‎Autographs‎

‎[Favrat, Marc (Marquis de), painter, lover of Elisabeth of Romania (fl. 1950s)].‎

‎Typed letter to Favrat, signed "Iris Peters". Nice, 9. VI. 1959.‎

‎4to. 1½ pp. on 2 ff. With typed envelope. To Marquis Marc de Favrat in Cannes, requesting him to be her personal guide at Favrat's art exposition in Cannes, invoking his artistic talents to console him for the loss of his "worldly possessions". Currently on a journey through Europe accompanied by her grandparents, Iris points out that her grandmother had connections to the royal family of Romania: "My grandmother, born in Coburg, knew Queen Marie and Prince Carol; she was present when the black and gold ship of the Czar family came to the Bosphorus [...] Only one thing saddens me, we do not know anybody here and when they take me to the tea-dance at the Casino once a week I can only dance with my grandfather. He is a very good dancer but I am only twenty and I do so want to live a little [...]". - Marc Favrat gained fame through his relationship with princess Elisabeth of Romania (1894-1956) who finally settled in Cannes some years after her expulsion from Romania in 1947, when the Romanian People's Republic had been proclaimed. The much younger aspiring artist Favrat had become Elisabeth's lover, equerry, and adopted son in the year of her death.‎

‎[Favrat, Marc (Marquis de)] - Orlando, Guido, press agent, publicist, and actor (1906-1988).‎

‎Typed letter signed. Paris, 27. IV. 1959.‎

‎4to. ¾ page. To Marc Favrat in Cannes with compliments on Favrat's art exposition, expressing his happiness at having met one another, and requesting a further meeting the following Friday: "Quelques lignes pour vous dire combien j'ai été heureux de vous rencontrer et particulièrement à l'occasion de votre exposition. J'en ai été fortement impressionné. Je serai heureux de vous rencontrer au cours de mon tout prochain voyage à Cannes, Vendredi [...]". - Marc Favrat gained fame through his relationship with Princess Elisabeth of Romania (1894-1956), who had settled in Cannes some years after her expulsion in 1947, when the Romanian People's Republic had been proclaimed. The much younger aspiring artist Favrat had become Elisabeth's lover, equerry, and adopted son in the year of her death. - With printed letterhead "Guido Orlando / International Public Relations".‎

‎[FEUILLE de ROUTE]‎

‎P.S.‎

‎Toul, 4 prairial an 8, 24 mai 1800 , 2 pp. in-folio en partie imprimée sous forme de tableau, vignette gravée en en-tête, cachet.‎

‎Feuille de route avec étape délivrée par le commissaire des guerre à Toul, à un militaire invalide se rendant à l'Hôtel des Invalides à Paris, suivant la lettre du ministre de la Guerre au général Gillot, commandant la 4e Division militaire ; il est précisé qu'il sera "fourni à ce militaire place sur une voiture étant hors d'état d'aller à pied." Sont inscrits à la suite les noms des villes où le militaire reçut le gîte et la voiture, avec la revue des autorités locales, depuis Toul jusqu'à Paris ; étapes à Ligny, St-Dizier, Vitry, Chalons, Epernay, Dormans, Chateau-Thierry, La Ferté-sous-Jouard, Meaux, Paris.Document en parfaite condition.‎

Bookseller reference : 191004

‎[Felder, Cajetan von, Politiker (1814-1894)].‎

‎Hs. Brief mit U. an C. v. Felder. O. O., 11. III. 1881.‎

‎2 SS. auf Doppelblatt. 8vo. Mit eh. adr. Kuvert. Schreiben eines nicht ermittelten, vermutlich greisen Absenders an Felder, damals Landmarschall von Niederösterreich: "Das schlechte Wetter ist schuld, daß ich heute nicht in die Finanzcommission des Herrenhauses kommen durfte. Ich hätte sonst die Gelegenheit benützt, mir die Antwort auf die Einladung zu dem morgigen geselligen Abend im öster. Hof persönlich zu erbitten. Auch wenn ich wegen Kürze an Zeit bis Morgen keine Antwort erhalte, nehme ich doch an, daß wir das Vergnügen haben Sie hochverehrter Herr Baron in unserm gefälligen Kreise begrüßen zu können [...]". - Mit Rundstempel der Handschriftensammlung J. K. Riess.‎

‎[Ferdinand II., röm.-dt. Kaiser (1578-1637)].‎

‎Kaiserliche Resolution. Wien, 14. IX. 1621.‎

‎1 S. Folio. Mit Rubrum verso. Entlassungsbrief von Schreiberhand für den "auf dero Camororn, K. Rath, bestelten Obristen und Obr.-Leutenand zu Rab [Raab, Györ], Herrn Ernsten von Kolonitsch Freiherrn etc.": auf dessen "gethane gehors[ame] resignation und aufkündung" seines Dienstes in Raab habe sich der Fürst "dahin in Kaiser[licher] gnade resolvirt, Ime Herrn von Kollonitsch solcher gestalt seines diensts der obbemelten Rab[er] Obr.-Leutenandschafft allerg[nä]d[ig]st zuerlaßen". Kollonitsch solle jedoch noch bis zur Ankunft des neuen Obristen "bei seinem anvertrauten Regiment von Fünf Fändl verbleibe[n] und denselben abwarthen: Wie dann dem Herrn Obristen von Coloredo one einiges ferners zurücksehen oder dissienttirns Ime Hn. Obr. v. Kolonitsch, das einschichtige Fändl alsbald von der Zeit Irer Kai. Mst. vorigen resolution de dato zu undergeben, abermalls mit allem ernst anbevölchen [...]". - Die Festung Raab - im Türkenkrieg von 1593-1606 verloren und 1598 wieder zurückerobert - galt als eine der Hauptfestungen in Westungarn. Ernst von Kollonitsch (gest. 1639) war während der Türkenkriege u. a. Kommandant der Festung Komorn (südöstlich von Kosicé). Johann Baptist Graf von Colloredo (1598-1649) war seit seinem 17. Lebensjahr Soldat und durchlief eine militärische Laufbahn bis hin zum Generalmajor; 1648 wurde er Generalkommandant von Venetien.‎

