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Number of results : 71,987 (1440 Page(s))

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‎[PIAF Edith] & GLANZBERG Norbert & RIM Carlo & Alice‎

‎Photographie originale représentant Edith Piaf enlacée par Norbert Glanzberg aux côtés d'Alice et Carlo Rim dans le port de Cassis en 1940‎

‎S.n., s.l. [Cassis] 1940, 8,5x13,5cm, une feuille.‎

‎Photographie originale représentant Edith Piaf enlacée et embrassée dans le cou par le compositeur Norbert Glanzberg alors réfugié en France, avec, à leur droite, Alice et Carlo Rim, ce dernier légèrement en retrait, les trois premiers étant juchés sur un muret, tirage argentique d'époque. Alors qu'Edith Piaf et Alice Rim sont tout sourire, Carlo Rim est le seul à prendre une pause ironiquement solenelle, presque au garde-à-vous et les yeux fermés. De retour en France, en zone libre, après avoir été démobilisé de l'armée polonaise, Norbert Glanzberg fait la connaissance de Félix Marouani qui l'engage pour les tournées d'Edith Piaf. C'est le début d'une fructueuse et intense collaboration, Norbert Glanzberg composant les musiques de plusieurs des plus célèbres chansons d'Edith Piaf comme "Padam, padam"... ou "Mon manège à moi". Précisions manuscrites, au crayon de papier, de Carlo Rim, au verso de la photographie : "Edith Piaf, Norbert Glansberg (sic), Alice Carlo Rim, Carlo Rim à Cassis 1940." Ecrivain, caricaturiste et cinéaste provençal, Carlo Rim fut l'ami et le confident de nombreux artistes et auteurs parmi les plus grandes figures du XXeme siècle : Antonin Artaud, Marcel Pagnol, Fernandel, Raimu, Max Jacob, Tristan Bernard, Jacques Prévert... Dans son journalLe Grenier d'Arlequin 1916-1940, Carlo Rim relate le premier concert d'Edith Piaf auquel il assista : "9 décembre 1935. La môme Piaf, auGerny'soù le beau monde commence à affluer pour l'entendre. Un petite bonne femme humble et minable dans sa robe noire de quatre sous. L'air traqué de celle qui vient d'écoper d'une bonne dérouillée. Mais on n'aperçoit guère, dans le feu brutal du projecteur, que son immense front blanc, ses mains d'enfant crispées sur sa poitrine ou plaquées contre ses cuisses, en étoile de mer. Sourde, comme étranglée de larmes, sa voix s'élève, monte, se déchire dans un cri interminable de bête blessée à mort, une voix presque inhumaine qui vous prend à la gorge, vous empoigne le coeur - une voix qui sent la misère ou l'émeute. Et à ce moment-là, la môme Piaf devient la plus belle fille du monde." Provenance : Carlo Rim, puis son fils Jean-Pierre Richard. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Bookseller reference : 81589

Livre Rare Book

Le Feu Follet
Paris France Francia França France
[Books from Le Feu Follet]

€1,000.00 Buy

‎[Piaf, Edith, Chansonsängerin (1915-1963)]. - Simone Berteaut (geb. 1918), ihre Biographin.‎

‎Eigenh. Albumblatt mit U. Wohl Prunay-le-Gillon, [1974].‎

‎1 S. Qu.-kl.-8vo. Mit eh. adr. Kuvert. Wünsche zu Neujahr an einen Sammler.‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
[Books from Inlibris]

€80.00 Buy

‎[Pichelmayer, Karl, Elektrotechniker (1868-1914)].‎

‎Schreiben des K. K. Ministeriums für Cultus und Unterricht an Pichelmayer. Wien, 13. X. 1904.‎

‎4 SS. auf Doppelblatt. 4to. An den namentlich nicht genannten Techniker Pichelmayer betreffs dessen Bestellung auf die "dritte ordentliche Lehrkanzel und zwar für Theorie und Konstruktion elektrischer Maschinen und Apparate" an der TH Wien ab Dezember 1905. Pichelmayer begann bei Siemens & Halske in Hamburg, "um nach einem Zwischenspiel als Leiter von Fabrik und Versuchsraum von Siemens & Halske in Wien 1891 in das Stammwerk in Berlin überzuwechseln. Hier wurde er nach kurzer Zeit Chefingenieur der Konstruktionsabteilung für elektrische Maschinen. Er vereinheitlichte mit großem Erfolg die Berechnungs- und Konstruktionsunterlagen für alle Siemens-Werke (das 'Dynamowerk' Berlin, die Werke in Nürnberg, Wien u. St. Petersburg). Siemens errang mit den unter seiner Leitung entwickelten Maschinen auf der Weltausstellung Paris 1900 eine Goldmedaille. Daneben verbesserte P. die Berechnungsmethoden für Gleichstrommaschinen und führte 1903 den 'Pichelmayerschen Koeffizienten' zur Berechnung der Wendepole ein, wodurch das Bürstenfeuer an den Kommutatoren vermieden wurde. 1906 ging P. an die TH Wien, wo er den Lehrstuhl für Theorie und Konstruktion elektrischer Maschinen übernahm" (NDB XX, 410f.). - Auf Briefpapier mit gedr. Briefpapier des Ministeriums; stärker fleckig und mit kleinen Randläsuren.‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
[Books from Inlibris]

€50.00 Buy

‎[Pichon, Edouard (1890-1940, médecin, psychanalyste et grammairien français)] - Ceillier, André (1887-1954, psychiatre français)‎

‎Ensemble de lettres de condoléances reçues par Hélène Pichon-Janet suite au décès d'Edouard Pichon, et nécrologies‎

‎en feuilles A) 8 lettres (7 autographes, 1 tapuscrite) adressées à Hélène Pichon dont une belle lettre du Dr André Ceillier, datée du 21 janvier (4 pp. grand in-8) : "Vous savez en quelle estime je tenais Edouard. Certes j'admirais son intelligence "si personnelle", si primesautière, si fantaisiste, ainsi que sa grande culture. Mais ce qui me remplissait d'une admiration qui confinait presque à une espèce d'effroi c'était sa sérénité, son courage aimable et souriant dans le plus affreuse des adversités. Edouard restera pour tous ceux qui l'ont compris, un être exceptionnel... presque invraisemblable... qui pourrait être qualifié de "légendaire" dans la plus belle acception du terme." Parmi les autres correspondants : le Dr Paul-Henri Papillon, Henri Yvon, le Dr Louis Ramond. B) On joint quelques coupures de presse, dont la nécrologie publiée par P. Lereboullet dans "Paris-Médical" (1 2/3 pp. in-4, en double exemplaire), l'allocution de M. Laignel-Lavastine à l'occasion du décès de Pichon dans les "Bulletins et mémoires de la société des hopitaux de Paris" (2 1/2 pp. in-8) et l'article d'Albert Dauzat publié dans les "Nouvelles littéraires" du 3 février 1940 : "un psychologue de la grammaire".‎

‎Nota : ce document ne pourra être exporté en dehors de l'Union Européenne sans autorisation préalable du ministère de la Culture, formalité pouvant prendre plusieurs jours. Très bon‎

Bookseller reference : 4300

Livre Rare Book

Julien Mannoni livres anciens
Paris France Francia França France
[Books from Julien Mannoni livres anciens]

€150.00 Buy

‎[Piennes, Eugène Emmanuel Ernest Halwin, Marquis de, statesman (1825-1911)].‎

‎A diplomat's correspondence archive. Paris, Rome, Naples, Florence, Vienna, Munich and other places, September 1860 through January 1862, with additional items from 1854 to 1858.‎

‎Large 8vo. A total of 257 letters and correspondence items, mostly in French, but also in Italian and German. Filed on pins in a contemporary half-leather "Biblorhapte" portfolio (L. Girard) with giltstamped spine label "Correspondance", marbled endpapers and brass filing mechanism. Diplomatic correspondence addressed to Eugene d' Halwin Marquis de Piennes, mostly from 1861 and often concerning the Garibaldi's wars of independence and the unification of Italy under Victor Emmanuel II. Among the writers are Antoine Alfred Agénor Duke of Gramont (French statesman and diplomat, 1819-80), Prince Ladislas Czartoryski (Polish politician in exile and collector, 1828-94), and Jules DuCros-Aubert (French diplomat, 1833-81). Of particular interest is a small card, privately printed in red and green by a very rough process (perhaps a potato print), bearing the motto "V[i]v[a] Vittorio Emanuele Re d'Italia" and the arms of Savoy-Piemont trägt. - The diplomat and statesman de Piennes, from an old Northern French family, served as embassy secretary in Lisbon, St Petersburg, and Rome since the 1850s. He was a friend and patron of the sculptor Jean-Baptiste Carpeaux. After his return to France in 1862 he was made councillor general to his native département of Manche, serving until 1870, and mayor of his native city of Périers. As chamberlain of Empress Eugénie (1863) he introduced Carpeaux to the court; he secured funds for the restoration of Mont-St-Michel and for many projects in the Périers region. After the end of the Empire he retired from politics and relocated to Croatia, supervising the construction of the Balkan Railway financed by Baron Maurice de Hirsch. He presented his large collection of art to the Strossmayer Gallery in Zagreb and passed away in Vrbovec. - Filed head-over-heels in a contemporary Biblorhapte portfolio bearing the large, illustrated seller label of the papeterie "J. Bouillotte & M. Buzenet" in Rue St. Denis, Paris.‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
[Books from Inlibris]

€750.00 Buy

‎[Pierre Chaunu] GUTH Paul - (Ossun 1910 - Ville d'Avray 1997) - Ecrivain français‎

‎Manuscrit autographe intitulé: "Le Grand déclassement par Pierre Chaunu (Robert Laffont)" -‎

‎1789 1 page 1/5 in4 - râtures et corrections - trésbon état -‎

‎Texte de critique sur l'ouvrage de Pierre Chaunu analysant le bilan de la révolution française établi à propos du bicentenaire de 1789 - Chaunu "brandit sa plume comme d'Artagnan dégaine" - Il dénonce un "immense gachis" -: effondrement économique, génocide vendéen, guerres - Au final: "pour quatre personnes qui parlent français en 1789, une parle anglais" - C'est l'inverse en 1989 - Il remercie Chaunu de nous rememorer ce qu'on commémore - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

Bookseller reference : GF27056

Livre Rare Book

Galerie Fert
Nyons France Francia França France
[Books from Galerie Fert]

€100.00 Buy

‎[Pierre VERY] - Pierre BEARN - [Bucarest 1902 - Paris 2004] - Poète français‎

‎Dessin original intitulé "Pierre Véry vu par Pierre Béarn (1925)" -‎

‎1 page in4 format 28 x 20,5 cm -‎

‎Beau dessin à la plume de Pierre Béarn représentant son ami l'écrivain Pierre Very en 1925, à l'époque ou il dirigeait la librairie du "Zodiaque", librairie d'occasion sise au 52 rue Monsieur le Prince à Paris, librairie qu'il cédera à Pierre Béarn en 1932 - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

