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GOMBROWICZ (Witold).
Tapuscrit du chapitre XII du Journal. - Correspondance en polonais et en espagnol adressée à sa compatriote Alicia de Giangrande.
1962 Tapuscrit de 12 pages in-4 avec corrections autographes, 1962 ; 9 lettres, dont 2 autographes et 7 dactylographiées signées, 25 août 1950 - 5 avril 1963, au total 10 pages in-4, 4 enveloppes conservées.Cette importante et rare correspondance de Gombrowicz adressée à une compatriote, exilée tout comme lui en Argentine, témoigne des efforts de l'écrivain pour promouvoir le rayonnement international de son oeuvre. Le précieux fragment tapuscrit que Gombrowicz a offert à sa correspondante recoupe l'ensemble du chapitre XII du Journal. C'est le récit du séjour que Gombrowicz fit en 1962 dans la maison d'Alicia et de son mari, à Hurlingham près de Buenos Aires. Après avoir maudit la promiscuité des transports en commun, l'écrivain se retrouve dans un havre de paix végétal et les peintures de son amie lui inspirent une belle réflexion sur l'art. Le tapuscrit présente une vingtaine de ratures et corrections autographes qui sont autant de variantes par rapport à l'édition imprimée.En 1950, Gombrowicz rencontre Yadwiga Alicia de Giangrande (1916-1999) à Buenos Aires où cette artiste-peintre polonaise a épousé un officier de marine argentin. Le 25 août 1950, comme elle s'apprête à faire un voyage à Paris, il lui envoie ses livres afin qu'elle puisse en parler autour d'elle en France : "Je vous donne tout ce que je possède, "Ferdydurke", le drame "Yvonne" et "Transatlantique". Un fardeau indigeste ! qui a été mal reçu par le groupe Ocampo, mais qu'importe puisque vous allez à Paris, où vous pourrez mesurer la vraie réputation de mon oeuvre ! Après tout, c'est là que se joue mon destin !"Gombrowicz ne croit pas si bien dire : c'est à partir de la publication française de Ferdydurke en 1958 qu'il va rompre son isolement. Dès le 1er mars, Gombrowicz se réjouit d'avoir reçu son contrat d'édition accompagné d'une lettre très positive de Julliard dont il rapporte les propos en français dans le texte : "plusieurs membres de mon comité de lecture m'ont chargé de vous féliciter de cette réussite exceptionnelle". Son traducteur Constantin Jelinski lui assure que Julliard est décidé à publier les Journaux quand leur traduction sera terminée. "J'ai Paris dans les mains" se réjouit-il, d'autant qu'on lui a rapporté que sa personnalité suscitait beaucoup de curiosité de la part des écrivains français. Le 28 décembre de la même année, il donne un compte rendu détaillé des articles qui sont parus sur lui en France. Il en attend d'autres au mois de janvier et cite une publicité de Julliard qui le présente comme "le plus grand écrivain polonais" (en français dans le texte). "C'est un argument formidable pour convaincre les éditeurs argentins de publier les Journaux". D'ailleurs Julian Gorkin, le rédacteur en chef de la revue Cuadernos, lui commande un article écrit par un auteur argentin à propos de Ferdydurke et de son succès en France, qu'il envisage d'accompagner d'extraits des Journaux. Gombrowicz demande donc à sa correspondante si elle connaît "un Argentin qui pourrait écrire quelque chose. Cela devrait être très éloquent puisque je ne me satisfais plus de n'importe quoi. Je me suis tellement éloigné des écrivains d'ici que je ne vois personne qui pourrait le faire. Mais vous connaissez beaucoup de gens et peut-être avez-vous des idées".Cette lettre est accompagnée d'une importante note sur la traduction des Journaux, écrite sans doute par Gombrowicz lui-même à la troisième personne (1 page in-4 dactylographiée avec apostille autographe) : l'auteur revient sur le succès en France de Ferdydurke qui devrait décider les éditeurs argentins non seulement à réimprimer la très bonne traduction espagnole de ce roman parue dix ans plus tôt, mais aussi à s'intéresser aux Journaux. "C'est un peu plus compliqué puisqu'ils n'ont pas été traduits en espagnol. Les éditeurs ne veulent pas prendre de risques avec un livre qu'ils ne connaissent pas. Mais si la traduction était faite, le livre serait sûrement publié tout de suite. D'abord parce qu'il est considéré comme la deuxième grande oeuvre de Gombrowicz, et aussi parce qu'il parle beaucoup d'Argentine. Milosz tient les "Journaux" pour le livre le plus important de la littérature polonaise depuis la guerre. En Pologne il est interdit à cause de sa critique du communisme, mais la presse était enthousiaste et c'est probablement l'oeuvre de Gombrowicz qui fait la plus forte impression sur le lecteur. Si l'on pouvait dès maintenant recevoir de l'argent pour traduire en espagnol les "Journaux", cela permettrait d'accélérer considérablement leur publication. 200 $ suffiraient sans doute, qui seraient déduits des droits d'auteur". Gombrowicz ajoute à la main : "Nous avons des propositions des plus grands éditeurs des USA, d'Italie et d'Allemagne, mais les revenus ne seront pas là avant quelques années".Sensible à ses difficultés, Alicia de Giangrande propose aussitôt à Gombrowicz de traduire elle-même les Journaux. Le 6 janvier 1959, l'écrivain se dit très touché par son offre, tout en réfrénant son enthousiasme : "Traduire un tel volume ne peut se faire rapidement ; c'est un travail d'une année entière et il faut d'abord voir si votre espagnol est suffisant pour accomplir cette tâche (...). Il y a deux méthodes pour faire cette traduction : 1/ payer plus cher (si l'on trouve de l'argent) un très bon traducteur afin d'obtenir une version française 2/ ou alors la réaliser avec une personne noble comme vous : cela voudrait dire que je devrais la surveiller et qu'un écrivain argentin devrait la corriger finalement". Il évoque d'autres traducteurs potentiels comme Asturias ou Landsberg.Mais Alicia s'accroche et Gombrowicz accuse réception le 30 janvier 1959 d'un essai de traduction de 29 pages qu'elle a réalisé à partir des Journaux : "J'ai oublié de vous dire qu'il serait mieux de choisir quelques extraits pour la presse - et surtout pas les pages sur la Pologne qui seront sûrement éliminées !". Il lui répète qu'il a peur de devoir surveiller de trop près la traduction : "c'est trop fatigant pour moi et cela me prend trop de temps".Malgré cette fin de non-recevoir, la correspondance se poursuit sous forme de lettres plus brèves, dont deux entièrement autographes, jusqu'au 5 avril 1963, date à laquelle Gombrowicz lui annonce son départ pour l'Europe : il logera chez Jelenski à Paris, avant d'être reçu à Berlin par la Fondation Ford.