‎[Festliste].‎

‎"Festlichkeiten während der Anwesenheit Ihrer königlichen Hoheit der Herzogin von Kent". Wohl Wien, o. D.‎

‎¾ S. Gr.-4to. Wohl von einer Hofdame niedergeschriebenes Programm mit den Festlichkeiten von 12. bis 19. Juli eines nicht angeführten Jahres: "Samstag den 12 Juli große Tafel in der Gallerie in Schönbrunn auf 75 Personen, und Marschal[l]tafel | Montag den 14. Juli großes Gouter in Laxenburg, Piruthschaft [?], Wasserfahrt | Donnerstag den 17. Juli, Piruthschaft [?] in Schönbrunn und Gouter am [!] Gloriette | Samstag den 19. Juli Gouter in der Gallerie und Feuerwerk in Schönbrunn [...]". - Mit kleinen Randläsuren und Stecknadeldurchstichen.‎

‎[Fillenbaum, Philipp Joseph von].‎

‎Geburtsbrief. Wien, 26. IV. 1740.‎

‎Urkunde auf Pergament. 1 S. Qu.-Folio. Mit angehängtem Siegel. Ausgestellt im Namen des Wiener Bürgermeisters Johann Adam von Zahlheim (um 1694-1743) zur Verbürgung von Fillenbaums ehelicher Geburt und heiliger Taufe.‎

‎[Flotow, Friedrich Frh. von, Komponist (1812-1883)]. - Friedrich von Flotow (1857-1918), Flotows jüngerer Sohn.‎

‎Eigenh. Brief mit U. Frankfurt a. M., 13. III. 1899.‎

‎2 SS. auf Doppelblatt. 8vo. An einen namentlich nicht genannten Professor: "Prinzessin Alexander Friedrich läßt ihnen bestens danken für Ihre freundliche Bemühung in der Angelegenheit "Tonfolienschreiber". Da dieses Gerät doch noch teurer kommt als angenommen war wird eine Anschaffung nicht in Frage kommen [...]". - Auf Briefpapier mit gepr. Adresse und Vignette.‎

‎[FRANC-MACONNERIE] HALEVY (Léon), journaliste, poète, auteur dramatique et historien français (1802-1883).‎

‎Lettre autographe signée. 21 Février 1828. 2 pp. in-8.‎

‎Très belle lettre. Il félicite son correspondant pour son ouvrage et lui confie son vif intérêt pour la maçonnerie et son souhait d’adhérer à ce cercle. « J’ai lu et relu votre volume qui m’a paru aussi, ingénieusement conçu que bien exécuté. Il est rare d’avoir de l’esprit à coups de ciseaux, et vous êtes parvenu à faire avec goût et même avec talent un ouvrage de découpures. Quant au but de votre livre, il est excellent ; c’est une réponse habile et péremptoire aux ennemis de la maçonnerie et vous avez doublé mes regrets d’être encore malgré vos offres si obligeantes, enfoui dans les rangs des profanums vulgus. Mais j’espère un jour frapper aux portes du Temple, et avec votre appui, me le faire ouvrir. Vous voyez que je vous regarde comme un digne maçon, oublieux des torts et toujours prêts à obliger ses amis. ». Il poursuit en se proposant d’écrire un article sur ce volume « Si vous désirez, mon cher confrère, que je dise ce que je pense de votre manuel aux quelques milliers de jugeurs qu’on nomme le public, ayez la complaisance d’envoyer au bureau de la décision un second exemplaire en prévenant ces messieurs que j’ai reçu l’autre… ».‎

Bookseller reference : 72C28

‎[FREUD Sigmund] ENGELMAN Edmund‎

‎Portrait photographique de Sigmund Freud dédicacé par Edmund Engelman‎

‎s.d. (1938), Carton : 31,8x39,5cm / photographie : 27,4x35,2cm, une photographie contrecollée sur carton.‎

