelles avec davantage de diversité que dans les estampes japonaises érotiques (shunga). Les scènes se passent en extérieur, parmi la nature luxuriante ou dans des intérieurs richement meublés. Des peintres s'étaient spécialisés dans ce type de peintures et il n'est pas rare de retrouver certaines estampes mélangées à d'autres recueils. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Manuscrit illustré de dessins originaux et composé de deux parties "La Porcelaine de Chine" et "Le Bronze chinois"‎

‎- Paris 1888, 18x23cm, relié. - Manuscript with original drawings and made up of two parts, "Chinese Porcelain" and "Chinese Bronze" Paris 1888 | 18 x 23 cm | contemporary half shagreen Manuscript entitled "Chinese Porcelain", with numerous original drawings in and hors texte, in black and white and color, some full-page on delicate bits of China paper and stuck in to illustrate text or on occasional leaves of thick paper. The text is also enriched with a plate from Racinet's Costume historique (1888), as well as a printed page from the same text. This is a made-up volume from several texts: Octave de Sartel, La Porcelaine de Chine (1881), Stanislas Julien, Histoire et fabrication de la porcelaine chinoise (1856), Maurice Paléologue, L'Art chinois (1887) and Louis Figuier, Les Merveilles de l'industrie (1873). One final part on Chinese bronze comes from Paléologue's L'Art chinois. All the drawings are after the illustrations in the above mentioned works, and are often heightened in watercolors. The entire manuscript is in black ink on squared paper, in a fine and careful hand. Contemporary half brown shagreen over paper boards, richly decorated spine in six compartments, multiple blind-ruled fillets to covers, marbled endpapers and pastedowns, top edge gilt. Corners bumped and a little rubbed. Table of contents at end. A very rare and important manuscript combining studies of Chinese art at the end of the 19th century, carefully executed and plentifully illustrated by a talented amateur. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Manuscrit intitulé "La Porcelaine de Chine" orné de nombreux dessins originaux in et hors-texte en noir et en couleurs réalisés à même la page, sur de fins morceaux de papier de Chine contrecollés dans le texte ou sur des planches isolées de papier fort. L'exemplaire est également truffé d'une planche provenant du Costume historique de Racinet (1888) ainsi que d'une page imprimée de ce même texte. Il s'agit d'un recueil factice réalisé d'après plusieurs textes : Octave de Sartel, La Porcelaine de Chine (1881), Stanislas Julien, Histoire et fabrication de la porcelaine chinoise (1856), Maurice Paléologue, L'Art chinois (1887) et Louis Figuier, Les Merveilles de l'industrie (1873). Une dernière partie sur les bronzes chinois provient également de L'Art chinois de Paléologue. Tous les dessins sont réalisés d'après les illustrations des ouvrages sus-mentionnés et très souvent rehaussés à l'aquarelle. L'intégralité du manuscrit a été réalisé à l'encre noire, sur du papier quadrillé, d'une écriture fine et soignée. Reliure de l'époque en demi chagrin marron, dos à cinq nerfs richement orné, encadrement de multiples filets à froid sur les plats de cartonnage, gardes et contreplats de papier peigné, tête dorée sur témoins. Coins émoussés et dos un peu frotté. Une table des matières se trouve à la fin du volume. Rarissime et très importante synthèse manuscrite des connaissances de l'art chinois à la fin du XIXème siècle, minutieusement réalisée et abondamment illustrée par un amateur éclairé.‎

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‎Manuscrit érotique tibétain‎

‎- 1900, 7,8x19cm, autre. - Manuscrit érotique constitué de deux ais de bois biseautés avec deux peintures et 10 feuilles avec une peinture sur le recto et un texte en thibétain manuscrit sur le recto. Le texte est le même sur les 10 feuilles, il s'agit d'un mantra. Sur deux des feuillets il est presque totalement effacé. Au recto des deux ais de bois se trouve également deux mantras manuscrits différents. Les peintures sont réalisées directement sur le bois et les feuilles. La dimension des peintures varient quelque peu, de 5,5 cm, 6 cm à 12, 14 cm en largeur. Cette forme, 2 morceaux de bois avec des feuilles au milieu, est traditionelle. L'ensemble était souvent attaché par une ficelle, ou par des trous dans le bois dans lesquelles on passait une ficelle. Très bon état de l'ensemble, avec de petits taches sur les peintures sur bois. Les peintures déroulent 12 positions sexuelles dans un environnement abstrait et géométrique, constitué de courbes. Dans plusieurs peintures les couleurs du fond, du sol changent. La femme porte systématiquement une couronne. Il est aisé de distinguer le caractère religieux ou sacré de la sexualité dans ces images. Les couleurs utilisées sont vives, avec une omniprésence du orange, de traits dorés et blancs, du jaune... [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Nu féminin jouant de la flûte‎