Bookseller reference : 51622
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GOMBROWICZ (Witold).
Tapuscrit du chapitre XII du Journal. - Correspondance en polonais et en espagnol adressée à sa compatriote Alicia de Giangrande.
1962 Tapuscrit de 12 pages in-4 avec corrections autographes, 1962 ; 9 lettres, dont 2 autographes et 7 dactylographiées signées, 25 août 1950 - 5 avril 1963, au total 10 pages in-4, 4 enveloppes conservées.Cette importante et rare correspondance de Gombrowicz adressée à une compatriote, exilée tout comme lui en Argentine, témoigne des efforts de l'écrivain pour promouvoir le rayonnement international de son oeuvre. Le précieux fragment tapuscrit que Gombrowicz a offert à sa correspondante recoupe l'ensemble du chapitre XII du Journal. C'est le récit du séjour que Gombrowicz fit en 1962 dans la maison d'Alicia et de son mari, à Hurlingham près de Buenos Aires. Après avoir maudit la promiscuité des transports en commun, l'écrivain se retrouve dans un havre de paix végétal et les peintures de son amie lui inspirent une belle réflexion sur l'art. Le tapuscrit présente une vingtaine de ratures et corrections autographes qui sont autant de variantes par rapport à l'édition imprimée.En 1950, Gombrowicz rencontre Yadwiga Alicia de Giangrande (1916-1999) à Buenos Aires où cette artiste-peintre polonaise a épousé un officier de marine argentin. Le 25 août 1950, comme elle s'apprête à faire un voyage à Paris, il lui envoie ses livres afin qu'elle puisse en parler autour d'elle en France : "Je vous donne tout ce que je possède, "Ferdydurke", le drame "Yvonne" et "Transatlantique". Un fardeau indigeste ! qui a été mal reçu par le groupe Ocampo, mais qu'importe puisque vous allez à Paris, où vous pourrez mesurer la vraie réputation de mon oeuvre ! Après tout, c'est là que se joue mon destin !"Gombrowicz ne croit pas si bien dire : c'est à partir de la publication française de Ferdydurke en 1958 qu'il va rompre son isolement. Dès le 1er mars, Gombrowicz se réjouit d'avoir reçu son contrat d'édition accompagné d'une lettre très positive de Julliard dont il rapporte les propos en français dans le texte : "plusieurs membres de mon comité de lecture m'ont chargé de vous féliciter de cette réussite exceptionnelle". Son traducteur Constantin Jelinski lui assure que Julliard est décidé à publier les Journaux quand leur traduction sera terminée. "J'ai Paris dans les mains" se réjouit-il, d'autant qu'on lui a rapporté que sa personnalité suscitait beaucoup de curiosité de la part des écrivains français. Le 28 décembre de la même année, il donne un compte rendu détaillé des articles qui sont parus sur lui en France. Il en attend d'autres au mois de janvier et cite une publicité de Julliard qui le présente comme "le plus grand écrivain polonais" (en français dans le texte). "C'est un argument formidable pour convaincre les éditeurs argentins de publier les Journaux". D'ailleurs Julian Gorkin, le rédacteur en chef de la revue Cuadernos, lui commande un article écrit par un auteur argentin à propos de Ferdydurke et de son succès en France, qu'il envisage d'accompagner d'extraits des Journaux. Gombrowicz demande donc à sa correspondante si elle connaît "un Argentin qui pourrait écrire quelque chose. Cela devrait être très éloquent puisque je ne me satisfais plus de n'importe quoi. Je me suis tellement éloigné des écrivains d'ici que je ne vois personne qui pourrait le faire. Mais vous connaissez beaucoup de gens et peut-être avez-vous des idées".Cette lettre est accompagnée d'une importante note sur la traduction des Journaux, écrite sans doute par Gombrowicz lui-même à la troisième personne (1 page in-4 dactylographiée avec apostille autographe) : l'auteur revient sur le succès en France de Ferdydurke qui devrait décider les éditeurs argentins non seulement à réimprimer la très bonne traduction espagnole de ce roman parue dix ans plus tôt, mais aussi à s'intéresser aux Journaux. "C'est un peu plus compliqué puisqu'ils n'ont pas été traduits en espagnol. Les éditeurs ne veulent pas prendre de risques avec un livre qu'ils ne connaissent pas. Mais si la traduction était faite, le livre serait sûrement publié tout de suite. D'abord parce qu'il est considéré comme la deuxième grande oeuvre de Gombrowicz, et aussi parce qu'il parle beaucoup d'Argentine. Milosz tient les "Journaux" pour le livre le plus important de la littérature polonaise depuis la guerre. En Pologne il est interdit à cause de sa critique du communisme, mais la presse était enthousiaste et c'est probablement l'oeuvre de Gombrowicz qui fait la plus forte impression sur le lecteur. Si l'on pouvait dès maintenant recevoir de l'argent pour traduire en espagnol les "Journaux", cela permettrait d'accélérer considérablement leur publication. 200 $ suffiraient sans doute, qui seraient déduits des droits d'auteur". Gombrowicz ajoute à la main : "Nous avons des propositions des plus grands éditeurs des USA, d'Italie et d'Allemagne, mais les revenus ne seront pas là avant quelques années".Sensible à ses difficultés, Alicia de Giangrande propose aussitôt à Gombrowicz de traduire elle-même les Journaux. Le 6 janvier 1959, l'écrivain se dit très touché par son offre, tout en réfrénant son enthousiasme : "Traduire un tel volume ne peut se faire rapidement ; c'est un travail d'une année entière et il faut d'abord voir si votre espagnol est suffisant pour accomplir cette tâche (...). Il y a deux méthodes pour faire cette traduction : 1/ payer plus cher (si l'on trouve de l'argent) un très bon traducteur afin d'obtenir une version française 2/ ou alors la réaliser avec une personne noble comme vous : cela voudrait dire que je devrais la surveiller et qu'un écrivain argentin devrait la corriger finalement". Il évoque d'autres traducteurs potentiels comme Asturias ou Landsberg.Mais Alicia s'accroche et Gombrowicz accuse réception le 30 janvier 1959 d'un essai de traduction de 29 pages qu'elle a réalisé à partir des Journaux : "J'ai oublié de vous dire qu'il serait mieux de choisir quelques extraits pour la presse - et surtout pas les pages sur la Pologne qui seront sûrement éliminées !". Il lui répète qu'il a peur de devoir surveiller de trop près la traduction : "c'est trop fatigant pour moi et cela me prend trop de temps".Malgré cette fin de non-recevoir, la correspondance se poursuit sous forme de lettres plus brèves, dont deux entièrement autographes, jusqu'au 5 avril 1963, date à laquelle Gombrowicz lui annonce son départ pour l'Europe : il logera chez Jelenski à Paris, avant d'être reçu à Berlin par la Fondation Ford.
