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‎BRISSAUD Pierre‎

‎As-tu été sage ? Robe du soir et robe d'enfant de Jeanne Lanvin. (La Gazette du Bon ton, n°1. Février 1920 - Planche 6: )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 51305

‎BRISSAUD Pierre‎

‎Belle journée. Robe d'après-midi, de Jeanne Lanvin. (La Gazette du Bon ton, n°3. Année 1921 - Planche 24 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 39015

‎BRISSAUD Pierre‎

‎En tenue de parade. Robe d'hiver pour la promenade (pl.13, La Gazette du Bon ton, 1914 n°2)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Février 1914, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 54627

‎BRISSAUD Pierre‎

‎L'indiscrète. Robes de garden-party de Chéruit. (La Gazette du Bon ton, n°6. Juin 1914 - Planche 59: )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1914, 38,1x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 51296

‎BRISSAUD Pierre‎

‎La Gazette du Bon ton, n°3. Année 1914 - Planche 23 : "Attrape!.. Robe d'après-midi de Chéruit."‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1914, 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originale réalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 84757

‎BRISSAUD Pierre‎

‎Les Travestis dans le parc (pl.1, La Gazette du Bon ton, 1913 n°11)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris Septembre 1913, 36,5x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale double en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. L'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 54583

‎BRISSAUD Pierre‎

‎Mon pauvre gazon ! Robe de garden party de Chéruit. (La Gazette du Bon ton, n°11, Année 1913 - Planche VIII )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1913, 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 43236

‎BRISSAUD Pierre‎

‎On aurait pu nous inviter aussi...Robes d'après-midi et robe du soir de Doucet. (La Gazette du Bon ton, n°6. Juin 1914 - Planche 61 )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1914, 38,2x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

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‎BRISSAUD Pierre‎

‎Pour les pauvres. Robe d'après-midi et robe de petite fille, de Jeanne Lanvin. (La Gazette du Bon ton, n°3. Avril 1920 - Planche 23: )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

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‎BRISSAUD Pierre‎

‎Rentrez vos blancs moutons. Une bergère par Chéruit. (La Gazette du Bon ton, n°4, Année 1913 - Planche VIII )‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1913, 19,5x25cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 43239

‎BRISSAUD Pierre‎

‎Respirons un peu. Robes du soir, de Beer. (La Gazette du Bon ton, n°3. Avril 1920 - Planche 21)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 19x24,7cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 51303

‎BRISSON Adolphe‎

‎Florise Bonheur‎

‎in 12 couverture illustrée en couleurs faux-titre, titre, XI, 328 pages,illustrations en noir dans le texte et hors texte de GEO DUPUIS,Ernest Flammarion sans date, rousseurs.Envoi manuscrit autographe de l’auteur.Edition originale‎

Riferimento per il libraio : 4425

Livre Rare Book

Charbonnel
Bar le Duc France Francia França France
[Books from Charbonnel]

€ 25,00 Informazioni/Compera

‎BRISSON (Dr).‎

‎En Montagne Bourbonnaise. Moeurs et coutumes - Superstitions et Sorciers.‎

‎Mayet de Montagne, SMAT de la Monatgne Bourbonnaise - Amis de la Monatgne Bourbonnaise, 2009 ; in-12, dos carré collé. 252 pp‎

‎Réimpression (soignée) de l'édition originale rare de 1911. Antonin Brisson (1858 - 1932) fut médecin dans la région de Lapalisse pendant plus de 25 ans. Il a recueilli de nombreuses histoires et légendes, auxquels il réunit ses observations sur les moeurs et traditions locales. Son ouvrage est particulièrement intéressant pour le "Folklore" bourbonnais, car rédigé à une période charnière de la modernisation du département, qui a entraîné depuis, la disparition d'une grande partie de ces pratiques. En tant que médecin, A. Brisson s'est aussi beaucoup intéressé aux pratiques de médecine traditionnelle, des panseurs, gougneurs et rebouteux... et autres sorciers.‎

Riferimento per il libraio : 13348

Livre Rare Book

La Librairie Bourbonnaise
Vichy France Francia França France
[Books from La Librairie Bourbonnaise]

€ 15,00 Informazioni/Compera

‎BRISSON (Jean-Paul).‎

‎Spartacus.‎

‎Club Français du Livre, 1959, in-8°, 279 pp, 9 gravures, chronologie, biblio, reliure pleine toile brique décorée de l'éditeur, bon état (Coll. Portraits de l'histoire). Edition originale, numérotée. Bien complet de la carte volante de l'Italie romaine‎

‎"Jean-Paul Brisson étudie les révoltes d'esclaves en les rattachant : 1) au problème agraire , c'est-à-dire aux profondes et brusques transformations de l'économie italienne entraînant de nouveaux modes d' exploitation de la main-d'oeuvre servile, essentiellement dans l'agriculture : nombre sans cesse croissant d'esclaves de fraîche date aux mains d'une minorité de maîtres puissants, etc. ; 2) Aux conflits politico-économiques que l'agitation servile engendrait chez les hommes libres (activité de Ti. Gracchus ; reve de G. Gracchus d'établir une démocratie de type grec ; soulèvement de Saturninus et Glaucia ; réforme militaire de Marius ; guerre sociale) (...) En bref, c'est un apport remarquable par ses conceptions historiques et par son style que Jean-Paul Brisson offre à la connaissance des révoltes d'esclaves et une esquisse politique, sociale et économique de Rome de 140 à 70 av. J.-C." (Alb. Deman, Latomus, 1960)‎

