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DURRELL Lawrence
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun "j'ai subi des "tests" [...] pour savoir si je suis éternel ou non - ou si le pneu est crevé quelque part..."
29 juin 1978, 13,1x8,5cm, une carte de visite, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70543
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "youth at the prow and beauty at the helm" luxe et voupté - dans le Club Méditerranée, everything is done for you"
Grèce 28 mai1981, 14,6x10,2cm, une carte postale.
Bookseller reference : 70551
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : tournage du film adapté de son livre "Justine"
Sommières 3 janvier 1969, 14,6x10,2cm, une carte postale.
Bookseller reference : 70552
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "dear and pretty chapeau jaune [...] phone-moi veux-tu ?"
Sommières 20 juin1968, 14,6x10,2cm, une carte postale.
Bookseller reference : 70553
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "je tripote des livres, des nuages, des femmes, et des calembours"
Sommières 10 novembre 1969, 13,9x10,1cm, une carte postale, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70623
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DURRELL Lawrence
Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun
Sommières circa 1970, 9,5x6,5cm, une carte de visite sous enveloppe.
Bookseller reference : 70626
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "m[ake] great haste"
Sommières 2 février 1970, 8,7x12,7cm, une carte postale, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70629
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée adressée à Jani Brun : "je suis vraiment navré pour le voyage"
Sommières 16 septembre 1971, 17,9x12,8cm, un feuillet.
Bookseller reference : 70820
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DURRELL Lawrence
Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun
Sommières circa 1970, 9,5x6,5cm, une carte de visite.
Bookseller reference : 70821
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "J'espère que la pièce mérite notre déplacement"
Sommières 6-10-1971, 10,5x15cm, une carte postale.
Bookseller reference : 73350
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "L'oreiller militaire français"
Sommières 14-09-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe.
Bookseller reference : 73353
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "D'avoir soixante ans et d'être aimé (très mal d'ailleurs) par les vampires"
Sommières 20-04-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe.
Bookseller reference : 73354
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Buttons. Je ne vous crois pas !"
Sommières 12-02-1971, 10,5x14,5cm, une carte postale et enveloppe.
Bookseller reference : 73355
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Tout le monde chez Bernard Stone demande de vos nouvelles"
London 29-11-1980, 10,2x15,3cm, une carte postale.
Bookseller reference : 73357
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "Pour notre dernier jour de tournage on va filmer Pharaon"
Egypte [1971], 10,5x15cm, une carte postale.
Bookseller reference : 73360
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui."
Malibu s. d., 10,5x15cm, une carte postale.
Bookseller reference : 73367
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DURRELL Lawrence
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée depuis Edimbourg à Jani Brun : "Si tu es libre de me joindre... faites moi signed"
Edimbourg 4 octobre 1980, 10x14,5cm, une carte postale + une enveloppe.
Bookseller reference : 83025
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DURRIEU, (comte Paul):
Fondation Eugène Piot. Livre de prières peint pour Charles le Téméraire par son enlumineur en titre Philippe de Mazerolles (le maitre de la conquête de la Toison dOr).
Paris, Ernest Leroux, 1916, in-4to, 62 p. + 1 feuille + ill. de 24 fig. in-t. + 4 planches (avec16 ill.) h-t. en héliogravure, envoi ms. de l’auteur: Présenté par M. le Comte Paul Durrieu à M. de Paralta Paris 25 juin 1922, relioure en d.toile aux coins sur brochure orig. Bel exemplaire.
Bookseller reference : 136498aaf
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DURRIEU, Paul (1855-1925).
La Miniature Flamand au temps de la Cour de Bourgogne (1415-1530). Ouvrage publi avec le concours de l'Acadmie des Inscriptions et Belles-Lettre (Fondation Piot).
Bruxelles & Paris, G. Van Oest et Cie, 1921. 80, [iv] pp. Folio (27,5 x 36,5 cm.). Contemporary half green grained morocco; spine with 5 raised bands, gilt lettered, in compartments gilt decorated with floral motive; hand made marbled boards and marbled end-papers; top edges gilt; original printed wrapper bound in; preserved in a matching slipcase. With 103 fine plates in helio-engraving, depicting 153 miniatures. Title printed in red and black.
Bookseller reference : 2218
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DURANTY.
Le Malheur d'Henriette Gérard. Préface de Jean Paulhan.
