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‎CARLAT (Michel)(dir.).‎

‎L'Ardèche : milieu naturel, habitat, mobilier & costume, agriculture, vie sociale & familiale, alimentation, métiers, croyances & savoirs populaires, fêtes, art populaire, langages, chansons, proverbes & contes.‎

‎Saint-Aignan Editions Curandera, 1985, gr. in-8°, 635 pp, illustrations en noir, importante biblio (pages 603-626), cart. illustré de l'éditeur, bon état (Coll. Les ethnologiques)‎

Riferimento per il libraio : 39166

‎CHAUSSOIS (Robert).‎

‎Calais pendant la guerre de 1939-1945.‎

‎Calais, Chez l'auteur, 1974-1980, 6 vol. gr. in-8°, 274, 262, 297, 262, 252 et 284 pp, 593 photos et un plan sur 202 planches hors texte, textes et documents en annexes, biblio, brochés, jaquettes illustrées, très bon état. Edition originale, enrichie d'une lettre d'un témoin à l'auteur et d'une carte de visite a.s. de l'auteur en réponse. On joint 2 cartes postales en couleurs (années 1970) du plus grand blockhaus du monde à Eperlecques - à 25 km de Calais - qui fut construit de 1943 à 1944 pour servir de base de lancement aux missiles V2 visant Londres et le Sud de l'Angleterre‎

‎Complet – EDITION ORIGINALE RARE de cette monumentale histoire de Calais pendant la seconde guerre mondiale, publiée à compte d'auteur entre 1974 et 1980 par Robert Chaussois (1925-1998), journaliste à la “Voix du Nord” et spécialiste d'histoire locale. — Tome 1 : Calais 1939-1940. La drôle de guerre. Une défense héroïque. La “Marée verte” ; Tome 2 : Calais, zone interdite. Les bombardements anglais. La Résistance s'éveille. L'Ortskommandantur 718 (juin 1940 - août 1941) ; Tome 3 : Calais, les années sombres. La Batterie Lindemann. Les passeurs d'homme. Exécutions et déportations (septembre 1941 - février 1943) ; Tome 4 : Calais, au pied du Mur. Les F.T.P. à l'action. La mort des réseaux. Les armes secrètes V (mars 1943 - janvier 1944) ; Tome 5 : Calais, le bout du tunnel. Les évacuations. Maquisards et F.F.I. L'affaire Brampton (février - août 1944) ; Tome 6 : Calais, le dernier round. Le Siège et la Libération. Les bombes du 27 février (août 1944 - mai 1945).‎

Riferimento per il libraio : 42519

‎CHEVALLIER (Jean-Marie), Denise DESBOUIS, André HU, Marcel ROGER.‎

‎Les Moissons rouges. 1936 en Soissonnais.‎

‎La Ferté-Milon, Corps 9 Editions, 1986, pt in-8°, 205 pp, 5 photos, une carte, broché, bon état‎

‎L'histoire du mouvement ouvrier local dans l'entre-deux-guerres : 1934, les émeutes et la naissance du rassemblement populaire dans l'Aisne, les conditions de vie et le chômage dans le Soissonnais, les organisations syndicales, les grèves à Soissons, mai-octobre 36, etc.‎

Riferimento per il libraio : 43383

‎CHEVALIER (Bernard)(dir.).‎

‎Histoire de Tours.‎

‎Toulouse, Privat, 1985 gr. in-8° carré, 423 pp, 16 illustrations et photos sur 16 pl. hors texte, 17 cartes, croquis et graphiques, 10 tableaux, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Univers de la France). Edition originale, un des ex. numérotés sur vélin spécial des papeteries de Domeynon (ouvrage couronné par l’Académie française, prix Yvan Loiseau 1986)‎

‎"Ce volume sur Tours, dont le maître d'œuvre est notre collègue B. Chevalier, est sans aucun doute le bienvenu et un des plus utiles de la collection « Univers de la France ». Il manquait en effet à la capitale de la Touraine une publication récente digne de son prestigieux passé et de son remarquable développement contemporain, depuis la vieille histoire d'E. Giraudet, plusieurs fois rééditée, mais dépassée dans sa conception et dans ses enseignements. La connaissance du patrimoine local, des événements, des hommes et de leurs activités s'est considérablement enrichie ces dernières années ; les thèses de L. Piétri et de B. Chevalier, plusieurs articles parus dans des revues spécialisées en sont le reflet. Le découpage interne peut surprendre un lecteur attaché à des habitudes traditionnelles. Sa logique séduit au fil de la lecture. On découvre successivement les étapes de formation du Bas-Empire et plus encore du haut moyen âge au XIIIe s., le temps de la « bonne ville » fréquentée bientôt par les rois et qui se poursuit jusqu'au lent assoupissement des XVIIe et XVIIIe s., et enfin la reprise contemporaine après les épreuves révolutionnaires et « l'immersion » dans la société industrielle. Les médiévistes retrouveront avec plaisir les meilleures pages et les conclusions de l'ouvrage désormais classique de B. Chevalier. Ils seront sans doute séduits par le chapitre consacré au développement topographique (H. Galinié) à des époques lointaines, par l'analyse sociale et culturelle (Ch. Lelong), surtout pendant ce haut moyen âge trop longtemps méconnu. Les plans et les cartes sont abondants et d'une lecture aisée, les bibliographies bien à jour. Il nous a semblé que ce volume était un des meilleurs d'une collection connue pour sa qualité et sa diversité." (Jean-Pierre Leguay, Cahiers de Civilisation médiévale, 1986)‎

Riferimento per il libraio : 43768

‎CROZET (René).‎

‎Etat des bâtiments conventuels de l'Abbaye de Saint-Maixent au milieu du XVIIe siècle.‎

‎Niort, Imp. Nicolas, s.d. (1955), gr. in-8°, 13 pp, broché, bon état‎

‎Etude réalisée à partir des procès verbaux de visite des lieux de 1641 à 1654.‎

Riferimento per il libraio : 44150

‎[Sucy-en-Brie].‎

‎C'était Sucy. Album de cartes anciennes.‎

‎Société historique et archéologique de Sucy-en-Brie, 1977, in-8° à l'italienne, (120) pp, non paginé, 112 reproductions de cartes postales anciennes, un plan ancien de “Sussi” (Sucy)broché, couv. illustrée, bon état‎

‎L'église, le village, les écarts ; château Lambert, Montaleau, Haute-Maison, Grand-Val, Petit-Val ; les fermes, les troupeaux, les travaux, le lavoir ; les fêtes, les bals, les cabarets et bosquets ; le Plateau, les rives du Morbras, les marais de Sucy.‎

Riferimento per il libraio : 44807

‎CURVEILLER (Stéphane).‎

‎Dunkerque, ville et port de Flandre à la fin du Moyen Age, à travers les comptes de baillage de 1358 à 1407. (Thèse).‎

‎Presses Universitaires de Lille, 1989, gr. in-8°, 374 pp, préface de Gérard Sivéry, 3 pl. en couleurs hors texte, 8 cartes et plans, 32 illustrations dans le texte, un tableau généalogique, sources, index, glossaire, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎

‎Réflexion approfondie et essai d'histoire quantitative, l'histoire de Dunkerque au XIVe siècle dévoile l'évolution d'un centre jugé trop longtemps anodin. La bourgade initiale dont l'entité urbaine est reconnue dès la fin du XIIe siècle se dote d'institutions au début du siècle suivant ; ignorée des grands courants commercaiux en raison de sa non-appartenance à la Hanse, elle ne connaît de réelle expansion que vers 1375. En effet, la ruine progressive de cette ligue de marchands, les difficultés rencontrées par des centres rivaux comme Gravelines et enfin, l'arrivée sur les marchés d'étrangers des Pays-Bas conduisent la cité à se hisser à un niveau très respectable lui permttant de s'imposer de plus en plus à Bergues. Par ailleurs, la ville s'apprête à devenir une place forte du littoral face à l'occupation anglaise de Calais. L'épanouissement économique et commercial de la cité au sein d'une vie quotidienne agrémentée de faits piquants amène peu à peu Dunkerque à jouer un rôle régional, consécration de son développement et de son affirmation au coeur de la Flandre maritime.‎

Riferimento per il libraio : 45471

‎AUBERT (Edouard).‎

‎Trésor de l'abbaye de Saint-Maurice d'Agaune.‎

‎Paris, 1870, in-8°, 132 pp, broché, bon état (Extrait du XXXIIe volume des Mémoires de la Société nationale des Antiquaires de France)‎