Bookseller reference : 51622
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Gombosi, Otto Johannes, Musikhistoriker (1902-1955)
Eigenh. Brief mit U.
o.J. Cambridge, Mass., 19. I. 1954, Gr.-4°. 2 Seiten.
Bookseller reference : 36847
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Gomes Viera Joao A.
O Homem e o Mar: Artistas Portugeuese Do Marfim e o Do Osso Dos Cetaceos - Acores e Madeira Vidas Ee Obras .
Lisbon : Intermezzo-Audiovisuais 2003 Man and and the Sea : Portuguese Scrimshaw Artists in Whale Tooth Ivory and Bone. The Azores and Madeirs - Their Lives and Works. Text in Portuguese and English. 200p. illus. bibliography. decorartive endpapers. Authoir inscription on title page . Signed by Author. First Edition. Hardcover Comb Binding. Fine/Fine. Intermezzo-Audiovisuais hardcover
Bookseller reference : 33121 ISBN : 9729605882 9789729605888
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Gomes, Antonio Carlos, Komponist (1836-1896).
Eigenh. Brief mit U. Maggianico, 20. VIII. 1884.
1 S. auf Doppelblatt. 8vo. In italienischer Sprache an David mit einer Zahlungsanweisung von insgesamt 90 Lire an seine Bedienstete Antonietta sowie seinen Koch, die beide noch am selben Nachmittag sein Haus verlassen: "I miei due domestici Antonietta ed il cuoco lasciano la mia casa alle 3 pomeridiane di quest'oggi. Due mesi all' Antonietta ... Lire 60 / Un mese al cuoco ... 30 / Totale Lire 90 [...]".
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GOMEZ Joseph "Pepper" 1927 2004
Inscribed Photograph Signed
"The Man with the Cast Iron Stomach" which opponents loved to jump on was an American wrestling star who debuted in 1953 held numerous world championships and reached the height of his popularity in the 1960s and '70s. IPS 8" X 10" n.p. n.y. ca. 1960. Very good. Minor tape stain at each corner. A handsome smiling bare-chested portrait of Gomez in his heyday inscribed in blue ballpoint at lower right "to Donald / Buena Suerte Good Luck / Pepper Gomez." Ink rather light thus contrast is fair only. Still an attractive piece and an uncommon autograph. unknown
Bookseller reference : 26374
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GOMEZ Vernon "Lefty" 1908 89
Signature
This left-handed pitcher debuted with the New York Yankees in 1930 remaining there until 1942; among many career highlights he played in five World Series and seven All-Star games and in 1972 was inducted into the Baseball Hall of Fame. Bold signature in bright red fineline on a heavy stock 5" X 3" card at left naturally of which is tipped a 2�" X 3" color glossy reproduction of a 1933 Gomez baseball card overall total dimensions thus 7" X 3". Undated but later life circa 1975. Fine. A fun presentation. unknown
Bookseller reference : 41528
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Gomperz, Heinrich, österr. Philosoph (1873-1942).
Ms. Sentenz mit eigenh. U. [Wien], o. D.
½ S. Folio (223:282 mm). Albumblatt mit gedruckter Bordüre und gedr. Fußzeile "Beitrag zum Selbstschriftenalbum 'Deutschlands Zukunft'", aufgezogen auf einen Bogen Pergamentpapier (ca. 330:344 mm). "Möge das ganze deutsche Volk in einem Reich sich einen, und doch die Eigenart jedes deutschen Stammes achten: mög' es für seinen Eigenwert die Anerkennung der Welt erstreiten, und doch auch den Eigenwert keines anderen Volks verkennen [...]". Geschrieben als Beitrag für die von Friedrich Koslowsky im Berliner Eigenbrödler-Verlag herausgegebene Faksimile-Anthologie "Deutschlands Köpfe der Gegenwart über Deutschlands Zukunft" (1928). Koslowsky 148.
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Gomperz, Theodor, klassischer Philologe (1832-1912).
Eigenh. Brief mit U. Wien, 1. V. 1905.
1 S. 12mo. An einen namentlich nicht genannten Adressaten: "Löblicher Vorstand, für den genußreichen Abend, den mir Ihre freundliche Einladung verschafft hat, sage ich meinen ergebensten Dank. Für die Zwecke, denen diese Feier gewidmet war, erlaube ich mir anbei den Betrag von Kr. 20 (zwanzig) zu widmen [...]".
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Gomperz, Theodor, klassischer Philologe (1832-1912).
Schreiben mit eigenh. U. Wien, 15. IV. 1912.
