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‎ANQUETIN Louis‎

‎Cochon : Étude 5‎

‎- Crayon sur papier Fin XIXème - Début XXème, 20 x 31 cm. - Dessin original au crayon. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Notes manuscrites de l'artiste, commentant le dessin. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 2.‎

‎- Crayon et encre sur papier Début XXème, 31 x 20 cm. - Dessin original au crayon, rehaussé à l'encre (technique mixte). Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 4‎

‎- Encre sur papier Début XXème, 20 x 31 cm. - ANQUETIN Louis Académie d'homme 4 Ink on paper Early 20th century, 20 x 31 cm. Original ink drawing. Signed with the artist's signature stamp in the lower right corner of the work, and signed with the workshop's stamp on the back. This drawing is part of a series of ten studies completed for Bertin around 1920-1925. Very good condition. Provenance: artist's workshop, referenced in the Atelier Louis Anquetin catalogue (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, born in Étrépagny in 1861 and died in Paris in 1932, is an important French painter. He began his career alongside avant-garde painters such as Vincent Van Gogh and Henri de Toulouse-Lautrec. He is the inventor, with Émile Bernard, of Cloisonnism. From 1884 to 1893, Louis Anquetin never stopped exploring the new possibilities that the freedom of Impressionism brought to French painting. From 1893, following a long confrontation with the "maîtres d'autrefois" "masters of the past," he adopted a pictorial bias which would put him on the fringes of the general art movement and distance him from his friends. Dazzled by Baroque art and its creative vigour, he then thought that his childhood friends were taking a path that would lead to the death of painting. He believes in a "peinture parfaite" "perfect painting," which is embodied in the re-remembering of Michelangelo and Rubens' lessons in particular. His work, therefore, becomes more classic; he advocates the return to the profession, by proposing to reflect on the a priori conditions of any possible form of art in accordance with the rules of perspective and anatomy, as practised by the masters of the 16th and 17th century. Leaving only a few works that can be described as monumental, Anquetin proves to be prolific as a result of his many studies and sketches; he who considered that drawing was "un moyen d'expression tout puissant" "an all powerful means of expression," the obligatory foundation of all fine art. By working voluntarily in reverse of his time, Louis Anquetin made the existance of an original modern portrayal possible. Through his persistance and his passion for painting, he indeed prevented the path of the great western tradition from being completely sealed. His works can be admired in many prestigious museums, such as the Musée d'Orsay or the Louvre in Paris, in San Francisco or in Detroit, in the State Hermitage Museum in St Petersburg, in the National Gallery and the Tate in London, etc. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Dessin original à l'encre. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925.Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible da‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 5‎

‎- Encre et lavis sur papier Début XXème, 20 x 31 cm. - Dessin original à l'encre et lavis. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Il comporte une annotation manuscrite de l'artiste, commentant son travail : "baisser les épaules". Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle. Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 6‎

‎- Encre sur papier Début XXème, 20 x 31 cm. - Dessin original à l'encre, et esquisse au crayon au verso. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Un petit manque asymétrique d'origine, sinon très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 7‎

‎- crayon, encre et lavis Début XXème, 20 x 31 cm. - Dessin original au crayon, encre et lavis. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 8‎

‎- Encre sur papier Début XXème, 20 x 31 cm. - Dessin original à l'encre. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Il comporte des annotations à l'encre de l'artiste, explicitant son travail sur les proportions anatomiques.Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 9.‎

‎- Crayon sur papier Début XXème, 23 x 36 cm. - Dessin original au crayon.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Il comporte des annotations de l'artiste "Cou - Type & divers". Le verso est également annoté par l'artiste : il explicite ici, sous forme de notes rapides, la différence entre la Peinture moderne et la Peinture ancienne.Deux infimes manques marginaux, une petite déchirure en tête (1 cm), sinon très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Académie d'homme 10.‎

‎- Encre et lavis sur papier Début XXème, 10 x 16 cm. - Dessin originale à l'encre et lavis.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Ce dessin fait partie d'une série de dix études réalisées pour Bertin vers 1920-1925. Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Faune 1‎

‎- Crayon sur papier Circa 1896, 17,5 x 12,5 cm. - Dessin original au crayon.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Une trace de pliure centrale, sinon très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Faune 2 : projet de statue‎

‎- Crayon sur papier Circa 1896, 13,5 x 21 cm. - Dessin original au crayon.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Une trace de pliure centrale, sinon très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Faune 4 , étude de tête de femme‎

‎- Crayon sur papier Circa 1896, 21 x 32 cm. - Dessin original au crayon.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Faune 5‎

‎- Crayon sur papier Circa 1896, 23 x 35 cm. - Dessin original au crayon.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎La Normandie : projet de carton pour la tapisserie de la manufacture des Gobelins. Étude 1‎

‎- Encre sur papier 1912-1913, 17 x 12,5 cm. - Dessin original à l'encre.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Louis Anquetin, grâce à son amitié avec le critique d'art Gustave Geoffroy qui fut nommé administrateur des Manufactures Nationales, obtint trois commandes de cartons pour les Gobelins, la "Bourgogne" en 1911, un tapis "Les cygnes", et en 1912 "La Normandie", tapisserie.Une trace de pliure centrale avec une infime déchirure en pied, sinon très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎La Normandie : projet de carton pour la tapisserie de la manufacture des Gobelins. Étude 2‎

‎- Encre sur papier 1912-1913, 10,5 x 13,5 cm. - Trois dessins originaux à l'encre sur une feuille pliée en deux, et une mention manuscrite de l'artiste au verso "Plus penser que dire".Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Louis Anquetin, grâce à son amitié avec le critique d'art Gustave Geoffroy qui fut nommé administrateur des Manufactures Nationales, obtint trois commandes de cartons pour les Gobelins, la "Bourgogne" en 1911, un tapis "Les cygnes", et en 1912 "La Normandie", tapisserie. Cette tapisserie se composait de trois panneaux, comme on peut le voir sur cette étude. Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎La Normandie : projet de carton pour la tapisserie de la manufacture des Gobelins. Étude 3‎