‎L’abbaye territoriale de Saint-Maurice d'Agaune est une abbaye territoriale située dans le canton du Valais en Suisse. Elle a été fondée en 515 par le futur roi burgonde saint Sigismond à l'emplacement d'un sanctuaire plus ancien abritant les reliques de Maurice d'Agaune, martyr du IIIe siècle, érigé par Théodore d'Octodure, premier évêque connu du Valais. Cette fondation en fait le plus ancien monastère d'Occident toujours en activité.‎

Riferimento per il libraio : 47369

‎[Zodiaque] – DIMIER (M.-Anselme) et Jean PORCHER.‎

‎L'Art cistercien. France.‎

‎La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1982, gr. in-8°, 376 pp, 3e édition, 152 héliogravures hors texte, 5 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée (pelliculage de la jaquette lég. décollé), soulignures crayon sur les 20 premières pages, bon état (la Nuit des temps, 16)‎

‎"Ce livre a la netteté et la clarté qui conviennent au sujet dont il traite. Il est également, ce qui explique ses qualités, l'œuvre d'hommes qui par leur vocation, leur vie et leurs travaux sont mieux à même que quiconque de dégager l'esprit qui imprègne l'art monastique en général, et plus particulièrement l'aspect exceptionnel que revêt l'art cistercien. Il s'agit de dom Angelico Surchamp, religieux bénédictin, et, pour la majeure partie de l'ouvrage, du r.p. Marie-Anselme Dimier, religieux cistercien, auteur de nombreux et remarquables travaux sur l'histoire, l'expansion et l'architecture de l'Ordre auquel il appartient. Les dernières pages du livre, consacrées aux manuscrits, ont été demandées à M. Jean Porcher, éminent spécialiste en la matière. Nous sommes ici pourvus de douze monographies solides et claires s'appliquant aux ensembles majeurs, entendons ceux qui nous sont parvenus. Le choix de ceux-ci ne pouvait être imprévisible ; cependant, des abbayes relativement peu connues comme l'Escale-Dieu, Léoncel ou Flaran sont mises ici très légitimement à l'honneur. On trouvera également, en tête de l'ouvrage, trente-six notices brèves consacrées trop souvent, hélas, à une manière de nécrologe dans lequel sont évoquées les abbayes mutilées dont certaines, ne seraient-ce que Cîteaux et Clairvaux, devraient revêtir, sans la stupidité des hommes, une importance capitale. Ces notices sont intelligemment présentées dans l'ordre historique, un index alphabétique permettant de retrouver aisément chacune d'elles. Tout cela, disions-nous, est clair, net, sans fioritures ni vaine littérature..." (René Crozet, Cahiers de Civilisation Médiévale, 1963)‎

Riferimento per il libraio : 49090

‎FERRÉ (Max).‎

‎Charenton-le-Pont, d'hier à aujourd'hui.‎

‎P., Editions d’Art Les Heures Claires, 1971, in-4°, 179-(4) pp, 21 pl. de gravures et photos hors texte (dont 4 en couleurs), 2 cartes volantes, armoiries de Charenton, notes, biblio, reliure toile gris clair de l'éditeur, jaquette illustrée, rhodoïd, bon état. Edition originale numérotée sur papier Couché Christina‎

‎La Formation de Charenton-le-Pont ; Le Pont ; De quelques combats ayant eu lieu à Charenton-le-Pont ; Les Grances Heures de Charenton-le-Pont ; Ecrivains et Artistes à Charenton-le-Pont ; Conclusion.‎

Riferimento per il libraio : 49985

‎DURAND (Yves).‎

‎Cahiers de doléances des paroisses du bailliage de Troyes pour les États Généraux de 1614, publiés avec une présentation et des notes.‎

‎PUF, 1966, gr. in-8°, viii-362 pp, préface de Roland Mousnier, biblio, index, broché, dos lég. taché, bon état (Publications de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de Paris-Sorbonne, série « Textes et Documents » tome XIII. Travaux du Centre de recherches sur la civilisation de l'Europe moderne, fascicule 4)‎

‎"En publiant ces documents, dont la rareté est soulignée par M. Mousnier dans la préface, M. Yves Durand apporte une contribution de choix à l'histoire religieuse. En effet, parmi de multiples plaintes contre les tailles et les gabelles, contre le passage des gens de guerre, le nombre excessif des officiers royaux, et le mauvais temps qui ruine les récoltes, les habitants du bailliage de Troyes, interrogés de village en village, ou réunis pour rédiger leurs cahiers, dénoncent les insuffisances du service paroissial. Ils le font sans indulgence, et avec un accent de vérité qui nous convainc mieux que tant de pieux développements inspirés aux apôtres du XVIIe siècle. (...) M. Yves Durand, à la fin d'une très riche introduction, souligne l'écart de mentalité qui sépare ces doléances de 1614 de celles de 1789, et il a amplement raison. Cette remarquable publication – dont j'ai omis de dire qu'elle était, dans sa méthode, irréprochable — apporte à l'historien, et en particulier à l'historien de l'Église." (Marc Venard, Revue d'histoire de l'Église de France, 1968)‎

Riferimento per il libraio : 50453

‎FLEURY (Elie).‎

‎Sous la botte. Histoire de la ville de Saint-Quentin pendant l'occupation allemande. Août 1914 - Février 1917.‎

‎Saint-Quentin, Paul Dupré, s.d. (1925-1926), 2 vol. pt in-4°, 290 et 348 pp, nombreuses illustrations dans le texte et hors texte par Paul Seret, index, brochés, dos abîmés recollés, intérieurs propres, état correct. Rare‎

Riferimento per il libraio : 50704

‎FAVRE (Léopold).‎

‎Histoire de la ville de Niort, depuis son origine jusqu'en 1789.‎

‎Bruxelles, Culture et civilisation, 1979, in-8°, vii-498 pp, 6 gravures et un plan de Niort vers la fin du XIIIe s. hors texte, reliure simili-cuir brun de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état (réimpression de l'édition de Niort, 1880)‎

‎"L'histoire d'une ville, qui n'a pas été capitale d'une province, est d'habitude assez insignifiante et assez monotone. Il n'en est pas ainsi pour Niort, qui possède des annales dramatiques d'un haut intérêt. Dans les temps les plus anciens, nous trouvons les premiers habitants des bourgades destinées à devenir la ville de Niort, adonnés à la pêche. Puis vient la culture des vignes, très répandue aux environs de Niort pendant le moyen âge. Enfin, la population se consacre au commerce ; la ville devient le grand entrepôt de l'Ouest ; par la Sèvre, elle touche à la mer, et la navigation prend une extension qui lui donne l'importance d'un port maritime. Le commerce l'avait enrichie, et l'avait mise en contact avec ces populations libres et indépendantes des Flandres. Elle en avait pris le caractère remuant et énergique, aussi était-elle très attachée à ses privilèges municipaux. C'est Aliénor qui a donné à notre ville la première charte municipale ; mais longtemps avant cette reine, Niort jouissait de droits précieux qui lui ont laissé ce fier sentiment de liberté que nous voyons subsister à travers les siècles... En écrivant l'histoire de Niort, nous avons essayé de retracer les événements dont cette ville a été le théâtre, et de montrer sa transformation à travers les siècles. Nous avons aussi cherché à reproduire le caractère de la population, les divers sentiments qui l'ont animée, les passions politiques et religieuses qui l'ont si profondément agitée. Nous avons aussi tenu à enregistrer ou à analyser tous les documents de l'Hôtel-de-ville qui offraient un certain intérêt. Nous avons pu ainsi reconstituer, en quelque sorte, la vie communale de notre cité. C'est principalement vers ce but que nos efforts ont tendu..." (Introduction). — Un ouvrage indispensable et passionnant pour connaître l'histoire de la ville et de la commune de Niort. Léopold Favre (1817-1891), historien, membre de la Société des Antiquaires de France, a publié de nombreux ouvrages historiques ainsi qu'un Glossaire du Poitou, de l'Aunis et de la Saintonge.‎

Riferimento per il libraio : 50959

‎DUPEUX (Georges).‎

‎Aspects de l'histoire sociale et politique du Loir-et-Cher, 1848-1914. (Thèse).‎

