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‎PASTOUREAU (Michel).‎

‎La Vie quotidienne en France et en Angleterre au temps des chevaliers de la Table ronde (XIIe-XIIIe siècles).‎

‎Hachette, 1976, in-8°, 241 pp, une carte, biblio, broché, couv. illustrée, bon état. Edition originale‎

‎Par la description de l'existence des héros de la Table Ronde mise en scène dans les romans de chevalerie des XIIe et XIIIe siècles, ce livre évoque la véritable vie quotidienne des populations française et anglaise pendant la période qui s'étend de l'avènement d'Henri II Plantagenêt, roi d'Angleterre (1154), à la mort de Philippe Auguste (1223), roi de France. Cette époque, celle des châteaux forts et de l'amour courtois, des premières cathédrales et des premiers tournois, constitue à bien des égards le coeur du Moyen Âge occidental. La littérature arthurienne n'est pas seulement une littérature récréative, mais militante. Par elle, une classe, la petite et moyenne noblesse, cherche à imposer sa vision du monde et de la société à travers les exploits du roi Arthur, les amours de Lancelot, les malheurs de Tristan ou les étranges aventures de Perceval. A la fois reflet et modèle du public auquel ils s'adressent, les romans de la Table Ronde semblent offrir à l'historien un terrain d'enquête particulièrement fructueux. — Le premier livre de Michel Pastoureau.‎

Riferimento per il libraio : 7172

‎PERNOUD (Georges et Régine).‎

‎Le Tour de France médiéval.‎

‎Stock, 1982, gr. in-8°, 452 pp, environ 150 illustrations dans le texte et hors texte, 17 carte hors texte, chronologie, biblio, index, cart. illustré de l'éditeur, bon état (Coll. L'Histoire buissonnière)‎

Riferimento per il libraio : 7178

‎NICOLAS DE TROYES.‎

‎Le Grand Parangon des nouvelles nouvelles, composé par Nicolas de Troyes et publié d'après le manuscrit original par Emile Mabille.‎

‎Libr. A. Franck, 1869, in-12, xlvii-299 pp, reliure percaline rouge éditeur (Coll. Bibliothèque Elzévirienne)‎

Riferimento per il libraio : 7655

‎LEVRON (Jacques).‎

‎Le Château fort et la vie au Moyen Age.‎

‎Fayard, 1963, in-8° carré, 214 pp, 87 illustrations, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Résurrection du passé)‎

‎Jacques Levron n' a pas voulu, par ce livre, faire un simple traité des châteaux, de leurs formes, de leurs plans et de leur évolution. Grand spécialiste de l' histoire médiévale, il a animé ces pierres mortes, et à l'aide des textes, des chansons de geste et des récits des chroniqueurs, il leur a redonné la vie - une vie singulièrement colorée et attachante. L'existence de tous les jours dans les châteaux, leur rôle social et politique, sont évoqués avec maîtrise et illustrés d'une iconographie abondante, empruntée à toutes les époques.‎

Riferimento per il libraio : 7732

‎LE ROY LADURIE (Emmanuel).‎

‎Montaillou, village occitan de 1294 à 1324.‎

‎Gallimard, 1979, fort in-8°, 642 pp, 2 pl. hors texte, biblio, index, reliure toile éditeur, jaquette, bon état (Coll. Bibliothèque des histoires)‎

‎Montaillou : petit village de montagnards et de bergers en haute Ariège, à 1300 mètres d'altitude. En 1320, Jacques Fournier, évêque de Pamiers, plus tard pape d'Avignon, y déploie ses talents d'inquisiteur. Maigret avant la lettre, Jacques Fournier finit par déterrer tous les secrets du village. Rien n'échappe à cet évêque fureteur, ni les vies intimes, ni les drames de l'existence quotidienne. En s'appuyant sur cet extraordinaire document de Jacques Fournier, sorte de roman vrai du petit peuple du XIVe siècle, Emmanuel Le Roy Ladurie retrace la vie des habitants de ce village de Haute-Ariège, imprégné de catharisme, et démontre ainsi la possibilité d‘une histoire totale.‎

Riferimento per il libraio : 7738

‎NAVARRE (Marcel).‎

‎Louis XI en pèlerinage.‎

‎Bloud et Cie, 1908, in-8°, ix-252 pp, broché, couv. défraîchie, bon état (Nouvelle bibliothèque historique). Peu courant‎

‎"On sait quel infatigable voyageur fut Louis XI. II n'était jamais en place et cette activité fébrile fit certainement une partie de sa politique et de ses succès. M. Navarre a eu l'idée ingénieuse de nous montrer en Louis XI le pèlerin, car ce souverain cauteleux et peu scrupuleux tenait à se mettre en règle avec le ciel par ses dévotions envers la Vierge et les saints. C'est le Louis XI saint homme que nous montre M. Navarre, avec une abondance de détails qui ne laisse rien à désirer. Son seul tort est de conclure de la dévotion de Louis XI à sa piété. Certainement il croyait, mais croire et être religieux sont deux. On peut être dévot et brigand..." (Gabriel Monod, Revue Historique, 1908) — "Parmi les nombreux ouvrages d'histoire consacrés à Louis XI et qui l'étudieut sous tous les rapports possibles, à toutes les époques et dans toutes les circonstances de sa vie, on en eût jusqu'ici trouvé difficilement un, croyons-nous, consacré uniquement à sa dévotion. Eh bien ce Louis XI dévot, ce Louis XI au chapeau chargé de médailles de plomb, ce Louis XI-là a tenté la curiosité érudite de M. Marcel Navarre ; et c'est là, certes, un sujet attachant. Que le plus grand politique du Moyen Age en ait été peut-être aussi le plus grand dévotieux, il y a là deux aspects dont il vaut d'étudier les rapports. Ils sont peu conciliables à première vue. Louis XI n'hésita jamais à se parjurer, c'est un fait que l'ouvrage de M. Navarre n'infirme point ; et, après Péronne, le Téméraire pouvait demander « Par quel Dieu jurera-t-il dont il n'ait déjà mérité la colère ? » Mais la vérité d'une physionomie gît dans la conciliation de ses aspects les plus opposés. Il sentait que le sens des choses était pour lui, ce Louis XI, ce faiseur d'unité nationale. Il multipliait les pèlerinages, du Nord au Midi, au Mont Saint-Michel, à Soulac, à Rocamadour, à Saint-Denis en France, à Notre-Dame de Hal (après l'humiliation de Péronne), à Notre-Dame de Celles, Notre-Dame de Béhuart, Notre-Dame de Fourvière, etc., etc. M. Marcel Navarre a recueilli minutieusement tous les faits (autant que possible), classés d'après les dates mêmes de la vie de Louis XI. Tous les gestes de la dévotion de Louis XI sont là, mis à leur place dans la série de ses guerres, de ses négociations, de ses entreprises, des vicissitudes de sa fortune. De la sorte, le lecteur aura toutes les pièces en mains, et grâces en soient rendues à M. Marcel Navarre, qui lui permettront de conclure sur la valeur de la piété de Louis XI, sur la fonction en quelque sorte de cette piété non seulement dans la religion de l'homme, mais encore dans la politique du roi, dont, selon nous, elle ne reste pas distincte." (Edmond Barthèlemy, Mercure de France, 1908)‎