Bookseller reference : 34561

Livre Rare Book

Galerie Fert
Nyons France Francia França France
[Books from Galerie Fert]

€300.00 Buy

‎[Pino Frh. von Friedenthal, Felix, österr. Staatsmann (1825-1906)].‎

‎Glückwunschadresse des Handelsgremiums der Stadt Wels. Wels, Johann Haas, 8. I. 1883.‎

‎1 Doppelblatt mit 4 Unterschriften des Ausschusses des Handels-Gremiums. Lose in violetter Samtmappe der Zeit, Vorderdeckel mit Messingleiste, vier ziselierten Messing-Eckbeschlägen und ziseliertem (gelockertem) Messing-Monogramm "PF" auf der Deckelmitte. Folio (450 x 310 mm). Gratulation an den Handelsminister Felix von Pino-Friedenthal zum von Kaiser Franz Josef I. verliehenen Orden der Eisernen Krone Erster Klasse. Pino von Friedenthal war bis 1881 Statthalter von Oberösterreich gewesen, bis er als Handelsminister von Cisleithanien ins Kabinett Taaffe wechselte. "Als solcher machte er sich um die Organisation der Staatsbahnen sowie um die Einführung des Postsparkassenwesens verdient und zeigte sozialpolitische Interessen bei der Reform der Gewerbeordnung. Seine unbürokratische Amtsführung und sein Lebensstil schufen ihm manche Gegner, obwohl seine persönliche Korrektheit außer Zweifel stand" (ÖBL VIII, 85). - Mit den Unterschriften von L. Gruber (Vorstand), Straberger (Sekretär), L. Falkensammer (Ausschuss) und Camilla Schultze (Ausschuss). Das Blatt stärker gebräunt und im Bug eingerissen, im Rand angestaubt und stellenweise fleckig. Rücken der Mappe fehlt, Deckel an den Ecken und Kanten berieben und bestoßen.‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
[Books from Inlibris]

€150.00 Buy

‎[Piracy]. Pleuc (or Pleve), Jacques René.‎

‎2 letters attempting to secure promised payments for the booty of the captured English frigate HMS Liverpool by the French privateer Le Grand Décidé, one addressed to Auguste-Anne de Bergevin, Commissaire principal de Marine in Bordeaux, and the other to the brothers Amédée & Eugene Larrieu in Bordeaux, who sold the booty. Bordeaux, 30 June & 18 November 1820.‎

‎Folio (32.5 x 21 cm) & 4to (19.5 x 20.5 cm). Two signed autograph letters in dark brown ink on paper (1 laid, watermarked B Dumas; 1 wove, with no watermark). (2), (2 blank); (2), (2 blank) pp. Two signed autograph letters by Jacques René Pleuc (or possibly Pleve: some letters in his handwriting are ambiguous, but it does not seem to be Cleve or Fleuc), officer of the infamous French 18-gun privateer Le Grand Décidé which had been operating out of Bordeaux since 1799 under its captain Duchesne Lasalle for its owner Pierre Leleu. With the capture of the English frigate Liverpool off the coast of Brittany near Brest around November 1819 Jacques René was made Capitaine de Prise giving him responsibility for the captured ship. In the first letter, seven months later, he writes to Auguste-Anne Bergevin (1753-1831) the relevant authority at Bordeaux, complaining that Leleu has still not paid the promised share of the proceeds from the sale of the booty, which was carried out by the brothers Amédée and (Joseph?) Eugène Larrieu in Bordeaux, perhaps the uncle and father of the politician Amédée Larrieu (1807-1873). He hopes they will relieve the "malheureux en souffrance depuis trop longtems" of the crew. The second letter is addressed to the Larrieu brothers nearly a year after the capture, still trying to secure payment, referring to the earlier letter and naming the ship and the amount of money (5000 francs), not noted in the first letter. The first letter is addressed on the otherwise blank final page. The first letter somewhat tattered at the head with the loss of parts of 3 or 4 words, the second has had its margins trimmed (with no loss) and both were formerly folded for sending. Both are in good condition. A fascinating primary source providing a window into the logistics and finance of a privateering venture.‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
[Books from Inlibris]

€1,750.00 Buy

‎[Pius VI., Papst (d. i. Giovanni Angelo Graf Braschi, 1717-1799)].‎

‎Päpstliches Breve. Rom, 7. XI. 1775.‎

‎Lateinische Handschrift auf Pergament. 1 S. Qu.-folio (ca. 175:415 mm). Mit Adresse verso. Erteilt Franz Xaver Dosch in Regensburg 13 Monate vor dem vorgeschriebenen Alter die Priesterweihe: "Tecum ut si, et quando tredecim menses tantum tibi de aetate ad id a sacro concilio Tridentino requisita defecerint, defectu huiusmodi non obstante, si nullum aliud canonicum tibi obstet impedimentum, et dummodo tu ad id reperiaris idoneus, servatisque alias servandis, ad dictum sacrum Presbiteratus Ordinem promoveri, et promotus in illo etiam in Altaris ministerio ministrare libere et licite valeas, auctoritate Apostolica tenore praesentium dispensamus [...]". - Mit der Unterschrift des Kardinals de Comitibus. Etwas wasserfleckig.‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
[Books from Inlibris]

€350.00 Buy

‎[PIÉMONT]‎

‎P.S.‎

‎Turin, 6 nivôse an 10, 1801 in-folio, 3 pp. bi feuillet, en-tête de la commission de liquidation de la dette avec grande vignette, cachet à l'encre rouge de la commission ; marges de tête et de pied légt. effrangées, mouillure sombre en tête.‎

‎Copie d'un arrêté, signée "Mathion" secrétaire général de la "Commission de liquidation générale de la dette publique du piémont créée par l'arrêté des Consuls du 19 prairial an 9", concernant une pétition du citoyen Nicolas Monticelli pour le paiement "des ouvrages et fournitures qu'il a faite pour le service de l'artillerie en l'an sept", d'un montant de près de 16000 livres.Le règlement de la dette, après "réduction du douzième voulue par la loi du 24 thermidor an 8", a été approuvé par les commissaires liquidateurs Desgranges, Paroletti et Bourgiotti, en date du 6 nivôse an 10 (27 décembre 1801).Après Marengo, Bonaparte prévoyait d'annexer le Piémont et décida de prendre à sa charge le montant de la dette du Pays. Réuni officiellement à la France en septembre 1802, le Piémont formait une division militaire sous les ordres du général Jourdan, et fut divisé en 6 départements du Pô (Turin), de Stura (Coni), Doire (Ivrée), Agogna (Novare), Sesia (Verceil), et Marengo (Alexandrie). En 1805, sera ajoutée la république Ligure commprenant Gênes.‎

Bookseller reference : 165818

‎[PLANCHER-VALCOUR]‎

‎L.S. au citoyen Valcour homme de lettre, rue du Faubourg Martin‎

‎Paris, 3 pluviose an 7, 1799 in-4, 2 pp. double feuillet sur papier en-tête du ministère de l'Intérieur, vignette, adresse au verso, timbre et cachet du ministère.‎

‎Lettre du secrétaire général du ministère de l'Intérieur, adressée à Plancher-Valcour, pour le remercier de l'envoie du journal l'Indépendant dont il était rédacteur en chef."(…) c'est un vrai cadeau que cette réunion de vos feuilles. J'y attache d'autant plus de prix que me chargeant d'une grande partie de l'éducation de mon fils, je puiserais dans ce Recueil des notions chronologiques certaines. Elles m'aideront à perfectionner mes Tablettes Chronologiques, ouvrage que j'ai commencé (…)."Ancien comédien, directeur du théâtre des Délassements-Comiques (1785) et de l'éphémère Théâtre Molière (1792), Philippe-Aristide Plancher de Valcour (1751-1815) dit Plancher-Valcour, sera directeur et rédacteur du journal l'Indépendant (1797-1798) ainsi que du Journal des campagnes et des armées (1795-1798). Il continuera sa vie d'acteur sous l'Empire, notamment au Théâtre de l'Impératrice, produira de nombreux mélodrames, dont la qualité fut souvent critiquée.‎

Bookseller reference : 159614

‎[Pleyer, Wilhelm, Schriftsteller und Journalist (1901-1974].‎

‎Eigenh. Brief mit U. sowie eigenh. Schriftstück. [Löcking, 6. III. 1977].‎

‎Zusammen 3 SS. Qu.-8vo. Hildegard Pleyer informiert Herrn Kollebrandt über den Tod ihres Gattens am 14.12.1974 und übermittelt ihm im Sinne ihres Mannes "etwas Handschriftliches".‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
[Books from Inlibris]

€80.00 Buy

‎[Podhajsky, Alois, Leiter der Spanischen Hofreitschule (1898-1973)].‎

‎Sammlung von 116 eigenh. und ms. Briefen, Karten, Telegrammen, Billetts u. a. an Alois Podhajsky. Verschiedene Orte, 1960er Jahre.‎

‎Zusammen 139½ SS. auf 135 Bll. Verschiedene Formate. Die Briefe meist mit ms. Antwortschreiben Podhajskys auf Durchschlagpapier. Alois Podhajsky war Offizier des österreichischen Bundesheeres und seit März 1939 Kommandeur der "Spanischen Reitschule", die er bis 1964 leitete "und an deren weiterem Schicksal und Überleben er maßgeblichen Anteil hatte. Er erreichte eine Rückbenennung in Spanische Hofreitschule, führte einen Sommeraufenthalt an der Hermesvilla im Lainzer Tiergarten für die Lipizzaner ein, erhöhte die Zahl der Pferde von 30 auf 70, beschaffte Material und Lüster für die Reitbahn, die immer noch im Einsatz sind, und führte den Galoppwechsel à tempo an der Spanischen Hofreitschule ein. Im Februar und März 1945 evakuierte er die Lipizzaner aus Wien und konnte später die amerikanische Besatzungsmacht überzeugen, die Pferde aus Tschechien, bevor sie in sowjetische Hände fielen, zuerst nach Oberösterreich und später in das Bundesgestüt Piber zurückzuholen. Eine Rückkehr der Reitschule in die angestammten Gebäude in Wien war allerdings erst 1955 möglich" (Wikipedia). - Seit 1949 regelmäßig Auslandstourneen der Spanischen Hofreitschule veranstaltend, wurde die Schule durch Podhajskys Wirken zu einer internationalen Attraktion für Pferdefreunde aus aller Welt. 1958 doubelte er für den Film "Das Wunder der weißen Hengste" Robert Taylor, der im Film Alois Podhajsky spielte. Als Reitlehrer und Autor mehrerer Bücher zum Thema Reiten und Pferdesport war er auch noch nach seiner Pensionierung tätig.‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
[Books from Inlibris]