‎- Encre sur papier 1912-1913, 17,5 x 11 cm. - Dessin original à l'encre.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Louis Anquetin, grâce à son amitié avec le critique d'art Gustave Geoffroy qui fut nommé administrateur des Manufactures Nationales, obtint trois commandes de cartons pour les Gobelins, la "Bourgogne" en 1911, un tapis "Les cygnes", et en 1912 "La Normandie", tapisserie. Cette tapisserie se composait de trois panneaux, comme on peut le voir sur cette étude. Une infime déchirure marginale sans atteinte au dessin, trace de pliure centrale, sinon très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎La Normandie : projet de carton pour la tapisserie de la manufacture des Gobelins. Étude 4‎

‎- Encre sur papier 1912-1913, 14 x 21,5 cm. - ANQUETIN Louis La Normandie : projet de carton pour la tapisserie de la manufacture des Gobelins. Étude 4 Ink on paper 1912-1913, 14 x 21.5 cm. Original ink drawing. Several sketches on one letter folded in two. Signed with the artist's signature stamp in the lower right corner of the work, and signed with the workshop's stamp on the back. Thanks to his friendship with art critic Gustave Geoffroy, who was appointed manager of the Manufactures Nationales, Louis Anquetin obtained three orders for the Gobelins, the "Bourgogne" in 1911, "Les cygnes" tapestry, and in 1912 "La Normandie" tapestry. One sign of a central fold, otherwise good condition. Provenance: artist's workshop, referenced in the Atelier Louis Anquetin catalogue (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, born in Étrépagny in 1861 and died in Paris in 1932, is an important French painter. He began his career alongside avant-garde painters such as Vincent Van Gogh and Henri de Toulouse-Lautrec. He is the inventor, with Émile Bernard, of Cloisonnism. From 1884 to 1893, Louis Anquetin never stopped exploring the new possibilities that the freedom of Impressionism brought to French painting. From 1893, following a long confrontation with the "maîtres d'autrefois" "masters of the past," he adopted a pictorial bias which would put him on the fringes of the general art movement and distance him from his friends. Dazzled by Baroque art and its creative vigour, he then thought that his childhood friends were taking a path that would lead to the death of painting. He believes in a "peinture parfaite" "perfect painting," which is embodied in the re-remembering of Michelangelo and Rubens' lessons in particular. His work, therefore, becomes more classic; he advocates the return to the profession, by proposing to reflect on the a priori conditions of any possible form of art in accordance with the rules of perspective and anatomy, as practised by the masters of the 16th and 17th century. Leaving only a few works that can be described as monumental, Anquetin proves to be prolific as a result of his many studies and sketches; he who considered that drawing was "un moyen d'expression tout puissant" "an all powerful means of expression," the obligatory foundation of all fine art. By working voluntarily in reverse of his time, Louis Anquetin made the existance of an original modern portrayal possible. Through his persistance and his passion for painting, he indeed prevented the path of the great western tradition from being completely sealed. His works can be admired in many prestigious museums, such as the Musée d'Orsay or the Louvre in Paris, in San Francisco or in Detroit, in the State Hermitage Museum in St Petersburg, in the National Gallery and the Tate in London, etc. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Dessin original à l'encre. Plusieurs esquisses sur une lettre pliée en deux.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Louis Anquetin, grâce à son amitié avec le critique d'art Gustave Geoffroy qui fut nommé administrateur des Manufactures Nationales, obtint trois commandes de cartons pour les Gobelins, la "Bourgogne" en 1911, un tapis "Les cygnes", et en 1912 "La Normandie", tapisserie.Une trace de pliure centrale, sinon bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec l‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎La Normandie : projet de carton pour la tapisserie de la manufacture des Gobelins. Étude 6‎

‎- Encre sur papier 1912-1913, 17,5 x 11,5 cm. - Dessin original à l'encre, et esquisse à l'encre au verso.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Louis Anquetin, grâce à son amitié avec le critique d'art Gustave Geoffroy qui fut nommé administrateur des Manufactures Nationales, obtint trois commandes de cartons pour les Gobelins, la "Bourgogne" en 1911, un tapis "Les cygnes", et en 1912 "La Normandie", tapisserie.Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎La Normandie : projet de carton pour la tapisserie de la manufacture des Gobelins. Étude 7‎

‎- Encre sur papier 1912-1913, 17,5 x 11,5 cm. - Dessin original à l'encre, et esquisse au crayon au verso.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Louis Anquetin, grâce à son amitié avec le critique d'art Gustave Geoffroy qui fut nommé administrateur des Manufactures Nationales, obtint trois commandes de cartons pour les Gobelins, la "Bourgogne" en 1911, un tapis "Les cygnes", et en 1912 "La Normandie", tapisserie.Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎La Normandie : projet de carton pour la tapisserie de la manufacture des Gobelins. Étude 8‎

‎- Encre sur papier 1912-1913, 13,5 x 9,5 cm. - Dessin original à l'encre, et plusieurs esquisses à l'encre au verso, sur une feuille pliée en deux. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Louis Anquetin, grâce à son amitié avec le critique d'art Gustave Geoffroy qui fut nommé administrateur des Manufactures Nationales, obtint trois commandes de cartons pour les Gobelins, la "Bourgogne" en 1911, un tapis "Les cygnes", et en 1912 "La Normandie", tapisserie. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle. Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques. En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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‎La Victoire : étude pour la tapisserie de Beauvais. Étude 1.‎

‎- Crayon sur calque Début XXème, 12 x 17 cm. - Dessin original au crayon sur calque.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎La Victoire : étude pour la tapisserie de Beauvais. Étude 2‎