Riferimento per il libraio : 7825

‎TUNC (Suzanne).‎

‎Les Femmes au pouvoir. Deux abbesses de Fontevraud au XIIe et XVIIe siècles.‎

‎Editions du Cerf, 1993, in-8°, 200 pp, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎"Il est bien connu que l'ordre double de Fontevraud eut l'originalité d'être gouverné par des abbesses ayant autorité tant sur les moniales que sur les frères. S. Tunc s'est penchée sur le cas de deux des plus éminentes, la première, Pétronille de Chemillé (1115-1149), et la trente-troisième, Gabrielle de Rochechouart de Mortemart (1670-1704). (...) Féministe convaincue, l'A. – après avoir longuement insisté sur la misogynie ecclésiastique aux XIe et XIIe s. (p. 29 et ss) et déploré (p. 46) qu'en 1210 la papauté ait jugé « absurde » le fait que des abbesses puissent confesser leurs moniales – conclut son ouvrage par un vibrant plaidoyer en faveur de l'ordination sacerdotale des femmes. Cet excès mis à part, ce petit livre n'en constitue pas moins une très agréable vulgarisation." (J.-M. Bienvenu, Cahiers de civilisation médiévale, 1995)‎

Riferimento per il libraio : 8101

‎DUBY (Georges).‎

‎Le Temps des cathédrales. L'art et la société, 980-1420.‎

‎Gallimard, 1980, in-8°, 379 pp, 32 pl. de gravures hors texte, broché, jaquette illustrée, bon état (Coll. Bibliothèque des histoires)‎

‎Devant le trésor de Saint-Denis ou les vitraux de Chartres, les fresques de Giotto ou les palais florentins, qui ne s'est interrogé sur les conditions sociales et les représentations mentales qui ont environné et inspiré le geste de leurs créateurs ? Cette vaste sociologie de la création artistique, chef d'œuvre d'un grand historien doublé d'un écrivain, replace l'ensemble des hautes productions de l'Occident médiéval dans le mouvement général de la civilisation. Elle offre des clés pour pénétrer cet univers de formes complexe et fascinant. Georges Duby montre donc comment, au XIe siècle, ce que nous avons appelé la féodalité transféra des mains des rois à celles des moines le gouvernement de la production artistique ; comment, cent ans plus tard, la renaissance urbaine établit la cathédrale au foyer des innovations majeures ; comment, au XIVe siècle, l'initiative du grand art revint aux princes et s'ouvrit aux valeurs profanes. Le temps des cathédrales est ainsi encadré, entre celui des monastères et celui des palais. L'influence de cet essai n'a cessé d'être déterminante aux avant-postes de la recherche historique...‎

Riferimento per il libraio : 8378

‎TEISSEYRE (Charles).‎

‎Iconographie médiévale des grands docteurs de l'Eglise, Grecs et Latins. Recherches d'histoire de l'art et de spiritualité.‎

‎Bordeaux, Chez l'auteur, 1967, in-4°, 346 pp, texte dactylographié, qqs documents et photos, biblio, broché, bon état‎

‎Mémoire présenté devant la Faculté des Lettres de Bordeaux en vue de l'obtention du Diplôme d'Etudes Supérieures (Mémoire Principal). Directeur de recherche Mlle Marguerite Roques.‎

Riferimento per il libraio : 8546

‎LONGNON (Auguste).‎

‎La formation de l'unité française. Leçons professées au Collège de France en 1889-1890, publiées par H.-François Delaborde, avec préface par Camille Jullian.‎

‎Picard, 1969, in-8°, xiii-460 pp, index, broché, bon état. Réimpression de l'édition de 1922‎

‎"On connaît l'exceptionnel mérite des travaux d'Auguste Longnon dans le domaine de la toponymie et de la géographie historique; cet autodidacte a été un précurseur et un chef d'école. Mais une mort prématurée ne lui a pas permis de mettre au jour tous les résultats de ses immenses recherches. Il faut savoir gré à M. H.-François Delaborde de l'acte pieux qu'il a accompli en publiant, d'après les papiers de Longnon et ses notes personnelles, éclairées par des entretiens intimes, le cours professé au Collège de France par son ancien maître, en 1889-1890, sur la formation de l'unité française. Il en a respecté la forme et a réparti en vingt-deux leçons toute l'histoire de la constitution territoriale de notre pays, depuis l'avènement des Capétiens jusqu'en 1870. Mais, alors que dix-huit leçons ont paru nécessaires pour conduire l'auditeur, pas à pas, du Xe au XVIe siècle, quatre ont suffi pour parcourir à grandes enjambées les derniers siècles de notre histoire. Longnon a ainsi nettement marqué sa prédilection pour l'histoire médiévale qui, à condition d'être suivie dans ses moindres détails, fournit vraiment la clé de l'évolution postérieure. L'éditeur a conservé le langage du maître, précis, direct et parfois soulevé par un patriotisme ardent et réfléchi. Enfin M. H.-François Delaborde a pris la peine de dresser une table des matières très détaillée – elle occupe près de 100 pages – et qui n'est pas seulement un index des noms de personnes et de lieux. Les historiens des institutions, qui ne sont pas gâtés d'ordinaire par les faiseurs de tables, lui en sauront tout particulièrement gré. Nous voici donc munis d'un manuel parfait de géographie historique, qui dispensera de bien des recherches dans les chroniques et les généalogies." (Olivier Martin, Revue historique de droit français et étranger, 1924) — "M. Delaborde nous donne à la librairie Picard en un beau volume, muni d'un copieux index de plus de quatre-vingts pages, le texte soigneusement revu des leçons professées par l'érudit Auguste Longnon en 1889-1890, pour ses débuts au Collège de France, sur les variations de nos frontières et les transformations de la carte politique de notre pays depuis Hugue Capet jusqu'au traité de Francfort. Et, bien que M. Delaborde se soit interdit, en règle générale, de rien changer d'essentiel à l'exposé du maître et qu'il n'ait, par suite, pas tenu compte des travaux parus depuis plus de trente ans, la science d'A. Longnon était si exacte et si sûre que bien rares sont les pages auxquelles on serait tenté aujourd'hui d'apporter de menues retouches. Le volume comprend vingt-deux « leçons ». D'un bout à l'autre, on retrouve la solide érudition d'A. Longnon, son goût du détail précis, qui fait de ce livre un répertoire de premier ordre, dont il eût été vraiment dommage que nous fussions privés." (Louis Halphen, Bibliothèque de l'École des chartes, 1922) — "Les amis de l'historien Auguste Longnon, qui par son enseignement et par ses travaux, fit tant progresser les études de géographie historique, ont réuni dans ce volume les leçons qu'il professa au Collège de France en 1889-1890. Ce livre est une synthèse de notre histoire nationale des douze siècles qui nous précèdent, écrite en fonction d'une préoccupation dominante : montrer comment, à travers une si longue durée, s'est formé, peu à peu, le territoire français et l'unité de la nation. C'est surtout sur les siècles de la monarchie féodale que Longnon a fait porter ses études, ce qui était assez naturel chez un médiéviste ; les développements consacrés au XVIIIe siècle et à la Révolution sont un peu écourtés. Mais on ne lira pas sans un grand respect pour ce travail de documentation et pour l'effort de condensation qu'elle révèle cette puissante étude ; l'auteur a su, d'une manière très vivante, restituer les vicissitudes de l'unité nationale, faite, défaite et refaite à travers les successions, les mariages, les constitutions ou les reprises d'apanages, les contrats de pariage, les fondations de villes, les traités, les alliances et les guerres. Il faut louer M. F. Delaborde, l'éditeur de cet ouvrage, non seulement de l'avoir donné au public, mais encore de l'avoir pourvu d'un index qui est un vrai monument de travail consciencieux et précis et qui double la valeur d'un tel livre, en en rendant l'usage extrêmement aisé." (Revue d'histoire économique et sociale, 1923) — "Il faut savoir gré au comte Delaborde d'avoir recueilli et publié le texte des leçons que Longnon professa jadis au Collège de France sur l'histoire territoriale de la monarchie française. C'est le seul guide dont nous disposons pour nous orienter dans une matière aussi essentielle et aussi complexe. (...) Un excellent index dû au comte Delaborde facilite considérablement l'utilisation du volume. Cet ouvrage est au nombre de ceux dont un médiéviste ne saurait désormais se passer." (François-L. Ganshof, Revue belge de philologie et d'histoire, 1925) — "Ce livre est un résumé de la politique extérieure de la France pendant neuf siècles. Il met en relief l'admirable unité de vue qui anima tous les représentants au pouvoir d'une incomparable dynastie. C'est l'œuvre d'un sagace érudit qui fait montre d'une prestigieuse souplesse dans le maniement des généalogies princières, des testaments et hérédités, des traités et transactions, de ces échevaux inextricables de seigneuries issues de la féodalité. L'air et la lumière passent à travers cette forêt. Ce monument sera désormais un guide sûr et indispensable. Un répertoire des noms de lieux et de personnes, qui ne comprend pas moins de quatre-vingt pages en deux colonnes, dû à la patience et au dévouement de M. H.-François Delaborde, rend des plus aisées la consultation de ce livre si dense, si bourré de faits, de dates et de choses." (L. de Lacger, Revue d'histoire de l'Église de France, 1924)‎