‎- circa 1920, Cadre : 41x51,5cm ; dessin : 24,5x34,5cm, une feuille sous marie-louise encadrée. - Dessin original au pastel représentant une femme nue de profil en train de jouer de la flûte. Signature illisible en bas à droite du dessin. Cadre moderne. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎O salutaris hostia. Ego sum panis vivus. Baptisma - confirmatio. N° 475.‎

‎français Confirmation à la date du 8 mai 1934. Image en couleur. 37 x 22 cm. Avec marges : 42 x 30 cm.‎

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‎Portrait anonyme‎

‎- Rome circa. 1825, 10x12cm, une feuille sous marie-louise. - Dessin original au crayon, auteur anonyme, du premier quart du XIXe siècle. Portrait masculin probablement réalisé par un artiste exerçant à Rome dans les cercles de la noblesse post-napoléonienne. La ville est à l'époque un lieu de convergence non seulement des artistes de toute l'Europe qui viennent y copier les grands maitres, mais aussi des jeunes aristocrates qui font le Grand Tour et se font portraiturer par les peintres installés en Italie. Ce dessin faisait partie d'un album Amicorum datant de 1825-1826 et assemblé à Rome qui regroupait justement ces portraits des jeunes gens en voyage. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Portrait du comte d'Ingenheim‎

‎- Rome circa. 1825, 14x16,5cm, une feuille sous marie-louise. - Portrait original au crayon du comte Gustav Adolf Wilhelm d'Ingenheim (1789-1855). Fils naturel de Guillaume II de Prusse et de Julie von Voß, devenue comtesse d'Ingenheim, le comte d'Ingenheim fut grand amateur d'art et un collectionneur avide. Il séjourne plusieurs fois en Italie entre 1822 et 1833 et participe à l'acquisition d'œuvres d'art italiennes pour le Musée royal de Berlin (aujourd'hui Altes Museum) qui voit le jour sous le règne de son demi-frère, Frédéric-Guillaume III. Il tient des salons artistiques à Rome et Berlin, et soutient peintres et savants (dont l'archéologue allemand Eduard Gerhard), faisant jouer de ses relations auprès de la couronne prussienne. Il entretient et promeut de jeunes peintres dans les années 1820, comme Johann Erdmann Hummel, Aloys Hirt, Christian Daniel Rauch et Karl Friedrich Schinkel, et fait réaliser ce portrait par un des membres de son cercle d'artistes. Un groupe d'artistes allemands fortement influencé par la peinture italienne, les Deutschrömer ou Romains-Allemands, est très actif à Rome à l'époque. L'artiste, qui n'a pas signé ici, est sans doute un des membres de ce groupe proche des cercles nobles de l'Europe. La ville au sept collines est alors un lieu de convergence entre les jeunes aristocrates qui font le Grand Tour et les artistes qui vivent ou se forment à Rome et qui portraiturent donc les jeunes-gens en voyage. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Portrait féminin‎

‎- Italie circa. 1825, 8.5x12.5cm, une feuille sous marie-louise. - Dessin original au crayon, probablement de la première moitié du XIXe siècle. Portrait d'une dame âgée, vêtue et coiffée à la mode des années 1820, cheveux bouclés au dessus des oreilles, séparés au milieu du front et enserrés dans un bonnet garni de rubans. La chevelure, très travaillée par l'artiste, encadre un visage aux traits simples et sévères. Ce Portrait féminin fut probablement réalisé par un artiste exerçant à Rome dans les cercles de la noblesse post-napoléonienne. La ville est à l'époque un lieu de convergence non seulement des artistes de toute l'Europe qui viennent y copier les grands maitres, mais aussi des jeunes aristocrates qui font le Grand Tour et se font portraiturer par les peintres installés en Italie. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎Anonyme‎

‎Souvenirs des Sables d'Olonne.‎

‎français Slnd (circa 1860). In-18 (8x11 cm) de 16 vues dépliantes en lithographie en couleurs, sous chemise rouge ornée de l'éditeur (vignette de la librairie T. Bossu, Aux Sables). Traces de mouillure, cernes et rousseurs. Peu courant.‎

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‎Vue d'optique - L'intérieur de Saint Paul de Rome‎

‎- Chez Daumont et Lachaussée, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue intérieure de St Paul de Rome. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaître dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Vue d'optique - La Vue de Saint Pierre de Rome‎

‎- Chez Daumont et Lachaussée, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue de Saint Pierre de Rome. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Vue d'optique - Le Pont Saint Ange à Rome‎

‎- Chez Daumont, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue du Pont Saint Ange à Rome. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Vue d'optique - Les Boulevards de Paris pris de la Porte du Temple‎

‎- Chez Daumont et Lachaussée, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue des Boulvards de Paris pris de la Porte du Temple. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaître dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Deux pâles mouillures angulaires ne portant pas atteinte à la gravure. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Vue d'optique - Vue de l'Académie Royale de Peinture à Rome‎

‎- Chez Lachaussée, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue de l'Académie royale de peinture à Rome. Papier bleu. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Quelques très pâles rousseurs marginales. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Vue d'optique - Vue de l'Eglise de St Jean de Latran à Rome‎

‎- Chez Daumont et Lachaussée, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue de l'Eglise de St Jean de Latran à Rome. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎Vue d'optique - Vue de l'intérieur de l'Eglise Cathédrale de notre Dame de Paris‎

‎- Chés Lachaussée et chez Daumont, Paris [circa 1790], 43x30,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant l'intérieur de Notre Dame de Paris. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANONYME‎

‎Vue d'optique - Vue de la Maison du Belvédère dans le Vatican auprès de Rome‎

‎- Chez Daumont, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue de la Maison du Belvédère au Vatican. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANONYME‎

‎Vue d'optique - Vue des trois galleries, du Palais des Arts et des Sciences à Rome‎

‎- Chez Daumont et Lachaussée, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue des trois galleries, du Palais des Arts et des Sciences à Rome. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaître dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANONYME‎

‎Vue d'optique - Vue du fameux théâtre de Marcellus à Rome‎

‎- Chez Daumont et Lachaussée, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue du théâtre de Marcellus, à Rome. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaître dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Une trace de pliure centrale. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANONYME‎

‎Vue d'optique - Vue du Palais Quirinal à Rome‎

‎- Chez Lachaussée, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue du Palais Quirinal à Rome. Papier bleu. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Quelques très pâles rousseurs marginales. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANONYME‎

‎Vue d'optique - Vue perspective de la Revue de la Maison du Roy.‎

‎- Chez Daumont et Lachaussée, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue de la revue de la Maison du Roy, "infanterie qui se fait tous les ans dans la pleine des Sablons à une lieue de Paris". Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaître dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Une petite trace de pliure angulaire. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANONYME‎

‎Vue d'optique - Vue perspective de la Revue de la Maison du Roy.‎

‎- Chez Daumont et Lachaussée, Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue de la revue de la Maison du Roy, "infanterie qui se fait tous les ans dans la pleine des Sablons à une lieue de Paris". Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaître dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Une petite trace de pliure angulaire. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANONYME‎

‎Vue d'optique - Élévation perspective du portail de l'église paroissiale de St Eustache à Paris‎

‎- Chés Lachaussée , Paris [circa 1790], 46x33,5cm, une feuille. - Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant l'Eglise Saint Eustache. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANONYME‎