€450.00 Buy

‎[Poesiealbum]. -‎

‎Stammbuch mit Gedichtabschriften und eigenen Gedichten eines nicht identifizierten Verfassers. Frankfurt a. M., 1841.‎

‎130 SS. auf 65 Bll. Grüner Moireepappband der Zeit. Qu.-8vo. Poesiealbum mit wohl zumeist anlaßbezogener Lyrik, tls. mit kleinen Vermerken wie "Festgedicht von H. Dusch am Sylvesterabend 1840 dem Bürgermeister v. Gründerrode gebracht" oder "Auf den Maskenball 1840 von einem Domino erhalten". - Einband etwas berieben, innen in sehr gutem Zustand. - In Buntpapierschuber.‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
[Books from Inlibris]

€120.00 Buy

‎[POLICE MILITAIRE]‎

‎L.A.S. des commissaires de police de la ville de Brest au citoyen Mayed, adjudant commandant‎

‎Brest, 30 thermidor an 9, 1801 in-4, 2 pp. 1/2 double feuillets, en-tête du Commissaire de Police de Brest, département du Finistère, vignette avec devise "la loi".‎

‎Note au procès-verbal des commissaires de Brest [signée "Quesnu-fils" et "B. Estoutenot"], datée du 30 thermidor (18 août 1801), concernant le nommé François Marc "prévenu de vol" :"(…) Nous vous remettons une note qui vous fera connaître combien cet homme est vicieux et combien il est temps pour la Société qu'il soit sévèrement poursuivie ; ce François était détenu à la maison d'arrêt lors du premier embarquement de La Légion dans laquelle il fut mis ainsi que tous les détenus du chateau ; il ne tarda pas à s'échapper du vaissau où il s'était embarqué ; arrêté pour vol, il fut réincarcéré et lors du 2ème embarquement de La Légion, il fut encore pris et réussi, soit en faisant le malade ou en se cachant, à ne pas partir avec elle (…) D'après son interrogatoire, il n'y a pas de doute qu'il soit déserteur, mais d'où a-t-il déserté, c'est ce qu'il vous sera facile de faire vérifier. Nous croyons cependant que c'est de l'ille d'Ouessant (…)."Belle vignette.‎

Bookseller reference : 161998

‎[POLICE]‎

‎P.S. de la section de la Réunion‎

‎Paris, 21 ventôse an 8, 1800 petit in-8 carré, 1 pp., cachet humide du commissariat de police "division de la Réunion".‎

‎Intéressant rapport de renseignement de la police, daté du 21 ventôse (12 mars 1800), dans la section de la Réunion (correspondant au quartier Beaubourg) : "Les bals, les lieux publics, les maison garnies ont partagé tous les instans que j'ai pü dérober aux occupations qui me tiennent à mon Bureau. Je n'ai eü à constater ni infraction à la Loi, ni atteinte à la tranquilité et à la Sureté publique."Le document est signé par le commissaire de la section Ouzolles. Le ministre de la Police de l'époque était alors Fouché.‎

Bookseller reference : 159298

‎[Politik und Militär].‎

‎Sammlung von je einer eigenh. U. von Moriz Reichsgf. von Dietrichstein, Friedrich Karl Landgf. von Fürstenberg, Josef von Hudelist, Franz von Dombray, August Reichsgf. von Bellegarde und Josef Albert Gf. Festetics von Tolna. O. O., ca. 1780-1870.‎

‎1 S. Montiert auf altem Untersatzkarton. Folio. Enthält auf Briefausschnitten die Unterschriften (teils auf Pergament) von Obrist-Hofmarschall Friedrich Karl Landgf. von Fürstenberg (1774-1856) sowie in latinisierter Form die des Orientalisten, Hofdolmetschers und kaiserlichen Rats Franz von Dombay (1758-1810) und die von Metternichs Vertreter in der Staatskanzlei Josef von Hudelist (1759-1818). Moriz Reichsgf. von Dietrichstein (1775-1864) quittierte - nachdem er als Adjutant General Karl Frh. von Leiberich Macks in französische Gefangenschaft geraten war - seinen Dienst in der Armee und betätigte sich vornehmlich als Förderer von Kunst und Wissenschaft; sein Haus, in dem u. a. Beethoven und Heinrich Joseph von Collin verkehrten, geriet zu einem geistigen Zentrum Wiens. Von 1815 bis 1831 als Erzieher von Napoleons Sohn, dem Herzog von Reichstadt, tätig, übernahm er nebenher von 1821-26 die Hoftheaterdirektion, führte eine Reihe von Verwaltungsreformen durch und wurde 1826 Präfekt der Hofbibliothek; 1833 erhielt er die Oberleitung des Münz- und Antikenkabinetts und wurde 1845 Oberstkämmerer von Ferdinand I. und zugleich Intendant des Hofburgtheaters, das er bis 1848 leitete. August Reichsgf. von Bellegarde (1798-1871) war Obersthofmeister der verwitweten Kaiserin Karoline Auguste; Josef Albert Gf. Festetics von Tolna (1786-1869) bekleidete dasselbe Amt am Hofe Erzherzog Joseph Palatins (1776-1847).‎

MareMagnum

Inlibris
Wien, AT
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‎[POLOGNE-DANTZIG] DOHNA-SCHLOBITTEN (Friedrich-Ferdinand-Alexander, comte von)‎

‎4 P.A.S. concernant les dernières dispositions sur Dantzig‎

‎Elbing, 1807 in-folio, Accompagnées de leur Bulletin analytique aux archives Soult ; légères mouillures en pied.‎

‎Importantes notes du comte Dohna au maréchal Soult, gouverneur de la Vieille-Prusse et chargé de l'exécution du traité de Tilsit, concernant ici l'article 19 du Traité, relatif au territoire de Dantzig.La teneur des discussions s'y montre âpre, le comte Dohna exigeant toutes les garanties et prétentions au nom de la Prusse.P.S. reçu le 1er décembre 1807 à 3h après midy."(…). Il est encore du devoir du sousigné et indispensable pour sa légitimation aux yeux de son gouvernement de prier S.E. la grâce de lui déclarer par écrit : 1. qu'il est de la volonté décidée de S.M. l'Empereur et Roi Napoléon manisfestée de Fontainebleau le 16 de ce mois, que la délimitation se fasse d'après les propositions du 7 novembre, même quand la ville libre de Danzig recevrait avec son territoire (indépendament d'autres avantages inexprimables) au delà d'un quart plus de population qu'elle n'a jamais possédée et presque le double des revenues. 2. qu'immédiatement après la signature du projet de la convention relative aux affaires de Dantzig, l'évacuation absolu de la rive droite aurait lieu (…) que toute expèce d'administration françois cesserait (…)."P.S. Elbing, 6 décembre 1807.Note par laquelle le roi de Prusse, en lui envoyant l'ordre de signer la Convention relative à Dantzig, demande l'évacuation de la rive droite de la Vistule, sans restriction pour Marienburg et l'île de la Nogath. Tout en s'insurgeant contre les dispositions à l'égard de Dantzig qui "n'aurait jamais pu avoir lieu même après l'interprétation la plus extensive de l'art. 19 du Traité de Tilsit", la Prusse se résigne à signer dans l'espoir d'obtenir "des dédomagements sous tous les rapports analogues à ses pertes".La pièce est accompagnée de la copie de la Convention du 6 décembre pour la délimitation du territoire de Dantzig, déclinée en 11 articles détaillés ; la convention "fait en triple et qui devait être soumise à l'approbation de Napoléon, avaient été signé par le comte Dohna et le maréchal Soult, les commissaires prussiens Jescke et Gruschke, leur homologue français Jean Laber.Joint :La copie des plein-pouvoir donnés depuis Memel le 25 octobre, par le Roi de Prusse au comte Dohna "Président de la Chambre de Marienwerder et Commissaire général civil de la Prusse occidentale", pour la fixation des limites de Dantzig.Le comte margrave zu Dohna-Schlobitten (1771-1831), grand-Maître de la Maison du Roi de Prusse, était entré dans l'administration prussienne depuis 1790. Après Iéna et Auerstädt, il avait réussi à convaincre Napoléon de renoncer aux contributions de guerre sur la Prusse occidentale. En août 1807, il était chargé par le Roi de Prusse de discuter des différents points du traité Tilsit avec le maréchal Soult. Il allait remplacer Stein entre 1808 et 1810 comme premier chancelier. Il contribua notamment à la création de la Landswehr. Le comte von Dohna possédait le château de Finkenstein où Napoléon s'installa en avril 1807 pour diriger la campagne de Pologne et les affaires de France.‎

Bookseller reference : 159519

Livre Rare Book

Librairie Historique Fabrice Teissèdre
Paris France Francia França France
[Books from Librairie Historique Fabrice Teissèdre]

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‎[POLOGNE] KALKREUTH (Friedrich-Adolf), DER GOLTZ (August Friedrich Ferdinand von)‎

‎3 L.S. & L.S. au maréchal Soult‎

‎Königsberg, Juillet-août, 1807 in-folio, 3 pp. accompagnées de leurs Bulletins analytiques des Archives du duc de Dalmatie ; légères moisissures en peid.‎

‎Importante correspondance concernant la nomination des plénipotentiaires chargés de la mise en application du Traité de Tilsit et de la Convention de Königsberg pour l'évacuation de la Prusse.- Königsberg, 30 juillet 1807 : Il informe que la nomination des plénipotentiaires prussiens prescrite par le traité de paix, ne lui est pas encore connue. Il fait suivre son courrier et celui du prince de Bénévent, au roi de Prusse.- Königsberg, 6 et 10 août 1807 : Note relative aux dépôs de farine; il l’informe ensuite de la nomination des plénipotentiaires: "(…) Le Roi m’a nommé avec le ministre d’Etat baron de Schröter pour arranger avec V.E. tout ce qui regarde les articles du traité de paix pour la partie de la Lithuanie et la Prusse orientale; il a de même nommé à Marienwerder le Maréchal monsieur de Lourbière gouverneur de Grauding (…) pour ce qui concerne la Prusse occidentale; à Stargard en Poméranie le lieutenant-général de Blücher et le conseiller intime des finances Mr de Borgstede pour ce qui concerne la Poméranie; à Berlin, le colonel de Lützow et le ministre d’Etat de Vols pour ce qui a rapport à la Marche de Brandeburg et la partie du duché de Magdeburg en deçà de l’Elbe; et à Breslau le lieutenant généal de Grawert et le ministre d’Etat de Hoym pour la Silésie (…)."Il demande à Soult de lui envoyer la liste des plénipotentiaires saxons chargés de la fixation des frontières.Après Auerstädt et la malheureuse retraite des armées prusiennes, le général Kalkreuth (1737-1818) s'était distingué lors de la défense de Dantzig, dans une résistance opiniâtre qui va durer plus de 10 mois dont 78 jours de siège face au général Lefebvre. C'est lui qui signera le cessez-le-feu du 25 juin à Tilsit, au lendemain de la bataille de Friedland, et participera au négociation du Traité. Kalckreuth fut promu feld-maréchal en récompense de la défense de Dantzig, nommé gouverneur de Königsberg (1808) puis de Berlin (1809).Joint la nomination du général Kalkreuth annoncée par le ministre des affaires prussiens, le comte de Goltz :L.S. au maréchal Soult. Mémel, 3 août 1807. 2 pp. in-4.Il l’informe de la nomination du maréchal Kalkreuth pour les négociations concernant la paix de Tilsit et la convention de Königsberg; il demande de se mettre en rapport avec le comte de Schulembourg, président de la commission établie à Berlin et chargé de tous les arrangements du traité de paix, en particulier de la route militaire traversant la Saxe.‎