‎P. & La Haye, Mouton & Co, 1962, gr. in-8°, xii-631 pp, préface d'Ernest Labrousse, 43 cartes, biblio, broché, bon état‎

‎"La portée de la belle thèse de doctorat ès lettres que Georges Dupeux a consacrée à l'histoire sociale et politique du Loir-et-Cher de 1848 à 1914 dépasse de beaucoup le cadre particulier de ce département." (François Goguel, Revue française de science politique) — "La thèse de M. Dupeux se situe à l'intérieur d'un double courant de la recherche en histoire contemporaine. D'une part, elle a choisi le cadre départemental. De l'autre, elle vise à éclairer l'histoire politique par la connaissance systématique de l'économie et de la société. Non seulement, elle a été entreprise avec une remarquable maîtrise ; mais son auteur a osé s'attaquer, dans des conditions qui n'étaient pas toujours favorables, au problème central du devenir historique, celui des rapports entre économie, société et vie politique. Pour étudier le comportement des groupes sociaux, et particulièrement leur comportement politique, il faut d'abord « définir les rapports économiques et sociaux qu'entretiennent les hommes entre eux » (p. 12). D'où la ligne générale de l'ouvrage : « Après avoir soumis à une investigation détaillée les conditions matérielles d'existence des catégories sociales, nous pouvons passer au dernier stade de notre recherche, qui consiste à examiner les modes de pensée, et plus particulièrement les conceptions politiques, pour tenter de reconnaître les liaisons entre les rapports de production constituant la structure économique de la société, et les formes de conscience, la liaison du social et du mental » (p. 25). Et l'on ne prendra jamais l'auteur en flagrant délit d'outrance, de schématisme, ou de témérité. Il ne réduit nullement le comportement des groupes sociaux à leur histoire économique. Il démontre d'une manière convaincante que faute de connaître, avec le plus de précision possible, le conditionnement économique et la complexité sociale on ne peut rendre compte valablement de l'histoire politique..." (Jean Bouvier, Revue d’histoire moderne et contemporaine, 1964)‎

Riferimento per il libraio : 51635

‎PUECH (Dr Albert).‎

‎Une ville au temps jadis, ou Nîmes à la fin du XVIe siècle, d'après le compois de 1592 et des documents inédits ; étudié au point de vue de la démographie dans ses rapports avec l'histoire.‎

‎Nîmes, Grimaud, Gervais-Bedot, Catélan, 1884, fort in-8°, 568 pp, reliure pleine toile bordeaux à la bradel, dos lisse, pièce de titre chagrin noir, 1er plat de couv. conservé, dos lég. frotté, bon état. Ouvrage rare, tiré à 105 ex. seulement‎

‎Quartiers, rues, maisons et faubourgs ; Impôts, capage, cabal, présage, cotisation ; De l'état des personnes : Gouverneur, clergé, magistrature, officiers du domaine ; Gentilhommes, avocats ; Bourgeois, marchands, médecins, apothicaires et chirurgiens ; Praticiens, greffiers, notaires ; Arts et métiers : apprentissage, corporations, drapiers, chaussetiers, tondeurs de drap, teinturiers, tailleurs, cordonniers, curatiers, tanneurs, meuniers, boulangers, cardeurs, tisserands, bouchers, hôtes, rotisseurs, etc., etc. ; Laboureurs, jardiniers et professions se rattachant à l'agriculture : industrie de la soie ; Instruction ; écoles, collèges, librairies, imprimeurs ; Prix et distribution des logements, mobilier, vêtements, alimentation, divertissements ; La famille au point de vue social et démographique, dernières volontés, funérailles. – Appendice (pp. 503-566) : rues et places de Nîmes en 1592 ; architecture, âge des maisons, bourgeoisie et commerce, hommes de loi, Inventaire d'un armurier, les Traucat jardiniers, boutique d'un brodeur, livres et libraires, index des impressions de 1578 à 1607, prix des loyers d'artisans, vêtements, prix des céréales et du vin, paupérisme : hôpital, léproserie.‎

Riferimento per il libraio : 51927

‎OUSTRIC (Georges).‎

‎Le port de Boulogne-sur-Mer au XIXe siècle.‎

‎La Sentinelle, Editions Le Téméraire, 1995, gr. in-8°, 286 pp, photos, illustrations, tableaux, sources, biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Terres septentrionales de France)‎

‎Boulogne-sur-Mer, premier port de pêche de France : le constat est connu de tous les écoliers de France en cette fin de XXe siècle. L'ouvrage de Georges Oustric, fruit d'une thèse de doctorat, nous rappelle que cette primauté ne s'établit que durant la période du Second Empire et que, toujours soumise à concurrence, elle exige une constante remise en cause des pratiques de pêche et des types d'armements. L'activité portuaire boulonnaise ne se résume pas à cette seule source de revenus, elle est orientée également vers le commerce maritime, le trafic transmanche sans oublier les implantations industrielles et le développement de la station balnéaire. (...) Les fiches techniques sur les types de navire et de très belles photographies d'époque insérées au sein du développement viennent compléter les propos de Georges Oustric qui réussit le délicat mariage de l'érudition et de la synthèse. La table des matières, claire, bien charpentée autour de titres éclairants en est la plus belle illustration. (Bruno Béthouart, Revue Historique, 1997)‎

Riferimento per il libraio : 52880

‎FORTUNET (Françoise).‎

‎Charité ingénieuse et pauvre misère. Les baux à cheptel simple en Auxois aux XVIIIe et XIXe siècles.‎

‎Dijon, EUD (Editions universitaires de Dijon), 1985, in-8°, 392 pp, annexes, biblio, graphiques et tableaux, broché, bon état, envoi a.s.‎

‎Voici une étude très fouillée du bail à cheptel simple, en Auxois, menée de 1700 à 1850, à partir des registres des bureaux de contrôle des actes notariés et d'inventaires après décès. Dans ce contrat, la bailleur laisse un fonds de bétail au preneur qui doit en assurer l'entretien et la conservation, à la condition de se partager, à moitié, le croît ou le mécroît. Le fonds de bétail est généralement constitué de bovins et d'ovins, et varie de quelques bêtes (une vache suitée et quelques moutons ou brebis), à un attelage (bovins ici rarement des chevaux) ; ou à un troupeau plus important (attelages et une centaine de moutons). Il s'agit donc de différentes catégories de preneurs allant des prolétaires ruraux non-exploitants, disposant avec quelques bêtes, de moyens de survie, et représentant 30 à 40 % des preneurs, jusqu'aux exploitants aisés qui trouvent, par là, les moyens de production indispensables à la culture. Le cadre chronologique de l'étude correspond à la période de crise de l'agriculture particulièrement aiguë de 1750 à 1800, et liée, ici comme dans d'autres régions, à la crise des pâturages traditionnels entraînant celle de l'élevage et des fumures, et donc des cultures... (Florence Gauthier, Annales historiques de la Révolution française, 1986)‎

Riferimento per il libraio : 54401

‎GIRAULT (Jacques).‎

‎Le Var rouge. Les Varois et le socialisme de la fin de la Première Guerre mondiale au milieu des années 1930. (Thèse).‎

‎P., Publications de la Sorbonne, 1995, in-8°, 861 pp, 84 tableaux, 2 index, broché, bon état‎

‎"« Un Var à nouveau troublé et inquiet », écrit J.G. à propos de la crise agricole des années 1930 (p. 275) et l'on peut ajouter que c'est, en effet, une constante. La personnalité de Georges Clemenceau domine l'avant-première guerre mondiale. Elle restera, ensuite, un objet de discorde entre les diverses forces de gauche. L'ouvrage est issu d'une thèse de doctorat d'Etat, soutenue en 1990, dont n'a été gardé que le volet politique. C'est dire qu'il est admirablement étayé, qu'aucune référence ne manque, aucun tableau, aucune carte. On regrettera d'autant plus l'absence d'une bibliographie." (Revue française de science politique, 1996)‎

Riferimento per il libraio : 56476

‎SAND (George).‎

‎Malgrétout.‎

‎Mézières, Les Cahiers Ardennais, 1953, gr. in-8°, 207 pp, préface d'André Maurois, avant-propos de Christophe Ryelandt, photos de Lucien de Meyer, broché, bon état. Un des 2000 ex. numérotés sur bouffant crème Jeand'heurs‎