‎Portrait photographique original de Sigmund Freud, réalisé par Engelman en 1938, tirage argentique de l'artiste d'après le négatif original retrouvé en 1952. En effet, après la Nuit de Cristal, le jeune photographe juif Edmund Engelman (1907-2000) s'enfuit aux États-Unis laissant derrière lui les précieux mais compromettants négatifs de cette séance photographique clandestine. Il ne les récupérera qu'après la Seconde Guerre mondiale, en 1952, auprès de la fille du psychanalyste, Anna Freud. Envoi autographe signé du photographe Edmund Engelman en marge basse du cliché?: «?à Nadine Nimier. Cordialement Edmund Engelman.?» Nadine Nimier fut l'épouse de l'écrivain Roger Nimier. Elle anima «?Les Après-midi de France Culture?», émission dans laquelle elle reçut certaines éminences de la psychanalyse notamment Jacques Lacan et Françoise Dolto. C'est le 20 janvier 1980 qu'elle interviewa Edmund Engelman, alors en visite à Paris pour l'exposition de ses photographies à la galerie Erval. Très beau portrait du fondateur de la psychanalyse, réalisé en mai 1938, peu de temps avant son départ de Vienne vers Londres. Cent-six clichés furent réalisés lors de cette visite clandestine d'Engelman à Freud au 19 de la rue Berggasse à Vienne. Parmi celles-ci, on connaît beaucoup de photographies représentant le cabinet et les uvres d'art du psychanalyste, mais l'artiste ne réalisa que quelques portraits du maître. Cette séance photographique fut réalisée à la demande d'August Aichhorn et témoigne des derniers instants du berceau de la psychanalyse, discipline désormais interdite sous le régime nazi?: «?Le dimanche 13 mars, une séance du comité de direction de la Société Viennoise de Psychanalyse a lieu et deux décisions sont prises?: tous les membres de la Société doivent quitter le pays le plus rapidement possible et le siège de la Société devra se trouver à l'endroit où Freud s'installera.?» («?August Aichhorn et la figure paternelle?: fragments biographiques et cliniques?» in Recherches en psychanalyse n°1, 2004) Edmund Engelman dans son ouvrage intitulé La Maison de Freud Berggasse 19 Vienne paru en 1979 raconte?: «?Je me rappelle à la fois ma surexcitation et ma peur, ce matin pluvieux de mai 1938, comme je marchais dans les rues désertes de Vienne en direction du 19, Berggasse. Je transportais mes appareils, mon trépied, mes objectifs et mes pellicules dans une petite mallette qui paraissait s'alourdir à chacun de mes pas. J'étais persuadé que n'importe qui saurait à me voir que j'allais chez le Dr Sigmund Freud, pour accomplir une mission dont les nazis n'auraient guère apprécié la teneur. [...] J'avais peur qu'il n'y eût pas assez de lumière pour bien photographier l'intérieur de la maison de Freud. Recourir au flash ou aux projecteurs était hors de question, puisque la Gestapo maintenait la maison sous surveillance constante. Ce document unique sur l'endroit où Freud avait vécu et travaillé au cours des quarante années passées, il faudrait l'exécuter sans éveiller le moindre soupçon. Je craignais pour ma propre sécurité comme pour la vie des Freud, et ne voulais pas me compromettre par un faux pas, alors qu'ils étaient si près de quitter Vienne sains et saufs. [...] Un week-end de 1933, j'eus le plaisir de rencontrer dans la résidence d'été d'un ami, en dehors de la ville, un certain August Aichhorn qui s'intéressait de près au champ extrêmement controversé de la psychanalyse et était, à ma vive curiosité, un intime du célèbre professeur Freud. [...] Nous fûmes très vite bons amis. [...] Il me confia que Freud, après un terrible harcèlement (perquisition des nazis chez lui, détention de sa fille Anna), avait finalement reçu la permission de partir pour Londres, grâce à l'intervention de hautes personnalités et de diplomates étrangers. Les Freud, me dit-il, se mettraient en route dans les dix jours. Le célèbre appartement et ses bureaux allaient être bouleversés à l'occasion du déménagement et du départ des propriétaires. Nous tombâmes d'accord sur le fait qu'il serait du plus grand intérêt pour l'histoire de la psychanalyse de réaliser un témoignage précieux et détaillé de l'endroit où elle avait vu le jour, afin, selon l'expression courageuse d'Aichhorn, qu'«?on puisse ériger un musée quand l'orage des ans sera dissipé?». [...] Connaissant mon intérêt et ma qualité de photographe, il me demanda si je m'estimais en mesure de prendre des clichés de la maison de Freud. Je fus enthousiasmé [...] Par-dessus tout, j'étais impatient de connaître Freud qui s'était alors retranché dans sa vie privée et entretenait peu de relations avec le monde extérieur.?» (Engelman, La Maison de Freud Berggasse 19 Vienne, 1979) Le photographe explique ensuite que Freud, très affaibli par la maladie, était censé être absent lors de la séance photographique, pourtant «?Le lendemain - troisième jour - tandis que je m'apprêtais à prendre quelques clichés complémentaires du bureau (éprouvant là pour la première fois un sentiment de routine), j'entendis de petits pas rapides se rapprocher. C'était Freud. Il avait modifié son trajet habituel inopinément et, revenant dans sa pièce de travail, m'y avait trouvé. Nous nous regardâmes avec un égal étonnement. J'étais troublé et confus. Il parut inquiet, mais demeura calme et placide. Je ne savais tout simplement pas quoi lui dire et restai muet. Fort heureusement, Aichhorn parut alors dans la pièce, et jaugea tout de suite la situation. Il expliqua à Freud l'objet de mon travail et me présenta. Nous nous serrâmes la main, évidemment soulagés. [...] Je lui demandai si je pouvais le photographier. Il y consentit gentiment et me pria de continuer mes prises de vue comme il me plairait. [...] Je proposais même, si ce pouvait être utile, et pour éviter tracas ou perte de temps, d'exécuter les photos nécessaires aux passeports. [...] Freud à ma demande, regarda légèrement de profil, ôta ses lunettes, et réagit par un sourire à l'une de ces remarques que font les photographes lorsqu'ils se préparent.?» La photographie décrite par Engelman est sans conteste celle que nous proposons. Malgré la description très détaillée de cet inhabituel cliché, il n'a pas été conservé pour l'illustration de l'ouvrage. Ce très rare portrait photographique du fondateur de la psychanalyse, pourtant pris quelques jours avant son exil et laissant apparaître les stigmates d'un cancer qui lui sera fatal, est l'unique image de lui laissant apparaître un sourire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 78411