Bookseller reference : 166003

‎[POLOGNE] STASSART (J.-J.-A.)‎

‎L.A.S. et 3 P.A.S.‎

‎Marienwerder, 9 octobre, 1807 in-folio, 3 pp. et 7 pp., accompagné de son Bulletin analytique des Archives du maréchal Soult.‎

‎Stassart informe Soult qu'il s'est installé dans les fonctions d'intendant de la Prusse occidentale, et des pourparlers qu'il a eu à ce sujet. Très intéresante correspondance sur la réclamation des fonds que devait payer la Prusse, pour l'entretien des troupes d'occupation :"Parti d'Elbing le 7 à onze heures du soir, je ne suis arrivé à Marienwerder que le lendemain à midi. En mettant pied à terre, je me suis rendu à la Chambre. J'ai notifié au Président et à cinq ou six conseillers qui se trouvaient là, les ordres de Sa Majesté (…) La communication que j'ai faite à ces messieurs, les a tous consternés. Ils ont gardé le plus profond silence et le comte de Dohna lui-même, n'a fait que balbutier quelques mots (…). C'est hier (…) que je me suis mis en possession des caisses publiques de Marienwerder ; nous n'y avons trouvé que 1270 thalers. Je ne sais si les autres saisies nous rapporteront davantage (…)." Il demande d'envoyer ses dépêches pour Daru.Joint :La copie de la nomination de Stassart comme intendant de la Prusse et de la lettre qui fut présentée à la Prusse ; on notera le ton peu diplomatique et vexatoire qui fut employé par l'agent impérial : "(…) Le service des réquisitions, Messieurs, est loin de se faire d'une manière satisfaisante… cependant, je vous répèterai ce que j'ai eu l'honneur de vous dire plus d'une fois : l'Armée doit vivre et elle vivra ! (…) Le pays a souffert, je le sais, mais les ressources ne sont cependant point épuisées (…)."Joint la copie de la correspondance avec le diplomate prussien et président de la Chambre de Marienwerder, le comte Dohna.D'une famille de hauts magistrats de Belgique, Goswin-Joseph-Augustin de Stassart (1780-1854) s'était engagé à servir la France ; ses brillantes plaidoierie et son éloquence le firent nommé en 1804 auditeur près le Conseil d'Etat et le Ministère de l'Intérieur. Il fut nommé à la fin de la compagne de 1805 administrateur du Tyrol puis chargé de l'intendance à Varsovie, et de la police des routes de Pologne avant d'être intendant de la Prusse occidentale à Marienwerder et de la Marche de Brandebourg à Berlin. Après la conférence d'Erfurt, Stassart fut envoyé comme sous-préfet à Orange (1808), préfet du Vaucluse (1810) puis des Bouches-de-la Meuse (1811).‎

Bookseller reference : 166070

‎[PORTALIS] LALLY-TOLLENDAL (Trophime-Gérard de)‎

‎L.A.S. au comte Portalis‎

‎Auteuil, 30 octobre 1821 , 1 pp. bi-feuillet in-4, intitulé au verso "M. le comte Portalis, Pair de France, sous-secrétaire d’Etat au ministère de la Justice, Place Vendôme."‎

‎Belle lettre de recommandation en faveur de Louis Crespin de La Ruchée, avocat à la Cour royale de Paris, proche de Lally-Tollendal, pour l’une des quatre places de conseillers auditeurs vacantes à la Cour ; "(…) Fils de Mr Crespin qui a été nommé par le Roi en 1815 Conseiller à la Cour royale, après avoir été 7 ans lieutenant gal du Président de Provins, 7 ans persécuté dans sa personne et ses biens pour son royalisme, et 14 ans depuis l’an 1800, Président du Tribunal de cette même ville, Mr Crespin fils, âgé de 26 ans, a suivi plusieurs cours de droit, de jurisprudence et un cours de procédure pratique. Les personnes qui me le recommandent, m’écrivent qu’il joint à son instruction judiciaire, une moralité de principes et une délicatesse de sentimens qui le rendent sous tous les rapports digne de la protection de Monsieur le Garde des Sceaux ; et ces personnes sont les propriétaires les plus considérables et les plus considérées dans les arrondissemens de Provins et de Coulommiers (…). Je regarde en vérité cette affaire comme m’étant personnelle (…)."Le marquis de Lally-Tollendal ajoute à propos d’une autre affaire : "je remets à un autre jour à vous dire un mot sur mon vieux camarade de Collège, le Président des portes et sur le cercle vicieux dont on le rend victime. Je ne veux pas tourner la page pour être sût d’être lu. D’ailleurs, je vous écris un peu en contrebande. La Faculté me défend de m’occuper (…). "Gérard Lally-Tollendal (1751-1830) était le fils du baron Tollendal, officier français d'origine irlandaise, rendu responsable de la défaite de Pondichéry en 1761 et condamné à mort. Député en 1789, membre du Comité de Constitution à l'Assemblée nationale, il émigre dès 1790 pour revenir en 1792 pour tenter de sauver la famille royale et ses proches. Il échappe de peu aux massacres de septembre, se proposera de participer à la défense du Roi lors de son procès, avant de s'exiler à nouveau. Il ne rentrera en France que sous le Consulat. Il sera couvert d'honneur à la Restauration, nommé Académicien à la place de Sieyès, fait Pair de France et ministre d'Etat, chevalier commandeur et grand trésorier du Saint-Esprit.‎

Bookseller reference : 180657

‎[PORTALIS] MOUNIER (Claude-Philibert-Edouard)‎

‎2 L.A.S. au comte Portalis‎

‎Paris, (circa 1820) , 2 pp. in-8 bi-feuillet.‎

‎Mounier adresse à Portalis, sous-secrétaire d'Etat à la Justice, l’ordonnance qui doit paraitre dans le Moniteur ; "(…) Le Roi l’a signée mais j’ignore si le contreseing du Duc de Richelieu est bien tel qu’il doit l’être (…)." Il demande de faire vérifier la forme avant impression. Joint un billet demandant à Portalis s’il a l’intention d’aller aux Tuileries ; "Soyez assez bon, mon cher Collègue, pour me dire quelles visites vous faites ce matin au Château ? Allez-vous chez le Roi ? Je serais fort aise de faire comme vous et encore plus aise de me trouver avec vous (…)."Claude-Philibert-Édouard Mounier (1784-1843) était le fils du révolutionnaire Jean-Joseph Mounier. Appelé en 1809 au poste de secrétaire du cabinet de l'Empereur, en remplacement du général Clarke, il passa les cinq années suivantes dans la confiance intime de Napoléon qui le nomma successivement maître des requêtes, baron, officier de la Légion d'honneur et le dota d'un domaine en Poméranie. A la Restauration, Mounier sera fait Pair de France, directeur général de la Police.‎

Bookseller reference : 180706

‎[PORTALIS] MOUNIER (Claude-Philibert-Edouard)‎

‎5 L.A.S. et 2 L.S. au comte Portalis‎

‎(Paris), juillet 1820-janvier 1821 , 9 pp. in-8 et in-4, 5 pp. in-4.‎

‎Importante correspondance relative au complot dit du Complot du Bazar français, déjoué pendant l’été 1820.14 juillet : il annonce l’arrestation de Mazian, transmettant les détails circonstanciés de cette arrestation. 28 juillet : il demande de lui renvoyer l’interrogatoire de Chauvaisagnes et lui transmet sa note pour la commission de police, demandant une peine de prison de 2 ans ; 8 août ; "(…) Tout cela se rattache à ce que nous savons ; mais notre procureur gn me parait malheureusement bien faible. Au reste, je ne croirais pas que son voyage fut convenable. Plus l’affaire peut s’étendre, plus il me parait nécessaire d’éviter de la présenter comme fabriqué par le Gouvernement. Le procureur Gn en fait assez pour suivre tous les indices et nous verrons par la suite (…)." 20 août : billet sur une réunion chez le duc de Richelieu ; 20 août : à propos de l’intervention de Jacquinot ; "(…) J’ai écrit au Mal Marmont de mettre à sa disposition tous les officiers et sous officiers de la Garde qui ont été arrêtés (…)." Il a transmis plusieurs pièces à Jacquinot qui a envoyé un substitut à Vincennes ; il demande de publier officiellement "qu’il a été dénoncé au Gouvernement un complot dans lequel sont impliquées plusieurs personnes civils et militaires", et écrit au comte de Rochechouart pour retenir les officiers qui peuvent témoigner. 21 août : "Je ne trouve rien là qui charge notre manière d’envisager l’affaire. L’homme important, c’est Combes et Guillemin n’était qu’un misérable instrument. Maintenant Combes parlera-t-il ? Il ne s’y déterminera que si les preuves contre lui sont accablantes. Je vois indépend. des révélations de Jeanin, la déclaration de Guillemin faire celle de Bougaud. Mais plus l’instruction marchera, plus les preuves doivent s’établir (…)." Il préconise de laisser faire le procureur ; il propose de pousser le juge d’instruction à faire une enquête sur le séjour de Guillemin dans la Capitale. 26 janvier 1821 : "Vous allez vous occuper aujourd’hui du cap. Nantil ; c’est vraisemblablement alors que seront produites les grandes accusations contre la Police qui l’a laissé échapper (…). Il fut convenu le 19 août au matin que les conspirateurs appartenant au Légions du Nord et de la Meurthe seraient arrêtés à 9h du soir par les soins des chefs de leurs corps. La Police devait appuyer l’opération et tenir ses agens à portée pour recevoir les prisonniers et les conduire à la Préfecture ; elle avait en même tems, à s’occuper de la surveillance Gale de la Capitale, à se transporter au domicile des conspirateurs et à faire arrêter ceux qui ne faisaient point partie des Corps de la garnison (…). On peut dire à la vérité, que les agens de la police dû s’attacher aux cas de Nantil (…)." Suit le détail des responsabilités dans l’arrestation des comploteurs et le cas précis de l’ancien capitaine Nantil ; il ajoute de sa main que la procédure prouve la présence de Mabiau à Cambray quand il a appris la découverte du complot avant de vouloir gagner la Belgique.Engagé dans un contexte politique très tendu entre ultra et libéraux, soutenu par le carbonarisme, ce complot impliquant plusieurs anciens officiers de l’armée impériale devait soulever les garnisons des principaux régiments stationnés à Paris, et renverser le trône de Louis XVIII pour installer le Roi de Rome, l’enfant de Napoléon et de Marie-Louise. Il fait suite à d’autres conspirations comme celle de Randon et les troubles de Lyon en 1817, faisant ainsi naitre le courant bonapartiste en France.Claude-Philibert-Édouard Mounier (1784-1843) était le fils du révolutionnaire Jean-Joseph Mounier. Appelé en 1809 au poste de secrétaire du cabinet de l'Empereur, en remplacement du général Clarke, il passa les cinq années suivantes dans la confiance intime de Napoléon qui le nomma successivement maître des requêtes, baron, officier de la Légion d'honneur et le dota d'un domaine en Poméranie. A la Restauration, Mounier sera fait Pair de France, directeur général de la Police.‎