‎Vue de la ville de Genève‎

‎- Italie circa. 1825, 22,5x18cm, une feuille sous marie-louise. - Estampe gommée originale, datant du premier quart du XIXe siècle. Cette estampe, rare panorama pris du quartier de Saint-Jean à Genève sur la rive droite du Rhône, fut ajoutée par la suite à un ensemble de paysages italiens dans un album amicorum de 1825-1826 parmi des gravures, lithographies, dessins, et lavis. Exécutées dans le premier quart du XIXe siècle, ce type de paysage de grande qualité picturale résume les étapes du "Grand Tour", voyage obligé de la noblesse européenne qui venait en Italie ou en Suisse faire un pèlerinage artistique et bucolique auprès des grandes réalisations de la Renaissance, des panoramas urbains et des ravissants lacs de montagne. L'aristocratie européenne était donc friande de ces estampes de bonne qualité graphique rehaussée de couleurs éclatantes, qui rassemblaient les hauts-lieux de l'architecture et de la campagne italienne et suisse. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANONYME‎

‎« Le plaisir des saveurs sans limite » Album de cinq peintures érotiques chinoises.‎

‎- 1900, 16,5x24,4cm, autre. - Album constitué de 5 gouaches (peintures à la colle) érotiques sur soie. Sur la première page, le titre et la signature du peintre ainsi qu'un cachet rouge. Si le titre peut se traduire par : Une source d'intérêt sans fin, ou, le plaisir des saveurs sans limite, le nom du peintre n'a pu être traduit. Chaque peinture est signée d'un cachet, condition des plus rares, ces productions érotiques étant toujours anonymes par crainte de la censure ou de possibles représailles. L'élément le plus rare étant le titre manuscrit ainsi que le nom du peintre en page de titre. Ce peintre pouvait donc afficher son nom dans ce genre pictural alors qu'il était interdit d'en produire. Livre monté en accordéon, recouvert de soie brochée bleu composée de motifs chinois. Etiquette de titre grège semée d'or muette. Peintures sur soie ocre montées sur carton et bordées de soie beige. Superbe état et très belle fraîcheur de l'ensemble, peintures et livre. Ce type de représentation est la plupart du temps fruste, dans un style naïf et utilisant l'encre et l'aquarelle. Toutes les peintures sont ici à la colle traditionnelle ( qu'on peut assimiler à la technique de la gouache) et sont remarquables de finesse et d'élégance. On remarque un début de représentation des personnages et des drappés en volume, ce qui est peu le cas dans de genre de production. Les scènes érotiques se passent dans des intérieurs richement meublés. L'ensemble obéit aux canons de l'esthétique érotique chinoise, ainsi ne voit-on pas les pieds des femmes, toujours chaussées et munies de pieds minuscules. La date que nous donnons est bien entendu approximative, le recueil pouvant dater de la fin du XIXe ou de quelques décenies après 1900. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎Anonyme [René Allio?]‎

‎Pierre et Paul. "Plus vous travaillez et plus vous achetez. Plus vous achetez et plus vous jetez. Plus vous jetez, mieux c'est, mieux ça va, mieux ça tourne!"‎

‎français Sans date (1968). Affiche originale du film. 120x160 cm (approximatif). Pliée, transferts de scotchs et manques de papier sur les bords.‎

‎ANONYME DAVID‎

‎Le manteau court en peaux et fourrures (Croquis, La Gazette du Bon ton, 1922 n°7)‎