‎[Franz Joseph I., Kaiser v. Österreich (1830-1916)].‎

‎Gedr. Aufruf an die Völker Österreichs. Olmütz, 4. III. 1849.‎

‎1 S. Qu.-Imp.-Folio (445:571). Ankündigung einer "Verfassungs-Urkunde für das einige und untheilbare Kaiserthum Österreich" und die Schließung des Kremsierer Reichstags.‎

‎[Franz Joseph I., Kaiser von Österreich (1830-1916)].‎

‎Lithographierte Einladung mit hs. Einfügungen. Wohl Wien, Dezember 1850.‎

‎1 S. Gr.-4to. "Einladung zur Tafel bei Seiner Majestät am 14. Dezember 1850, um 5 Uhr In Compagnie Uniform. Man versammelt sich in [ausgelassen]. Wer nicht erscheinen kann, wolle sich entschuldigen lassen". Geladen waren die p. t. Herren Radetzky, Hess, Hartmann, Leikam, Lamberg, Nadke, Radakovich, von Stock und Stabsarzt Wurzian. - Etwas fleckig und unfrisch.‎

‎[Französische Revolution - Louis XVI.].‎

‎"Klagelied Ludwigs an die Franzosen". Zeitgenössische Handschrift in deutscher Sprache. [Wohl Deutschland, 1793].‎

‎2 SS. Kl.-4to. "Von dem rührenden Klageliede Ludwigs an die Franzosen welches wehrend des großen Processes in Paris auf den Straßen als Volkslied gesungen wurde theilen wir hier eine gute Uebersetzung mit: / Ludwig XVI an die Franzosen. / Mein Volk! Mein Volk was that ich dir? / Ich war geweiht ich liebte Gott. / Dein Glük nur lag am Herzen mir, / Und du verdammst mich zum Schafott? [...]" (es folgen 33 Zeilen).‎

‎[Freicorps Schill (Vater)]. Schill, Johann Georg von, Oberstleutnant (1736-1822).‎

‎Disolvirungs- und resp. Revisions-Liste uiber den heut Datto vorgefundenen Effective Stand, sowohl in Mann als Pferd, des obgedachten Corps. Andrichau (Westgalizien, heute Andrychów in Polen), 26. VII. 1809.‎

‎3 SS. auf gefalt. Bogen. Mit eigenh. U. des Oberstleutnants J. G. v. Schill und des Oberleutnants Paul v. Vörös (Vöresz) sowie eines weiteren Offiziers (v. Reisky?). Folio. Letzte Revisionsliste des vom 73-jährigen Johann Georg von Schill gegen Napoleon gebildeten Freicorps, das noch im Sommer trotz des bereits weitgehend verlorenen Fünften Koalitionskriegs mit seinen Werbungen fortgefahren hatte und nun zugunsten österreichischer Freiwilligenverbände aufgelöst wurde. Das berühmtere Freicorps seines Sohnes Ferdinand von Schill war bereits Ende Mai in Stralsund zerrieben, sein Kommandant getötet worden. Schill Vater, der das preußische Heer verlassen hatte, um mit österreichischer Unterstützung ein "Schlesisches Freicorps" zu bilden, hatte seit Anfang Mai als Verbindungsoffizier zur Truppe seines Sohnes den Oberleutnant Franz Frhr. von Loen an seiner Seite; die vorliegende Liste weist ihn aus als "Auf Werbung in Troppau". Insgesamt verzeichnet sind 69 Husaren mit 56 Pferden (unter v. Loen), 35 Mann Infanterie (unter Alexius Anthes und Kasimir v. Woyna) und 19 Mann Jägerei (unter Ludwig Frhr. v. Trach und v. Schmelzing). "Das Bild, wie es sich aus den Standeslisten ergab, war, an dem gemessen, was erwartet wurde, wenig erfreulich [...] Da sich in Preußisch-Schlesien durch Einspruch der zuständigen Regierungen die in Aussicht genommenen Orte als Werbeplätze nicht verwenden ließen, mußten diese in Westgalizien, Österreichisch-Schlesien und Nordmähren eingerichtet werden [...] Da die polnische Bevölkerung Krakaus und ganz Westgaliziens [...] sich feindlich verhielt und die Zahl der Ausländer, die sich meldeten, keineswegs hinreichte, um die Reihen des Korps zu füllen, beantragte [Schill], Werbeoffiziere in die Lager der Hauptarmee Erzherzog Karls zu schicken [...] Es erfolgte aber keine Antwort. [...] Die Freikorps gingen alle der Auflösung entgegen. [...] Am 26. Juli war es soweit. Von Targanica [bei Andrichau] aus, dem letzten Standort des Freikorps, wurden die Füsiliere zum österreichisch-galizischen dritten Freibataillon, die Husaren zum österreichischen Kosakenpulk transferiert" (Ernstberger, J. G. v. Schill [Gräfeling 1959], S. 119-121). Ähnliche Assent- und Transferierungslisten finden sich noch im Wiener Kriegsarchiv (Hofkriegsratsakten, 1810/G/4/31/3).‎