Bookseller reference : 180708

‎[PORTALIS] MOUNIER (Claude-Philibert-Edouard)‎

‎L.A.S. à son cher collègue (le comte Portalis)‎

‎(Paris), 19 août 1820 , 3 pp. in-4 bi-feuillet.‎

‎Importante lettre de Mounier exposant son avis sur les instructions de police communiquées aux préfets avant les élections et dont il voulait s’entretenir en Conseil ; "(…) Jusqu’à présent, je me suis borné à répondre aux préfets sur leurs demandes particulières ou à leur parler des élections à l’occasion de la position de leurs départemens (…) Vous connaissez suffisamment le sens dans lequel ma correspondance est dirigée. Je ne perds jamais de vue que nous devons dévier des députés du centre et subsidiairement des députés de la droite ; que par conséquent, tous les efforts doivent tendre à réunir les électeurs royalistes des différentes nuances (…). Tout ce qui concerne l’organisation, la convocation des Collèges, est traité par M. Capelle sous la signature et la direction du ministre (…)." Il lui transmet copie d’un paragraphe qui est ajouté à toutes les lettres du ministre pour les préfets ; "Il est un peu long (…) et vous y reconnaitrez le style ternaire de M. Capelle ; mais tel quel, l’effet ne peut en être mauvais et il est bon que vous le connaissiez (…)."Claude-Philibert-Édouard Mounier (1784-1843) était le fils du révolutionnaire Jean-Joseph Mounier. Appelé en 1809 au poste de secrétaire du cabinet de l'Empereur, en remplacement du général Clarke, il passa les cinq années suivantes dans la confiance intime de Napoléon qui le nomma successivement maître des requêtes, baron, officier de la Légion d'honneur et le dota d'un domaine en Poméranie. A la Restauration, Mounier sera fait Pair de France, directeur général de la Police.‎

Bookseller reference : 180707

‎[PORTALIS] PASQUIER (Etienne-Denis)‎

‎18 L.A.S. ou B.A.S. au comte de Portalis‎

‎(Paris), s.d. , Sur bi-feuillet in-12.‎

‎Bel ensemble de la correspondance de Pasquier à Portalis, conseiller d’Etat, relative à diverses affaires courantes, lui adressant plusieurs communications : A propos d’un ouvrage qui manque à la bibliothèque du ministre des Affaires étrangères, précisant qu’il "ne perd pas de vue l’autre affaire bien plus importante" ; il le remercie de son compte-rendu donné avant son projet d’aller voir le duc Decase ; demandant de passer chez lui pour pouvoir lui communiquer des dépêches de Rome ; il demande d’aller discuter avec un confrère sur la liberté de la presse : "il serait nécessaire qu’il marche avec nous dans cette affaire car notre majorité dans la commission n’est pas très sûre. Vous dînez demain avec nous, le Chancelier y dine." ; à propos de divisions au sein de la Chambre "qui pourraient avoir des suites fâcheuses" ; Pasquier annonce que S.M. vient de nommer « votre frère » chancelier du Consulat : il est peiné d’apprendre qu’il est souffrant ainsi que Mme Portalis ; Divers billets demandant son avis ou de le tenir informé des travaux du Conseil, ou des projets d’ordonnance, l’invitant à passer chez lui pour diner ou discuter des affaires, mentionnant les noms du duc de Richelieu, l’abbé de Montesquiou, Montlosier, l’abbé Morelet, etc. Sur une prochaine réunion : "(…) Je n’irai pas avec vous parce que j’irai à cheval avec M. de Richelieu. Vous viendrez donc avec ma calèche qui sera chez vous à cinq heures et nous reviendrons ensemble, car je ne veux pas revenir à cheval (…)."Préfet de Police sous l'Empire à la suite de Dubois, Garde des Sceaux dans le ministère Talleyrand-Fouché en 1815, Etienne-Denis Pasquier (1767-1862) fut nommé à la Restauration ministre d'Etat, membre du Conseil privé, député, reprendra le portefeuille de la Justice en janvier 1817, ministre des Affaires étrangères en 1820 dans le cabinet du duc de Richelieu, président de la Chambre des Pairs en 1821, poste qu'il garda sous la Monarchie de Juillet ; Pasquier sera nommé Chancelier de France par Louis-Philippe en 1837, membre de l'Académie en 1842 contre Vigny. Il se retira des affaires politiques en 1848.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac.‎

Bookseller reference : 180704

‎[PORTALIS] PASQUIER (Etienne-Denis)‎

‎2 L.A.S. au comte de Portalis‎

‎(Paris), s.d. , 3 pp. sur bi-feuillet in-12‎

‎Pasquier lui demande de lui écrire un discours pour la chambre des Pairs: Le mauvais temps et la Messe de minuit ne lui pas permis de le voir; "(...) vous sçavez notre affaire terminé. Je vais avoir encore cette loi à porter aux Pairs. J’espère que vous vous sentez le courage d’achever vos bonnes œuvres, c’est à dire de me faire encore un discours en cette occasion. Il le faut fort court, et exprimant et expliquant les changements fait dans la discussion de la Chambre des députés (…)." Il compte sur son amitié.Joint une lettre à propos de la loi que le duc de Richelieu demande porter demain à la Chambre des Pairs; Pasquier voudrait que Portalis prépare une note sur ses motifs et qu’il lira à la place de Mr le Garde des Sceaux.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac.‎

Bookseller reference : 180703

‎[PORTALIS] PASQUIER (Etienne-Denis)‎

‎B.A.S. au comte de Portalis‎

‎(Paris), Lundi, 5h 1/2 du soir (juin 1837) , 1 pp. bi-feuillet in-8, adresse au verso, cachets postaux.‎

‎Billet de Pasquier, relatif à une adresse à Louis-Philippe, au moment où allait être donné la liste des promotions pour la Légion d'Honneur : "J’ai vu le Roi il y a une heure et il a été convenu que les discours s’adresseront à Monseigneur et Madame, et que je vous en donnerais avis."Pasquier venait d'être nommé Chancelier de France, dignité qui avait été rétablie lors du mariage du Prince Royal avec la princesse Hélène de Mecklembourg-Schwerin fin mai 1837.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac.‎

Bookseller reference : 180702

‎[PORTALIS] PASQUIER (Etienne-Denis)‎

‎L.S. au comte de Portalis‎

‎Sassy, 22 juin , 8 pp. in-12.‎

‎Belle et longue lettre politique de l'ancien chancelier Pasquier racontant les péripéties de son voyage pour rejoindre ses propriétés près de Mortagne, avant de livrer ses réflexions sur la première loi d’exil contre la famille d’Orléans, et à propos du gouvernement du Prince Président; "(…) Je suis arrivé ici en bon état et je pourrais dire sain et sauf après les nombreuses adversités de ma route, abandonné d’abord par le chemin de fer d’où j’étais descendu à Maintenon pour satisfaire un léger besoin, et qui ne m’a pas attendu deux minutes seulement. Il m’a fallu grâce aux bons soins de M. de Noailles poursuivre ma route de Maintenon à Chartres dans une calèche par le plus mauvais temps du monde (…)." Suit le récit de ces deux jours de voyages, regrettant de ne pouvoir rejoindre plus tôt Mde de Boigne. Pasquier poursuit avec la situation politique du moment, discutant sur les conséquences de la loi d’exil, considérant que le gouvernement n’en tirera pas gloire; "Vous pensez bien que j’ai lu avec soin le décret rendu sur le conflit dans l’affaire d’Orléans. Il n’est guère conforme aux principes que nous autres gens de petites portée avons consignés en 1806, 1807, 1808 et 1809 dans les décrets que la commission du contentieux à fait rendre à cette époque (…). Cependant, c’était le plus beau temps de l’Empire! (…)." Il pense que cette affaire menée devant les tribunaux va entrainer des complications pour la mise en œuvre des confiscations; il faudra dis-je, arriver à la vente des vastes domaines, objets de la main mise; or je ne pense pas que cette vente soit facile. Cette nouvelle sorte de biens nationaux sera pour le moins aussi peu favorable que l’ont été les premiers (…). L’accession de M. de Montalembert m’a beaucoup surpris (…) il a trop d’esprit pour qu’il soit possible de comprendre de sa part une accession sincère et réel à un système aussi absurde que celui aujourd’hui mis en lumière par quelques cerveaux mal inspirés et dont une des principales bases serait la préférence obligatoirement donnée au système de l’ogive sur celui du plein ceintres et des frontons employés dans les plus beaux temps de l’art grec et latin (…)."Préfet de Police sous l'Empire à la suite de Dubois, Garde des Sceaux dans le ministère Talleyrand-Fouché en 1815, Etienne-Denis Pasquier (1767-1862) fut nommé à la Restauration ministre d'Etat, membre du Conseil privé, député, reprendra le portefeuille de la Justice en janvier 1817, ministre des Affaires étrangères en 1820 dans le cabinet du duc de Richelieu, président de la Chambre des Pairs en 1821, poste qu'il garda sous la Monarchie de Juillet ; Pasquier sera nommé Chancelier de France par Louis-Philippe en 1837, membre de l'Académie en 1842 contre Vigny. Il se retira des affaires politiques en 1848.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac.‎