Riferimento per il libraio : 14160

‎BRISSON (Pierre)‎

‎Les Lunettes vertes - récit.‎

‎Paris, Gallimard, 1953 1 volume In-8° (11,8 x 19cm) Broché. 165p., 1feuillet. Très bon état; non coupé.‎

‎Edition originale - tirée à 95 exemplaires: 1 des 75 sur vélin pur fil, justifié n°34 (après 20 sur hollande) - de ce "récit" de Pierre BRISSON (1896-1964), journaliste (directeur du "Figaro" 1934-1964) et critique littéraire.‎

Riferimento per il libraio : 15992

Livre Rare Book

Librairie Paroles
Avignon France Francia França France
[Books from Librairie Paroles]

€ 25,00 Informazioni/Compera

‎Brisson M.‎

‎Mémoires historiques et économiques sur le Beaujolais, ou recherches et observations sur les Princes de Beaujeu, la Noblesse, l'histoire naturelle & les principales branches d'Agriculture, de commerce & d'industries du Beaujolais.‎

‎A Avignon, Et se vend à Lyon, Chez REGUILLIAT, Libraire, Place Louis Legrand, 1770 - In-8° dans une sobre et saine reliure demi chagrin cognac, dos à cinq nerfs et titre au petit fer dans le second caisson, signet de soie, bel exemplaire de reliure postérieures, XVJ - 272 pages, piqûres sporadiques, petits manques papier sur les 4 premières pages, mouillures sans gravité sur les dix première pages. Très agréable.‎

‎E.O. du seul ouvrage ancien sur le Beaujolais. Considérations générales sur lagriculture, lindustrie et la population. L'industrie doit être placée au premier rang des moyens protecteurs,avec les sources de toutes les richesses, car elle entretient lagriculture et la population (Brunet n° 24612. - I.N.E.D. 795). Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.‎

Riferimento per il libraio : 11307

Livre Rare Book

Artlink
Saint-Haon-le-Vieux France Francia França France
[Books from Artlink]

€ 1.600,00 Informazioni/Compera

‎BRISSON Pierre‎

‎SYCORAX.‎

‎NRF Gallimard Paris 1953 In-12 ( 185 X 125 mm ) de 155 pages, broché. Edition originale. Un des 10 exemplaires numérotés sur vélin Hollande ( Premier papier ). En parfait état.‎

Riferimento per il libraio : 440115

Livre Rare Book

Librairie Tiré à Part
Marseille France Francia França France
[Books from Librairie Tiré à Part]

€ 120,00 Informazioni/Compera

‎Brisson, Mathurin-Jacques.‎

‎Elémens ou principes physico-chymiques, destinés à servir de suite aux Principes de Physique; à l'usage des écoles centrales.‎

‎Paris, Bossange, Masson et Bresson, an VIII (1800). In-8, pleine basane racinée époque, dos lisse orné de fleurons, de roulettes et de filets dorés, titre doré, coupes ornées de roulettes dorées, toutes tranches rouges. Faux-titre, titre, XIV, 412 pp. Edition originale illustrée de 6 planches dépliantes en fin de volume. Cuir gondolé sur les plats, écriture manuscrite barrée sue la page de titre, taches rouges sur 2 pages, quelques rousseurs.‎

Riferimento per il libraio : DEZ-7234

Livre Rare Book

Librairie Lang
Caen France Francia França France
[Books from Librairie Lang]

€ 240,00 Informazioni/Compera

‎Brissonneau Daguerre‎

‎Vente à l'Hôtel Drouot le 8 juin 2007. Résultats joints. Broché sans couverture illustrée Très bon Paris Brissonneau Daguerre 2007 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Riferimento per il libraio : 12824

Livre Rare Book

Librairie Seigneur
Voingt France Francia França France
[Books from Librairie Seigneur]

€ 15,00 Informazioni/Compera

‎Brissonneau Daguerre‎

‎Icônes grecques et russes‎

‎Vente à l'Hôtel Drouot le 13 mars 2009. Résultats joints. Broché sans couverture illustrée Très bon Paris Brissonneau Daguerre 2009 1 volume in-4°‎

‎édition originale‎

Riferimento per il libraio : 12823

Livre Rare Book

Librairie Seigneur
Voingt France Francia França France
[Books from Librairie Seigneur]

€ 15,00 Informazioni/Compera

‎BRISSOT (J.-P.).‎

‎Mémoires de Brissot, membre de l'Assemblée Législative et de la Convention Nationale, sur ses contemporains, et la Révolution française. Publiés par son fils Anacharsis Brissot ; avec des notes et des éclaircissements historiques, par M. F. de Montrol.‎

‎P., Ladvocat, 1830, 2 vol. in-8°, xxvii-405 et 492 pp, portraits gravés de Marat et Robespierre en frontispices, brochés, couv. imprimées défraîchies, qqs rousseurs, état correct. Edition originale (Fierro, 236)‎