‎[Freud, Anna, psychoanalyst (1895-1982), daughter of Sigmund Freud].‎

‎Guest book inscribed by Sigmund Freud, Ernest Jones, Marie Bonaparte, Max Halberstadt and René and Paulette Laforgue. Hochroterd near Vienna, 1932-1936.‎

‎8vo (140 x 190 mm). Ca. 100 ff. with five entries, written on rectos only. Full mottled calf by Hubert & Lerner, Vienna. All edges gilt. Anna Freud's guest book from Hochrotherd in the Vienna Woods, where she and her partner Dorothy Tiffany Burlingham had bought an old farmhouse as a weekend and holiday home in 1930. Several major figures in the psychoanalytic movement signed the book: Sigmund Freud signed the first page, dating his inscription 26 July 1932 (with a three-word sentiment in German: "halb als Papa"). Marie Bonaparte (Princess George of Greece and Denmark), the French author and psychoanalyst, appears to have joined her together with Freud; her inscription bears the same date, and also carries a sentiment thanking the recipient for a good meal. After a hiatus of one leaf, Ernest Jones, Freud's lifelong friend and his biographer, signed the book, dated 24 August 1934, noting that it was "a souvenir of a delightful and eventful experience". - Max Halberstadt, the Hamburg photographer best known for his portraits of Freud, his father-in-law, signed on 2 February 1936: "Via Hochrotherd nach Johannesburg". A few months after this inscription, Halberstadt emigrated to South Africa; his wife and daughter followed him in August 1936. - René Laforgue, the French psychoanalyst, and his wife Paulette, conclude the series with a signature and sentiment (again in German) dated 30 September 1936: "Hier haben wir trotz Winter und Kälte Ruhe und Wärme gefunden" ("Here we have found peace and warmth despite the winter and the cold"). - In 1934, Anna Freud took over the chairmanship of the teaching institute of the Vienna Psychoanalytical Association from Helene Deutsch (who turned her back on Austrofascism the following year and emigrated with her family to the United States) and was also a member of its board. In February 1937, together with Burlingham and Edith Jackson, she opened a day nursery - the Jackson Nursery - on Rudolfsplatz in Vienna, from where the Freuds and Dorothy Burlingham emigrated to London via Paris at Whitsun 1938.‎

‎[Friedl, Theodor, Bildhauer (1842-1900)].‎

‎Emil Panosch: Gedr. Visitkarte mit 6 eigenh. Zeilen und U. sowie: M. Anders: Eigenh. Brief mit U. Wien, März 1914.‎

‎Zuammen 2½ SS. 4to bzw. 6,2:10,5 cm. Emil Panosch, seines Zeichens "Besitzer des slb. Verdienstkreuzes mit der Krone | n.ö. Landtagsabgeordneter | Gemeinderat der Stadt Wien | Vorsteher der Wiener Uhrmachergenossenschaft | etc. etc." erlaubt sich dem Wiener Kulturstadtrat Hans Arnold Schwer (1856-1931) "ein Schreiben wegen der Modelle des Wiener Bildhauers Friedl zu übersenden". Dem Brief zufolge befinden sich 9 Arbeiten des verstorbenen Bildhauers Ottokar Anderle in Anders' Besitz: "Diese Modelle hatte akad. Bildhauer Ottokar Anderle beim Tode Friedels gekauft, um der Familie aus der ersten Verlegenheit z. helfen. Ich bewahrte die Modelle seit dem Tode Anderles auf, da er mir immer sagte, man wird sie fürs Museum brauchen, da von Friedl nichts vorhanden ist [...]". - Der verstorbene Bildhauer hatte zahlreiche dekorative Plastiken geschaffen, u.a. an der Wiener Börse (1877) sowie an den Arkadenhäusern der Reichsratsstraße (1880-83), hauptsächlich jedoch für die Theaterbauten Ferdinand Fellners (1847-1916) und Hermann Helmers (1849-1919) in ganz Europa (etwa 1893 für das Berliner Metropoltheater). Als sein bedeutendstes Werk gelten die beiden Rossebändiger am Maria-Theresia-Platz in Wien (1893). Vgl. Thieme/B. XII, 457. - In altem Sammlungsumschlag.‎

‎[Friedrich Krupp AG].‎

‎Ms. Vertrag mit jeweils eh. U. der zeichnungsberechtigten Kontrahenten. Donawitz und Essen, 1940.‎

‎3½ auf 2 Bll. 4to Beiliegend ein ms. Begleitschreiben. Vertrag zwischen der Friedrich Krupp AG und Dr. Karl Horina als Lizenznehmer von "Zahn- und Kieferprothesen aus Chrom-Nickel-Eisenlegierungen". - Etwas gebräunt und knittrig sowie mit kleinen Randläsuren.‎

‎[Fruchtbringende Gesellschaft]. - Ditfurth, Anton von, Verwaltungsbeamter (1588-1650).‎