Riferimento per il libraio : 8672

‎PRESCOTT (H. F. M.).‎

‎Le Voyage de Jérusalem au XVe siècle.‎

‎Arthaud, 1959, in-8°, 322 pp, traduit de l'anglais (“Jerusalem journey : pilgrimage to the Holy Land in the fifteenth century”), 28 gravures hors texte, biblio, index, broché, jaquette illustrée, bon état‎

Riferimento per il libraio : 8990

‎PALADILHE (Dominique).‎

‎Les Grandes heures cathares.‎

‎Perrin, 1969, in-8°, 278 pp, 16 pl. de documents hors texte, généalogies, carte, reliure skivertex éditeur‎

Riferimento per il libraio : 9079

‎BROOKE (Christopher).‎

‎L'Europe au milieu du Moyen Age (962-1154).‎

‎Sirey, 1967, in-8° carré, 416 pp, traduit de l'anglais, 13 cartes, 2 tableaux généalogiques, chronologie, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Histoire de l'Europe)‎

‎"Voici un important ouvrage, qui se révèle extraordinairement utile, car il comble une lacune considérable. Non que les lecteurs manquent d'ouvrages généraux, mais, dans la plupart des livres de grandes collections rédigés à leur usage, l'événement n'est guère présent : l'événement, ce parent pauvre que beaucoup d'historiens actuels se croient encore contraints de rejeter, afin de concentrer toute leur attention sur ce que l'on intitule « faits de civilisation ». Chr. Brooke, en son travail, ne se croit pas déshonoré d'avoir à rapporter, avec un grand souci de précision, tous les grands événements dont l'Europe fut le théâtre entre 962 et 1154. (...) Une bibliographie abondante accompagne chaque chapitre : elle est caractérisée par une grande largeur de vues et ouvre utilement les perspectives les plus variées. Un effort louable a été opéré pour adapter ici ces relevés aux besoins du lecteur français. (...) la valeur fondamentale d'un livre qui, à plus d'une reprise, nous retient, ou véritablement nous charme par l'originalité de pensée de son auteur, par le jugement pénétrant dont fait preuve ce dernier." (Edmond René Labande, Cahiers de civilisation médiévale, 1969)‎

Riferimento per il libraio : 9170

‎DIEHL (Charles).‎

‎Manuel d'art byzantin.‎

‎Picard, 1925-1926, 2 vol. in-8°, xv-946 pp, 2e édition revue et augmentée, pagination continue, 448 illustrations, biblio, index, brochés, bon état‎

‎Origine et formation de l'art byzantin ; Le premier âge d'or de l'art byzantin ; Le second âge d'or de l'art byzantin. Epoque des Macédoniens et de Comnènes ; La dernière évolution de l'art byzantin (du milieu du XIIIe siècle au milieu du XVIe siècle). — "Cet ouvrage, devenu aujourd'hui classique, représente la première synthèse tentée dans ce domaine. Ce Manuel n'est pas un simple inventaire bien informé, il est aussi un ivre de doctrine ; ce qui lui donne une haute valeur, ce sont les discussions critiques, toujours impartiales et suivies de conclusions personnelles qui constituent l'explication la plus claire qu'on ait donnée jusqu'ici de l'histoire de l'Art byzantin... On ne peut qu'admirer l'érudition étendue que suppose cet ouvrage, mais ce qui fait surtout sa valeur, c'est que M. Diehl a vu et étudié de près la plupart des monuments dont il parle. L'admiration même qu'il professe pour cet art, qu'il connaît si bien, rend très attachante la lecture de son livre." (L. Bréhier, Revue historique) — "C'est une bonne fortune pour le public de langue française de posséder cet excellent manuel, mis au point par l'auteur qui a tant contribué, par ses travaux personnels et ses discussions critiques, à éclaircir une matière où les hypothèses se sont multipliées. Depuis quinze ans qu'a paru la première édition, la question des origines de l'art chrétien oriental d'une part et celle des influences qui ont agi sur l'art byzantin à son apogée, de l'autre, ont été l'objet de nombreuses controverses. M. Diehl, qui les a réfutées sur plus d'un point, rend justice à l'originalité des théories de M. Strzygowski, à la masse de faits nouveaux et dignes d'attention dont il a enrichi nos connaissances. D'autre part, dans l'étude qui a permis de caractériser les diverses écoles de l'art byzantin en son plein développement, M. Diehl reconnaît l'importance de l'oeuvre de M. Gabriel Millet. (...) Un tel livre, par la netteté de l'exposé, le soin avec lequel les arguments sont discutés, l'abondance des documents réunis, contribuera à amener de nouveaux progrès." (René Dussaud, Syria, 1927)‎

Riferimento per il libraio : 9173

‎LABANDE (L.-H.).‎

‎Histoire de Beauvais et de ses institutions communales jusqu'au commencement du XVe siècle. (Thèse).‎

‎Genève, Mégariotis, 1978, in-8°, xxiii-381 pp, 41 pièces justificatives, reliure simili-cuir havane de l'éditeur, bon état (Réimpression de l'édition de 1892)‎