‎Dans sa préface André Maurois considère que ce roman un peu oublié, aux yeux des Ardennais, "a le mérite de se passer dans leur pays et de décrire avec exactitude et poésie, des paysages qu'ils aiment" ; "Malgrétout" (qui est le mont dominant Revin, enserré par une boucle de la Meuse) représente pour les Sandistes comme pour les Ardennais un précieux document.‎

Riferimento per il libraio : 57741

‎Collectif.‎

‎Histoire générale des Eglises de France, Belgique, Luxembourg, Suisse.‎

‎Laffont, 1966, in-4°, xix-490 pp, préface d'André Chastel, 16 pl. en couleurs hors texte, très nombreuses illustrations en noir, biblio, lexique, reliure toile ocre de l'éditeur, titre doré au 1er plat, pt trace d'humidité ancienne, sans le rhodoïd, bon état‎

‎Préface (André Chastel) ; Histoire de l'architecture religieuse (Marcel Durliat) ; L'architecture monastique (René Crozet) ; Comment on construisait une église (Régine Pernoud) ; Histoire de la sculpture monumentale (François Souchal) ; La peinture murale (Marc Thibout) ; Le vitrail (Jean Lafond) ; Le mobilier des églises (Georges Costa) ; Iconographie et symbolisme religieux (V.-H. Debidour) ; Vie historique de l'église (Bernard Mahieu) ; Vie liturgique de l'église (Pierre-Marie Gy) ; Vingt siècles de vandalisme (Yvan Christ) ; Les fouilles (Michel Fleury) ; L'art sacré contemporain (Madeleine Ochsé) ; Lexique (Bernard Noël).‎

Riferimento per il libraio : 60564

‎HENRY-ROSIER (Marguerite).‎

‎Franche-Comté.‎

‎Fernand Lanore, 1939, gr. in-8°, 214 pp, une carte, ill. dans et hors texte, broché, bon état. La terre et l'histoire - Arts et paysages - Moeurs et légendes.‎

Riferimento per il libraio : 62151

‎JUSSELIN (Maurice).‎

‎Imagiers et cartiers à Chartres. Suivi de la liste des productions connues de l'imagerie populaire Chartraine par Adolphe Aynaud.‎

‎P., Librairie d'Argences, 1957, gr. in-8°, 288 pp, 30 planches hors texte, broché, non coupé, bon état‎

Riferimento per il libraio : 62858

‎DHERS (Pierre).‎

‎Maisons-Laffitte depuis ses origines.‎

‎Maisons-Laffitte, Office du Tourisme et Mairie, 1989, in-8°, 83 pp, 27 gravures, photos, cartes et plans, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎

‎Un livre présentant l’évolution du village, la vie quotidienne, et l’origine des noms des rues. — "Nous pouvons être reconnaissants à Pierre Dhers, historien de valeur, chercheur infatigable, qui fut pendant de nombreuses années Maire adjoint de Maisons-Laffitte, de nous faire découvrir, de façon fort agréable, l’histoire de notre cité. Il nous montre qu’une ville ne se crée pas de façon artificielle, que l’urbanisme a des répercussions sur le mode de vie, mais que, également, le mode de vie a une influence sur l’urbanisme. Le style alerte fait que cet ouvrage, qui aurait pu être austère, est agréable à lire." (Pierre Duprès)‎

Riferimento per il libraio : 63017

‎JÉZÉQUEL (Jean).‎

‎La Révolution française à Angoulême, 1789-1799.‎

‎Poitiers, Projets Editions, 1988, in-8°, 215 pp, 12 illustrations dans le texte et hors texte, biblio, index, broché, couv. illustrée, soulignures et annotations stylo, bon état‎

Riferimento per il libraio : 64557

‎LACHIVER (Marcel).‎

‎Histoire de Meulan et de sa région par les textes.‎

‎Meulan, Chez l'Auteur, 1965 in-8°, 428 pp, préface de J. Levron, 135 textes, 15 tableaux, 13 figures, 12 photographies hors texte, annexes, biblio, index, broché, couv. très lég. salie, bon état‎

‎"Voilà certainement l'un des meilleurs ouvrages d'histoire locale publiés depuis la dernière guerre. M. Lachiver, qui est un historien averti, a su éviter les écueils qui guettent tant de travaux de ce genre : goût de l'anecdotique, passion pour les périodes les plus obscures de l'Antiquité et du Moyen Age, mépris du XIXe siècle, sacrifice de l'étude économique et sociale à de vaines considérations d'histoire générale. Le plan est simple et clair : après l'exposé des sources et de la bibliographie, M. Lachiver traite successivement : Des temps préhistoriques au Moyen Age ; Trois siècles d'absolutisme royal ; La Révolution et l'Empire (1789-1814) ; Le XIXe siècle (1814-1914). Chacune de ces parties est divisée en 4 ou 5 chapitres comportant une dizaine de pages de mise au point, avec cartes et tableaux, puis les textes qui s'y rapportent, textes rassemblés à la Bibliothèque nationale (Fonds du Vexin), aux Archives départementales de Seine-et-Oise, et surtout glanés dans les archives communales, qui se sont révélées plus riches qu'on ne pouvait l'imaginer. Ce livre n'est pas seulement un ouvrage de vulgarisation. Sur bien des points, il apporte du nouveau, notamment dans le domaine économique et social. (...) On recommande spécialement la lecture du chapitre V (Aspects de la vie économique au Moyen Age) ; du chapitre VI (L'Eglise et le clergé au temps de la monarchie absolue) ; du chapitre IX (Société rurale et société urbaine) ; du chapitre X (structures démographiques et problèmes économiques au XVIIe et au XVIIIe siècle) ; du chapitre XIII (La République, 1792-1799) ; du chapitre XVI (les transformations démographiques au XIXe siècle) ; du chapitre XVII (Du maître d'école à l'instituteur) ; etc." (J. Dupaquier, Annales de démographie historique, 1966)‎

Riferimento per il libraio : 65965

‎LACHIVER (Marcel).‎

‎Histoire de Mantes et du Mantois à travers chroniques et Mémoires, des origines à 1792.‎

‎Meulan, chez l'Auteur, 1971, gr. in-8°, 512 pp, 24 planches hors texte, index, broché, bon état‎

‎Premier volume de la Collection de travaux et de documents pour servir à l'histoire du Mantois et du Vexin. La première partie de cet ouvrage est consacrée aux Chroniques de Mantes qui constituent une véritable histoire de Mantes sous l'Ancien Régime et dépassent largement le cadre de cette ville. La seconde partie est la publication de Mémoires décrivant le Mantois aux XVIIe-XVIIIe s. Nombreuses reproductions de cartes du Mantois et de Mantes à cette époque. — "Un précieux recueil de textes sur l'histoire sociale et sur l'ethnographie d'une petite région. Avec Marcel Lachiver l'érudition locale, une fois n'est pas coutume, est modernisée, et dépoussiérée de main de maître." (Annales, ESC, 1972).‎

Riferimento per il libraio : 65971

‎LABANDE (Léon-Honoré).‎

‎Histoire de Beauvais et de ses institutions communales jusqu'au commencement du XVe siècle. (Thèse).‎

‎P., Imprimerie Nationale, 1892, pt in-4°, xxiii-381 pp, 41 pièces justificatives, reliure demi-basane fauve mordorée à coins, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés, 1er plat conservé, bon état. Edition originale. Bel exemplaire‎