‎- Crayon sur papier Début XXème, 18 x 23 cm. - Dessin original au crayon. Série de huit esquisses.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Notes manuscrites de l'artiste "Donnez à la semeuse, l'éternelle. Semez, semez".Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎La Victoire : étude pour la tapisserie de Beauvais. Étude 3‎

‎- Crayon sur papier Début XXème, 23 x 36 cm. - Dessin original au crayon. Au verso, deux esquisses de robes, accompagnées de notes manuscrites explicatives de l'artiste, et une esquisse d'église. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle. Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques. En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Poules : Étude 1‎

‎- Crayon rehaussé à l'aquarelle sur papier Fin XIXème - Début XXème, 20 x 31 cm. - Dessin original au crayon, rehaussé à l'aquarelle.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Coqs : Étude 8.‎

‎- Crayon sur papier Début XXème, 18,5 x 20 cm (31 x 47,5 cm avec carton). - Dessin original au crayon, monté sur onglé sur carton.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Coqs et poules : Étude 9‎

‎- Crayon rehaussé à l'aquarelle sur papier Début XXème, 18,5 x 27 cm (31 x 47,5 cm avec carton). - Dessin original au crayon rehaussé à l'aquarelle, monté sur onglé sur carton. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Une légère trace de pliure centrale, sinon très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle. Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques. En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Étude de nu féminin 1‎

‎- Fin XIXème - Début XXème, 23 x 36 cm. - Dessin original au crayon.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Légères traces de pliure, deux infimes déchirures en marge gauche (1 cm) et en marge droite (0,5 cm), sinon très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08).Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale.On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Portraits 2‎

‎- Crayon sur papier Fin XIXème - Début XXème, 11 x 21,5 cm. - Dessin original au crayon. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Deux infimes déchirures en marge droite, sinon très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle. Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques. En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Portraits 3‎

‎- Crayon sur papier Fin XIXème - Début XXème, 22 x 14 cm. - Dessin original au crayon. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Une infime mouillure dans l'angle inférieur gauche, sinon très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle. Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques. En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Fête villageoise - étude pour le bal champêtre‎

‎- Crayon sur papier Fin XIXème - Début XXème, 22 x 15,5 cm. - ANQUETIN Louis Fête villageoise - étude pour le bal champêtre Pencil on paper, Late 19th - Early 20th century, 22 x 15.5 cm. Original pencil drawing, presented under a two-colour marie-louise frame. Signed with the artist's signature stamp in the lower right corner of the work, and signed with the workshop's stamp on the back. A minor tear in the left margin. Very good condition. Provenance: artist's workshop, referenced in the Atelier Louis Anquetin catalogue (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, born in Étrépagny in 1861 and died in Paris in 1932, is an important French painter. He began his career alongside avant-garde painters such as Vincent Van Gogh and Henri de Toulouse-Lautrec. He is the inventor, with Émile Bernard, of Cloisonnism. From 1884 to 1893, Louis Anquetin never stopped exploring the new possibilities that the freedom of Impressionism brought to French painting. From 1893, following a long confrontation with the "maîtres d'autrefois" "masters of the past," he adopted a pictorial bias which would put him on the fringes of the general art movement and distance him from his friends. Dazzled by Baroque art and its creative vigour, he then thought that his childhood friends were taking a path that would lead to the death of painting. He believes in a "peinture parfaite" "perfect painting," which is embodied in the re-remembering of Michelangelo and Rubens' lessons in particular. His work, therefore, becomes more classic; he advocates the return to the profession, by proposing to reflect on the a priori conditions of any possible form of art in accordance with the rules of perspective and anatomy, as practised by the masters of the 16th and 17th century. Leaving only a few works that can be described as monumental, Anquetin proves to be prolific as a result of his many studies and sketches; he who considered that drawing was "un moyen d'expression tout puissant" "an all powerful means of expression," the obligatory foundation of all fine art. By working voluntarily in reverse of his time, Louis Anquetin made the existance of an original modern portrayal possible. Through his persistance and his passion for painting, he indeed prevented the path of the great western tradition from being completely sealed. His works can be admired in many prestigious museums, such as the Musée d'Orsay or the Louvre in Paris, in San Francisco or in Detroit, in the State Hermitage Museum in St Petersburg, in the National Gallery and the Tate in London, etc. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Dessin original au crayon, présenté sous marie-louise bicolore. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Une déchirure sans manque en marge gauche. Très bel état de conservation.Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Satyre‎

‎- Crayon sur papier Fin XIXème - Début XXème, 14 x 18 cm (31 x 47 cm avec carton). - Dessin original au crayon, monté sur onglet sur carton. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur gauche de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques. En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Profil de femme‎

‎- Crayon sur papier Fin XIXème - Début XXème, 9,5 x 12 cm (31 x 47 cm avec carton). - Dessin original au crayon, monté sur onglet sur carton. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle. Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques. En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Nu masculin, de dos‎

‎- Crayon sur papier Fin XIXème - Début XXème, 21 x 27 cm (31 x 47 cm avec carton). - A male nude from the back Pencil on paper | Late 19th - Early 20th century| 21 x 27 cm (31 x 47 cm with mount) | one drawing Original pencil drawing, mounted on guards. Artist's signature stamp and monogram stamp in the lower right corner of the work; artist studio's stamp on the back. Handwritten note on the back, in pencil, of the paper, the title and the date: 1895. Light signs of foxing on the left border without affecting the drawing, otherwise in very good condition. Provenance: artist's workshop, referenced in the Atelier Louis Anquetin catalogue (Thierry de Maigret, 28/11/08). [FRENCH VERSION FOLLOWS] Dessin original au crayon, monté sur onglet sur carton. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Légères traces rousses sur la bordure gauche sans atteinte au dessin, sinon très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagés dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle. Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques. En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc.‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Tireur à l'arc‎

‎- Crayon sur papier Fin XIXème - Début XXème, 21 x 27 cm (31 x 47 cm avec carton). - Dessin original au crayon, monté sur onglet sur carton. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle. Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques. En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Nu au sabre‎