‎"Cet ouvrage est une thèse de l'Ecole des chartes qui repose sur des recherches étendues ; elle fait honneur à la fois à l'auteur et aux maîtres dont il a reçu les leçons. La commune de Beauvais s'est formée lentement, par développements successifs ; elle ne sort pas d'une insurrection victorieuse ; elle n'est point le fruit d'une concession gracieuse du souverain. L'évêque de Beauvais, des le début du XIe siècle, est maître et seigneur dans sa ville épiscopale et ne relève que du roi ; mais les bourgeois jouissent déjà de certaines libertés, de certains privilèges qui, peu à peu, se préciseront, prendront corps et se fixeront dans des chartes de coutumes. La royauté ne joue aucun rôle actif dans ce lent développement ; au XIIIe siècle, son intervention, sous saint Louis notamment, est plutot violente et maladroite ; plus tard, devenue plus habile, elle soumet la bourgeoisie de Beauvais à des persécutions savantes et bien conduites, qui doivent à son gré amener la ruine de la commune et l'abandon des libertés par les habitants. A Beauvais, ce résultat est plus lent à venir qu'ailleurs, et, jusqu'au XVIIe siècle, la ville gardera quelques-unes de ses franchises. Mais, dès le XIVe, l'autorité royale a pris pied dans la cité et, sous pretexte de réformer les abus, elle a mis des entraves au libre exercice du gouvernement communal. Sur toutes ces questions, sur le fonctionnement de la commune durant deux siècles, sur les droits respectifs des pairs et de l'évêque, on trouvera dans le livre de M. Labande beaucoup de très curieux renseignements. On peut citer entre autres le chapitre sur le développement du pouvoir épiscopal ; l'auteur montre fort bien comment il naît des le IXe siècle et comment le prélat parvient, au XIe, à évincer le comte." (A. Molinier, Revue Historique, 1893) — "L'histoire de Beauvais par M. Labande n'embrasse que la période allant des origines au commencement du XVe siècle, c'est-à-dire jusqu'à l'époque où l'autorité royale s'y implanta définitivement et remplaça l'administration municipale. C'est à partir du XIe siècle que les annales de cette ville deviennent surtout intéressantes, c'est-à-dire à dater du moment où les évêques acquirent le comté de Beauvais et où la charte communale fut concédée à cette ville. Si elle n'eut pas tous les privilèges politiques et judiciaires que l'on trouve dans d'autres localités plus favorisées, en revanche elle résista plus longtemps à toutes les causes ordinaires de ruine. Tandis que d'autres communes étaient absorbées par le pouvoir royal à la suite de leurs querelles et de leurs divisions intestines ou des dissensions qui s'élevaient entre elles et les juridictions voisines, il fallut tous les malheurs accumulés par la guerre de Cent ans pour diminuer seulement les privilèges administratifs et politiques de Beauvais. Aussi l'étude de l'organisation de cette ville était-elle intéressante, mais difficile, à cause de la dispersion des documents. M. Labande l'a abordée résolument et s'en est tiré à son avantage. Le volume qu'il offre au public fut d'abord présenté comme thèse à l'Ecole des chartes, et valut à son auteur l'honneur de sortir le premier. Dans la première partie, M. Labande fait connaître les différentes vicissitudes que subit la ville de Beauvais, depuis ses origines jusqu'à la fin du règne de Philippe le Bel, les relations de l'évêque et de la commune avec la royauté. La deuxième partie est consacrée aux institutions municipales. Nous apprenons successivement comment s'établit la commune, quelle était sa constitution, quelle était l'étendue de la juridiction des magistrats municipaux, quels furent les rapports de l'évêque et de la commune, et enfin ce que furent le commerce et l'industrie de Beauvais pendant le moyen âge. La troisième partie est le tableau de la décadence de la commune ; on assiste peu à peu à l'infiltration de l'autorité royale, d'abord dans les affaires militaires et dans les finances, puis à l'établissement d'un juge royal qui, après avoir connu de toutes les causes appartenant de droit au bailli de Senlis, finit par se trouver aux assemblées des trois corps de la ville, et par y exercer une influence prépondérante. Quarante et une pièces justificatives, la plupart très intéressantes, terminent cet ouvrage, qui fait réellement honneur à M. Labande." (Jules Viard, Revue des Questions historiques, 1893)‎

Riferimento per il libraio : 9215

‎PIRENNE (Henri)(éd.).‎

‎Le Livre de l'abbé Guillaume de Ryckel (Liber Sancti Trudonis) 1249-1272. Polyptyque et comptes de l'abbaye de Saint-Trond au milieu du XIIIe siècle. Publiés par Henri Pirenne.‎

‎Genève, Mégariotis, 1981, in-8°, lx-440 pp, index, reliure toile éditeur, titres dorés au 1er plat et au dos, bon état. Réimpression de l'édition de Bruxelles, 1896‎

‎Une belle publication du livre de comptes de Guillaume de Ryckel, abbé de Saint-Trond (1249-1272). C'est une sorte de manuel destiné à gérer les biens de l’abbaye bénédictine, qui tient à la fois du cartulaire, du document d’enregistrement, du censier, du polyptyque et du registre de comptes, et qui détaille la renaissance économique de l'abbaye de Saint-Trond, sous son impulsion énergique et sage. Renseignements importants pour l'histoire économique, administrative et religieuse.‎

Riferimento per il libraio : 9216

‎RIANDEY (Paul).‎

‎L'Organisation financière de la Bourgogne sous Philippe le Hardi et Chartes de l'abbaye de Saint-Étienne de 1280 à 1285. (Thèse).‎

‎Genève, Mégariotis, 1981, in-8°, xi-196-163 pp, biblio, index, reliure toile verte de l'éditeur, bon état (réimpression de l'édition de Dijon, 1908)‎

‎Table : I. Les finances avant Philippe le Hardi. II. Les finances sous Philippe le Hardi. Les comptes de la rectte particulière. III. Les comptes de la recette générale. IV. La chambre des comptes. Appendice : Jean sans Peur et la Chambe des comptes. 2e partie. Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Etienne de Dijon : Chartes des années 1280 à 1286.‎

Riferimento per il libraio : 9218

‎VERRIEST (Léo).‎

‎Le Servage dans le Comté de Hainaut. Les Sainteurs, le meilleur catel.‎

‎Genève, Mégariotis, s.d. (v. 1975), fort in-8°, 736 pp, index, reliure toile éditeur. (Réimpression de l'édition de 1910)‎

Riferimento per il libraio : 9219

‎DES MAREZ (Guillaume).‎

‎Etude sur la propriété foncière dans les villes du Moyen Age et spécialement en Flandre.‎

‎Genève, Mégariotis, 1978, in-8°, xxv-392 pp, 2 grands plans dépliants hors texte, reliure simili-cuir fauve de l'éditeur, bon état (réimpression de l'édition de 1898)‎

‎"Ce qu'il faut louer tout d'abord dans cet ouvrage, c'est la sûreté de la méthode. M. des Marez ne s'est pas contenté des sources juridiques ; ses observations sont fondées sur des milliers de documents d'archives, imprimés et inédits. Son étude porte surtout sur les villes de Flandre ; mais l'histoire de villes étrangères, et notamment des villes allemandes, lui a fourni des éléments de comparaison fort instructifs. Il se défie, et avec raison, des abstractions juridiques. C'est la réalité concrète et vivante qu'il s'efforce d'atteindre ; il est convaincu que les règles juridiques ne sont que la résultante des conditions économiques et sociales. Aussi nous explique-t-il avec la plus grande netteté les relations très étroites qui existent entre l'histoire de la propriété foncière dans les villes et l'histoire des constitutions urbaines. M. des Marez distingue essentiellement, en ce qui concerne les origines, deux catégories de villes : 1) les agglomérations issues de la familia d'un évoque ou d'un abbé, et qui ne s'émancipent que lentement du régime domanial ; 2) les colonies marchandes, créées sur le domaine de quelque seigneur justicier, et où la terre doit être libre comme la personne du marchand. – C'est à ce second type que se ramènent les villes de Flandre, admirablement situées pour le commerce, et où les marchands ont afflué de bonne heure. (...) M. des Marez décrit aussi avec la plus grande netteté la genèse des tenures urbaines. (...) Cette consciencieuse étude, aussi intéressante pour l'histoire de la propriété que pour l'histoire des constitutions urbaines, dénote chez son auteur une intelligence vraiment remarquable des phénomènes économiques et sociaux. Elle fait le plus grand honneur au jeune savant qui l'a écrite et à l'Université de Gand, qui, sous le patronage de M. Pirenne, l'a publiée." (Henri Sée, Revue Historique, 1901)‎

Riferimento per il libraio : 9225

‎RENOUARD (Yves).‎

‎Les Hommes d'affaires italiens du Moyen Age. Nouvelle édition établie d'après les notes de l'auteur par Bernard Guillemain.‎

‎Armand Colin, 1970, in-12, 336 pp, une carte, biblio, broché, bon état (Coll. U2)‎

‎En distinguant les hommes d'affaires italiens des marchands locaux, Yves Renouard analyse la façon dont ces industriels, grands commercants ou encore banquiers surent profiter des occasions offertes par les croisades pour accroître les échanges dans un monde en pleine mutation. L’évolution des sociétés occidentales pendant la période médiévale résulte en grande partie des activités de ces mercatores, qui surent développer le secteur industriel et les techniques commerciales et bancaires héritées de la Grèce antique, mais aussi élaborer celles de l’assurance, de l’information et de la banque moderne. Déterminants dans la constitution de la bourgeoisie, de la civilisation urbaine et laïque, ces marchands sont de vrais acteurs de la transformation de la culture ou de l’éthique que sera la Renaissance.‎