‎Tomes I et II seuls (sur 4). — Mémoires, écrits par Jacques-Pierre Brissot, dit Brissot de Warville, qui s'opposa à Robespierre à l'Assemblée Législative, fut Girondin à la Convention, et fut guillotiné le 31 octobre 1793.‎

Riferimento per il libraio : 108758

‎BRISSOT DE WARVILLE Jacques-Pierre‎

‎Adresse à l'Assemblée nationale, pour l'abolition de la traite des Noirs‎

‎De l'imprimerie de L. Potier de Lille, Paris 1790, in-8 (12x19,3cm), 22 pp., relié.‎

‎Édition originale d'une des plus importantes publications révolutionnaires contre la traite des esclaves africains et premier manifeste de la Société des amis des Noirs, fondée en février 1788 par Jacques-Pierre Brissot, Étienne Clavière et Mirabeau, neuf mois à peine après la London Society for Effecting the Abolition of the Slave Trade qui leur servit de modèle. C'est à Londres que Brissot, exilé et sous la menace d'une lettre de cachet pour ses écrits antimonarchiques, rencontre Thomas Clarkson, à l'origine de cette première association politique pour le droit des Noirs, née du scandale provoqué par le massacre de 142 esclaves sur le navire négrier Zong. Avant même le succès de la Révolution française et la proclamation des droits de l'Homme, Brissot décide donc de mener ce nécessaire mais très controversé combat pour l'universalité des droits humains. Inaugurée par Bartolomé de Las Casas et La Boétie, puis porté par les quakers anglosaxons et les philosophes français des Lumières, cette lutte pour la reconnaissance des droits fondamentaux de l'être humain se confronta dès l'origine à la logique économique d'un Occident qui bâtit sa puissance et sa richesse sur le commerce triangulaire. La Société des amis des Noirs, à l'instar de son alter ego anglais, décide donc de mener le combat en deux temps dont le premier doit être l'abolition de la traite des Noirs. C'est le propos avoué de cette exhortation à l'Assemblée Nationale qui, écrit Brissot, vient de «?grav[er] sur un monument immortel que tous les hommes naissent & demeurent libres & égaux en droits?». Cependant, bien que Brissot de Warville se défende de toute velléité d'abolition de l'esclavage («?l'affranchissement immédiat des Noirs serait [...] une opération fatale pour les Colonies?»), son discours est un des plus beaux plaidoyers humanistes du temps. Grâce à une rhétorique oratoire digne des plus grands révolutionnaires, le Girondin transforme sa démonstration pragmatique de l'inutilité économique de la traite des Noirs en un manifeste éthique et philosophique des principes fondateurs de la Révolution française?: «?Vous les avez rendus ces droits au peuple Français que le despotisme en avait si longtemps dépouillés; vous venez de les rendre à ces braves insulaires aux Corses, jetés dans l'esclavage sous le voile de la bienfaisance vous avez brisé les liens de la féodalité qui dégradaient encore une partie de nos concitoyens; vous avez annoncé la destruction de toutes les distinctions flétrissantes que les préjugés religieux ou politiques avaient introduites dans la grande famille du genre humain. Les hommes dont nous défendons la cause n'ont pas des prétentions aussi élevées, quoique, citoyens du même Empire et hommes comme nous, ils aient les mêmes droits que nous. Nous ne demandons point que vous restituiez aux Noirs Français ces droits politiques, qui seuls cependant, attestent & maintiennent la dignité de l'homme; nous ne demandons pas même leur liberté. Non [...] jamais une pareille idée n'est entrée dans nos esprits. [...] Nous demandons seulement qu'on cesse d'égorger régulièrement tous les ans des milliers de Noirs, pour faire des centaines de captifs; nous demandons que désormais on cesse de prostituer, de profaner le nom Français, pour autoriser ces vols, ces assassinats atroces; nous demandons en un mot l'abolition de la Traite, & nous vous supplions de prendre promptement en considération ce sujet important.?» Tout en récusant les soupçons d'intelligence avec l'ennemi anglais pour ruiner la France - et l'on sait ce qui lui en coûtera d'être accusé de royalisme par Robespierre - Brissot expose la condition des esclaves, de leur capture à leur exploitation, offrant une puissante analyse des causes et conséquences de ce traitement inhumain et de son irréductible logique?: «?Ainsi ceux-là même qui sollicitent la continuation de cet exécrable trafic ont déclaré qu'en dernière analyse, pour le rendre profitable, il fallait conserver tout ce qu'il a d'atroce; que tout y est combiné; que la Traite des Noirs devient un commerce ruineux si l'on ne peut pas, à tous risques en entasser un grand nombre, dans l'espace calculé rigoureusement pour un nombre beaucoup moindre si l'on ne