‎- Crayon sur papier Fin XIXème - Début XXème, 16 x 25 cm (31 x 47 cm avec carton). - Dessin original au crayon, monté sur onglet sur carton.Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français.Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANQUETIN Louis‎

‎Portrait de femme‎

‎- Encre et lavis sur papier Fin XIXème - Début XXème, 20 x 24 cm. - Dessin original à l'encre et au lavis, monté sur onglet sur carton. Signature du cachet de la signature de l'artiste dans l'angle inférieur droit de l'œuvre, et signature du cachet de l'atelier au verso. Légères traces de pliure angulaire, sinon très bel état de conservation. Provenance : atelier de l'artiste, référencée au catalogue Atelier Louis Anquetin (Thierry de Maigret, 28/11/08). Louis Anquetin, né à Étrépagny en 1861 et mort à Paris en 1932, est un important peintre français. Il commence sa carrière aux côtés de peintres d'avant-garde tels que Vincent Van Gogh ou Henri de Toulouse-Lautrec. Avec Émile Bernard, il est l'inventeur du Cloisonnisme. De 1884 à 1893, Louis Anquetin ne cesse d'explorer les possibilités nouvelles offertes par la libération introduite par l'Impressionnisme dans la peinture française. A partir de 1893, à la suite d'une longue confrontation avec les « maîtres d'autrefois », il adopte un parti-pris pictural qui le mettra en marge du mouvement général de l'art, et l'éloignera de ses amis. Ébloui par l'art baroque et sa vigueur créatrice, il pense alors que ses amis de jeunesse se sont engagées dans une voie qui mènera à la mort de la peinture. Il croit en une « peinture parfaite » qui s'incarne dans le re-souvenir des leçons de Michel-Ange et de Rubens notamment. Son travail devient donc plus classique, il prône le retour au métier, en proposant de réfléchir sur les conditions a priori de toute forme d'art possible dans le respect des règles de la perspective et de l'anatomie, telles que pratiquées par les maîtres du XVIème et XVIIème siècle.Ne laissant que quelques œuvres que l'on peut qualifier de monumentales, Anquetin s'avère prolifique par ses nombreuses études et esquisses, lui qui considérait que le dessin était « un moyen d'expression tout puissant », le fondement obligatoire de tous les arts plastiques.En travaillant volontairement à rebours de son époque, Louis Anquetin a rendu possible l'existence d'une figuration moderne originale. Par son obstination et sa passion de la peinture, il a en effet évité que ne soit totalement obturé le chemin de la grande tradition occidentale. On peut admirer ses œuvres dans de nombreux et prestigieux musées comme le Musée d'Orsay ou Le Louvre à Paris, à San Francisco ou à Detroit, au Musée de l'Hermitage de Saint-Petersbourg, à la National Gallery et à la Tate de Londres, etc. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎JACOB Max‎

‎Dessin original à l'encre‎

‎- Encre sur papier, Douarnenez s.d (1927), 21 X 27cm, sur papier fin filigrané, encollé sur une feuille plus épaisse.. - Authentic original drawing in black ink, signed "Max". This work was most likely executed in 1927 during a stay in Douarnenez at the house of his friend, the painter Jean Colle; also present was the latter's son Pierre Colle, who would become Max Jacob's dealer and close friend, before becoming executor of his will and overall heir. Two tiny tears to half a centimeter of the upper margin, otherwise very well preserved. Provenance : the personal collection of Philippe Laignel-Lavastine, a close friend of Max Jacob. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Authentique dessin original, réalisé à l'encre, en noir, signé "Max". Cette oeuvre a été vraisemblablement réalisée durant l'été 1927 au cours d'un séjour à Douarnenez chez son ami le peintre Jean Colle, en compagnie du fils de ce dernier, Pierre Colle, qui deviendra le marchand et un ami très proche de Max Jacob, avant d'être son exécuteur testamentaire et légataire universel. Deux infimes déchirures affectant la marge supérieure sur un demi-centimètre, sinon bel état de conservation. Provenance : collection particulière de Philippe Laignel-Lavastine, proche ami de Max Jacob.‎

‎PILLE Henri‎

‎Peinture d'histoire‎

‎- (circa 1880), 21,5x35cm (dessin) 42x58cm (cadre), une feuille sous marie-louise et cadre. - Encre originale de Henri Pille représentant une scène historique, conservée sous marie-louise et cadre en bois doré. Figure appréciée du milieu artistique montmartrois, dont l'œuvre se développe à travers des peintures d'histoire et des scènes de genre souvent teintées d'humour, Pille est surtout réputé comme dessinateur à la plume. Il exécute de nombreuses illustrations pour l'édition, notamment chez l'éditeur Alphonse Lemerre, et collabore à des revues et des journaux comme Le Courrier Français, Le Rire, Le Monde illustré, Le Procope, journal parlé, Le Journal Amusant, La Vie moderne, Le Voleur ou Le Petit Français illustré. Il publie des dessins dans la revue du cabaret Le Chat Noir et participe à la conception de silhouettes pour les spectacles de son théâtre d'ombres. Dans ses lettres à son frère Théo, Vincent van Gogh exprime plusieurs fois son admiration pour l'œuvre de Henri Pille qu'il rencontre durant son séjour parisien entre mai 1875 et mars 1876. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎GIRAUD Pierre-François-Eugène‎