1½ SS. auf Doppelblatt. 8vo. Über ein neu geschaffenes Reise- und Ausbildungsstipendium an der Wiener Universität: "Ehemalige Schüler, Leser und Leserinnen meiner Bücher, Mitforscher, Kollegen, Freunde und Verwandte haben mir in wetteifernder Güte die Mittel geboten, über das Grab hinaus die Studien zu fördern, denen mein Leben gewidmet war. Ihnen insgesamt sei hierfür wärmster, innigster Dank gezollt! Auch im Namen all derjenigen, die aus der Frucht ihres Bemühens in naher und ferner Zukunft unmittelbaren oder mittelbaren Nutzen zu ziehen bestimmt sind. Jene Widmung soll meinem Wunsche gemäß in der Weise verwendet werden, daß ihr Zinsenertrag in Zwischenräumen von zwei, drei oder noch mehr Jahren, je nach den Wandlungen des Zinsfußes und der Kaufkraft des Geldes, angehende Altertumsforscher in den Stand setze, die Stätten des klassischen Altertums durch eigene Anschauung kennen zu lernen oder auch die Vollendung ihrer an der Wiener Universität begonnenen oder fortgesetzten Studien an anderen Hochschulen zu suchen [...] Es soll eine obere Altersgrenze festgesetzt werden, damit auch Jüngere vom Genusse dieses Bildungsmittels nicht ausgeschlossen werden, was gar leicht geschehen könnte, wenn Verdienste und Leistungen die alleinigen Entscheidungsgründe bilden würden. Einer Beschränkung des Stipendiums auf Bearbeiter einzelner Gebiete der klassischen Altertumswissenschaft hingegen widerstrebe ich darum, weil ich nicht dazu beitragen möchte, durch irgendeinen [...] äußerlichen Anreiz das allein gedeihliche freie Spiel individueller Neigungen und Begabungen zu beirren [...]".
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Gomperz-Bettelheim, Karoline von, Sängerin (1845-1926).
Eigenh. Brief mit U. O. O., 17. II. 1885.
1 S. 8vo. Mit eh. Adresse auf der Verso-Seite. An Emilie Schaup: "Darf ich Sie mit der Bitte belästigen, mir gütigst zu sagen, ob der Diener Josef Wiederreiter, welcher als Aushilfsdiener […] bis letzten Jänner 84 bei Ihnen beschäftigt war besonders empfehlenswert ist? Wir würden ihn eventuell aufnehmen […]". - Auf gemusterten Briefpapier. Gefaltet. - Karoline Gomperz-Bettelheim sang bis zu ihrer Ehe mit dem Industriellen und Politiker Julius Rt. v. Gomperz sechs Jahre lang an der Wiener Hofoper; ihre Stimme "reichte vom kleinen d bis zum dreigestrichenen c" (Eisenberg, Gr. biogr. Lex. der dt. Bühne im 19. Jh., s. v.). In Anerkennung ihrer Verdienste wurde sie von Kaiser Franz Joseph, der ihren Abgang äußerst bedauerte, mit dem Titel einer Kammersängerin ausgezeichnet.
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Gomperz-Bettelheim, Karoline von, Sängerin (1845-1926).
Eigenh. Brief mit U. O. O., 17. VIII. 1866.
4 SS. auf gefalt. Doppelblatt. 8vo. An einen namentlich nicht genannten Adressaten: "In Ihrem freundlichen Auftrage war unser lieber Freund Meyer so gut, mir Ihre Zufriedenheit mit meiner Wiedergabe von Meyerbeer's Afrikanerin mitzutheilen. Ich erlaube mir nur unbekannter Weise, Ihnen meine herzliche Freude, über Ihr geneigtes Urtheil auszusprechen […]". - Auf Briefpapier mit gepr. Monogramm. - Karoline Gomperz-Bettelheim sang bis zu ihrer Ehe mit dem Industriellen und Politiker Julius Rt. v. Gomperz sechs Jahre lang an der Wiener Hofoper; ihre Stimme "reichte vom kleinen d bis zum dreigestrichenen c" (Eisenberg, Gr. biogr. Lex. der dt. Bühne im 19. Jh., s. v.). In Anerkennung ihrer Verdienste wurde sie von Kaiser Franz Joseph, der ihren Abgang äußerst bedauerte, mit dem Titel einer Kammersängerin ausgezeichnet.
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GONCOURT], PICA (Vittorio).
"Votre fidèle ami de Naples". Lettere a Edmond de Goncourt (1881-1896). A cura di Nunzio Ruggiero.
Naples Alfredo Guida, coll. "Passagi e percosi" 2004 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 261 pp., index, en italien. Correspondance du critique italien à Edmond de Goncourt. Vittorio Pica (1864-1930) débute sa carrière littéraire à 18 ans en publiant un essai sur les frères Goncourt. Directeur de la revue d'art Emporium à partir de 1900, cet ami fidèle d'Edmond fut également l'un des initiateurs de la Biennale de Venise. Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé de Nunzio Ruggiero, qui présente cette édition, à Alain Barbier Sainte Marie.
Bookseller reference : 103193
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GONCOURT], PICA (Vittorio).
"Votre fidèle ami de Naples". Lettere a Edmond de Goncourt (1881-1896). A cura di Nunzio Ruggiero.
Naples Alfredo Guida, coll. "Passagi e percosi" 2004 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 261 pp., index, en italien. Correspondance du critique italien à Edmond de Goncourt. Vittorio Pica (1864-1930) débute sa carrière littéraire à 18 ans en publiant un essai sur les frères Goncourt. Directeur de la revue d'art Emporium à partir de 1900, cet ami fidèle d'Edmond fut également l'un des initiateurs de la Biennale de Venise. Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé de Nunzio Ruggiero, qui présente cette édition, à Alain Barbier Sainte Marie.
Bookseller reference : 103193
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GONCOURT], MUSTIERE (Henry).
Ainsi parlait Goncourt.
Paris Chez l'auteur 1930 1 vol. relié plaquette in-12, cartonnage de papier marbré titré en noir sur le premier plat, couvertures conservées, 15 pp. Édition originale de ce discours parodique en alexandrins pour saluer l'élection de Roland Dorgelès à l'Académie Goncourt. Tirage à petit nombre numéroté à la main (n° 144), avec envoi autographe de l'auteur. Ex-libris gravé René Herval et ex-libris manuscrit Barbier Sainte Marie.
Bookseller reference : 103310
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GONCOURT], MUSTIERE (Henry).
Ainsi parlait Goncourt.