‎"Cet ouvrage est une thèse de l'Ecole des chartes qui repose sur des recherches étendues ; elle fait honneur à la fois à l'auteur et aux maîtres dont il a reçu les leçons. La commune de Beauvais s'est formée lentement, par développements successifs ; elle ne sort pas d'une insurrection victorieuse ; elle n'est point le fruit d'une concession gracieuse du souverain. L'évêque de Beauvais, des le début du XIe siècle, est maître et seigneur dans sa ville épiscopale et ne relève que du roi ; mais les bourgeois jouissent déjà de certaines libertés, de certains privilèges qui, peu a peu, se préciseront, prendront corps et se fixeront dans des chartes de coutumes. La royauté ne joue aucun rôle actif dans ce lent développement ; au XIIIe siecle, son intervention, sous saint Louis notamment, est plutot violente et maladroite ; plus tard, devenue plus habile, elle soumet la bourgeoisie de Beauvais à des persécutions savantes et bien conduites, qui doivent à son gré amener la ruine de la commune et l'abandon des libertés par les habitants. A Beauvais, ce résultat est plus lent à venir qu'ailleurs, et, jusqu'au XVIIe siecle, la ville gardera quelques-unes de ses franchises. Mais, dès le XIVe, l'autorité royale a pris pied dans la cité et, sous pretexte de réformer les abus, elle a mis des entraves au libre exercice du gouvernement communal. Sur toutes ces questions, sur le fonctionnement de la commune durant deux siècles, sur les droits respectifs des pairs et de l'évêque, on trouvera dans le livre de M. Labande beaucoup de très curieux renseignements. On peut citer entre autres le chapitre sur le développement du pouvoir épiscopal ; l'auteur montre fort bien comment il naît des le IXe siècle et comment le prélat parvient, au XIe, à évincer le comte." (A. Molinier, Revue Historique, 1893) — "L'histoire de Beauvais par M. Labande n'embrasse que la période allant des origines au commencement du XVe siècle, c'est-à-dire jusqu'à l'époque où l'autorité royale s'y implanta définitivement et remplaça l'administration municipale. C'est à partir du XIe siècle que les annales de cette ville deviennent surtout intéressantes, c'est-à-dire à dater du moment où les évêques acquirent le comté de Beauvais et où la charte communale fut concédée à cette ville. Si elle n'eut pas tous les privilèges politiques et judiciaires que l'on trouve dans d'autres localités plus favorisées, en revanche elle résista plus longtemps à toutes les causes ordinaires de ruine. Tandis que d'autres communes étaient absorbées par le pouvoir royal à la suite de leurs querelles et de leurs divisions intestines ou des dissensions qui s'élevaient entre elles et les juridictions voisines, il fallut tous les malheurs accumulés par la guerre de Cent ans pour diminuer seulement les privilèges administratifs et politiques de Beauvais. Aussi l'étude de l'organisation de cette ville était-elle intéressante, mais difficile, à cause de la dispersion des documents. M. Labande l'a abordée résolument et s'en est tiré à son avantage. Le volume qu'il offre au public fut d'abord présenté comme thèse à l'Ecole des chartes, et valut à son auteur l'honneur de sortir le premier. Dans la première partie, M. Labande fait connaître les différentes vicissitudes que subit la ville de Beauvais, depuis ses origines jusqu'à la fin du règne de Philippe le Bel, les relations de l'évêque et de la commune avec la royauté. La deuxième partie est consacrée aux institutions municipales. Nous apprenons successivement comment s'établit la commune, quelle était sa constitution, quelle était l'étendue de la juridiction des magistrats municipaux, quels furent les rapports de l'évêque et de la commune, et enfin ce que furent le commerce et l'industrie de Beauvais pendant le moyen âge. La troisième partie est le tableau de la décadence de la commune ; on assiste peu à peu à l'infiltration de l'autorité royale, d'abord dans les affaires militaires et dans les finances, puis à l'établissement d'un juge royal qui, après avoir connu de toutes les causes appartenant de droit au bailli de Senlis, finit par se trouver aux assemblées des trois corps de la ville, et par y exercer une influence prépondérante. Quarante et une pièces justificatives, la plupart très intéressantes, terminent cet ouvrage, qui fait réellement honneur à M. Labande." (Jules Viard, Revue des Questions historiques, 1893)‎

Riferimento per il libraio : 66284

‎LAUNAY (Mme Marine), Charles FAUQUEUX, Albert LAUNAY.‎

‎Histoire régionale. Département de l'Oise et pays qui l'ont formé.‎

‎Beauvais, Librairie Prévot, 1976, in-8°, 470 pp, 68 illustrations dans le texte, 4 planches en couleurs, 10 cartes et plans (dont 4 cartes dépliantes hors texte), biblio, index, broché, jaquette, bon état. Réédition complétée de l'édition de Beauvais, 1925 tirée à 1300 exemplaires numérotés.‎

Riferimento per il libraio : 67722

‎LEFEBVRE (Georges).‎

‎Etudes orléanaises. I : Contribution à l'étude des structures sociales à la fin du XVIIIe siècle. II : Subsistances et maximum (1789- an IV).‎

‎P., Commission d'Histoire économique et sociale de la Révolution , 1962-1963, 2 vol. gr. in-8°, 276 et 476 pp, 3 cartes et plan dépliants hors texte, index, brochés, trace de mouillure ancienne en marge des derniers feuillets du tome I, bon état‎

‎"Ce travail a été entrepris par Georges Lefebvre aussitôt après la première guerre mondiale, lorsque l'auteur, professeur à Orléans (1918-1919), n'était pas sûr alors de retrouver ses papiers sur les paysans du Nord, restés à Lille. Quelques parties ont été complétées par la suite. Mais le but était d'étudier l'histoire du maximum dans le département du Loiret. Dans ce premier volume, nous n'avons que la première partie, la plus courte. Elle donne un « aperçu de la situation économique et sociale à la veille de la Révolution ». Le développement comporte quatre chapitres : « Les campagnes orléanaises », « Le commerce et l'industrie », « Les ordres et classes dans les villes », enfin, « Les marchés, le commerce des grains et la boulangerie ». Les campagnes sont analysées en une soixantaine de pages. Les cinq pays (Beauce, Gâtinais, Forêt, Sologne, Val) sont décrits dans leurs cultures, leur élevage, leurs propriétés foncières, leurs méthodes agraires, leurs exploitations, leurs charges fiscales, leurs classes rurales. On retrouve là toutes les qualités de l'auteur : choix de documents originaux, précision de l'analyse, concision du style qui reste toujours vivant et retient l'attention. Après cette description, des problèmes importants sont étudiés : l'état de l'agriculture et les charges du paysan, les doléances, le prolétariat rural. Cette dernière classe avait une situation très précaire : pauvreté, chômage endémique, mendicité sont des termes qui reviennent souvent. Pour le commerce et l'industrie, les questions à examiner sont nombreuses : les voies de communications (fleuves, canaux et routes), les rapports commerciaux, le financement des entreprises, les négociants. Puis les industries : les industries lainières liées à la concentration commerciale, les manufactures indépendantes (particulièrement la porcelaine, les fabriques de cire, la tannerie), les raffineries de sucre, la filature de coton. Artisans, détaillants, corporations sont aussi analysés. Le développement le plus important est réservé aux ordres et classes dans les villes. On trouve d'abord un aperçu de la structure sociale et de la population d'Orléans. Puis viennent l'analyse statistique et l'examen descriptif des trois ordres. Mais G. Lefebvre se penche plus particulièrement sur le Tiers État. Les ouvriers orléanais retiennent son attention ; il cherche à les dénombrer, à analyser leur condition, à dégager l'action ouvrière. Une idée est bien mise en relief : « La séparation des classes était nette, et à certains égards beaucoup plus ostensible que de nos jours quant à la nourriture, au vêtement et aux distractions. » Dans une dernière partie, l'auteur, qui a pourtant déjà parlé du commerce, revient sur une question essentielle à la veille de la Révolution : les marchés, le commerce des grains et la boulangerie. (...) Le premier tome n'était qu'une longue introduction pour mieux comprendre l'analyse que voulait faire Georges Lefebvre, celle des subsistances et du maximum pendant la période révolutionnaire. Aussi le second tome est-il beaucoup plus copieux et plus solide que le premier. L'auteur examine successivement la crise de 1789, les troubles de 1792, le premier maximum des grains de mai 1793, le second maximum des grains de septembre 1793, le premier maximum général de septembre-novembre 1793, le second maximum général de février 1794 et enfin, après la suppression du maximum, la crise de l'an III et de l'an IV. C'est là un examen minutieux, dans un département très proche de Paris, de l'application des décisions prises dans la capitale ; application souvent laborieuse, car les conditions et les circonstances locales ou régionales interviennent à chaque instant..." (Abel Chatelain, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1964)‎

Riferimento per il libraio : 68711

‎LEFLON (Jean).‎

‎Nicolas Philbert, évêque constitutionnel des Ardennes.‎

‎Mézières, Archives départementales, 1954, in-8°, 193 pp, un portrait de Philbert hors texte, une carte, broché, bon état. Ex-libris Dominique Labarre de Raillicourt‎