‎- Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, relié. - Set of eight original prints in color, drawn on laid paper. The boards are introduced by a text signed Joan Ramon Fernandez. The sketches are signed XIX and XXI David, respectively on the lower right and left boards. Original prints made ??for the illustration of The Gazette fashionable, one of the finest and most influential twentieth century fashion magazines, celebrating the talent of creators and artists French burgeoning art deco. Famous fashion magazine founded in 1912 by Lucien Vogel, The Gazette fashionable appeared until 1925 with an interruption during the War of 1915 to 1920, due to mobilization of its editor. She is 69 Deliveries from just 2000 copies and is illustrated including 573 color plates and 148 sketches depicting models of fashion designers. Upon publication, these luxury publications "are for bibliophiles and worldly aesthetes" (Françoise Tétart-Vittu "good Gazette of tone" in the fashion dictionary, 2016). Printed on fine laid paper, they use a typeface created specifically for the magazine by Georges Peignot, the Cochin character, taken in 1946 by Christian Dior. The prints are made with the technique of metal stencil, enhanced color and some outlined in gold or palladium. The adventure began in 1912 when Lucien Vogel, man of the world and fashion - it has already participated in Femina magazine - decided to found with his wife Cosette de Brunhoff (John's sister, the father of Babar) Gazette good tone in which the subtitle is then "Art, fashions and frivolities." Georges Charensol quotes the editor: "In 1910, he observed, there was no truly artistic fashion magazine and representative of the spirit of his time. So I thought of making a glossy magazine with truly modern artists [...] I was certain of success because for any fashion country can compete with France. "(" A great art editor. Lucien Vogel "in literary News, No. 133, May 1925). The success of the magazine is immediate, not only in France but also the US and South America. Originally, Vogel therefore brings together a group of seven artists: André-Édouard Marty and Pierre Brissaud, followed by Georges Lepape and Dammicourt; and finally his friends from the School of Fine Arts as are George Barbier, Bernard Boutet de Monvel or Charles Martin. Other talents come quickly reach the equipped Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Edward Halouze Alexander Iacovleff, Jean Emile Laboureur Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. These artists, mostly unknown when Lucien Vogel appealed to them, will eventually become iconic figures and artistic sought. These are the same illustrators who make the drawings advertisements Gazette. The boards highlight the dresses and sublime seven artists of the time: Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet and Doucet. The designers provide for each number of exclusive models. Nevertheless, some of Illustrations contained no real model, but only the idea that the illustrator is done in the fashion of the day. Gazette fashionable is a milestone in the history of fashion. Combining the aesthetic requirement and plastic unit, it brings together for the first time the great talents of the world of arts, literature and fashion and imposed by this alchemy, a new image of women, slender, independent and bold, also driven by the new generation of designers Coco Chanel, Jean Patou, Rochas Marcel ... Recovery in 1920 by Condé Montrose Nast, Gazette fashionable modeled for the new composition and the aesthetic choices of the "little dying newspaper" that Nast had bought a few years ago: the Vogue magazine. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Ensemble de huit estampes originales en couleur, tirées sur papier vergé. Les planches sont introduites par un texte signé L. R. F. Les croquis L, LII, LIII, LV, sont signés David, respectivement en bas à droite et à gauche des planches. Reliure à la br‎

‎Anonyme.‎

‎"L'Electrification dans Les Fermes d'Etat".‎

‎Une affiche de dimensions 76x55 cm, représentant un travailleur en train de connecter un sovkhoz (ferme d'état) à l'énergie électrique. Départ de fente sans manque au niveau d'une pliure. Affiche bien fraîche à restaurer. Peu courant. Voir photo.‎

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‎Anonyme.‎

‎"La voie vers un monde de bonheur pour notre Patrie" (traduction approximative par Google). Kirghistan.‎

‎Une affiche en tirage originale, dimensions 83x58 cm; représentant une femme de type asiatique sur fond de drapeau du Parti Communiste Russe. Déchirure sans manque à restaurer sinon bel état. Peu courant. Affiche de propagande de la République Autonome du Kirghistan pour la construction d'un monde nouveau. Petite restauration nécessaire. Voir photo‎

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‎Anonyme.‎

‎Une affiche de Komsomol Soviétique; jeune fille se rendant sur des chantiers collectifs.‎

‎Un tirage original d'une affiche de propagande des Jeunesses Communistes Soviétiques de la période "Khrouchtchev". Dimensions 82x57 cm. Bel état. L'affiche a été pliée sans aucun dommage. Voir photo. Bel exemple de la propagande pour mobiliser les énergies dans la période de la Conquête de l'Espace; mais également d'une relative évolution des libertés dans le pays.‎

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‎Anonyme. Courses de Chevaux.‎

‎Une affiche éditée à l'occasion de l'exposition "Aux Courses, Horse-Racing", à la Galerie des Champs-Elysées du 21 avril au 20 mai 1965.‎

‎Une seule affiche de dimensions 50 x 65 cm; belle impression lithographique. Légèrement frippée en marge droite avec petite fente restaurée; un angle marqué; sinon très belle impression anonyme également. Voir photo.‎

MareMagnum

Sciardet Daniel
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‎ANQUETIN Louis Émile (Étrepagny 1861 - Paris 1932).-‎

‎Affiche Marguerite Dufay dans son répertoire. (Marguerite Dufay jouant du trombone à coulisse).-‎