‎Quittung mit eigenh. U. Stadthagen, 30. X. 1622.‎

‎Deutsche Handschrift auf Papier. ½ S. Folio. Bestätigt im Namen seines Vetters Hans von Ditfurth eine Zinszahlung über 80 Reichstaler von Othrab von Landsberg für eine offene Kapitalschuld erhalten zu haben. - Anton von Ditfurth, der Sohn des Drosten zu Stadthagen, stand in seiner Jugend im Hofdienst des Grafen Julius von Holstein-Schaumburg und studierte danach an der Universität Marburg. Nach der Rückkehr von einer europäischen Kavalierstour wurde er Hofjunker in Bückeburg und folgte schließlich seinem Vater im Amt des Drosten von Stadthagen nach. Fürst Ludwig I. von Anhalt-Köthen nahm ihn 1636 unter dem Namen "Der Ungefehrte" in die Fruchtbringende Gesellschaft auf.‎

‎[Fruchtbringende Gesellschaft]. - Zerssen, Heinrich Julius von, Hofbeamter (1583-1648).‎

‎Urkunde mit eigenh. U. O. O., Ostern 1608.‎

‎Deutsche Handschrift auf Papier. 2¾ SS. auf Doppelblatt. Folio. Mit papiergedecktem Siegel. Schadlosverschreibung von Zerssen und Johann von Post (1564-1626), Erbherr zu Hessisch Oldendorf, für den Drost zu Ottenstein, Ottrab von Landsberg (1566-1632). - H. J. v. Zerssen stand als Hofbeamter im Dienst des Grafen von Schaumburg-Lippe und des Herzogs von Braunschweig-Lüneburg-Celle. Fürst Ludwig I. von Anhalt-Köthen nahm ihn 1626 unter dem Gesellschaftsnamen "Der Erwartende" in die Fruchtbringende Gesellschaft auf.‎

‎[Fußball].‎

‎Fußball-Weltmeisterschaft 1974 in der Bundesrepublik Deutschland. Hamburg, Hamburger Abendblatt, 1974.‎

‎Mit einigen postfrischen Briefmarken, zahlr. Ersttagsbriefen und Sonderumschlägen und vielen Autogrammen prominenter Fußballspieler. 43 Bll. Rotes Kunstleder. Von der Briefmarken-Redaktion des Hamburger Abendblattes zusammengestelltes und ausgegebenes Album ("in dieser Form einmalig") aus dem Jahr, als sich die deutsche Elf ihren zweiten Stern erspielte. Mit Autogrammen von Franz Beckenbauer, Paul Breitner, Jürgen Grabowski, Sepp Herberger, Uli Hoeneß, Sepp Maier, Gerd Müller, Willi Schulz, Uwe Seeler, Berti Vogts, Fritz Walter und vieler anderer Meisterschaftsteilnehmer. - Die Briefmarken unter Cellophanstreifen eingesteckt, die Karten und Umschläge mit Fotoecken gehalten, einige wenige Stücke noch ohne Ecken und an der vorgesehenen Stelle nur eingelegt; vier Autogrammkarten und - umschläge ohne derartige Kennzeichnung lose beigefügt. Das Blatt "Deutschland Fußballweltmeister 1974" mit drei Sondermarken und zwei Ersttagsstempeln vom 7. 7. 1974 doppelt vorhanden.‎

‎[GAVARNI] - GONCOURT (Edmond et Jules de).‎

‎Gavarni, l'homme et l'oeuvre.‎

‎P., Henri Plon, imprimeur-éditeur, 1873, 1 vol. in-8° (243 x 150) relié 1/2 percaline verte à la Bradel, pièce de titre en maroquin marron, fleuron et date en queue du dos, couv. bleue impr. en noir cons. (Champs), de (2) ff. (faux-titre et titre) - IV - 432 pp. Pièce de titre épidermée, très bel exemplaire par ailleurs.‎

‎Ouvrage enrichi du portrait de Gavarni d'après un dessin de l'artiste et d'un fac-simile d'autographe. Edition originale. Provenance : Gustave Bourcard avec son ex-libris gravé au dragon rouge. Joint : Lettre autographe non signée mais certifiée de Bourcard comme étant d'Edmond de Goncourt collée en page de garde : " Mai 96. Cher Monsieur, J'aurais été heureux de pouvoir vous offrir mon portrait lithographié par Carrière, si j'en avais en quelques épreuves, mais voici la vérité vraie : la maison Lemercier n'aurait donné que six épreuves à Carrière, et sur les six Carrière m'en a donné une - une seule épreuve est tout ce que je possède. Agréez, cher monsieur, l'assurance de mes sentiments bien sympathiques ". Gustave Bourcard (1847-1925), collectionneur et écrivain d'art. On lui doit de nombreux ouvrages importants sur les estampes, parmi lesquels : Guide de l'amateur de dessins, estampes etc. du XVIIIe siècle (1893), A travers cinq siècles de gravures (1903), Graveurs et gravures, essai de bibliographie (1910), et La cote des estampes (1912). Il fut Président d'Honneur de la Société des Amis des Arts de Nantes, Membre d'Honneur de la Société des Peintres-Graveurs Français, Membre d'Honneur de la Société des Peintres lithographes, Membre honoraire Etranger de la " Royal Society of Painter-Etchers and Engravers ".‎