‎"Le personnage dont M. Leflon retrace la vie intéresse à plus d'un titre. Philbert, qui fut évêque constitutionnel des Ardennes de la fin de 1790 à 1797, n'a certes pas l'intelligence, même à œillères, ou le caractère, même abrupt, qui distinguent tel ou tel autre prélat de cette Eglise. Il est plus « retors » que subtil, plus opportuniste que constant en sa théologie, plus coutumier des voies indirectes que du combat à visage découvert. Cela se discerne non seulement dans sa carrière ecclésiastique, mais lors des événements politiques auxquels le mêlèrent, après le 10 août 1792, la révolte de La Fayette et l'attitude « fédéraliste » de la municipalité sedanaise. Il arriva pourtant à cet évêque de se montrer rigide et courageux. Un mandement de janvier 1793 contre le mariage des prêtres et le divorce lui valut d'être conduit sous bonne escorte à la Convention. La chose aurait pu mal tourner. Bien sûr, Philbert, en fâcheuse posture, déploya en faveur de sa cause quelques-unes des « astuces » auxquelles il était loin de répugner. Mais ce n'est pas un mince honneur pour lui de se voir inscrit à côté des Grégoire et des Gratien, parmi ceux qui s'élevèrent vigoureusement contre les plus graves réformes religieuses de la Révolution toute-puissante. On appréciera beaucoup l'étude de M. Leflon sur le serment constitutionnel dans le département des Ardennes. L'intérêt historique de cette question est loin d'être épuisé..." (Ch. Ledré, Revue d'histoire de l'Église de France, 1955)‎

Riferimento per il libraio : 68737

‎LEPOTIER (Amiral).‎

‎Cherbourg, port de la Libération.‎

‎France-Empire, 1972, pt in-8°, 528 pp, reliure cartonnée de l'éditeur, jaquette illustrée, traces de scotch sur les gardes, bon état‎

‎"Projeté par la presqu'île du Cotentin en pleine mer de la Manche et protégé par les deux cornes de la Hague et de la Hougue, le port de Cherbourg offre une zone de mer relativement calme, en dedans de quelques redoutables courants de marées connus sous le nom de raz et redouté des anciens navigateurs". En octobre 1920, l'auteur y embarque sur un vieux croiseur-cuirassé... En mars 1946, il découvre les ruines de son arsenal... L'amiral Lepotier est un marin doublé d'un solide historien. Il entreprend ici, en plus de 500 pages, de raconter l'Histoire de la ville de Cherbourg et nous offre, en même temps qu'un formidable récit historique, quelques fines analyses, notamment sur la bataille de la Hougue, et sur l'importance géostratégique du port de Cherbourg.‎

Riferimento per il libraio : 69209

‎LEPOTIER (Amiral).‎

‎Toulon, porte du Levant.‎

‎France-Empire, 1972, pt in-8°, 474 pp, 16 pl. de gravures et photos hors texte, reliure cartonnée de l'éditeur, jaquette illustrée, bon état‎

‎Par Adolphe-Auguste Lepotier (amiral, 1898-1978). Matelot à dix-neuf ans, il entre à l’Ecole Navale et fera carrière dans la marine. Il se fit l’historien de combats sur mer, de nos ports de guerre, Brest, porte océane ou Toulon, porte du Levant...‎

Riferimento per il libraio : 69252

‎VIRENQUE (Pierre).‎

‎Fontenay Saint Père. Monographie.‎

‎Les Amis de Fontenay St Père [Seine et Oise], 1966 gr. in-8°, 90 pp, 2 plans, 6 illustrations, broché, bon état‎

‎Tout savoir sur l’histoire du village, du Néolithique aux années soixante. Ce livre est l’œuvre de Pierre Virenque, maire de la commune de 1960 à 1971, décédé dans les années 90. L’ouvrage parle, notamment, de l’évolution de la population, du développement de l’administration locale, de l’histoire jusqu'à la Révolution, de la guerre de 1870 sur le territoire, du château et de ses gens (avec un tableau généalogique). Pour réaliser ce travail d’investigation, l’ancien maire avait collaboré avec l’association Les amis de Fontenay, aujourd'hui disparue.‎

Riferimento per il libraio : 70587

‎LAURENT (Ch.).‎

‎Ornes. La vie et la mort d'un village meusien.‎

‎Bar-le-Duc, 1938, gr. in-8°, xii-466 pp, qqs pl. de photos et plans et un plan replié hors texte, broché, bon état‎

‎Copieux et très complet ouvrage entièrement consacré à l'histoire d'Ornes, village martyr de la grande guerre. Bien qu'elle comporte encore quelques maisons et garde une poignée d'habitants permanents, cette commune est classée comme « morte pour la France ». Elle fait partie des neuf villages français détruits durant la Première Guerre mondiale non reconstruits car classés en zone rouge du département de la Meuse. — "Intéressante monographie d'un village entièrement détruit par la dernière guerre. Les chapitres V, XII, XV et XVI donnent de nombreux détails sur cette paroisse meusienne, avant, pendant et après la Révolution." (Revue d'histoire de l'Église de France, 1939) — Table : La terre et les habitants - Ornes, des origines au XIe siècle - La seigneurie d'Ornes - La commune d'Ornes et sa charte - La paroisse et les curés d'Ornes avant la Révolution - Les barons d'Ornes de la fin du XVe siècle jusqu'à la Révolution - Le château d'Ornes et ses dépendances - La commune d'Ornes jusqu'à la Révolution - La Révolution à Ornes - Ornes sous l'Assemblée Législative - Ornes sous la Convention - La Terreur - La fin de la Terreur - Ornes sous le Directoire et le Consulat - La paroisse d'Ornes après le Concordat - Les églises d'Ornes - Ornes sous le Premier Empire - Ornes sous la première Restauration et les Cent-Jours - Ornes sous la deuxième Restauration - Ornes sous la Monarchie de Juillet - Ornes de 1848 à 1870 - La guerre de 1870 et la Troisième République à Ornes - L'enseignement et les écoles - Les us et coutumes d'Ornes : l'élevage - Les us et coutumes d'Ornes : l'organisation de la police municipale. - Les us et coutumes d'Ornes : de la naissance à la mort - Les notabilités d'Ornes - La guerre de 1914. Les derniers jours d'Ornes - Ornes depuis la guerre - Appendice : les professions à Ornes.‎

Riferimento per il libraio : 70849

‎LOTTIN (Alain).‎

‎Chavatte, ouvrier lillois. Un contemporain de Louis XIV.‎

‎Flammarion, 1979, in-8°, 445 pp, qqs gravures et fac-similés, généalogie, documents, lexique, biblio, broché, couv. à rabats, bon état (Coll. Science)‎

‎"La réédition de la thèse d'Alain Lottin (Lille 1967) procure un matériau du plus grand intérêt. A l'origine de ce travail, un document rare : les "mémoires" laissés par Pierre Ignace Chavatte (1633-1693) pour prolonger une chronique lilloise venue en sa possession : le singulier est que Pierre Chavatte, fils et petit-fils de maîtres sayetteurs, maître sayetteur lui aussi, mais travaillant chez un autre comme ouvrier est l'un de ces humbles dont l'histoire n'a souvent d'autre trace que matriculaire, statistique. Cette source étonnante pose un premier problème : celui de son existence, dont l'élucidation permet à l'auteur de donner, sur l'alphabétisation dans les villes des Pays-Bas « français » de riches aperçus. L'importance du mouvement de la Contre Réforme se marque nettement dans ce domaine par l'institution d'écoles... Chavatte est profondément catholique. Avec les Lillois, il incrimine Louis XIV de se dérober au « Tûrkenglocken » de 1683 pour livrer, en fourbe, une guerre non déclarée à l'empereur sur la frontière nord, mais aussi bien de nommer à Tournai un évêque d'opinion... janséniste et gallicane ! Cette sensibilité catholique est chevillée à la sensibilité populaire. Formée par les ordres mendiants, la prédication qu'on entend, colporte, commente, l'encadrement rituel pompeux, la foi se mélangent intimement aux manières de voir le monde que communique la société populaire. Les chapitres V et VI, qui étudient les formes de la vie religieuse et en analysent le contenu, sont un des passages les plus denses du livre..." (Philippe Ratte, Annales. Histoire, Sciences Sociales, 1979)‎