Riferimento per il libraio : 9236

‎WHITELOCK (Dorothy).‎

‎The Beginnings of English Society. (From the Anglo-Saxon Invasion).‎

‎Penguin Books, 1971, in-12, 256 pp, biblio, index, broché, bon état (Pelican History of England, 2). Texte en anglais‎

Riferimento per il libraio : 9543

‎STENTON (Doris Mary).‎

‎English Society in the Early Middle Ages (1066-1307).‎

‎Penguin Books, 1971, in-12, 320 pp, notes, biblio, index, broché, bon état (Pelican History of England, 3). Texte en anglais‎

Riferimento per il libraio : 9544

‎MYERS (A.R.).‎

‎England in the Late Middle Ages (1307- c. 1536).‎

‎Penguin Books, 1972, in-12, 285 pp, 24 pl. de gravures et documents hors texte, 2 cartes, index, broché, bon état (Pelican History of England, 4). Texte en anglais‎

Riferimento per il libraio : 9545

‎SEDE (Gérard de).‎

‎Le trésor cathare.‎

‎Cercle du Nouveau Livre d'Histoire, 1966, in-8°, 216 pp, 16 pl. de photos et documents hors texte, reliure toile éditeur avec une vignette illustrée sur le premier plat, rhodoïd‎

‎La tradition ésotérique occitane.‎

Riferimento per il libraio : 9726

‎SAINTE-CROIX (Lucien de).‎

‎Un grand historien de l'Art au Moyen Age : Emile Mâle.‎

‎Mercure de France, 1927, gr. in-8°, 32 pp, broché, bon état‎

Riferimento per il libraio : 9759

‎LÉVIS MIREPOIX (Duc de).‎

‎Saint Louis, roi de France.‎

‎Albin Michel, 1970, in-8°, 377 pp, 2 portraits hors texte, chronologie, cartes, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Le Mémorial des siècles), envoi a.s.‎

‎"Tout est passionnant dans la vie de saint Louis. Tout d'abord, il vécut, au cours du XIIIe siècle, un des plus grands, des plus beaux siècles de notre histoire. Pour essayer de comprendre le roi et le saint, il faut tenter de saisir ce que fut cette époque, si loin de nous à tant d'égards. Pour nous, dans le règne de Louis IX, bien des problèmes restent, qui nous heurtent – guerre des Albigeois, croisades pitoyables. Et pour finir à Mansourah et à Damiette-Tunis. Mais M. de Lévis-Mirepoix a raison de camper le personnage alerte, gai, simple, bon administrateur et aimant son pays que fut le roi. Comme à l'habitude, dans cette collection, au portrait de saint Louis s'ajoutent maints documents variés et intéressants. On lira certainement avec plaisir et intérêt Saint Louis vu par Joinville, la lettre de saint Louis à ses sujets, les deux croisades racontées par les familiers du roi, comment il fut vu par les historiens arabes, enfin après les enseignements et les établissements de saint Louis, en appendice, les métiers de Paris, au temps de saint Louis d'après le Livre des métiers d'Etienne Boileau." (J. M., Bulletin de l'Association Guillaume Budé, 1971)‎

Riferimento per il libraio : 9768

‎ELISSEEFF (Nikita).‎

‎L'Orient musulman au Moyen Age, 622-1260.‎

‎Armand Colin, 1979 gr. in-8°, 324 pp, cartes, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, tache claire au 2e plat, bon état (Coll. U)‎

‎De l'avènement de l'Islam à l'échec de la poussée mongole en Orient, cet ouvrage qui se veut d'abord un précis clair et utile, retrace le déroulement de six siècles d'une histoire qui va transformer le monde... (4e de couverture) — "L'ouvrage de Nikita Elisseeff, professeur d'histoire et d'archéologie du monde musulman à l'Université de Lyon II, mérite bien mieux que le qualificatif de manuel à l'usage des étudiants arabisants. En effet, l'A. réussit à nous présenter en 324 pages, non seulement les principaux événements historiques de l'Orient musulman entre 622 et 1260 avec une foule impressionnante de renseignements historiques précis, mais encore à les relier par des thèmes fondamentaux qui, visiblement, sont au centre de ses préoccupations de chercheur. Cette maîtrise provient, nous semble-t-il, d'une triple connaissance : celle des documents arabes eux-mêmes, celle de la vie quotidienne en Orient due aux longues années que l'A. y a passées et, enfin, celle de l'histoire et de l'archéologie de l'Orient ancien et de l'histoire byzantine et ottomane, familiarité qui manque souvent aux historiens du monde arabe et islamique. Le livre se compose de 10 chapitres précédés d'une concise, mais précieuse, introduction géographique (p. 7-16). Le premier chapitre est consacré au Proche-Orient avant l'Hégire. Les éléments que l'A. fournit sur la situation religieuse de la péninsule arabique avant l'islam aideront à mieux comprendre les rapides succès de l'islam qui n'ont rien de miraculeux, surtout lorsqu'il s'est propagé dans un environnement chrétien profondément divisé par les querelles christologiques et peu éclairé théologiquement. Le deuxième chapitre, sur la naissance de l'islam, nous rappelle, non seulement, les premières prédications de Muhammad, mais aussi les principes essentiels d'islamologie nécessaires à tout jeune arabisant et à tout historien peu au fait de l'islam. Les cinq chapitres suivants épousent la périodisation habituelle de l'histoire musulmane : les premiers califes (p. 57-83), le califat omeyyade (p. 84-117), l'empire abbasside (p. 118-149), les aspects politiques, administratifs, financiers et commerciaux de l'empire (p. 150-182), la désintégration de l'empire abbasside (p. 183-207). Le ch. 8 porte sur les Seldjouquides (p. 208-229). Le ch. 9 a pour objet les croisades, le règne de Nûr ad-Dîn, sur lequel l'A. a écrit sa thèse de doctorat, et le règne de Saladin. L'étude s'achève sur le XIIIe siècle avec le règne des Ayyoubides, l'arrivée des Mongols et la chute de Bagdad..." (C. Gilliot, Revue des Sciences philosophiques et théologiques, 1978)‎

Riferimento per il libraio : 9769

‎LA VARENDE (Jean de).‎

‎Guillaume le Bâtard conquérant.‎

‎Flammarion, 1971, in-8°, 340 pp, qqs gravures et cartes, broché, couv. illustrée, dos lég. sali, bon état‎

‎A mesure que s'éloignent les hautes périodes de notre histoire nous avons trop tendance à ramener les grands personnages à des figures d'imagerie. Ainsi, Guillaume le Conquérant prend figure de reître du Moyen Age, brutal, cruel et rusé. L'époque romantique, notamment, l'a travesti en une sorte de mannequin à la carrure immense de héros frénétique. Or, rien n'est plus faux. il fut avant tout un homme, et c'est cet homme que La Varende a découvert après trente années de poursuites, de pèlerinages, de réflexions, de rêveries. Il nous le révèle dans un livre tout gonflé d'amour du passé, d'émotion, de vérité. Normand comme lui, il a couru dans les mêmes sentiers, respiré le même air, retrouvé les brisées de ses courses passionnées dans les forêts. Il l'a dépouillé de tous les commentaires, les préjugés, des partis pris dont les siècles l'ont peu à peu entouré. Il a voulu l'atteindre dans sa vérité humaine. Alors la prodigieuse mémoire de La Varende réunit tous les détails familiers de l'époque, sa vision de peintre recrée le cadre, son coeur supprime les inquiétudes. D'auteur, il devient un compagnon de Guillaume qui nous raconte ce qu'il a vu, ce qu'il a senti. Avec lui, nous approchons l'enfant adulé, puis l'orphelin méprisé, traqué ; nous connaissons l'athlète vainqueur de la trentaine; puis, après une courte accalmie, quand il a conquis l'Angleterre, nous le voyons obligé de combattre durant vingts années contre les faux amis et les traitres. Méthodique, réfléchi, son ardeur combative, qui fulgure, ne vient qu'après la méditation; le diplomate fonctionne à côté du guerrier. Les pages les plus émouvantes sont peut-être celles où La Varende a évoqué la vieillesse. Les grosses nourritures ont vaincu Guillaume. Il est devenu lourd, apoplectique, la rage succède à la volonté, et il meurt presque abandonné : "le grand-père de l'Europe moderne, l'aieul de tous ses rois, refroidit, à demi-nu, sur les carreaux d'argile seul..."‎