Paris Chez l'auteur 1930 1 vol. relié plaquette in-12, cartonnage de papier marbré titré en noir sur le premier plat, couvertures conservées, 15 pp. Édition originale de ce discours parodique en alexandrins pour saluer l'élection de Roland Dorgelès à l'Académie Goncourt. Tirage à petit nombre numéroté à la main (n° 144), avec envoi autographe de l'auteur. Ex-libris gravé René Herval et ex-libris manuscrit Barbier Sainte Marie.
Bookseller reference : 103310
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GONCOURT (Jules de).
Billet autographe signé.
1 page in-16 sur papier bleu, "Rue St Georges 43" , "16 juillet 1858". "Voudriez-vous confier à a ma domestique Mr Eugène Labille que sa famille m'a chargé de faire sortir". Il s'agit de "Marin", le petit cousin des Goncourt, que sa mère Catherine avait placé collège Rollin, un institution "chic". Il est fait allusion ici à Rose Malingre la fameuse domestique qui servira de modèle à Germinie Lacerteux.
Bookseller reference : 103019
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GONCOURT (Jules de).
Billet autographe signé.
1 page in-16 sur papier bleu, "Rue St Georges 43" , "16 juillet 1858". "Voudriez-vous confier à a ma domestique Mr Eugène Labille que sa famille m'a chargé de faire sortir". Il s'agit de "Marin", le petit cousin des Goncourt, que sa mère Catherine avait placé collège Rollin, un institution "chic". Il est fait allusion ici à Rose Malingre la fameuse domestique qui servira de modèle à Germinie Lacerteux.
Bookseller reference : 103019
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GONCOURT (Edmond de).
Billet autographe signé adressé à un "cher ami".
1 page in-8 sur papier deuil à son nom imprimé, s.l., 1er septembre 1871, anciennes marques adhésives aux quatre coins du dos. Souffrant de migraine, il écrit de son lit pour prévenir qu'il ne pourra pas se rendre au dîner mais sera présent au prochain. Il s'agit probablement du "dîner Magny", cénacle littéraire fondé par Gavarni en 1862, auquel participaient régulièrement les frères Goncourt.
Bookseller reference : 104069
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GONCOURT (Edmond de).
Billet autographe signé adressé à un "cher ami".
1 page in-8 sur papier deuil à son nom imprimé, s.l., 1er septembre 1871, anciennes marques adhésives aux quatre coins du dos. Souffrant de migraine, il écrit de son lit pour prévenir qu'il ne pourra pas se rendre au dîner mais sera présent au prochain. Il s'agit probablement du "dîner Magny", cénacle littéraire fondé par Gavarni en 1862, auquel participaient régulièrement les frères Goncourt.
Bookseller reference : 104069
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GONCOURT (Edmond de) et DAUDET (Alphonse).
Correspondance. Edition établie, présentée et annotée par Pierre Dufief avec la collaboration de Anne-Simone Dufief.
Genève Librairie Droz 1996 1 vol. broché in-8, broché, 407 pp., index. Bel envoi autographe signé de Pierre Dufief à Alain Barbier Sainte Marie, avec quelques annotations de ce dernier.
Bookseller reference : 103313
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GONCOURT (Edmond de) et DAUDET (Alphonse).
Correspondance. Edition établie, présentée et annotée par Pierre Dufief avec la collaboration de Anne-Simone Dufief.
Genève Librairie Droz 1996 1 vol. broché in-8, broché, 407 pp., index. Bel envoi autographe signé de Pierre Dufief à Alain Barbier Sainte Marie, avec quelques annotations de ce dernier.
Bookseller reference : 103313
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GONCOURT], LORRAIN (Jean).
Correspondance de Jean Lorrain avec Edmond de Goncourt. Suivie d'un choix d'articles de Jean Lorrain consacrés à Edmond de Goncourt. Édition présentée et annotée par Eric Walbecq.
Tusson Du Lérot, coll. "D'après nature" 2003 1 vol. broché in-8, broché, 166 pp., 5 planches hors-texte. Un des 20 exemplaires de luxe enrichi d'un envoi autographe signé d'Eric Walbecq à Alain Barbier Sainte Marie
Bookseller reference : 103314
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GONCOURT], LORRAIN (Jean).
Correspondance de Jean Lorrain avec Edmond de Goncourt. Suivie d'un choix d'articles de Jean Lorrain consacrés à Edmond de Goncourt. Édition présentée et annotée par Eric Walbecq.
Tusson Du Lérot, coll. "D'après nature" 2003 1 vol. broché in-8, broché, 166 pp., 5 planches hors-texte. Un des 20 exemplaires de luxe enrichi d'un envoi autographe signé d'Eric Walbecq à Alain Barbier Sainte Marie
Bookseller reference : 103314
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GONCOURT], DEFFOUX (Léon).
Des origines de l'Académie Goncourt : Edmond de Goncourt, membre de l'Académie de Bellesme. Suivi du texte intégral du testament avec références et commentaires.
Paris Mercure de France 1921 1 vol. relié plaquette in-8, cartonnage de papier sable, dos lisse, pièce de titre de papier jaune titrée en noir sur le premier plat, non rogné, couvertures conservées, 31 pp. Tirage à part du Mercure de France, justifié et signé de la main de l'auteur, avec un envoi autographe signé à Jean Paulhan "pour le remercier de l'envoi de ses livres si riches de suggestions". Ex-libris manuscrit Barbier Sainte Marie. En bonne condition.
Bookseller reference : 103176
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GONCOURT], DEFFOUX (Léon).
Des origines de l'Académie Goncourt : Edmond de Goncourt, membre de l'Académie de Bellesme. Suivi du texte intégral du testament avec références et commentaires.
Paris Mercure de France 1921 1 vol. relié plaquette in-8, cartonnage de papier sable, dos lisse, pièce de titre de papier jaune titrée en noir sur le premier plat, non rogné, couvertures conservées, 31 pp. Tirage à part du Mercure de France, justifié et signé de la main de l'auteur, avec un envoi autographe signé à Jean Paulhan "pour le remercier de l'envoi de ses livres si riches de suggestions". Ex-libris manuscrit Barbier Sainte Marie. En bonne condition.