Riferimento per il libraio : 71078

‎LOTTIN (Alain)(dir.).‎

‎Les grandes batailles du Nord de la France.‎

‎Editions Mazarine, 1984, in-8°, 286 pp, 32 cartes et illustrations, biblio, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎L'Antiquité par Roland Delmaire, le Moyen Age par Monique Sommé, l'Ancien Régime et la Révolution par Alain Lottin, l'Epoque Contemporaine par Robert Vandenbussche. — "De Vicus Helena aux combats de la Libération, les grandes batailles n'ont hélas pas manqué ce carrefour de l'Europe du Nord-Ouest que constitue l'actuel Nord-Pas-de-Calais. On s'est battu sur cette terre, mais on s'est aussi battu pour elle. Les comtes de Flandre, jouant de la rivalité entre la France et l'Angleterre, parvinrent souvent à préserver l'indépendance de leur territoire ; les ducs de Bourgogne en firent un pivot essentiel de leurs possessions... et ce n'est qu'après la Révolution française que la région put enfin connaître un siècle de paix auquel l'enfer des guerres mondiales mit un terme. Bouvines, Crécy, Calais, Cassel, Malplaquet, Bapaume, Dunkerque, etc., sont autant de noms restés gravés dans la mémoire collective et autant d'épreuves qui ont contribué à forger l'identité d'une région modelée en grande partie par tous ces conflits. Et ce livre, s'il retrace en priorité l'histoire des faits militaires, les luttes et les souffrances des officiers et des soldats, n'oublie pas le sort des paysans et des citadins pris dans ces tourmentes..." (4e de couverture)‎

Riferimento per il libraio : 71081

‎MIQUEL (Pierre).‎

‎Histoire des canaux, fleuves et rivières de France.‎

‎P., Edition°1, 1994, gr. in-8°, 372 pp, 8 pl. de photos en noir et en couleurs, une carte, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎Dans cet ouvrage, l'auteur retrace la formidable aventure humaine et technologique, économique et politique, que représente la navigation en eau douce.‎

Riferimento per il libraio : 76004

‎MILZA (Pierre) et Marie-Claude BLANC-CHALEARD.‎

‎Le Nogent des Italiens.‎

‎Editions Autrement, 1997, gr. in-8°, 149 pp, 42 photos et 6 cartes et tableaux, broché, bon état‎

Riferimento per il libraio : 76048

‎MIREAUX (Emile).‎

‎Une Province française au temps du Grand Roi : la Brie.‎

‎Hachette, 1979, in-8°, 350 pp, préface de Pierre Goubert, sources, biblio, liste des noms de lieux cités, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎Panorama de l'activité rurale en Brie au XVIIe siècle et analyse de la vie quotidienne des villages sous Louis XIV. — "Etude d'histoire sociale, fondée sur le Mémoire de la généralité de Paris, rédigé en 1699, et sur le dépouillement d'archives administratives, judiciaires, ecclésiastiques et notariales conservées à Melun. Après avoir décrit les cadres de la vie rurale en Brie à la fin du XVIIe siècle et la hiérarchie féodale des terres, Emile Mireaux montre que la prépondérance de la grande propriété y est récente, et qu'elle résulte d'un accaparement. Le tableau qu'il brosse de la vie et de l'activité économique des fermes et des villages, des rapports entre villageois, citadins, châtelains et gens d'Eglise est précis et vivant." (Revue française de science politique) — La Brie est une région naturelle située dans la partie orientale du bassin parisien, approximativement entre les vallées de la Marne au nord, de la Seine au sud et la côte d'Île-de-France à l'est. Elle couvre une superficie d'environ 5.000 km2. D'un point de vue géographique, on distingue une Haute-Brie (autour de Meaux) et une Basse-Brie (autour de Provins). Historiquement parlant, on distingue la Brie française (Brie-Comte-Robert), la Brie champenoise (Meaux) et la Brie pouilleuse (Château-Thierry).‎

Riferimento per il libraio : 76744

‎NOURRIT (Léon).‎

‎Mille ans d'Histoire en Bas-Languedoc : Saint-Christol (Hérault), ancienne Commanderie de l'Ordre souverain, militaire et hospitalier de Saint-Jean-de-Jérusalem, de Rhodes et de Malte.‎

‎Béziers, Chez l'Auteur, 1987, gr. in-8°, 652 pp, nombreuses illustrations dans le texte, index, cartonnage éditeur, bon état‎

‎Cet ouvrage retrace la naissance vers 1100 d'une des premières fondations en Bas-Languedoc de l'Ordre des hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem à Saint Christol (Hérault). Son accession en commanderie puis, durant près de sept siècles, son existence en tant que seigneurie spirituelle et temporelle, tandis que se crée et vit autour d'elle une modeste bourgade rurale, Saint Christol dont le patron est Saint Christophe. Bien propres répartis en plus de 20 endroits, du littoral (Aigues-Mortes, Lunel), jusqu'aux extrémités des vallées des Gardons (St. Maurice-de-Cazevieille, Alès..) Ses censitaires répartis sur plus de 100 actuelles communes. Saint-Christol relèvera du Grand Prieuré de St. Gilles. L'avant-dernier de ses plus de 50 nobles commandeurs sera durant seize années l'illustre Bailli de Suffren. Evolution, fonctionnement, gestion, litiges avec les communautés paysannes, trame féodale de la région, grandes épreuves des guerres (Cathares, Huguenots, etc.). (Le Lien des chercheurs cévénols, mars 1987)‎

Riferimento per il libraio : 79073

‎[Mobilier] – BOULANGER (Gisèle).‎

‎L'Art de reconnaître les meubles régionaux.‎

‎Hachette, 1974, in-4°, 254 pp, très nombreuses photographies dans le texte (documentation photographique de V. Gisors-Isabey), reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état‎

‎L’art provincial français du XVe au XIXe siècle, classé par province : les meubles, faïences et étains. Renseignements utiles sur les papiers peints, les services et les bibelots.‎

Riferimento per il libraio : 79226

‎PAPP (Julien).‎

‎La Résistance dans l'Eure, 1940-1944.‎

‎Epinal, Editions du Sapin d'Or, 1988, gr. in-8°, 318 pp, 128 pl. de photos et fac-similés hors texte, 10 cartes, biblio, broché, couv. illustrée, bon état. Rare‎

‎À l’inverse de toute la glose ressassée sur la Résistance, Julien Papp s’est toujours attaché à partir des faits, des noms et des lieux pour retracer l’histoire des résistances sur un territoire aussi vaste qu’un département. Il en ressort une synthèse remarquable et incontournable désormais pour le chercheur ou même tout simplement le curieux.Nous ne saurons trop conseiller la lecture de ce livre fouillé, richement illustré de nombreuses photos inédites, et dont les cartes, tableaux et listes montrent tout le travail de recherche réalisé aussi bien dans les archives publiques que dans les fonds familiaux. (Marc Chantran, Mémoires de la seconde guerre mondiale dans l’Eure, 1991)‎

Riferimento per il libraio : 80232

‎POESSEL (André-Edgar).‎

‎L'Orne et l'histoire.‎

‎Editions Essor, 1963, in-8°, 493 pp, préface de Louis Terrenoire, député de l'Orne, une carte et 4 tableaux généalogiques hors texte en fin de volume, importante biblio, broché, couv. lég. salie, bon état (Coll. Notre terroir)‎

‎Histoire de l'Orne depuis "les premiers Ages de l'Histoire".‎

Riferimento per il libraio : 80535

‎FRÉMONT (Henri).‎

‎Réfugiés meusiens. Les faits, gestes et dires du Père Barnabé de Samogneux, réfugié à Paris (1914-1918).‎

‎Verdun, H. Frémont & fils, s.d. (1919) in-12, 134-(2) pp, préface par André Maginot, 10 pl. hors texte de dessins par L. Boutin, broché, bon état‎

‎Peu d'ouvrages traitent des réfugiés meusiens de la Première Guerre mondiale, ces hommes et ces femmes contraints par la guerre à quitter leur foyer. Cet ouvrage reproduit une série d'articles publiés de 1917 à 1919 dans le Bulletin Meusien. Chacun de ces articles met en scène un personnage né de l'imagination d'Henri Frémont, alors rédacteur en chef du Bulletin Meusien. Paysan à Samogneux, près de Verdun, le père Barnabé a été contraint de quitter son village en février 1916, lors de l'attaque allemande sur Verdun. Réfugié à Paris, comme tant de Meusiens, il y découvre la vie de l'arrière et une population peu soucieuse des réfugiés. Dès lors, il s'attache à faire connaître la situation de ces déracinés. Certain de la victoire finale, il contribue aussi à conforter le moral de ses compatriotes. Sous la plume alerte d'Henri Frémont, il devient même à lui seul le symbole des réfugiés meusiens... Samogneux, village meusien à 15 km au nord de Verdun, a été détruit lors de la Première Guerre Mondiale.‎