peut enfin contenir leur désespoir par la Terreur.?» En établissant un parallèle constant entre l'abolition des privilèges et celle de l'esclavage, Brissot opère bien plus qu'une simple dénonciation de l'inhumanité des bourreaux, il affirme, à l'aube de la Révolution française, l'universalité des droits de l'Homme et l'égalité en droits de la population noire, mais aussi en intelligence et en maturité. Il adopte ainsi une position intellectuelle très éloignée de la bienveillance paternaliste et condescendante qui polluera longtemps encore les relations entre les occidentaux et les Africains?: «?Enfin l'on vous dira [...] qu'abolir la Traite, [...] c'est allumer la révolte parmi les Noirs. Tel était aussi le langage qu'on tenait autrefois, pour empêcher la réforme des abus parmi nous. Est-ce donc avec des actes de bienfaisance qu'on irrite les hommes?? [...] Ne serait-ce pas la persévérance à les charger de chaînes, lorsqu'on consacre partout cet axiome éternel que tous les hommes sont nés libres & égaux en droits. Eh quoi donc?! Il n'y aurait pour les Noirs que des fers & des gibets, lorsque le bonheur luirait pour les seuls blancs???» Le fleuron choisi pour la page de titre est la reproduction du célèbre sceau, créé par William Hackwood ou Henry Webber pour la Society for Effecting the Abolition of the Slave Trade, originellement surmonté de la devise?: «?Am I Not a Man and a Brother???» Cette image demeure aujourd'hui encore la plus iconique représentation du mouvement international anti-esclavagiste. Cependant, les Français décident de modifier légèrement le message en?: «?Ne suis-je pas ton frère???», témoignant ainsi d'une évolution signifiante de la reconnaissance de l'humanité des Noirs à la nécessité d'une fraternité entre les peuples. L'Adresse de Brissot à l'Assemblée nationale n'aura pas d'effet immédiat, malgré deux autres tentatives en 1791 et 1792. La Société obtiendra toutefois, le 24 mars 1792, le vote d'un décret accordant l'égalité civique aux hommes libres de couleur. L'abolition de l'esclavage ne sera votée que le 4 février 1794, puis abrogée en 1802 par Napoléon. Après une succession de décrets et de lois intermédiaires, ce crime contre l'humanité ne sera définitivement aboli en France que le 27 avril 1848, près de soixante ans après le discours de Brissot. «?Eh ne vous laissez pas écarter du devoir que vous impose ici l'humanité, par la crainte de quelque interruption dans les travaux peu nombreux qu'occasionne en France la Traite des Noirs! Avez-vous écouté cette crainte, lorsque d'une main hardie vous avez renversé tous les abus qui contrariaient une Constitution libre?? Ces abus alimentaient cependant des milliers d'individus; la commotion causée par cette révolution a jeté toutes les fortunes dans l'incertitude, fait resserrer les capitaux, suspendu presque tous les travaux. Quel mauvais citoyen ose cependant se plaindre de cette suspension nécessaire?? Ce n'était pourtant pas votre sang que versaient vos tyrans; ils ne violaient pas à chaque instant l'asile de votre maison; ils ne vous condamnaient pas injustement pour avoir le droit de vous vendre; ils ne vous arrachaient pas à vos foyers pour vous plonger dans une éternelle captivité, & sur une terre étrangère. Or si, pour recouvrer la liberté, à laquelle sans doute on doit sacrifier la vie même, vous n'avez pas balancé à suspendre le mouvement d'une immense Société, pourriez-vous balancer, lorsqu'il s'agit du sang de milliers d'hommes à suspendre le commerce de quelques individus par la crainte de compromettre leur fortune?? Ils sont pères de famille?! Eh quoi?! ces Nègres ne sont-ils pas pères aussi?? N'ont-ils pas aussi une famille à entretenir?? [...] Hâtez-vous [...] de déclarer vos principes sur cette question, de déclarer à l'univers que vous ne prétendez pas les écarter, lorsqu'il s'agit de l'intérêt d'une autre Nation. L'honneur du nom François l'exige. Les peuples libres d'autres fois ont déshonoré la liberté en consacrant l'esclavage qui leur était profitable. Il est digne de la première Assemblée libre de la France, de consacrer le principe de philanthropie qui ne fait du genre humain qu'une seule famille, de déclarer qu'elle a en horreur ce carnage annuel qui se fait sur les côtes d'Afrique.?» A l'heure de la remise en question de certains droits fondamentaux que l'on croyait définitivement acquis, la déclaration de Brissot, fruit d'un combat humaniste de deux cents ans et qui nécessitera encore un demi siècle pour être mené à bien, constitue une étape essentielle du long combat, toujours inachevé, pour la défense et la préservation de la dignité humaine. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