Bookseller reference : 103176
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GONCOURT], BANNOUR (Wanda).
Edmond et Jules de Goncourt ou le génie androgyne.
Paris Persona 1985 1 vol. broché in-8, broché, couverture à rabats illustrée, 292 pp., 16 planches hors-texte, bibliographie, chronologie. Édition originale. Envoi de l'auteur.
Bookseller reference : 103439
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GONCOURT], BANNOUR (Wanda).
Edmond et Jules de Goncourt ou le génie androgyne.
Paris Persona 1985 1 vol. broché in-8, broché, couverture à rabats illustrée, 292 pp., 16 planches hors-texte, bibliographie, chronologie. Édition originale. Envoi de l'auteur.
Bookseller reference : 103439
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GONCOURT (Edmond et Jules de).
En 18..
Paris Dumineray 1851 1 vol. Relié in-12, demi-maroquin rouge à coins, dos à nerfs, tête dorée, couvertures et dos conservés, non rogné (M. Lortic), 284 pp.Édition originale de ce premier roman déconcertant, d'une trame décousue et souvent incompréhensible, publié à compte d'auteur par deux frères inconnus, Edmond et Jules de Goncourt âgés de 29 et 21 ans. Un début de carrière sans fanfare, car la parution du livre, qui devait intervenir le 2 décembre 1851, fut suspendue par le coup d'État. L'imprimeur Gerdès jeta au feu les affiches qui signalaient la publication d'un "En 18.." au titre équivoque, pouvant passer pour une allusion au 18 Brumaire ! Il censura même certaines phrases qui auraient pu passer pour des allusions politiques... Sur 1 005 exemplaires (dont 5 vergé de Hollande), il ne s'en vendit à 3 francs qu'une soixantaine, plus 24 offerts. On verra dans la notice suivante comment le reste du tirage finit en autodafé !L'ouvrage suscita un seul article favorable, celui de Jules Janin paru dans le Journal des Débats du 15 décembre, puis cette "joie de première communion littéraire" fut douchée par l'article glacial d'Armand de Pontmartin qui, dans la Revue des Deux Mondes du 14 janvier 1852, les traitait de "vadius de tabagie", sinon de déséquilibrés... Mais avec le recul, on peut déceler dans cette oeuvre échevelée les prémices de leur talent d'écrivains chahutant la syntaxe, dénichant des néologismes, exaspérant le lecteur non prévenu par un nervosisme de style tournant au tic d'écriture qui les apparente davantage à des journalistes qu'à de vrais romanciers. Et on trouve certains de leurs thèmes favoris, la femme fatale, le XVIIIe siècle, le Japon... Tout est déjà là, en gestation, une ébauche prometteuse.Précieux exemplaire de présent, adressé à la rédaction de L'Illustration, enrichi d'un envoi autographe non signé de Jules de Goncourt sur la couverture.On joint une remarquable lettre autographe signée, inédite, d'Edmond de Goncourt à Charles de L'Escalopier, conservateur de la Bibliothèque de l'Arsenal (2 pages in-12 sur papier bleu, 2 janvier [1852]) : "Voici un livre écrit dans des jours de doute, de tristesse et de découragement. J'ai long temps hésité à vous l'envoyer, mais le feuilleton tout encourageant de Jules Janin peut vous tomber par les mains. Peut-être me taxeriez vous d'ingratitude pour la bienveillance que vous m'avez toujours témoignée ; mieux vaut encore que vous jetiez mon livre au feu. Ne nous faites pas tous deux complètement solidaires des doctrines interrogées dans ce volume, nous avons voulu peindre au vif un coin de ce pauvre 19ème siècle qui n'est comme vous le savez monsieur ni un siècle de foi, ni un siècle d'espérance".Reliure postérieure de Marcellin Lortic, successeur de son père qui avait été l'un des fournisseurs préférés des Goncourt. Ex-libris gravé en couleurs Paul Muret, ex-libris manuscrit Alain Barbier Sainte Marie.
Bookseller reference : 55353
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GONCOURT (Edmond et Jules de).
En 18..
Paris Dumineray 1851 1 vol. Relié in-12, demi-maroquin rouge à coins, dos à nerfs, tête dorée, couvertures et dos conservés, non rogné (M. Lortic), 284 pp.Édition originale de ce premier roman déconcertant, d'une trame décousue et souvent incompréhensible, publié à compte d'auteur par deux frères inconnus, Edmond et Jules de Goncourt âgés de 29 et 21 ans. Un début de carrière sans fanfare, car la parution du livre, qui devait intervenir le 2 décembre 1851, fut suspendue par le coup d'État. L'imprimeur Gerdès jeta au feu les affiches qui signalaient la publication d'un "En 18.." au titre équivoque, pouvant passer pour une allusion au 18 Brumaire ! Il censura même certaines phrases qui auraient pu passer pour des allusions politiques... Sur 1 005 exemplaires (dont 5 vergé de Hollande), il ne s'en vendit à 3 francs qu'une soixantaine, plus 24 offerts. On verra dans la notice suivante comment le reste du tirage finit en autodafé !L'ouvrage suscita un seul article favorable, celui de Jules Janin paru dans le Journal des Débats du 15 décembre, puis cette "joie de première communion littéraire" fut douchée par l'article glacial d'Armand de Pontmartin qui, dans la Revue des Deux Mondes du 14 janvier 1852, les traitait de "vadius de tabagie", sinon de déséquilibrés... Mais avec le recul, on peut déceler dans cette oeuvre échevelée les prémices de leur talent d'écrivains chahutant la syntaxe, dénichant des néologismes, exaspérant le lecteur non prévenu par un nervosisme de style tournant au tic d'écriture qui les apparente davantage à des journalistes qu'à de vrais romanciers. Et on trouve certains de leurs thèmes favoris, la femme fatale, le XVIIIe siècle, le Japon... Tout est déjà là, en gestation, une ébauche prometteuse.Précieux exemplaire de présent, adressé à la rédaction de L'Illustration, enrichi d'un envoi autographe non signé de Jules de Goncourt sur la couverture.On joint une remarquable lettre autographe signée, inédite, d'Edmond de Goncourt à Charles de L'Escalopier, conservateur de la Bibliothèque de l'Arsenal (2 pages in-12 sur papier bleu, 2 janvier [1852]) : "Voici un livre écrit dans des jours de doute, de tristesse et de découragement. J'ai long temps hésité à vous l'envoyer, mais le feuilleton tout encourageant de Jules Janin peut vous tomber par les mains. Peut-être me taxeriez vous d'ingratitude pour la bienveillance que vous m'avez toujours témoignée ; mieux vaut encore que vous jetiez mon livre au feu. Ne nous faites pas tous deux complètement solidaires des doctrines interrogées dans ce volume, nous avons voulu peindre au vif un coin de ce pauvre 19ème siècle qui n'est comme vous le savez monsieur ni un siècle de foi, ni un siècle d'espérance".Reliure postérieure de Marcellin Lortic, successeur de son père qui avait été l'un des fournisseurs préférés des Goncourt. Ex-libris gravé en couleurs Paul Muret, ex-libris manuscrit Alain Barbier Sainte Marie.