Bookseller reference : 10944

‎[GARNIER Francis} DESGODINS Abbé Auguste‎

‎Lettre autographe signée à Francis Garnier, Plombières, 29 juillet 1872 [et] Copie manuscrite conforme, par son frère, d’une lettre du missionnaire rédigée le 14 mai 1874 : “Observations sur la rédaction du Voyage de Francis Garnier inséré dans Le Tour du Monde”.‎

‎1872 1874 Feuille double, 21 X 13 cm, 3 pages, adresse et timbre et tampons sur la 4 page, petite déchirure. Copie : 21 X 27 cm. 4 pages.‎

‎Le Père Desgodins (1826-1913) de la Société des missions étrangères de Paris, est un des premiers missionnaires français des Marches tibétaines. Il émet le souhait de rencontrer Francis Garnier, alors en poste au Dépôt des cartes et plan à l’occasion d’un passage à Paris.La lettre recopiée par le frère de Desgodins est une copieuse et passionnante note de lecture, inédite, du Voyage d'exploration en Indochine que Garnier donne par épisode au Tour du Monde, notamment sur la partie chinoise du récit que le missionnaire connaît bien. Il qualifie d’“injuste, méchant et ingrat” les assertions de Garnier sur les pères Proteau et Fenouille dont il est longuement question, et fustige “l’esprit très antireligieux qui préside à la rédaction de ce voyage. Quand à démêlés avec la curiosité et l’insolence des chinois [...] je n’y étais pas [...] mais n’est-ce pas exagéré [...] J’ai eu a subir les mêmes ennuis, seul, sans revolver, sans escorte, je m’en suis bien débarrassé, souvent par une simple plaisanterie...” Il liste certaines erreurs, notamment celle de méconnaître la prédominance du pouvoir civile en Chine. Pour finir il lui souhaite bon vent “ malgré les critiques que je viens de faire, malgré les petites rancunes que j’éprouve pour la manière dont il traite les missionnaires, en attendant mon tour ! Mais M. Garnier n’a pas apprécié tous les obstacles, je l’attends à la frontière du Tibet.” Bon état d’occasion‎

Bookseller reference : 51875

‎[Gabillon, Zerline, actress (1835-1892) - addressee]. - Bertha Jaeger, actress (fl. 1850s).‎

‎Autograph letter signed. Ulm, 28 Feb. 1856.‎

‎8vo. 4 pp. on a bifolium. In German. Touching letter by the actress Bertha Jäger to her Viennese colleague Zerline Gabillon, famous for her roles of scheming ladies, discussing the death of Jäger's husband, the Austrian actor Adolf Moser: "[...] Dear Miss, when you read Moser's final bequest, his apology written in gaol, you too will shed a tear for him and sense my pain. Moser's account reaches only so far as Ulm; but I feel it is my duty to let you know of his end. On January 29th Moser arrived here, already suffering. Our reunion was harrowing; the dear man wept like a child; but we were happy, thinking we had left everything behind us. He looked forward to joining the theatre here, where he was universally beloved by the public, but two members of the Ulm company, Mr Bernack and Miss Winter, refused to perform with him. The latter declared, 'She would not take the stage with any man who had been transported'. This pushed the poor man over the brink [...]" (transl.). - Two months later, the "Linzer Abendbote" of 25 April 1856 ran an article on the tragic end of the actor who only two years previously had enjoyed great acclaim in the roles of Faust, Kean, and Piccolomini but, following an arrest for an unpaid debt of 450 guilders, had been sentenced to eight days in gaol: "a victim of arbitrary punishment, hunted to death with nefarious cruelty; a casualty of that cesspool of circumstances still all too common in the much-vaunted German countries". Adolf Bäuerle reprinted the article in his "Wiener Theaterzeitung" on April 29th. - Some foxing; addressee identified in pencil on the first page by a different hand.‎

‎[Galician petroleum industry].‎

‎"Dem allverehrten Herrn William Henry MacGarvey in dankbarem Gedenken seiner ausserordentlichen Verdienste um die Petroleumindustrie". Album for the 60th birthday of the Canadian oil magnate William Henry McGarvey. Vienna, 1903.‎

‎Folio (47 x 36 cm). German, Polish, and English manuscript on paper. 11 ff. With calligraphed title, three watercolour vedutas, and numerous signatures and stamps of McGarvey's business partners in Galicia. Bound on cloth tabs and spine and thus stored loosely in an original dark blue full calf portfolio by F. W. Papke of Vienna, with elaborate, partly gilt brass ornaments and giltstamped borders to the upper cover (lacking two central ornaments) and protective brass beams across the lower cover. Inside covers have yellow moirée silk pastedowns within wide giltstamped floral borders. All edges gilt. Unique, luxurious testimony to the late 19th and early 20th century oil boom in Galicia and to one of its central protagonists. Three watercolours on the title-page show a view of Mariiampil (in present-day western Ukraine), where McGarvey had built his first refinery in Galicia, McGarvey’s "first home" in the region, and an oil well in the now Polish village of Wietrzno. This is followed by three pages of a laudatory address in German, Polish, and English, all with floral art-nouveau borders and initials. McGarvey is hailed as a technological innovator whom fate "across the Ocean" to his new home 19 years ago. - Since the album was commissioned by McGarvey's local business partners and competitors, emphasis is placed on his fairness and on his unfailing attention the oil industry: "you never ceased to care for the whole oil industry, and you became a friend and protector of the small, even the smallest oil producers and refiners, you were the adviser and promoter of every single workman, you became the benefactor of our country Galicia". The remainder of the album offers the signatures of more than 150 congratulators (with several business stamps) on five leaves. This is a valuable document of the Galician oil industry in general and of the significant involvement of Jewish businessmen in particular. - William Henry McGarvey (1843-1914) became probably the most successful oilman of Galicia through the introduction (in 1883) of the Canadian "pole tool" drilling system that allowed for oil exploration at previously unheard-of depths and speed. His "Galizische Karpathen-Petroleum-AG", headquartered in Vienna, was among the most lucrative companies in the Austro-Hungarian empire and made multimillionaires of McGarvey and his British partner John Simeon Bergheim. In 1908, McGarvey was knighted by Emperor Franz Joseph for his innovations that had enabled Austria-Hungary to become a net oil exporter. Retreating Russian troops who briefly had occupied Galicia in the first months of the First World War set fire to Galicia's oil wells and blew up the refineries, effectively destroying the oil industry and McGarvey’s business. - The splendid album was designed and executed by the Austrian painter and illustrator Erwin Pendl (1875-1945). Minor foxing to the title-page and the first page of signatures: occasional light stains. Well preserved with only very minor scratches and flaws to the upper cover.‎