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‎BRISVILLE (Jean-Claude)‎

‎D'UN AMOUR.‎

‎Gallimard, 1954, in-12, broché, 191 pages. Edition originale. Mention fictive de 2ème édition. Bel exemplaire revêtu d’un envoi autographe signé.‎

‎EDITION ORIGINALE DEDICACEE Tous nos livres bénéficient d'une réduction de 50% (pour cause de départ à la retraite) jusqu'au 30 avril 2025‎

Riferimento per il libraio : 16315

Livre Rare Book

Librairielegalet
Paris France Francia França France
[Books from Librairielegalet]

€ 25,00 Informazioni/Compera

‎BRISVILLE (Jean-Claude)‎

‎LA ZONE D'OMBRE.‎

‎Paris, Albin Michel, 1977. In-8 broché, 143 pages. Edition originale. Pas de grand papier. Envoi autographe signé. Bel exemplaire.‎

‎EDITION ORIGINALE LIVRE DEDICACE Tous nos livres bénéficient d'une réduction de 50% (pour cause de départ à la retraite) jusqu'au 30 avril 2025‎

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Livre Rare Book

Librairielegalet
Paris France Francia França France
[Books from Librairielegalet]

€ 23,00 Informazioni/Compera

‎BRISVILLE (Jean-Claude).‎

‎D'un amour.‎

‎Paris, Gallimard, 1954 1 volume In-8° (11,8 x 19cm) Broché. 191p., 2 feuillets. Très bon état; non coupé.‎

‎Edition originale - tirée à 27 exemplaires sur vélin pur fil: exemplaire justifié n°15 - de ce roman de l'écrivain Jean-Claude BRISVILLE (1922-2014), dramaturge, romancier et éditeur (auteur de la pièce "Le Souper", scénariste de "Beaumarchais, l'Insolent"; dernier secrétaire d'Albert Camus): "Je n'ai pas pu attendre que pourrissent d'eux-mêmes les souvenirs dont je souffrais" - dans la douleur d'une rupture sentimentale, le narrateur écrit pour mieux comprendre et se délivrer d'un temps vécu qui, peut-être alors ne sera plus qu' "astre mort".‎

Riferimento per il libraio : 20770

Livre Rare Book

Librairie Paroles
Avignon France Francia França France
[Books from Librairie Paroles]

€ 70,00 Informazioni/Compera

‎BRISVILLE (Jean-Claude).‎

‎La Présence réelle.‎

‎Paris, Gallimard, 1954 1 volume In-8° (11,8 x 19cm) Broché. 213p., 1 feuillet. Très bon état; non coupé.‎

‎Edition originale - tirée à 27 exemplaires sur vélin pur fil: exemplaire justifié n°21 - de cet ouvrage de l'écrivain Jean-Claude BRISVILLE (1922-2014), dramaturge, romancier et éditeur (auteur de la pièce "Le Souper", scénariste de "Beaumarchais, l'Insolent"; dernier secrétaire d'Albert Camus): essai mêlant plusieurs techniques d'écriture permettant à l'auteur différentes façons de formuler diverses réflexions sur la notion de "vocation" et sur ses exigences, sur l'art d'écrire, sur la littérature... ("Pour un portrait", celui d'un jeune écrivain de qui l'auteur, "à le regarder ne pas vivre", a "d'abord appris ce que veut dire le mot vocation", suivi d'un "Vocabulaire", soit les "quelques pages" auxquelles s'est borné le dictionnaire d'esthétique projeté par le susdit, un "Journal", des "Lettres"...).‎

Riferimento per il libraio : 20769

Livre Rare Book

Librairie Paroles
Avignon France Francia França France
[Books from Librairie Paroles]

€ 70,00 Informazioni/Compera

‎Britting, Georg‎

‎Afrikanische Elegie. Erzählung.‎

‎(München), Nymphenburger, (1953). 46 S. OPp. mit illustr. SU.‎

‎Erste Ausgabe (WG 2, 33). - Georg Josef Britting (* 17. Februar 1891 in Regensburg; + 27. April 1964 in München) war ein deutscher Schriftsteller und Dichter. Sein Schaffen wurde vom literarischen Expressionismus beeinflusst; gelegentlich wird es dem Magischen Realismus zugeordnetUmschlag-Illustration nach einer Zeichnung von Gunter Böhmer. - Gutes Exemplar.‎

Riferimento per il libraio : 33747

‎BRIZEUX (Auguste). [BRETAGNE]‎

‎HISTOIRES POETIQUES suivies d'un Essai sur l'Art ou Poétique nouvelle.‎

‎Paris, Victor Lecou, 1855. In-12 broché, 274 pages. Edition originale. Très bel exemplaire malgré quelques rousseurs.‎

‎EDITION ORIGINALE Tous nos livres bénéficient d'une réduction de 50% (pour cause de départ à la retraite) jusqu'au 30 avril 2025‎

Riferimento per il libraio : 1046

Livre Rare Book

Librairielegalet
Paris France Francia França France
[Books from Librairielegalet]

€ 40,00 Informazioni/Compera

‎BRIZEUX A.‎

‎Poésies‎

‎Garnier frères, Paris 1853, 12x19,5cm, relié.‎

‎Edition originale. Reliure en demi basane noire, dos comportant une trace de frottement en tête à quatre nerfs orné de caissons à froid. Coiffe de tête manquante. uelques petites rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 9250

‎Brizon (J.E.) :‎

‎Les Maisons des Hospices civils de Lyon. Historique - Gestion - Charges.‎

‎Macon, Perroux et Fils, 1914 ; in-8, broché ; 174 pp. , (1) f. de table, 8 tableaux, certains dépliants, le dernier constitue l'implantation sur le plan de Lyon, 8 planches photographiques hors-texte.‎

‎Edition originale. L'Hôtel-Dieu ayant été fondé en 542, l'origine des maisons suivra et s'étoffera peu à peu pour finir par constituer un patrimoine assez considérable. Etude sérieuse et fort intéressante de la façon dont tous ces lieus furent gérés. très bel exemplaire non coupé.‎

Riferimento per il libraio : 17825

Livre Rare Book

Librairie Ancienne Clagahé
Saint Symphorien d’Ozon France Francia França France
[Books from Librairie Ancienne Clagahé]