Bookseller reference : 55353
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GONCOURT (Edmond et Jules de).
Gavarni, l'homme et l'oeuvre.
Paris G. Charpentier 1879 1 vol. relié in-12, demi-percaline rouge avec filets dorés au dos, tranches mouchetées, VIII + 481 pp. Deuxième édition, en partie originale. Les nombreux passages inédits sont imprimés en italique. Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé d'Edmond de Goncourt à Louis de Fourcaud (1851-1914), homme de lettres et critique d'art plusieurs fois cité dans le Journal. Bon exemplaire en reliure d'époque.
Bookseller reference : 47254
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GONCOURT (Edmond et Jules de).
Gavarni, l'homme et l'oeuvre.
Paris G. Charpentier 1879 1 vol. relié in-12, demi-percaline rouge avec filets dorés au dos, tranches mouchetées, VIII + 481 pp. Deuxième édition, en partie originale. Les nombreux passages inédits sont imprimés en italique. Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé d'Edmond de Goncourt à Louis de Fourcaud (1851-1914), homme de lettres et critique d'art plusieurs fois cité dans le Journal. Bon exemplaire en reliure d'époque.
Bookseller reference : 47254
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GONCOURT, Jules et Edmond de ; (JEANNIOT, L.)
Germinie Lacerteux [ Livre dédicacé par l'auteur ]
Dix compositions par Jeanniot, gravées à l'eau-forte par L. Muller, 1 vol. grand in-8 reliure postérieure demi-chagrin bordeaux, couvertures conservées, Collection des Chefs-d'oeuvre du Roman contemporain, Maison Quantin, Paris, 1886, xix-294 pp. et 1 f. n. ch. avec 10 planches hors texte
Bookseller reference : 57222
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GONCOURT, Edmond de
Germinie Lacerteux. Pièce en dix tableaux, précédée d'un prologue et suivie d'un épilogue [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ]
Tirée du roman d'Edmond et Jules de Goncourt, 1 vol. in-12 br., G. Charpentier et Cie, Paris, 1888, (daté 1889 en couv.), 3 ff., VII pp., et 1 f., 134 pp. et 1 f. blanc
Bookseller reference : 58081
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GONZAGA Prince Alexandre
GONZAGA Prince Alexandre
Billet autographe signé, daté de 1856 à Monsieur Avond, avocat à la Cour d'Appel. Curieux billet en rapport avec cette interminable affaire de la famille Gonzaga dépossédée en 1815 … En feuille Très bon Londres 1856
Bookseller reference : 10281
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GONCOURT (Edmond et Jules de).
Henriette Maréchal. Drame en trois actes en prose représenté pour la première fois sur le Théâtre-Français, le 5 décembre 1865. Précédé d'une histoire de la pièce.
Paris A. Lacroix , Verboeckhoven & Cie 1866 1 vol. relié in-8, bradel demi-percaline bleu à coins, dos lisse avec pièce de titre de basane brune et fleuron doré, couvertures bleues conservées, non rogné, 142 ppEdition originale précédée d'un lever de rideau en vers par Théophile Gautier. Bénéficiant du soutien actif de la princesse Mathilde, les frères Goncourt eurent l'honneur de créer ce mélodrame à la Comédie-Française, ce qui les exposait aussi au zèle de la censure impériale... A vrai dire ils escomptaient un succès de scandale grâce à un tapage médiatique savamment orchestré, mais la pièce fut retirée de l'affiche après quelques représentations. Dans le texte placé en tête du volume ils tentent de faire passer ce fiasco pour une injustice, se montrant plus mauvais joueurs encore que malheureux dramaturges...Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé postérieur d'Edmond de Goncourt au collectionneur Paul Gallimard (1850-1929), le père de Gaston. L'exemplaire comprend aussi un billet autographe signé de Jules de Goncourt proposant à un critique dramatique de venir retirer une place pour la première d'Henriette Maréchal (5 lignes sur p. in-8, s.d. [décembre 1865]). Ex-libris manuscrit Barbier Sainte Marie.
Bookseller reference : 102257
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GONCOURT (Edmond et Jules de).
Henriette Maréchal. Drame en trois actes en prose représenté pour la première fois sur le Théâtre-Français, le 5 décembre 1865. Précédé d'une histoire de la pièce.
Paris A. Lacroix , Verboeckhoven & Cie 1866 1 vol. relié in-8, bradel demi-percaline bleu à coins, dos lisse avec pièce de titre de basane brune et fleuron doré, couvertures bleues conservées, non rogné, 142 ppEdition originale précédée d'un lever de rideau en vers par Théophile Gautier. Bénéficiant du soutien actif de la princesse Mathilde, les frères Goncourt eurent l'honneur de créer ce mélodrame à la Comédie-Française, ce qui les exposait aussi au zèle de la censure impériale... A vrai dire ils escomptaient un succès de scandale grâce à un tapage médiatique savamment orchestré, mais la pièce fut retirée de l'affiche après quelques représentations. Dans le texte placé en tête du volume ils tentent de faire passer ce fiasco pour une injustice, se montrant plus mauvais joueurs encore que malheureux dramaturges...Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé postérieur d'Edmond de Goncourt au collectionneur Paul Gallimard (1850-1929), le père de Gaston. L'exemplaire comprend aussi un billet autographe signé de Jules de Goncourt proposant à un critique dramatique de venir retirer une place pour la première d'Henriette Maréchal (5 lignes sur p. in-8, s.d. [décembre 1865]). Ex-libris manuscrit Barbier Sainte Marie.