‎Deux petits dessins à l'encre‎

‎- S.n., s.l. (circa 1870), 12,5x17,5cm, une feuille. - Deux encres originales sur papier fort, représentant à chaque fois deux hommes conversant, dans deux styles différents. Tampon de la vente Giraud en bas à droite de la feuille. Trois infimes déchirures en tête du feuillet et quelques très infimes rousseurs. Giraud est un peintre, aquarelliste, pastelliste et graveur. Son père obtient une bourse d'études de l'Impératrice Marie-Louise d'Autriche, qui permet au jeune garçon d'entrer dans un lycée Orléannais. Par la suite Eugène Giraud devient élève dans l'atelier du peintre d'histoire et portraitiste, Louis Hersent et fréquente également l'atelier du graveur Joseph-Théodore Richomme, puis fin 1821, entre aux Beaux-Arts de Paris. En 1826, le jeune artiste remporte le grand prix de Rome section gravure. Giraud rencontre la Princesse Mathilde, qui devient une amie, le peintre lui donne des leçons de peinture et devient son protégé pendant 15 ans, obtenant même un atelier dans la résidence de Saint-Gratien, ou il réalise le portrait du prince impérial. Eugène Giraud débute au Salon en 1833, avec des portraits, puis présente ses pastels l'année suivante. Ceux-ci plaisent beaucoup et l'artiste qui a une bonne connaissance des costumes, reçoit des commandes de maquettes, notamment pour Alexandre Dumas et Victor Hugo. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎HEUZE Edmond‎

‎Nantes - Rue Fourchon - Quai de la Fosse‎

‎- S.n., s.l. circa 1920, 25x30,5cm (dimensions du cadre) 11,5x14,5cm (dimensions du dessin), une feuille sous marie-louise encadrée. - Dessin original aux crayons de couleur et pastels représentant une vue de Nantes. Edmond Heuzé, pseudonyme d'Amédée Letrouvé (1884-1967), est un dessinateur, peintre, graveur et écrivain français. Pendant une trentaine d'années, Edmond Heuzé vivra de dix-sept petits métiers divers : Nénesse le fait entrer sous le pseudo de « Williams » comme danseur dans la troupe du Moulin Rouge avec La Goulue, ce qui lui permet de faire le tour du monde. Il devient également marchand, intermédiaire, camelot, régisseur de cirque ambulant, danseur de claquettes chez Maxim's, etc. C'est dans cette dernière profession qu'il aura l'occasion de peindre le monde du cirque à ses moments de loisirs. Il épouse Nina Bacquet, la directrice du cirque Médrano. Réformé en 1904, il s'engage comme volontaire en 1914. Avant la déclaration de la Première Guerre mondiale, il était conservateur de la collection d'émaux du grand-duc Nicolas Mikhaïlovitch de Russie. Il est incorporé au bout de six tentatives infructueuses comme gardien au magasin d'habillement du 22e régiment d'infanterie, comme André Utter, et s'en inspira pour une série de peintures intitulée Les Masques. En 1918, après divers métiers, il devient directeur de la Galerie Sagot, rue Laffitte, où il vend des toiles de ses amis Maurice Utrillo, Suzanne Valadon, Rouault, ainsi que les siennes. Les douze tableaux de la série Les Masques sont vendus durant les deux premiers jours. À cette époque Edmond Heuzé fut le témoin de mariage d'André Utter et Suzanne Valladon. Il conserva des liens étroits avec Maurice Utrillo, Jules Depaquit et Tiret-Bognet. Grâce à la générosité de Georges Chéron, marchand de tableaux, il peut recommencer à peindre. À partir de 1920, il expose à la galerie Bernheim-Jeune ainsi qu'à la galerie Chiron en 1923, et peut désormais vivre de son art qu'il consacre alors aux portraits, notamment dans le milieu du cirque. En 1938, il obtient le prix Paul-Guillaume pour le portrait du mime Farina. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎DEVERIA Achille‎

‎Portrait de femme‎

‎- S.n., s.l. circa 1840, 30,5x39cm (dimensions du cadre) et 15,5x19cm (dimensions du dessin), une feuille sous marie-louise encadrée. - Dessin original au crayon représentant une femme assise les mains croisées, portant une robe aux imposants drapés et des fleurs dans les cheveux. Tampon de l'artiste en bas à gauche de la feuille. Achille Devéria (1800-1857) est un peintre français, illustrateur et graveur, élève de Girodet-Trioson. C'est un illustrateur reconnu et a publié de nombreuses lithographies (Contes de Perrault, Don Quichotte, Robinson Crusoé, La Henriade...). En 1849, il fut nommé directeur du département des gravures de la Bibliothèque Nationale et assistant curateur du département égyptien du Louvre. Le célèbre portrait d'Honoré de Balzac jeune homme (1825) lui est attribué. Il peignait dans son atelier parisien de la rue de l'Ouest. Victor Hugo, Alexandre Dumas (père), Prosper Mérimée, Franz Liszt et de nombreux autres artistes et écrivains y sont venus pour se faire immortaliser. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎MARCEL-LENOIR (pseudonyme de OURY Jules)‎

‎Nus masculins et féminins. Etude‎

‎- S.n., s.l. circa 1900, 49x40,5cm, une feuille sous marie-louise encadrée. - Sketches and ink drawings of male and female nudes, alone or in pairs. Signed by the artist at the bottom of the sheet. In an unvarnished wood frame. Marcel-Lenoir, pseudonym of Jules Oury (1872-1931) was a French painter. Fascinated by Symbolism, he was a frequent visitor of the poet Paul Fort's and also frequented Rosicrucian circles. It was also at this time that he discovered the works of the Swiss artist Arnold Böcklin, the English artist Edward Burne-Jones and Pierre Puvis de Chavannes. Alberto Giacometti had enormous admiration for him and said: "For me, he was the greatest of his age...he had a way of painting in facets that was totally his own. He made a profound impression on me". [FRENCH VERSION FOLLOWS] Croquis et dessins à la plume représentant des nus masculins et féminins, seuls ou en couple. Signature de l'artiste dans le bas de la feuille. Le dessin est consigné dans un cadre en bois brut. Marcel-Lenoir, pseudonyme de Jules Oury (1872-1931) est un peintre français. Passionné par le symbolisme, il fréquentera le poète Paul Fort et les milieux Rose-Croix, il découvre dans le même temps les œuvres du Suisse Arnold Böcklin, de l'Anglais Edward Burne-Jones et de Pierre Puvis de Chavannes. Alberto Giacometti avait une immense admiration pour lui et disait : « Pour moi, c'était à l'époque le plus grand, ... il avait une manière de peindre par facettes qui n'était qu'à lui. Il faisait sur moi une profonde impression ».‎