€ 90,00 Informazioni/Compera

‎BRIZON Pierre & POISSON Ernest‎

‎La coopération‎

‎Aristide Quillet, Paris 1913, 13,5x19,5cm, reliure de l'éditeur.‎

‎Edition originale publiée sous la direction technique de Compère-Morel. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage souple bordeaux, dos lisse comportant de petites traces de frottements, accrocs et traces de frottements marginaux sur le premier et le deuxième plats, agréable état intérieur. Iconographie. De la collection : Encyclopédie socialiste syndicalecoopérative de l'internationale ouvrière. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 26258

‎BRIÈRE A.‎

‎Des tarifs des chemins de fer. Extrait de la Revue des Deux Mondes‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] 1880, 15,5x25cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 17705

‎BROC Vicomte de‎

‎Les femmes auteurs‎

‎Plon, Paris 1911, 12x19cm, broché.‎

‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Louise Labé, Christine de Pisan, poètes au XVIème siècle, Mme de la Fayette, Mlle de Scudéry, Mlle de Gournay, la marquise de Caylus, la maréchale Oudinot, Mmes de Sévigné et de Maintenon, Eugénie de Guérin... Une mouillure marginale sur le premier plat. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 11528

‎BROCARD Jehan‎

‎Les chants de truandailles‎

‎Edition de la revue 'Vivre', Paris s.d. (1918), 12x18,5cm, broché.‎

‎Edition originale imprimée à petit nombre. Envoi de Jehan Brocard à Luc Mériga, directeur de la revue 'La forge'. Notre exemplaire est enrichi de deux poèmes manuscrits de l'auteur qui ne figurent pas dans ce recueil. Couverture illustrée, ouvrage orné d'un dessin de H. Jamet. Dos légèrement insolé, sinon rare et agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 16607

‎BROCCHI P.‎

‎Recherches sur les organes génitaux mâles des crustacés décapodes‎

‎G. Masson, Paris 1875, 16,5x25,5cm, broché.‎

‎Edition originale de cette thèse soutenue en vue d'obtenir le grade de docteur es sciences naturelles. Ouvrage orné, in-fine, de 7 planches lithgraphiées illustré de nombreuses figures. Dos muet comportant de petits accrocs sans gravité, piqûres et petites taches sur les plats, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 24442

‎Broch Hermann, Picard Andrée R. (trad.), Moreau Jeanne et al.:‎

‎Le récit de la servante Zerline.‎

‎Paris, BEBA, 1987. In-8 broché, couverture photographique à rabats. En belle condition. Illustré de photographies en noir par Berthe Judet.‎

‎Programme du spectacle présenté par Lumbroso et Alap, exemplaire agrémenté d'une dédicace de Jeanne Moreau.‎

Riferimento per il libraio : 19732

Livre Rare Book

La Bergerie
Le Locle Switzerland Suiza Suíça Suisse
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€ 38,23 Informazioni/Compera

‎Broch, Hermann‎

‎Briefe. Von 1929 bis 1951. (Hrsg. u. eingel. von Robert Pick).‎

‎Zürich, Rhein-Verlag, ( 1957). 457 S. 20,5 cm. (= Gesammelte Werke, [8]). Dunkleblaues OLn.‎

‎Erste Ausgabe. WG9,8. - Hermann Broch (1886-1951), österreichischer Schriftsteller. 1950 für den Literaturnobelpreis vorgeschlagen. - Rücken aufgehellt. Exlibris aV.- Gutes, sauberes Exemplar.‎

Riferimento per il libraio : 52615

‎BROCHE , GASTON- ESMALY.‎

‎PYTHEAS LE MASSALIOTE : DECOUVREUR DE L’EXTRÊME OCCIDENT ET DU NORD DE L’EUROPE ( IV e siècle av. J.C. ).‎

‎DEDICACE. 1ERE EDITION. BELLE DEDICACE MANUSCRITE à l’encre rouge à M. Henri Ripert , Président de la Délégation municipale de Marseille, datée du 18 juin 1941. Essai de synthèse par les textes. Société française d’imprimerie et de librairie, Paris : 1936. In-8 (25 X 16,5 cm), broché . 260 pp. dont 11 p. Notes et Appendices, 4 p. Bibliographie et 2 p. Table des matières. Bien complet de la grande carte dépliante de Périple de Pythéas Le Massaliote. En fin d’ouvrage : ajout du prospectus présentant l’ouvrage . Il est annoté à l’encre rouge et porte le tampon “ Ouvrage couronné par la Société de géographie de Paris ( médaille d’or du prix Malte-Brun 1937). Sur le 1er plat: même tampon rouge “ Ouvrage couronné par la Société de géographie de Paris ( médaille d’or du prix Malte-Brun 1937) et médaillon . Sur le 2nd plat : bibliographie de l’auteur complétée par de quelques notes manuscrites à l’encre noire.‎

‎Très bon état. Exemplaire non coupé.‎

Riferimento per il libraio : 406

Livre Rare Book

A Althée
Marseille France Francia França France
[Books from A Althée]