‎[Gallenberg, Maja Gräfin].‎

‎Stammbuch der Gräfin Maja Gallenberg mit 110 Eintragungen von namhaften Künstlern der Zeit, darunter Enrico Caruso, Richard Strauss und Gustav Meyrink. Meist Wien, 1886-1918.‎

‎93 num. Bll. (recte: 79). Lederband der Zeit mit umlaufendem Goldschnitt. 8vo. Das über drei Jahrzehnte hinweg geführte Stammbuch von Maja Gallenberg, der Enkelin des Komponisten Wenzel Robert Graf Gallenberg ("Musikgraf") und Julia "Giuletta" Gräfin Giucciardi, die mit Beethoven in enger Beziehung stand, der ihr seine "Mondschein-Sonate" widmete. Die Eintragungen stammen (in alphabetischer Reihe) mehrheitlich von Schauspielern, Sängern, Musikern und Intendaten, darunter John Quincy Adams, Josef Altmann, Friedrich Ludwig Arnsburg, Alice Barbi, Agathe Barsescu, Bernhard Baumeister, Josef Freiherr von Bezecny, Dr. (Generalintendant des Hoftheaters), Hedwig Bleibtreu, Ferdinand Bonn, Hermine Braga, Karl Bukovics von Kiss Alacska, Max Burckhard, Aloys Burgstaller, Willy Burmester, Enrico Caruso, Max Devrient, Babette Devrient-Reinhold, Andreas Dippel, Ella Forster, Zerline Gabillon (2), Oskar Gimnig, Alfred Grünfeld (Notenzitat), Ellen Gulbranson, Hugo von Habermann, August Hablawetz, Konrad Hallenstein, Ernst Hartmann, Helene Hartmann, Josef Hellmesberger sen., Oskar Hofmeister, Stella Hohenfels, Willibald Horwitz, Elisabeth (Klein-)Hruby, Robert Hübner, Marcel Journet, August Junkermann, Alma Kallina, Louise Kaulich-Lazarich, Ferdinand Kracher, Emilie von (Jauner-)Krall, Josefine Kramer-Glöckner, Fritz Krastel, Felix von Kraus, Anna Kratz, Viktor Kutschera, Marie Lehmann, Josef Lewinsky, Ida Baier-Liebhardt, Konrad Loewe, Pauline Lucca, Amalie (Friedrich-)Materna, Friedrich Mitterwurzer, Wilhelmine Mitterwurzer, Georg Müller, Rosa Paumgartner-Papier, Franceschina Prevosti, Theodor Reichmann, Georg Reimers, Hella Rentsch-Sauer, Emmerich Robert, Louisabeth Roeckel, Arnold Rosé, Adele Sandrock, Wilhelmine Sandrock, Anton Schittenheim, Antonie Schläger, Louise Schönfeld, Katharina Schratt, Fritz Schrödter, Adolf v. Sonnenthal, Philipp Stätter, Maria Strassmann, Richard Strauss, Guilhermina Suggia, Hugo Thimig, Hans Thoma, Rudolf Tyrolt, Ernest Van Dyck, Siegfried Wagner, Fanny Walbeck, Josephine Wessely, Hermann Winkelmann, Eugen Witte, Charlotte Wolter und Carl von Zeska. - Ferner unterzeichnen die Mitglieder des Flonzaley Quartetts - Adolfo Betti, Alfred Pochon, Ugo Ara und Iwan d'Archambeau -, der deutsche Politiker und Bankier Bernhard Dernburg (1865-1937), der Schriftsteller Gustav Meyrink (mit dem Schlussteil seiner Erzählung "Der heiße Soldat", die den Grundstein für Meyrinks literarische Laufbahn legte), die Schriftstellerin Edith Gräfin Salburg ("Schlage die Trommel und fürchte Dich nicht") und der Schriftsteller Raoul Auernheimer. - Die SS. 25, 27, 30, 33, 34, 39, 45, 49, 50, 51, 53, 61, 70 und 73 alt entfernt, S. 85 lose; Buchblock gelockert, eine kleine Fehlstelle am Rücken, Vordergelenk etwas angeplatzt, Deckel und Kanten etwas berieben und beschabt.‎