Paris Gallimard 1942 1 vol. Relié in-8, bradel pleine toile verte, pièce de titre de basane fauve au dos, tête dorée, couvertures et dos conservés, non rogné (Honnelaître), XV + 351 pp. Nouvelle édition, à l'initiative de Jean Paulhan qui donne une préface en originale. Exemplaire du service de presse (il n'a pas été tiré de grand papier) enrichi d'un envoi de Paulhan daté du 11 juillet 1942 et d'un billet autographe signé du même adressé à une dame (certainement Yanette Delétang-Tardif, 2 ff. in-24 sur papier mauve où Paulhan a collé un petit portrait photographique de Duranty en tirage moderne). Très bel exemplaire.
Bookseller reference : 7666
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DURANTY.
Le Malheur d'Henriette Gérard. Préface de Jean Paulhan.
Paris Gallimard 1942 1 vol. Relié in-8, bradel pleine toile verte, pièce de titre de basane fauve au dos, tête dorée, couvertures et dos conservés, non rogné (Honnelaître), XV + 351 pp. Nouvelle édition, à l'initiative de Jean Paulhan qui donne une préface en originale. Exemplaire du service de presse (il n'a pas été tiré de grand papier) enrichi d'un envoi de Paulhan daté du 11 juillet 1942 et d'un billet autographe signé du même adressé à une dame (certainement Yanette Delétang-Tardif, 2 ff. in-24 sur papier mauve où Paulhan a collé un petit portrait photographique de Duranty en tirage moderne). Très bel exemplaire.
Bookseller reference : 7666
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DURET René
les facteurs pratiques de la croyance dans la perception
in 8 broché,faux-titre,titre,III,254 pages,XI bibliographie.Félix Alcan bibliothèque de philosophie contemporaine 1929,envoi manuscrit de l’auteur
Bookseller reference : 6512
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DURANT François
Les Élémens de la matière bénéficiale
Tolose Bernard Bosc 1668 in-4 vélin ivoire, dos à nerfs, titre calligraphié, [Rel. anc.], petits accrocs à la reliure, légères et rares rouss
Bookseller reference : 21020
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DURTAIN Luc - écrivain français
Lettre Autographe Signée à Christian Melchior-Bonnet - Paris le 8 octobre 1955 -
1 page in4 - trés bon état -
Bookseller reference : GF16056
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DURTAIN Luc - [Paris 1881 - 1959] - écrivain français
Lettre Autographe Signée à Christian Melchior-Bonnet - Paris le 6 février 1956 -
1 page in4 - bon état -
Bookseller reference : GF17890
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DURTAIN Luc - écrivain français
Lettre Autographe Signée à Christian Melchior-Bonnet - Paris le 24 mars 1956 -
1 page in4 - bon état -
Bookseller reference : GF20325
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DURTAIN Luc - écrivain français
Lettre Autographe Signée à Christian Melchior-Bonnet - Paris le 9 juillet 1956 -
1 page in4 - bon état -
Bookseller reference : GF20326
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DURTAIN Luc - écrivain français
Lettre Autographe Signée à Christian Melchior-Bonnet - Paris le 16 septembre 1955 -
1 page in4 - bon état -
Bookseller reference : GF20327
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DURTAIN Luc - écrivain français
Lettre Autographe Signée à Christian Melchior-Bonnet - Paris le 21 juin 1955 -
1 page in4 - bon état -
Bookseller reference : GF20328
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DURANTIN Armand - (Senlis 1818 - 1892) - Auteur dramatique français
Lettre Autographe Signée à Victor Ratier - 10 avril 1840 -
1 page in8 - bon état -
Bookseller reference : GF23891
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DURANTIN Armand - (Senlis 1818 - 1892) - Auteur dramatique français
Lettre Autographe Signée à Victor Ratier - 3 juin 1840 -
1 page in8 - bon état -
Bookseller reference : GF23892
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DURUY (Victor).
Lettre autographe signée adressée à Jules Claretie.
1 page in-16 à son adresse imprimée "Villeneuve St Georges", 14 septembre 1869. Tout juste libéré de sa fonction de Ministre de l'Instruction publique, Victor Duruy est invité à l'inuaguration du canal de Suez par le Khédive Ismaïl Pacha. "S.S. Nubar Pacha [ministre des affaires étrangères d'Egypte] m'engage à recourir à vous pour toutes les informations nécessaires à ce voyage. Voulez-vous, Monsieur, me dire où et quand je pourrais causer quelques instants avec vous".
Bookseller reference : 96612
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DURUY (Victor).
Lettre autographe signée adressée à Jules Claretie.
1 page in-16 à son adresse imprimée "Villeneuve St Georges", 14 septembre 1869. Tout juste libéré de sa fonction de Ministre de l'Instruction publique, Victor Duruy est invité à l'inuaguration du canal de Suez par le Khédive Ismaïl Pacha. "S.S. Nubar Pacha [ministre des affaires étrangères d'Egypte] m'engage à recourir à vous pour toutes les informations nécessaires à ce voyage. Voulez-vous, Monsieur, me dire où et quand je pourrais causer quelques instants avec vous".