€ 110,00 Informazioni/Compera

‎Brockes, Barthold Henrich ? Marino, Giambattista‎

‎Herrn Barthold Henrich Brockes J. U. L. Verteutschter Bethlehemitischer Kinder-Mord des Ritters Marino. Nebst etlichen von des Herrn Ubersetzers Eigenen Gedichten, Mit dessen Genehmhaltung ans Licht gestellet, sammt Einer Vorrede, Leben des Marino, und einigen Anmerckungen von König. [Erstausgabe / first edition].‎

‎Coeln und Hamburg, In Verlegung Seel. Benjamin Schillers Witwe, 1715. 8°. 21,5 x 14 cm. Titelblatt in Rot und Schwarz, [20] Blatt, XL Seiten, [3] Blatt, 360 (1) Seiten. Halblederband mit gesprenkeltem Bezugspapier (Kiebitzpapier) und Goldschnitt. [3 Warenabbildungen]‎

‎Erste Ausgabe. VD18 10219951. Dünnhaupt 11.4. Wilpert/Gühring 3. Zweisprachige Ausgabe in Deutsch und Italienisch. Mit Errata-Angaben auf der letzten Seite. Ohne das Frontispiz und ohne die mehrfach gefaltete Kupfertafel. Mit 4 gestochenen Kopfvignetten (davon 3 doppelt gedruckt), 1 gestochenen Initiale, und 3 gestochenen Schlußvignetten (jeweils doppelt) sowie zahlreichen Vignetten in Holzschnitt. Einband an den Kanten leicht berieben. Innendeckel mit Exlibris und eingeklebter Buchbeschreibung eines anderen Antiquariats. Vorsätze erneuert. Titelblatt mit einem restaurierten Löchlein (ca. 4 mm), Seite 63 am Fußsteg mit bräunlichem Papier repariert (3,5 x 7,3 cm). Blätter leicht fleckig, wenige Blattränder teils gebräunt, Kopfstege teils wasserfleckig. Gutes Exemplar.‎

Riferimento per il libraio : 64975CB

‎Brockes, Barthold Henrich ? Marino, Giambattista‎

‎Herrn Barthold Henrich Brockes J. U. L. Verteutschter Bethlehemitischer Kinder-Mord des Ritters Marino. Nebst etlichen von des Herrn Ubersetzers Eigenen Gedichten, Mit dessen Genehmhaltung ans Licht gestellet, sammt Einer Vorrede, Leben des Marino, und einigen Anmerckungen von König. [Erstausgabe / first edition].‎

‎Coeln und Hamburg, In Verlegung Seel. Benjamin Schillers Witwe, 1715. 8°. 21,0 x 13,5 cm. Frontispiz, gefaltetes Kupfer, Titelblatt in Rot und Schwarz, [23] Blatt, XL Seiten, [3] Blatt, 360 Seiten. Hellbrauner Ganzlederband der Zeit mit goldgeprägtem Rückentitel. Rundum-Rotschnitt. [3 Warenabbildungen]‎

‎Erste Ausgabe. VD18 10219951. Dünnhaupt 11.4. WG 3. Zweisprachige Ausgabe. Deutsch und Italienisch. Mit dem gestochenen Porträt Brockes von Denner nach Bernigeroth als Frontispiz und dem mehrfach gefalteten Kupfer von B. Picart, 4 gestochenen Kopfvignetten (davon 3 doppelt gedruckt), 1 gestochenen Initiale, und 3 gestochenen Schlußvignetten (jeweils doppelt) sowie zahlreichen Vignetten in Holzschnitt. Einband wenig berieben, 4 kleinere Wurmlöcher, gutes, innen sehr gutes Exemplar.‎

Riferimento per il libraio : 13921DB

‎Brockes, Barthold Heinrich‎

‎Herrn B. H. Brockes, Lti Com. Palat. Cæs. und Raths-Herrn der Kayserl. freyen Reichs-Stadt Hamburg, Irdisches Vergnügen in Gott, bestehend in Physicalisch- und Moralischen Gedichten. Achter Theil. [Erstausgabe mit signierter Widmung].‎

‎Hamburg, bey Christian Herold, 1746. 8°. 19 x 12 cm. Gestochenes Frontispitz, Titelblatt Druck in Rot und Schwarz, [4] Blatt, 636 Seiten. Brauner Ganzlederband der Zeit mit goldgeprägtem Rückentitel, goldgeprägtem floralem Buchschmuck, Kanten goldgeprägt schraffiert, Rundum-Goldschnitt. [3 Warenabbildungen]‎

‎Erste Ausgabe. WG, 2, 33. VD18 90386345. Dünnhaupt II, 825, 1.VIII. Faber du Faur 1393. Mit gestochenem Frontispiz von Fritzsch nach Peiffer und im italienischem Widmungsgedicht (4 Blatt) an den Kölner Erzbischof und Kurfürsten Clemens August, 2 gestochene Vignetten von Fritzsch: Kopfvignette mit Wappen Clemens August nach Brockes junior und Schlussvignette mit Monogramm Clemens Augusts unter Kurhut. Auf dem Vorsatz mit 20-zeiliger Widmung in Gedichtform von Barthold Heinrich Brockes, monogrammiert 'BHB' an: "Pour Madame la Bourghemaitre Widou [...]. Gemeint ist wohl die Frau des Hamburger Bürgermeisters Conrad Widow (1686-1754), Cornelia, geborene Wiese (1718?1765). Widow bekleidete das Amt 1742 bis 1754. Provenienz: Aus der Sammlung der Galleristen/Antiquarin Ruth Maria Muthmann. Einband minimal berieben, bestoßen. Sehr gutes Exemplar. Widmungsexemplare von Brockes sind extrem selten.‎