‎ANONYME‎

‎Nu féminin jouant de la flûte‎

‎- circa 1920, Cadre : 41x51,5cm ; dessin : 24,5x34,5cm, une feuille sous marie-louise encadrée. - Dessin original au pastel représentant une femme nue de profil en train de jouer de la flûte. Signature illisible en bas à droite du dessin. Cadre moderne. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎COIGNET Attribué à Jules‎

‎Arbre mort et homme au chien‎

‎- S.n., s.l. circa 1830, Cadre : 41x35cm ; dessin : 27x20,5cm, une feuille sous marie-louise encadrée. - Dessin au crayon non signé, représentant un grand arbre mort avec à son pied un homme assoupi et son chien. Cadre fin en bois présentant quelques griffures. Élève de Jean-Victor Bertin, Jules Coignet adopta la prédilection de son maître pour la peinture paysagiste. Il est l'auteur d'un grand nombre de toiles représentant des vues et des paysages peints au cours de ses nombreux voyages dans le Tyrol et le pays de Bade, en Suisse, en Italie et en Sicile, en Égypte et au Liban en Orient, ainsi que dans plusieurs provinces de France, notamment la Bretagne et la vallée de l'Isère. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANONYME‎

‎[PARIS] Plan général du jardin du Palais du Luxembourg‎

‎- s.n., s.l. (Paris) (Circa 1768), 53,5 x 81,7cm, une feuille repliée. - Plan général du Palais du Luxembourg, dessiné à la main, à l'encre et aquarelle sur papier replié et restauré, comportant la mention manuscrite « Il a été levé et cotté [sic] en 1768 ». Il est annoté des unités de mesures en toises et en pieds caractéristiques de l'Ancien Régime. Ce plan témoigne des tracés originaux des jardiniers royaux du XVIIème siècle, Jacques Boyceau (1560-1635) et André Le Nôtre (1613 -1700). Des plans ont été conservés jusqu'aux modifications de Jean-François Chalgrin (1739-1811) entreprises sous l'ère révolutionnaire et achevées en 1804, visant à rendre l'édifice conforme à l'établissement du Sénat. Un document au tracé similaire datant de la fin du XVIIème siècle est conservé aux Archives Nationales (sous la cote O/11687/B pièce 732). Si l'on peut noter une certaine pérennité des plans originaux durant cette période intermédiaire jusqu'à la fin du XVIIIème siècle, on remarque toutefois quelques différences dans la conception des parterres, ici assez précisément rapportées. A la mort d'Henri IV, Marie de Médicis envisagea de quitter le Palais du Louvre qu'elle n'appréciait guère. En 1612, la Régente acquit l'Hôtel du duc de Piney-Luxembourg, environné d'un jardin de huit hectares. Ce dernier s'étendait à l'origine sur 300 mètres à peine devant l'édifice en raison du couvent des Chartreux qui obstruait la perspective sud. Il sera annexé à la suite de la nationalisation des biens du Clergé sous la Révolution. Les jardins seront agrandis au cours du XIXème siècle jusqu'à leur étendue actuelle. D'est en ouest, ils occupaient originellement plus d'un kilomètre, depuis l'actuel boulevard Saint-Michel jusqu'à l'actuel boulevard Raspail. Durant les années 1612 et 1613, Jacques Boyceau, intendant des jardins du roi, entreprit dans un jeu de symétrie le tracé des parterres autour d'une fontaine centrale. Les plantations furent achevées en 1630 avant d'être reprises en 1635 par André Le Nôtre. L'ingénieur florentin Thomas Francine fut chargé de concevoir la terrasse à l'italienne à double déambulatoire. Ayant à cœur d'introduire dans cet élan le goût italien à la cour de France, Marie de Médicis confia la réfection du bâtiment à Salomon de Brosse qui s'inspira de l'ordonnance rustique du Palais Pitti. L'Hôtel du duc Piney-Luxembourg devint dès lors le « Petit-Luxembourg ». Ce rare document manuscrit rehaussé en couleur, révélant la conservation du domaine dans son état du XVIIème durant tout l'Ancien Régime, témoigne, à rebours, des prémices des jardins à la française. Jacques Boyceau fut en effet le premier à conceptualiser le style français dans son Traité du jardinage selon les raisons de la nature et de l'art publié en 1638. Divisé en trois livres, l'architecte jardinier y présente des théories et des idées pour la conception, la mise en œuvre et l'entretien des grands jardins aristocratiques. Le jardin du Luxembourg dans la conception de Boyceau, puis de Le Nôtre, fait ainsi état de l'excellence d'un art du jardin français qui s'épanouit sous les premiers Bourbons. à la mort de la reine en 1642, le palais et les jardins perdirent leur fonction royale et changèrent à maintes reprises de propriétaire jusqu'à leur retour aux mains des Bourbons, en 1778, où le comte de Provence, frère de Louis XVI et futur Louis XVIII, hérita du domaine. Servant probablement de document de travail aux architectes jardiniers du XVIIIème siècle pour l'entretien des parterres, le plan de ce jardin parisien à l'histoire des plus prestigieuses constitue l'un des derniers vestiges de son état originel, caractéristique de la naissance du genre français, avant ses grandes transformations. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎[SADE Donatien Alphonse François, Marquis de] TIERCE Jean-Baptiste‎