Bookseller reference : 180705

‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

‎2 L.A.S. au comte de Portalis‎

‎s.l.n.d., (1820) , 2 pp. bi-feuillet in-12.‎

‎Relative à la nomination de Portalis dans le nouveau ministère formé par Richelieu en février 1820 ; Richelieu lui transmet l’ordonnance de la nomination de Portalis qu’il a contresigné avec plaisir.Joint une lettre de félicitations évoquant la mission de Portalis à Rome pour la signature du second concordat ; "Vous ne pouvez pas douter, du plaisir que j’ai eu à vous voir consentir à parcourir avec nous la carrière difficile où nous allons entrer. Votre zèle et vos efforts ont déjà été couronnés à Rome d’un succès si complet que j’espère que vous nous porterez bonheur. Tâchez seulement de vous guérir, nous avons besoin de toutes nos forces (…)."Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac.‎

Bookseller reference : 180694

‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

‎2 L.A.S. au comte de Portalis‎

‎s.l.n.d., (1821) , 2 pp. bi-feuillet in-12, filigrane.‎

‎Relativement à la nomination de ministre d’Etat et au traitement de Chateaubriand."Il me semble (…) que M. de Chateaubriand ayant déjà une dotation de Pairs, ce serait dans la seconde classe de ministre d’Etat que devrait être son traitement. Je vous prierais donc de faire rédiger l’ordonnance dans ce sens, en faisant ouvrir le traitement du jour où il a cessé d’être ministre à Berlin (…)." Il demande de préparer l’ordonnance pour le Conseil du jour ; "(…) il sera bon de la faire signer au Roi le plutôt possible (…)."Chateaubriand avait été nommé ambassadeur en Prusse en novembre 1820 et prit en mai 1821, le titre de ministre d’Etat qu’il avait perdu lors de la chute du premier ministère de Richelieu ; suivant l’exemple de Villèle, Chateaubriand refusera ce titre. Il sera nommé ambassadeur à Londres en décembre 1821 après la chute du second ministère Richelieu.Joint : Richelieu approuve ses réflexions sur le titre de Ministre d’Etat à donner ; "(…) comme cela se trouve d’accord avec ce que M. Lainé, je ne vous enverrai pas encore ce soir l’ordonnance que je me proposai de présenter à la signature du Roi pour être mise demain dans le Moniteur (…)."Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac.‎

Bookseller reference : 180697

‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

‎2 L.A.S. et 3 B.A.S. au comte de Portalis‎

‎s.l.n.d., (1820) , 5 pp. bi-feuillet in-12, dont avec adresse au verso.‎

‎Relatif à un article dans le Patriote Alsacien ; cette affaire donnera lieu à un procès retentissant contre le journal accusé de nombreuses provocations au crime et d’offenses envers la famille royale : "(…) Je l’ai montré hier à M. Jacquinot Pampelune qui m’a paru étonné qu’il n’eut pas déjà été saisi et poursuivi par le Procureur du Roi à Strasbourg. Il est impossible de voir une attaque plus directe et plus insolente." Le ministre demande d’examiner l’affaire, "car il ne faut pas qu’on nous accuse encore comme on l’a déjà fait, de ne pas même nous servir de la loi que nous avons (…)."Joint une correspondance concernant les discussions sur le projet de loi relatif à la presse : Le ministre lui envoie "les hautes conceptions de M. de Terneux touchant la répression des délits de la Presse. Comme je lui ai dit que vous étiez chargé de ce travail, il est bon qu’il sache que je vous ai remis le sien (…)."Joint 3 billets dans lesquels Richelieu demande de lui faire parvenir un exemplaire du projet de Loi sur la presse, et le priant de passer un moment chez lui avant d’aller à la Chambre des Pairs.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac.‎

Bookseller reference : 180699

‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

‎Correspondance au comte de Portalis‎

‎s.l.n.d., (1820) , 9 billets format in-12.‎

‎Billets de service évoquant l’étroite collaboration entre le duc de Richelieu, chef du gouvernement de Louis XVIII après l'assassinat du duc de Berry et le comte de Portalis alors sous-secrétaire d’Etat au ministère de la Justice, sur diverses affaires ; Demande de préparer une ordonnance concernant plusieurs nominations ; dont celles de M. de Blais conseiller d’Etat en service ordinaire, M. Flangergue maître des requêtes ; répondant à un billet de Portalis concernant une ordonnance : "(…) Je crois qu’il est nécessaire de rectifier demain l’erreur qui s’est glissé à l’article des serments, comme celles qui ont dû vous être signalées par M. de Pradel (…)" ; billet du secrétaire de Richelieu prévenant Portalis d’une réunion "pour terminer la rédaction de l’ordonnance et arrêter définitivement les nominations des (huissiers ?) ainsi que l’organisation des bureaux." Richelieu demande de transmettre le dossier à Pasquier pour qu’il soit présenté à la signature au Roi lors du Conseil du jour. A propos d’une lettre détaillée du procureur général de Dijon ; sur l’envoi de circulaires aux commandants de la Marine à Brest, Toulon, Rochefort et Cherbourg, et demandant de faire rectifier une erreur publiée dans le Moniteur à propos de cette circulaire ; le remerciant de sa communication sur une séance à la chambre, Richelieu regrettant que "ces messieurs n’aient pas continué leur harangue", demandant d’en discuter avec Pasquier et le ministre de la Justice ; sollicitant quelques informations sur une affaire avec cette réflexion : "Qu’il est malheureux qu’une amnistie n’ait pas couvert tous ces faits ; au moins faudra-t-il que le Roi fasse grâce".Joint 2 billets de Richelieu demandant à Portalis de passer chez lui « pour notre réunion ministérielle »Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac.‎

Bookseller reference : 180698

‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

‎L.A.S. et B.A.S. au comte de Portalis‎

‎s.l.n.d., (1820) , 2 pp. bi-feuillet in-12, dont avec adresse au verso.‎

‎Importante lettre de Richelieu relative aux discussions sur le nouveau Concordat, la nomination des évêques, à propos de l’étendu des diocèses, sur la « suprématie métropolitaine » ; le Ministre était passé chez Portalis pour parler de ces affaires ecclésiastiques mais il ne l’avait pas trouvé ; "(…) Je veux vous en dire un mot. J’ai vu hier M. le Coadjuteur de Paris et il m’a dit qu’il avait une quantité de brefs nécessaires à demander à Rome, en même temps que l’institution des nouveaux évêques (…)." Richelieu demande de préparer une note sur ce qu’il faut demander auprès du Saint Siège, "pour arriver à ce que nous avons arrêté chez moi au Conseil de lundi", et de faire passer ce mémoire à Pasquier le plus tôt possible. "Vous sentez combien il serait instant que nous puissions procéder le plutôt possible à l’installation des nouveaux évêques (…). Veuillez donc vous occuper de ce petit travail que personne n’est en état de faire mieux que vous. Il importe surtout de ne rien oublier afin qu’il n’ya ai aucune cause de retard à Rome. Le coadjuteur trouve l’idée d’un évêque à Lille très bonne. Il m’a donné aussi un moyen de satisfaire l’évêque de Troïes ; ce serait de lui donner le titre d’archevêque (…)."[Il s’agit de Mgr de Boulogne, évêque concordataire mais qui avait soutenu la cause du Pape Pie VII sous l’Empire ; sa position sur Rome lui valut d’être destitué par Napoléon, enfermé et mis au secret au fort de Vincennes. Mgr de Boulogne retrouvera son siège de Troyes à la Restauration, et on songea à le faire nommer archevêque de Vienne, ce qui fut refusé].Joint un billet de Richelieu demandant à Portalis de passer un moment chez lui.Fils de l'illustre ministre des Cultes de Napoléon, Joseph Portalis (1778-1858) qui avait été disgracié sous l'Empire, avait été mis à l'honneur par la Restauration ; il fut chargé en mai 1818 comme envoyé extraordinaire à Rome, des premières négociations relatives au nouveau Concordat. Portalis sera appelé à la Chambre des Pairs par le duc Decazes en mars 1819 et nommé au poste de sous-secrétaire d'Etat au ministère de la Justice dans le nouveau gouvernement formé par le duc de Richelieu peu après l'assassinat du duc de Berry en février 1820. Grand officier de la Légion d'Honneur en mai 1821, chargé de l'intérim du portefeuille de la Justice, il est nommé en 1824 président de la Cour de Cassation, et en 1828 Garde des Sceaux dans le gouvernement de Martignac.‎

Bookseller reference : 180695

‎[PORTALIS] RICHELIEU (Armand-Emmanuel du Plessis de)‎

‎L.S. au comte de Portalis‎

‎Paris, 15 septembre 1820 , 2 pp. bi-feuillet in-12, filigrane.‎

‎Il renvoie le placet que Portalis lui a envoyé pour le Roi de la part de M. de Miomandre, conseiller à la Cour royale d’Angers ; "(…) C’est à M. le Garde des Sceaux qu’il appartient de le présenter au Roi, si toutefois il le juge convenable (…)."Joint : note des services du chevalier Pierre-Joseph de Miomandre (4 pp. in-folio), émigré dès 1791, à l’Armée des Princes puis aux ordres du général Puyvert de Villot, avant de rentrer en France et être appelé par Bonaparte conseiller à la Cour d’Angers ; suit le Mémoire de M. de Miomandre demandant un dédommagement pour ses biens perdus, la croix de St-Louis pour ses anciens services au Roi.Après sa disgrâce en 1811, Portalis avait été nommé en 1813 Premier Président de la Cour impériale d’Angers sur les instances du comte Molé. Portalis avait gardé ce poste jusqu’à la Restauration, avant d’entrer au Conseil d’Etat et d’être appelé en 1820 à la Chambre des Pairs, nommé sous-secrétaire d’Etat à la Justice.‎

Bookseller reference : 180696

‎[Portrait] FAGE André - [1883 - 1948] - romancier français‎

‎Carte Postale Photo représentant André Fage à son bureau de trois quart dos -‎

‎Carte photo postale format 9 x 14 cm -‎

‎Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

Bookseller reference : GF16070

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Galerie Fert
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‎[POUDRES ET SALPETRES]‎

‎L.S. signée par Jacques-Pierre Champy, Jean Riffault des Hêtres et Jean-Siméon Champy, à M. de Saint-Laurent, directeur d'artillerie‎

‎Paris, 24 fructidor an 12; in-folio, 1 p. et demie, en tête. Vignette.‎

‎Nadal, commissaire des poudres et salpêtres à Colmar, a reçuen l'an IX un mortier d'épreuve et deux globes "nouveau modèle", mais n'a pas reçu depuis les globes "rectifiés". "Vous avés bien voulu lui annoncer l'envoi d'une caisse d'instrumens vérificateurs qui lui deviendraient inutiles, s'il n'avait pas les nouveaux globes (...).".Jacques-Pierre Champy, chimiste, participa à la campagne d'Egypte. Il fut administrateur général des Poudres et Salpêtres.‎

Bookseller reference : 666620

‎[POUSSIN] Charles Sulpice FLAMENT - (1758-1835) Premier bibliothécaire de la bibliothèque Royale à La Haye de 1824 à 1831.‎