Bookseller reference : 96612
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DURTAIN (Luc).
Lettre autographe signée adressée à [Ali Héritier, journaliste à Cinémonde].
1929 1 p. in-4, à son adresse imprimée du "20 Boulevard Barbès " (Paris), 13 juillet 1929. De l'influence du cinéma, art naissant, sur le théâtre. "Comme la photographie a nettoyé la peinture de ce qui n'était pas "peinture", je crois que le cinéma pourra faire apparaître dans le théâtre maintes parties, maintes habitudes qui ne sont pas "théâtre" "...
Bookseller reference : 110759
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DURTAIN (Luc).
Lettre autographe signée adressée à [Ali Héritier, journaliste à Cinémonde].
1929 1 p. in-4, à son adresse imprimée du "20 Boulevard Barbès " (Paris), 13 juillet 1929. De l'influence du cinéma, art naissant, sur le théâtre. "Comme la photographie a nettoyé la peinture de ce qui n'était pas "peinture", je crois que le cinéma pourra faire apparaître dans le théâtre maintes parties, maintes habitudes qui ne sont pas "théâtre" "...
Bookseller reference : 110759
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "Je suis rentré fatigué mais content à Sommières"
Sommières 16 octobre 1971, 13,4x20,9cm, une page, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70541
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun depuis Montréal : "mais c'est loin, bien loin de Montpellier : c'est l'âme qui devient sourd, muet, entassée dans la neige et les brumes de printemps"
Montréal 11 mars 1968, 13,7x21,5cm, 2 pages sur un feuillet, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70619
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DURRELL Lawrence
Lettre dactylographiée et autographe signée adressée à Jani Brun : "le babysitting ; assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire"
Sommières 23 janvier 1970, 13x20cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70620
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "Toi, tu peux m'écrire en Français. J'ai du mal à l'écrire mais je le comprends très bien".
Paris 18 juillet 1969, 21,6x28cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70624
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun : "le MONTAGUE HOTEL à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable"
Sommières 22 août 1969, 12,6x20,3cm, 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe.
Bookseller reference : 70627
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DURRELL Lawrence
Lettre autographe signée adressée à Jani Brun à propos du roman Tunc: "maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main"
Sommières 18 juillet 1968, 21,2x13,4cm, 1 feuillet sous enveloppe.
Bookseller reference : 70824
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DURAND Ernest
SAINT-DIZIER et ses environs.
In 12 cartonné souple,dos toilé, premier plat illustré, titre,56 pages,31 pages de publicités,complet du grand plan dépliant de Saint-Dizier,illustrations photographiques dans le texte,Saint-Dizier,André Brulliard Maître imprimeur 1910.Petit envoi manuscrit de l’auteur,Bon exemplaire
Bookseller reference : 7903
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Durfort, duc de Duras, Amédée-Bretagne-Malo de, Politiker und Akademiemitglied (1771-1838)
Eigenh. Brief mit U.
o.J. Paris, 14. XI. 1819, 4° (25 x 20 cm). 1 Seite. Doppelblatt mit Adresse, Trauersiegel und Ausriss.
Bookseller reference : 57974
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DURRELL Lawrence
"Vaumort" : poème autographe signé et illustré par l'auteur à son amante française
- 1969, 30,4x39,5cm, une feuille. - "I knew that whenever I want to be perfectly alone With the memory of you, of that whole day, It's to Vaumort that I'll be turning." Exceptional handwritten poem dated 1969, signed and illustrated with original drawings in graphite, markers and colour pencils by Lawrence Durrell. The poem-art work is sent to Janine Brun, his French lover, and has the inscription "For Buttons," the affectionate nickname given to her by the writer, on top of a heart pierced by an arrow. Pin holes, marginal tears. Published for the first time in Collected Poems: 1931-1974 (1980). In this poem-drawing, the writer looks back on a day of love spent in the company of his lover Janine Brun in the cemetery of the small village of Yonne. At the same time, Durrell is painfully recovering from the premature death of this third wife two years earlier and publishes his series of dystopian novels Nunc (1968) and Nunquam (1970). He also takes refuge in poetry, the last exercise of literary and philosophical asceticism of a writer who, gradually, chooses to withdraw from the world. It is during a journey from the capital towards the Midi in the south, that the lovers stopped for a day in Vaumort: "Below us, far away, the road to Paris. You pour some wine upon a tomb. The bees drink with us, the dead [approve." Durrell's poetry has suffered from the resounding success of his novels, however, here it achieves great lyrical beauty, its free verse, nevertheless, very musical, picking up the cemetery's well-known motif: "One careless cemetery buzzes on and on As if her tombstones were all hives Overturned by the impatient dead We imagined they had stored up he honey their of their immortality In the soft commotion the black bees make." Here the writer attempts to capture in the poem a moment of happiness and carnal pleasure with his lover, and frames the verse he has written in long, graphite lines and many brightly coloured drawings. Here we have a rare example of a double work of art, both poetic and pictorial. Produced in marker and colour pencil, similar to the drawings of Joan Miró, it is a magnificent illustration marked with naivety, which beautifully complements the poem. Durrell continued this activity until the end of his life, which he spent in Sommières: Incidentally, we can also see a real pictorial reference to the "burnt and dusty Languedoc" (verse 12), where he spent the rest of his life. Rare testimony of Durrell's Provençal adventure with the young French lady, who inspired him to write a delightful poem imbued with warmth and Mediterranean colours. [FRENCH VERSION FOLLOWS] Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «?maison Tartès?», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «?Jany?» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «?Buttons?» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «?Buttons?», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèren
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DURRELL Lawrence
Amusante lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun : "... Vous serez cup-bearer, sword-bearer, spear-holder, food-taster, centurion, sherpa, et caddy..."