Riferimento per il libraio : 80832

‎PENNETIER (Claude).‎

‎Le Socialisme dans le Cher, 1851-1921. (Thèse).‎

‎La Charité, Delayance, et P., Editions de la Maison des Sciences de l'Homme, 1982, gr. in-8°, 306 pp, 48 pl. d'illustrations, photos, fac-similés et cartes hors texte, sources, index, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎"Le titre original de la thèse de Claude Pennetier : "Le socialisme dans les départements ruraux français : l'exemple du Cher" et ses limites chronologiques situent cette recherche dans le débat autour des origines du communisme français et notamment de la place des fédérations paysannes dans le passage du socialisme au communisme. Passage durable dans le cas du Cher ou "l'hégémonie vaillantiste puis communiste est une constante de la vie politique, de 1885 aux années 1930", (p. 10). Trois grands chapitres charpentent cette solide monographie : la présentation du milieu, l'étude de I'implantation du socialisme, I'analyse du procès de scission ; axés sur la recherche des héritages qui mènent à I'aboutissement – plus qu'à I'accident – de décembre 1920. "II n'est point de terre naturelle du socialisme", nous dit I'auteur (p. 65) mais le Cher constitue un terrain favorable. Département rural mais pas complètement désurbanisé : Bourges et Vierzon y jouent un rôle considérable. Département agricole (plus de la moitié de la population active) mais pas complètement désindustrialisé. Le passage de la sidérurgie traditionnelle à la métallurgie de transformation implique, au XXe siecle, des comportements ouvriers différents : ancienneté de la pratique de grève chez les mineurs de fer, radicalisation des luttes chez les forgerons de Torteron avant leur migration vers les villes, dépendance des métallurgistes de Rosières... Traditions ouvrières illustrées par un déplacement des pôles d'activités et un déplacement des centres de gravité socialistes, à l'intérieur du département et à I'intérieur des différentes catégories sociales. (...) Démarche rigoureuse, menée dans un cadre départemental qui n'exclut pas la diversité régionale, la thèse de Claude Pennetier fait aussi place à la voix des obscurs : chansons de grèves et souvenirs de militants qui constituent, autant que le charisme d'Edouard Vaillant, le patrimoine du socialisme français." (Florence Riffault-Regourd, Le Mouvement social, 1985) — "Dans ce livre, point de nuances superflues : il y a les mauvais (les non-socialistes), les douteux (les socialistes réformistes) et les bons (les socialistes non réformistes) ; d'ailleurs, dès la dédicace, l'auteur nous avertit que, pour lui, la rigueur n'exclut pas « la passion et l'engagement » ; opinion respectable à condition de tenir égaux les deux plateaux de la balance. Or la rigueur se trouve trop souvent sacrifiée à l'hagiographie pour qu'on ne finisse pas par en ressentir un agacement... De plus, certains aspects du sujet ne sont pas véritablement traités : le boulangisme est effleuré, le socialisme nationaliste est passé sous silence, si l'on excepte une allusion p. 155, de même que le syndicalisme jaune. C'est d'autant plus dommage que, par ailleurs, l'ouvrage ne manque pas de qualités : l'auteur a rassemblé une documentation étendue et originale, tant pour les archives écrites qu'orales, qu'il utilise avec minutie et talent. Il montre bien les évolutions successives du socialisme jusqu'à la rupture de 1920, objet même de son ouvrage comme il le dit un peu tard dans sa conclusion. On comprend alors pleinement le but de ce livre : infirmer les thèses d'Annie Kriegel sur les origines du communisme et prouver que son avènement, dans le Cher tout au moins, n'est pas un accident mais le résultat d'une longue évolution de la tradition vaillantiste jusqu'à la rencontre du bolchevisme. En récupérant le pacifisme rural qui procède de la guerre, en recrutant largement chez les jeunes démobilisés et en exploitant le rejet des politiciens trop accueillant aux sirènes du ministé- rialisme, le parti communiste apparaît donc comme le successeur légitime des années d'avant-guerre. Sur ce point, la démonstration de l'auteur est solide, argumentée et paraît convaincante." (Bertrand Joly, Bibliothèque de l'École des chartes, 1983)‎

Riferimento per il libraio : 81166

‎PLANCKE (R.-C.).‎

‎Histoire de Seine-et-Marne. Vie paysanne du Moyen Age au début du XXe siècle.‎

‎Le Mée-sur-Seine, Editions Amatteis, 1986, gr. in-8°, 431 pp, 360 illustrations, reproductions de cartes postales anciennes, biblio, index des communes, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎Une Histoire de Seine-et-Marne sous-titrée La Vie paysanne, illustrée par des cartes postales retrouvées. Ici, apparaît la vie du paysan au travers des âges. Représentation, que l'auteur a voulue sans prétention, des difficultés, des joies et des rythmes de la vie des ancêtres des Seine-et-Marnais.‎

Riferimento per il libraio : 82078

‎PLAISSE (André et Sylvie).‎

‎La vie municipale à Evreux pendant la guerre de Cent Ans.‎

‎Evreux, Société Libre de l'Eure, 1978, in-8°, 300 pp, 103 illustrations, 5 tableaux, index, broché, couv. illustrée (lég. défraîchie), bon état‎

‎"Bien présenté, bien illustré, de lecture agréable, cet ouvrage, appuyé sur une documentation parfaitement maîtrisée, prolonge et complète utilement les travaux de Suzanne Deck sur la cité d'Evreux, capitale d'un comté, d'un diocèse et d'un bailliage. Une ville moyenne (5000 habitants par hypothèse, au début du XIVe siècle), avec ses clercs, ses gens de loi, mais aussi ses artisans, son industrie textile. Une cathédrale, deux abbayes, huit paroisses, un château, un « bourg » et une « cité » juxtaposés, des faubourgs qui demeurèrent sans protection, même au temps du conflit franco-anglais. Tel est l'organisme que la guerre de Cent Ans allait frapper de plein fouet (siège de 1356, incendie de 1358, conquête par Charles en 1378, siège et conquête par Henri en 1417-1418, « recouvrement » par Charles VII en 1441). L'accent est mis, à juste titre, sur le développement des institutions municipales, rendu quasi obligatoire par les nécessités militaires. (...) Autre pôle de l'ouvrage : la vie économique, centrée dans le bourg (comme il est naturel), avec sa grande halle des bouchers, munie de deux rangées de boutiques, sa halle au blé, où tournent les moulins et où se tiennent les boulangers, son marché aux poissons, celui-là à ciel ouvert, son pilori... Les « fêtes et extravagances », les « mascarades » donnent lieu à des pages stimulantes et nuancées. Aucun aspect de la vie de la cité n'est négligé. Notons encore la fine analyse des sentiments politiques des habitants, au total très réservés à l'égard du roi de France, et montrant une évidente faiblesse envers le roi de Navarre, puis, au XVe siècle envers le roi d'Angleterre..." (Philippe Contamine, Annales ESC, 1980)‎

Riferimento per il libraio : 82159

‎PETEL (Claude).‎

‎Nations gauloises et vieux pays en Seine-et-Marne.‎

‎Le Mée-sur-Seine, Editions Amatteis, 1988, gr. in-8°, 145 pp, 95 photos, cartes et plans, biblio, broché, couv. illustrée, bon état‎

Riferimento per il libraio : 85131

‎REY (Raymond).‎

‎Les vieilles Eglises fortifiées du Midi de la France.‎

‎P., Henri Laurens, 1925, gr. in-8°, 241 pp, 24 pl. hors texte, 42 figures dans le texte, biblio, index, broché, C. de bibl., bon état‎

Riferimento per il libraio : 85397

‎ROBLIN (Jean).‎

‎"Les raisins sont mûrs, citoyens !". La Révolution à Nogent sur Marne.‎

‎Le Mée sur Seine, Amatteis, 1988, gr. in-8°, 335 pp, 167 illustrations dans le texte et hors texte, sources, broché, couv. illustrée, bon état‎

Riferimento per il libraio : 86625

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