‎Vue d'Italie : Marine animée aux environs de Naples‎

‎- S.n., s.l. (circa 1776), Cadre : 32x40,5cm ; dessin : 26x28,5cm, une feuille encadrée. - Dessin original à l'encre et à l'aquarelle représentant une vue animée de bord de mer avec un village perché sur une falaise. Encadrement moderne de baguettes blondes. Dessin réalisé pendant le voyage fait avec le Marquis de Sade au cours de l'année 1776. Jean-Baptiste Tierce (1737-1794), élève à l'école des Beaux-arts de Rouen puis à l'Académie de Peinture et de Sculpture de Paris, se fit rapidement remarquer comme paysagiste pour ses vues du Sud de la France et de l'Italie. Ses tableaux sont conservés aux Offices de Florence et dans plusieurs musées français. Lorsqu'en décembre 1775 Sade quitte Rome pour Naples, il est accueilli par le gendre de son ami le Docteur Mesny, Jean-Baptiste Tierce, qui à cette époque reçoit les commandes du Cardinal de Bernis. Il trouve un logement au Marquis « [qui] entend tout voir [de la région], s'instruire de tout, juger, admirer, critiquer, aimer, haïr, bref se livrer sans frein à cette curiosité insatiable et passionnée qui le conduit aussi bien dans les musées, les galeries, les églises, les palais et les bibliothèques, que dans les grottes, les caveaux, les catacombes, et jusque dans les entrailles des volcans. Il ne se contente pas de contempler les œuvres d'art, les monuments antiques ou modernes, il observe aussi les mœurs, la politique, la religion, l'administration, la vie sociale. La beauté des femmes, les usages du monde, la qualité des spectacles, les manières de manger, de boire, de s'habiller, de prier, de se conduire dans le monde : rien ne le laisse indifférent. Il voudrait saisir tout le présent et tout le passé de cette civilisation, l'embrasser toute entière dans une vision unique et universelle. Programme gigantesque, à la mesure de son imagination exceptionnelle, mais qu'il n'a plus remplir, qu'il lui était impossible de remplir. Pourtant, telle est sa première ambition d'écrivain : grandiose, démesurée. En vue de ce « grand œuvre », Sade prend des notes à la hâte, au bord des chemins ou dans les auberges, qu'il complète avec les fiches de ses correspondants Mesny et Iberti. Ainsi s'édifie ce monument qu'il destine au public, mais qui ne verra le jour qu'au XXème siècle. Jean-Baptiste Tierce y collabore étroitement : il relit les notes et consigne ses observations sur de petits cahiers, avec des numéros renvoyant aux œuvres décrites. Sade en tient le plus grand compte. Souvent, le peintre l'accompagne dans ses randonnées, son carnet de croquis à la main, dessinant les édifices et les paysages qu'ils ont sous les yeux. Une centaine de ces dessins et gouaches ont été récemment retrouvés dans les archives de la famille de Sade. Ils confèrent au Voyage en Italie l'allure d'un véritable reportage. » (Maurice Levert, Sade, pp. 283-284). Provenance : archives de la famille de Sade. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎[SADE Donatien Alphonse François, Marquis de] TIERCE Jean-Baptiste‎

‎Étude de vaches‎

‎- S.n., s.l. (Circa 1776), Cadre : 32x40,5cm ; dessin : 26x28,5cm, une feuille encadrée. - Dessin original à l'encre et à l'aquarelle. Encadrement moderne. Dessin réalisé pendant le voyage fait avec le marquis de Sade au cours de l'année 1776. Jean-Baptiste Tierce (1737-1794), élève à l'école des Beaux-arts de Rouen puis à l'Académie de Peinture et de Sculpture de Paris, se fit rapidement remarquer comme paysagiste pour ses vues du Sud de la France et de l'Italie. Ses tableaux sont conservés aux Offices de Florence et dans plusieurs musées français. Lorsqu'en décembre 1775 Sade quitte Rome pour Naples, il est accueilli par le gendre de son ami le Docteur Mesny, Jean-Baptiste Tierce, qui à cette époque reçoit les commandes du Cardinal de Bernis. Il trouve un logement au Marquis « [qui] entend tout voir [de la région], s'instruire de tout, juger, admirer, critiquer, aimer, haïr, bref se livrer sans frein à cette curiosité insatiable et passionnée qui le conduit aussi bien dans les musées, les galeries, les églises, les palais et les bibliothèques, que dans les grottes, les caveaux, les catacombes, et jusque dans les entrailles des volcans. Il ne se contente pas de contempler les œuvres d'art, les monuments antiques ou modernes, il observe aussi les mœurs, la politique, la religion, l'administration, la vie sociale. La beauté des femmes, les usages du monde, la qualité des spectacles, les manières de manger, de boire, de s'habiller, de prier, de se conduire dans le monde : rien ne le laisse indifférent. Il voudrait saisir tout le présent et tout le passé de cette civilisation, l'embrasser toute entière dans une vision unique et universelle. Programme gigantesque, à la mesure de son imagination exceptionnelle, mais qu'il n'a plus remplir, qu'il lui était impossible de remplir. Pourtant, telle est sa première ambition d'écrivain : grandiose, démesurée. En vue de ce « grand œuvre », Sade prend des notes à la hâte, au bord des chemins ou dans les auberges, qu'il complète avec les fiches de ses correspondants Mesny et Iberti. Ainsi s'édifie ce monument qu'il destine au public, mais qui ne verra le jour qu'au XXème siècle. Jean-Baptiste Tierce y collabore étroitement : il relit les notes et consigne ses observations sur de petits cahiers, avec des numéros renvoyant aux œuvres décrites. Sade en tient le plus grand compte. Souvent, le peintre l'accompagne dans ses randonnées, son carnet de croquis à la main, dessinant les édifices et les paysages qu'ils ont sous les yeux. Une centaine de ces dessins et gouaches ont été récemment retrouvés dans les archives de la famille de Sade. Ils confèrent au Voyage en Italie l'allure d'un véritable reportage. » (Maurice Levert, Sade, pp. 283-284). Provenance : archives de la famille de Sade. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎[SADE Donatien Alphonse François, Marquis de] TIERCE Jean-Baptiste‎