Riferimento per il libraio : 10023

‎CASTELNAU (Jacques).‎

‎La Vie au Moyen Age d'après les contemporains.‎

‎Hachette, 1949, in-12, 287 pp, broché, couv. illustrée, état correct (Coll. De l'Histoire)‎

‎Jacques Castelnau (1903-1998) ne prétendait pas être un spécialiste du Moyen Âge et de la littérature médiévale, mais il a puisé à des sources sûres, comme l’ouvrage de Gustave Cohen, "Histoire de la mise en scène dans le Théâtre religieux français du Moyen Âge" (1906).‎

Riferimento per il libraio : 10216

‎HADENGUE (Antoine).‎

‎Philippe Auguste et Bouvines. Bouvines, victoire créatrice.‎

‎Tallandier, 1978, in-8°, 269 pp, 8 pl. de gravures et documents hors texte, broché, bon état‎

‎La victoire du roi Philippe Auguste à la bataille de Bouvines (27 juillet 1214) consolida les réformes administratives initiées depuis 1190, renforça l’idéologie royale, imposa l’autorité royale dans les territoires angevins du nord-ouest et du centre de la France, ouvrit la voie à la croisade albigeoise dans le Midi, et élimina les menaces flamandes et germaniques au Nord et à l’Est. La bataille eut donc d’importantes conséquences pour les affaires intérieures de l’Angleterre, de la Flandre et de l’Empire. En somme, Bouvines assura la suprématie des Capétiens tout au long du XIIIe siècle...‎

Riferimento per il libraio : 10219

‎DALARUN (Jacques).‎

‎Claire de Rimini. Entre sainteté et hérésie.‎

‎Payot, 1999, in-8°, 284 pp, 4 pl. de gravures et photos hors texte, cartes, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎Petite sœur de Marguerite de Cortone, de Claire de Montefalco ou d'Angèle de Foligno, Claire de Rimini appartient à la mouvance de ces saintes femmes qui, dans l'Italie des XIIIe et XIVe siècles, tentèrent de vivre une expérience spirituelle originale, fortement marquée par la spiritualité franciscaine. A partir d'un manuscrit médiéval, Jacques Dalarun, dans un style élégant et incandescent, nous conte l'extraordinaire légende de la sainte. De Rimini à Assise, la route de Claire croise celle des personnages du Nom de la Rose d'Umberto Eco. Le lecteur accompagne Claire tout au long des étapes qui l'affranchissent du joug des hommes, en un temps où les femmes n'avaient pas droit de parole dans l'Eglise, et de ses excès, lorsqu'elle s'inflige de cruelles pénitences publiques, en une théâtrale revisitation de la passion. Ascétique, mystique et rebelle, Claire évolue à la frontière, ténue, entre sainteté et hérésie, en un siècle d'Inquisition. Au-delà d'un destin individuel, ce récit poétique brasse des idées fortes, qui dépassent largement le cadre de la biographie, sur la place des femmes dans la société médiévale, la mutation politique des cités italiennes, l'émergence des langues nationales dans le religieux et le rôle didactique des images.‎

Riferimento per il libraio : 10221

‎MONSON (Don Alfred).‎

‎Les "Ensenhamens" occitans. Essai de définition et de délimitation du genre.‎

‎Klincksieck, 1981, gr. in-8°, 192 pp, biblio, index‎

Riferimento per il libraio : 10409

‎CLOULAS (Ivan).‎

‎Laurent le Magnifique.‎

‎Fayard, 1982, in-8°, 421 pp, 16 pl. de gravures hors texte, généalogie, sources et biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎

‎Prince modèle de la Renaissance, Laurent le Magnifique donne le ton à l'Europe civilisée de la fin du XVe siècle. Homme politique, il dispose à Florence de tous les pouvoirs sous l'apparence d'institutions républicaines habilement vidées de leur contenu. Banquier, il impose sa volonté aux souverains du monde en utilisant l'arme de l'argent par l'intermédiaire d'une société financière à développement multinational. Protecteur des arts et des lettres, il encourage la magnifique floraison de l'Humanisme et de la Renaissance qui font de l'Italie le moteur de l'Occident à l'aube des temps modernes. Cette réussite est obtenue à travers des drames, les révoltes sociales de la misère et de l'ambition qui ont permis aux ancêtres de Laurent de bâtir leur fortune. Lui-même forge sa toute-puissance dans la répression de la sanglante conjuration des Pazzi. Mais le succès politique a pour corollaire la ruine financière : la crise frappe de plein fouet la banque Médicis. Laurent déploie alors son génie d'homme d'Etat. Il établit la paix dans une Italie déchirée par la cupidité des princes, le népotisme des papes et les intrigues des dynasties étrangères dont il réussit à éviter l'intervention. Mais Laurent est aussi un merveilleux poète. Ses œuvres d'une extrême variété révèlent un tempérament amoureux, une fraîcheur d'âme, une angoisse de l'être qui aujourd'hui encore nous touchent profondément. Unissant la quête du bonheur platonicien et les exigences chrétiennes, il reflète le génie d'un temps qui sut mettre en images, sous le pinceau de Ghirlandaio et de Botticelli, la douceur et le charme des heures les plus fragiles de la vie.‎

Riferimento per il libraio : 10561

‎AUTRAND (Françoise).‎

‎Charles VI. La folie du roi.‎

‎Fayard, 1986, fort in-8°, 647 pp, 8 pl. d'illustrations hors texte, chronologie, généalogies, sources et biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎

‎1392 : un roi de 24 ans devient fou. Pendant trente ans, il va vivre une vie de souffrances, entre des crises atroces et des rémissions qui le laissent lucide et anxieux. Quelle était cette maladie ? Comment affectait-elle ses relations avec sa femme, Isabeau de Bavière, avec son frère, le brillant duc d'Orléans, marié à la belle Valentine Visconti, avec ses nombreux enfants ? Comment était-elle ressentie par ses sujets ? Scandale, fléau de Dieu, châtiment pour des péchés collectifs ? Seule l'écoute du discours du roi malade et des hommes de son temps, avec leur langage, leurs croyances, leurs peurs, permet de répondre à ces questions. Le règne de Charles VI passe à juste titre pour désastreux : guerre civile des Armagnacs et des Bourguignons, guerre de Cent Ans, la moitié de Troyes, l'abandon de la couronne à Henri V, roi d'Angleterre, le dauphin déshérité, la France vaincue, coupée en deux, humiliée, et partout les divisions, la misère, les ruines. Mais, derrière le désastre, se décèle le lent progrès des structures. Le sentiment national naissant, Jeanne d'Arc elle-même, peuvent s'expliquer par l'identification qui se produit alors entre la nation souffrante et son roi de douleurs.‎

Riferimento per il libraio : 10562

‎SCHELLE (Klaus).‎

‎Charles le Téméraire. La Bourgogne entre les lys de France et l'aigle de l'Empire.‎

‎Fayard, 1979, fort in-8°, 485 pp, traduit de l'allemand, 16 pl. d'illustrations en couleurs hors texte, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎

‎Entre 1361 et 1477, quatre générations de ducs de Bourgogne vont tenter de reconstituer l'ancien royaume de Lotharingie : Philippe le Hardi, rendu puissant par son mariage avec Marguerite de Flandres ; Jean sans Peur, dont l'assassinat par des Armagnacs consacrera la rupture avec la maison de France ; Philippe le Bon, grand-duc d'Occident, fondateur de l'ordre de la Toison d'Or, qui, au traité d'Arras en 1435, arrachera au roi de France la Picardie et les principales villes de la Somme ; Charles le Téméraire, enfin, qui, obsédé par le désir de transformer son duché en royaume, dilapidera le sang de ses hommes, l'or de ses coffres, et en trois batailles perdues (Grandson, Morat, Nancy) mènera la maison de Bourgogne à sa ruine. De ce prince, que la postérité a principalement jugé à travers ses démêlés - en fait un duel à mort - avec son cousin Louis XI, Klaus Schelle a brossé un portrait nuancé. Certes, il décrit les fastes de la cour de Bourgogne (festins au cours desquels on servait des pâtés d'où jaillissaient des musiciens, une naine, un géant, cérémonies qui éblouirent les contemporains les plus blasés), les spectaculaires campagnes guerrières du duc, mais, surtout, il s'attache à saisir une époque dans sa complexité : ainsi le "carrousel européen", pertinente analyse des intrigues quasi inextricables de la politique du temps ; ainsi le chapitre consacré à Jacqueline de Bavière, récit d'une destinée colorée ; ainsi la comparaison entre les moeurs guerrières des Suisses et celles des Lombards...‎

Riferimento per il libraio : 10564

‎KENDALL (Paul Murray).‎

‎Louis XI. "... L'universelle araigne...".‎

‎Fayard, 1977, fort in-8°, 584 pp, traduit de l'anglais, 16 pl. de gravures hors texte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎L'histoire de Louis XI est celle d'un homme qui sut imposer ses décisions, qui dut garder sans cesse l'esprit en éveil, plier le temps à ses desseins, être deux fois plus habile et trois plus rapide que ses semblables, et cacher son sens de la comédie derrière les gestes du conformisme. Ce livre nous montre l'image d'un homme aux capacités exceptionnelles, doué d'une personnalité diverse et complexe. Certains le considéraient comme "le plus subtil qui soit" . Pourtant, peu après sa mort, on racontait qu'il s'abreuvait du sang des nouveau-nés au cours de sa dernière maladie, était l'assassin de son frère et se délectait à écouter les cris de ses victimes torturées. En abandonnant la légende pour retrouver la vie, Paul Murray Kendall révèle les vraies dimensions de l'homme, son habileté à charmer, son insatiable curiosité, son goût de la loyauté. Tout cela dans une biographie qui apporte une contribution essentielle à l'histoire du XVe siècle tout en demeurant d'une lecture facile et passionnante. Paul Murray Kendall (1911-1973), spécialiste de la fin du Moyen Âge, a enseigné l'histoire pendant plus de trente ans à l'université de l'Ohio puis à celle du Kansas. Il a consacré plusieurs ouvrages à l'histoire du XVe siècle.‎

Riferimento per il libraio : 10569

‎KENDALL (Paul Murray).‎

‎Richard III.‎

‎Fayard, 1979, in-8°, 447 pp, une carte, 5 croquis de batailles, un tableau généalogique, biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎

‎Lorsque Richard III disparaît, Henri Tudor et ses successeurs, aidés par les historiens de leur temps, s'attachent à ternir son image de façon que la Maison d'York ne laisse dans les coeurs qu'un mauvais souvenir. Un siècle plus tard, Shakespeare tirera de cette image déformée le personnage central d'une de ses grandes tragédies, et désormais le roi Richard sera pour la plupart des gens l'usurpateur du trône de son frère, l'assassin de ses neveux, le bossu ambitieux et lâche, prêt, pour sauver sa vie, à vendre son royaume pour un cheval. De ce roi célèbre et pourtant méconnu, Paul Murray Kendall fait ici la première biographie digne de ce nom, presque exclusivement basée sur des documents de première main, restés souvent inexploités. De cet énorme travail qu'un appareil critique remarquable permet de suivre pas à pas, ressortent un personnage passionnant, dont la tragédie n'est plus celle d'un monstre mais bien celle d'un homme, et le vivant tableau d'une époque colorée qu'animent les figures célèbres de Warwick le Faiseur de rois, de Marguerite d'Anjou et de Louis XI, d'Edouard IV et de Jane Shore, d'Henri Tudor et de bien d'autres.‎

Riferimento per il libraio : 10570

‎ENGELMANN (Jean).‎

‎Les Testaments coutumiers au XVe siècle. (Thèse).‎

‎Genève, Mégariotis, 1975, in-8°, xiv-286 pp, reliure simili-cuir éditeur (Reprint de l'édition de 1903)‎

Riferimento per il libraio : 10577

‎PACAUT (Marcel).‎

‎Frédéric Barberousse.‎

‎Fayard, 1967, in-8°, 316 pp, cartes, biblio, broché, couv. à rabats, bon état (Coll. Les Grandes études historiques)‎

‎"M. Pacaut s'est déjà distingué par ses ouvrages sur le pape Alexandre III et sur Louis VII, roi de France, qui constituent une contribution importante aux recherches sur l'histoire politique et religieuse de l'Europe au XIIe siècle. Avec cet ouvrage sur Frédéric Barberousse il continue ces travaux. Comme il n'existe en langue française jusqu'aujourd'hui aucun livre sur l'empereur, l'auteur veut combler en même temps une lacune dans l'historiographie française. Son ouvrage n'est donc pas destiné uniquement aux historiens proprement dits, il s'adresse expressément au public cultivé. (...) Malgré la densité du texte, l'auteur a su nous donner un tableau vivant de la personnalité de l'empereur et de son oeuvre. Très utiles sont les tables généalogiques et les cartes qui accompagnent le livre." (Karl Jordan, Cahiers de civilisation médiévale, 1969)‎

Riferimento per il libraio : 10628

‎DURUY (Victor).‎

‎Petite histoire du Moyen Age.‎

‎Hachette, 1875, pt in-12, vi-271 pp, une carte dépliante de l'Europe au temps des Croisades, cart. éditeur, débroché‎

Riferimento per il libraio : 10699

‎SUDRE (L.).‎

‎Chrestomathie du Moyen Age.‎

‎Delagrave, 1928 in-12, 185 pp, cart. éditeur (lég. défraîchi), bon état‎

‎"Ont paru en même temps, à la librairie Hachette et à la librairie Delagrave, deux "Chrestomathies du moyen âge", la première due à la collaboration de G. Paris et E. Langlois, la seconde rédigée par L. Sudre. Toutes deux sont destinées aux élèves de la classe de seconde, et contiennent, conformément au programme officiel, la traduction des morceaux admis dans le recueil. Elles présentent encore d'autres analogies : ainsi la graphie est dans l'une et dans l'autre uniformisée, et rapprochée du français, et les auteurs sont souvent tombés sur les mêmes morceaux. La Chrestomathie de MM. Paris et Langlois est précédée d'une introduction grammaticale qui manque à celle de M. Sudre, laquelle, en revanche, contient plus de notes explicatives." (Romania, 1897)‎