Bookseller reference : 102257
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GONNARD René
Histoire des doctrines économiques.
PICHON & DURAND-AUZIAS.. 1943. In-8. Relié toilé. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 727 pages. Dos en toile noire.. . . . Classification Dewey : 929.88-Autographes
Bookseller reference : RO20041383
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GONCOURT (Edmond et Jules de).
Idées et sensations.
Paris Librairie Internationale Lacroix, Verboeckhoven et Cie 1866 1 vol. relié gr. in-8, demi-bradel orange pâle, dos lisse avec pièce de titre de maroquin bleu, fleuron doré et date en pied, couvertures conservées, 255 pp.Édition originale de ce recueil de maximes et d'aphorismes teintés d'ironie que les frères Goncourt ont extrait de leur Journal pour le dédier à Gustave Flaubert. Cet ouvrage méconnu et assez rare évoque immanquablement le futur "Dictionnaire des idées reçues".Bon exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé postérieur d'Edmond de Goncourt à son jeune ami le médecin psychiatre et essayiste Maurice de Fleury (1860-1931). Ex-libris gravé de ce dernier, ainsi que l'ex-libris gravé érotique de Claude Hesbert et l'ex-libris gravé manuscrit d'Alain Barbier Sainte Marie.
Bookseller reference : 102299
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GONCOURT (Edmond et Jules de).
Idées et sensations.
Paris Librairie Internationale Lacroix, Verboeckhoven et Cie 1866 1 vol. relié gr. in-8, demi-bradel orange pâle, dos lisse avec pièce de titre de maroquin bleu, fleuron doré et date en pied, couvertures conservées, 255 pp.Édition originale de ce recueil de maximes et d'aphorismes teintés d'ironie que les frères Goncourt ont extrait de leur Journal pour le dédier à Gustave Flaubert. Cet ouvrage méconnu et assez rare évoque immanquablement le futur "Dictionnaire des idées reçues".Bon exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé postérieur d'Edmond de Goncourt à son jeune ami le médecin psychiatre et essayiste Maurice de Fleury (1860-1931). Ex-libris gravé de ce dernier, ainsi que l'ex-libris gravé érotique de Claude Hesbert et l'ex-libris gravé manuscrit d'Alain Barbier Sainte Marie.
Bookseller reference : 102299
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GONZAGUE-FRICK Louis de
Ingrès
R. Debresse, Paris 1935, 14x19cm, broché.
Bookseller reference : 19294
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GONZAGUE FRICK, Louis de.
Ingrès.
Paris, Editions René Debresse, 1935 ; plaquette in-8° brochée, couverture ocre imprimée en noir; 58pp.,1f.nch. Couverture défraichie, avec petits manques angulaires, le 1er plat se détache.
Bookseller reference : c4955
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GONCOURT Edmond & Jules de
Journal des Goncourt - Mémoires de la vie littéraire
Charpentier & Cie, Paris 1887-1896, 12x19cm, 9 volumes reliés.
Bookseller reference : 42795
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GONTIER, Gilles
La chronique Raskolnikov [ Livre dédicacé par l'auteur ]
1 vol. in-8 br., Pierre Bordas et Fils, 1984, 65 pp.
Bookseller reference : 46922
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GONCOURT, Edmond de
La Saint-Huberty d'après sa Correspondance et ses Papiers de Famille [ Livre dédicacé par l'auteur ]
Frontispice gravé à l'eau-forte par Lalauze, 1 vol. in-12 br., E. Dentu, Paris, 1882, 258 pp.
Bookseller reference : 57277
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GONDRECOURT A. de
La guerre et ses engins
A. Cadot & Degorce, Paris 1866, 14x23cm, broché.
Bookseller reference : 28022
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GONCOURT Edmond & Jules de
La patrie en danger
Dentu, Paris s.d. (1873), 15x24cm, relié.
Bookseller reference : 55113
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GONOD (Michel).
La deuxième porte. Les derniers jours de la guillotine.
Paris Editions Jean Picollec, coll. "Dossiers" 1981 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 164 pp. Avec cet envoi de l'auteur : "Pour Jean Mauriac, cet adieu (joyeux et brutal) à la guillotine en souhaitant qu'il ne soit pas trop choqué par mes attaques contre son ami Peyrefitte. Amicalement".
Bookseller reference : 98608
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GONOD (Michel).
La deuxième porte. Les derniers jours de la guillotine.
Paris Editions Jean Picollec, coll. "Dossiers" 1981 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 164 pp. Avec cet envoi de l'auteur : "Pour Jean Mauriac, cet adieu (joyeux et brutal) à la guillotine en souhaitant qu'il ne soit pas trop choqué par mes attaques contre son ami Peyrefitte. Amicalement".
Bookseller reference : 98608
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GONCOURT (Edmond et Jules de).
La Patrie en danger. Drame en cinq actes en prose.
Paris E. Dentu, s.d. [1873] 1 vol. relié in-8, demi-veau bleu canard à coins, dos à nerfs, non rogné, couvertures conservées, 139 pp.Edition originale de cette pièce écrite en 1867 à quatre mains, mais refusée à la Comédie Française le 7 mars 1868. Dans sa préface, Edmond en rejette la responsabilité sur la censure impériale et craint que les choses aient peu changé sous la nouvelle République : "un jour que nous devons tous espérer, cette oeuvre mort-née sera peut-être jugée digne d'être la voix avec laquelle un théâtre national fouettera le patriotisme à la France"...Envoi autographe signé d'Edmond de Goncourt au critique dramatique Venet, "un ancien collaborateur du Paris" dont on trouve un effroyable portrait dans le Journal en date du 12 octobre 1856 et qui servit de modèle au personnage de Malgras dans les Hommes de Lettres. Excellent exemplaire de cette originale assez rare.
Bookseller reference : 102583
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