- Edimbourg 24 mars 1973, 13,5x21cm, une feuille + une enveloppe. - Drôle lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, redigée aux feutres noir, marron et mauve (15 lignes), entremêlant français et anglais enveloppe jointe écrite aux feutres mauve et noir. La lettre est a en-tête de sa maison de Sommières dans le Gard. "Buttons - telephone moi le soir lundi mardi - ou un de ces matins - apropos Cannes ! Vous serez cup-bearer, sword-bearer, spear-holder, food-taster, centurion, sherpa, et caddy - pourquoi des mots n'existent t-ils pas en français ? Faut parler à Duhamel. Le caïd". Au dessus du premier mot de la lettre, Lawrence Durrell a inscrit au feutre marron : "Mais compromettant ! " et en bas de la lettre, au feutre mauve, : "Ecrivez plus clairment" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite autographe adressée à Jani Brun
- Sommières 2 février 1979, 12,7x8,1cm, une carte de visite sous enveloppe. - Carte de visite autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Quelques lignes à l'encre. Enveloppe jointe. L'encre a légèrement bavée, l'enveloppe ayant sans doute été mouillée. L'écrivain adresse cette carte depuis Sommières, sa retraite languedocienne, à son amante Janine Brun : "Janine est-ce que vos dates sont fixés [sic] ? Je ne sais pas si je suis de retour de Londres avant le 10 samedi - écris moi pour me dire - Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun
- s.d. (circa 1970), 12,7x8,1cm, une carte de visite. - Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches et éraflures de papier. Note de la destinataire au verso. Durrell adresse une courte note de remerciements à sa jeune amante française : "Janine dear très touché par votre sollicitude Love and kisses, Larrry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun : "Demain soir je vais en Angleterre"
- s.d. (circa 1970), 12,7x8,1cm, une carte de visite. - Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches. L'écrivain informe sa jeune amante française d'un imminent départ à Londres, où il venait fréquemment visiter son éditeur : "Je suis chez Alan Thomas. 16 Holbury St. Chelsea. Faites moi signe quand tu veux [sic] Love, Larry" . Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun "j'ai subi des "tests" [...] pour savoir si je suis éternel ou non - ou si le pneu est crevé quelque part..."
- 29 juin 1978, 13,1x8,5cm, une carte de visite, enveloppe jointe. - Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun son amante française, rédigée au feutre rouge. Enveloppe jointe. L'écrivain est récemment tombé malade, et tente de revoir sa jeune amante à son retour dans sa maison de Sommières : " [...]"j'ai subi des "tests" à l'instant pour savoir si je suis éternel ou non - ou si le pneu est crevé quelque part... J'ai envie de toi un peu, un peu beaucoup ! Love, Larry". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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DURRELL Lawrence
Carte de visite dactylographiée adressée à Jani Brun "je ne sais même pas si j'arriverai de [sic] garder la maison de Sommières. Ouf, quelle barbe"
- 23 novembre 1977, 13x8cm, une carte de visite sous enveloppe. - Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Au retour de son premier séjour en Egypte depuis son départ d'Alexandrie en 1945, l'écrivain éprouvé adresse une courte missvie à sa jeune amante française : "tu sais que je suis en instance de div [sic] [...] je ne peut [sic] même pas me payé [sic] un secrétaire à ce moment -- je ne sais même pas si j'arriverai de [sic] garder la maison de Sommières. Ouf, quelle barbe. Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la « maison Tartès », sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée « Buttons » en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de « Buttons », louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
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