Riferimento per il libraio : 10750

‎BOURASSIN (Emmanuel).‎

‎Les Chevaliers. Splendeur et crépuscule, 1302-1527.‎

‎Tallandier, 1995, in-8°, 240 pp, annexes, biblio, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎Pourquoi l'institution chevaleresque, si antique que ses origines se perdaient dans la nuit des temps, pourquoi la chevalerie, si florissante au XIIe et au XIIIe siècles, au temps de Frédéric Barberousse, de Richard Coeur de Lion, puis de Saint-Louis, a-t-elle décliné durant les siècles suivants ? Elle scintillait comme l'Excalibur du roi Arthur : avec l'Eglise des cathédrales et des grands monastères, elle était le phare du Moyen Age à son apogée. (...) C'est cette splendeur puis ce crépuscule que nous raconte E. Bourassin avec une parfaite maîtrise et une verve qui trouve à s'exercer brillamment dans les récits de batailles, les joutes politiques et les sortilèges d'une fascinante histoire de décadence. — "Emmanuel Bourassin a eu la bonne idée de publier ce livre qui nous conte, chapitre après chapitre, et au fil des événements, la magnifique et pathétique histoire de l'apogée et du déclin de la chevalerie occidentale au cours des deux derniers siecles du Moyen Âge, en poussant une pointe jusqu'au premier quart du XVIe siècle. On y trouve Courtrai (1302), cette bataille dite des Éperons d'or, parce que les Flamands, y ayant défait les troupes françaises, leur avaient pris ces pièces de métal fixées au talon des cavaliers et avaient pour la première fois rabaissé la morgue de chevaliers trop sûrs d'eux et de leur supériorité, comme si la victoire sur des bourgeois et des gens du commun ne pouvait leur échapper. De cette prétention, les archers anglais n'allaient pas tarder à profiter, dès le début de la guerre de Cent ans, pour terrasser la lourde chevalerie française à Crécy (1346), Poitiers-Maupertuis (1356), Azincourt (1415)." (François Sarindar)‎

Riferimento per il libraio : 10813

‎RICHE (Marie-Louise).‎

‎Le drame de Savonarole.‎

‎Hachette, 1967, in-8°, 189 pp,‎

Riferimento per il libraio : 10947

‎POULAIN (Claude).‎

‎Jacques Cœur, ou les Rêves concrétisés.‎

‎Fayard, 1982, in-8°, 393 pp, 16 pl. de gravures et photos hors texte, biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎

‎Jacques Cœur est un extraordinaire personnage, et sa vie une fabuleuse aventure. Né avec le siècle, le XVe, Jacques Cœur, possédé par l'ambition, la rage de vivre au cœur, va rêver son destin et savoir l'accomplir. Courant terres et mers, il affronte pirates ou concurrents pillards. Chypre, Damas ou Alexandrie, Rome, Florence ou Gênes, Montpellier, Genève ou Rouen, à moins que ce ne soient les villes des rives de la mer du Nord, le voient surgir, disparaître et revenir. Sa devise jeu de mot le résume mieux qu'un long discours : "A cœurs vaillants rien d'impossible". Charles VII, Jeanne d'Arc et Jacques Cœur font sortir victorieusement la France des épreuves de la guerre de Cent Ans...‎

Riferimento per il libraio : 10948

‎PETIT-DUTAILLIS (Ch.).‎

‎La Monarchie féodale en France et en Angleterre, Xe-XIIIe siècle.‎

‎Albin Michel, 1950, in-8°, xvii-477 pp, 2 cartes hors texte, 5 tableaux généalogiques sur 2 dépliants hors texte, biblio, index, broché, bon état (Coll. L'Evolution de l'Humanité)‎

‎"L'objet de ce livre est de montrer comment la Monarchie s'est conservée et développée du Xe au XIIIe siècle, en France et en Angleterre, à l'époque où la réorganisation de la société politique dans les formes seigneuriales et féodales semblait la condamner à dépérir. Nous n'avons pas cherché à retracer toute l'histoire politique de la France et de l'Angleterre, mais en une époque où les annales de la Royauté, au moins en France, sont souvent plus maigres ou moins intéressantes que celles d'un duché ou d'un comté, c'est d'elle cependant que nous nous sommes occupé exclusivement. Les causes matérielles et morales de sa faiblesse au temps d'un Edouard le Confesseur et d'un Hugues Capet, les circonstances qui l'ont aidée à vivre et à grandir, les institutions qu'elle a fondées en mettant à profit les principes mêmes de la Féodalité, la faillite des tentatives faites en Angleterre pour lui imposer un contrôle aristocratique..."‎

Riferimento per il libraio : 10949

‎LAVEDAN (Pierre).‎

‎Histoire de l'Art. 2. Moyen Age et Temps modernes.‎

‎PUF, 1944, pt in-8°, xi-583 pp, biblio, index, reliure pleine toile verte, bon état (Coll. Clio)‎

‎"... Un volume de la Collection Clio consacré à l'histoire de l'Art : moyen âge et temps modernes. Des Catacombes à Picasso, rien de moins ! Un lourd, un écrasant fardeau à supporter. Il faut féliciter cet homme de son courage : il s'agit de M. Pierre Lavedan. Il est évident qu'il y a des manques, des trous, des lacunes, des oublis et le lot obligé des menues erreurs de fait ou de date dans un tel ouvrage. Comment en irait-il autrement ? Mais la seule question qu'il faille se poser, c'est : l'ouvrage est-il utile ? Il l'est incontestablement. On n'avait à sa disposition, jusqu'à présent, que les bibliographies de l'André Michel, d'un maniement peu commode relativement, et qui datent déjà. Or, la Collection Clio ne donne pas seulement des bibliographies : elle attire l'attention des lecteurs sur les problèmes en cours – et ce petit volume, de maniement commode, sera très consulté. (...) Je répète que ce volume est le bienvenu et qu'il faut féliciter son auteur d'une intrépidité et d'une allégresse à porter les fardeaux qui sont toujours chose réconfortante." (Lucien Febvre, Annales ESC, 1947)‎

Riferimento per il libraio : 11036

‎LAFONTAINE (Albert).‎

‎Jehan Gerson (1363-1429).‎

‎Poussielgue, 1906, in-12, 334 pp,‎

Riferimento per il libraio : 11057

‎LESTOCQUOY (J.).‎

‎Aux origines de la bourgeoisie : les Villes de Flandre et d'Italie sous le gouvernement des Patriciens (XIe-XVe siècles).‎

‎PUF, 1952, in-8°, 248 pp, broché, qqs rares soulignures crayon, couv. lég défraîchie, état correct‎

‎"Il est difficile de donner en quelques lignes une idée de la richesse du livre de M. l'abbé Lestocquoy sur les villes de Flandre et d'Italie. L'auteur y fait une brillante synthèse de tous les récents travaux parus sur le patriciat de ces deux régions, qui ont connu au Moyen Age une si grande prospérité." (Pierre Vaillant, Bibliothèque de l'école des chartes, 1952 )‎

Riferimento per il libraio : 11061

‎ESCHOLIER (Raymond) et Maurice Gardelle.‎

‎Le secret de Mont-Ségur. Roman.‎

‎La Colombe, 1952, in-8°, 202 pp, 2 photos hors texte, une carte, jaquette illustrée‎

Riferimento per il libraio : 11063

‎BRUN (Robert).‎

‎Avignon au temps des Papes. Les monuments, les artistes, la société.‎

‎Armand Colin, 1928, in-8°, 287 pp, 8 pl. de gravures hors texte, plan, index, un tableau chronologique des Papes d'Avignon, broché, couv. rempliée, bon état‎

‎"M. Brun résume tout ce que l'on sait de l'histoire d'Avignon au XIVe siècle, et y ajoute des précisions nouvelles, des points nouveaux dus à ses recherches sagaces et bien informées. C'est la présentation d'une ville qui jouit d'une fortune inespérée du jour où Clément V y fixa la résidence de la papauté, jusqu'au moment où, à la fin du XIVe siècle, le grand schisme et les guerres vinrent la ruiner. De ce moment, Avignon retomba dans son obscurité, mais durant cette période de près d'un siècle, elle jouit d'un éclat incomparable..." (Léon Mirot, Bibliothèque de l'école des chartes, 1928)‎

Riferimento per il libraio : 11064

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