‎Vue d'Italie : Marine animée à la tour carrée‎

‎- S.n., s.l. (Circa 1776), Cadre : 40x50cm ; dessin : 18x24cm, une feuille encadrée. - Italian scene: animated seaside with square tower Original pencil drawing showing an animated seaside scene. Modern black wooden frame. A drawing done during the journey the artist undertook with Sade in 1776. Jean-Baptiste Tierce (1737-1794), who studied at the School of Fine Arts in Rouen and subsequently at the Academy of Painting and Sculpture in Paris, quickly built a reputation as a landscapist for his views of the South of France and Italy. His paintings are in the Uffizi in Florence and several French museums. When, in December 1775, Sade left Rome for Naples, he was welcomed by the son-in-law of his friend Dr. Mesny, Jean-Baptiste Tierce, who at the time was working on commissions for Cardinal de Bernis. He found lodgings for the Marquis who "intends to see everything [of the region], learn everything, judge, admire, critique, love, hate, in short give himself over to the insatiable and passionate curiosity that takes him to museums, galleries, churches, palaces and libraries as well as grottoes, caves, catacombs, and right down to the very innards of volcanoes. He was not content merely to look at the various works of art and ancient and modern monuments; he also set out to observe the local mores, politics, religion, administration, and social life. The beauty of the women, the local traditions, the quality of plays, table manners, and the way people drank, dressed, prayed, and made their way in the world all interested him. He wanted to take in both the present and the past of this culture, to encompass it all in a unique and universal vision. A massive undertaking to match his extraordinary imagination which he was, however, unable to fulfil, it being impossible for him to do so. This was, however, the nature of his central ambition as a writer: grandiose and outsized. With a view to this "great work", Sade took hurried notes, at the side of the road or in hostelries, which he then complemented with notes from his correspondents Mesny and Iberti. Thus, he built up the monument he intended to put before the public, but which did not end up seeing the light of day until the 20th century. Jean-Baptiste Tierce was a close collaborator: he re-read Sade's notes and gave his observations on the little notebooks, with numbers referring to the works mentioned. Sade took the greatest notice of his views. Often, the painter accompanied him on his rambles, sketchbook in hand, drawing the buildings and landscapes before them. A hundred or so of these drawings and watercolors were recently found in the Sade family archives. They give the Voyage en Italie the charm of a real travel diary." (Maurice Levert, Sade, pp. 283-284). Provenance : Sade family archives. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Dessin original au crayon représentant une vue animée de bord de mer. Encadrement moderne de baguettes noires. Dessin réalisé pendant le voyage fait avec le marquis de Sade au cours de l'année 1776. Jean-Baptiste Tierce (1737-1794), élève à l'école des Beaux-arts de Rouen puis à l'Académie de Peinture et de Sculpture de Paris, se fit rapidement remarquer comme paysagiste pour ses vues du Sud de la France et de l'Italie. Ses tableaux sont conservés aux Offices de Florence et dans plusieurs musées français. Lorsqu'en décembre 1775 Sade quitte Rome pour Naples, il est accueilli par le gendre de son ami le Docteur Mesny, Jean-Baptiste Tierce, qui à cette époque reçoit les commandes du Cardinal de Bernis. Il trouve un logement au Marquis « [qui] entend tout voir [de la région], s'instruire de tout, juger, admirer, critiquer, aimer, haïr, bref se livrer sans frein à cette curiosité insatiable et passionnée qui le conduit aussi bien dans les musées, les galeries, les églises, les palais et les bibliothèques, que dans les grottes, les caveaux, les catacombes, et jusque dans les entrailles des volcans. Il ne se contente pas de contempler les œuvres d'art, les m‎

‎SAINT ALLAIS‎

‎Paysage lacustre avec pêcheur‎

‎- 1866, 27,5x43,5cm, autre. - Dessin au fusain, pierre noire et craie blanche et rehauts de lavis. Signé en bas à gauche à la craie blanche "de St Allais 1866. Carton rigide épais de 4 mn. Très bel état, malgré un léger manque de 7mn au coin gauche haut. Timbre sec coin droit bas : Papier Pellée. Cile de teinte. Paysage lacustre et bocager finement travaillé. NB : Cet ouvrage est disponible à la librairie sur demande sous 48 heures. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

‎ANONYME‎

‎Portrait du comte d'Ingenheim‎

‎- Rome circa. 1825, 14x16,5cm, une feuille sous marie-louise. - Portrait original au crayon du comte Gustav Adolf Wilhelm d'Ingenheim (1789-1855). Fils naturel de Guillaume II de Prusse et de Julie von Voß, devenue comtesse d'Ingenheim, le comte d'Ingenheim fut grand amateur d'art et un collectionneur avide. Il séjourne plusieurs fois en Italie entre 1822 et 1833 et participe à l'acquisition d'œuvres d'art italiennes pour le Musée royal de Berlin (aujourd'hui Altes Museum) qui voit le jour sous le règne de son demi-frère, Frédéric-Guillaume III. Il tient des salons artistiques à Rome et Berlin, et soutient peintres et savants (dont l'archéologue allemand Eduard Gerhard), faisant jouer de ses relations auprès de la couronne prussienne. Il entretient et promeut de jeunes peintres dans les années 1820, comme Johann Erdmann Hummel, Aloys Hirt, Christian Daniel Rauch et Karl Friedrich Schinkel, et fait réaliser ce portrait par un des membres de son cercle d'artistes. Un groupe d'artistes allemands fortement influencé par la peinture italienne, les Deutschrömer ou Romains-Allemands, est très actif à Rome à l'époque. L'artiste, qui n'a pas signé ici, est sans doute un des membres de ce groupe proche des cercles nobles de l'Europe. La ville au sept collines est alors un lieu de convergence entre les jeunes aristocrates qui font le Grand Tour et les artistes qui vivent ou se forment à Rome et qui portraiturent donc les jeunes-gens en voyage. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]‎

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