‎Lettre autographe signée à Mr Duchesne l’Ainé, conservateur au cabinet des Estampes du Roi. La Haye, 5 janvier 1824. 1 p. 1⁄2 in-8.‎

‎Belle lettre au sujet des pièces non renvoyées à la bibliothèque de La Haye, mais concédées par les traités de 1815, et relative à un tableau qui pourrait être de Nicolas Poussin. « Je joins ici à la prière d’un artiste de notre ville le croquis-dessin d’un tableau dont il est possesseur. On suppose qu’il est du Poussin... Le connaissez- vous ? Connaissez-vous la gravure qui en ait été faite.... ».‎

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‎[PRADIER (Charles Simon)] - DUCIS (Jean- François)‎

‎écrivain et poète français, élu à l’Académie française en 1778. Il fut le premier à avoir révélé Shakespeare au public français. (Versailles 1733-1816)‎

‎Très beau dessin à l’encre de Chine et au lavis daté de 1811 intitulé « Jean François Ducis, né à Versailles 22 août 1733» très probablement exécuté par Charles Simon Pradier (17 x 16,5 cm). Au verso, est collée une impression d’un portrait semblable, avec une attribution au peintre François Gérard.‎

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Librairie Monogramme
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‎[Preußisch-französische Diplomatie]. Valory, Louis Guy Henri de, französischer Militär und Staatsmann (1692-1774).‎

‎Sammlung von Korrespondenzien und anderen Archivalien, zumeist aus seiner Zeit am preußischen Hof, darunter mehrere eigenhändige Schreiben von Friedrich dem Großen und eigenh. unterschriebene Schriftstücke von König Louis XV. Versailles, Potsdam u. v. a. O., zumeist 1739-1756, angereichert durch weitere Stücke (1570-1796).‎

‎Vorerschlossen in 12 Faszikeln: - 1) 10 Schreiben von Friedrich dem Großen an bzw. für Valory (zumeist mit eh. U., davon 2 gänzlich eh.) sowie eine teils chiffrierte Beilage. - 2) 8 Schreiben von Louis XV. an Valory bzw. Friedrich den Großen, alle mit eh. U. - 3) 25 Schriftstücke (Korrespondenz, Memoires, Verträge) zur europäischen Politik in zeitgenöss. Abschrift. - 4) 8 Schreiben des frz. Premierministers Kardinal André-Hercule de Fleury an Valory mit eh. U. - 5) 5 Schreiben frz. Diplomaten an Valory. - 6) 6 Schreiben verschiedener Diplomaten an Valory sowie 1 Teilabschrift eines Geheimvertrags. - 7) 6 Schreiben des preußischen Kabinettsministers Heinrich Graf Podewils an Valory, davon 3 gänzlich eh. - 8) Schreiben von Karl Albrecht von Bayern, als erwählter Kaiser Karl VII., und Schreiben von Karl Eugen Herzog von Württemberg, beide an Valory, mit eh. U. - 9) 3 eh. Schreiben mit U. von Johanna Elisabeth von Schleswig-Holstein-Gottorf an Valory. - 10) 4 Schreiben von Friedrich Wilhelm II. von Preußen an den Marquis de Boyer d'Eguilles. - 11) 9 diverse Schriftstücke, zumeist Korrespondenz der 1740er/50er Jahre in Abschrift. - 12) 33 diverse Schriftstücke des späten 16. und frühen 17. Jhs., zumeist von deutschen Fürsten an den König von Frankreich. - Zus. 353 SS. Versch. Formate, zumeist Folio und 4to. Hochinteressante Dokumentsammlung aus dem Nachlass des französischen Diplomaten Louis Guy Henri de Valory (Valori), der 1739 als französischer Gesandter an den preußischen Hof kam und dort bis 1750 wirkte, dann 1756 kurzfristig als Botschafter nach Berlin zurückkehrte. Der greise Kardinal und de-facto-Premierminister André Hercule de Fleury hatte den Offizier Valory, der sich im Spanischen Erbfolgekrieg ausgezeichnet hatte, nach Preußen geschickt, um am Hofe Friedrich Wilhelms I. die Interessen von Louis XV. zu vertreten; insbesondere sollte er das französisch-preußische Bündnis gegen das Habsburgerreich festigen. Valory entledigte sich seiner Mission erfolgreich: Er wirkte mehrfach auf die preußische Bündnispolitik ein, arrangierte die Ehe zwischen dem Dauphin und Maria Josepha von Sachsen (1747) und zählt zu den Architekten des Friedens von Aachen (1748). Obwohl der Kronprinz Friedrich zunächst wenig von Valory hielt, fand er bald Gefallen an dem so gebildeten wie originellen Kopf, und nach seiner Thronbesteigung als Friedrich II. bezeugte er ihm mehrmals seine Freundschaft. - Zu den vorliegend überlieferten zehn Schreiben Friedrichs des Großen zählen zwei eigenhändige Billetts (davon eines im Umfang von 3 Seiten); ein weiteres weist eine sechszeilige eigenhändige Nachschrift auf (während Friedrichs Bevollmächtigung für Heinrich Graf Podewils zu einem preußisch-französischen Defensivbündnis neben der Unterschrift das wohlerhaltene königliche Lacksiegel trägt). Die meisten dieser Schriftstücke stammen aus dem ersten Jahr des Ersten Schlesischen Kriegs, mehrere sind in Feldlagern verfasst. Bei Valorys Abschied aus Berlin 1750 spricht ihm Friedrich mit warmen Ausdrücken seine Zufriedenheit aus, und bei seiner abrupten Abberufung 1756 widmet er ihm mit eigener Hand die persönlichen Worte: "Après la façon outrageante dont votre cour se comporte envers moi, vous ne trouverez point étrange que je ne réponds point au ministre de France, mais à mon vieil ami. Je suis fâché de votre départ, et vous pouvez être persuadé que je ferai non seulement des vœux pour votre santé, mais encore pour votre fortune. Faites mes compliments à mes amis dans le pays où vous allez, si j'en ai encore. Pour moi, je vois toutes les extravagances qui arrivent, de sang froid, et vous pouvez être persuadé que, bien loin d'en être découragé, ce m'est un nouvel aiguillon qui m'animera à faire l'impossible possible l'année qui vient. Adieu, mon cher Valory, je vous souhaite un heureux voyage. Federic". - Von Minister Podewils liegen sechs teils eigenhändige Schreiben an Valory vor, die von September 1741 bis kurz vor Ausbruch des Zweiten Schlesischen Kriegs reichen. Von französischer Seite enthält der Bestand acht vom König von Frankreich unterschriebene Instruktionen an seinen Gesandten, ferner acht Schreiben Fleurys und eine Fülle weiterer diplomatischer Korrespondenz. Viele Dokumente zur Großmachtpolitik der 1740er bis 1750er Jahre finden sich in zeitgenössischer Abschrift, darunter Verträge und Abkommen, Urkunden Maria Theresias (November 1740), Schreiben des englischen Botschafters Hyndford sowie der berühmte Brief Friedrichs des Großen an den Marquis d'Argens aus Hermannsdorf vom 27. August 1760, aber auch zwei Schreiben der preußischen Königinmutter Sophie Dorothea von Hannover zur Heirat der Prinzessin Luise Ulrike mit dem schwedischen Kronprinzen (1744). Eine Vielzahl älterer Schreiben von Kurfürsten und deutschen regierenden Häusern an das französische Königshaus, verfasst zwischen 1570 und 1632, dürfte Valory nach seiner Rückkehr nach Frankreich in sein Arbeitsarchiv übernommen haben. Angereichert ist die Sammlung um einige spätere Stücke aus dem Besitz der Familie Boyer d'Eguilles (Billetts von Friedrich Wilhelm II., 1795/96). Valory hatte in Preußen Kontakt zur Familie; 1746/47 hatte er sich für die Freilassung von Alexandre-Jean-Baptiste d'Eguilles, Bruder des Marquis d'Argens, aus englischer Kriegsgefangenschaft eingesetzt. Der vorliegende Bestand bildet über weite Strecken die Quellengrundlage für die 1820 erschienenen Memoiren Valorys (Mémoires des négociations du marquis de Valori), in der auch wesentliche Teile publiziert sind. - Residuum der Sammlung Sir Thomas Phillipps (1792-1872). Schöne und umfangreiche diplomatische Dokumentensammlung, die das preußisch-französische Verhältnis in den letzten Jahren vor dem "Renversement des alliances" abbildet.‎

MareMagnum

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‎[Preußischer Steuerverweigerungs-Prozess] - Pilet, Hermann, Kammergerichts-Assessor in Stendal (1815-1887).‎

‎Eigenh. Brief mit U. Posen, 21./23. I. 1850.‎

‎2½ SS. auf Doppelblatt. 8vo. Als Beklagter an den Rechtsanwalt Dorn mit der Bitte, die Verteidigung zu übernehmen: "So eben gelangt die Anklageschrift des dortigen Ober Staats Anwalts gegen mich in der Steurverweigerungs Untersuchungs Sache nebst der Vorladung [...] in meine Hände [...] Wie Sie aus der beiliegenden Anklageschrift ersehen wollen, liegt gegen mich nichts weiter vor, als die Versendung eines Packets von Abdrucken des Beschlußes der National Versammlung vom 15. November welches ich bloß unter Couvert, ohne jedes Begleitschreiben, von Berlin aus an den Dr. Herzberg geschickt habe [...] Die im Eingange des speciellen Theils der Anklage erwähnten beiden Briefe [...] zum Beweise meiner feindseeligen Gesinnung gegen das Ministerium [...] sind bereits Gegenstand einer besonderen Anklage gegen mich wegen strafgesetzwidrigen Tadels von Regierungs-Maßregeln gewesen [...] Ich ersuche Sie nun ergebenst, die Vorladung des Rechtsanwalts von Hagen als Zeugen bei dem Schwurgericht gefälligst zu beantragen [...]". - Die Anklage gegen 42 Abgeordnete der 1848 von König Friedrich Wilhelm IV. aufgelösten "Preußischen National-Versammlung" ist in Zeitungen sowie einer eigenen, in vierzehn Einzelnummern erschienen Publikation, "Der Prozeß der Steuerverweigerung" (Berlin 1850), ausführlich dokumentiert. Vor der beklagten "Straftat" hatte Friedrich Wilhelm militärisch erzwungen, die Versammlungssitzungen von Berlin nach Brandenburg zu verlegen, worauf die Abgeordneten das Volk aufriefen, jegliche Steuerzahlung zu verweigern. Hermann Schulze-Delitzsch, der spätere "Vater des deutschen Genossenschaftswesens", gilt wohl als der berühmteste Angeklagte in diesem Prozess. Schließlich wurden alle der anwesenden Angeklagten freigesprochen mit Ausnahme von Lothar Bucher (1817-92), dem späteren engen Mitarbeiter Bismarcks. - Mit Sammlervermerk in Bleistift.‎