Riferimento per il libraio : 13905DB

‎Brod, Max‎

‎Annerl. Roman. [Erstausgabe].‎

‎Amsterdam, Allert de Lange, 1937. 8°. 19 x 12 cm. 337 (1) Seiten. Original-Englischbroschur mit Klarsichtumschlag.‎

‎Erste Ausgabe. Wilpert/Gühring 79. Einband leicht berieben, fleckig und mit Randläsuren. Rücken leicht aufgehellt und knickspurig, Vorderdeckel mit kleinem Vermerk in Blei. Schnitt stockfleckig, wenige Blätter leicht stockfleckig. Gutes Exemplar.‎

Riferimento per il libraio : 61280BB

‎Brodbeck (Charles-Henri) :‎

‎Symbolisme (Le) du deuxième Surveillant. Initiation Maçonnique.‎

‎Chez l'Auteur, 1956 ; in-8, broché ; 187 pp., couverture beige imprimée en rouge et noir, quelques figures in-texte.‎

‎Edition originale. La Franc-Maçonnerie ; le Franc-Maçon ; Ethique maçonnique ; Rite de Salomon ; Oeuvre des Imagiers ; imitation, rites, secret, loges, colonnes du temple, Voile d'Isis, Art royal, gants blancs, métaux, épreuves, tablier, voyages, étoile flamboyante, G, compagnon, apprenti, troisième degré, Mythe Hiram, épées, truelles, Grand Architecte de l'Univers, mystique des nombres, Grand Orient de France ; l'auteur se livre à une vive et pénétrante critique de la Bible, symbole de l'obscurantisme et du fanatisme. Bel exemplaire.‎

Riferimento per il libraio : 14769

Livre Rare Book

Librairie Ancienne Clagahé
Saint Symphorien d’Ozon France Francia França France
[Books from Librairie Ancienne Clagahé]

€ 60,00 Informazioni/Compera

‎BRODERS Roger‎

‎Costumes parisiens. Robe de thé en velours aubergine ocellé d'oeils de Paon. Fourreau gris d'acier. Turban aigretté d'un lophophore (pl.24, Journal des Dames et des Modes, 1912 n°14)‎

‎S.n., Paris 1912, 14x22,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 57634

‎BRODERS Roger‎

‎Costumes parisiens. Robe et toque de velours de soie vert de mer bordées d'hermine (pl.29, Journal des Dames et des Modes, 1912 n°17)‎

‎S.n., Paris 1912, 14x22,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 57637

‎BRODERS Roger‎

‎Costumes parisiens. Tailleur du matin en velours de laine orné de Skungs (pl.43, Journal des Dames et des Modes, 1912 n°21)‎

‎S.n., Paris 1912, 14x22,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 57648

‎Brodersen, Waltraud / Claus Mewes / Detlef Wittkuhn) (Red.)‎

‎Valerij Bugrov - Neonrevier in der Alster. Installation im öffentlichen Raum. Hamburger Aussenalster, 24. Juli - 15. August 1986.‎

‎(Hamburg, Art Expo Catalogs Verlag H, S. Sauer, 1986). 84 S. Mit zahlr., tls. farb. Abb. OBrosch.‎

‎Vom Künstler (geb. 1949, Moskau) unter dem Frontispiz SIGNIERT. - Katalog zur Ausstellung durch das Kunsthaus Hamburg in Verbindung mit d. Studio-Galerie Heinz Maschmann, Hamburg. Mit Textbeiträgen von Waltrauf Brodersen u. Claus Mewes, Roland Jaeger, Detlev Wittkuhn, Gerhard Gut, V. Bugrov. - Im Sommer 1986 installierte der Moskauer Künstler 35 rotleuchtende Neonsäulen in der Außenalster u. verband so Natur u. moderne Technik zu einem Gesamtkunstwerk.‎

Riferimento per il libraio : 91476

‎BRODRICK James‎

‎Origines et expansion des Jésuites‎

‎S.F.E.L.T., Paris 1950, 14,5x23cm, 2 volumes brochés.‎

‎Edition originale de la traduction française sur papier courant, il n'a été tiré que 27 alfa en grands papiers. Dos légèrement passés, sinon agréables exemplaires. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 31559

‎BROEKHUIJZEN H.P.J. Van‎

‎De kinacultuur‎

‎A. van Loon, s.l. [Bandoung] 1898, 14x21,5cm, broché.‎

‎Edition originale. Ouvrage illustré de 32 figures dans le texte. Petites taches et légères piqûres sans gravité sur les plats, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 25037

‎BROGLIE Albert de‎

‎Du caractère général de l'histoire civile de France. Extrait de la Revue des Deux Mondes‎

‎Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] (1854), 15,5x25cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Sous couverture muette. - Photos sur www.Edition-originale.com -‎

Riferimento per il libraio : 14587

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