‎Planche 150 des Maîtres de l'Affiche. Imprimerie Chaix. Vers 1895 - 1900. Lithographie couleurs de 306 x 233 mm, hors marges, dimensions totales 291 x 400 mm. Marges lgt brunies sinon bel exemplaire. Photo sur demande.‎

Bookseller reference : ORD-17964

Livre Rare Book

Librairie Les Vieux Ordinaires
Toulon France Francia França France
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‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 10.‎

‎- Encre et lavis sur papier Début XXème, 10 x 16 cm. - Dessin originale à l'encre et lavis.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 2.‎

‎- Crayon et encre sur papier Début XXème, 31 x 20 cm. - Dessin original au crayon, rehaussé à l'encre (technique mixte). Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 4‎

‎- Encre sur papier Début XXème, 20 x 31 cm. - ANQUETIN Louis Académie d'homme 4 Ink on paper Early 20th century, 20 x 31 cm. Original ink drawing. Signed with the artist's signature stamp in the lower right corner of the work, and signed with the workshop's stamp on the back. This drawing is part of a series of ten studies completed for Bertin around 1920-1925. Very good condition. Provenance: artist's workshop, referenced in the Atelier Louis Anquetin catalogue (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, born in Étrépagny in 1861 and died in Paris in 1932, is an important French painter. He began his career alongside avant-garde painters such as Vincent Van Gogh and Henri de Toulouse-Lautrec. He is the inventor, with Émile Bernard, of Cloisonnism. From 1884 to 1893, Louis Anquetin never stopped exploring the new possibilities that the freedom of Impressionism brought to French painting. From 1893, following a long confrontation with the "maîtres d'autrefois" "masters of the past," he adopted a pictorial bias which would put him on the fringes of the general art movement and distance him from his friends. Dazzled by Baroque art and its creative vigour, he then thought that his childhood friends were taking a path that would lead to the death of painting. He believes in a "peinture parfaite" "perfect painting," which is embodied in the re-remembering of Michelangelo and Rubens' lessons in particular. His work, therefore, becomes more classic; he advocates the return to the profession, by proposing to reflect on the a priori conditions of any possible form of art in accordance with the rules of perspective and anatomy, as practised by the masters of the 16th and 17th century. Leaving only a few works that can be described as monumental, Anquetin proves to be prolific as a result of his many studies and sketches; he who considered that drawing was "un moyen d'expression tout puissant" "an all powerful means of expression," the obligatory foundation of all fine art. By working voluntarily in reverse of his time, Louis Anquetin made the existance of an original modern portrayal possible. Through his persistance and his passion for painting, he indeed prevented the path of the great western tradition from being completely sealed. His works can be admired in many prestigious museums, such as the Musée d'Orsay or the Louvre in Paris, in San Francisco or in Detroit, in the State Hermitage Museum in St Petersburg, in the National Gallery and the Tate in London, etc. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Dessin original à l'encre. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925.Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible da‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 5‎

‎- Encre et lavis sur papier Début XXème, 20 x 31 cm. - Dessin original à l'encre et lavis. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Il comporte une annotation manuscrite de l'artiste, commentant son travail : "baisser les épaules". Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle. Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 6‎

‎- Encre sur papier Début XXème, 20 x 31 cm. - Dessin original à l'encre, et esquisse au crayon au verso. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Un petit manque asymétrique d'origine, sinon très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 7‎

‎- crayon, encre et lavis Début XXème, 20 x 31 cm. - Dessin original au crayon, encre et lavis. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 8‎

‎- Encre sur papier Début XXème, 20 x 31 cm. - Dessin original à l'encre. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Il comporte des annotations à l'encre de l'artiste, explicitant son travail sur les proportions anatomiques.Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 9.‎

‎- Crayon sur papier Début XXème, 23 x 36 cm. - Dessin original au crayon.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Il comporte des annotations de l'artiste "Cou - Type & divers". Le verso est également annoté par l'artiste : il explicite ici, sous forme de notes rapides, la différence entre la Peinture moderne et la Peinture ancienne.Deux infimes manques marginaux, une petite déchirure en tête (1 cm), sinon très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Cochon : Étude 2‎

‎- Crayon sur papier Fin XIXème - Début XXème, 20 x 31 cm. - Dessin original au crayon. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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