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‎[Probst, Carl, Maler (1854-1924)].‎

‎Eigenh. Bildpostkarte mit U. von der Hand seiner Frau Gisela. O. O., [wohl Ende 1923].‎

‎1 S. Qu.-8vo. An einen namentlich nicht genannten Adressaten mit "herzlichen Weihnachts- und Neujahrswünschen". - Mit eh. Grußzeile und U. einer Poldi Günther.‎

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‎[Prohaska, Karl, Komponist und Dirigent (1869-1927)].‎

‎Partezettel. Wien‎

‎1 S. 236:293 mm. Prohaska war von 1901 bis 1905 Dirigent des Warschauer Philharmonischen Orchesters, mußte das Dirigieren aber infolge eines Augenleidens aufgeben. 1908 wurde er Professor für Klavier und Musiktheorie am Konservatorium der Gesellschaft der Musikfreunde in Wien, 1925 Ordinarius an der Staatsakademie. Sein kompositorisches Werk umfaßt Kammer- und Klaviermusik sowie Lieder und Chöre.‎

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‎[PROUST]. - BEAUCHAMP (Louis de).‎

‎Le côté de Vinteuil.‎

‎Paris, Plon, 1966. In-8, broché, 278 pp. Edition originale numérotée sur Vélin. Bel envoi autographe de l'auteur adressé à Mr et Mme la Duchesse de Noailles. Essais sur Marcel PROUST, ROUSSEAU, BALZAC, STENDHAL, LAMARTINE, CHATEAUBRIAND.‎

‎[PROUST]. - DIESBACH Ghislain de.‎

‎Proust.‎

‎Paris, Perrin, 1991. Fort in-8, broché, couverture illustrée, 775 pp. Edition originale. Planches hors-texte. Bel envoi autographe de l'auteur.‎

‎[PUY-de-DOME]‎

‎P.A.S. au ministre de la Guerre‎

‎Clermont-Ferrand, 16 thermidor an 7, 1799 in-folio, 3 pp., en-tête du Commissaire du Directoire du Puy de Dôme, avec petite vignette républicaine ; section ajouté à la main de la Gendarmerie nationale.‎

‎Intéressant rapport en faveur de la Gendarmerie en date du 16 thermidor an 7 (3 août 1799) adressé à Bernadotte alors ministre de la Guerre et signé du Commissaire du Directoire exécutif ; après un rapide aperçu de la situation dans le Puy-de-Dome, il prone la réorganisation de la gendarmerie du département, demandant une indemnité pour leur mission extraordinaire :"(…) Dans un moment où tout ce que la République a d'ennemis, s'agite en tous sens pour anéantir, où la malveillance semble quitter le masque dont elle couvrait ses desseins perfides, et tenter avec audace l'accomplissement de ses vues criminelles (…) l'absence d'une force armée assez nombreuse pour réprimer dans ce département, les coupables entreprises des ennemis de la chose publique, pour inspirer une terreur nécessaire aux nombreux partisans de la Royauté, exige que l'on appelle souvent dans un même lieu des gendarmes domiciliés dans différentes communes (…) Jusqu'à présent, les gendarmes requis pour ces corvées, qui ne sont pas comprises dans les devoirs que la Loi leur impose, ont été cependant obligés de les faire à leur frais (…) Les gendarmes mettraient plus d'activité et de zèle à s'acquitter de ces corvées extraordinaires, s'ils savaient que ce ne sera plus désormais au détriment de leurs intérêts (…). etc."‎

Bookseller reference : 166686

‎[Pée, Herbert, Kunsthistoriker und Museumsleiter (1913-1998)].‎

‎Korrespondenzsammlung. Verschiedene Orte, 1959-1986.‎

‎Zusammen 164½ SS. auf 155 Bll. Verschiedene Formate. Einige mit kleinen Zeichnungen. Der promovierte Kunsthistoriker Pée leitete von 1952 bis 1970 das Ulmer Museum und von 1970 bis 1977 die Graphische Sammlung in München. Pée zog es beim damaligen begrenzten Etat vor, erstklassige Kunst auf Papier zu sammeln statt weniger qualitätvolle Malerei und Skulptur. 1959, 1960 und 1963 war Pée deutscher Kommissar für die Biennale für Junge Kunst in Paris; 1967, 1969 und 1971 deutscher Kommissar bei der Biennale Sao Paulo. - Die hier gesammelte Korrespondenz mit 25 Künstlern (mehrheitlich Maler und Graphiker) gestattet einen interessanten Einblick in deren Arbeiten, Arbeitsweisen und Techniken, und bespricht Kollegen, Ausstellungen, Museumspolitik und ihre Repräsentanten, den Kunsthandel, Honorare, Affären, Intrigen sowie Privates und Problematisches. - Die Beiträger im einzelnen sind: 1) Josef Albers: Eh. Brief mit U. 1970. 1 S. - 2) Horst Antes: 7 (6 eh. und 1 ms.) Briefe mit U. und 1 eh. Kte. mit U. 1962 bis 1997. 12½ SS. auf 12 Bll. Ein Brief mit kleiner Zeichnung. - 3) Julius Bissier: 5 (4 eh. und 1 ms.) Briefe mit U. und 8 eh. Karten mit U. 1962 bis 1964. Zusammen 10 SS. auf 13 Bll. Beiliegend ein eh Br. mit U. von Bissiers Frau Elisabeth (Lisbeth). - 4) Peter Brüning: Ms. Bildpostkarte mit U. 1959. ½ S. - 5) Lothar-Günther Buchheim: Ms. Br. mit U. 1986. 1 S. - 6) Pierre Courtin: 2 eh. Briefe mit U. 1966. 4½ SS. auf 3 Bll. - 7) Wolfgang Gäfgen: 3 eh. Briefe mit U. und 1 eh. Brief-Kte. mit U. 1977 bis 1983. 5½ SS. auf 4 Bll. - 8) Günter Haese: 7 eh. Briefe mit U. und 1 eh. Brief-Kte. mit U. 1964 bis 1968. 14 SS. auf 15 Bll. - 9) Erich Heckel: Ms. Br. mit U. 1963. 1 S. - 10) Alfred Hofkunst: Eh. Brief mit U. 1972. 2 SS. - 11) Erhart Kästner: Ms. Br. mit U. 1966. ½ S. - 12) Peter Kampehl: Eh. Brief mit U. und 1 eh. Bildpostkarte mit U. 1972. Zusammen 1½ SS. - 13) Rainer Küchenmeister: 18 eh. Briefe mit U. 1962 bis 1983. 32½ SS. auf 23 Bll. - 14) Almir Mavignier: 2 (1 ms. und 1 eh.) Briefe mit U. 1965 und 1983. 2 SS. auf 2 Bll. - 15) Christian Mischke: Eh. Brief mit U. 1986. ¾ S. auf 1 Bl. - 16) Rolf Nesch: Eh. Brief mit U. 1963. 1 S. - 17) Ernst Neukamp: 1 ms. Brief mit U. (Fragment) und 1 eh. Br. mit U. 1963. 3 SS. auf 3 Bll- Mit einer kleinen Skizze. - 18) Walter Pichler: Eh. Brief mit U. und eh. Postkte. mit U. 1977. Zusammen 4 SS. auf 4 Bll. (2 Bll. des Briefes mit stärkeren Randläsuren.) - 19) Heimrad Prem: Eh. Brief mit U. (1961/62?). 1 S. - 20) Josua Reichert: 17 eh. Briefe mit U. und 1 eh. Postkte. mit U. 1963 bis 1994. 21¾ SS. auf 22 Bll. - 21) Karlheinz Stockhausen: Eh. Brief mit U. 1963. ½ S. - 22) Werner Schreib: Eh. Bildpostkarte mit U. Um 1961. ½ S. - 23) Peter Vogt: 13 eh. Briefe mit U. und 10 eh. Ktn. mit U. 1979 bis 1997. 38½ SS. auf 37 Bll. - 24) Hans Jörg Voht: 2 eh. Briefe mit U. und 1 Photographie mit eh. Beschriftung ("Ein Boot aus Stein") und U. 1974 und 1981. 4 SS. auf 4 Bll. - 25) L. M. Wintersberger: Eh. Bildpostkarte mit U. (1975). 1 S.‎

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‎[PÉGUY]. - ROUSSEL (Jean).‎

‎Mesure de Péguy.‎

‎Paris, Corrêa, 1946. In-12, broché, 209 pp.‎

‎Envoi autographe de l'auteur. Photos sur demande.‎

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‎[QUENEAU (Raymond).] AURIC (Georges)‎

‎CHANSON DE "GERVAISE".‎

‎Paris Editions musicales Ray Ventura 1956 Un feuillet illustré plié grand in-4‎

‎EDITION ORIGINALE de la partition musicale de cette chanson extraite du film de René Clément GERVAISE. Les paroles de Raymond Queneau sont inscrites avec les portées. La première page est illustrée du portrait de Maria Schall qui tenait le rôle titre et des différents interprètes qui reprirent l'air dont Juliette Greco ou Eddy Barclay. ENVOI AUTOGRAPHE signé "R" de l'écrivain : « Chanson triste pour super triste pour qu'elle soit moins triste ». >>> C'est René Clément lui-même qui en septembre 1955 fit appel à Raymond Queneau pour écrire les cinq chansons de son long-métrage inspiré de L'ASSOMMOIR de Zola, qu'il tournait alors. Le film qui sort le 5 septembre 1956 est un vrai succès et les chansons de Queneau deviennent vite populaires. Elles sont donc reprises par de nombreux artistes parmi lesquels Juliette Greco qui avait déjà interprété six ans plus tôt un autre texte de l'écrivain : SI TU T'IMAGINES. TRES BON ETAT 0‎

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Librairie-Galerie Emmanuel Hutin
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‎[Quentin] Emile POITEAU - [Bienvillers-au-bois 1882 - 1968] - Poète, écrivain et romancier surnommé: le Barde de l'Artois‎

‎Manuscrit Autographe signé : "Note pour Monsieur Marchal" -‎

‎1 page in4 - et - Beau portrait en photogravure d'Emile Poiteau par Joseph Quentin - (20 x 30 cm marges incluses) -‎

‎Interessantes notes sur l'histoire de sa famille et surtout sur ses souvenirs avec Quentin : "Il arrivait souvent que mon grand père et mon oncle accompagnaient Monsieur Quentin et portaient son grand appareil" - Il a vu développer à Sainte Catherine nombre de ces clichés qu'il avait encadré à Bienvillers mais que les boches ont emportés - Il se rappelle aussi que Quentin avait photographié le cortège de Sadi Carnot à l'inauguration du boulevard Carnot, mais il ne sait ce qu'est devenu le cliché - Le portrait représente Emile Poiteau à sa table de travail - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

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